Sur 15 ans, tous les muscles et tissus se régénèrent.
La personnalité change également tous les 7 ans.
Pour que la régénération soit un succès, il faut prendre soin de soi à tous points de vue, et j’entends par là la nourriture, l’air, l’eau et aussi l’information. Certains ne comprennent toujours pas pourquoi je continue à me supplémenter en molécules Redox. La réponse est simple : je sais que mon corps est fabuleux si je lui donne les moyens de l’être.
En parlant aux cellules de notre corps, en les aimant, en leur demandant de se renouveler à la perfection de leur origine et en se réjouissant de cette action, il est possible de transformer son corps en quelques semaines.
En élevant les vibrations de son corps, la lumière rayonne davantage et apporte des informations directement de la Source.
Libérer les toxines et les croyances de l’impossible, pardonner et se pardonner pour vivre en paix, bien dormir, manger ‘vivant’ graines, fruits et légumes, boire beaucoup d’eau (pure et dynamisée) dont est constitué en grande partie notre corps, penser de manière élevée, et vibrer sur la transformation peut grandement aider à se régénérer positivement.
Le jeûne intermittent est aussi très intéressant puisque c’est un des moyens de prévention, de guérison, et de régénération les plus puissants et efficaces qui soient ! Alors que 50% de notre énergie est consacrée à la digestion. Durant le jeûne 100% de notre énergie se concentre sur la réparation et le nettoyage de nos cellules.
Aimons-nous assez pour entretenir la jeunesse de notre corps 💝
Prenez soin de votre corps pour que votre âme ai envie d’y rester
«Et ils créèrent l’école, comme le « diable » l’avait ordonné.
L’enfant aime la nature, alors ils l’ont enfermé dans quatre murs.
L’enfant ne peut pas rester assis pendant des heures sans bouger, sa liberté de mouvement a donc été réduite au minimum.
Il aime travailler de ses mains et ils ont commencé à lui présenter des informations et des théories.
Il aime parler sincèrement – on lui a appris à se taire.
Il s’efforce de comprendre – on lui a appris à mémoriser.
Il aimerait faire des recherches lui-même et utiliser ses propres connaissances (d’âme) – mais il a tout préparé sur des dizaines de feuilles de travail grises.
Grâce à tout cela, les enfants ont appris ce qu’ils n’auraient jamais appris dans d’autres circonstances : ils ont appris à ne rien remettre en question et à s’adapter. »
— Adolphe Ferrière (1879 -1960), était un éducateur suisse et l’un des fondateurs de l’Éducation nouvelle.
Le chant vibratoire: un soutien précieux pour élever votre fréquence vibratoire, chasser les peurs, nettoyer vos chants énergétiques…
Le Chant des voyelles compte parmi les outils les plus efficaces et les plus rapides actuellement disponibles sur la planète pour élever la fréquence vibratoire du corps humain.
Ce chant permet d’ajuster votre fréquence vibratoire à celle de la planète et de l’Univers, tout en assurant votre survie énergétique grâce à la transmutation cellulaire rapide.
Le Chant des Voyelles n’est pas un chant mélodieux : il est destiné à réveiller vos cellules, à établir un contact conscient avec elles, à leur indiquer que le maître est présent et qu’il prend en charge leur destinée.
Dans ce travail, chaque voyelle joue un rôle bien précis ; chaque voyelle est une « spécialiste » dont la fréquence vibratoire vient accomplir un travail particulier en vous.
Le Chant des Voyelles aide à s’ancrer, se relier à la Terre, se centrer, et apaiser le mental. Ce chant aide à nettoyer le champ énergétique, à monter la fréquence vibratoire et à activer des transmutations cellulaires. Par ailleurs, le Chant des Voyelles offre la possibilité d’ouvrir notre conscience, de retrouver nos dons innés, et d’évacuer les schémas réactionnels non bénéfiques.
Dans de nombreuses traditions, les voyelles sont considérées comme des « étincelles divines »: les sons les plus purs nous donnant accès à la source.
La voyelle « A » libère des pensées négatives
Cette voyelle produit un effet libératoire d’émotions.
Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si nous avons tendance instinctivement à exprimer un « Haaaaa » de soupir et de soulagement après une situation délicate qui s’arrange subitement.
Le son « A » produit un effet de détente sur le corps (notamment la partie supérieure du thorax). C’est une forme de massage intérieur qui est déclenché par l’expression de cette voyelle qui nous lave de nos pensées négatives
La sensation de libération peut-être assez vite perçue, si vous laissez quelques temps cette vibration être active en vous-même.
La voyelle « è » ou « ai » masse la nuque
Cette voyelle vibre dans la région de la nuque. Sa vibration très apaisante agit comme un tranquillisant naturel. Lorsque vous vous sentez quelque peu stressé, cette voyelle joue un rôle d’apaisement de la conscience en agissant comme un anti-anxiété.
La voyelle « é » masse la thyroïde
Cette voyelle vibre dans la région de la gorge et masse la glande thyroïde. Si vous avez un début de mal de gorge, ou des enrouements, cette voyelle peut vous aider à stimuler les défenses de l’organisme dans cette région du corps. Par son effet vibratoire, cette voyelle libère la voix pour faciliter l’expression.
La voyelle « I » stimule la concentration mentale
Cette voyelle vibre au niveau de la glande pinéale. Son action active la circulation du sang dans le cerveau. Elle active les fonctions cérébrales liées à la concentration mentale et l’intuition.
Si vous avez un examen à passer, répétez le son « I» quelques heures avant, vous percevrez que votre esprit est plus alerte et plus disponible.
La voyelle « U » active le nettoyage énergétique
Cette voyelle vibre au niveau des sinus et des oreilles. Elle nous libère des énergies discordantes, accentue la santé mentale et physique. En stimulant les oreilles; le nez et les voies respiratoires, elle va accélérer la guérison d’un rhume, d’une sinusite…
Le son « OU » agit sur la digestion et aider à résoudre les problèmes d’ancrage
Ce son vibre dans le ventre et le bassin. Son action se situe sur les parties inférieures du corps. C’est un son que l’on peut utiliser pour favoriser le transit intestinal et pour mieux se relier à la terre.
Si vous avez la nécessité d’affiner une réflexion approfondie sur un sujet délicat, le son « OU » vous aidera à focaliser votre esprit sur le sujet – sans vous disperser. Comme un outil de densification de la pensée, ce son joue un rôle de résolution de problème ardu en mobilisant le potentiel créatif.
Le son « EU » reprogramme nos cellules
Ce son vibre au niveau des lèvres. Il influence la programmation de nos cellules et ouvre les portes à de nouveaux possibles en transformant les anciens schémas limitants.
Comme le feu, il détruit tout ce qui n’a plus lieu d’être.
La voyelle « O » fortifie le système pulmonaire et favorise la méditation
Cette voyelle vibre au niveau du plexus solaire. Elle exerce une action vibratoire puissante au niveau de la poitrine inférieure et de l’estomac. Son action renforce les capacités pulmonaires et digestives. Elle agit également comme un inducteur d’états de conscience qui favorise les états méditatifs.
LA PRATIQUE :
Les voyelles sont des outils vibratoires très puissants. Il suffit d’expirer sur une voyelle en laissant lentement le débit de l’air se vider par la bouche, tout en exprimant le son avec la voix.
L’objectif est de faire vibrer chaque voyelle le plus possible en cherchant à les faire résonner au plus profond de vous-même.
1. Expirer sur vos voyelle entre 3 et 9 fois (sur la même).
2. Inspirer à fond et expirer en douceur jusqu’à vider vos poumons, et recommencez.
3. Poser votre attention sur les zones de votre corps concernées afin de mieux ressentir les sensations qui se produisent.
4. Pendant le chant, veillez à garder la tête droite et les yeux ouverts avec un regard fixe vers le bas pour rester bien présent dans votre corps.
5. Prendre un temps entre chaque voyelle en fermant les yeux pour ressentir ce qui se passe en vous.
Ne cherchez pas à faire un « bon son » mais un son plutôt grave et métallique qui va résonner dans la plus grande partie de notre corps.
