Les éleveurs de bovins refusent les tests

Les Américains « mettent discrètement fin » à la folie des pandémies liées à la grippe aviaire et au Covid-19. Entre-temps, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a placé 24 maladies sur la liste de surveillance des pandémies … y compris la peste bubonique.

La dernière fois que nous nous sommes informés sur l’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP), plus connue sous le nom de « grippe aviaire », dix travailleurs de la volaille du Colorado avaient développé des symptômes de grippe aviaire (notamment des yeux roses).

Les bovins infectés continuent à ne présenter que de légers symptômes. Rien n’indique actuellement que les humains peuvent contracter cette maladie, à moins qu’ils ne soient en contact direct avec les fluides corporels d’animaux infectés.

Il semble que les éleveurs de bovins et les producteurs laitiers américains mettent silencieusement fin à la folie pandémique et ne testent pas leurs animaux.

Reuters s’est entretenu avec plus d’une douzaine de chercheurs, de vétérinaires, d’agriculteurs et l’associations d’éleveurs pour savoir si la propagation de la grippe aviaire chez le bétail laitier était précisément enregistrée.

Les experts gouvernementaux en santé animale et humaine de trois États, qui travaillent en étroite collaboration avec les vétérinaires et les agriculteurs, ont déclaré que le nombre de cas recensés par le gouvernement était probablement trop faible, car les agriculteurs craignent les difficultés économiques qu’implique un test positif, notamment la possibilité de ne pas vendre leur lait ou leur bétail pendant des semaines.

Le PRETENDU virus réduit la production de lait chez les bovins. Les États-Unis, deuxième producteur de fromage au monde après l’Union européenne, sont le seul pays où des infections chez les vaches sont connues.

« Bien que nous ayons neuf cas positifs officiels, il y a encore beaucoup, beaucoup, beaucoup d’autres fermes touchées ou infectées qui ne sont tout simplement pas testées », a déclaré Joe Armstrong, vétérinaire et expert en bétail à l’université du Minnesota, qui a parlé avec des agriculteurs dans tout l’État.

Un recensement plus précis des cas de bovins dans le Minnesota serait trois à cinq fois plus élevé, selon Armstrong.

Il faut également noter que les Américains ont cessé de se précipiter pour faire un test Covid à chaque fois qu’ils présentent des symptômes ressemblant à un rhume. Les autorités sanitaires ont désormais recours à des échantillons d’eaux usées pour déterminer combien de personnes sont atteintes du covovirus.

Malgré le confinement total de la société, qui a duré plus de deux ans dans certains endroits pour mettre fin au Covid, il semble qu’il y ait encore beaucoup de Covid dans de nombreux endroits.

Comme les citoyens et les communautés des États-Unis constituent désormais une source de données moins fiable, les experts des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) se sont tournés vers les égouts pour surveiller la présence de maladies infectieuses dans nos eaux usées.

Selon les CDC, les résultats de ces tests peuvent constituer un système d’alerte précoce, car des traces du virus sont enregistrées avant même que quelqu’un ne présente des symptômes. Il faut environ cinq à sept jours pour que la chasse d’eau donne des résultats, selon les CDC.

Parmi les États figurant sur la liste « très élevée » depuis le 9 août, on trouve : Californie, Oregon, Washington, Utah, Wyoming, Alaska, Texas, Oklahoma, Tennessee, New Hampshire, Alabama, Mississippi, Kansas, Missouri, Idaho, Minnesota, Arkansas, Louisiane, Floride, Caroline du Sud, Caroline du Nord, Minnesota, Maryland, Nouveau Mexique, Colorado, Massachusetts et Virginie.

Les eaux usées semblent désormais être la source privilégiée d’échantillons. Dans ce pays également, les eaux usées sont testées pour la variole du singe et le virus a été détecté dans un échantillon provenant de San Francisco.

Le virus de la variole du singe a été détecté dans les eaux usées de San Francisco, après que la maladie ait été déclarée « urgence de santé publique de portée internationale » par l’Organisation mondiale de la santé. Il faudra qu’ils m’expliquent comment ils ont pu détecter ça alors que les virus n’existent pas !!!

Le WastewaterSCAN Dashboard, un outil de santé publique pour la surveillance des maladies infectieuses dans les communautés, montre que le Mpox, anciennement connu sous le nom de variole du singe, a été détecté dans le sud-est de San Francisco les 26 juillet, 11 et 12 août.

Il est important de noter qu’il n’est pas clair si ces détections proviennent de sources humaines.

Ce n’est pas pour rien que l’homme a un système immunitaire. Il est peut-être temps de se faire à l’idée qu’il n’y a aucun moyen de vacciner les gens ou les animaux à 100 % pour prévenir complètement toutes les maladies à tout moment.

Des responsables de la santé publique et des médecins raisonnables devraient insister pour que l’on reconsidère la place que les vaccins devraient occuper dans l’éventail des soins de santé.

Nous devons également remettre à leur place les autorités mondiales qui s’emploient à étendre les listes d’alerte aux pandémies afin d’accroître leur pouvoir et leur influence.

La mort noire, la grippe aviaire et le Mpox font partie des 24 menaces qui ont été ajoutées à une liste de surveillance influente des agents pathogènes susceptibles de déclencher la prochaine pandémie.

Dans la première mise à jour depuis l’épidémie de Covid-19, un comité de l’Organisation mondiale de la santé a drastiquement élargi la liste des agents pathogènes dits prioritaires.

Des maladies déjà connues comme le Zika, la fièvre jaune et la grippe aviaire ont été ajoutées, aux côtés de menaces moins connues comme le virus Sin-Nombre, qui passe des cervidés aux humains et qui a un taux de mortalité de 30 pour cent aux États-Unis. Plusieurs bactéries, dont le choléra, la peste et la salmonelle, ont également été ajoutées pour la première fois.

En tant qu’historien, je dois dire qu’il est un peu tard pour ajouter la mort noire. Elle a déjà frappé l’humanité en plusieurs vagues, et nous disposons aujourd’hui de traitements antibiotiques efficaces.

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