
Citation de la semaine




«Cette bouteille d’eau au supermarché vaut environ 50 centimes d’€.
Or, cette même bouteille d’eau vaut environ 2€ dans un bar.
Dans un bon restaurant ou dans un hôtel elle peut valoir jusqu’à 5€.
Dans un aéroport, jusqu’à 10€.
Et pourtant, la bouteille, la marque, la quantité, restent identiques !
La seule chose qui change c’est le LIEU !
On comprend que chaque endroit donne une valeur différente au même produit.
C’est pourquoi, quand tout le monde autour de toi te rabaisse, te tire vers le bas, pense à changer d’endroit !
Décide de changer de décor, d’environnement, d’entourage et te diriger vers des endroits où l’on t’accorde la valeur que tu mérites.
Va vers des endroits où tu es considéré à la hauteur de ce que tu es.
Entoure-toi de gens qui t’apprécient vraiment pour ce que tu es, pour ce que tu vaux…
Tu ne peux pas être aimé de tout le monde mais beaucoup de gens aiment ce que tu es car ils sont comme toi… Trouve-les.
Le jugement de ton environnement ne te correspond pas, change-le.
Préserve ta vraie valeur.

Bonjour, j’espère que vous allez bien.
Je vous partage ce matin un petit texte inspirant
Prenez soin de vous
Mabelle

Il existe quatre lois sur la spiritualité amérindienne qui disent que rien ne se passe sans raison dans la vie.
Lorsque vous comprenez cela, c’est très facile à gérer et vous regardez avec confiance ce qui se passe, reconnaissant pour ce qui était là et heureux de ce qui va se passer.
La 1ère loi dit:
La personne que vous rencontrez est la bonne. « C’est-à-dire que personne n’entre dans nos vies par accident, toutes les personnes autour de nous qui interagissent avec nous, défendent quelque chose, soit pour nous éduquer, soit pour nous aider dans notre situation.
La 2ème loi dit:
Ce qui arrive est la seule chose qui puisse arriver. « Rien mais absolument rien de ce qui nous arrive n’aurait pu être différent. Pas même le moindre détail. Il n’y a tout simplement pas ′′Si je l’avais fait différemment… Cela aurait été différent… » Tout, oui, chaque situation qui nous arrive dans la vie est absolument parfaite, même lorsque notre esprit résiste à notre ego et ne veut pas l’accepter.
La 3ème loi dit:
Chaque moment où quelque chose commence est le bon moment. « Tout commence au bon moment, ni tôt ni tard. » Lorsque nous sommes prêts pour quelque chose de nouveau dans notre vie, c’est déjà là pour commencer.
La 4ème loi dit:
Ce qui est fini est fini. « C’est si simple. Quand quelque chose se termine dans notre vie, cela sert notre développement » C’est pourquoi il vaut mieux lâcher prise et aller de l’avant, fort de l’expérience acquise.
Je ne pense pas que ce soit une coïncidence si vous lisez ceci ici.
Si ce texte vous rencontre aujourd’hui, c’est parce que vous remplissez les conditions et comprenez qu’aucune goutte de pluie nulle part dans le monde ne tombe accidentellement au mauvais endroit.
Que ça se passe bien…
Aimez de tout votre être…
Être heureux sans fin…
Chaque jour est un jour heureux .
Bonjour,
J’espère que vous allez bien.
« Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes du genre de celles d’Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes.
L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées. Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif.
Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser. On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux.
En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté. Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur – qu’il faudra entretenir – sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur.
L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu. Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutiennent devront ensuite être traités comme tels. »
Günther Anders, « L’Obsolescence de l’homme », 1956 https://amzn.to/3lvlN3u
Finalement, cela rejoint le livre d’Aldous Huxley « Le meilleur des mondes »
La dictature parfaite :
« une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader. Un système d’esclavage où, grâce, à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l’amour de leur servitude ».
Prenez soin de vous – Mabelle

Un jeune couple emménage dans un nouveau quartier.
Le lendemain matin, alors qu’ils prennent leur petit-déjeuner devant la fenêtre, la jeune-femme voit sa voisine suspendre son linge à l’extérieur.
« Ce linge n’est pas très propre dit-elle ; elle ne sait pas le laver correctement. Elle a peut-être besoin d’une meilleure lessive.. »
Son mari regardait silencieux.
Chaque fois que sa voisine suspendait son linge à sécher, la jeune-femme faisait le même commentaire.
Un mois plus-tard, la femme fut surprise de voir du linge bien propre sur le fil à linge et dit à son mari : « Regarde, elle a finalement trouvé le moyen de laver correctement son linge. Je me demande qui lui a appris cela ? »

Le mari répondit : « Je me suis levé tôt ce matin et j’ai nettoyé nos fenêtres. »
Ce que nous voyons en regardant les autres, dépend de la clarté de la fenêtre à travers laquelle nous regardons.
Alors ne soyez pas trop rapides pour juger les autres, surtout si votre perspective de la vie est assombrie par la colère, la jalousie, la négativité, ou des désirs insatisfaits.
Juger une personne ne définit pas qui elle est.
Cela définit qui vous êtes.
Paulo Coelho. « Le linge propre »
Bonjour, j’espère que vous allez bien.
Je vous partage ce matin un texte de Maud Albertini
Ayez le courage d’essayer.
Ayez le courage d’être vous, qui vous êtes vraiment.
Ayez le courage de contredire les gens qui ne croient pas en vous, en faisant des choix qui s’alignent avec votre cœur.
Allez-y, ayez le courage de suivre votre cœur.
Ayez le courage d’aimer, d’espérer, de croire.
Ayez le courage de laisser vos masques derrière vous et de quitter les faux semblants, les fausses personnalités et tous les substituts qui cachent votre vrai visage.
Soyez réel, tel que vous êtes, qui que vous soyez.
Ayez le courage de cesser de vouloir ressembler à tout le monde pour au final n’être personne…
regardez au-delà des apparences, mais aussi au-delà de votre apparence….
Ayez le courage de vivre la vie que vous rêvez vraiment depuis toujours.
Cessez de toujours vous excuser, vous justifier et de vous rabaisser pour faire plaisir.
Ayez le courage de laisser derrière vous tous les scénarios de la normalité et cessez de vous sentir coupable parce que les autres veulent vous le faire croire.
Ayez le courage de demander ce dont vous avez besoin et de vous éloigner de tous ceux qui ne peuvent pas vous le donner.
Ayez le courage de croire que l’Amour existe vraiment, et que ce n’est pas parce que vous avez souvent été déçu, trahi et abandonné que nous n’y avez plus droit.
Ayez le courage de continuer à y croire, à espérer, à rêver et à nourrir vos rêves et vos ambitions, tout le temps, sans jamais vous arrêter, sans jamais cesser d’y croire même si tout en ce moment vous laisse croire le contraire.
Ce n’est pas vrai, vous finirez par y arriver, continuez, continuez sans relâche…. faites des pauses, mais continuez toujours tant que vous avez des forces, tant que vous êtes en vie, tant que vous n’êtes pas mort.
Alors ayez le courage…
Le courage de vivre vraiment.
Merveilleuse journée
Mabelle
