Il est temps que vos rêves se réalisent

Bonjour, vous allez bien en ce début de semaine ?

Le premier jour du cycle lunaire, la Terre est remplie d’une énergie particulièrement puissante à laquelle chacun peut accéder pour bénéficier de ses bienfaits, et réaliser ses souhaits pour vivre pleinement sa vie.

Comment ?

En rédigeant votre chèque d’abondance !

Les chèques d’abondance sont à rédiger dans les 24 heures suivant une nouvelle lune (celle-ci a débuté à 3h59).

Si vous n’avez pas de chèque, vous pouvez copier et imprimer celui ci-dessous (mais vous devriez en trouver d’autres sur le net), voir simplement utiliser un bout de papier et le remplir de la manière d’un chèque le résultat sera le même: plus d’abondance pour vous. Ce n’est pas toujours une abondance financière mais certainement une abondance dans un aspect de vie où vous en avez besoin !

Voici comment faire :

1.A côté de « Payez » notez le montant en lettres, et sur la même ligne ou juste en dessous notez « Payez intégralement »

2.Dans la case pour le montant en chiffre, écrivez le montan

3.Inscrivez votre nom dans l’espace “Payez à l’ordre de (votre nom)”.

4.Ensuite, placez-le dans un endroit sûr (dans la maison ou votre portefeuille) et  oubliez-le. L’Univers prendra votre intention en charge à partir de ce moment.

Vous pouvez aussi le mettre en évidence afin de le voir le plus souvent possible pour faire que votre esprit s’habitue à l’idée de recevoir ce montant. A vous de sentir ce qui est le mieux pour vous.

Vous pouvez le garder aussi longtemps que vous voulez.

Vous pouvez supprimer le chèque si vous sentez que votre intention ne correspond plus à votre désir. Peut-être avez-vous besoin de passer à autre chose ?

Une fois l’intention réalisée, vous pouvez soit encadrer votre chèque et le mettre au mur, ou le déchirer/brûler/noyer avec gratitude en mentionnant que vous êtes reconnaissant(e) pour sa réalisation.

Essayez, et partagez vos résultats !

Mabelle

Ne me demandez pas ça !

Bonjour, j’espère que vous allez bien. 

Je vous écrit un petit message en réponse à un message coup de gueule reçu hier soir. 

Ne me demandez pas de vous écrire de manière régulière, j’ai trop à dire et pas le temps. Je préfère vous écrire lorsque l’énergie est là et non parce que je me suis engagée à le faire.

Sur cette terre, tout est fondé sur des accords plus ou moins mutuels auxquels tout le monde se soumet. Ca signifie que vous êtes peut-être arrivé ici par hasard, mais aussi que peut-être vous vous êtes inscrit pour recevoir les articles de ce blog et que vous attendez de moi que je vous donne un certain contenu qui vous informe, vous inspire ou vous fasse réfléchir, et que vous l’attendez à un rythme régulier.

J’ai tenté de répondre à ces attentes mais cette façon de faire ne me convient pas, elle ne laisse aucune place à la création et me laisse avec une sensation d’obligation. Or, lorsque j’examine mes valeurs, je vois que celle qui est la plus importante pour moi est la liberté. Si je ne me sens pas libre d’écrire quand j’en ai envie cela perd tout son sens à mes yeux.

Je veux être claire, au départ, personne ne m’a poussée à écrire à tel ou tel rythme, c’est moi même qui me suis mise cette règle à suivre pour bien faire. C’est moi également qui ai choisi d’écrire des textes d’une certaine longueur plutôt que quelques phrases. Mais certains s’y sont probablement habitués et ne comprennent pas pourquoi à certains moments j’écris moins, voire trop car ils n’ont pas le temps de tout lire.

Je suis la première à dire que la personne la plus importante de notre vie c’est nous même et je ne me respecte pas en écrivant au rythme qui convient à d’autres, des articles pas trop courts pour qu’ils soient intéressants et pas trop longs pour que chacun dispose du temps pour les lire.

Or, certains jours j’ai envie d’écrire des lignes et des lignes, d’autres jours beaucoup moins et parfois rien du tout. Donc pourquoi rester coincée dans cette façon de fonctionner ? Il n’y a aucune raison en réalité.

Aussi, dorénavant, au risque de déplaire à certains, j’ai choisi de suivre l’énergie du moment, d’écrire deux lignes si c’est ce que je ressens ce jour là, ou un texte interminable si c’est ça qui est vrai pour moi le lendemain ou trois mois plus tard. Ainsi cela restera pour moi un plaisir. Alors, je vous dis à bientôt … ou pas !

