Archives de catégorie : Santé/bien-être

Le fascia, organe de l’unité

Bonjour, je vous espère en forme. Je vous partage ce matin un article sur le fascia, de Véronique Rauzy.

Bonne lecture.

Mabelle

Que sont les fascias? - Ligue suisse contre le rhumatisme

Le fascia est une de nos structures fondamentales. J’en parle au singulier car il est une unité : toutes les membranes fasciales forment un continuum. Le fascia soutient et enrobe toutes les structures corporelles. Il comprend les membranes entourant les os, les muscles et les organes mais aussi les tendons et les ligaments. Il parcourt l’ensemble du corps sous la peau, dans toute sa surface, mais aussi en profondeur, reliant nos espaces cellulaires les plus internes aux plus superficiels. Le fascia a un rôle de structuration du corps physique. Il supporte, sépare et joint les différents éléments corporels.

Le fascia, aussi dénommé tissu conjonctif, est la trame de notre architecture fluide, mélange de solide et de liquide, porteur de la souplesse, de la force, de l’élasticité, de la sensorialité, de la continuité du corps.

Pour être sain, le fascia a besoin d’être stimulé, étiré, mis en mouvement, ce qui régénère ses fluides, le désengorge et le dénoue. Sinon il se cristallise, se rigidifie et comprime les nerfs, les muscles, les articulations ; de membrane de soutien il se détériore alors en siège de la douleur. Toutefois il ne tolère pas d’excès, ce que montrent les tendinites et claquages dus à l’exagération des mouvements et au fait qu’ils aient été forcés.

Le fascia est à la fois frontière entre les parties, pont reliant deux zones et structure d’ensemble.

Au niveau des éléments, le fascia est composé d’eau (liquide) et de terre (solide), et il est animé par l’air (le souffle) et le feu (l’énergie en mouvement).

Pour accomplir au mieux ses fonctions, il gagne à être reconnu par la conscience, et qu’il en soit pris soin. Voici quelques-unes de ses merveilleuses propriétés, que je suis en train de découvrir grâce aux nouvelles pratiques corporelles qui enchantent, stimulent et mobilisent mes journées d’automne.

PROPRIOCEPTION

Le fascia serait l’organe proprioceptif, celui qui sait nous offrir des repères dans l’espace-temps, nous maintenir dans la verticalité et permettre que le corps se comprenne comme une unité.

La proprioception peut être comprise comme le sixième sens, et le seul qui ne peut pas être compensé. Elle est soutenue biologiquement par le fascia et l’oreille interne (vestibule).

La proprioception fait le lien avec la perception subtile du clair-ressenti : elle nous permet de capter les enveloppes éthériques des corps, les auras. La paume des mains fait alors interface pour la proprioception, la perception fasciale se déployant au-delà du corps physique par des vortex émanant de la paume des mains.

La sensibilité du fascia est à la fois interne et externe. En interne le fascia est doté de nombreuses terminaisons nerveuses qui informent le cerveau des stimulations douloureuses par exemple, mais aussi agréables comme lors d’un massage. En externe il capte les formes de l’environnement, à la fois matérielles et subtiles, nous donne les repères de l’espace tridimensionnel.

Les fascias, ces organes méconnus de notre anatomie

DU MICRO AU MACRO

Le fascia nous révèle la nécessité d’une approche globale du corps, compris comme un tout et pas la somme de parties indépendantes.

Le fascia fait le lien entre les différentes échelles du corps, c’est un réseau fibrillaire. Dans sa continuité, il est présent tant dans la petite échelle du niveau cellulaire que dans la grande échelle de l’enveloppement des muscles, os et organes.

TENSÉGRITÉ

Ce mot employé d’abord en architecture mêle les notions de tension et d’intégrité. La tenségrité est la capacité d’une structure à se stabiliser par le jeu des tensions et des liens multiples. Le fascia est l’enveloppe globale qui reflète les équilibres internes anatomiques et déploie la structure optimale correspondante. C’est grâce à lui que le squelette ne s’effondre pas et que les organes ne descendent pas au sol en réponse à la force gravitationnelle. Les membranes fasciales sont en interdépendance perpétuelle.

PERCEPTION DE SOI

Le fascia est un vecteur de la perception de soi ; il nous permet de ressentir l’unité du corps, de pressentir l’espace occupé par le corps. Non seulement le corps physique, mais aussi les corps subtils. Le fascia perçoit et nous transmet l’information sensorielle des enveloppes subtiles de nos corps et de ceux qui sont autour de nous.Il aide au lien entre matière/forme incarnée et conscience/information. Il est une voie pour communiquer directement avec le corps compris comme une globalité, une unité, une plénitude.

Les Fascias — Les alliés cachés de notre organisme | maux de dos & yoga –  Les Amazones Parisiennes

LE FASCIA, L’ORGANE DE LA CONNEXION

C’est un organe connectif par l’énergie qui y est véhiculée, par la continuité de sa trame et par la conscience qui peut s’y associer.

Il permet aux chaînes musculaires de se coordonner, de véhiculer ou économiser la force. Il connecte le système vasculaire sanguin au système nerveux. Il transmet au cerveau toutes sortes de signaux des informations chimiques et mécaniques qu’il reçoit. Il maintient l’hydratation du corps par la matrice extra cellulaire, cette substance fluide générée par les cellules fasciales.

TRANSMISSION DE LA FORCE

Le fascia est l’interface organique entre la matière et l’énergie, c’est sur lui que cheminent les méridiens révélés par la médecine traditionnelle chinoise, et qu’agissent les points d’acupuncture.

Il est le tissu de la force fluide. Sa force vient de sa continuité et de sa cohérence, et quand on comprend cela, on peut accompagner nos mouvements depuis la globalité corporelle, et non plus nous voir comme coupés, fragmentés, assemblés de multiples pièces séparées.

La mobilisation du fascia aide au maintien d’une posture saine. Maintenir la posture mobile aide le fascia à rester sain (ou retrouver la santé).

Quand on parle de circulation fluide de l’énergie en nous, c’est par l’intermédiaire du fascia qu’on peut la ressentir directement.

Le fascia génère, transporte et sauvegarde la force dont nous avons besoin. Il nous offre la possibilité d’une nouvelle compréhension de la force, pas seulement musculaire mais holistique, faisant intervenir l’ensemble de la structure physique en lien avec notre attitude mentale et émotionnelle.

FASCIA ET CORPS SUBTILS

Il fait le lien entre le corps physique et les enveloppes subtiles associées au corps humain, notamment ce qui est appelé le corps émotionnel et le corps mental.

