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Conversation avec votre corps 4

Traduction la page du site emofree.com de Gary Craig
**http://www.emofree.com/Articles2/body-conversation.htm**

L’intégralité de la série se présente de la sorte :
Partie 1: Introduction
Partie 2 : Le Passé – Accrochage à des événements traumatiques
Partie 3 : Le Passé – Mauvaises nouvelles en stock
Partie 4 : Le Présent – Qu’est-ce que vous avez « dans la peau » ?
Partie 5 : Le Présent – Ce n’est pas une question de microbes
Partie 6 : Le Futur – Angoisse au sujet de ma vie
Partie 7 : Le Futur – Peur de leurs réactions

Votre corps vous parle avec ses « maux » à lui

Dans cette série en 7 parties, la psychothérapeute Carol Look nous propose d’avoir une « conversation avec notre corps » pour prendre conscience de tout ce que nous stockons dans notre système immunitaire et dans certaines parties du corps afin de nous « protéger ». – Par Carol Look, EFT Master

Carol Look écrit :

Dans la partie 4 de cette série, je tiens à aborder les problèmes qui se manifestent à travers la peau, le plus vaste organe de notre corps. Aux fins de cette illustration, je vais présumer que les irritations résultent du stress de la vie courante – et non pas de traumatismes du passé comme ce que j’ai illustré dans les parties 2 et 3.

Les gens, les lieux et les situations entrent sous notre peau, et quand nous nous sentons irrités, cela paraît sur notre visage ou sur notre corps. Notre peau est en contact à la fois avec notre monde intérieur et avec notre monde extérieur, car elle absorbe toutes les informations de notre environnement. Je crois que nous nous rendrions un grand service à nous-mêmes si nous prêtions attention à ce que notre peau est en train de nous dire par des éruptions, irritations cutanées, maladies de peau, etc. Quand nous nous sentons débordés et que nos sentiments ne sont pas exprimés ni entendus, ils ont tendance à se répandre dans notre corps… et notre peau est un endroit parfait pour exprimer nos conflits, notre stress et notre impression de ne plus en pouvoir. Il n’est pas surprenant d’entendre quelqu’un dire: « Ma peau réagit depuis ce changement d’emploi… » ou « ce type me donne des boutons… » ou encore : « ça me démange de lui en flanquer une… », et « je ne peux pas le supporter, c’est épidermique »… Sans oublier la traditionnelle « Je l’ai tellement dans la peau… »
Supposez que vous ayez reçu une sorte de diagnostic concernant cette inflammation de la peau, et que les médecins aient fait tout ce qu’ils pouvaient faire pour proposer des solutions médicales.

L’étape suivante consiste à explorer ce qui pourrait être à l’origine de votre situation actuelle :
– Si votre peau enflammée vous rappelait quelqu’un, ce serait qui ?
– Si l’inflammation avait un nom, quel serait-il ? 
– Qui ou quoi pourrait être la cause des démangeaisons que vous ressentez ? 
– Si ces zones sèches qui grattent avaient un message pour vous, quel serait-il ? 
– Si vos éruptions cutanées essayaient d’attirer votre attention, sur quoi devriez-vous vous concentrer ? 
– Si à partir de ces éruptions vous pouviez remonter à un facteur de stress dans votre vie actuelle, où pourriez-vous atterrir en finale ? 
– Si votre peau représentait ce que vous êtes et ce dont vous avez besoin, alors de quoi avez-vous besoin en ce moment ? 
Si notre peau illustre nos conflits, nous devons savoir pourquoi, où c’est situé, et qui s’exprime par ces irritations, rougeurs et démangeaisons !

Point Karate :
– « Même s’il m’a vraiment rendu allergique cette fois-ci, j’accepte ce que je suis et j’apprécie mes sentiments… » 
– « Même si j’ai peur d’admettre jusqu’à quel point je suis irrité par ce problème, je m’accepte moi-même et j’accepte mes sentiments et mes émotions au sujet de ce qui s’est passé… » 
– « Même si je garde ce problème sous ma peau, je choisis de me libérer de cette irritation. » 

Sourcils : « Je me sens tellement irrité par cette situation. » 
Coin de l’oeil : « Je suis obligé de le supporter et ensuite j’ai des boutons qui sortent. » 
Sous l’oeil : « J’ai de nombreux problèmes accumulés sous la surface. » 
Sous le nez : « J’ai peur de creuser pour voir ce qu’il y a sous la surface. » 
Menton : « Je ne veux pas regarder sous la surface ce qui pourrait causer ces éruptions. » 
Clavicule : « Je l’ai tellement dans la peau (que j’en suis marteau, dingue, cinglé) ! 
Sous le bras : « Je m’accroche à cette irritation de ma peau. » 
Sommet de la tête : « Je ne veux pas la laisser partir pour le moment. » 

Sourcil : « Je vais envisager de débloquer ce conflit qui se manifeste dans ma peau. » 
Coin de l’oeil : « Je suis presque prêt à le laisser partir. » 
Sous l’œil : « Une partie de moi veut vraiment laisser partir ce conflit. » 
Sous le nez : « L’autre partie de moi veut s’y accrocher. » 
Menton : « Il ou elle a vraiment réussi à me donner des boutons. » 
Clavicule : « Je suis tellement irrité par ce qui s’est passé. » 
Sous le bras : « Je n’ai plus besoin de retenir cela dans ma peau maintenant. » 
Sommet de la tête : « Je me sens prêt à libérer une partie de ce conflit et à calmer l’irritation de ma peau. » 

J’ai trouvé extrêmement productif le fait d’utiliser quelques séquences d’EFT pour exprimer sa gratitude à son corps. Cela nous rappelle combien nous sommes vraiment forts et nous permet de nous focalliser temporairement sur quelque chose de positif, en dépit du problème.

Sourcil : « Je suis plein de gratitude envers ma peau. » 
Coin de l’oeil : « J’apprécie ma peau. » 
Sous l’œil : « J’aime la façon dont ma peau a toujours été si souple. » 
Sous le nez : « J’apprécie la totalité de ma peau. » 
Menton : « Je suis reconnaissant pour ce que ma peau fait pour moi. » 
Clavicule : « Je remercie ma peau. » 
Sous le bras : « Je suis plein de gratitude pour la totalité de moi-même. » 
Sommet de la tête : « Je suis si reconnaissant envers ma peau et mon corps. » 

Et si les problèmes de peau semblent être causés par l’impression d’être débordé et dépassé par les événements, et par le stress en général, je propose d’essayer quelque chose dans le sens des « phrases de départs » suivantes avec leurs « rappels » :

Point Karaté :
– « Même si le stress de mon travail ressort par ma peau, je choisis d’exprimer mes sentiments et de prendre soin de moi-même… » 
– « Même si le stress de mon travail et de la famille déborde sur ma peau, j’accepte ce que je suis et comment je me sens… » 
– « Même si je ne peux pas supporter ce stress alors il m’enflamme la peau, j’accepte ce que je suis et comment je me sens en ce qui concerne ma vie. » 
Sourcils : « Je me sens tellement stressé. » 

Coin de l’oeil : « Je sais que le stress me sort par la peau. » 
Sous l’oeil : « Je me sens tellement épuisé et stressé par la vie que je mène. » 
Sous le nez : « J’ai tellement de sentiments et d’émotions qui ont besoin de sortir. » 
Menton : « J’ai tellement de stress dans mon environnement actuel. » 
Clavicule : « Je veux me détendre et apaiser ma peau. » 
Sous le bras : « Ma pauvre peau ne peut pas soutenir plus de stress. » 
Sommet de la tête : « Je veux juste me sentir calme et apaisé. » 

Sourcil : « Je sais que j’exprime mes sentiments à travers ma peau. » 
Coin de l’oeil : « Toute ma famille exprime ses sentiments par la peau. » 
Sous l’oeil : « Je ne veux pas exprimer ces sentiments qui m’effraient. » 
Sous le nez : « J’ai peur d’exprimer ces sentiments violents à qui que ce soit. » 
Menton : « Je suis tellement épidermique sur ces sujets. » 
Clavicule : « Je me sens tellement irrité. » 
Sous le bras : « Il n’y a pas d’autre endroit pour exprimer ce problème. » 
Sommet de la tête : « Quand je pense à ce problème ça me gratte de partout. » 

Je termine toujours par une séquence sur l’aspect positif afin de donner à la personne des options possibles pour apaiser sa peau.

