Le projet Haarp

Officiellement, HAARP (High Frequency Active Auroral Research) est un Programme de recherche scientifique et militaire sur l’ionosphère afin de la modifier localement par des ondes à haute fréquence (HF) et d’étudier les modifications sur les communications longue distance. Il est officiellement présenté comme une pure recherche scientifique, mais en réalité, il est sous contrôle exclusif de militaires.

High frequency active auroral research program — Wikipédia


Installé en 1995 près de Gakona, une petite localité au nord-est d’Anchorage en Alaska, ce complexe s’étend sur plusieurs hectares, loin des zones habitées à forte densité. Ce vaste périmètre plat et déboisé est planté de 180 antennes de 20m de haut, alignées sur 15 rangs de 12 antennes, reliées chacune à un émetteur d’une puissance de 3,6millions de watts en 2006, passé à 20 mégawatts en 2008. Les émetteurs sont alimentés en énergie par 6 turbines brûlant quelques 95 tonnes de diesel par jour. L’installation rejette 7 tonnes de déchets par jour. Mais attention, c’est votre petite voiture pour vous rendre au boulot qui pollue la planète !

Ce projet de près de 30 millions de dollars par an a été financé par la Navy, l’US Air Force et le département de la Défense, en partenariat avec l’université d’Alaska.
HAARP a été conçu grâce aux recherches sur les phénomènes électromagnétiques de Nikola Tesla. Je rappelle que Tesla était un scientifique yougoslave du début du 20e siècle qui a consacré une
grande partie de sa vie à étudier l’énergie. Son le laboratoire a été
brûlé 2 fois et ses découvertes financées, exploitées puis censurées pour des
raisons inconnues par le banquier JP Morgan et la société Westinghouse. Mais après son décès, le FBI confisqua la totalité de ses effets personnels et toutes ses notes de travail.
Moins d’un siècle plus tard, Bernard Eastlund, physicien de l’Institut de technologie du Massachusetts se contenta de reprendre les premiers travaux de Tesla dans le domaine de l’énergie électromagnétique et déposa ainsi, entre 1987 et 1994, 12 brevets qui constituent les bases du projet HAARP.
Mais ce projet lui échappa plus tard, Eastlund en fut exclu pour des raisons restées obscures. Les brevets passèrent sous le contrôle d’un consortium pétrolier ; APTI (Advanced Power Technologies Inc.), crée par ARCO (Atlantic RichField Company) appartenant à Rockefeller qui avait financé Eastlund et HAARP.
Ses plus gros clients sont la CIA et autres agences d’espionnage comme la NSA (National Security Agency) et le National Reconnaissance Office. 1,8 milliards de dollars de leurs ventes annuelles se font avec ces organisations, dont 800 millions pour des projets si secrets que même le Congrès des États-Unis ne sait pas comment l’argent est dépensé.

L’objectif officiel de HAARP et de générer un bouclier protecteur global capable de détecter et de contrer les avions, les missiles ennemis qui s’engageraient dans l’espace aérien américain, et d’empêcher toute communication radio et satellite dans une zone déterminée. Selon des études de spécialistes en armement, il permet également de communiquer avec les sous-marins en plongée profonde situés dans les coins les plus reculés des océans. Il peut scanner le sous-sol de la terre entière
et les mers à des profondeurs extrêmes. Ainsi, aucun pays n’a plus les moyens de cacher l’implantation de bases secrètes souterraines, aucun sous-marin d’être invisible pour les Américains.

ENVIRONNEMENT. Haarp : l'Alaska ne contrôlera plus l'atmosphère

L’objectif réel de HAARP semble être de pouvoir atteindre et bombarder à volonté n’importe quel point de la Terre, avec un faisceau d’énergie directif ultra puissant, de créer des cyclones, provoquer des sécheresses… à des fins militaires. Avec HAARP il est possible de manipuler le climat en créant des perturbations atmosphériques sur d’autres continents, avec toutes les conséquences que cela implique sur les écosystèmes et nous convaincre que nous sommes responsables d’un prétendu réchauffement climatique.