Le fascia est un capteur sensible : il répercute le subtil dans la forme matérielle. Il imprime les nœuds mentaux, absorbe les chocs et traumas émotionnels, cicatrise les plaies physiques.

SOUFFLE VITAL

Respirer dans la conscience de faire circuler l’élément air dans nos corps vient oxygéner le fascia, le déployer, le décoller, l’alléger, l’étirer et le mobiliser, en un mot LE VITALISER.

Quand nous sommes présents au souffle qui circule en nous, nous ressentons le frémissement du fascia, nous captons l’onde qui parcourt cette trame qui structure et maintient notre corps. Nous établissons un lien profond entre Conscience, c’est-à-dire reconnaissance, et Présence au corps ; dans le corps. C’est le début de la communication interne, de la connexion intime.

VECTEUR D’ÉNERGIE

Le fascia est un vecteur de l’énergie sous plusieurs formes.

D’une part, il est un transformateur piézo-électrique, c’est-à-dire qu’il va transformer une part de l’énergie mécanique générée par les mouvements du corps physique en énergie électrique. Cela est rendu possible notamment par la grande teneur en silicium du collagène qui constitue une part importante du tissu conjonctif. Cette énergie électrique pourrait être utilisée pour alimenter des appareils externes, ce que proposent plusieurs inventions, mais surtout elle peut nous soutenir dans notre mouvement évolutif par l’accélération interne qu’elle suscite dans notre fréquence vibratoire lorsqu’elle est correctement canalisée.

D’autre part il est un vecteur d’énergie scalaire et nous relie au grand champ. Tout dans le corps est spirale, et le fascia vient structurer les spirales dans la manière dont il s’enroule et se tisse sur les muscles, les os, les organes. Ainsi il les protège, les informe et les oriente favorablement.

FASCIA ET KUNDALINI

Quand elle s’active, l’énergie de kundalini vient dynamiser et propager l’onde vitale dans tout le fascia ; elle passe à travers lui pour régénérer le tout, soigner ce qui doit l’être et fluidifier les voies de circulation.

Découvrir, reconnaître et connecter le fascia est une énorme étape en moi : je réalise une autre manière de manifester Présence, Conscience et Puissance, à travers le corps, à l’intérieur, dans le vivant immédiat.

Cela active de puissants feux de régénération et je me réjouis de cette plongée de l’œuvre au rouge par la voie directe dans le corps. Il reste tant de merveilles à explorer, vivre, connecter, déployer…

Et vous, connaissez-vous votre fascia ?

Alignement des chakras

Bonjour,

J’espère que vous allez bien.

Juste un tout petit mot ce matin pour vous inviter à une conférence sur des produits fabuleux, des patchs quantiques qui équilibrent nos centres énergétiques, et alignent nos chakras. Il me semble que nous en avons tous besoin en ce moment.

Conférences jeudi ou dimanche soir à 20 heures selon votre meilleure disponibilité.

Contactez-moi pour recevoir lien et mot de passe en commentaire ou ani.hou@hotmail.com

Prenez soin de vous.

Mabelle

Le Taux Vibratoire Terrestre continue de s’envoler !

Bonjour, j’espère que vous allez bien.

Je vous partage ce matin un article de Luc Bodin, Source: https://luc-bodin.fr/

Les valeurs du Taux Vibratoire de la Terre n’en finissent pas de s’élever de manière incroyable ! Il a dépassé ce jour les 1,3 million d’UB (Unités Bovis)! Un vrai bonheur ! Elles sont le signe que l’Univers poursuit sa transformation… plus exactement qu’il franchit actuellement une nouvelle étape de son évolution qui va vers davantage de conscience. 
Comme vous le savez, ce processus est inexorable et ce ne sont pas nos « petites » affaires internes qui vont l’arrêter… Elles pourront tout au plus freiner son évolution localement… c’est-à-dire au niveau planétaire, plus précisément au niveau de l’humanité. Car la Terre et les mondes, végétal et animal, ont déjà suivi ce grand mouvement… C’est pourquoi tant de cataclysmes surviennent actuellement sur notre planète. Ce sont des processus logiques de purification parce qu’ils sont liés à son élévation vibratoire… D’ailleurs, nous ressentons des effets similaires à notre échelon humain.

Dans ce vaste processus, seule l’humanité est à la traîne. Mais ne vous y trompez pas, beaucoup d’événements actuels (qualifiés comme terribles) constituent également des processus d’épuration qui nous obligent à prendre conscience de certaines réalités, à regarder les choses autrement et à envisager un monde différent. 
Les valeurs (politiques, économiques, financières, militaires…) qui ont prédominé dans notre société depuis la seconde guerre mondiale sont en train de s’écrouler sous nos yeux… reste à en monter une autre plus équitable et plus… humaine. Beaucoup de bonnes volontés sont à l’œuvre dans ce sens. Mais rappelez-vous que les apparences sont souvent trompeuses parce que ce ne sont pas toujours ceux que nous croyons, qui travaillent pour la lumière… Donc, gardez-vous de tout jugement hâtif réalisé sur des données tronquées, voire fallacieuses. A contrario, rêvez d’un nouveau monde… créez-le dans votre esprit et votre imaginaire… Cette pensée s’imprimera ainsi peu à peu dans le monde de l’énergie… Et si elle est persistante et puissante, elle se manifestera dans notre monde matériel.

Les forces de la Lumière ont gagné ! 
Sur le plan énergétique, les forces de l’ombre qui furent prépondérantes pendant des décennies dominaient certaines dimensions proches de la nôtre. 
Aidées (ou sollicitées) par certains groupes humains, elles œuvraient sur notre monde, en créant la peur, la jalousie, les dépendances, la sexualité dépravée, la recherche de puissance et de gloire… Elles ont ainsi été à l’origine de puissants égrégores néfastes qui produisirent de nombreux foyers de violence partout sur Terre. 
Mais depuis quelques mois, un grand nettoyage a été réalisé sur ces plans vibratoires. Il reste toujours un peu de négativités (il y a toujours un peu de Yin dans le Yang et inversement)… mais celles-ci sont réduites à une portion congrue. 
C’est ainsi que l’humanité se retrouve face à elle-même sans ces interventions néfastes. Elle a retrouvé une partie de son libre arbitre, il ne tient qu’à elle de l’utiliser à bon escient. De plus, les groupes qui utilisaient cette engeance se retrouvent maintenant privés d’une grande partie de leur force. Mais ils n’en sont pas moins dangereux comme des chiens acculés dans leur dernier retranchement. Ils jouent actuellement le tout pour le tout.

