La notion de non attachement

Dans le bouddhisme existe ce principe de non attachement

Bonjour, je vous espère en pleine forme.

Dans le bouddhisme, le non-attachement (ou vairāgya en sanskrit, alobha en pāli) ne signifie pas qu’il faut renoncer à tout ou vivre sans rien aimer. C’est une idée souvent mal comprise.

Le non-attachement signifie plutôt :

Ne pas s’accrocher de manière possessive aux choses, aux personnes ou aux idées.

Comprendre que tout est impermanent : les relations, les objets, la santé, les émotions, la vie elle-même. Rien ne dure éternellement.

Accepter cette réalité permet de réduire la souffrance qui naît quand nous voulons que les choses restent figées ou qu’elles soient différentes de ce qu’elles sont.

Exemple concret

Avec les objets : aimer une belle maison ou un vêtement n’est pas un problème. Mais croire que notre bonheur dépend absolument d’eux, ou souffrir excessivement quand on les perd, c’est de l’attachement.

Avec les personnes : aimer profondément quelqu’un est naturel. Mais vouloir le contrôler, l’enfermer, ou craindre sans cesse de le perdre crée de la souffrance. Le non-attachement invite à aimer sans posséder.

Avec les pensées et les idées : si nous nous accrochons à nos opinions comme si elles étaient la vérité absolue, nous devenons rigides et intolérants. Le non-attachement développe une ouverture d’esprit.

Pourquoi c’est important ?

Cela libère des illusions et de la peur de perdre.

Cela permet de goûter pleinement au moment présent, sans être prisonnier de l’angoisse du futur ni des regrets du passé.

Cela ouvre à une forme d’amour plus pur : aimer quelqu’un ou quelque chose, mais sans exigence de possession ni de permanence.

Prenez soin de vous – Mabelle

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