Voici 30 arguments pour contrer les mensonges de Big Pharma, des gouvernements, des médias et des médecins de plateaux télé. Trente points pour cmprendre ce qu’il s’est passé dans le monde depuis 2020.
DÉCÈS DUS AU COVID & MORTALITÉ
1. Le taux de survie de « Covid » est supérieur à 99%.
2. Il n’y a eu AUCUNE surmortalité inhabituelle.
3. Le nombre de « morts de Covid » est artificiellement gonflé.
4. La grande majorité des décès par covid ont des comorbidités graves.
5. L’âge moyen du « décès Covid » est supérieur à l’espérance de vie moyenne.
6. La mortalité due à la Covid reflète exactement la courbe de mortalité naturelle.
7. L’augmentation massive d’ordonnances de non-réanimation « illégales ».
VERROUILLAGES
8. Les confinements n’empêchent pas la propagation des maladies.
9. Les confinements tuent des gens.
10. Les hôpitaux n’ont jamais été anormalement surchargés.
TESTS PCR
11. Les tests PCR n’ont pas été conçus pour diagnostiquer une maladie.
12. Les tests PCR ont toujours été inexacts et peu fiables.
13. Les valeurs Ct (seuil de cycle) des tests PCR sont trop élevées.
14. Les tests PCR admis par l’Organisation mondiale de la santé ont produit des faux positifs.
15. La base scientifique des tests Covid est discutable.
INFECTION ASYMPTOMATIQUE
16. La majorité des infections à Covid sont « asymptomatiques ».
17. Il existe très peu de preuves étayant le prétendu danger de « transmission asymptomatique ».
VENTILATEURS
18. La ventilation n’est PAS un traitement contre les virus respiratoires.
19. Les ventilateurs ont tué des gens.
MASQUES
20. Les masques ne fonctionnent pas.
21. Les masques sont mauvais pour la santé.22. Les masques sont mauvais pour la planète.
VACCINS
23. Les « vaccins » contre la Covid sont totalement inédits.
24. Les vaccins ne confèrent pas d’immunité et n’empêchent pas la transmission.
25. Les vaccins ont été précipités et ont des effets à long terme inconnus.
26. Les fabricants de vaccins ont obtenu une immunité légale en cas de préjudice.
TROMPERIE ET PRESCIENCE
27. L’UE préparait des « passeports vaccinaux » au moins un AN avant le début de la pandémie.
28. Un « exercice d’entraînement » a prédit la pandémie quelques semaines seulement avant son début.
29. Depuis le début de 2020, la grippe a quant à elle « disparu ».
30. L’élite financière a fait fortune pendant la pandémie
Bien que le nombre d’études portant sur l’aluminium a fortement augmenté ces dernières années, ni le public ni les pédiatres n’en sont informés. De nombreuses études de référence sont disponibles sur le site (en anglais) : http://vaccinepapers.org/
Il est urgent de s’informer et d’agir pour dénoncer le massacre de ces adjuvants qui n’ont jamais passé les tests de sécurité les plus élémentaires. Affirmer qu’ils sont sûrs ne repose sur aucune donnée scientifique. Malheureusement, les pédiatres qui injectent ces poisons, pour la plupart, ne prennent pas le temps de se renseigner et font une confiance aveugle aux labos qui sont présents dans leurs vies depuis le début de leurs cursus universitaire. Il est clair, quand on voit ce qui se passe aujourd’hui avec la soit-disant pandémie, que le courage n’est pas l’apanage de beaucoup dans le domaine médical. C’est pourtant à eux de se renseigner sur les produits qu’ils utilisent et de respecter le serment qu’ils ont prêté : primum non nocere.
Pour moi injecter un neurotoxique à un bébé en plein développement neurologique relève de l’irresponsabilité et de l’inconscience criminelle.
Les adjuvants d’aluminium sont ajoutés à la composition des vaccins pour provoquer la réaction immunitaire. Ils permettent de baisser la quantité d’antigènes présents dans le vaccin et donc de baisser les coûts de production. On voit bien ce qui importe là aux labos, et le fait que ça n’a rien de sanitaire.