Les extra planétaires ! 
Restent les interventions (disons) « extra-planétaires » pour lesquelles il est difficile de donner une situation précise. 
Cependant, les nuisibles ne semblent pas l’emporter, loin s’en faut. 
De plus, l’élévation vibratoire actuelle sera de plus en plus difficile à supporter par ces êtres néfastes donc de bas niveaux vibratoires. Le temps pourrait donc travailler pour nous.

Gardez le cap dans la tempête ! 
C’est ainsi qu’aujourd’hui, plus que jamais, c’est à chacun d’élever sa vibration pour suivre ce vaste mouvement universel qui va en s’accélérant. Il nous faut éveiller notre Lumière… éveiller notre étincelle Divine et la rayonner autour de nous afin d’aider les autres à faire de même, mais également d’aider les forces de la Lumière à poursuivre leur nettoyage de la Terre. 
Le mouvement prend de l’ampleur… Mais quoi qu’il arrive, restez toujours dans votre intégrité, le non-jugement, l’entraide, la compassion… ce qui ne veut pas dire ne rien faire contre les événements néfastes… Gardez le cap dans la tempête… La Lumière est au bout de la route. Elle vous indique la direction à suivre. 

Portez-vous bien.

Mabelle

Souffrir en silence ?

Ca fait maintenant plusieurs années que j’utilise les molécules de signalisation Redox pour une santé au top. Beaucoup de personnes me disent « j’aimerais tant utiliser ces produits, mais je n’en ai pas les moyens! »

Déjà, ne croyez surtout pas que lorsque j’ai passé ma première commande j’avais plus les moyens que vous, certainement pas. D’ailleurs c’est une amie qui m’a prêté l’argent pour passer ma commande ! Cependant cela a tellement changé ma vie que, désormais, les molécules resteront toujours ma priorité et si je dois choisir entre payer ma facture d’électricité et les molécules, je choisirai les molécules. Je ne sais que trop bien à quel point il est compliqué de vivre avec des douleurs permanentes. Evidemment, je peux comprendre que certains choix sont plus simples quand on vit seule que quand on a des enfants à nourrir. Aussi quand j’ai découvert les patchs quantiques, qui bien évidemment n’apporteront jamais au corps des molécules de signalisation, mais peuvent cependant soulager bien des maux, j’ai trouvé génial de pouvoir aider des personnes à un coût nettement moindre. Je suis la première à reconnaître que les molécules, si elles sont fabuleuses, sont vraiment onéreuses.

Cela fait maintenant trois mois que je me « patche » et je peux dire à quel point je suis heureuse que ces petits morceaux de fibres de bambou se soient trouvés sur ma route. Je sais que je suis en permanence protégée des ondes et, ça, c’est absolument fabuleux, vraiment indispensable selon moi. Ca fait des années que je n’allume mon gsm que lorsque je dois l’utiliser pour éviter autant que possible de ne pas être soumise à ces ondes contraires à la vie. Je suis bien consciente que beaucoup me traitent de folle, mais ça m’est complètement égal. J’ai fait suffisamment de recherches sur le sujet pour savoir que j’ai raison.

Peut être une image de 1 personne et texte

Je me souviens d’ailleurs de ma première publication censurée sur Facebook, en mars 2020 lorsque je parlais de la plandémie à Wuhan, ville pilote pour le lancement de la 5G, et les effets similaires à un virus soit-disant venu d’une chauve-souris ou un pangolin ! C’est tellement plus simple d’accuser les animaux qui n’ont pas la parole pour se défendre. Oui, c’est vrai, maintenant ils accusent aussi les chiens d’être responsables des hépatites chez les enfants. C’est si commode de trouver des boucs émissaires pour cacher les effets des injections qui étaient prévisibles et annoncés depuis des mois.

Maintenant, quand on sait que les injections contiennent des métaux, qui s’activent avec les ondes, faut il encore se poser des questions sur les nombreux décès ? Personnellement, je pense que tout est parfaitement clair.

J’en reviens à ces patchs quantiques qui me protègent des ondes, mais aussi équilibrent mes corps énergétiques, alignent mes chakras et m’ancrent instantanément. Beaucoup de personnes continuent de parler de balivernes, les corps énergétiques et les chakras étant pour eux des inventions d’illuminés. C’est bien dommage pour eux ! C’est vrai que ça arrange bien le système qui a toujours tout fait pour contredire et ridiculiser tous ceux qui allaient dans ce sens en disant que tout est énergie, y compris l’être humain, ou des objets tels que la chaise sur laquelle je suis assise ou l’ordinateur sur lequel je vous écris. Tous ceux qui ont inventé des moyens d’utiliser cette énergie pour guérir, nous éclairer, faire rouler des véhicules gratuitement ont mystérieusement disparu. Certains ont bien trop à perdre, même s’ils sont financièrement à l’abri et 25 générations de leurs descendants également , les avides n’en ont jamais assez.

Bon, une fois de plus je m’égare dans les folies de ce système, je reviens sur le sujet de cet article : les patchs quantiques. Un bon équilibre énergétique est fondamental pour la santé. Il est le garant de l’amélioration de la qualité de vie. Pour être en pleine santé, nos cellules devraient vibrer à 12 micromètres. Aujourd’hui, plus une seule personne dans le monde moderne a ses cellules dans cet état vibratoire. Cela est dû au fait que l’humain est sans cesse agressé par les ondes électromagnétiques (téléphones portables, ordinateurs, wifi, électroménager, antennes relais, ondes hertziennes, …), par la pollution atmosphérique, une mauvaise alimentation, l’eau que nous buvons, les produits chimiques …

Je dois bien reconnaître que je peux difficilement juger de leur effet sur les douleurs puisque ça fait plusieurs années que mon corps fonctionne bien et que je n’ai plus aucune douleur. Par contre j’ai vu de nombreux témoignages que je peux qualifier de bluffants.

