J’espère que vous allez bien et que vous avez profité de la nature en ce beau dimanche automnal. Chez moi, un beau ciel bleu, pas le moindre chemtrails. Cela fait des semaines que ça n’était plus arrivé ! Les pilotes seraient ils en grève ?
Les énergies de ces dernières semaines nous ont fait travailler à lâcher prise sur nos parts d’ombre, puis sur les émotions liées à celles-ci. Aller voir en nous et accueillir, sans résister, pour nettoyer et faire de la place.
Aujourd’hui on nous demande de continuer cette libération intérieure, avec ce qui est certainement l’un des processus les plus difficiles pour l’être humain, mais des plus libérateurs.
On nous demande en effet de lâcher prise, de tourner la page et de pardonner : il est des moments dans la vie où nous devons pardonner – ou risquer de se voir devenir l’otage de la colère, de la frustration, des déceptions et des ressentiments.
Attention, tourner la page ne veut pas dire oublier. La déchirer ne veut pas dire oublier. Il ne s’agit pas non plus de tolérer un mauvais comportement ou de minimiser un préjudice qui vous est fait ! Le pardon est un engagement de vous-même envers vous-même à cesser de ressasser une vieille histoire pour ne plus en porter le fardeau.
Cela veut seulement dire que nous choisissons d’être heureux au lieu d’être blessés, que nous choisissons de sortir de la soumission, de la dualité et de l’attachement. Cela veut seulement dire que nous choisissons d’être heureux au lieu d’être blessés, de sortir de la soumission, de la dualité et de l’attachement. Cela veut dire que nous choisissons la douceur, la paix intérieure et l’harmonie.
Même si nous avons vécu une déception, il est impératif d’aller de l’avant en choisissant d’écrire un nouveau chapitre de notre vie, pour nous aider à avancer, à grandir, à évoluer. Un chapitre qui nous pousse à nous débarrasser des émotions qui torturent inlassablement la profondeur de notre être. Un chapitre qui nous libère des chaînes du passé, nous montre ce qui compte vaiment et qui nous permet d’être libre.
Lorsque vous ne parvenez pas à pardonner, les vieilles blessures s’enveniment et vous êtes pris au piège, dans une prison que vous avez vous-même érigée : celle de l’histoire dont vous jugez être la victime.
Il est temps de reprendre votre pouvoir, de couper les liens toxiques qui vous rattachent à cette situation et vous empêchent d’avancer ! Pardonnez-vous et pardonnez aux autres. Dites non au drame sous toutes ses formes. Quelle que soit la méthode choisie (EFT, bonhommes allumettes, prière, ho’oponopono, …) le pardon est la clé de la liberté.
Je vous partage ce matin un texte de Diane LeBlanc
Chaque fois que vous faites passer les « responsabilités » et les « obligations » extérieures avant vos propres besoins et votre propre bien-être, que vous donnez généreusement votre temps et votre énergie à tous ceux qui vous entourent, en vous oubliant ou en vous « sacrifiant » pour les autres, c’est comme si vous leur « donniez à boire » sans prendre soin de vous préserver un minimum vital d’eau potable pour assouvir votre propre soif.
Pas étonnant que des pensées douloureuses ou négatives remontent alors à votre conscient : ce ne sont là que les « complaintes » de votre moi intérieur réagissant à votre propre négligence envers vous-même!
Il en va de la même façon pour les problèmes et difficultés rencontrées au jour le jour : si vous êtes dans de bonnes dispositions, serein, centré, jouissant d’un bon équilibre tant sur le plan physiologique qu’émotionnel, il y a de fortes chances que rien ne vous apparaisse comme « dramatique ».
Mieux que cela, vous aurez tendance à chercher à relever de nouveaux défis pour stimuler votre propre reconnaissance en vous-même et sentir que vous continuez d’évoluer dans votre cheminement vers le plein épanouissement sur tous les plans.
Lorsque vous êtes fiers-fières de vous, dynamisés par les expériences positives de votre vie, c’est comme si vous vous appliquiez à « maintenir à flot » votre seau d’eau intérieur.
Lorsque vous choisissez d’entretenir des pensées agréables envers vous-même, c’est comme si vous consacriez tous vos efforts à ne « semer » que des « fleurs » plutôt que des « mauvaises herbes » dans votre jardin intérieur, donc à « cultiver » consciemment l’Abondance dans toutes les sphères de votre vie.