Sourcil : « Je sais que j’ai d’autres moyens de m’exprimer en plus de ma peau. » 
Coin de l’oeil : « Je choisis de m’exprimer clairement maintenant. » 
Sous l’œil : « Je comprends mes sentiments et je vais leur permettre de sortir au grand jour. » 
Sous le nez : « Je commence à accepter ce que je suis et ce que je ressens. » 
Menton : « Je comprends pourquoi ma peau est pleine de conflits. » 
Clavicule : « Je me sens déjà moins irrité. » 
Sous le bras : « Je peux enfin relâcher une partie de cette inflammation. » 
Sommet de la tête : « Je n’ai plus de démangeaisons concernant ces problèmes. » 

Les exemples ci-dessus sont un bon début. Faites votre travail sur vous-même pour découvrir les lieux de votre corps où vous stockez vos conflits et continuez le tapotage régulier.
Restez en ligne pour la partie 5 de cette série : « Le Présent – Ce n’est pas une question de microbes. »

Dr Carol Look, EFT Master (USA)

Conversation avec votre corps 3

Traduction la page du site emofree.com de Gary Craig
**http://www.emofree.com/Articles2/body-conversation.htm**

L’intégralité de la série se présente de la sorte :
Partie 1: Introduction
Partie 2 : Le Passé – Accrochage à des événements traumatiques
Partie 3 : Le Passé – Mauvaises nouvelles en stock
Partie 4 : Le Présent – Qu’est-ce que vous avez « dans la peau » ?
Partie 5 : Le Présent – Ce n’est pas une question de microbes
Partie 6 : Le Futur – Angoisse au sujet de ma vie
Partie 7 : Le Futur – Peur de leurs réactions

Votre corps vous parle avec ses « maux » à lui

Dans cette série en 7 parties, la psychothérapeute Carol Look nous propose d’avoir une « conversation avec notre corps » pour prendre conscience de tout ce que nous stockons dans notre système immunitaire et dans certaines parties du corps afin de nous « protéger ». – Par Carol Look, EFT Master

Carol Look écrit :
Dans la partie 3 de cette série, je vais aborder de nombreux exemples montrant comment, dans le passé, un conflit émotionnel et ses « mauvaises nouvelles » associées peuvent être stockés dans le corps, les maladies, les douleurs et les courbatures.

Commençons par les traumatismes émotionnels qui n’impliquent pas de coupure, d’égratignure, d’ecchymose ni aucun autre signe physique évident.

Supposons que vous vous êtes senti abandonné par vos parents quand ils ont divorcé. Ils étaient si impliqués dans leur combat qu’ils ont laissé les enfants seuls et sans ressources pour parler de leur peur et de leur tristesse. Peut-être étiez-vous pré-adolescent, pas tout à fait en colère encore, et le choc de la nouvelle du divorce de vos parents n’a jamais été discuté avec eux, ni avec un conseiller familial, ni même avec un de vos pairs. (Ceci est très commun.)
– Vous souvenez-vous de l’endroit où vous étiez quand vous avez reçu cette nouvelle ?
– Vous rappelez-vous ce que vous portiez, de la température ce jour-là ? Etiez-vous assis ou debout ? 
– Où est-ce que cette nouvelle s’est stockée dans votre corps? (Sans une réponse claire, il suffit de deviner…) 
– Quelles conclusions sur vous-même et sur la vie avez-vous fait à la suite de cette mauvaise nouvelle ? (du genre « on n’est pas en sécurité quand on aime… ») 

Les clients utilisent souvent des phrases telles que:
– « Je me suis senti comme si j’avais reçu un coup de poing dans l’estomac quand j’ai entendu cela. » 
– « Cela m’a frappé comme si j’avais pris une tonne de briques sur la tête. » 
– « Cela m’a fait sauter en l’air. » 

On peut demander :
– Comment se porte votre estomac maintenant ? 
– Où est passée la tonne de briques ? 
– Quel effet cela fait de sauter en l’air et de retomber ? 

Nos corps sont des lieux de stockage de toutes les trahisons verbales, émotionnelles et mentales.
C’est pourquoi nous devons dégager notre système énergétique des conflits qui y restent stockés. Il est plus que probable que beaucoup de gens ne sont même pas conscients de la façon dont certains chocs précis ont été stockés, comment les mauvaises nouvelles y ont été maintenues, ou comment de vieilles blessures ont été camouflées au lieu d’être guéries.
Comme je l’ai mentionné plus tôt, il n’est pas surprenant que les malaises et les plaintes des adultes puissent être symboliquement attribuées à des douleurs émotionnelles ou à des conflits survenus à un très jeune âge. Supposons que vous soyez stupéfait d’apprendre que vous avez été trahi et que vous avez perdu le soutien d’un ami de confiance, d’un mentor ou d’un patron. Il y a des endroits pratiques pour stocker ces informations et ce traumatisme : ce sont vos genoux et vos jambes… représentant symboliquement l’impression d’être « soutenu », etc (Si l’exemple qui suit ne résonne pas pour vous, choisissez-en un autre vous-même et mettez vos propres mots à la place.)

Point Karate :
– « Même si les mauvaises nouvelles apparemment ont été stockées dans mes genoux, je choisis de les en faire sortir maintenant… » 
– « Même si je ne savais pas où stocker les mauvaises nouvelles ailleurs que là, j’accepte qui je suis et comment je me sens à ce sujet… » 
– « Même si j’ai maintenu ces mauvaises nouvelles dans mon corps, je choisis de les en faire sortir maintenant. » 

Début du sourcil : « Je ne veux pas me souvenir de ces mauvaises nouvelles. » 
Coin externe de l’oeil : « Je sais que j’ai stocké les mauvaises nouvelles dans mes jambes. » 
Sous l’oeil : « Je sens que je dois protéger ces mauvaises nouvelles. » 
Sous le nez : « Je ne me sentais pas soutenu. » 
Centre du menton : « Je ne veux pas rouvrir ces vieilles blessures. » 
Clavicule : « Je me sens blessé par ces mauvaises nouvelles. »
Sous le bras : « Je me sens encore sous le choc et paralysé sur place. » 
Sommet de la tête : « Cela fait des années que je conserve ces mauvaises nouvelles en stock dans mes jambes. » 

Début du sourcil : « Je ne suis pas prêt à les laisser partir. »
Coin externe de l’oeil : « Ou peut-être que je suis prêt… » 
Sous l’oeil : « Je ne veux pas me souvenir des mauvaises nouvelles. » 
Sous le nez : « Je pourrais être en mesure de laisser sortir ces mauvaises nouvelles de mes jambes. » 
Menton : « C’était il y a longtemps. » 
Clavicule : « Il est grand temps de me libérer de ce fardeau. 
Sous le bras : « Je suis prêt à laisser certaines d’entre elles quitter mes jambes. » 
Sommet de la tête : « Je n’ai plus besoin de les retenir plus longtemps dans mon corps. » 

Les « mauvaises nouvelles » représentent souvent un choc pour nous et, bien sûr, c’est aussi un choc pour chacune des cellules de notre corps. Les appels téléphoniques souvent véhiculent des mauvaises nouvelles : un accident, un décès, les mauvais résultats d’un test médical, ou bien un changement dans la vie de la personne. Pensez à un appel téléphonique que vous avez reçu qui a été un choc pour vous (ou pour un de vos clients) :
– Où est-ce que le choc de cette mauvaise nouvelle s’est stocké pour vous ? 
– Est-ce que le temps s’est arrêté pour vous à ce moment-là ? 
– Quels problèmes physiques avez-vous rencontrés depuis ce moment ? 
– Avez-vous déjà réussi à vous en libérer ? 

