Les blessures de l’âme
Bonjour, j’espère que vous allez bien.
Je vous partage ce matin un texte de Diana Messagère, en espérant qu’il vous parlera autant qu’à moi.
Prenez soin de vous
Mabelle
« Bien sûr tu m’as trahie mais, tu sais, je me suis trahie moi-même toute ma vie.
Je n’ai pas suffisamment écouté la petite voix qui me parlait, j’étais trop pressée d’être aimée.
Bien sûr tu m’as rejetée mais, tu sais, je me suis rejetéee moi-même toute ma vie.
Je n’ai fait que m’acclimater et m’accommoder dans l’espoir d’être aimée.
Bien sûr tu m’as humiliée mais tu sais, je me suis humiliée moi-même toute ma vie en acceptant moins que ce que je méritais.
Bien sûr tu m’as abandonnée, mais tu sais, je ne t’avais pas attendu pour l’être.
Cela faisait des années que je l’étais, ma vie était un immense chantier où seul comptait le fait d’aider et d’avoir une utilité.
Bien sûr tu ne m’as pas respectée, mais tu sais, je ne savais pas me respecter moi-même ni me faire respecter.
J’étais corvéable à merci, mon corps, mon coeur, mon temps, mon espace étaient des tapis sur lesquels on pouvait allègrement s’essuyer les pieds.
Alors promis, je ne t’accuserai plus jamais.
Parce que maintenant, je ne me trahirai plus.
Parce que maintenant, je ne me rejetterai plus.
Parce que maintenant, je ne m’humilierai plus.
Parce que maintenant, je ne m’abandonnerai plus.
Parce que maintenant, je vais enfin me respecter et à mon essence me connecter.
Et tu verras, ma vie, comme par magie, va s’éclairer et s’illuminer.
Tout va changer. »
Citation de la semaine
Dire « je t’aime » à la vie
Bonjour, je vous espère en grande forme.
Juste un petit poème ce matin.
Prenez soin de vous
Mabelle
Dire « oui » au bonheur
Et dire « non » à la mauvaise humeur,
Dire « peut-être à l’avenir,
Et dire « je ne vous oublie pas » aux souvenirs,
Dire « adieu » au stress,
Et dire « pourquoi pas » à la paresse,
Dire « j’ai compris » aux erreurs,
Et dire « plus jamais » aux jugements de valeur,
Dire « pardon » à la peine,
Et dire « bye bye » à la haine,
Dire « heureusement que tu es là » à l’humour,
Et dire « pour toujours » à l’amour,
Dire « reste là » à l’envie,
Pour au final dire « je t’aime » à la vie.
La minéralisation des os
Bonjour, je vous espère en forme.
La minéralisation de nos os ne se résume pas à la quantité de calcium que nous consommons.
Notre capacité à déplacer ce calcium du sang vers les cellules et à le fixer sur la trame osseuse dépend de nombreux facteurs, dont l’équilibre acido-basique, témoin de la régulation par notre organisme du pH sanguin.
Ce pH reste rigoureusement compris entre 7,38 et 7,42. Cette étonnante stabilité contraste avec les multiples phénomènes vitaux qui tendent à acidifier le sang, tels que l’activité musculaire, la respiration, les désordres digestifs, les déséquilibres alimentaires, le stress, l’âge, l’altération du fonctionnement des reins …
Et cette homéostasie du pH est pilotée par les molécules de signalisation Redox ! http://vd55.com/75k
Lorsque les molécules de signalisation Redox sont insuffisantes dans les cellules de notre organisme, elles n’arrivent plus à maintenir ce pH sanguin à l’état d’équilibre et se mettent à puiser dans les cellules osseuses les minéraux alcalinisants, tels que le calcium, le magnésium et le potassium.
Le rôle de l’os dans le maintien du pH plasmatique est complexe. Il agit comme un réservoir de substances alcalines susceptibles d’être libérées en cas de déséquilibre de la balance acido-basique.
Bien souvent les personnes confrontées à l’ostéoporose imaginent qu’en agissant de manière extérieure sans soigner la cause, elles auront des améliorations.
Autrement dit en se supplémentant simplement en calcium elles espèrent pallier à l’ostéoporose…
En vérité il n’en est rien et cela est mis en évidence en médecine de ville et diététique thérapeutique, la supplémentation en calcium à elle seule ne peut pas atténuer le phénomène d’ostéoporose. Il faut penser à la carence en vitamine D et au déséquilibre Redox.