Lorsque vous demeurez centrés, présents à vous-même et attentifs aux petites choses du quotidien qui vous font du bien, c’est comme si vous vous mettiez au volant de la voiture de vos rêves et que vous en assumiez la pleine maîtrise; vous faites de votre propre véhicule personnel, votre Être tout entier, un pur bolide qui vous mènera là vous vous le désirez, au moment que vous le souhaitez, vous garantissant d’arriver à bon port sain et sauf, en toute sécurité!
Et plus vous vous sentirez « rassuré-e », « rassasié-es », épanoui-es, comblé-es et satisfait-e,s plus vous découvrirez et intégrerez la manière « positive » de vous maintenir dans cet état de bien-être… pour votre plus grand bonheur!
Les « sceptiques » et les « opposants » à la loi de l’Attraction ont bel et bien raison : il n’y a pas de Secret! Les « pensées magiques » n’existent pas puisque votre qualité de vie n’est que le résultat de la somme des croyances que vous entretenez envers vous-mêmes… Alors, de quel côté penchera votre balance intérieure?
Un tout petit article sur la guérison et les indispensables pour y arriver.
Pour guérir, il faudra parler des fausses couches, des enfants partis trop tôt.
Pour guérir, il faudra parler des infidélités.
Pour guérir, il faudra compter la violence, les abus et les maltraitances.
Pour guérir, il faudra exprimer la colère, la haine et la rage.
Pour guérir, il faudra reconnaître et compter ces amours frustrées qui n’ont jamais pu être.
Pour guérir, il faudra parler des arnaques et des dettes, des mensonges, des vérités cachées.
Pour guérir, il faudra parler des exclus et des ′′ méchants ′′ de chaque histoire.
Pour guérir, il faudra parler des vivants et des morts.
Pour guérir, il faudra parler de dépendances et de duels bloqués.
Pour guérir, il faudra enterrer tous les bébés et enfants morts de mon histoire.
Pour guérir, il faut pleurer et compter les douleurs.
Pour guérir, il faut raconter les secrets et les dévoiler.
Pour guérir, il faut être prêt à dire la vérité et rien que la vérité.
Après tout, reconnaître que c’était juste ′′ ma ′′ vérité selon mon histoire. Et quand tout cela arrivera, tu réaliseras qu’il n’y avait rien à guérir. Que tout était là exprimé en forme de symptôme, pour que tu transcendes cette histoire.
Pour guérir, il faut que tu saches qu’il n’y a rien à guérir mais tout à intégrer.
Pour guérir, il faut intégrer dans notre quotidien les ordres de l’amour.
Accepter tout comme il est et tout ce qu’il s’est passé. Nous ouvrir à la réconciliation. Accepter tout le monde comme il est. Comprendre que nous sommes tous un, mobilisés par quelque chose de plus grand qui est le mouvement de l’esprit et que tout est bien et parfait.
Partage ce matin d’une petite réflexion sur la désobéissance et l’affirmation de soi.
Nous sommes conditionnés, dès notre plus jeune âge, à obéir. Obéir à des règles sans douter de leur bien fondé, obéir à nos parents sans contester leur autorité, obéir à nos instituteurs sans remettre en question leurs enseignements… Il est vrai que certaines règles existent pour notre bien être, mais est-ce le cas de toutes ces règles ? En effet, quelques fois cela ressemble davantage à un conditionnement, à un enfermement de notre être.
Bien souvent, nos parents instaurent des règles afin qu’on leur ressemble, nos institutions rédigent des règles pour nous maintenir dans des cases, nos écoles écrivent des enseignements pour diriger notre attention dans un seul sens, nos religions posent des règles afin qu’on évite de chercher notre propre Vérité. Au final, tous ces codes sont des cages dorées, nous pensons que ces limites nous rendent bons, meilleurs, que cela fait de nous des êtres humains, des gens civilisés, alors nous obéissons tels des robots. Souvent, même lorsque ces règles nous paraissent insensées.
« Ce n’est pas un signe de bonne santé que d’être bien adapté à une société profondément malade. » – Jiddu Krishnamurti
Et gare à celui qui se rebelle, qui refuse d’entrer dans la case, il est très vite marginalisé.