Point Karaté :
– « Même si cette information a été un gros choc pour moi, et que je l’ai stockée dans mon cou, j’accepte ce que je suis et ce que j’ai fait de cette information… » 
– « Même si je n’ai pas vu venir le coup, je l’accepte ainsi que l’endroit où j’ai choisi d’enterrer cette information… 
– « Même si je n’étais pas prête à entendre cette mauvaise nouvelle, et qu’elle s’est logée dans mon cou, j’accepte ce que je suis, l’endroit où j’ai mis cette information, et ce que je ressens maintenant. » 

Sourcil : « Je me souviens encore de ce que j’ai ressenti quand j’ai entendu la nouvelle. » 
Coin de l’oeil : « Je me suis gelé intérieurement en l’entendant. » 
Sous l’oeil : « Je me sens si triste quand je repense à cet appel téléphonique. » 
Sous le nez : « Je me souviens d’avoir été tellement choqué, et du fait qu’une partie de moi se sent encore sous le choc. » 
Menton : « Pas étonnant que j’aie une raideur dans la nuque. » 
Clavicule : « J’ai été pris au dépourvu, je ne savais pas quoi faire. » 
Sous le bras : « Je me suis accroché à ce choc et à la peur dans mon cou. » 
Sommet de la tête : « Je ne savais pas quoi faire avec cette information. » 

Sourcil : « Je considère la possibilité de laisser partir ce choc de mon cou. » 
Coin de l’oeil : « Je suis prêt à relâcher une partie du traumatisme émotionnel. » 
Sous l’oeil : « J’ai été pris au dépourvu, et c’est OK. » 
Sous le nez : « Je n’ai pas vu venir le coup, comment aurais-je pu? 
Menton : « Je peux envisager de baisser ma garde à nouveau. » 
Clavicule : « Je ne savais pas quoi faire, mais maintenant je ne peux laisser aller ce problème. » 
Sous le bras : « Je choisis de me libérer de ce choc et de le laisser partir de mon cou et de mon corps. » 
Sommet de la tête : « Je me sens déjà soulagé en laissant partir ces émotions de mon cou. » 

Supposons que vous ayez soudain été éjecté de votre emploi ou de votre mariage… et que vous n’aviez rien vu venir. Où avez-vous « casé » cette information (cette mauvaise nouvelle) tout en essayant de faire bonne figure ? Beaucoup de gens sont complètement pris au dépourvu lorsque leur conjoint ou partenaire annonce qu’il s’en va. Ils se réprimandent eux-même pour le fait de n’avoir pas su voir les signes avant-coureurs, et ils supposent que c’est parce qu’ils ne sont « pas assez bien. » Ces conclusions, ainsi que le choc de la « mauvaise nouvelle », se stockent dans le corps.

Point Karaté :
– « Même si ce fut une surprise totale, et que je ne l’oublierai jamais, j’accepte ce que je suis et ce que je ressens à ce sujet… » 
– « Même si je me reproche d’avoir été laissé pour compte, j’accepte ce que je suis et ce que j’ai fait de cette information… 
– « Même si c’est de ma faute et que je l’ai mérité, je suis encore sous le choc et je ne sais pas quoi faire à ce sujet. » 

Sourcil : « Je ressens encore ce choc dans mon dos. »
Coin de l’oeil : « Je sais que j’ai stocké ce choc dans mon dos. » 
Sous l’oeil : « Je me sens si mal au sujet de cette mauvaise nouvelle. » 
Sous le nez : « Mon dos n’a plus jamais été comme avant. » 
Menton : « Je peux sentir la douleur de l’abandon dans mon dos. » 
Clavicule : « J’ai stocké cette douleur dans mon dos. » 
Sous le bras : « Je ne veux pas la laisser partir. » 
Sommet de la tête : « Je suis encore tellement en colère. » 

Sourcil : « Je suis sous le choc, même après toutes ces années. » 
Coin de l’oeil : « Je ne pouvais pas contrôler ce qui se passait. » 
Sous l’oeil : « Je me sens tellement impuissant, même maintenant. » 
Sous le nez : « Pourquoi est-ce que je n’ai pas vu venir le coup ? » 
Menton : « Je suis en colère parce que cela m’a été annoncé de cette façon. » 
Clavicule : « J’aurais voulu qu’il/elle gère les choses différemment. » 
Sous le bras : « Je ne sais pas comment gérer les mauvaises nouvelles. » 
Sommet de la tête : « Je me suis accroché à ce choc pendant toutes ces années. » 

En cas de doute, on peut ajouter quelques séquences de phrases positives pour aider la personne à accepter ce qui s’est passé et à envisager de passer à autre chose.

Sourcil : « Je suis prêt à travailler pour sortir de ce conflit. » 
Coin de l’oeil : « Je suis disposé à considérer que ce n’était pas ma faute. » 
Sous l’œil : « Et si c’était pour le mieux de toute façon ? » 
Sous le nez : « Je ne suis pas prêt à lâcher prise. » 
Menton : « Je ressens encore la souffrance et l’abandon. » 
Clavicule : « Je ne sais pas comment me libérer de cette douleur dans mon dos. » 
Sous le bras : « Je suis décidé à me détendre et à m’accepter. » 
Sommet de la tête : « Je me sens presque prêt à accepter ce que je suis et comment je gérais les mauvaises nouvelles à l’époque. » 

Sourcil : « J’apprécie mon dos et ce que je suis. » 
Coin de l’oeil : « Je n’ai pas de problème avec la façon dont j’ai enregistré cette information dans mon dos. » 
Sous l’oeil : « J’ai fait du mieux que je pouvais à l’époque. » 
Sous le nez : « Je fais encore du mieux que je peux. » 
Menton : « J’apprécie mon corps. » 
Clavicule : « Je suis plein de reconnaissance envers mon corps pour la protection qu’il me donne. » 
Sous le bras : « J’apprécie mon corps. » 
Sommet de la tête : « Je me sens bien à l’idée de laisser partir certaines de ces douleurs. » 

Restez en ligne pour la quatrième partie de cette série : « Le Présent – Qu’est-ce que vous avez « dans la peau » ?

Dr Carol Look, EFT Master (USA)

Conversation avec votre corps 2

Traduction la page du site emofree.com de Gary Craig
**http://www.emofree.com/Articles2/body-conversation.htm**

L’intégralité de la série se présente de la sorte :
Partie 1: Introduction
Partie 2 : Le Passé – Accrochage à des événements traumatiques
Partie 3 : Le Passé – Mauvaises nouvelles en stock
Partie 4 : Le Présent – Qu’est-ce que vous avez « dans la peau » ?
Partie 5 : Le Présent – Ce n’est pas une question de microbes
Partie 6 : Le Futur – Angoisse au sujet de ma vie
Partie 7 : Le Futur – Peur de leurs réactions

Votre corps vous parle avec ses « maux » à lui

Dans cette série en 7 parties, la psychothérapeute Carol Look nous propose d’avoir une « conversation avec notre corps » pour prendre conscience de tout ce que nous stockons dans notre système immunitaire et dans certaines parties du corps afin de nous « protéger ». – Par Carol Look, EFT Master

Carole Look écrit :

Dans la deuxième partie de cette série, je vais traiter différentes façons d’aborder la maladie et la douleur stockées dans le corps à partir de traumatismes, du point de vue énergétique. Notez que je ne suis pas médecin et que je ne vous suggère en aucun cas de vous passer des soins médicaux appropriés aux problèmes physiologiques. Je vous propose un point de vue supplémentaire et un puissant moyen d’utiliser EFT en combinaison avec les options médicales.

Nous conservons la mémoire des événements passés dans notre corps autant que dans notre esprit et dans notre champs d’énergie. Les événements du passé ont une « vibration » spéciale. C’est pourquoi ils ont besoin d’être nettoyés à tous les niveaux et je n’ai pas encore trouvé une technique plus élégante et plus complète que l’EFT pour ce processus de dégagement.

Après avoir vu votre médecin et entendu le diagnostic, quel est le sens que vous en tirez ? Pouvez-vous le relier à des contributeurs émotionnels ? Qu’est-ce que votre corps essaie de dire ? Et surtout, êtes-vous prêt(e) à écouter ?
Nous avons tous eu des traumatismes du passé légers ou graves (des événements réels tels que des accidents de voiture, chutes, coups, agressions, etc) ou bien des conflits émotionnels encore non résolus (ils seront abordés dans les parties 4 et 5).

