Damir Iskhakov – Chercheur en chef du Centre de surveillance ethnologique de l’Institut d’histoire de l’Académie des sciences de la République du Tatarstan: Il existe de nombreuses cartes de ce type montrant le Tartare – le Petit Tartare et le Grand Tartare. Jusqu’au XVIIIe siècle, les cartographes européens utilisaient ce terme.
« À l’école, on nous enseigne qu’avant l’avènement du christianisme, nous étions tous presque des gens sauvages. Cependant, de nombreux faits contredisent ces fictions. Par exemple, dans l’Encyclopedia Britannica de 1771, la terre de nos ancêtres est décrite comme l’État le plus grand et le plus développé appelé le Grand Tartare. Il existe de nombreux documents et cartes qui soutiennent cela. Certains d’entre eux sont dans à la Société géographique russe. Ces artefacts et d’autres, tels que la plaque Chandar, nous témoignent que le niveau de développement de la civilisation de nos ancêtres était incomparablement plus élevé que ce que nous apprenons, comme l’histoire officielle tente de nous convaincre. Ce niveau est encore plus élevé que le niveau actuel de développement de notre civilisation. » Extrait de l’Encyclopedia Britannica, première édition, Volume 3, Édimbourg, 1771, p. 887 :
Tartaria, un immense pays dans la partie nord de l’Asie, bordant la Sibérie au nord et à l’ouest, appelé la Grande Tartarie. Les Tartares vivant au sud de la Moscovie et de la Sibérie sont appelés Astrakhan, Tcherkassy et Daghestan, vivant dans le nord-ouest de la mer Caspienne, appelés Tartare kalmouks et qui occupent le territoire entre la Sibérie et la mer Caspienne; Les Tartare et les Mongols ouzbeks, qui vivent au nord de la Perse et de l’Inde, et enfin les Tibétains, vivant au nord-ouest de la Chine.
Comment le Grand Tartare a-t-il disparu des cartes géographiques au 18ème siècle ? Et pourquoi la falsification totale de l’histoire du monde est-elle devenue possible ?
Le site Web du Kremlin de Moscou rapporte en 2017 :
Vladimir Poutine a rencontré l’ancien président du Tatarstan, aujourd’hui conseiller d’État de la République du Tatarstan, Mintimer Shaimiev, pour lui offrir un cadeau – la carte du Tartare, réalisée par le cartographe néerlandais du XVIIe siècle Willem Blau.
Sur la carte encadrée d’or présentée à Shaimiev, le territoire du nord-est de l’Eurasie de la Volga et de la mer Caspienne de l’ouest à l’océan oriental appartient au Tartare. Dans le même temps, les pays de Sibérie, d’Asie centrale et d’Extrême-Orient sont sous le contrôle de la grande auberge. Ceci, en particulier, est rapporté par l’agence TASS. La carte montre également les frontières du Tartare, la généalogie des grands temples Han de Chingiz, ainsi que la petite Tartarie (Crimée), le Grand Tartare ou Tartare asiatique, la Tartarie, le Tartare du désert, l’ulus Chagataisky, le Turkestan, le Royaume de Chine et l’ancien Tartare.
Selon l’Encyclopedia Britannica de 1771, Tartaria était un immense pays. L’encyclopédie propose la définition suivante de cet état gigantesque, plongé dans les ténèbres des siècles : « La Tartarie, un immense pays du nord de l’Asie, bordant la Sibérie au nord et à l’ouest, appelé le Grand Tartare. Les Tartares qui vivent au sud de Moscou et de la Sibérie sont appelés Astrakhan, Tcherkask et Daghestan, ceux qui vivent dans le nord-ouest de la mer Caspienne sont appelés Tatars kalmouks et occupent le territoire entre la Sibérie et la mer Caspienne; Les Tatars et les Mongols ouzbeks, qui vivent au nord de la Perse et de l’Inde, et enfin les Tibétains, qui vivent dans le nord-ouest de la Chine. «
Le passé des Slaves aryens est le passé de notre civilisation terrestre. Il y a déjà beaucoup d’informations véridiques! Il suffit de les chercher et de les vulgariser autant que possible auprès de tous les peuples qui veulent connaître la vérité…
Poutine a déclassifié les archives de Tartarie.
Business Online a demandé à ses experts ce qu’un cadeau aussi inhabituel offert à Shaimiev pouvait signifier et ce que cela signifiait.
Oubliez tout ce que vous avez appris, la vérité est ailleurs
Mabelle