Bonjour, j’espère que vous êtes en pleine forme ce matin
Avez vous déjà entendu parler des Bojis ?
Les Bojis sont toujours par paire car ils travaillent en polarité. Ils proviennent de la région d’Utica aux Etats Unis, une région que les Amérindiens considéraient comme sacrée.
Ce ne sont pas de simples pierres, mais des pierres particulières qui présentent un mystère pour la minéralogie car ils sont constitués de pyrite, de limonite et de marcassite dont la dureté ne dépasse pas 6,5 alors que les Bojis sont à 7,4.
Leur formation remonte à des millions d’années. Dans cette
région se trouvait la mer avec des organismes marins. Le changement climatique
l’a fait disparaitre et a formé ces minéraux présentant la marque d’une
fossilisation.
De toutes les pierres que l’on peut utiliser en soin ce sont celles qui offrent le plus de possibilités sur le plan énergétique.
Dès que l’on commence à travailler avec on sent l’énergie se mettre en mouvement dans notre corps. Cela peut se ressentir par des picotements, chaleur, vibrations, fourmillements. L’énergie se met à circuler pour se centrer, ancrer, débloquer ou se libérer.
De par leur polarité les Bojis vont rééquilibrer les chakras et régulariser notre énergie en suivant les circuits énergétiques de notre corps
Elles vont à la fois agir sur notre corps physique ainsi que sur nos corps subtils. Elles libèrent les blocages sans douleur.
Elles nous permettent de prendre conscience de ce qui est
bloqué en nous, de ce que nous avons au fond de nous.
Ce sont des pierres incroyables qui agissent sur tellement de symptômes qu’il est impossible de tout décrire. Elles travaillent à la fois sur l’émotionnel, le physique ou le mental, allant d’un mal de tête à la schizophrénie.
Il est conseillé pour travailler avec de mettre une pierre
dans chaque main
En général la plate plus lisse est la femelle (+) et celle
plus rugueuse est le mâle (-).
L’homme met le (+) dans sa main droite et la femme dans sa
main gauche.
Mais le mieux est de tester car nos polarités peuvent être
inversées.
Elles vont créer un champ magnétique autour qui relie les
corps éthériques et physique et qui nettoie l’aura en colmatant les fuites.
Lorsque l’on laisse plus longtemps ça aide à libérer les
schémas ancrés et augmente la réceptivité de channeling.
Lorsqu’on pose les deux sur le chakra du cœur ça aide à
éliminer un mal ou malaise indéfinissable.
A utiliser en cas de choc émotionnel, de besoin de protection ou de récupération.
Je vous partage ce matin un petit texte que je trouve très beau, mais dont je ne connais pas l’auteur, s’il veut se faire connaître j’en serai ravie.
Prenez soin de vous
Mabelle
Lorsqu’une porte se ferme dans votre vie, l’univers entier s’ouvre pour vous.
Notre vie est en constante évolution, personne ne vit toujours la même vie. Et nous devons nous adapter à ces changements si nous souhaitons continuer notre évolution et notre transformation.
Il peut être difficile de faire face à des portes qui se ferment dans la vie, en particulier lorsque nous ne nous y attendons pas. Aujourd’hui, nous pouvons vivre une très belle histoire d’amour, avoir des amis très fidèles et un travail stable où nous nous épanouissons, et demain nous pouvons tout perdre soudainement et devoir tout recommencer à zéro.
Quand nous vivons une période aussi difficile, que l’on nous retire tout ce que nous avons mis tant de temps à bâtir, nous pouvons ressentir de la colère ou de la tristesse face à la vie, et penser que l’univers tout entier prépare quelque chose contre nous.
Nous croyons cela car nous sommes incapables de prendre suffisamment de recul pour comprendre pourquoi cela se produit, mais lorsque nous réalisons pourquoi certaines portes se ferment à nous, nous nous réjouissons qu’un cycle se termine.
Notre vie est en constante évolution, personne ne vit toujours la même vie. Et nous devons nous adapter à ces changements si nous souhaitons continuer notre évolution et notre transformation. Nous avons la fâcheuse tendance à nous attacher au passé, à ceux qui sont partis et aux souvenirs qui ne reviendront jamais. Tellement de portes restent ouvertes que cela nous empêche d’en ouvrir de nouvelles.
Quand la vie réalise que nous restons accrochés à des choses qui n’existent plus, elle ferme ces anciennes portes pour que nous puissions évoluer dans notre voyage, même si cela nous blesse sur le moment.
Nous pensons qu’en nous libérant de ce qui ne nous sert plus, nous perdrons des connaissances précieuses. Nous sommes convaincus que certaines personnes doivent rester à nos côtés pour toujours et que nous mesurons notre puissance et notre force au nombre de choses que nous sommes capables de supporter sans perdre la tête.