Choisissez une partie de votre corps qui pour vous a une certaine vulnérabilité au stress. Peut-être que votre ventre se manifeste en cas d’excès de travail dans votre emploi, peut-être que la région de vos reins vous gène lors d’un conflit conjugal, ou alors votre peau éclate quand un problème vous « pourrit la vie ». Supposons que votre corps ait créé des connexions pour vous. Je vous invite à réfléchir comme un détective pour découvrir ce que vous avez besoin de libérer de manière à ramener le confort physique dans votre vie. (Même le fait de se rappeler que vous aviez ce confort autrefois peut changer votre vibration dans la bonne direction.)
1. Quel est le « traumatisme » qui est logé dans cette partie du corps et pourquoi essaie-t-il d’attirer votre attention?
2. Avez-vous négligé quelque chose? 
3. Avez-vous ignoré le besoin de prendre un engagement ou une décision? 

Un client vient se plaindre (à vous) de maux de dos sévères. Il suppose que le problème a commencé après une blessure sportive, mais le médecin n’a trouvé aucun dommage structural concret après son traitement médical. Il n’y a plus d’autre traitement disponible en dehors du repos, des analgésiques, ou d’une intervention chirurgicale risquée qui a mauvaise réputation. Vous n’êtes pas médecin, alors vous n’êtes pas autorisé à traiter la maladie ou la blessure, mais vous pouvez commencer à poser des questions :
1. Aviez-vous déjà ce mal de dos avant la blessure sportive ?
2. Pourquoi pensez-vous que cette douleur continue après toutes ces années ? 
3. Qui ou quoi est représenté par cette douleur ? 
4. S’il n’y a pas de dégâts visibles sur les radiographies, quelle est cette « information » au sujet de la blessure ou de l’accident qui est toujours stockée dans votre dos ? 

La douleur était physique et affective, mais les blessures sont encore « actives », même si la blessure date de plusieurs années. Quel message peut bien être transmis par ce mal de dos? Qu’est-ce que la personne devrait « entendre » ? Essayez ces phrases de départ et ces rappels en les utilisant comme guide pour le tapotage :

Point Karaté :
– « Même si j’ai ignoré ce message de mon dos, je choisis d’y porter attention maintenant… 
– Même si j’ai peur d’écouter le message de mon dos, je suis ouvert(e) et disposé(e) à écouter maintenant… 
– Même si je sais qu’il ya quelque chose que j’ai besoin d’entendre à travers cette douleur, ce n’est pas seulement la blessure. Je reconnais que j’ai eu peur et je suis maintenant ouvert(e) à cette information. 

Sourcil : « J’ai peur d’écouter ce message. » 
Coin de l’oeil : « Je sais que mon dos a stocké le traumatisme depuis ____ (date). » 
Sous l’oeil : « Je me sens tellement inquiet à l’idée d’aborder ce sujet à nouveau. » 
Nez : « Je sais que mon dos tente d’attirer mon attention. » 
Menton : « Je ne veux pas « aller là ». » 
Clavicule : « Mais mon dos m’emmène là. » 
Sous le bras : « Je peux faire face à ce traumatisme à nouveau. » 
Sommet de la ête : « Je veux savoir pourquoi mon dos « parle » pour moi. » 

Sourcil : « Je suis ouvert à l’information qui est à cet endroit. » 
Coin de l’oeil : « Je suis prêt et disposé à écouter. » 
Sous l’oeil : « J’ai peur mais je sais que je peux gérer l’information. » 
Nez : « Je sais quelles émotions je stocke en moi, mais je voulais les ignorer. » 
Menton : « Pas étonnant que mon dos me fasse mal. » 
Clavicule : « Je suis prêt à exprimer et à libérer les traumatismes. » 
Sous le bras: « Je n’ai pas besoin de stocker plus de douleur. » 
Sommet de la tête : « Je suis libre d’y renoncer si c’est ce que je choisis. » 

Les allergies sévissent dans notre société. Quand le corps souffre d’une allergie, il estime qu’il existe un attaquant extérieur et il rassemble toutes ses forces (l’écoulement nasal, le larmoiement, etc) pour combattre l’agresseur. Supposons que vous regardiez votre vie pour voir si des « attaques » réelles ou supposées peuvent se manifester par des allergies. Bien que vous puissiez utiliser le fait que le taux de pollen dans l’air est élevé comme un moyen de légitimer vos allergies, je vous encourage à chercher des causes sous-jacentes et des conflits émotionnels. Est-ce que d’autres « attaques » vous viennent à l’esprit?

Point Karaté :
– « Même si je suis allergique à tellement de choses, je choisis d’accepter le fait que mon corps essaie de me protéger… » 
– « Même si les allergies me rappelent une attaque antérieure, celle que je voulais oublier, je choisis d’accepter cette réponse de mon corps… 
– « Même si je me souviens à quelles attaques mon corps est en train de répondre, j’accepte les allergies et j’accepte la réponse de mon corps. » 

Sourcil : « J’ai été attaqué il ya plusieurs années. » 
Coin de l’oeil : « Je retiens toujours cette peur dans mon corps et dans les allergies. »
Sous les yeux : « J’avais oublié cette attaque, mais mon corps se souvient. » 
Nez : « Je combats cette attaque par mes allergies. » 
Centre du menton : « Cela fait très longtemps et je suis prêt à ressentir la douleur maintenant. » 
Clavicule : « Je me souviens de l’attaque, comme si c’était hier. » 
Sous le bras : « J’ai eu si peur. » 
Tête : « Pas étonnant que mon système veuille me protéger. » 

Sourcil : « Je suis prêt à me libérer du besoin de protection. » 
Coin de l’oeil: « Je suis prêt à me protéger moi-même maintenant. » 
Sous les yeux: « Je suis plus en sécurité que je ne l’étais à l’époque. » 
Sous le nez : « Je choisis de me protéger d’une façon nouvelle. » 
Centre du menton : « Je comprends comment mon corps essayait de prendre soin de moi et je l’apprécie. » 
Clavicule : « Je suis prêt à laisser partir les allergies. » 
Sous le bras: « Je sais pourquoi j’avais besoin des allergies. » 
Tête : « Maintenant je n’en ai plus besoin. » 

Prenez un autre « événement » physique, comme un accident de voiture par exemple. Pourquoi la douleur est-elle toujours là, 20 ans après ? Quel que soit le diagnostic initial, pensez en termes énergétiques. Pourquoi voudriez-vous encore vous accrocher à cela ?
Il est très commun de s’accrocher à la douleur physique pour des raisons émotionnelles. Nous l’avons tous fait, mais il est possible de débrouiller cet amalgame et de passer à autre chose, grâce à l’EFT.
J’ai eu plusieurs clients qui ont été impliqués dans des accidents de voiture, puis qui ont eu peur de « laisser aller » ou d’oublier le traumatisme de l’accident. Ils croyaient que la douleur les aidait à rester vigilants sur la route car il leur rappelait ce qui pouvait arriver en cas de manque d’attention.

Point Karaté :
– « Même si je me suis accroché à la douleur de cet accident pendant trop longtemps et que j’ai peur d’y renoncer, je m’aime et je m’accepte profondément et complètement de toute façon… » 
– « Même si les médecins disent que j’aurai mal là jusqu’à la fin de ma vie, je suis disposé à considérer que je n’en ai pas besoin… » 
– « Même si je m’accroche à cette douleur physique pour des raisons émotionnelles, j’accepte qui je suis et ce que je ressens au sujet de ce qui s’est passé. » 

Sourcil : « J’ai peur de renoncer à la douleur, je ne veux pas qu’on oublie ce qui s’est passé. » 
Coin de l’oeil : « J’ai été traumatisé par l’accident. » 
Sous l’oeil : « J’ai besoin de m’en souvenir et de faire attention. » 
Nez : « L’accident a été si bouleversant. » 
Menton : « Je n’oublierai jamais cet accident, et mon corps n’oubliera pas non plus. » 
Clavicule : « Je ne veux pas laisser la douleur partir. » 
Sous le bras : « Elle m’accompagne depuis si longtemps. » 
Tête : « J’ai peur de laisser partir la douleur, même si c’est ce que je veux. » 

Sourcil: « Je pourrais être capable de laisser la douleur partir maintenant. » 
Coin de l’oeil : « Je suis à l’écoute de mon corps et je sais ce dont j’ai besoin. » 
Sous l’oeil : « Et si je pouvais me dégager d’une partie de cette douleur ? » 
Nez : « Je n’ai pas besoin de me souvenir de la douleur. » 
Menton : « Je suis disposé à travailler sur le traumatisme et sur la peur. » 
Clavicule : « Je sais que mon corps se sent mieux maintenant. » 
Sous le bras : « Je n’ai pas besoin de retenir la douleur plus longtemps. » 
Tête : « Je me sens prêt à laisser partir cette ancienne douleur de l’accident. » 

Dans la troisième partie de cette série, je vais aborder plusieurs exemples de traumatismes émotionnels du passé qui peuvent être stockés dans des parties du corps.