Pourtant, qu’est-ce que la désobéissance, si ce n’est l’affirmation de ce que l’on est ? Cela fait-il de nous de mauvaises personnes lorsque l’on refuse des lois qui nous semblent folles ? Devenons-nous des délinquants quand on met à mal des règles irrespectueuses pour l’Homme et la Terre ?
La désobéissance, lorsqu’elle est réfléchie évidemment, est une preuve d’intelligence et de bon sens.
Une personne qui sait remettre en cause ce qu’on tente de lui inculquer, est une personne qui sait écouter ses ressentis, son cœur.
Ne pas être d’accord c’est s’affirmer, se démarquer de la masse souvent aveuglée, c’est tout simplement réfléchir afin d’adopter un point de vue personnel. Bien entendu, je parle ici de la désobéissance intelligente, celle qui brise l’enfermement de l’être pour le plus grand bien de tous. C’est par cette opposition que la société évolue.
La désobéissance n’est pas une lutte, bien au contraire, c’est simplement être qui l’on est, ce n’est que lorsque nous n’écoutons pas notre intérieur afin de rentrer dans une case qui ne nous ressemble pas que nous luttons. Alors nul besoin de se battre, de sortir les armes, restons simplement qui nous sommes et écoutons la voix de notre cœur.
Ce matin, juste un tout petit partage sur les 7 traits de l’hypersensibilité pour t’aider à savoir si tu fais toi aussi partie des 20% de personnes hypersensibles sur cette planète. Peut-être t’y reconnaîtras tu ?
🔹 L’hyperesthésie = tes 5 sens (ou au moins l’un d’entre eux) extrêmement réceptifs. Exemple : être gênée par les bruits, certaines matières ; avoir un odorat très fin et un palais extrêmement développé ; capter chaque petit détail par ta vue
🔹 Hyperémotivité = des émotions intenses et rapprochées, parfois intériorisées, parfois exprimées
🔹 Profusion de pensées = le hamster dans sa roue qui tourne en continue dans ton cerveau
🔹 Grande intelligence = pas au sens scolaire ou de réussite professionnelle. Intelligence émotionnelle, perception subtiles, capacité à ressentir et mettre en lien les choses ; créativité
🔹 Empathie = empathie émotionnelle, donc capacité à ressentir soi-même ce que ressentent les autres
🔹 Intuition = 6e sens ; ces choses que l’on sait et ressent sans qu’elle soient rationnelles
🔹 Sentiment de décalage = se sentir différente, en marge, comme pas à sa place ; difficulté à comprendre les autres et leur fonctionnement ; sentiment d’être incomprise
Si tu te reconnais dans au moins 5 de ces caractéristiques, il est fort probable que tu sois hypersensible.
En ces temps troubles beaucoup de personnes me disent ne pas savoir ce qu’elles font sur cette planète. Aussi j’ai trouvé que ce petit article répondait bien à leurs questionnements.
Il s’agit de petits conseils de Martyne Trempe pour ceux qui n’ont pas compris où ils allaient à la naissance
1. vous recevrez 7 corps différents et une conscience endormie – vous devrez constamment les réveiller, les développer et les affiner. Acceptez calmement le fait que vous serez dans différentes dimensions en même temps et que le monde entier sera à l’intérieur de vous. (Ah oui, déjà rien que ça c’est compliqué à comprendre pour beaucoup, j’en conviens)
2 Vous devrez étudier dans une école appelée Vie sur la planète Terre. Chaque personne et chaque événement est votre professeur universel. (Ca, je pense que nombreux ont bien compris que les choses les plus importantes ne s’apprennent pas à l’école)
3. Il n’y a pas d’erreurs, seulement des leçons. Les échecs font partie intégrante du succès. Il n’y a pas de victimes, seulement des étudiants et des enseignants (et nous sommes parfois du côté des étudiants, parfois du côté des enseignants selon les circonstances, les rencontres, les moments, … Et en enseignant nous apprenons nous-mêmes)
4. La leçon sera répétée sous diverses formes jusqu’à ce qu’elle soit parfaitement assimilée. Si vous n’apprenez pas les leçons faciles, elles deviennent plus difficiles ; lorsque vous y arrivez, vous passez à la leçon suivante (inutile de jouer à celui qui ne veut rien savoir, à moins de toujours vouloir répéter les mêmes choses toujours plus compliquées tout au long de votre vie)