Idéalement on fait cette pratique tôt le matin, à jeun pour profiter des énergies particulièrement disponibles à ce moment de la journée.
Le Chant des Voyelles peut se pratiquer en groupe ou seul. Quand nous sommes plusieurs, la conscience de l’unité et l’effet vibratoire des sons sont amplifiés, comme lors d’émission d’une intention en groupe.
« Les effets et l’action des sons/voyelles peuvent être considérables et très bénéfiques à plus d’un titre … et c’est totalement gratuit ». Kurt TEPPERWEIN dans » Pensez et Guérissez »
Avertissement : La transmutation cellulaire par les sons conscients n’est pas un jeu. Si vous vous engagez sur ce chemin, il y aura des changements dans votre vie. C’est inévitable, car les sons conscients font bouger les fondements mêmes de votre être. Soyez conscients que si vous vous engagez dans cette voie, votre vie va changer. Si tel n’est pas votre choix, n’empruntez pas ce chemin.
Il n’y a pas d’expérience spirituelle profonde et sincère sans se retrancher, revenir à soi, se couper des influences, de l’activité mondaine et du regard de l’autre. Pour autant, une vie spirituelle ne conduit pas forcément à s’isoler, au contraire. Pour ne pas vivre sa spiritualité comme une fuite, il est nécessaire d’incarner ses valeurs, sa foi, ou son cœur dans son métier, ses relations amoureuses, sociales, ou familiales.
Alors, il existe un équilibre entre méditation et action, solitude et compagnie, éternité et quotidien.
Je vous partage un article de « L’Escale Essentielle » sur l’ho’oponopono.
C’est une pratique ancestrale hawaïenne qui permet de mieux comprendre ce qui se passe dans notre vie. A l’origine, il s’agit d’un rituel de pardon et de réconciliation. Dans le sens du pardon, Ho’oponopono signifie « remettre en ordre, harmoniser, nettoyer et agir en accord ».
Les origines de la pratique Ho’oponopono
Le Ho’oponopono dans la tradition Hawaïenne vient d’une tradition très ancienne qui s’est transmise oralement de génération en génération. Cette philosophie se pratiquait pour aider une personne à retrouver la quiétude et la paix intérieure, mais également faire renaître la paix au sein d’une communauté ou d’une famille dans le cas de problèmes relationnels ou d’enjeux forts.
L’idée centrale est donc d’amener la paix et de renouer les liens en utilisant la médiation et le pardon mutuel.
Ho’oponopono est en fait composé de deux mots. « Ho’o » signifie commencer une action ou ce qui est la cause. « Pono » veut dire : bonté, droiture, honnêteté, intégrité, pureté, moralité, bienveillance, mais aussi correct, perfection.
La notion de Pono correspond d’ailleurs à l’une des bases de la culture hawaïenne : en effet « vivre Pono » représente le fait de vivre en alignement, dans l’équilibre, dans le pardon et donc dans un état de pureté de cœur le plus proche possible de la perfection. La pratique d’Ho’oponopono vise à ce que chacun puisse devenir « Pono ».
A tout moment, en fonction de nos paroles ou de nos actions, nous pouvons nous demander : « Suis-je Pono quand je dis ceci ou quand je fais cela ? »
La pratique ancestrale du Ho’oponopono
Traditionnellement, Ho’oponopono se pratiquait en réunissant les adeptes autour d’un guide, d’un prêtre ou d’une personne mandatée par le groupe et le problème était alors exposé. Durant cette réunion, les échanges étaient marqués par des moments de silence et de recueillement. Après plusieurs heures ou plusieurs jours, quand chacun avait reconnu sa responsabilité dans la situation, venait alors le temps du pardon et du repentir et c’est de cette manière que chacun se libérait et retrouvait la paix.
Ho’oponopono est si important dans la culture Hawaïenne qu’il a été désigné trésor vivant dans la constitution d’Hawaï en 1993.
Ho’oponono, les 7 grands principes
Voici les principes de base du Ho’oponopono, tels que nous pouvons les appliquer concrètement au quotidien :
-La réalité physique est une création de nos pensées.