Restez en ligne,

Dr Carol Look, EFT Master (USA)

Le troisième Chakra

Le 3ème Chakra (Manipura, signifie « la cité des Joyaux »)

est situé juste sous le sternum, au point de rencontre des côtes, au niveau du plexus solaire, d’où son nom de Chakra Solaire.

Il est relié à l’estomac, au pancréas, au foie, à la vésicule biliaire, à la peau, aux yeux, au système nerveux

Il est associé à la couleur jaune or, et à l’élément Feu symbolisant la lumière, la chaleur, l’énergie et l’activité ainsi que la purification sur le plan spirituel.

chakra 3

Son rôle

-il régule tout le système digestif et le système thermique

-c’est par lui que nous assimilons l’énergie solaire qui nourrit notre corps physique. Il est le siège des énergies, dirige l’énergie vitale dans le corps vers les autres chakras.

-il est, en grande part, responsable de la qualité de nos relations aux autres. L’estime de soi, l’affirmation dans un groupe et l’ouverture aux autres en dépendent.

-il est aussi le centre des émotions, du stress, responsable de notre bonne humeur car notre état d’âme dépend en grande partie de la quantité de lumière qu’il laisse pénétrer en nous.

Un 3ème Chakra trop actif provoque

-un égo surdimensionné, donnant des personnes orgueilleuses, vaniteuses

-des tendances autoritaires envers soi et les autres

-une puissante volonté d’agir, suractivité de manière désordonnée, immodérée

-perfectionnisme

-la volonté de toujours avoir raison (même si cela n’est pas le cas), de tout dominer, tout contrôler

-une tendance à l’insatisfaction, l’irritabilité, voire agressivité, colère et haine

-un manque d’estime pour soi et les autres

-un manque d’intérêt et même de respect pour l’autre, de l’impolitesse et un manque de capacité d’écoute

-comme le 3ème Chakra concerne tout le système digestif, y sont liés vomissements, diarrhée, gastrite, pancréatite, cirrhose et autres troubles du foie et de la vésicule biliaire, troubles intestinaux, et aussi circulatoires

-les personnes sont obsédées par l’alimentation et les régimes

Un 3ème Chakra bloqué provoque

-un manque de confiance en soi, de la timidité.

-un manque de combattivité, menant à l’abandon des projets dès les premières difficultés, avec doute au sujet de ses capacités

– la personne s’efface, n’arrive pas à prendre sa place dans la vie, à se mettre en valeur

-la personne est passive, indécise, n’arrive pas dire non, enfoui ses propres désirs, se soumet aux ordres des ordres, avec peu d’instinct de révolte

-dans les situations difficiles, elle se sent mal à l’aise, ce qui provoque nervosité, défauts de coordination des mouvements, et prise de mauvaises décisions

-le blocage amène également des troubles digestifs tels qu’ulcère, voire cancers stomaco-biliaires, une surconsommation de nourriture, voire de substances nocives

Un 3ème Chakra bien ouvert

Un Chakra solaire bien équilibré correspond souvent à un être mâture, qui a foi en lui et dans les autres, sait aller de l’avant et prendre des décisions efficaces.

La personne infatigable peut mener à bien plusieurs actions de front.

La méditation est le meilleur moyen de développer ce Chakra, car elle permet à la fois de travailler la respiration, la concentration, et l’attention sur le moment présent.

Le concept-clé du Chakra

« je crée, j’agis, je réalise mes objectifs. »

Conversation avec votre corps

Traduction la page du site emofree.com de Gary Craig
**http://www.emofree.com/Articles2/body-conversation.htm**

Votre corps vous parle avec ses « maux » à lui

Dans cette série en 7 parties, la psychothérapeute Carol Look nous propose d’avoir une « conversation avec notre corps » pour prendre conscience de tout ce que nous stockons dans notre système immunitaire et dans certaines parties du corps afin de nous « protéger ». – Par Carol Look, EFT Master

L’intégralité de la série se présente de la sorte :

Partie 1: Introduction
Partie 2 : Le Passé – Accrochage à des événements traumatiques
Partie 3 : Le Passé – Mauvaises nouvelles en stock
Partie 4 : Le Présent – Qu’est-ce que vous avez « dans la peau » ?
Partie 5 : Le Présent – Ce n’est pas une question de microbes
Partie 6 : Le Futur – Angoisse au sujet de ma vie
Partie 7 : Le Futur – Peur de leurs réactions

Carole Look écrit :

Chaque fois que nous avons été traumatisés, blessés, trahis ou qu’on a eu peur, notre corps a enregistré les émotions et sensations à un niveau énergétique et cellulaire. Comme le dit le célèbre spécialiste des traumatismes Bessel Van der Kolk, « votre corps garde le score en mémoire ».
A la suite de cette introduction, les parties 2 et 3 de cette série porteront sur les traumatismes et les conflits stockés dans le corps, en les considérant sous l’angle énergétique. Les parties 4 et 5 traiteront des manifestations actuelles d’un traumatisme au niveau de la peau et des diagnostics du moment présent, et les parties 6 et 7 porteront sur les réponses de notre corps concernant notre avenir. (S’il vous plaît, notez que je ne suis pas médecin, et que je ne fais donc que PROPOSER des moyens énergétiques pour traiter le corps avec l’EFT comme étant des COMPLEMENTS aux soins médicaux appropriés.)

Lorsque nous avons un accident de voiture, les contusions ou fractures sont tangibles, physiques, visibles à l’œil nu et douloureuses au toucher. Lorsque nous nous sommes coupés avec un couteau ou brûlés dans la cuisine, les cicatrices peuvent durer indéfiniment, apportant la preuve que oui, nous avons souffert mais que nous sommes venus à bout d’une difficulté quelconque. Mais quand on nous a crié dessus et harcelés, quand nous avons été abandonnés ou menacés, nous n’avons pas de « cicatrice » visible que nous pouvons regarder ou montrer aux autres. Notre corps néanmoins en gardé d’excellents enregistrements de ces incidents dans nos circuits électro-magnétiques et nos champs d’énergie.

Entrons dans l’EFT

EFT est ma technique énergétique préférée pour traiter tous les conflits émotionnels et les traumatismes à plusieurs niveaux – émotionnel, spirituel, physique et électrique. Ainsi, quand vous avez été malmené par votre supérieur hiérarchique, le « traumatisme » ne peut pas être simplement éliminé par la psychothérapie traditionnelle sans laisser une trace électrique. Des impressions ont été reçues au-delà du processus rationnel du mental, et quand votre ami ou collègue vous dit, « il était dans un mauvais jour » ou « il fait ça avec tout le monde » cela n’aide pas effacer l’enregistrement électrique qui a été causé par l’incident. Si nous voulons vraiment nous « recâbler », EFT est l’outil adéquat.

Réfléchissez au recadrage positif de cette phrase : le « recâblage » du cerveau. Nous n’avons pas besoin d’un nouveau cerveau, nous n’avons pas besoin d’être réparés parce que nous sommes pas endommagés. Nous avons toutes les pièces nécessaires, nous avons juste besoin de refaire les connexions pour que les impulsions électriques se produisent en réponse aux bons stimuli. Nous avons tous les ingrédients maintenant, nous avons juste besoin de faire de nouvelles connexions, de percevoir et d’interpréter différemment.
C’est ce que dit la déclaration de découverte de l’EFT :

« La cause de toute émotion négative est une perturbation du système énergétique du corps. »

Continuons donc en effaçant ces perturbations et afin d’accueillir la guérison à un niveau profond parce qu’elle est à notre disposition.
Commençons.

La première étape consiste à établir des rapports avec votre corps d’une manière authentique et pleine d’amour, comme vous pouvez le faire avec un ami ou avec un nouveau client qui vient pour un rendez-vous. Soyez gentil, écoutez en profondeur, soyez ouvert et prenez le temps de communiquer. Trop de gens ignorent les messages de leur corps, ou ne reconnaissent même pas le fait que leurs organes sont en train de communiquer avec eux !