5. Les problèmes extérieurs sont le reflet exact de votre état intérieur. Si vous changez votre monde intérieur, le monde extérieur changera également pour vous (oui, bon, ça c’est ce qu’on entend très souvent, je n’en suis toujours pas entièrement convaincue)
6. La douleur est le moyen utilisé par l’Univers pour attirer votre attention – quelque chose ne va pas (et il est vraiment spécialiste dans cette technique, à en rajouter une couche, et encore une couche lorsqu’on refuse de voir ce qu’il nous montre)
7. Le monde est diversifié. Ne pas s’accepter et accepter ceux qui vous entourent « tels qu’ils sont » est à l’origine des émotions négatives qui détruisent le corps (cela reste cependant difficile d’accepter certains « défauts » pour ne pas utiliser un autre mot, de nombreuses personnes sur cette planète. C’est bien joli d’accepter la diversité mais lorsque celle-ci s’attaque à autrui, je reconnais avoir du mal à l’accepter)
8. Vous saurez que la leçon est apprise lorsque votre comportement et votre attitude envers tout changera. La sagesse s’acquiert par la pratique. Un peu de quelque chose est mieux que beaucoup de rien (je suis bien consciente que j’en suis encore bien loin)
9. Il n’y a pas de meilleur endroit qu' »ici ». Lorsque votre « là » deviendra « ici », vous obtiendrez un autre « là », qui vous semblera à nouveau meilleur que « ici ». Appréciez ce que vous avez maintenant (profiter du moment présent, de petites choses simples peuvent enjoliver une journée, même s’il peut parfois être difficile de voir du beau dans tout)
10. Les autres ne sont qu’un reflet de vous. Vous ne pouvez pas aimer ou détester ce qui se trouve chez les autres si cela ne reflète pas vos propres qualités (cela fait encore partie de la spiritualité moderne avec laquelle je ne suis pas complètement en accord, peut-être parce qu’il me reste encore du chemin à parcourir ?)
11. La vie maîtrise le cadre et vous peignez le tableau. Si vous ne prenez pas la responsabilité de peindre le tableau, d’autres le feront pour vous (ça, ça me paraît clair. Cependant vu tout ce qui se passe depuis deux ans et demi, beaucoup ont cette impression de ne plus pouvoir être maître de leur vie. Bon, selon moi, ils ne l’étaient déjà pas auparavant, mais ils ne s’en rendaient pas compte. Et c’est très bien, ils prennent conscience de cette matrice qui nous maintient à la place où « ils » veulent que nous restions)
12. Toutes les réponses sont en vous. Vous en savez plus que ce qui est écrit dans les livres. Et tout ce que vous avez à faire est de vous regarder, de vous écouter et de vous faire confiance (on a beau le savoir, il nous manque toujours un mode d’emploi détaillé malheureusement)
13. Cherchez votre objectif, tirez-en le meilleur parti et donnez-vous entièrement à lui. Cela peut changer tout au long de votre vie. Apprenez constamment quelque chose de nouveau et n’ayez pas peur de recommencer (essayer, tomber, se relever, recommencer, tomber et recommencer encore et encore. ne jamais abandonner)
14. Vous pouvez toujours vous souvenir de cette instruction si vous voulez…
Quand nous quittons la Source pour incarner un corps nous entamons un long processus d’identification, à commencer par le prénom choisi par nos parents (ou soufflé par nous, pourquoi pas ?).
Puis c’est le genre qui vient: fille ou garçon? Quand par un fait extrêmement rare personne n’arrive à le déterminer, on nous qualifie de “bouc-bique” comme disaient les anciens. A remarquer qu’il y a de plus en plus de personnes dans ce cas, rarement par choix.
Puis viennent les qualificatifs se rapportant au physique (je n’ai eu des cheveux que très tard et, 40 ans plus tard, certains m’appelaient toujours la chauve alors que j’avais une grosse tignasse de boucles), caractère, et plus tard, aux centres d’intérêt, aux lieux de vie, aux activités, à la profession, aux orientations politiques, religieuses, j’en passe et des meilleures…. Sans oublier nos tendances émotionnelles, notre état de santé, tout ce qui nous attache à une identité quelconque et qui nous positionne au sein d’un groupe.
