Alors qu’en Chine des robots sont à la tête de sociétés, dehors le PDG, le robot prend sa place. Ppareil dans les tribunaux où des affaires sont jugées par des robots, ou des chiens robots surveillent les lieux publics et toute une population accepte ainsi d’être remplacée par des fils, des puces électroniques et du métal, la folie se poursuit partout ailleurs sur la planète.
La police de San Francisco veut des robots autorisés à tuer. Comment l’être humain peut il être stupide à ce point de donner une telle place à des robots jusqu’au jour où ils prendront le pouvoir et tueront les policiers eux mêmes sans doute.
Mais bien sûr que non, bien sûr, cela ne risque pas d’arriver nous dit-on. Eh bien je n’en suis pas sûre, s’ils sont aussi fiables que le vote électronique, l’avenir sera pire un cauchemar pire que tous les pires films d’horreur réunis.
Merveilleux, un monde dirigé par des pédophiles et surveillé par des robots assassins.
La plupart des politiciens, si pas tous, ont tous des histoires de viol, d’attouchements, de pédophilie dissimulés sous un tas de gros dossiers trop lourd pour que qui que ce soit se décide à les soulever. Les quelques uns qui arrivent à remonter à la surface sont immédiatement étouffés par un coup de fil à leurs copains, bien protégés, il ne risquent rien. Et, même quand les citoyens ne veulent plus être dirigés par des monstres, ils refusent de quitter leur place.
Comment avons nous pu en arriver là ? Donnez leur du pain et des jeux disaient ils, et ils avaient tellement raison !
Mabelle