Aussi, il peut influencer les comportements humains puisque ce système admet une population de 0 à 50 kHz, on est donc capable d’interférer sur le spectre cérébral.

Les militaires auraient arrêté ces recherches en 2014 et l’observatoire repris en 2015 par l’Institut géophysique de l’Université d’Alaska.

L’Armée américaine travaille sur le Climat depuis les années 60. Les premiers essais ont été faits pendant la Guerre du Vietnam par des procédés physico-chimiques provoquant des intempéries et en épandant le fameux « agent orange ». Pourquoi aurait elle subitement cessé de s’y intéresser alors qu’ils parlent sans cesse de réchauffement climatique ?

La difficulté à le prouver, c’est que contrairement aux armes atomiques, qui laissent forcément des traces en cas d’essais nucléaires, les guerres météorologiques sont invisibles.

https://www.youtube.com/watch?v=1HsCAnbqoAE

https://www.youtube.com/watch?v=NRNttcIW_l8

En 1999, la Commission européenne des affaires étrangères, de la sécurité et de la politique de défense met sur pied une enquête sur la possibilité de manipuler le climat à des fins militaires. Ci – dessous un rapport pour le moins édifiant : Rapport A4-0005/99 en date du 14 janvier 1999 sur les expériences menées par les États – Unis https://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?pubRef=-//EP//TEXT+REPORT+A4-1999-0005+0+DOC+XML+V0//FR

Ils découvrent qu’HAARP émet un rayon qui chauffe et perturbe l’ionosphère. Ernst Guelcher, Parlementaire qui a participé à cette Commission, pense qu’il y a des fins militaires plus « ambitieuses » que la version officielle.

Le Président de la Commission : Tom Spencer demande aux Américains de rendre des comptes mais les travaux de la Commission se heurtent au refus des Américains de s’exprimer sur HAARP. 

Peu de temps après, en 1999, Tom Spencer va faire la Une des journaux à scandales, des Douaniers découvrent des vidéos pornographiques gay et du cannabis dans ses bagages (une technique bien connue de ce système pourri qui utilise ses propres vidéos pour incriminer et discréditer ceux qui les dérangent). La carrière politique du député est brisée, la Commission est déstabilisée.

Nick Begich garde contact avec Tom Spencer après ces évènements, ce dernier lui révèle qu’il a été approché plusieurs fois par les Autorités Américaines ainsi que tous les membres de la Commission. On lui a demandé de ne pas organiser ces « auditions » et de rester en dehors de tout ça. Il a refusé et même accéléré la procédure. Après la mise sur la touche de Tom Spencer, les investigations de la Commission d’enquête cessent !

Le Physicien Jean- Jacques Berthelier https://www.ipsl.fr/Actualites/A-decouvrir/Gros-plan-sur-l-equipe-Rosetta-du-LATMOS , son laboratoire est en contact direct avec DEMETER (un satellite passant régulièrement au-dessus de HAARP) et note des dysfonctionnement en lien avec cette technologie qui modifie profondément l’ionosphère.

https://ncio.ca/briefings/haarp-climate-change-weapon-reactivated/

Selon Rense.com, il y aurait 14 stations semblables à celle de HAARP dans le
monde dont HIPAS (High Power Auroral Stimulation), la station Russe de Syra, située près de Nijni Novgorod, qui aurait les mêmes capacités que HAARP ; ESCAT, supposé être un laboratoire civil appartenant à la fois aux Américains, aux Russes et aux Chinois.
Presque toutes ces stations sont réparties autour de l’Arctique, et s’amusent à exciter l’ionosphère qui a un pouvoir de réponse qui amplifie à 300% le rayonnement reçu.
Cela crée un effet de four, qui, vraisemblablement, est la cause de la fonte de la calotte polaire dans l’Antarctique. Parce qu’étonnamment, on se rend compte que l’Antarctique n’a montré aucun dommage jusqu’en 1999, date d’installation d’une base américaine, et à partir de ce moment, la glace fond autour de la base aussi.

