Des chiffres qui en disent long

L’hydroxychloroquine a eu 37 975 signalements d’effets indésirables entre 1988 et 2023. Pour mettre cela en perspective, le paracétamol (Tylenol, acetominophène) en a eu 202 094 et ils ont interdit l’hydroxychloroquine pour soigner le covid alors qu’ils recommandaient de se soigner au paracétamol, pourtant 6 fois plus toxique. Mais ce n’est pas tout. Entre 2020 et 2023, les « vaccins » covid ont fait l’objet de 5 239 635 signalements officiels, ce qui est bien en deçà de la réalité puisque des efforts spéciaux ont été déployés dans le cas de cette expérience médicale pour décourager tout signalement.

Ces piqûres sont donc au moins 138 fois plus signalées en 3 ans que l’hydroxychloroquine en 35 ans, qui demeure pourtant interdite. L’inoculation ARNm demeure non seulement recommandée mais elle a été jumelée avec le populaire vaccin antigrippal pour en augmenter la diffusion. C’est sans parler de l’ivermectine qui n’est pour sa part quasiment jamais signalée pour des effets indésirables et qui pourtant est gardée strictement hors de notre portée « pour nous protéger ». Si vous ne voyez pas le problème maintenant, peut-être ne le verrez vous jamais. Alors que Dieu vous vienne en aide.

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