-Une pensée de ressentiment et de colère va créer une réalité de ressentiment et de colère.
-Si nos pensées sont parfaites, elles créent une réalité juste et bienveillante.
-Nous sommes responsables à 100% de notre réalité.
-Tout est à l’intérieur. Tout existe en pensée dans notre esprit.
-Nous sommes le créateur de notre univers physique tel qu’il est et nous pouvons donc influer dessus en changeant nos pensées.
-La paix commence à l’intérieur de soi.
Toutes les mémoires au centre du Ho’oponopono
Toute personne dispose de nombreuses mémoires, stockées depuis longtemps dans son subconscient. Ces mémoires viennent de notre expérience de vie, de notre vie intra-utérine, mais aussi de nos ancêtres ou d’autres incarnations, et cela, depuis le début de la création.
Selon le Ho’oponopono, nous sommes donc créateurs de toutes les mémoires qui s’expriment dans notre vie et qui se manifestent en tant que problèmes, difficultés, maladies, rencontres, mais aussi sous forme d’événements heureux. De manière inconsciente nous attirons tout ce qui se produit.
Mémoires et leçons de vie
Notre vie nous permet donc d’expérimenter différents événements, différentes émotions, guidées par nos mémoires. Ce sont des opportunités de nous rappeler que nous avez encore et toujours des mémoires à nettoyer : les mémoires ne sont en effet pas parfaites, elles sont soit connotées “positives“, soit “négatives“. Et donc, pour vivre sereinement, nous avons à nous libérer de toute mémoire :
Sans croyances limitantes
Sans jugements
Sans critiques
D’où ce nettoyage permanent des mémoires que le Ho’oponopono nous invite à pratiquer.
La trinité du Ho’oponopono
La philosophie Ho’oponopono indique que nous sommes composées de plusieurs individus : la mère (le moi conscient), l’enfant intérieur (le subconscient) et le père (le superconscient). Ces trois personnages se doivent de vivre en bonne intelligence pour que notre vie soit agréable.
Sachez que le contact avec l’enfant intérieur (Unihipili) est crucial et doit s’effectuer de manière permanente : c’est ce qui nous permet de libérer et de retrouver notre créativité, notre joie mais aussi notre envie d’avancer et notre énergie au sens large. C’est pour cela, qu’il est important de nettoyer notre mémoire instant après instant, pour élever notre niveau de conscience et découvrir l’être véritable que nous sommes (Unihipili).
De cette manière, notre enfant intérieur saura qu’à chaque fois qu’un problème apparaît, nous sommes prêts à prendre l’entière responsabilité de ce qui nous arrive et que nous voulons nettoyer les mémoires qui en sont la cause. Ce qui est important c’est qu’en parlant à notre enfant intérieur, il fera ce travail de nettoyage lui-même.
Prendre la responsabilité de notre vie, c’est donc récupérer notre propre pouvoir sur nous-même en nous permettant de ne plus subir et d’abandonner le rôle de victime auquel on est bien souvent attaché.
Le nettoyage des mémoires dans la pratique du Ho’oponopono
Comment se fait ce travail de nettoyage des mémoires ?
Pour cela nous pouvons utiliser quatre phrases du mantra de purification :
« Désolé(e) » d’être le créateur de cet événement.
J’en demande « pardon ».
« Merci » à la vie de m’avoir montré cette mémoire erronée que j’avais en moi et dont je n’avais pas conscience.
« Je t’aime ». J’aime la vie, mais surtout j’envoie de l’amour à cette mémoire erronée et je demande qu’elle soit effacée… Cela revient à s’aimer soi-même, car Ho’oponopono utilise l’énergie de l’amour pour obtenir la guérison.
Désolé(e). Pardon. Merci. Je t’aime » sont des mots à répéter en toute circonstance.
Comment mettre en œuvre Ho’opononopo dans notre vie de tous les jours ?
1-Sous notre douche, dans les transports ou avant de partir en voyage, nettoyons ! A chaque pensée qui nous vient, qu’il s’agisse du travail, de la famille … répétons ce mantra de purification.