C’est parce que nous ne faisons que répéter les mêmes enseignements qui existent depuis toujours, pensant qu’il s’agit de l’unique vérité.
Nous n’avons pas pris conscience de la nécessité de lâcher prise, nous n’avons pas appris que notre croissance et la réalisation de ce que nous souhaitons dépendent de notre capacité à voir que des portes doivent être fermées.
Nous avons peur de laisser certaines choses derrière nous, mais c’est uniquement car nous ne réalisons pas que dès qu’une porte se ferme, l’univers entier s’ouvre pour nous.
À chaque fois que nous recommençons, de nouvelles opportunités de bonheur et de succès se présentent à nous. Quand nous nous accrochons à certaines choses, nous nous retrouvons bloqués au même endroit.
Cela nous empêche d’apprendre, de nous transformer et de vivre pleinement. Si nous ne voulons pas stagner, nous devons comprendre l’importance des portes closes et honorer celles qui restent ouvertes.
Ainsi, poursuivez courageusement votre chemin avec le cœur et les yeux ouverts. Trouvez le courage de laisser derrière vous ce qui ne vous sert plus et laissez l’Univers vous présenter tout ce qu’il vous a réservé. Vous méritez ce qu’il y a de mieux, acceptez toutes les opportunités de croissance pour vivre la vie la plus épanouissante possible.
J’ai envie ce matin de vous partager le discours de décembre 1964 dans lequel Martin Luther King, prix Nobel de la Paix, proclamait sa foi et son espérance en un avenir pour l’humanité. On parlait alors de guerre froide, de racisme…
Aujourd’hui, dans la nuit du monde et l’espérance de la Bonne Nouvelle, j’affirme avec audace ma foi en l’avenir de l’humanité!
Je refuse de croire que les circonstances actuelles rendront les hommes incapables de faire une terre meilleure. Je refuse de croire que l’être humain n’est qu’un fétu de paille, ballotté par le courant de la vie, sans avoir la possibilité d’influencer en quoi que ce soit le cours des événements.
Je refuse de partager l’avis de ceux qui prétendent que l’homme est à ce point captif de la nuit sans étoiles, du racisme et de la guerre, que l’aurore radieuse de la paix et de la fraternité ne pourra jamais devenir réalité.
Je refuse de faire mienne la prédiction cynique que les peuples descendront l’un après l’autre dans le tourbillon du militarisme, vers l’enfer de la destruction thermo-nucléaire.
Je crois que la vérité et l’amour sans conditions auront le dernier mot effectivement. La vie, même vaincue provisoirement, demeure toujours plus forte que la mort.
Je crois fermement que, même au milieu des obus qui éclatent et des canons qui tonnent, il reste l’espoir d’un matin radieux.
J’ose croire qu’un jour tous les habitants de la terre pourront recevoir trois repas par jour pour la vie de leur corps, pour l’éducation et la culture, pour la santé de leur esprit, l’égalité et la liberté pour la vie de leur cœur.
Je crois également qu’un jour, toute l’humanité reconnaîtra en Dieu la source de son amour. Je crois également que la volonté salvatrice et pacifique deviendra un jour la loi. Le loup et l’agneau pourront se reposer ensemble, chaque homme pourra s’asseoir sous son figuier dans sa vigne, et personne n’aura plus raison d’avoir peur.
Je crois fermement que nous l’emporterons!
Bien que plus de 35 années se soient écoulées, ce puissant texte reste encore et toujours d’actualité puisque le coeur des hommes reste inchangé.
Je garde pourtant espoir que chacun d’entre nous a le pouvoir de changer les choses de l’intérieur, et que nous pouvons tous ajouter notre petite goutte d’eau aux milliers d’autres dans l’océan pour dépasser les circonstances extérieures aussi puissantes soient elles
Tout ce que nous
mangeons a une incidence directe sur notre cerveau. Si nous voulons le préserver,
il vaut donc mieux ne pas avaler n’importe quoi
Si beaucoup de monde est
conscient que la malbouffe amène inévitablement vers l’obésité puisque cela est
perceptible par tous, par contre la plupart ne pensent qu’aux conséquences
évidentes et visibles. Cependant abuser de la junkfood a également des effets
moins connus et bien plus vicieux : elle rend bête.
Arte s’est penché sur
la question de savoir comment éviter de devenir idiot en mangeant. Sachant qu’une
mauvaise alimentation perturbe le bon fonctionnement du cerveau, Arte donne
cinq précieux conseils pour protéger notre cerveau.