Ce que disent les autres :

On rencontre tous des moments où des douleurs ou des problèmes de santé nous empêchent de vivre pleinement notre vie. Mais on apprend à vivre avec, on les oublie petit à petit, on se soigne comme on peut, on s’adapte. Pour moi c’est un combat de tous les jours. Il y a deux ans, j’étais en cours de diagnostic de fibromyalgie… je ne suis pas allée au bout car j’ai décidé de traiter mes problèmes de santé et mes douleurs naturellement, pour ne plus abuser de la chimie avec de trop nombreux effets secondaires. Mon dernier traitement « lourd » date de 2011 pour soigner mon endométriose. Ça a tellement affecté ma santé globale que, depuis, je me suis intéressée aux thérapies naturelles. J’ai cumulé ces 10 dernières années de nombreuses tendinites dans différentes articulations, des inflammations, des contractures musculaires, des migraines très fréquentes, des vertiges, des pertes d’équilibre, des malaises, un niveau d’énergie très bas, des entorses à répétition, des douleurs abdominales et dorsales, des envies impérieuses … Bref, pendant des années, je ne me suis pas levée un matin sans que mon corps me fasse souffrir quelque part. J’ai reçu les patchs quantiques il y a 6 jours. L’effet est tellement rapide et incroyable ! Je me suis sentie de suite réalignée, j’ai retrouvé mon centre et ma force intérieure. J’ai immédiatement senti un ancrage puissant et je n’ai plus du tout de pertes d’équilibre ou de vertiges depuis, mon dos s’est détendu en un quart d’heure. Le lendemain matin, plus aucune douleur au poignet ! L’inflammation sous mon pied a diminué chaque jour pour ne devenir qu’une simple sensation désagréable en marchant. Je pense qu’il faudra quelques jours pour que ça disparaisse complètement mais je suis confiante. Mon périnée s’est aussi renforcé tout seul, m’évitant ainsi de me retrouver dans des situations délicates. Ça va me changer complètement la vie de pourvoir soulager (M O)

Alors les patchs ne me quittent plus… Estomac très difficile…gastrite chronique…plus de douleurs…plus de nausées…plus de gonflements gênants… Bon ancrage Bon équilibre Pleine d´énergie Dents toujours très serrées avec l´intérieur des joues mordue.  He bien…fini ! Épaules et nuque sont soulagées (MJ)

Personnellement j’ai constaté que je ne « rumine » plus. Je prends la vie comme elle vient et tous ses désagréments également. J’ai fait la bétise la semaine dernière de mettre du diesel dans ma voiture essence. Ah bien oui, c’est vraiment de la distraction, ça arrive ! Me connaissant je sais que je m’en serais voulue de ne pas avoir été plus attentive, j’aurais râlé sur ma stupidité  » comment est-ce possible, ça fait plus de 40ans que tu as ton permis et tu te trompes de carburant ! Au prix où ça coûte, c’est vraiment jeter l’argent par les fenêtres ! … » Oui, quand on veut se flageller, on trouve toujours des milliers de raisons valables. J’aurais beaucoup stressé en attendant la dépanneuse (d’autant que j’ai attendu le long d’une grand route avec le véhicule en partie sur la route durant 2h50), que je me serais inquiétée du coût de la remise en état du véhicule, des frais de dépannage, de location de véhicule pendant la réparation, de comment rentrer au garage pour récupérer ma voiture après avoir rentré le véhicule de location … J’ai pris ça avec une telle légèreté que je m’étonnais moi même ! Et, par la même occasion, les choses se sont mises en place avec beaucoup de facilité : le dépanneur m’a amenée au centre de location malgré l’heure tardive j’y ai trouvé un véhicule quasiment neuf et bien mieux équipé que le mien (en même temps, ça ce n’est pas difficile). Après avoir déposé le véhicule de location un gentil taximan m’a conduite gratuitement au garage pour récupérer mon propre véhicule, le réceptionniste n’a pas su me faire payer la réparation car il avait des soucis avec un autre client et m’a dit qu’il l’enverrait d’ici une semaine ou deux. Super, d’ici là j’aurai l’argent sur mon compte, ce qui n’était pas le cas mardi dernier. Bref, une bétise qui aurait pu me rendre malade une semaine mais qui m’a permis de rencontrer un dépanneur sympa, un taximan encore plus, pas de quoi se prendre la tête alors que c’est ma spécialité depuis toujours.

Si j’ai pris les choses de cette manière, c’est bien grâce à ces patchs quantiques.

L’aspect quantique se passe sur le dessus du patch et est programmé dans le patch. Tout est basé et fonctionne selon les mathématiques dans l’univers. 25000 longueurs d’ondes vibratoires sont encodées selon le nombre d’or dans le patch. Et le corps s’aligne sur la programmation qui lui est proposée.

Le nombre d’or va booster vibratoirement le patch. De plus, il y a 60 longueurs d’ondes de la douleur du corps humain.

Du côté qui sera mis en contact avec la peau, le patch est imprégné de nutriments (ingrédients 100% naturels tels que capsaïcine, ginseng rouge de Corée, gingembre, …) dont le corps va se nourrir, les faire passer directement dans le sang, de façon instantanée, par le biais des rayons des infrarouges longs. La composition complète du patch n’est pas divulguée intégralement, ce qui est bien normal pour éviter toute copie. Les patchs sont protégés par 11 brevets internationaux.

Une fois utilisé, le patch en fibres de coco est 100% recyclable. Vous pouvez en faire profiter vos plantes qui vont augmenter leur croissance.

Passé un certain âge, la plupart d’entre nous voient des dysfonctionnements de leur corps. La vie nous gratifie souvent de douleurs diverses et variées qui ne manquent pas de nous gâcher la vie à tous les étages. Faut-il vivre avec, souffrir en silence ? Certainement pas !

Avec ou sans patchs, prenez soin de vous.

Mabelle

Perdre du poids, si c’était plus simple qu’on le croit ?

Bonjour,

Je vous espère en forme.

Alors que tous les magazines féminins ne montrent que des corps féminins anorexiques, et bien que nous sachions qu’il n’y a rien de naturel à avoir de tels corps, la plupart d’entre nous ont pourtant comme objectif de ressembler à ces images retouchées.

Certaines, qui détestent le sport vont s’y mettre dans l’espoir de perdre 2 centimètres ou 3 kilos mais abandonnent souvent rapidement si elles ne pratiquent un sport que dans cet unique but. D’autres tenteront un régime à la mode, puis un autre et encore un autre avant de se dire que rien ne fonctionne et de reprendre un morceau de chocolat.

D’autres ressentant le besoin d’être accompagnées pour reprendre des habitudes de vie saine s’adresseront à un(e) diététicien(ne). Malheureusement je me demande parfois où certains d’entre eux ont obtenu leur diplôme. J’ai vu ma mère hospitalisée parce qu’un diététicien lui avait prescrit un régime hyperprotéiné qui a provoqué un fécalome et lui a bloqué les reins. J’ai aussi vu une amie qui a perdu 15 kilos durant un régime drastique mais qui a tout repris dès que la diététicienne lui a préconisé de débuter la phase de retour à une alimentation normale.

