Les gouvernements, Big Pharma et leur chien de poche ont été complices de la violation des 10 points du Code de Nuremberg avec leur campagne d’injections soit-disant contre la Covid.
- Le public a-t-il reçu un consentement éclairé volontaire ? NON, on nous a menti et on nous a dit que tout était sûr à 100%.
- Le résultat était-il bon pour la société ? NON, cela n’a PAS arrêté la transmission et s’est avéré nocif pour de nombreuses personnes qui couraient peu ou pas de risque de Covid.
- Y a-t-il eu des expérimentations antérieures sur des animaux qui justifient la réalisation de l’expérience ? NON, des expériences sur des animaux ont été menées, mais les résultats et la validité des données sont remis en question en raison du manque de données et du manque d’innocuité/d’efficacité chez l’homme.
- Ont-ils évité toute blessure physique ou mentale inutile ? NON, nous avons été soumis à la propagande, au lavage de cerveau et à la coercition 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, de la part des employeurs, des médias et des entités gouvernementales. Sans parler des effets secondaires négatifs des injections tels que la péricardite, la myocardite etc…
- Ont-ils arrêté d’éventuelles procédures mortelles ou invalidantes ? NON, les agences gouvernementales de santé ont continué à pousser les injections expérimentales malgré les effets secondaires débilitants et la mort potentielle. Elles se sont donné beaucoup de mal pour dissimuler les données du monde réel et ont toutes parlé de blessures vaccinales sur les réseaux sociaux.
- Le degré de risque l’emporte-t-il sur les avantages ? NON, 99% des personnes n’étaient pas à risque de contracter le SRAS-CoV-2, et les injections expérimentales d’ARNm n’ont pas empêché la transmission.
- Des préparatifs et des installations appropriés ont-ils été préparés pour prévenir les faibles possibilités de blessure, d’invalidité ou de décès ? NON, les sujets ont subi un lavage de cerveau et ignoraient en grande partie qu’ils subissaient des expériences et ne savaient pas qu’ils risquaient de se blesser, d’être invalides et potentiellement de mourir.
- Les expérimentations ont-elles été menées uniquement par des scientifiques qualifiés ? NON, les scientifiques qui ont parlé des injections d’ARNm ont été réduits au silence, censurés et intimidés par les agences gouvernementales. Les propagandistes pharmaceutiques ont contraint les agents de santé publique de niveau inférieur à administrer des injections dont ils ne connaissaient pas les véritables données. Les médecins ne savaient pas que les vaccins étaient sûrs, on leur a dit qu’ils étaient sûrs. Ils avaient tort.
- Les participants peuvent-ils terminer librement l’expérience ? NON, la plupart d’entre eux ne savent pas qu’ils font l’objet d’expérimentations, et même s’ils le font, des altérations permanentes ont été apportées à leur corps via la technologie de l’ARNm qui ne peut pas être annulée à notre connaissance.
- Ont-ils arrêté l’expérience lorsqu’elle s’est avérée dangereuse ? NON, non seulement ils ne se sont pas arrêtés, mais ils ont continué, doublé et abusé des pouvoirs d’urgence du gouvernement pour faire taire et censurer les citoyens qui ont parlé des dangers réels des vaccins à ARNm sur les réseaux sociaux.
Le code n’est peut-être pas officiellement accepté comme loi, mais les actions de notre gouvernement violent toutes les normes d’éthique médicale et enfreignent les droits humains fondamentaux reconnus par chaque nation souveraine de la planète. De mars à avril 2020 au cours de laquelle le « récit officiel » mondial a été développé, préparé et distribué à l’échelle mondiale par les médias d’entreprise, en temps réel, une organisation indépendante appelée Swiss Policy Research a capturé une cascade d’événements au cours de cette période qui contredisent et documentent la propagande qui a été déployée à l’échelle mondiale de manière harmonisée et qui a conduit à la fois à la peur du public et les décisions politiques au cours des trois années suivantes ! https://swprs.org/covid19-facts/
Prenez soin de vous
Mabelle