Les points suivants m’aident dans mon approche de mes clients quand ils le veulent travailler sur les fondements affectifs de problèmes physiques.

(Gardez à l’esprit le fait que je ne suis pas médecin. Je ne m’occupe pas du traitement de la maladie, mais seulement des conflits émotionnels sous-jacents et des vibrations qui contribuent à provoquer la maladie.) 

1. La douleur est un signal : La douleur est un signal brillant et fort, riche en informations. Nous avons besoin de l’entendre sinon nous risquons de voir ce signal s’amplifier pour attirer notre attention. La douleur est souvent un processus inconscient. Les conflits se manifestent à travers le corps (soma) à partir de tension émotionnelles du mental (psyché) et c’est pourquoi nous développons des maladies psychosomatiques. Les maladies ou maux de tête sont réels, cependant l’origine en est un conflit psychologique et non pas des microbe, virus ou bactéries.

2. Il y a des indices symboliques : Souvent, le corps a stocké des informations dans des organes particuliers pour des raisons symboliques. Notre corps est beaucoup plus génial que l’on pense et parfois il tente d’attirer notre attention d’une manière humoristique ou évidente. Ce n’est pas inhabituel, en cas de problème d’épaule, d’être relié à l’impression de « porter le poids du monde sur ses épaules », pour les jambes, les genoux et les pieds, d’être relié à des difficultés pour « aller de l’avant », ou que des problèmes de peau reflètent une irritation profonde et des problèmes qui « bouillonnent sous la surface ».

3. Les traumatismes et les conflits usent le système immunitaire : Gary Craig le disait dans son DVD « Maladies Graves », toutes ces blessures, ressentiments et conflits que nous avons réprimés, supprimés ou évités nous font mal et ponctionnent notre énergie et la force de notre système immunitaire, faisant de nous des « cibles » évidentes pour des maladies ou des vulnérabilités structurelles. Quand nous avons perdu la paix, même à un haut niveau de performance, nous finissons par développer un problème physique parce que nous n’avons plus d’espace psychique dans lequel stocker le stress.

4. Il faut choisir de traiter les effets ou les causes : Mon opinion personnelle est que nous passons beaucoup trop de temps à des soins de guérison tout en ignorant la cause de nos maux physiologiques. Chaque maladie a une vibration. Nous perdrions beaucoup moins de temps et d’argent et nous gagnerions plus de santé et de vitalité si nous considérions les vibrations ou les causes de nos problèmes en les traitant avec l’EFT. Cela ne signifie pas que nous n’avons pas besoin du médecin lorsque nous avons une maladie grave. Cela signifie qu’en envoyant des pilules ou de la chirurgie à notre corps, nous n’obtiendrons qu’un soulagement temporaire si nous n’abordons pas la vibration sous-jacente.

J’aime me poser les vraies questions, j’adore poser à mes clients des questions qui stimulent les connexions énergétiques que l’esprit conscient peut ne pas percevoir. J’aime aussi les déclarations comme ci-dessous dans lesquelles on n’a qu’à « remplir les espaces blancs ». Construisez vos propres phrases, écrivez-les rapidement, et vous pourriez être surpris par ce qui va vous apparaître. Voici quelques-uns de mes exemples favoris:

1. Si mon/ma/mes _____________ (dos, jambe, reins… etc.) pouvai(en)t parler, il(s) me dirai(en)t que j’ai négligé ______________________.
2. Mon ______________ douloureux représente mon conflit au sujet de (ou dans ma relation avec) ___________ (nom de la personne).
3. Mes conflits et blessures concernant les relations amoureuses semblent être stockées dans mon/ma/mes ______________.
4. Les soucis d’argent semblent toujours se montrer dans mon/ma/mes _______________.
5. Mes problèmes de colère m’ont toujours causé des douleurs ou de l’inflammation dans mon/ma/mes ____________________________.
6. La peur semble se manifester physiquement à travers mon/ma/mes ________________.
7. Quand je me sens sous-estimé, j’ai une douleur dans mon/ma/mes _______________.
8. Quand je me sens menacé dans mon travail et que je me sens mis en compétition, j’ai tendance à ressentir de l’inconfort dans mon/ma/mes ________________________.
9. Quand je suis épuisé et surmené, je remarque une gêne dans mon/ma/mes _____________.
10.Lorsque je rencontre des problèmes avec ma famille, j’ai une poussée de _______ dans ________________.

Je pense que nous serions beaucoup plus efficaces si nous passions du temps et déployions de l’énergie pour traiter les causes vibratoires du problème, (sa base fondamentale) plutôt que pour traiter les effets (ce qui en résulte), et si nous traitions cette cause vibratoire avec l’EFT afin de rester en bonne santé plus longtemps. Les problèmes sont causés par des vibrations et nous avons le pouvoir de changer nos vibrations (c’est ce que nous faisons grâce à nos pensées et nos émotions).

Pourquoi ne pas mettre davantage l’accent là où nous avons le plus de pouvoir?

Restez à l’écoute pour les parties suivantes de cette série qui porteront sur les traumatismes qui sont stockés dans le corps.

Dr Carol Look, EFT Master (USA)

Code de conduite du praticien Reiki

En tant que Maître praticien Reiki, j’adhère à un code éthique. Il est principalement issu du code édité par la Corporation Européenne des Praticiens Reiki.

Energie dans les mains

 Obligations Générales

 I -1 – Justification de la Lignée

Le Maître praticien Reiki doit justifier de la lignée Reiki Usui par un document, diplôme, attestation…signé(e) de son Maître Reiki, et mentionnant la filiation de celui-ci.

 I – 2- Il s’engage à respecter l’enseignement de Mikao Usui

Le Maître praticien Reiki s’engage à vivre dans l’Esprit du Reiki, notamment à travers la pratique des 5 grands principes. De ce fait, il s’engage à travailler toujours avec Honnêteté, Respect, Conscience et Amour.

 I – 3 – Le Maître praticien Reiki adapte sa pratique au consultant.

Le Maître praticien est à l’écoute des besoins de la personne, avec le plus grand respect, attention et bienveillance. Il tend à avoir une écoute active et empathique.

 I – 4 – Conduite d’Accompagnement en pédagogie.

Le Maître praticien accompagne chaque personne à sa demande, dans la découverte de son chemin de vie. Il l’encourage à développer ses compétences, et ses talents dans une perspective d’autonomie, de responsabilité et d’évolution. Le Maître praticien Reiki incitera la personne à faire appel à son libre-arbitre, à son discernement et à son potentiel personnel pour devenir acteur de sa vie.

 I – 5 – Formation professionnelle : Formation initiale, Formation continue.

Le Maître Praticien Reiki passe lui-même par un processus d’ouverture et d’évolution personnelles. Il a souci d’optimiser ses connaissances et ses acquis. Le Maître praticien Reiki aura à cœur de poursuivre son processus individuel de formation professionnelle; par tous moyens à sa convenance, autodidaxie, séminaires, stages, conférences, formation qualifiante, e-learning…

 II – Devoirs du Maître praticien Reiki vis à vis de ses consultants

 II – 1 – Attitude juste.

Face à une personne désireuse de mieux-être ou en quête de clarté, d’authenticité ou en difficulté particulière le Maître praticien Reiki saura, par une attitude juste, faire preuve d’humilité sans s’ingérer ni interférer dans la vie du receveur, l’encourageant à prendre l’initiative sur le chemin de sa vie.

 II – 2 – Traitements et Initiations.

Le Maître praticien Reiki traitera les personnes demandant des traitements ou des initiations avec le plus grand respect vis-à-vis de leur dignité, de leurs besoins et de leurs valeurs individuelles. Il aura le respect de l’individu dans ses dimensions physique, psychique, morale et spirituelle.

 II – 3 – Respect physique.

Une session de Reiki se donne par imposition des mains (aussi par massage, tapotements, souffle, acupression, mudra particulier… à partir du niveau 2) sur un receveur vêtu, les vêtements ne gênant ni la pratique du Reiki ni son efficacité – il est toutefois recommandé d’avoir des vêtements « relax » et « non serrants » . En cas de nécessité, elle peut se donner sans contact physique.