Cela constitue notre “bagage” à porter tout au long de notre incarnation, et qui devrait nous servir d’outil dans cette expérimentation, si l’harmonie nous accompagne. Or il est bien difficile de trouver cette harmonie dans un environnement qui nous broie au quotidien.
Une des solutions à ce déséquilibre qu’utilise l’Ego est l’identification, phénomène qu’il maîtrise parfaitement en ajoutant une couche supplémentaire de cet artifice sur chaque nouvelle souffrance. Ainsi de suite jusqu’à ce que nous ployions sous le poids de toutes ces étiquettes qui au lieu de nous aider, nous entravent. Nous perdons de vue ce que nous sommes, en nous identifiant à ce que nous croyons être, ce que l’Ego nous murmure par le biais du mental, de nos émotions. Son intérêt n’est pas de nous libérer de nos peurs mais de les masquer, quitte à en créer de nouvelles.
Clamer “je suis comme tel” nous donne une autorité indiscutable, et souvent une excuse pour nous protéger de nos peurs. Et cela renforce cet Ego qui n’abandonne pas une recette qui fonctionne. Il faut savoir que l’Ego est un outil de survie, et que s’il est systématiquement sollicité, il devient notre maître. Imaginez le marteau dicter sa volonté au menuisier ! Pourtant les menuisiers ne sont pas tous marteaux. 😅 Le petit jeu de mots pour bien comprendre que nos identifications ne sont que le Jeu de l’Ego…
Libérez-vous, si vous le voulez, en vous dépouillant de vos étiquettes surnuméraires. Vous êtes plus que ce que vous pensez.
Comment se laisser programmer ? Gardez bien à l’esprit que lorsqu’une info est répétée H24 7/7 il y a anguille sous roche, peu importe le contenu, peu importe la source ou de quel camp elle provient. Cela sert généralement soit de diversion, soit de programmation. On appelle cela une PsyOP (Opération psychologique). Pendant plus de deux ans on a eu droit au Covid 24h/24, puis « vaccins inoffensifs », Poutine le vilain grand méchant, crises cardiaques inexpliquées, réchauffement climatique, droits des LGBTQ+
Le but est de faire rentrer au forceps, des informations dans votre conscience, et par la suite dans votre subconscient. Répéter un mensonge mille fois, ne le rendra pas plus vrai, mais le rendra crédible aux faibles d’esprit (Et dieu sait s’ils sont pléthores). Cela s’appelle de la manipulation, voire même de l’ingénierie sociale.
A chaque fois que cela arrive, les questions à se poser sont :
-A qui cela profite-t ‘il ?
-Quel est le but ?
-Que tente-t’on de nous cacher ?
-Qui en est l’auteur ?
-En quoi cela me concerne-t-il ?
Que vous le vouliez ou non, vous avez été conditionnés dès votre plus jeune âge, à obéir aux structures de contrôle. De perdre l’innocence au profit de la concurrence. Une étape qui consiste à faire disparaître l’égalité pour le bénéfice d’une hiérarchisation sociale. Il faut des maîtres, des chefs et des esclaves. Prémices de l’implantation psychologique de la pyramide de contrôle.
Souvenez-vous de votre entrée à l’école, la première chose que l’on vous « enseigne » est de vous taire et de lever le doigt pour demander quoi que ce soit. (phase de l’obéissance achevée)
Ce cap passé, s’en vient la concurrence, toujours être le meilleur, écraser les autres pour s’élever au-dessus de la mêlée.
Nous avons tous entendu le : « si tu ne travailles pas bien à l’école, tu ne seras rien, tu n’auras pas de boulot, tu te retrouveras caissière ou à la rue » et autres âneries du genre.
Ce formatage n’est pas anodin, il est le précurseur à l’esclavage des temps modernes. Mais cela n’est qu’une infime partie de l’enseignement pré-adolescent. La seconde partie consiste à faire croire aux enfants en des dogmes qui ne reposent sur rien, hormis sur une volonté de faire croire, et j’insiste sur le « faire croire », et non d’inculquer un savoir.