Quand une situation délicate qui provoque de l’émotion se produit, par exemple un échange un peu vif avec quelqu’un, plutôt que de tomber dans le jugement et la critique, nettoyons !
Sachez qu’il est important de nettoyer à chaque instant sans attendre un résultat immédiat. Ainsi, le fait de dire « désolée, pardon, merci, je t’aime » de manière constante va petit à petit devenir un réflexe de chaque instant.
Remarque : à mon sens, il est bon ici de poser une intention particulière à travers les mots… une simple répétition non accompagnée d’intention, ne possède pas le même pouvoir créateur que celle qui est chargée de cette énergie
Astuce : Juste avant de nous endormir, nous pouvons nettoyer notre mémoire en répétant “merci, je t’aime, merci, je t’aime, merci, je t’aime »…
Cela permettrait de nettoyer automatiquement notre intérieur, même en dormant.
2- Ho’oponopono : nettoyer toutes les mémoires
Attention nuance Il ne s’agit pas uniquement de pratiquer Ho’oponopono quand un problème survient. La pratique d’Ho’oponopono doit se faire de manière constante.
C’est-à-dire qu’il est recommandé de « nettoyer » ses mémoires à chaque instant et pour tout ce qui vient de se produire et qui est en train de se passer. Toute situation du passé, du présent et à venir.
Il est donc nécessaire de le faire pour toute idée, toute pensée, tout projet qui nous vient, pour toute question qui nous est posée, car c’est tout cela qui contribue à nos mémoires.
3-Parler à son enfant intérieur
Le Ho’oponopono nous encourage à dialoguer avec notre enfant intérieur.
Idée : mettez-vous en condition avec une musique de relaxation, par exemple, puis imaginez que devant vous se trouve une version de vous enfant. Laissez doucement venir l’image qui peut être aussi une sensation (son, odeur, goût…) . Cela vous permet de revenir à une époque de votre enfance qui a le plus besoin d’être recontactée.
Présentez-vous à cet enfant et excusez-vous de ne pas vous être mieux occupé de lui jusque-là. Demandez-lui s’il accepte de parler avec vous. Une fois que vous avez son accord, demandez-lui s’il y a maintenant quelque chose dont il a envie.
Si cela vous semble farfelu, proposez-lui de le faire à un moment précis. Et quand vous le faites, vivez-le pleinement. S’il s’agit de manger une barbe à papa, de regarder un dessin animé ou de faire de la balançoire, faîtes-le comme quand vous aviez l’âge de votre enfant intérieur
4- Ho’oponopono : méditer et prendre la responsabilité de tout
Comme vous l’avez compris, il est important d’utiliser les mots mantra, même s’il n’y a pas de problème particulier. La répétition de ces quatre mots va ainsi rendre le nettoyage de plus en plus facile.
Il est essentiel également de prendre à 100% la responsabilité de la situation, des événements, et cela, quoiqu’il arrive.
Être dans cette conscience n’est pas si facile : faire preuve de patience et pratiquer Ho’oponopono au quotidien reste la clé (comme toute démarche spirituelle et intérieure).
Être responsable à 100% implique l’acceptation, le non-jugement et le lâcher prise et c’est en étant à ce niveau de pleine conscience, quoiqu’il arrive, que vont pouvoir s’établir les connexions avec notre enfant intérieur (Unihipili) et notre moi supérieur (Aumakua). A ce moment-là, le nettoyage va se faire plus facilement et de plus en plus automatiquement.
5- Pratiquer seul pour trouver l’inspiration
Il faut savoir que ce qui s’efface en nous, s’efface aussi chez les autres. Il ne faut pas oublier que les gens autour de nous, notamment nos proches ou les personnes que nous rencontrons, sont des opportunités. Le but de leur présence est de nous enseigner, de nous montrer ce qui, en nous, ne va pas et a besoin d’être corrigé.
Toutefois, c’est en nous retrouvant seul(e), en restant silencieux(se) le plus possible et en nettoyant, que nous avons le plus de chance d’accueillir l’inspiration.