 II –4 – Respect des valeurs.

Le Maître Praticien déclare en son âme et conscience que le Reiki n’est ni une religion ni une secte, la personne recevant le traitement ou les initiations est libre de ses croyances et convictions.

 II – 5 – Respect de la confidentialité, Secret professionnel et Anonymat.

Le Maître praticien Reiki et l’Enseignant Reiki respectent la confidentialité des informations reçues de la personne pendant une session, un traitement ou une initiation de Reiki, quelle qu’en soit leur nature. Le secret professionnel s’étend à tout ce qui a été vu, entendu ou compris au cours de la pratique ou des initiations. Il préserve l’anonymat des personnes qui le consultent ou l’ont consulté.

 II – 6 – Accueil et Qualité des soins.

Le Maître Praticien Reiki fournit un endroit agréable, adapté, confortable et sécurisant. Il se rend à domicile si la personne ne peut se déplacer. Par une brève description, il informe la personne de ce qui se passe pendant une session de Reiki.

 II –7– Relation de pairs entre les deux parties.

Le Maître praticien se doit d’attirer l’attention du consultant sur sa responsabilité propre, sur la nécessité d’une coopération active et permanente, et sur ses capacités d’autonomie.

 II –8– Devoir de réserve.

Conscient de la relation spécifique qui le lie à ses consultants, le Maître praticien observe une attitude de réserve en toutes circonstances.

 II –9– Devoir de suivi.

Le Maître praticien Reiki au service de la personne se doit d’assurer la continuité de son accompagnement ou d’en faciliter les moyens.

 II – 10 –Liberté de l’engagement du praticien Reiki.

Le Maître praticien Reiki n’est jamais tenu de s’engager dans une pratique de soins ou d’initiations Reiki. Dans le cas de refus il se doit néanmoins de conseiller un autre praticien ou intervenant.

 II – 11 – Rapport à la médecine.

Le Reiki système énergétique peut compléter avantageusement un programme de soins de santé en accélérant leurs effets ou en limitant les effets secondaires de certains traitements. Il ne se substitue pas non plus à ceux-ci. Le praticien ne pose pas de diagnostic, ne donne pas de prescription et en aucun cas il ne modifie le traitement médical ou psychologique d’une personne qui vient le consulter.

 II – 12 – Autres compétences professionnelles du Maître praticien.

Le Maître praticien peut cependant, s’il possède d’autres connaissances et compétences dans différents domaines de thérapie et /ou d’accompagnement et en prouvant son professionnalisme, les mettre au service de la personne (naturopathie, fleurs de Bach, coaching, réflexologie, accompagnement, massage, médecine chinoise, …)

 II – 13 – Rémunération du praticien – Honoraires.

Chaque praticien Reiki fixe lui-même ses honoraires en conscience et selon un des principes du Reiki, gagner honnêtement sa vie par une juste rémunération.

Le Maître Praticien Reiki précisera clairement avant la session, le contenu, la durée, le coût des séances.

Le Maître Praticien Reiki précisera clairement le coût et modalités des initiations.

Dans les deux cas, durant l’entretien préalable, un contrat verbal ou écrit pourra être établi entre les parties si nécessaire.

 III – Rapports du Maître praticien Reiki à ses confrères, aux autres professionnels de la santé et aux institutions.

 III– 1 Le fait pour un Maître praticien Reiki, d’être lié à un centre de soins, de formation, à un lieu de vie ou appartenir à des structures sociales ou associatives ne saurait porter atteinte à l’application des présentes règles déontologiques.

 III – 2 – Utilisation du nom.

Nul n’a le droit dans un texte informatif ou publicitaire, d’utiliser les noms et titres d’un Maître praticien Reiki sans son autorisation expresse et son accord écrit.

 III – 3 – Droit de réserve et Règles de confraternité.

Le Maître praticien Reiki est tenu au droit de Réserve vis à vis de ses confrères et des autres professionnels de la santé. Il cherchera à établir des relations honnêtes et harmonieuses entre toutes les parties. Les divers degrés de Reiki ne constituent en aucun cas une hiérarchie entre les praticiens. L’initiation à la maîtrise du Reiki ne donne aucun pouvoir, mais toutes les responsabilités.

 III – 4 – Information sur son exercice.

Toute information du public (articles, publications, émissions radio ou télédiffusées, enseignes, annonces payantes, conférences, documents pédagogiques, …) doit être exprimée d’une manière simple et honnête (personnalité du praticien ou de l’Enseignant Reiki, nature des soins fournis et résultats escomptés).

 III – 5 – Pratique et Fiscalité.

 Le Maître Praticien Reiki se conforme aux règles fiscales et droit du pays où il pratique.

Excellente journée à tous et toutes – Mabelle

EFT – l’assertion du positif

A la base, ce procédé ne faisait pas partie de la technique d’EFT en tant que telle, dont l’objectif est de gommer le négatif. C’était un ajout pour terminer une session sur une note joyeuse, en verbalisant nos intentions positives.

L’Assertion du Positif s’effectue en déclarant distinctement ce que l’on désirait, tout en tapotant continuellement le renflement occipital (point de rencontre des méridiens, situé à l’arrière de la tête, à la base du crâne, quelques centimètres au-dessus du cou – la petite bosse est plus facile à trouver quand on penche la tête en avant) continuellement.

 Voici quelques exemples d’assertions possibles :

• Je suis plein d’optimisme, de santé, et de vitalité

• Je suis entouré d’amis sur lesquels je peux compter

• J’ai un compagnon idéal dans l’existence

• Ma situation financière s’améliore de manière fabuleuse

• Je mène ma carrière professionnelle brillamment

• Je suis en parfaite sécurité matérielle

• Je me sens totalement en sécurité partout où je me trouve

• Un renouveau extraordinaire s’installe dans ma vie

• J’apprécie mon bonheur chaque jour davantage

• Grâce au Tapping, je vis l’existence de mes rêves …

Lorsque je débutais en EFT, j’utilisais l’assertion du positif, sur le renflement occipital, en fin de session de tapping.

Avec le temps, j’ai changé ma manière de faire. Cela simplement parce que j’ai constaté qu’en verbalisant ces assertions, des « oui mais » remontaient à la surface et que, par conséquent, il fallait reprendre le tapping sur ce qui venait. Aussi, je trouve plus simple de verbaliser ces phrases positives durant la ronde de tapping et de directement poursuivre avec ce qui vient. De plus,les personnes ont souvent du mal à trouver le point, elles baissent donc la tête par facilité, mais je vois moins bien son visage et donc, forcément certaines de ses réactions peuvent passer inaperçues. J’utilise donc les phrases positives sur les points habituels de tapping, plutôt que sur le renflement occipital.

 Mais, chacun utilise l’EFT de la manière qui lui convient le mieux.

Donc, je me contente de partager l’information et vous l’utiliserez comme bon vous semble.

Et, quelle que soit votre manière de faire, bon tapping !

 Si mon article vous a plu, ou déplu, n’hésitez pas à me laisser un petit commentaire –  Dites moi ce que vous souhaiteriez trouver sur ce blog

Mabelle

Le deuxième Chakra

Le 2ème des 7 Chakras principaux (Svadhisthana) est nommé

chakra sacré, ou chakra sexuel

chakra 2

Il est situé au-dessus de l’os pubien, environ 3cm sous le nombril, à l’endroit que les Japonais nomment Hara, centre des énergies vitales.

Il est le premier des chakras horizontaux, il rayonne vers l’avant du corps.

Svadhisthana signifie « lieu de séjour du Soi », c’est le siège de l’inconscient individuel.

Il est associé à la couleur orange, à l’élément Eau.

Il est relié

– à l’abdomen, les reins, la vessie, les gonades, et aux jambes

-au goût et à l’appétit

Son rôle

-c’est le siège des énergies sexuelles, de la fertilité et de la fécondité. Il régule les organes sexuels, la virilité, les menstruations, les reins. Il harmonise les organes génitaux et tout ce qui a un rapport au désir et au plaisir

-il gère la communication entre le corps et la conscience qui l’habite

-c’est également notre capacité à ressentir, la sensualité, l’appétit, les désirs et les envies, l’entrain.

-il est l’expression du symbole du yin et du yang, de la dualité.

-c’est aussi le centre de la purification, de la créativité.

