Pemphigus vulgaris ou variole du singe ?

Comme tous les « complotistes » le disent depuis des mois, la prochaine plandémie arrive pour cacher les effets secondaires des injections Covid. C’est tellement facile pour eux de prétendre à une pandémie de variole quand de nombreuses personnes développent herpès, zona ou pemphigus vulgaris suite aux injections. Et combien tomberont encore dans le panneau, coureront se faire injecter un nouveau poison par peur de mourir alors que c’est justement cette injection qui les tuera.

Un patient de 72 ans sans antécédents médicaux ni médicamenteux a développé une éruption vésiculeuse 1 semaine après avoir reçu la deuxième dose du vaccin à ARNm BNT162b2 (Comirnaty®/Pfizer/BioNTech).

Les lésions commencent sur la muqueuse buccale, provoquant des douleurs et un inconfort, puis elles commencent à se propager 2 semaines plus tard à la tête, au cou et à tous les membres.

« Les maladies auto-immunes sont fréquentes et depuis l’introduction du vaccin Sars-COV-2, plusieurs cas de dermatose bulleuse auto-immune nouvellement émergents ont été publiés dans des revues médicales. Le mécanisme exact par lequel ce vaccin peut déclencher le pemphigus vulgaire n’est pas bien connu. compris. »

Source : Département de Dermatologie, Hôpital Cheikh Khalifa, Faculté de Médecine, Université Mohamed VI des Sciences de la Santé, Casablanca, Maroc.

Souvenez vous

Et s’ils n’ont pas d’image choc, ils en trouveront d’autres. Ils ont l’intention de recommencer leurs mensonges à tout va. Je rappelle que la variole du singe se transmet lors de rapports entre partenaires homosexuels qui pratiquent la sodomie

Cherchez par vous même, ce n’est pas les médias qui vous diront la vérité.

Et Google ne vous laisse pas voir n’importe quoi

3 réflexions sur « Pemphigus vulgaris ou variole du singe ? »

  1. Je suis tout à fait d accord que l on nous manipule.J espère que les gents ne tomberont plus dans le panneau. Et que ces mondialistes seront punis. Je rêve certainement. Encore merci pour ce site d information qui devrait être encore plus diffusé.

    1. Merci Luc pour votre commentaire.
      Comme vous je l’espère, il y a eu bien assez de morts et de personnes qui souffriront de maladies très handicapantes jusqu’à la fin de leur vie.
      Mais rêvez seulement, à l’allure où vont les choses (dans l’indifférence quasi générale), ça risque bien d’être le seul droit qu’il nous restera. Je fais comme vous, je rêve moi aussi et, qui sait, si on rêve très fort, nos rêves deviendront peut-être réalité.
      Il est malheureusement difficile de diffuser ces informations. J’ai partagé le lien de cet article sur FB et ai directement été « punie ». Quant à Google, il déréférence mon blog et peu de monde arrive à le trouver lors d’une recherche. Mais, ma grand-mère était résistante et m’a toujours dit qu’il vaut mieux mourir debout que vivre à genoux donc je continue encore et encore à dire les vérités. Et si cela peut éviter à une seule personne de se faire injecter du poison, je ne l’aurai pas fait pour rien. Belle journée à vous

  2. Complément d’informations reçues aujourd’hui
    J’ai suivi votre enquête sur le nouveau vaccin Mpox, et j’ai quelques informations. Je ne ferais pas ça normalement, mais je ne peux plus me taire. J’ai un proche parent qui a travaillé sur le projet de vaccin pour la R&D à la Fondation Bill & Melinda Gates, ce qu’ils m’ont dit est terrifiant. C’est bien plus important que ce que l’on pense, et tout est étouffé.
    Tout d’abord, vous devez savoir que le nouveau vaccin Mpox n’est pas seulement un vaccin. Il contient un médicament appelé Ciprofloxacine. C’est un antibiotique très invalidant, détruisant définitivement les mitochondries et l’ADN du patient. Cliniquement, l’un des plus dangereux qui existent. La ciprofloxacine fait partie d’une classe de médicaments appelés fluoroquinolones, et ces médicaments détruisent la vie des gens. La maladie qu’ils provoquent s’appelle « floxing » ou, plus officiellement, invalidité associée à la fluoroquinolone (FQAD). Croyez-moi, vous ne voulez PAS de ce truc dans votre organisme. Statistiquement, 1 personne sur 10 a une réaction de « floxing » (graves dommages mitochondriaux irréversibles) et finit par être handicapée de manière permanente par ce médicament.
    Voici ce qui m’énerve vraiment : les dangers de la ciprofloxacine sont bien documentés, mais personne n’en parle. La FDA a publié des avertissements, tout comme le gouvernement britannique, mais ce ne sont que des mots sur un site Web. Les véritables histoires d’horreur sont enfouies dans les communautés en ligne – les groupes Facebook (je peux les partager mais ils sont privés mais il existe plusieurs groupes avec plus de 10 000 membres du monde entier où des milliers de personnes racontent comment leur vie a été détruite par ces médicaments. Nous parlons de lésions nerveuses permanentes, de tendons déchirés et de graves problèmes de santé mentale. C’est insensé, et presque personne n’en sait rien.
    Maintenant, pourquoi diable mettraient-ils cela dans un vaccin ? Parce que ce n’est pas une erreur, cela fait partie du plan. En injectant du Cipro aux gens, ils garantissent une toute nouvelle vague de problèmes de santé qui laisseront les gens dépendants de plus de médicaments juste pour s’en sortir. Il s’agit de maintenir les profits des grandes sociétés pharmaceutiques, tout comme elles l’ont fait avec le vaccin contre la COVID. Elles cachent les risques, minimisent les effets secondaires, puis engrangent l’argent pendant que les gens souffrent.
    Ce n’est pas seulement une question d’argent, c’est une question de contrôle. Si vous désactivez suffisamment de personnes, les rendez dépendantes des médicaments pour survivre, vous les avez dans la paume de votre main. C’est du contrôle de la population, purement et simplement. Moins de personnes, plus de dépendance, plus de profit. C’est un jeu malsain et tordu.
    S’il vous plaît, vous devez examiner cela et partager pour faire connaître ce qu’ils essaient de faire à la population mondiale. Les informations sont disponibles si vous creusez suffisamment profondément. Les gens doivent savoir ce qu’on leur injecte avant qu’il ne soit trop tard.

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