Il y a aussi une autre base importante, la station de suivi de satellites Defence Facility Pine Gap, habituellement appelée Pine Gap, est située au sud-ouest de la ville d’Alice Springs, dans le territoire du Nord en Australie. La base est gérée conjointement par l’Australie, les États-Unis, à la suite d’un accord signé en 1966.
Il s’agit de l’un des plus grands centres de renseignements d’origine
électromagnétique au monde. La station est dirigée par les services secrets
australiens. Mais la moitié des quelques 900 personnes, qui y sont stationnées, sont des Américains de la CIA et du Naval Security Group.
Pine Gap dispose également d’énormes ordinateurs dont la capacité de mémoire principale serait supérieure à 2 milliards d’octets, collectant l’ensemble des informations relatives à la sécurité, non seulement à propos de la finance et des technologies, mais également de tous les aspects de la vie des citoyens. Ces ordinateurs sont connectés à des serveurs centraux situés à Guam (île située dans le Sud- est de la mer des Philippines, territoire insulaire américain), à la base américaine d’Amundsen Scott au Pôle Sud, et à Krugersdorp en Afrique du Sud où se trouve une station similaire à Pine Gap. Il est difficile d’obtenir des renseignements à son sujet. La plupart des 1200 personnes qui y travaillent, se font passer pour des employés consulaires américains

Un autre déploiement est en train d’effrayer la Sicile, c’est celui du Mobile User Objective System (MUOS), près du village de Niscemi (Sud-Ouest de l’île), sur d’anciennes installations utilisées depuis plus de 20 ans par le Pentagone pour les liaisons avec les navires et les sous-marins. Décrit comme un nouveau système de télécommunication de la Marine américaine, il y a 3 autres terminaux terrestres
MUOS dans d’autres pays.
L’installation générera de puissants faisceaux électromagnétiques pouvant avoir des effets dévastateurs sur l’environnement et la santé des habitants sur des kilomètres à la ronde.

Relié à HAARP, on parle « d’une énergie d’un 1 millions de fois plus intense qu’on ne pourrait produire avec tout autre émetteur ».
C’est ce qu’indiquent les études menées par 2 sociétés américaines, Analytical Graphics Inc. (siège social à Exton en Pennsylvanie), et Maxim System (basé à San Diego en Californie), sur l’impact des ondes émises par ces antennes.

Angels don’t play this HAARP est le titre du livre écrit en 1997 par Nick Begich, docteur en médecine, le premier à s’être profondément impliqué dans la campagne contre le projet HAARP et la journaliste Jeane Manning spécialisée dans les recherches sur les énergies dites « non conventionnelles ». Ils affirment sans ambiguïté qu’un des buts de ce projet, est de mettre sur pied une arme de destruction aussi bien massive qu’ individuelle, une arme « psychotronique » utilisant une onde ELF (Ultra Basse Fréquence) de forte puissance, capable de manipuler mentalement les populations à leur insu.

HAARP enfreint tous les accords internationaux : ENMOD (sur l’interdiction
d’utiliser des techniques de modification de l’environnement à des fins militaires ou autres fins hostiles), OPCW (Organisation for Prohibition of Chemical Weapons), ainsi que le traité sur l’Antarctique, assurant que l’Antarctique ne peut être utilisé qu’à des fins pacifiques. Et cela fait plus de 40 ans que les Américains expérimentent au mépris des conventions internationales, des armes psychologiques sous divers noms de codes ARGUS (1968), Solar Power Satellite (1968- 1978), Space Shuttle Experiements (1985), Mighty Oaks (1986), Désert Storm (1991).


HAARP, la première arme de « mind control » à l’échelle mondiale ?