-il contrôle l’énergie qui monte par le chakra de racine.

Un 2ème chakra bien ouvert, qui fonctionne harmonieusement

a une influence très positive sur vos rapports avec autrui, vous êtes ouvert aux autres, vous exprimez librement et êtes vous-même en toutes circonstances. Vous appréciez la vie à sa juste valeur, vous êtes heureux de vivre, joyeux, bien dans votre peau. Vos sentiments sont spontanés, vos actions créatrices, et votre vie sexuelle est harmonieuse.

Un 2ème chakra trop actif provoque

-une tendance à la boulimie sexuelle, la nyphomanie, la recherche de partenaires dont la seule identification est le sexe et pratique de l’acte sexuel sans communion, des pratiques excessives, des rapports commerciaux dans l’acte sexuel, une exagération des fantasmes inassouvis et de la frustration

-une tendance à une émotivité excessive

Un 2ème chakra bloqué provoque

– un manque de sensibilité, difficultés à ressentir les choses aussi bien émotionnelles que physiques

-de la mélancolie, un sentiment désabusé, une impression de manque, de la tristesse, dépression
-une tendance à la timidité, repli sur soi même voire associabilité

-un manque d’assurance, d’initiative, d’enthousiasme

-la peur de l’autre, de l’inconnu

-de la froideur, refus des rapports sexuels, des attouchements et des caresses

-frigidité, impuissance

-une aversion concernant la nourriture

-On trouve son origine dans l’enfance, dans une famille très rigide qui dénature les relations sexuelles. A l’adolescence, le jeune bloque complètement ses énergies sexuelles naissantes, ce qui provoque un manque de reconnaissance de sa propre valeur, une mise en veille des émotions, et une grande froideur sexuelle

Le concept-clé du chakra

« Je sens. »

Access, d’où vient ce soin ?

La physique quantique nous démontre que ce monde est pure énergie

vibrant sur différentes fréquences. Elle rejoint les philosophies anciennes et taoïstes qui enseignent depuis des siècles que toute perturbation est due à un dysfonctionnement du chi (l’énergie) et de l’équilibre des principes féminin et masculin yin et yang.

Gary Douglas
Gary Douglas

 En 1990, l’américain Gary Douglas crée le programmeAccess Consciousness, ensemble de procédés psychologiques et philosophiques de développement de la Conscience.

Il a développé cette technique énergétique très douce, subtile et puissante, avec le chiropraticien Dain Heer.

Dain Heer
Dain Heer

Ce procédé subtil et relaxant

libère avec facilité nos limitations, jugements et vieux schémas devenus inutiles dans tous les aspects de notre vie.

Il se développe en Europe depuis environ 5 ans.

Lorsque nous recevons les bars, les ondes cérébrales ralentissent, nous donnant accès aux modèles de comportement, aux systèmes de croyances que nous avons depuis notre enfance.

Nous nettoyons ainsi les vieilles mémoires, émotions, pensées et croyances engrangées en nous et transmises depuis parfois des générations. Vous savez, les « c’est plus fort que moi. Ca m’arrive malgré moi … »

C’est un accès à plus de conscience dans tous domaines de la vie, la capacité de s’éveiller en permanence à plus de possibilités, plus de choix et plus de vie.

« Et si vous étiez prêt à vous dorloter et vous occuper de vous? Et si vous ouvriez les portes pour devenir tout ce que vous aviez décidé qu’il n’était pas possible d’être ? Que faudrait-il pour que vous réalisiez combien vous êtes essentiels aux possibilités du  monde ? »
Citation de Gary Douglas, fondateur de Accès consciousness.

Les principales erreurs commises en EFT

Il est étonnamment simple d’apprendre l’EFT

5 minutes suffisent, même les enfants y arrivent très vite. Mais pour obtenir les meilleurs résultats, il faut continuer à l’étudier, à l’explorer, et à l’utiliser.
Voici les principales erreurs commises lors de l’utilisation de l’EFT :

Ne pas l’utiliser !

Ca paraît être une évidence, mais pourtant je commets bien souvent cette erreur moi même et je suis convaincue que vous la ferez certainement. En fin de journée, il m’arrive de me remémorer  un événement, ou un problème physique que j’ai eu momentanément. Et, je me dis « Mais pourquoi n’ai-je pas tapoté là-dessus ? » Le tapping n’est dans ma vie que depuis quelques années et, j’ai vécu avant ça de nombreuses années sans l’EFT. Comme tout le monde j’ai développé des habitudes dans lesquelles l’EFT n’est pas présent. Si j’avais appris l’EFT dans l’enfance, il serait ancré en moi comme le fait de boire ou de manger mais, ça n’a pas été le cas, et il m’arrive encore de l’oublier. Personne n’est parfait !

N’hésitez jamais à apprendre l’EFT à vos enfants, ils vous remercieront plus tard de les avoir aidé à alléger considérablement leur vie.

Ne pas faire précéder la séance de la correction de l’inversion psychologique

L’inversion générale de polarité existe lorsque la pensée négative interfère avec l’EFT et pousse votre énergie corporelle à aller dans le mauvais sens. Plusieurs facteurs peuvent être à l’origine de l’inversion générale de polarité : la négativité (généralement observable chez les personnes déprimées), la déshydratation (l’eau permettant au système énergétique corporel de bien circuler, il est réprimé ou ralenti en cas de déshydratation), les toxines (provenant des aliments, métaux, montre à pile, appareils électriques, gsm sont des toxines énergétiques qui peuvent chez certaines personnes provoquer une inversion de polarité).

La phrase n’est pas toujours nécessaire mais, la « zapper » se révèle souvent être une erreur. En effet, vous risquez de tourner en rond pendant un moment sans le moindre résultat tout simplement parce que vous avez cru gagner du temps en supprimant cette étape. Au final, vous n’avez réussi qu’à perdre du temps puisque vous devez tout recommencer depuis le début en incluant la phrase de correction qui lèvera les blocages à la résolution du problème.

Ne pas être assez précis

Plus les phrases employées sont spécifiques, plus les résultats seront spectaculaires et rapides. J’ ai déjà consacré un article sur le sujet précédemment.

Ne pas traiter tous les aspects d’un problème

– « Je ne suis énervée parce que mon propriétaire m’a crié dessus. »
– « Ses mots m’ont fait l’effet d’un coup de poing en plein estomac » (une sensation corporelle à traiter).
– « Il me rappelle mon père qui m’effrayait avec ses colères (un trauma d’enfance à traiter)
– « J’ai peur qu’il me jette dehors » (une peur à traiter)
En travaillant sur tous les aspects, le fait de vous libérer d’une expérience particulière a des répercutions sur d’autres côtés de votre vie : en partant de l’expérience avec votre propriétaire, vous tapotez sur les colères effrayantes de votre père, et vos relations avec votre propriétaire s’améliorent, devenant moins réactives.

Ne pas tapoter assez longtemps

Les personnes qui se plaignent que l’EFT n’a pas fonctionné n’ont généralement pas tapoté plus de 2-3 minutes. Cela est rarement suffisant, même si parfois des « miracles » se produisent en une minutes. Il n’est pas nécessaire d’y passer une heure mais, pour travailler un problème à fond, cela demande généralement au moins 15 minutes de tapotage soutenu. Persévérez. L’EFT fonctionne rapidement mais, si vous débutez, vous n’obtiendrez peut-être pas des résultats immédiats chaque fois que vous l’utiliserez, car vous n’en maîtrisez pas encore toutes les subtilités. Rappelez-vous que la patience et la persévérance payent toujours.

Ne pas noter le problème que vous travaillez

Evaluez toujours votre problème avant de commencer le tapping.

Notez vos progrès sur l’échelle de 0 à 10, et surtout, notez les autres choses au fur et à mesure où elles apparaissent.

Au cours du tapping, vous passez d’un aspect à un autre. Si vous ne prenez aucune note, vous risquez d’oublier que certains aspects devront être traités séparément pour vous libérer complètement du problème. Vous pourrez y revenir plus tard si vous manquez de temps, ou si vous ne vous ne vous sentez pas prêt à travailler certains points.
Par ailleurs, le fait de noter vous permet facilement de réaliser clairement vos progrès.

 Bon tappping !

Mon article vous a plu, ou déplu, laissez-moi un petit commentaire

Mabelle