N’oublions pas que lorsque nous procédons à ce nettoyage, ce qui s’efface en nous s’efface aussi chez les autres dans notre entourage.
Nous sommes alors plus unis, connectés. C’est un des cadeaux du Ho’oponopono !
Prenez soin de vous, de votre enfant intérieur. Mabelle
Je vous partage deux vidéos de Luc Bodin sur les parasitages dont nous sommes tous victimes sans même le savoir. Pour la plupart, ils ont été réalisés à notre insu pour limiter nos capacités et nous contrôler.
Après avoir intégré les nuisances dont nous sommes victimes, et compris les principes de déprogrammation, pour retrouver notre liberté de penser et d’agir, la seconde vidéo explique comment procéder pour nous déprogrammer.
« Les chakras se différencient les uns des autres par leur couleur, leur nombre de pétales, c’est à dire le nombre et l’intensité de leurs vibrations, les divinités dont ils sont l’habitacle et surtout les vertus et les pouvoirs que leur éveil donne à l’homme : Muladhara donne l’énergie vitale ; Svadhisthana la force créatrice ; Manipura la conscience collective ; Anahata l’amour universel ; Vishuddha la sagesse ; Ajna la clairvoyance ; Sahasrara la toute-puissance et la liberté.
Il est dit qu’une divinité ou Shakti habite dans chaque chakra. Leurs noms, en commençant par le bas, sont : Dakini shakti, Rakini Shakti, Lakini Shakti, Kakini Shakti, Shakini Shakti et Hakini Shakti. »
Ayant toujours été la cible des moustiques, je déteste ces petites bêtes qui me dévorent chaque été et auxquelles je fais à tous les coups des réactions allergiques aux piqûres. Aussi j’ai essayé des tas de choses dans l’espoir de les éloigner, sans le moindre succès.
Je vous partage tout de même les plantes réputées être efficaces, et qui le semblent en effet pour certains.
La citronnelle
La citronnelle est réputée pour éloigner les moustiques. L’un de ses composés organiques, le citronnelol, à la forte odeur citronnée, est d’ailleurs très souvent utilisé pour fabriquer des produits anti-moustiques. Très pratique, la citronnelle peut se cultiver en pot ou en pleine terre, à l’ombre comme au soleil et dans n’importe quelle terre. Elle pousse facilement, ses touffes peuvent monter jusqu’à 2 mètres ! En plus de faire fuir les moustiques, cette plante est pérenne, vous pouvez alors profiter de ses bienfaits toute l’année. La meilleure façon de dire adieu aux moustiques, et aux produits chimiques !
La menthe
Si nous adorons l’odeur de la menthe, les moustiques, eux, la détestent. Ce qui fait de cette plante un répulsif à moustiques naturel très efficace. Verte, poivrée, pouliot… toutes les menthes fonctionnent. Elles se cultivent dans tous sols et si possible à mi-ombre. Attention toutefois, il convient de prévoir suffisamment de place, car c’est une plante qui a tendance à s’étaler par ses racines traçantes. Aucune importance évidemment si vous souhaitez la cultiver en pot près d’une fenêtre, dans la cuisine. À noter que l’odeur de la menthe éloigne aussi les pucerons et les fourmis. En prime, la menthe peut aussi vous aider si vous vous faites piquer. Il suffit de frotter ses feuilles sur la piqûre pour vous soulager instantanément.
La lavande
Bien que très agréable pour nous, le parfum de la lavande repousse les moustiques. Et c’est tant mieux ! Vous pouvez très facilement faire pousser de la lavande dans des pots, sur les rebords de vos fenêtres ou sur votre balcon. Pour protéger le jardin des moustiques, plantez-en dans votre jardin ou votre plate-bande. Les lavandes se cultivent dans un sol pauvre, caillouteux mais très drainé et en plein soleil.
La mélisse officinale
La mélisse officinale est extrêmement efficace pour éloigner les moustiques. Ses feuilles exhalent un parfum doux et citronné. Inutile d’avoir la main verte pour profiter de la mélisse, c’est en effet une plante résistante, même en pleine sécheresse ou à l’ombre. Elle se répand rapidement, voilà pourquoi il est conseillé de la cultiver dans des pots de fleurs.