Je pense que le régime cétogène peut aider à perdre du poids puisqu’il ne fait jamais rien d’autre que de supprimer les sucre, poisons que finalement, tout le monde devrait éviter . Mais, personnellement, je préfère ne pas manger de viande et les protéines végétales contiennent du sucre. Puis, débuter un tel régime semble compliqué selon ce que me disent deux amies (3 à 4 jours avant que le corps soit en cétose, maux de tête haleine de cheval, …). Aussi, vu que j’ai découvert ces super patchs qui me protègent des ondes et équilibrent mes centres énergétiques, et que la même société qui les distribue a aussi un produit qui met le corps en cétose en seulement une heure et sans les effets désagréables habituels, j’ai choisi de tester. Et, je dis : testé et approuvé.

Si prendre des informations vous tente, n’hésitez pas à revenir vers moi, à me poser des questions, à me demander à vous inviter à une conférence sur zoom un jeudi ou dimanche à 20 heures.

Il est également prévu des conférences en salle du 24 avril au 7 mai, tournée en France : à Paris, Lannion, St Malo, Tours, La Rochelle, Bordeaux, Limoges, Lyon, Orange, Montpellier, Toulon et St Laurent du Var. Attention, les places sont limitées, et donc à réserver au plus vite.

Il ne sera évidemment pas question que de perte de poids mais aussi et surtout de bien-être à tous niveaux : équilibre, sommeil, clarté d’esprit, rajeunissement, solutions antidouleur ou inflammation, … Quand les pollutions nous empoisonnent de toutes parts, c’est important de s’en protéger au naturel.

Prenez soin de vous.

Mabelle

Lutter contre l’hypoxie

Bonjour, je vous espère en forme.

Hypoxie, qu’est-ce que c’est ?
L’hypoxie désigne un manque d’apport en oxygène dans les tissus de l’organisme.
Elle survient lorsque cet apport est trop faible par rapport au besoin cellulaire, qui varie en fonction des tissus et des organes. Par exemple, le cœur consomme plus d’oxygène que le muscle en effort et beaucoup moins que le cerveau.

Le terme hypoxémie est utilisé lorsque la quantité d’oxygène dans le sang est inférieure à la normale (98 %/99 %), tandis que l’hypoxie fait référence au manque d’oxygène dans les tissus. Ces deux notions sont interdépendantes mais l’hypoxie peut survenir même si l’apport en oxygène dans le sang est suffisant.
L’hypoxie peut donc affecter une partie du corps ou sa totalité.

Pourquoi serais-je en hypoxie alors que je respire suffisamment d’oxygène ?
En effet l’air que nous respirons contient suffisamment d’oxygène (en partant du principe que nous respirons suffisamment d’air, ce qui n’est pas le cas avec les masques, je le répète depuis des mois et que nous ne respirions par notre propre gaz carbonique). Mais une fois respiré, celui-ci doit parcourir un chemin complexe jusqu’aux cellules.
Ce n’est donc pas la quantité d’oxygène respiré qui pose problème mais sa bonne utilisation au sein de l’organisme. Avant de pouvoir être utilisé, l’oxygène doit arriver au fond des alvéoles pulmonaires, être capté par le sang, véhiculé dans tout l’organisme à travers les milliers de kilomètres du réseau sanguin. Il approvisionne ensuite les tissus, pour être absorbé par les cellules qui en ont un besoin constant pour fabriquer de l’énergie – c’est-à-dire permettre la respiration cellulaire.
Seulement voilà, le parcours peut être semé d’embuches, lesquelles peuvent s’accumuler et conduire à une hypoxie.

Suis-je concerné ?
Nous sommes tous concernés : tout d’abord en raison du vieillissement au cours duquel l’assimilation de l’oxygène ralenti. Mais aussi en raison de notre mode de vie et parce que nous vivons dans un environnement qui multiplie les freins à une bonne utilisation de l’oxygène.

Ces freins peuvent se situer à chaque étapes du voyage de l’oxygène à travers le corps :
– L’air ne parvient pas suffisamment au fond des alvéoles pulmonaires en raison d’une infection par exemple
– Le sang ne contient pas suffisamment de globules rouges pour capter l’oxygène (anémie)
– Le globule rouge est piégé par des gaz toxiques venant de la pollution (à la campagne comme à la ville), ou du tabac
– Les vaisseaux sont obstrués : vieillissement, blessures, mauvais métabolisme
– La cellule est endommagée et la respiration cellulaire se fait mal

L’environnement, la pollution, le stress, les maladies, les excès, la mal bouffe…sont les principaux éléments qui entretiennent l’hypoxie.

Quelles sont les conséquences ?
Lorsque l’oxygénation est ralentie de façon régulière, localement ou globalement, l’hypoxie s’insinue discrètement pour devenir chronique.
Les premiers signaux peuvent être une fatigue, de l’essoufflement, une perte d’énergie, un état dépressif, un manque de mémoire, une difficulté de concentration, des problèmes d’endormissement
L’hypoxie devient à la fois cause et conséquence d’un mauvais métabolisme, lequel entraine alors des dysfonctionnements au niveau des organes.

L’hypoxie est délétère pour l’organisme, en particulier pour le foie, le cœur et surtout le cerveau qui a des besoins énergétiques élevés (20 % des besoins énergétiques totaux de l’organisme au repos).
Elle peut favoriser l’installation du diabète, des maladies neurodégénératives et en générale des pathologies inflammatoires et dégénératives.

Mais sans aller jusque-là, pour vivre bien et lutter contre les agressions de la vie moderne, il est important pour chacun de préserver ou de retrouver une bonne oxygénation cellulaire.

Pour vivre bien et lutter contre les agressions de la vie moderne, il est important pour chacun de préserver ou de retrouver une bonne oxygénation cellulaire.

Une solution grandeur nature

René Jacquier avait constaté que depuis l’Antiquité, les lieux de santé se situaient dans des forêts de pins et de sapins. D’observations en expériences, il trouva dans les essences du pin des Landes (Pinus pinaster) la réponse à ses questions.

Le rôle de l’essence de pin

L’essence de résine de pin, riche en alpha et beta pinènes, est composée de molécules aromatiques insaturées qui offrent la possibilité d’une liaison chimique supplémentaire.
Dans l’atmosphère et dans certaines conditions physiques et météorologiques, elles se chargent fortement en oxygène, ce qui les rend très réactives.
C’est à partir de ce phénomène naturel que René Jacquier a imaginé la solution Bol d’air : utiliser l’huile essentielle de résine de pin (térébenthine), pour créer un transporteur d’oxygène.

Un oxygène hautement assimilable

Les pinènes de l’huile essentielle Orésine®, transformés par peroxydation, deviennent des facilitateurs de l’oxygénation cellulaire. D’où le nom de biocatalyseurs que leur donnait René Jacquier.
Le mécanisme est triple :
• l’oxygène est mieux distribué aux cellules. En effet, l’hémoglobine “capte” plus volontiers les
pinènes oxygénés que l’oxygène seul. A quantité équivalente dans l’air inspiré, elle en transporte
davantage vers les cellules
 l’oxygène est plus facilement libéré dans les tissus : transporté par l’intermédiaire des pinènes, il
est moins solidement lié à l’hémoglobine
• l’oxygène est délivré sous une forme naissante, hautement assimilable par la cellule.