Ce n’est pas parce qu’un mensonge est répété génération après génération, qu’il en est pour autant une vérité. Et c’est là toute la perversité de ce système, Ne pas laisser les enfants découvrir par eux-mêmes les valeurs fondamentales de la vie, mais de faire rentrer dans leurs petits crânes des graines d’idéologies.
Preuve en est, l’éducation revient aux parents, il s’agit de la transmission d’un savoir générationnel, à contrario de l’instruction qui elle, devrait en théorie fournir les outils pour comprendre et évoluer individuellement. Le paradoxe vient quand l’état (structure de contrôle par excellence) renomme l’instruction nationale en éducation nationale. Les travers et dérives commencent réellement à se faire voir maintenant dans cette institution qui n’en à plus que le nom, siège de toutes les dérives idéologiques. Vous comprenez maintenant pourquoi, l’instruction en famille est devenue la bête noire du gouverne-ment.
Et voilà, la fabrique à cancres est née, des êtres formatés, coupés des réalités primordiales à l’existence, et munis d’une instruction au ras des pâquerettes… Réfléchissez-y, nous sommes tous passés par là !
Le formatage est donc la phase indispensable et préparatoire à la programmation. Mais la programmation de quoi ? Simplement des esprits, dans le but d’intégrer les individus dans un système d’obéissance pyramidal.
Cette programmation est indispensable, c’est la base de l’obéissance aveugle en une construction purement virtuelle, et vous faire accepter l’autorité, afin de vous soumettre aux décisions des maîtres auto-proclamés.
Il est primordial pour ‘eux’ de vous supprimer de l’esprit, l’évidence qu’entre vous et le créateur (peu importe le nom que vous lui attribuez) il n’y a rien, n’y personne. Pour cela, il leur faut impérativement votre consentement. Car rien de ce qui a été créé par l’homme ne lui est supérieur sans son consentement.
Le tableau est posé, alors comment s’y prennent-ils ? Ils usent de deux piliers principaux, l’ignorance et la peur.
L’ignorance sur les vérités, les mécanismes qu’ils vous cachent, vos origines, votre histoire. La peur, instinct primaire de conservation (partie reptilienne du cerveau)
Si vous voulez une définition de la peur, je dirai que c’est l’ignorance des choses. Car une fois que vous savez, la peur disparaît. Donc ils ne veulent surtout pas que vous sachiez.
Si on prend l’exemple actuel au sujet de la « vaccination », il n’y a pas d’obligation réelle, juste un besoin de vous voler votre consentement par des contraintes aussi nombreuses que diverses en générant de la peur (peur de mourir, de perdre son emploi, de se voir retirer les enfants, …)
Le cerveau est programmable. Les outils pour y parvenir sont nombreux :
– Vous avez les mensonges qui sont propagés principalement par les maîtres (l’Etat), avec comme voix, les merdias.
– Vous avez la science, dont son rôle est de tenir comme « évidences » des choses qui ne le sont pas ou peu. Et qui possède une pléthore de « sachants », qui confondent science et appât du gain.
– Et finalement, et je sais que cela ne plaira pas à certains, les religions. Religions qui ont été dévoyées des messages originaux, toujours dans le but de contrôler et de soumettre, et cela fonctionne depuis la nuit des temps.
Et quand un groupe tient pour acquis leurs vérités (celles des maîtres). Ils s’en font les défenseurs. Et iront même jusqu’à se battre pour défendre et imposer ces dites vérités. L’esprit humain a, ce que je nommerai de tare, celle du conformisme. La peur à nouveau, de ne pas ressembler, ni s’intégrer à la majorité d’un groupe, sous peine de s’en voir rejeté.
Ils nous mentent et nous disent que les gens meurent de vieillesse ; il n’existe pas de maladie appelée, vieillesse ! Notre ADN ne contient pas d’informations sur le vieillissement et la mort.
Les cellules du corps se renouvellent en permanence, même chez les personnes âgées.
Les gens ne meurent pas de vieillesse, mais des maladies et de leurs pensées.
La vieillesse n’existe pas. Nous avons été endoctrinés avec une certaine durée de vie.
Les ongles continuent de pousser,
Notre peau se renouvelle tous les 28 jours,
Le cœur se renouvelle tous les 20 ans,
Les poumons se renouvellent chaque année,
Le foie se renouvelle en quelques mois.
Le cerveau renouvelle également ses cellules.