Le basilic
Comme la menthe, la lavande et la mélisse, le basilic fait partie de la famille des lamiacées. Et lui aussi repousse les moustiques ! Rien d’étonnant à cela, toutes les plantes de cette famille sont gorgées d’huiles essentielles (sauge, romarin, thym, …). Il existe plusieurs variétés de basilic, et toutes sont efficaces face aux moustiques. Cependant, le basilic citronné et le basilic cannelle sont encore plus fort. Le basilic aime les terres riches et fraîches et la mi-ombre. Mais vous pouvez alors le cultiver très facilement en pot dans une véranda ou directement derrière une fenêtre dans la cuisine.
L’herbe à chat
Il existe plusieurs herbes à chat. Parmi elles, deux éloignent efficacement les moustiques : la cataire et le népéta.
• La cataire est une plante aromatique qui contient une huile répulsive pour les moustiques, dix fois plus efficace que les produits industriels. Elle pousse facilement dans les jardins ou en pots.
• Le népéta est encore une plante de la famille des lamiacées. Il peut pousser dans presque tous les sols s’ils sont suffisamment drainés. Il apprécie le plein soleil ou la mi-ombre. Le népéta est idéal en compagnie des roses au jardin, mais peut aussi se cultiver en jardinière ou en pot.
Certaines personnes m’avaient aussi conseillé les plantes suivantes :
• Le souci • Le romarin • Le géranium • L’ail
J’ai essayé d’autres choses telles que les traditionnels moustiquaires à toutes les fenêtres mais j’ai l’impression que les moustiques m’attendent tranquillement sur le chambranle de porte et rentrent à toute vitesse dès que j’ouvre la porte d’entrée
Je me suis badigeonnée d’huile de coco et j’ai ensuite pu utiliser mes draps de lit pour faire les poussières car les taches ne sont jamais parties.
J’ai tenté différentes huiles essentielles, au point d’en avoir la nausée tant cela parfumait la chambre sans le moins du monde rebuter les moustiques affamés.
J’ai dormi avec la porte de la chambre ouverte et une lampe allumée ailleurs pour que la lumière les attire loin de moi, …
De plus, les moustiques s’en prenaient à moi également dans le jardin et c’était pénible de rentrer avec une dizaine de piqûres à chaque fois que je mettais le nez dehors.
Plus jeune ma grand-mère sachant à quel point ces piqûres et leurs réactions allergiques étaient dérangeantes pour moi achetait tout ce qu’elle trouvait sur le marché, même des trucs bien toxiques avec lesquels j’ai d’ailleurs été malade (un diffuseur à brancher sur une prise électrique m’a valu des vomissements durant 24 heures. Dans le doute sur le pourquoi de ces soucis, j’ai retenté deux semaines plus tard, et même problème. C’était bien le diffuseur qui me rendait malade). A partir de là je n’ai plus jamais voulu essayer que des produits naturels.
Mais, quoi que je fasse, jamais rien n’a empêché que je sois piquée. J’en ai d’ailleurs conservé de nombreuses cicatrices un peu partout.
Puis … miracle : l’an dernier en fouillant une fois de plus sur internet à la recherche d’une éventuelle solution que je n’aurais pas encore essayé, je suis tombée sur un article parlant de thiamine. Il semblerait que la vitamine B1 modifie l’odeur corporelle (non perceptible par l’humain) et que les moustiques détestent cela.
Vu qu’il n’est pas possible de faire une survitaminose de B1, je me suis directement rendue en pharmacie et, à partir du 3ème jour, plus la moindre piqûre de l’été.
Cette année, je me suis levée un matin avec 4 piqûres, directement j’ai pris la thiamine, cela fait maintenant trois semaines, et je n’ai plus été piquée une seule fois. Quel plaisir
Si vous êtes, vous aussi, le repas préféré de ces insectes, j’espère que cet article pourra vous être utile.
Mabelle
Etre acteur de sa vie, être soi en pleine conscience