Une oxygénation équilibrée

Avec le Bol d’air, l’organisme est simplement et naturellement mieux oxygéné :
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Mabelle

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Mabelle

Les vertus du brocoli

Bonjour,

Comment allez-vous ?

Je vous partage ce matin un article de Marion Kaplan sur ce légume de la famille des crucifères, excellent pour la santé de par ses propriétés antioxydantes, anticancer, antibiotiques, antibactériennes, antifongiques, antimutagéniques, dépolluantes…

Merci Marion.

Portez vous bien.

Mabelle

Brocoli : bienfaits et vertus pour la santé

En préambule…

Le brocoli possède, d’une manière générale, un profil nutritionnel exceptionnel. Outre les nombreuses vitamines et minéraux qu’il renferme(1), sa teneur en fibres alimentaires et le fait qu’il favorise le transit, le brocoli a un fort pouvoir antioxydant.

Il est riche en kaempférol (un flavonoïde que l’on retrouve aussi dans le thé) qui se révèle protecteur contre certains cancers et maladies cardiovasculaires. Il est aussi riche en lutéine et zéaxanthine : ces deux antioxydants de la famille des caroténoïdes sont garants d’une bonne santé oculaire en diminuant, notamment, le risque de dégénérescence maculaire et de cataracte.

Il est bon pour le cerveau, la mémoire en particulier. La consommation de crucifères d’une manière générale et de brocoli en particulier permet de ralentir le déclin cognitif, comme l’a conclu une étude menée chez des femmes âgées.

Enfin, il est bon pour le cœur aussi – tout comme ses parents crucifères -, diminuant les risques de maladies cardiovasculaires. Leur consommation quotidienne est en effet associée à une faible concentration d’homocystéine, un acide aminé. L’homocystéine est considérée depuis plus de 30 ans comme une cause d’athérosclérose et il est désormais démontré qu’il existe une relation indiscutable entre hyperhomocystéinémie (c’est-à-dire des taux élevés d’homocystéine dans le sang) et infarctus du myocarde, AVC, démence ou maladie thromboembolique veineuse (2).

Plus encore…

En plus des antioxydants précédemment cités, le brocoli est le crucifère qui contient le plus de sulforaphane (suivi de près par le chou-fleur). Le sulforaphane a attiré l’attention des chercheurs pour ses propriétés antioxydantes qui peuvent persister pendant des heures après l’ingestion. En effet, contrairement aux antioxydants directs qui sont détruits après avoir réagi avec les radicaux libres, le sulforaphane continue d’exercer son activité et d’induire l’expression d’enzymes de « phase II » du métabolisme des xénobiotiques (3). Ce métabolisme est absolument essentiel, c’est lui qui se charge d’éliminer de notre organisme les différents contaminants alimentaires, composés synthétiques, polluants environnementaux et médicaments, en convertissant ces composés lipophiles en composés hydrophiles, qui peuvent être excrétés dans les fluides biologiques. Les enzymes de phase II, en particulier, détoxifient les métabolites électrophiles susceptibles d’altérer la structure de l’ADN (4).

Le sulforaphane n’existe pas « réellement » dans le brocoli. C’est une molécule de la famille des isothiocyanates qui attirent particulièrement l’attention des chercheurs en tant que puissants agents dans la lutte contre les cancers, et les maladies cardiovasculaires et neurodégénératives.

Les isothiocyanates sont initiés par la rencontre entre un glucosinolate et une enzyme. On trouve des glucosinolates dans toute la famille des crucifères. Ce sont eux qui sont responsables de ce petit goût piquant que l’on retrouve dans les choux certes, mais aussi la moutarde, la roquette, les radis, ou encore le raifort. Les glucosinolates que renferme la plante restent inactifs tant qu’ils n’ont pas rencontré la dite enzyme : la myrosinase, qui existe au sein de la même plante, mais dans un autre compartiment cellulaire. C’est leur mise en contact, déclenchée par une agression extérieure (bactérie, champignon, insecte fan de légumes), qui crée la magie. Si un insecte vient à grignoter la plante, la guerre est déclarée et le processus s’enclenche, la défense se met en place et lance la « bombe à moutarde » pour repousser l’assaillant, l’empoisonner.

Dans le cas du brocoli, le sulforaphane se forme à partir de la mise en contact de la myrosinase avec la glucoraphanine (5). Sous l’action de l’enzyme, ce glucosinolate (la glucoraphanine) se transforme en un isothiocyanate actif : le sulforaphane.

La magie de l’histoire, c’est quand nous coupons le brocoli cru en tout petits morceaux, quand nous le hachons, quand nous le mastiquons ou qu’il entre en contact avec notre flore intestinale bactérienne, nous déclenchons ce même mécanisme de défense de la plante et la production de ces mêmes molécules qui nous sont, contrairement à l’insecte qui en fait les frais, prodigieusement bénéfiques, comme nous allons le voir.

Elles nous protègent de différents types de cancers, dont les cancers hormonodépendants qui font intervenir une autre molécule en plus du sulforaphane. Le brocoli, comme presque tous les crucifères, renferme un autre glucosinolate : la glucobrassicine. Sa dégradation par la myrosinase produit un composé actif appelé indole-3-carbinol (I3C) (6).

Le sulforaphane et l’I3C contribuent tous deux à évacuer les substances cancérigènes avant qu’elles n’aient le temps de causer des dommages (7).

Des études ont mis en évidence que l’indole-3-carbinol se montrait particulièrement efficace contre le cancer du sein, en abaissant le taux d’œstrogène nuisible susceptible de stimuler la croissance tumorale dans les cellules hormonodépendantes, comme les cellules mammaires. Il est également protecteur contre le cancer de la prostate, qui est également un cancer hormonodépendant.

Le brocoli est efficace contre le cancer du sein quand il est consommé cru. Consommé cuit (mais pas trop, comme nous allons le voir ensuite), il s’avère protecteur contre le cancer du côlon, dont il va aller nourrir les bonnes bactéries qui œuvrent à notre bien-être. Différentes recherches ont pu montrer que nos bactéries intestinales pouvaient agir tel un « organe » et sécréter leur propre myrosinase, leur permettant de transformer les glucosinolates en isothiocyanates actifs, anticancérogènes (8). Une nouvelle fois, notre microbiote se révèle incontestablement le médiateur de notre bonne et pleine santé.