Les nourrissons qui suivent le calendrier vaccinal sont soumis à des doses toxiques d’aluminium, de façon chronique, pendant au moins la première année de vie. Sachant que l’aluminium est extrêmement biopersistant (il reste dans le corps pendant des mois, voire des années) et qu’il est démontré expérimentalement qu’il migre jusqu’au cerveau par le biais des macrophages (Flarend 97, Khan 2013, Crépeaux 2017…), il apparaît comme le suspect numéro un dans l’apparition des troubles neuro-développementaux que l’on observe aujourd’hui
Évidemment, on pourrait également examiner de nombreux autres toxiques présents dans les injections, mais pour ne pas faire un article de 4 kilomètres, concentrons notre attention sur celui-ci qui se trouve dans les injections obligatoires en France, injecté directement dans l’organisme des nourrissons.
Parlons de DJT
Qu’est-ce donc ? Il s’agit de la Dose Journalière Tolérable. Elle représente la quantité, exprimée en mg d’une substance toxique qu’un individu de 60kgs peut théoriquement ingérer par jour sans risque sanitaire. Au-delà les premiers effets toxiques sont observables
Cette DJT est déterminée par des expériences animales (ici la souris). Habituellement on obtient alors la DJT en divisant arbitrairement par un facteur 100 à 1000 la DJT afin de prendre en compte les variations quand on extrapole de l’animal à l’homme. Mais dans le cas de l’aluminium, on divise SEULEMENT par 30. Pourquoi ? Personne n’a pu me donner la réponse. Serait-ce uniquement une volonté bien particulière de mettre cet aluminium pour diminuer les coûts et ainsi gagner plus d’argent en risquant la vie de petits bouts, ou un stock à liquider absolument ? Allez savoir !!! Les labos ne sont plus à un mort près et ils se contrefichent des milliards dépensés en procès comparé aux milliards que leurs produits rapportent
En Europe, ces premiers effets toxiques observables en dépassant la DJT sont désorientation, troubles neurologiques, perte de mémoire… à des doses de 3,4 mg/kg/jour (d’après Alawdi 2016).
Par contre, les américains se réfèrent à un dosage de 26mg provoquant la paralysie de la souris. Et, une fois de plus sans que quiconque s’en inquiète, le ministère de la Santé français et l’Académie de Médecine et de Pharmacie se réfèrent aux doses de sécurité américaines. Il semblerait que tous ces effets tels que des troubles neurologiques aient si peu d’importance à leurs yeux qu’ils ne tiennent compte que de la paralysie. J’en ai juste envie de vômir.
Par ailleurs il y a un problème de taille : on applique ces niveaux prévus pour l’adulte aux nourrissons qui ne sont pas simplement des mini adultes mais des êtres dont l’organisme et en plein développement, l’aluminium devenant un risque majeur de troubles pour le bébé.
De plus la DJT est calculée pour un seul toxique et ne tient absolument pas compte des effets possibles d’un cocktail de substances toxiques (thymerosal, formol, …) tels que ceux contenus les injections pour les nourrissons
Et, l’aluminium étant un puissant neurotoxique, plus la charge d’aluminium dans son corps est importante, plus le risque de développer des troubles augmente. Du fait de son extrême bio-persistance (l’aluminium reste dans le corps pendant des mois, voire des années, suivant les personnes), l’aluminium représente forcément un risque majeur de troubles du développement. D’autant que tous les calculs restent théoriques Or, chaque bébé a un seuil de tolérance différent, et on sait d’ailleurs que les garçons sont bien plus sensibles que les filles du même âge.
Aussi la toxicité de l’aluminium pourrait être visible à bien plus long terme également, il ne s’agit pas uniquement de pénétration cérébrale à court terme mais d’intoxication provoquant allergies, asthme, fatigue chronique, maladies auto-immunes, voire cancers.
Si votre pédiatre n’est pas informé, en toute bonne foi et accepte de remettre en question le discours que les labos lui tiennent depuis des années, vous pouvez lui présenter ce document qui regorge d’analyses pertinentes sur le sujet : https://www.docdroid.net/FPcrcC4/danger-des-adjuvants-daluminium.pdf
Prenez soin de vous, renseignez vous pour vos enfants, ne laissez personne leur faire ce qui n’est pas en accord avec ce que vous désirez pour eux. Ma fille a eu un seul vaccin et a failli en mourir. Je n’étais pas consciente des dangers à l’époque, je me suis renseignée. J’ai refusé qu’elle ai ensuite quoi que ce soit qui serait dangereux pour sa santé et, croyez moi que malgré les années qui ont passé depuis je m’en veux toujours d’avoir eu la naïveté d’écouter les médecins et d’avoir ainsi mis sa vie en danger.
Mabelle
Etre acteur de sa vie, être soi en pleine conscience