Le Dr. Begich explique que certaines ondes de très basses fréquences peuvent provoquer l’apparition dans le cerveau de substances neurochimiques qui génèrent « un vaste arsenal de réponse et de comportement émotionnel où intellectuel comme des sentiments de peur, de dépression, de désir, d’amour ».
HAARP pourrait donc « influencer le comportement et les facultés mentales des individus à des fins militaires, de maintien de l’ordre ou de contrôle politique », enplus « d’affecter la santé des personnes et d’avoir un impact biologique sur l’environnement ».
Aux États-Unis notamment à Los Alamos, l’un des grands centres de recherche américains dans le domaine des armes de très haute technologie, le docteur William Ross Adey, professeur d’anatomie et de physiologie,
a découvert que des ondes pulsées provoquent des variations de la tension artérielle, modifient le PH sanguin et affaiblissent le système immunitaire humain.

D’autres recherches ont mis en évidence l’interaction avec le réseau de neurones (Robert G. Jahn et Brenda Dunne, 1987) d’où l’association entre l’exposition à des champs électromagnétiques (60 Hz) et les tumeurs du cerveau.

Barry Trower, ex- agent formé à l’usage militaire des micro-ondes, ayant travaillé pour la NAVY, révèle que les micro-ondes étaient employées couramment par les armées et les gouvernements pour nuire à des opposants ou des ennemis en les rendant malades et ainsi les faire mourir à petit feu.
Il raconte que tout a commencé par des expériences menées par les Soviétiques sur l’ambassade des États-Unis durant la Guerre Froide. Les Américains se sont rendus compte qu’il y avait un taux anormal de cancers du sein, d’enfants atteints de leucémies, et d’autres cancers, parmi le personnel diplomatique et ils ne comprenaient pas pourquoi. Ils ont remplacé certains employés, et les nouveaux ont aussi eu des leucémies et des cancers. Ils ont une nouvelle fois changé l’équipe, et ils ont fini par découvrir qu’ils étaient exposés à des micro-ondes.
Le gouvernement des États-Unis a décidé de ne rien dire, utilisant son propre peuple comme des cobayes pour développer leurs
propres armes. Quand on a découvert ce qu’il se passait, il y a bien sûr eu un démenti, puis un rapport secret ». Finalement, une sommité de la science le professeur John Goldsmith rédigea le rapport définitif confirmant que les microondes de faible intensité provoquaient une énorme quantité de cancers, de leucémies et d’autres troubles. Trower témoigne que depuis, quand les gouvernements veulent juguler un groupe de gens, ils utilisent les micro-ondes comme ils l’ont fait à Greenham Common sur une manifestation pacifique de femmes qui protestaient contre la présence de missiles américains sur le sol anglais. Il révèle que ces femmes ont été ciblées depuis la base américaine, bombardées d’ondes pour les rendre malades et quand les résultats sont tombés, il y avait une quantité anormalement élevée de tumeurs, de changement de personnalité, et de
tendances suicidaires parmi elles. Même chose sur les catholiques d’Irlande du Nord.
Selon, lui, il existe un engouement généralisé pour les micro-ondes en tant qu’arme furtive, et celui-ci est flagrant depuis les années 50.
Certaines applications ont un effet immédiat. Il explique que si vous ciblez des manifestants, vous les rendez dépressifs, ils ne cherchent plus à manifester, ils sont épuisés ».