Prenez soin de vous

Mabelle

Canalisez votre enfant trop actif de manière ludique avec la Sophrologie

Bonjour,

Comment allez vous ? Et comment vont vos enfants ? Il n’est pas toujours facile d’être parent n’est ce pas. 

colère.jpg

Je vous partage ce matin un article intéressant de Fériel Berraies

La nature nous comble parfois d’une progéniture débordante d’énergie. Ce billet est dédié à tous les parents qui sont en proie à l‘excitation démesurée de leurs enfants. Attention, ici nous n’abordons aucun trouble du comportement infantile, pathologie, enfants dys, il s’agit uniquement de petits tuyaux pratiques, pour aider vos enfant à mieux maîtriser frustrations, colère et grosse « activité », à ne pas confondre avec l’hyperactivité ou l’ hyperexcitabilité.

Certaines thérapies brèves comme la soprologie proposent des méthodes ludiques et concrètes afin de canaliser votre bambin, en lui permettant de prendre conscience de leur corps, du rôle qu’il joue dans leur espace et surtout à le canaliser si besoin.

La problématique consiste à réussir à capter l’attention. La concentration et le fait de les aider à se poser sont les étapes nécessaires pour réussir à enrayer leur excitation.

Je vous propose ces quatre exercices ludiques. A faire le soir avant dodo, ou durant la sieste, ou quand votre enfant sera disponible et disposé.

Exercice 1: il écrase sa frustration et son excitation pour apprendre à se poser

L’exercice du polichinelle consiste à demander à l’enfant de sauter sur place comme si ses pieds avaient des ressors. Il est « inspecteur Gadget ». Sa respiration est libre. À chaque saut, il écrase l’énervement. Il s’arrête quand il fatigue et ferme les yeux ensuite, pour sentir ce qui se passe dans son corps, sa tête, son cœur, il sent sa respiration (ces ressentis sont importants pour qu’il comprenne l’intention de l’exercice. Enchaînement à répéter deux à trois fois, ainsi le surplus d’excitation résistant est effacé.

Exercice 2il  Balaye ses frustrations avec des rotations

Faites visualiser à votre enfant une sensation de frustration, de dépit, de  colère. Avec cet exercice de Rotations Axiales, il va dessiner un cercle autour de lui, mais au passage, balayer tout ce qu’il y a autour de sa « bulle » 

Avant de commencer, il gaine le bas de son corps. Mais son torse, lui, va faire des mouvements de rotation et ses bras seront lâches (comme du chewing gum) pour bien sentir sa « flexibilité » et il doit visualiser au bout de ses mains les balayettes.

Debout, il prend une grande inspiration, bloque sa respiration, et avec des « balayettes »  imaginaires dans chaque main, il balaye autour de lui la frustration puis il souffle par la bouche et reprend la position initiale. Enchaînement à faire 3 fois et chaque fois, il doit visualiser « son travail de balayage » quand il fait les rotations (s’il a des tensions lombaires ou des contractions au niveau de la poitrine, cet exercice va permettre de détendre ces parties).

Exercice 3: il fixe  sa concentration et son calme avec son doigt magique, comme Harry Potter sans baguette. (C’est le doigt qui est la baguette magique)

Toujours debout, l’enfant doit apprendre à se poser et se canaliser, cet exercice de concentration peut l’aider. Il se fait en trois temps : il inspire tout en levant le bras droit à l’horizontale. Le pouce est à son tour levé vers le ciel. L’enfant fixe l’ongle en le ramenant vers lui cad vers sa poitrine, ce faisant, (il  imagine que son ongle est une pile de calme et de concentration magique), tout en bloquant sa respiration. Quand ses yeux louchent, il les ferme et pose son doigt entre ses sourcils (le calme se diffuse alors) et il relâche sa respiration, en même temps qu’il  laisse ensuite son bras redescendre. Cet exercice va l’obliger à focaliser son attention sur un point donné (et ainsi, l’obliger à canaliser toute son attention et à ne plus se disperser) 

Exercice 4:  il fait le chat avec les doigts en griffes pour agripper le calme vers lui      

Avec cet exercice, il va  ramener à lui la douceur et le calme. L’image du félin ici est importante, beaucoup d’enfants aiment les chats. Il se fait en trois temps : il inspire tout en levant les deux bras à l’horizontale. Il fait une contraction de ses deux mains comme un chat et ramène vers sa poitrine les deux mains en mode « félin ». Il ramène le calme entre ses doigts de chat. Il souffle doucement en lâchant ses bras (dés qu’il touche sa poitrine) . Cet exercice va lui faire prendre conscience de ses capacités de préhension. Il a entre ses doigts son objectif, ce calme, et il va le ramener à lui. Tout comme le félin qui ne lâche plus sa prise. En soufflant, pour relâcher « ses griffes »  il s’enveloppe alors de tout ce calme, qu’il finit par intégrer dans son corps.