Si l’on connaît depuis
longtemps les conséquences de l’alimentation sur notre santé physique, des
chercheurs en neuro-nutrition ont récemment révélé que notre état mental est
lui aussi influencé par ce que nous mangeons, et ce dès la gestation. Les
femmes enceintes se nourrissant mal donneraient davantage naissance à des
enfants colériques.
Le lien entre
propension à l’agressivité et alimentation déséquilibrée a également été prouvé
aux Pays-Bas lors d’une expérience qui a démontré que les détenus supplémentés
en vitamines, minéraux et oméga-3, commettaient moins de violences.
Ce que nous avalons
modifie subtilement la chimie de notre cerveau, entraînant des répercussions
sur nos humeurs, notre mémoire et même, selon certains chercheurs, sur nos capacités
intellectuelles et décisions.
Un autre point
intéressant abordé par des scientifiques de Lisbonne, est que certaines
bactéries intestinales dialoguent avec notre cerveau pour influencer notre
comportement alimentaire. Nous ne sommes-donc pas les seuls maîtres de nos
choix alimentaires ?
Entre décryptage et
précieux conseils, un captivant tour d’horizon des découvertes de la
neuro-nutrition.
Voilà qui me conforte dans l’idée que je fais bien de me complémenter en Oméga3 et en pré et probiotiques de haute qualité.
Drôle de titre, vous ne trouvez pas ? Le livre aurait tout aussi bien pu porter le titre « Comment des souris peuvent vous apprendre à bouger lorsque c’est nécessaire », mais l’auteur a préféré l’humour, et c’est très bien ainsi.
Qui a piqué mon fromage est un petit livre (105pages)
datant déjà de quelques années (1998).
Sous ce titre se cache une fable sur le monde
contemporain en perpétuel changement.
Selon l’auteur, Spencer Johnson, s’adapter au
changement inévitable est la clé du bonheur.
Ce livre grand public est un outil
d’initiation aux problématiques du management. D’ailleurs les PME l’utilise
comme aide-mémoire pour leurs employés stressés, et les médecins le
recommandent à leurs patients.
La parabole
décapante commence dans un coin de labyrinthe où un fromage trône en abondance.
Quatre souris se trouvent dans l’endroit. Ces souris sont très différentes,
elles représentent deux catégories
d’états d’esprit: l’un toujours prêt à faire face à un changement éventuel, et l’autre
la tête pleine de croyances et d’émotions et tombant facilement dans la routine
quotidienne.
Comme elles se goinfrent de fromage, il n’y a
bientôt plus de fromage à sa mettre sous la dent. C’est à ce moment que les
quatre souris se séparent en deux groupes et commence alors une aventure
palpitante au sein du labyrinthe de la vie. Comment vont-elles réagir pour
retrouver ce symbolique fromage : place dans la famille, l’entreprise, la
société…
Peur,
doute, découragement, abandon, adaptation, récompense, confiance, remise en
question, acceptation, courage, sont autant d’états que les souris vont
rencontrer sur leur parcours.
La morale est illustrée par une postface
décrivant les réactions d’un groupe à l’écoute du conte.
La
vie est un labyrinthe. Il serait tellement plus simple d’en avoir la carte, de
suivre la routine du quotidien. Mais non tout évolue, en famille, en amour, en
société. Il s’agit donc de nous adapter.
La
simplicité de ce livre très vite lu, et facile à comprendre, permet au lecteur
de se reconnaître très facilement dans le rôle qu’il joue, et ainsi de faire
les ajustements pour une vie meilleure.
Il
permet d’apporter des changements positifs en ouvrant l’esprit pour voir les choses
autrement.
Petit
point négatif cependant, il pourrait paraître trop enfantin à certains, même si
j’ai personnellement apprécié.
Le Docteur Schwartz a passé sa vie à faire de la recherche contre le cancer.
Il nous dit la chose suivante : « Le cancer ce n’est pas si
compliqué que çà, c’est peut-être une maladie de la fermentation du sucre ! »
Ses recherches appuyées par une équipe de biologistes, de
physiciens… sur une quantité infinie de souris démontrent que la cellule
fermente au lieu de brûler le glucose.
C’est la fermentation du sucre qui permet à la cellule de
grossir car elle ne peut pas brûler, la mitochondrie n’étant plus active. De
plus, Otto Warburg prix Nobel de médecine en 1931, développait la même théorie.
Qu’est ce que la mitochondrie ?
Il s’agit d’une petite structure à l’intérieur des cellules,
c’est le lieu de la respiration cellulaire, c’est-à-dire l’endroit où est
utilisé l’oxygène. Les mitochondries fabriquent l’ATP, ce sont les centrales
énergétiques des cellules. Elles travaillent 24h/24 pour donner au corps l’énergie
dont il a besoin pour fonctionner.