Outre ses propriétés anticancer, le sulforaphane est aussi connu pour son action protectrice contre le stress oxydatif, les maladies inflammatoires, ainsi que les infections bactériennes, parasitaires et virales. Il agit sur la douleur, il est garant du bon fonctionnement des mitochondries, nos petites usines énergétiques (Lien vers Voyage en mitochondries) et il est même capable de nous « dépolluer » ! Nous allons voir ces différents points un peu plus en détails.

Helicobacter pylori ne lui résiste pas… Le brocoli peut aider à combattre cette bactérie comme l’a montré une équipe de chercheurs japonais (9). Ils ont constitué deux groupes de personnes, ajoutant à leurs aliments 100 g de pousses de brocoli dans l’un, et 100 g pousses de luzerne dans l’autre. Ce, quotidiennement durant deux mois. Si le brocoli produit abondamment du sulforaphane, ce n’est pas le cas de la luzerne.

Résultat : à l’issue de ces deux mois, les personnes ayant consommé des pousses de brocoli étaient nettement moins infectées par H. pylori que les autres. Dans ce même groupe, les taux de pepsinogènes avaient aussi considérablement diminué.

Une autre étude a montré que le sulforaphane était capable d’inhiber les souches antibiorésistantes d’Helicobacter pylori et de prévenir la formation de cancer de l’estomac (10).

Le staphylocoque doré ne lui résiste pas non plus… Le sulforaphane activerait un mécanisme moléculaire empêchant l’infection par le staphylocoque doré, selon une équipe de chercheurs de l’Inserm.

Pour les initiés, les auteurs ont pu mettre en évidence que le sulforaphane empêchait l’activation des voies de signalisation p38 et JNK par Staphylococcus aureus, deux enzymes majeures impliquées dans la production de cytokines inflammatoires (11).

Le sulforaphane, l’autisme et les mitochondries

La consommation de germes de brocoli par de jeunes hommes atteints de trouble du spectre autistique (TSA) a permis des améliorations significatives du comportement (moins d’irritabilité, moins de léthargie, moins de stéréotypie et d’hyperactivité), de l’interaction sociale et de la communication verbale. Ces effets bénéfiques ont disparu dès l’arrêt du traitement, c’est-à-dire de la consommation de brocoli. Selon les chercheurs ayant mené cette étude, le sulforaphane issu du brocoli jouerait ses effets bénéfiques en bloquant quatre voies fonctionnelles chez les personnes autistes : l’excès de stress oxydant, la capacité antioxydante réduite et moindre synthèse de glutathion, le dysfonctionnement mitochondrial et l’inflammation cérébrale (phosphorylation oxydative réduite et peroxydation lipidique accrue).

Le sulforaphane s’avère donc capable de protéger contre l’oxydation, le dysfonctionnement mitochondrial et l’inflammation (12).

Le sulforaphane du brocoli s’est révélé également avoir un effet anti-inflammatoire, ainsi qu’antidouleur (anti-nociceptif) dans l’endométriose touchant le nerf sciatique. Une étude (13) notamment a montré qu’il soulageait les sciatalgies causées par les lésions endométriosiques, et qu’il inhibait qui plus est la croissance du tissu endométrial ectopique.

Les effets anti-inflammatoires et anti-nociceptifs du sulforaphane de brocoli ont aussi été mis en évidence dans les neuropathies (14).

En résumé, on n’en finit plus de découvrir les nombreux bienfaits du sulforaphane du brocoli sur notre organisme. Il aurait même un intérêt dans l’élimination des polluants atmosphériques ! Dans une étude réalisée chez l’homme, la prise orale d’une préparation obtenue à partir de 200 g de brocoli a déclanché une forte augmentation des enzymes de détoxication au niveau des voies respiratoires. Une autre étude a confirmé ces résultats où une l’ingestion d’une préparation à base de sulforaphane a permis d’améliorer l’élimination de polluants comme le benzène et l’acroléine. De plus, de par ses propriétés anti-inflammatoires, le sulforaphane diminue la production de cytokines pro-inflammatoires dans les voies respiratoires et protège les cellules épithéliales pulmonaires de l’inflammation générée par les particules diesel.

Côté cuisine

La myrosinase, sans laquelle le sulforaphane ne peut se former, est sensible à chaleur et soluble dans l’eau. Elle se trouve donc inactivée en cas de cuisson trop forte (au-delà de 60 degrés dans l’eau) et elle se « noie » dans une grande casserole d’eau.

Pour profiter au maximum des bienfaits du brocoli, il faudrait le consommer cru, après l’avoir découpé en tout petits morceaux, le laisser à l’air libre au moins 15 mn et bien le mastiquer, pour déclencher le processus de défense de la plante (la mise en contact de la myrosinase avec le glucosinolate), et permettre une maximisation de l’absorption du sulforaphane et de sa biodisponibilité.

Vous avez certainement un peu de mal à imaginer manger cru votre brocoli… Il est possible de le cuire al dente, le mieux étant à la vapeur douce, ce durant au maximum cinq minutes.

Si vous voulez le faire cuire autrement qu’à la vapeur, il est recommandé par les chercheurs de le couper en tout petits morceaux et de laisser reposer le mélange pendant une heure à une heure et demie environ avant cuisson. Avec cette méthode, même une cuisson au wok permettrait de conserver de bons niveaux de sulforaphane.

Enfin, une autre solution consiste à rajouter l’enzyme après cuisson, par exemple avec des graines de moutarde broyées ou un morceau de légume cru.

Le dernier chapitre que je souhaite aborder pour conclure cet exposé mettant en lumière les puissants bienfaits du brocoli concerne certaines précautions : le brocoli est excellent pour la santé oui, mais il doit être bio et consommé avec juste mesure, comme pour tout ! Il peut en outre exacerber certains troubles ou interagir avec certains traitements médicamenteux.

Acheter bio. Le brocoli fait partie de la famille des choux. Les choux ont cette particularité d’être des « bio-accumulateurs », c’est-à-dire qu’ils sont capables d’accumuler, sans dommage pour leur organisme, différents polluants atmosphériques. On note parmi eux : les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP, les composés organiques volatils (COV), les dioxines et furannes ou encore les PCB15. Il va de soi que le brocoli que vous allez déguster sera bio.

Consommer dans la juste mesure. S’ils regorgent de vertus santé comme nous venons de le voir, à forte dose dans l’alimentation, les glucosinolates sont toxiques et antinutritifs. Mais il faut vraiment consommer de très grandes quantités de crucifères pour atteindre ce seuil de toxicité. Qui plus est, les formes de choux actuels ont progressivement été sélectionnées pour être moins riches en glucosinolates et sont aptes à être consommées crues (15).

