En conclusion de son ouvrage, Dolores Cannon exprime ceci :« Je dis dans ce livre que nous avons tous habité des corps extraterrestres au cours de nos innombrables réincarnations, car nos esprits, nos âmes existent depuis toujours, existeront à jamais et habiteront constamment de nouveaux corps pour y recevoir toutes sortes d’enseignements. La Terre est une planète très jeune comparativement à l’âge du cosmos, si bien que nous avons connu toutes sortes d’aventures sous différentes formes avant de choisir les émotions et les contraintes de la vie humaine. Les extraterrestres savent que notre âme est éternelle et que nous venons de la « Source ».
C’est pour cette raison que j’ai dit dans ce livre : « Ils sont nous et nous sommes eux. Nous ne faisons qu’un. »…Quand nous aurons arraché les œillères qui entravent notre progrès, quand nous échapperons aux contraintes de la pensée linéaire, nous verrons que nos seules limites sont celles de notre imagination. Nous pourrons alors nous libérer des entraves qui nous enchaînent à la Terre pour rejoindre nos frères et nos ancêtres, et vivre avec eux parmi les étoiles. On a dit que l’espace est notre ultime frontière, mais les autres dimensions et les univers parallèles (qui existent à côté du nôtre) pourraient être notre prochain défi. Cependant, pour les explorer, il nous faut d’abord les comprendre. »
Source : Dolores Cannon. Les Gardiens. https://amzn.to/3kfxkDh
L’humain créant lui-même sa vie et son futur par sa pensée, je vous invite à formuler ce vœu pour que les choses changent sur Terre, peu importe le pays où vous vivez :
« Le chef d’état de mon pays, pour une raison surprenante, est évacué de son poste. Tout se passe dans la paix, le calme. C’est l’ordre des choses et cela me convient parce que je l’ai choisi .S’installe à la place un pouvoir de transition qui nous amène dans un monde où la justice et l’honnêteté règnent; où la prospérité se voit partout où l’on pose les yeux. Prospérité matérielle, intellectuelle, spirituelle. Le bonheur se retrouve dans chaque regard. Je me sens enfin chez moi. »