D’autres sont plus insidieuses, ciblent une personne en particulier pour déclencher des dommages neurologiques et des cancers ».
Barry confirme que parmi la cinquantaine de conversations hautement
top-secrètes qu’il a eu pendant ses années d’activité, 2 d’entre elles concernaient la mort de chefs d’États sud-américains et dénonçait une technologie américaine entre les mains de la CIA pour inoculer le cancer.
Les expériences se sont succédé pour permettre de maîtriser de mieux en mieux la technique. L’une d’entre elles consistait à cibler une personne ordinaire jusqu’à la rendre folle. Elle finissait par aller voir un psychiatre qui diagnostiquait une schizophrénie, paranoïa ou une autre maladie psychiatrique. La personne se retrouvait enfermée dans un asile à souffrir pour le restant de sa vie ; mais pour le gouvernement, c’était un succès. « Les humains étaient considérés comme des rats de laboratoires. S’ils veulent mener des expériences sur vous ou sur des milliers
de personnes, ils le font sans aucune émotion, et c’est au-dessus de la loi dénonce-t-il.
Une autre manipulation du cerveau très facile d’après Barrie Trower est de faire entendre des voix. « Et ce n’est pas que les gens imaginent les entendre, ils les entendent physiquement ». Cela peut être une voix douce, Angélique ou un Dieu ou quelque chose d’effrayant comme le
Diable. Cela peut être n’importe quoi ».

Cela explique peut-être les fous qui se mettent à tuer tout le monde et n’importe qui sans qu’on comprennet ce qui leur est passé par la tête, les soit-disant terroristes qui se suicident en faisant exploser des bombes dans des lieux bondés, les tireurs fous qui tirent sur tout ce qui bouge dans une école, un supermarché ou un stade avant de se donner la mort ? Ce qu’il faut en retenir c’est que ces actes isolés permettent à chaque fois aux dirigeants de donner un énorme tour de vis donné à toutes les libertés publiques, censures, mesure de surveillance, flicage appliqués partout au nom de « la lutte contre le terrorisme », que seul un évènement permet d’imposer au monde entier, sans que personne ne moufte.

La technologie est aux mains de psychopathes
Le contrôle de l’esprit humain n’est pas une science nouvelle. Les premiers essais datent de 1801.
En 1952, la CIA plaçait des micro-puces dans le cerveau des gens pour les suivre, et dès 1920, raconte Nick Begich, l’Agence américaine suivait les travaux d’un scientifique nommé George H. Estabrook.
Ensemble, ils ont eu l’idée de créer un super espion. Il s’agissait de soumettre quelques personnes à un programme intense de manipulation pour partager la personnalité de l’individu en 2 entités bien distinctes dans le même corps ; programmant la même personne pour être un super- espion pouvant opérer dans un pays étranger sans être détecté ; et s’il se faisait capturer, n’avoir aucun souvenir de « l’autre », son second « moi ».
Une fois rentré aux États-Unis, on pouvait tout réactiver pour qu’il donne toutes les infos collectées. En 1930, les travaux étaient classifiés et en 1960, ils ont annoncé avoir réussi.
Le problème est que l’individu était fichu, mais Estabrook trouvait que c’était une bonne idée.

Les techniques de manipulation mentale MK-Ultra sont nombreuses mais demanderait un article encore trois fois plus long qu’il ne l’est déjà. Il existe un livre intéressant sur le sujet pour ceux qui veulent aller plus loin : https://amzn.to/3mpxn3E Vous découvrirez comment des personnes sont programmées pour être des tueurs, des esclaves sexuelles pour les grands de ce monde.


La stratégie du choc décrite par Naomi Klein : Ne dit dit-on pas qu’il faut chercher à qui profite le crime ? Terrorisme et pandémies sont les 2 mamelles du système, de ce régime de l’état d’urgence que l’on nous impose pour supprimer une à une toutes nos libertés.
Mais le plus terrifiant, c’est l’idée qu’ils puissent interférer avec la conscience humaine, court-circuiter notre volonté, notre liberté jusqu’à celle de penser. Ce pouvoir est maintenant entre les mains de quelques hommes qui ne nous reconnaissent aucun droit. Toutes les décisions sont prises selon le principe de dissimulation- manipulation par ceux qui nous gouvernent, encore une fois, en violation totale de la Constitution et du Code de Nuremberg.

Que sommes nous ? Des rats de laboratoire, rien de plus à leurs yeux de malades mentaux

Mabelle

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