Or, le tabac, l’alcool, mais aussi l’air que nous respirons, les aliments que nous mangeons et qui sont tous remplis de pesticides et autres produits toxiques (même les aliments bio car les champs cultivés de manière biologique n’ont pas de frontière empêchant le vent rempli de toxiques de les atteindre, pareil pour la pluie ou les chemtrails, mais ça c’est une autre histoire encore), les produits de soin ou ménagers, l’aluminium contenu dans les vaccins … tout ça cible les mitochondries et empêchent les cellules de brûler du sucre.
Le Dr Schwartz fait preuve d’une logique de bon sens.
Aujourd’hui les traitements conventionnels ciblent les tumeurs, mais ne permet
pas aux mitochondries de reprendre leur activité.
Alors que faire ?
Le Dr Schwartz nous dit : « diminuer l’apport de sucre qui
est le coupable N°1 du cancer, s’ouvrir vers le cétogène et mettre en place un
traitement métabolique, une combinaison de compléments alimentaires »
Alors, si l’on fait le rapprochement avec les molécules de
signalisation Redox on peut dire qu’il y a un lien inséparable. En effet, les
mitochondries ne sont pas seulement les centrales énergétiques des cellules,
elles fabriquent également les molécules de signalisation Redox. Des
mitochondries épuisées, fatiguées ne peuvent plus fabriquer les molécules de
signalisation essentielles au bon fonctionnement de notre corps … Nous en avons
besoin pour protéger nos cellules, détecter les menaces et dégâts et réparer ou
remplacer les cellules qui doivent l’être. Et si les cellules n’arrivent plus à
communiquer entre elles, rien ne va plus.
Ces molécules de signalisation redox sont innées du corps
mais, lorsqu’il y a défaillance, il est intéressant de supplémenter le corps
pour permettre aux cellules de communiquer à nouveau. Mais il fallait aussi, et
surtout non seulement fabriquer les molécules mais arriver à les stabiliser. C’est
ce qu’a fait la société Asea.
Cette biotechnologie encore très peu connue en Europe a été
mise au point par Asea et brevetée (plus de 30 brevets). Elle est contrôlée
régulièrement et certifiée par les plus importants laboratoires Européens
BIOAGYLITICS et DERMATEST, par la FDA et la NSF.
En vieillissant le corps fabrique moins de molécules. Normalement
la baisse devrait seulement être d’un pourcent par an. Mais à cause des agents
extérieurs qui mettent à mal nos mitochondries, un apport de molécules
stabilisées aide les cellules à se régénérer ou à être remplacées par des
nouvelles.
Personnellement cette biotechnologie m’a permis de retrouver ma vie (j’en ai parlé dans d’autres articles). Maintenant que je suis en forme, pourquoi je continue à me supplémenter ? Parce que je pense qu’il vaut mieux prévenir que guérir, ça, merci je suis déjà passée par là et je n’ai pas la moindre envie de recommencer donc je fais en sorte de maintenir un bon potentiel Redox. Cela fait partie de mon hygiène de vie comme vous prenez une douche ou vous vous brossez les dents. Je suis bien consciente que, malgré tous mes efforts, je ne peux m’empêcher de m’intoxiquer chaque jour vu la vie actuelle. Je mets le nez dehors et je respire des particules fines, je mange des aliments qui sont tout sauf sains (même si je fuis la malbouffe, les colorants, édulcorants, additifs, …), je rentre à la maison et l’air est tout aussi pollué par les colles et solvants qui ont servi à la fabrication de mes meubles, les plafonnages et peintures de mes murs, le stress émotionnel qui provoque du stress oxydatif et dérégule tous les échanges biochimiques de mon corps… Donc j’essaie d’éliminer tout ça au quotidien sans attendre que mon corps n’arrive pas, une fois encore, à ne plus faire face.
ASEA REDOX n’est pas un médicament, c’est une aide pour
soutenir mon patrimoine cellulaire. Après mon corps est intelligent, il sait
faire son travail si je lui apporte ce dont il a besoin, il retrouve son plein
potentiel
Attention, il ne faut pas confondre le Redox avec un complément
alimentaire, des vitamines, des minéraux, … ce n’est rien de tout ça. Ce n’est
pas un produit naturel, mais quelque chose d’inné du corps. Il ne s’agit pas de
nutrition cellulaire mais on agit sur le fonctionnement cellulaire. Là on est
vraiment dans la physiologie du corps. Une fois la structure rétablie, la
fonction peut s’exercer.
Prenez soin de vous
Mabelle
Etre acteur de sa vie, être soi en pleine conscience