N’hésitez à faire vous même ces exercices avant de dire à votre enfant que c’est un jeu de mime dans lequel il prend part.

Avec ces 4 exercices, votre enfant est calmé !

Article rédigé par Fériel Berraies, sophrologue spécialisée enfance et adolescence 

J’espère que cet article vous a plu. 

Vivez une merveilleuse journée

Mabelle 

 

Se ressourcer dans la nature

Bonsoir,

Comment allez vous ce soir ? Vous avez eu une belle journée ?

Je vous partage un petit article du Journal de Montréal qui nous parle des bienfaits d’une promenade dans la nature.

Belle fin de soirée

Mabelle

Les personnes qui passent du temps dans la nature sont plus heureuses et moins stressées

Il faut parfois prendre une pause et regarder autour de soi pour constater à quel point la nature est apaisante. Même s’il est moins évident de le faire lorsqu’on réside en milieu urbain, il est essentiel de passer du temps à l’extérieur de la ville.

Voici quelques points qui devraient vous convaincre de profiter du beau temps et de vous évader de la métropole.

La nature réduit le stress et aide à trouver un sens à son existence

Il y a une poignée d’études qui démontrent que passer du temps dans la nature a des effets positifs sur le moral. Dans une étude réalisée à l’Université de Chiba au Japon, les scientifiques ont démontré que les gens qui étaient plus en symbiose avec la nature étaient plus heureux. Durant la durée du projet, des groupes étaient divisés en deux. La moitié devait passer du temps en forêt, alors que l’autre séjournait en milieu urbain. Le lendemain, les groupes étaient interchangés. Les scientifiques ont remarqué que lorsque les 280 participants étaient en forêt, leur pouls, leur pression artérielle et leur taux de cortisol était plus bas.

Marcher en forêt stimule le système immunitaire

Ce n’est pas seulement le cerveau qui est stimulé par le grand air, mais aussi le corps. La marche en forêt renforce les muscles et augmente la résistance du système immunitaire. Selon une étude réalisée à l’École de médecine de Nippon à Tokyo, lorsque l’homme inhale les phytoncides, des molécules sécrétées dans l’air par les arbres et les plantes, les effets sur le corps humain sont bénéfiques au système immunitaire.

L’activité en nature brûle des calories

Une simple marche en forêt de 60 minutes peut brûler jusqu’à 500 calories. C’est aussi moins exigent pour le corps et les articulations de passer du temps dans la nature que de pratiquer le jogging, par exemple. La marche en forêt réduit la pression artérielle et aide à prévenir les maladies du cœur. Évidemment, les calories brûlées peuvent aussi contribuer à la perte de poids.

Le cerveau est stimulé après une marche en forêt

Les paysages à couper le souffle, les bruits environnants, le terrain parfois aride: tous ces éléments contribuent à stimuler le cerveau et la créativité. Des chercheurs de l’Université du Kansas et de celle de l’Utah affirment que passer du temps dans la nature, loin des technologies, contribue grandement à développer l’intuition.

Pour tirer ces conclusions, les scientifiques ont envoyé 56 participants en excursion de quatre ou six jours dans les forêts de l’Alaska, du Colorado, du Maine et de Washington. Durant cette période de temps, les cobayes n’avaient pas le droit d’utiliser de machines électroniques. À la fin de leur séjour en nature, leur niveau de créativité avait augmenté de 50%, de même que leurs aptitudes à résoudre des problèmes. Évidemment, les études ont démontré que la combinaison entre la nature et l’éloignement de la technologie avait un impact direct sur l’homme.

D’ailleurs, selon l’environnementalisme John Muir, retourner dans les bois est en quelque sorte comme retourner de l’endroit d’où l’on vient.

Source : journaldemontreal.com

 

Etre acteur de sa vie, être soi en pleine conscience