La multiplicité et la durée des circonstances acidifiantes au cours de la vie, dont les habitudes alimentaires modernes, peut conduire à un phénomène de spoliation du squelette au profit du plasma pour réguler la balance acido-basique : les personnes ostéoporotiques ont généralement un bilan calcique sanguin normal voir peut diminué ainsi qu’une carence en vitamine D !
Et surtout elles ont un déséquilibre Redox.
Les personnes remontant leur potentiel redox assistent à une recalcification osseuse assez surprenante car les cellules ne puisent plus dans les réserves calciques, due à la régulation du pH.
Les témoignages des patients eux-mêmes affluent en ce sens !
Ce qui est remarquable et étonnant, c’est que les personnes consommant les molécules de signalisation redox et ayant un pH acide ressentent généralement le goût du chlore.
À mesure qu’elles remontent leur potentiel Redox, le pH se régule et ce goût tend à devenir très neutre et agréable, voire légèrement salé !
L ‘ arthrite rhumatoïde se produit lorsque le système IMMUNITAIRE attaque par erreur les articulations. Le corps crée des INFLAMMATION pour lutter contre les bactéries et les virus mais envoie par erreur l’inflammation aux articulations, causant la douleur et le gonflement. L ‘ inflammation sur une longue période peut entraîner des dommages articulaires
Prenez soin de vous
Mabelle
Petite voix frémit, en sortant de sa tord-peur
Bonjour, je vous espère en forme.
Je vous partage un texte de Clémentine Rainbow qui m’a touchée.
Prenez soin de vous
Mabelle
C’est l’Heure ! C’est la fin des leurres.
Petite voix cligne des yeux un peu éblouie,
Elle se voit pour la première fois, étonnée, dans son miroir poli.
Petite voix s’abandonne à se découvrir sans pâlir,
Petite voix, sans remord, ose vivre cette petite mort,
Petite voix embrasse ses ombres, et s’envole la douce colombe.
Petite voix grandit et se défie, éprise de liberté,
Car petite voix farouche renaît de s’être trouvée.
L’Enfant des étoiles fait tomber ses voiles!
Et de ses origines divines, elle se rappelle et répond à cet irrésistible appel.
Petite voix a trouvé sa voie, de lumière guidée,
Petite voix mûrit, et d’amour se nourrit,
Petite voix mue et même mugit
Petite voix a envie d’exulter, dans cette Unité trouvée.
Petite voix brûle de répandre cet amour, de peur dévêtue et de mirages disparus.
Petite voix aime planter des graines,
Afin que d’autres petites voix se lient à elle
Et ainsi former un chœur vibrant unifié et en son centre tonnant,
Tonnant de vérité d’amour, de compassion et de bonté.
Et voilà que l’âme-agit opère et s’embrasent les coeurs et s’unit le chœur de plus belle, émerveillée,
Dans l’agapé et l’époché, aimés et transcendés
Je vous souhaite ces frémissements et d’avoir le courage de polir votre miroir intérieur afin de vous y voir tel que vous êtes
je vous souhaite d’être pleinement cette petite voix qui est déjà en chacun de nous avec tout son potentiel. Monter le volume!
Puissiez-vous vous tendre la main, ouvrir l’oreille et vous aimer à votre juste valeur
Prévenir plutôt que guérir
Bonjour,
Je vous espère en forme.
La prévention est la clé pour éviter les problèmes physiques et psychologiques
🌿Il est important de prendre soin de soi et de son corps avant qu’il ne soit trop tard.
🌿La prévention peut aider à réduire les risques de maladies et de blessures.
🌿Il est également important de prendre soin de sa santé mentale en parlant à quelqu’un si vous vous sentez dépassé ou stressé.
🌿N’attendez pas qu’il soit trop tard pour prendre soin de vous.
🌿Prenez des mesures dès maintenant pour prévenir les problèmes futurs.”
Prenez soin de vous
Mabelle
Le glutamate, un additif anodin ?
Bonjour,
Quand j’ai commencé à avoir des allergies, une des premières a été au glutamate de sodium (E621), celui qui fait exploser littéralement vos neurones !