Crucifères et thyroïde. Les légumes crucifères font partie de la famille des aliments dits « goitrogènes » qui auraient la capacité d’entraver l’utilisation de l’iode par la glande thyroïde. Les crucifères étant bons pour la santé, il n’est pas recommandé de les retirer totalement de son alimentation, mais seulement de les faire légèrement cuire afin de réduire l’activité des molécules goitrogènes.

Il n’y a pas lieu non plus, à la lumière des connaissances actuelles, de modérer sa consommation de crucifères en cas d’hypothyroïdie, à moins que des dosages sanguins n’indiquent une carence en iode. L’abondance de l’iode en temps normal permet d’apporter suffisamment à la thyroïde, même en présence d’isothiocyanates. Les produits de la mer, par exemple, permettent un bon apport en iode. Cela peut être problématique pour les personnes qui n’en consomment que peu ou pas. Ainsi, si vous êtes végétarien ou végétalien, il est recommandé de vous supplémenter.

Vitamine K et anti-coagulants. Le brocoli contenant une quantité élevée de vitamine K, les personnes prenant des médicaments anti-coagulants doivent modérer leur consommation d’aliments qui en contiennent : le brocoli bien sûr, mais aussi l’asperge, la bette à carde, le chou de Bruxelles, le cresson ou encore les épinards.

Brocoli et syndrome de l’intestin irritable. Les crucifères comme le brocoli peuvent être difficilement tolérés par certaines personnes atteintes de SII. Le fait de limiter ou d’éviter les aliments fermentescibles comme ceux de la famille des crucifères peut atténuer les symptômes ressentis comme les douleurs abdominales, les ballonnements ou encore la diarrhée. On peut, dans certains cas, réintégrer graduellement ces aliments, en cas de symptômes légers ou pendant les périodes de « rémission ».

Interactions médicamenteuses. Les crucifères contiennent naturellement des composés appelés indoles, qui peuvent notamment diminuer l’action de certains analgésiques, comme les produits contenant de l’acétaminoprène, par exemple.

Portez vous bien !

1- Le brocoli est riche en vitamine C et s’avère une bonne source également de vitamines de K, B2 (riboflavine), B9 (folate), B5 (acide pantothénique), B6 (pyridoxine). Côté minéraux : c’est une source de cuivre, de fer, de magnésium, de manganèse, de phosphore et de potassium.

2 – C. de jaeger et al. Rôle de l’homocystéine en pathologie, Médecine & Longévité, Volume 2, Issue 2, June 2010, 73-86

3 – Comme les glutathion-S-transférases (GST), la NAD(P)H quinone réductase, l’époxyde hydrolase, l’hème oxygénase ou encore l’UDP-glucuronosyltransférase. Dadras F., Khoshjou F, « NF-E2-related factor 2 and its role in diabetic nephropathy », Iran J Kidney Dis, vol. 7, N°5, septembre 2013

4 – Les études en cancérologie animale soutiennent clairement l’hypothèse que la consommation de crucifères joue un rôle protecteur à l’encontre des substances cancérigènes. Elles montrent qu’à forte dose, les isothiocyanates et les indoles induisent des enzymes de « phase II » qui détoxifient les métabolites électrophiles susceptibles d’altérer la structure de l’ADN. Bruneton J. Pharmacognosie – Phytochimie, plantes médicinales, 4e éd., revue etaugmentée, Paris, Tec & Doc – Éditions médicales internationales, 2009

5 – Chaque glucosinolate, différent selon les légumes considérés, produit en cas d’attaque une autre molécule de la famille des isothiocyanates. Le sulforaphane est donc l’isothiocyanate retrouvé dans le brocoli, mais on retrouve d’autres isothiocyanates dans les autres crucifères. Par exemple, en cas de dommages faits au cresson, on va retrouver du phénethyl-isothiocynatae qui est fabriqué à partir du gluconastrutiine (un glucosinolate). Tous les isothiocyanates sont suspectés de posséder des effets anticancer. Source : Comment optimiser les effets anticancer du brocoli, Julien Venesson

6 – L’indole-3-carbinol peut se transformer à son tour dans l’organisme en 3,3-diindolylméthane

7 – Le brocoli, la protection contre le cancer par excellence, ma santé naturelle.com

8 – Les glucosinolates sont hydrolysés au niveau du côlon en isothiocyanates par la flore intestinale, comme le montrent ces trois études : Humblot C, Philippe C, Elfoul L, Rabot S. Conversion des glucosinolates en isothiocyanates anticancérogènes par la flore colique de l’homme : influence du sujet et du régime alimentaire. INRA, Unité d’écologie et de physiologie du système digestif (UEPSD)

Tian S et al. Microbiota : a mediator to transform glucosinolate precursors in cruciferous vegetables to the active isothiocyanates. J Sci Food Agric. 2017 Getahun SM, Chung FL. Conversion of glucosinolates to isothiocyantes in humans after ingestion of cooked watercress. Cancer Epidemiol Biomarkers Prev. 1999 May 28, 2002

9 – Yanaka et al., 2009. Dietary sulforaphane-rich brocoli sprouts reduce colonization and attenuate gastritis in Helicobacter pylori-infected mice and humans. Cancer Prev Res (Phila). 2009 Apr.

10 – Fahey JW et al. Sulforaphane inhibits extracellular, intracellular, and antibiotic-resistant strains of Helicobacter pylori and prevents benzo(a)pyrene-induced stomach tumors. Proc. Natl. Acad. Sci. USA, Vol. 99, Issue 11,

11 – Le sulforaphane, une nouvelle piste pour traiter les infections par le staphylocoque doré ? Inserm, 15 mais 2020

12 – Kanwaljit Singh et al., Sulforaphane treatment of autism spectrum disorder (ASD), Proc Natl Acad Sci U S A, 2014

Du brocoli pour soutenir les personnes autistes, Sandra Cascio, Medicatrix, 12 avril 2021

13 – Liu Y et al. Anti-nociceptive and anti-infammatory effects of sulforaphane on sciatic endometriosis in a rat model. Neurosci Lett. 2020 Feb 22

Le sulforaphane de brocoli comme anti-inflammatoire et antidouleur dans les sciatalgies causées par l’endométriose, Fabien Piasco, Medicatrix, 20 mars 2020

14 – Wang C, Wang C. Anti-nociceptive and anti-inflammatory actions of sulforaphane in chronic constriction injury-induced neuropathic mice. Inflammopharmacology. 2017 Feb 25.

15 – La bio-surveillance : les choux, Atm Franche-Comté.