On ne guérit jamais de ce qu’il nous manque, on s’y adapte, on se raconte d’autres vérités. On cohabite avec soi-même, avec la nostalgie de la vie.
Margaret Mazzantini- (Venir au monde)
On ne guérit jamais de ce qu’il nous manque, on s’y adapte, on se raconte d’autres vérités. On cohabite avec soi-même, avec la nostalgie de la vie.
Margaret Mazzantini- (Venir au monde)
L’absence et la mort ne diffèrent pas beaucoup ; donc, on ne se quitte pas, on se perd de vue ; mais on sait bien que, n’importe où, on se retrouvera. Aussi je ne dis jamais adieu dans le sens de « Dieu nous sépare ! »je le dis toujours dans le sens « Au revoir en Dieu, sur cette terre ou sur une autre!»
Est-ce que l’on ne fait pas de progrès tant qu’on veut vivre et tant qu’on croit à l’idéal ? est-ce que l’idéal ne sert qu’à cette vie d’un jour ou deux sur la terre ? Ne croyez pas cela.Nous emportons avec nous ce que nous avons acquis, et nous l’emportons pour l’accroître dans l’éternité. Qu’importe que, dans une ou deux de nos existences, nous n’ayons pas été assez encouragés, si nous avons entretenu le feu sacré en nous et dans les autres ?Ne comptez pas pour rien ces heures où vous donnez, avec votre âme, celle des grands maîtres à vos amis ; tout cela, c’est un échange, entre eux, vous et nous, de ce qu’il y a de meilleur et de plus élevé dans le sanctuaire commun.- George Sand.
«Tout, autour de nous, change sans cesse. Chaque jour, le soleil illumine un monde nouveau. Ce que nous appelons routine est rempli d’occasions nouvelles, mais nous ne savons pas voir que chaque jour est différent du précédent. Aujourd’hui, quelque part, un trésor vous attend. Ce peut être un petit sourire, ce peut être une grande conquête, peu importe. La vie est faite de petits et de grands miracles. Rien n’est ennuyeux, car tout change constamment. L’ennui n’est pas dans le monde, mais dans la manière dont nous voyons le monde.»
Paulo Coelho
« Même si tous les humains possèdent une structure identique, ils sont tous différents dans leur sensibilité, leur compréhension, leurs besoins, leurs aspirations, et ils ne peuvent donc pas avoir la même perception des choses. Alors, quand ils se combattent au nom de la vérité, cette vérité dont chacun se réclame n’est que sa vérité à lui. Vous direz : « Mais alors, il n’y a pas de vérité ? » Si. Plus l’homme s’élève intérieurement en se détachant de ses intérêts personnels, égoïstes, en se purifiant, en se laissant pénétrer par la lumière divine, plus il se rapproche de la vérité. Mais la vérité en tant que principe absolu, il est impossible de dire si nous la connaîtrons un jour. La seule chose que l’on puisse dire avec certitude, c’est que si nous nous efforçons de rejeter les couches opaques formées autour de nous par nos pensées, nos sentiments obscurs et mal maîtrisés, nous nous rapprochons chaque fois un peu plus de la vérité. » 💖
Omraam Mikhaël Aïvanhov