Le glutamate monosodique, également connu sous le nom de glutamate de sodium, monosodium glutamate, GMS ou MSG, est le sel sodique de l’acide glutamique, l’un des acides aminés non essentiels les plus abondants dans la nature. Mais détrompez vous, il n’a absolument rien de naturel.
A part de s’appeler Corinne GOUGET, comment imaginer un appéritif ou un pique-nique sans CHIPS ?
Les moins dangereuses seront celles avec trois ingrédients « pomme de terre, huile de tournesol et sel » (même si cela reste trop gras et salé) mais la majorité ont un « goût » : Fromage, chèvre, B&Q, bolognaise … etc !
Hors sans l’exhausteur de goût neurotoxique : glutamate monosodique dissimulé dans des tonnes d’arômes et sous différents noms et codes (E621…) , le rayon des chips serait dix fois plus petit mais nous aurions moins de diabète, moins d’obésité, moins de violence, moins d’asthme, moins de troubles cardiaques, de cancers et moins de malades de Parkinson …etc !
Et, bien malheureusement, il n’y a pas que dans les chips, ils ajoutent du glutamate dans quasiment tous les aliments vendus en supermarché. Et, il ne suffit pas de lire les étiquettes car certains ne le renseignent pas. J’en ai fait les frais il y a une vingtaine d’années lorsque j’ai mangé une saucisse pour laquelle l’étiquette n’indiquait pas cet ingrédient. Or, vu la réaction de mon corps, il était bien présent. Lorsque j’ai été sortie de clinique, je me suis plainte au boucher qui s’est justifié en me disant qu’il mettait un mélange d’épices et ne pouvait pas savoir tout ce qu’il contenait ! Comme c’est facile, « c’est pas moi, c’est l’autre » !!!
Soyez vigilant ! Car ce n’est pas votre santé qui compte aux yeux des élites, juste leurs comptes en banque.
Mabelle
Tomber malade nous maintient en vie
Bonjour, je vous partage un article de Wyane Frisée et vous souhaite une agréable journée.
Sans maladies il n’y a pas de survie possible, ni pour l’individu, ni pour l’espèce !
Pourquoi est-ce que je dis cela ? Nous avons grandi en croyant que la maladie était une ennemie mais en réalité, c’est l’inverse. C’est notre meilleure alliée.
Depuis des millions d’années, la vie a dû faire face à d’innombrables modifications environnementales, climatiques et a dû s’adapter à tous les différents environnements de vie sur terre. Dans ces divers environnements, la faune et la flore sont infiniment riches et variées. Tout cela représente un nombre d’informations gigantesque à traiter pour les organismes vivants sur terre qui veulent survivre et s’adapter à tous ces changements.
Sans compter les nécessaires réactions de survie face aux autres animaux et en cohabitation avec l’espèce humaine. Comment cette adaptation constante au cours de l’évolution a-t-elle été rendue possible ? Grâce aux mécanismes comportementaux transmis au sein des mêmes espèces au fil du temps d’une part, et d’autre part grâce à l’adaptation de l’organisme tout au long de l’année aux « agressions » physiques, environnementales, manque de ressources,… Si, au long de l’évolution, l’intelligence du corps n’avait pas su enregistrer les réactions adaptatives face au stress, la vie sur terre aurait disparu depuis longtemps !
Cette intelligence est cristallisée au sein de notre système nerveux autonome qui régit tout notre corps et toute notre physiologie à chaque seconde qui passe ; il fait battre notre cœur à la bonne fréquence, digère les aliments que nous mangeons, adapte la température de notre corps à celle de l’extérieur, etc… Mais il fait bien plus que cela ! Imaginez-vous un instant, il y a quelques millions d’années, être contraint de migrer vers d’autres contrées à la recherche d’eau et de nourriture. Votre corps manque de nourriture depuis plusieurs jours et le voyage est éprouvant. Votre corps a deux choix :
⁃ Soit continuer de fonctionner sur son rythme habituel, ce qui aura pour conséquence de rapidement épuiser toutes les réserves et de sombrer dans un état de faiblesse physique et mental, ce qui réduira rapidement vos chances de survie.