En l’espace de 10 ans, le squelette se régénère.
Sur 15 ans, tous les muscles et tissus se régénèrent.
La personnalité change également tous les 7 ans.
Pour que la régénération soit un succès, il faut prendre soin de soi à tous points de vue, et j’entends par là la nourriture, l’air, l’eau et aussi l’information. Et c’est là que se situe le problème puisque nous buvons, mangeons, respirons des toxiques au quotidien.
Le secret est que notre ADN ne contient pas d’informations sur le vieillissement et la mort.
Le programme de vieillissement est dans nos têtes. C’est ainsi que nous avons été programmés pour croire que c’est la façon normale de mourir. La réalité est tout autre.
Le programme de vieillissement est dans les toxiques que nous ingérons et respirons chaque jour de notre vie, qui s’accumulent toujours un peu plus et empêchent nos cellules de faire leur travail. Il est important de donner à notre corps ce dont il a besoin pour continuer à fonctionner de manière optimale quel que soi notre âge (info en MP si vous voulez connaître mon protocole bien-être)
Ce n’est pas un secret que lorsque nous nous perdons dans le passé, nous ne sommes pas tournés vers l’avenir. Il est important de laisser le passé derrière soi et d’aller vers l’avenir en changeant le présent, dans sa tête.
Le temps passe vite, oui, mais nous pouvons reculer la vieillesse, pourquoi nous en priver ?
Je vous partage un texte de Martine SDY BENZAQUEN.
Bonne lecture
Mabelle
C’est qu’on ne veut pas s’avouer combien a eu mal d’aimer, combien on n’a pas été aimé comme on l’avait rêvé, on ne veut pas savoir combien l’autre nous a blessé, torturé, déchiqueté …
On est sûr qu’on est indemne, que tout est comme avant, idem, et qu’on s’aime.
On ne voit pas ce qui nous a séparé de nous-mêmes, ce doute de soi qui nous a rongé, pendant des années.
On ne réalise pas qu’on ne croit plus dans les autres, qu’on n’a plus confiance en l’amour, qu’on n’est plus très convaincu qu’on puisse être aimé, qu’on le mérite, qu’on est beau, qu’on est bon, qu’on est quelqu’un de bien ….
Quand tu as été mal aimé, quand on t’a méprisé, rejeté, bafoué, ignoré, insulté, frappé mais que tu as réussi à t’échapper, que tu as survécu à tes manques, à tes douleurs, tu crois que tu as tout gagné …
C’est vrai.
Sauf que, voilà, tu ne sais plus t’estimer, te regarder tel que tu es, t’aimer …
Pour se réapprendre, il y a un secret : pour guérir d’avoir tout donné, il faut encore plus donner.
Un peu comme Musset.
Et puis, savoir recevoir. Se laisser aimer, émouvoir. Se permettre la bonté. Oser laisser les autres nous gâter. Accepter la véritable amitié. Rejeter ceux qui nous rejettent. Fuir ceux qui nous aiment à moitié, avec tiédeur, pas assez de chaleur et de bonheur.
Éloigner ceux qui pensent savoir qui nous devons être, ceux qui nous jugent, ceux qui nous aiment avec un peu de condescendance, pas assez de conscience, ceux qui pensent nous connaître mieux que nous nous connaissons, ceux qui veulent changer nos pantalons, nous donnent sans cesse des leçons, sont certains qu’ils auraient fait mieux et nous expliquent avec un mépris -qu’ils nomment affection- leurs « il faut », leurs « tu dois », ceux qui n’ayant jamais rien vécu te montrent qu’ils n’ont jamais perdu !
Je connais un loup solitaire, une vieille panthère, un chat qui n’aime pas qu’on l’appelle comme cela, un loup-garou d’un peu partout, une souris qui sourit, qui a commencé à s’aimer après plusieurs millions d’années, qui a retrouvé sa liberté en osant retrouver l’amour total et absolu qu’elle portait à l’humanité, en risquant de se laisser aimer, en risquant la profonde bonté, en risquant de se détacher de ceux qui aimaient avec modération comme la boisson, en risquant d’aimer son prochain avec enfance, sans défiance, sans méfiance, sans penser aux risques.
En risquant de se regarder.
Etre acteur de sa vie, être soi en pleine conscience