⁃ Soit de se mettre en fonctionnement adaptatif face au stress via le système nerveux sympathique et le système hormonal. Il va alors rapidement ralentir la digestion, plongeant le système digestif en état de jeûne, augmenter l’afflux de sang vers les organes qui en ont besoin au détriment des autres, augmenter les hormones de stress pour maintenir une vigilance maximale pour faire face aux agressions extérieures (froid, attaques,…) malgré le peu de ressources disponibles dans le corps. Il va donc se mettre en « mode survie » pour vous donner un maximum de chances de faire face à ce changement extérieur.
Si le stress ne dure pas très longtemps ou est peu intense, l’adaptation est tout d’abord fonctionnelle (augmentation de la production d’adrénaline, de cortisone, augmentation de la glycémie, diminution de la digestion,…). Mais si cet état de stress perdure ou est très intense, les réactions du corps vont alors s’intensifier et devenir structurelles ou cellulaires afin d’automatiser et de pérenniser les réactions adaptatives qui deviennent alors physiopathologiques. Au lieu de se contenter d’augmenter la production des hormones par les surrénales, le corps va multiplier les cellules surrénaliennes pour augmenter la production de manière plus simple et durable. Au lieu d’augmenter la glycémie de manière fonctionnelle en réduisant le taux d’insuline dans le corps, il va diminuer le nombre de cellules qui produisent l’insuline pour maintenir un état d’hyperglycémie constant. Au lieu de diminuer de manière passagère le transit digestif, il va multiplier les cellules digestives (estomac et intestins) pour optimiser et maximiser de manière durable l’absorption des nutriments qui sont réduits. Etc, etc,…
Toutes ces modifications organiques surviennent dans un unique but : survivre à la situation de stress. Grâce à ce fonctionnement adaptatif, vous aurez de meilleures chances d’arriver à destination sain et sauf et de survivre. Mais ce mode réactif n’est pas sans conséquences ! Dans le corps, tout est une question d’homéostasie, c’est à dire de maintien dans un certain équilibre des processus cellulaires, sanguins, hormonaux etc,… Donc toute modification de cet état d’équilibre demande « réparation », rétablissement des valeurs à la normale dès que le danger est passé. Et comment cela se traduit-il ? Eh bien après la mise en mode « survie », le corps enclenchera une phase de « repos forcé » du corps pour lui permettre de rétablir la physiologie le plus rapidement possible (dans la nature, la survie est une question de rapidité). Grâce au système nerveux autonome parasympathique, l’organisme va enfin pouvoir restaurer ce qui doit l’être rapidement. Il est bien sûr évident que ces situations de stress importants face auxquels le cerveau et le corps vont se mettre en réaction de survie sont d’ordre réel et vital d’une part (famine, danger face à un prédateur, exposition à un froid intense, guerre, traumatisme,…) mais également d’ordre virtuel d’autre part ! Le système nerveux autonome qui régule tous ces mécanismes d’adaptation n’est pas sous commande de la pensée consciente, mais est régi par les peurs et les stress émotionnels. Donc toute situation qui ressemble suffisamment à un danger pour le cerveau archaïque déclenchera les mêmes réactions : peur de manquer d’argent et donc de nourriture, violence de la part d’un proche, harcèlement, licenciement, divorce, grand sentiment de dévalorisation, impuissance à se faire respecter dans son territoire, etc.
Et donc à chaque stress suffisamment important pour le cerveau, le corps va rapidement enclencher des modifications cellulaires bien précises pour adapter le fonctionnement des organes au vécu ! Les tissus dans le corps qui sont les plus anciens, qui ont une fonction vitale de respiration, de digestion, de circulation, de protection vont MULTIPLIER LES CELLULES, ce qui se traduira cliniquement par une hypertrophie ou une hyperplasie (tumeur) . Les cellules digestives vont se multiplier pour augmenter la capacité de digestion. Les cellules pulmonaires vont se multiplier pour maximiser la capacité respiratoire. Les cellules des glandes hormonales (surrénales, thyroïde) vont se multiplier pour augmenter la production d’hormones. Les cellules du derme, des méninges, du péritoine, du péricarde vont se multiplier pour augmenter leur fonction de protection des organes internes. On peut dans ce cas par exemple diagnostiquer une hyperthyroïdie, un mélanome, une tumeur pulmonaire ou digestive,…À l’inverse, les tissus plus récents, qui ont une fonction de soutien (tissu conjonctif), de motricité et de posture (système locomoteur), les organes de nos 5 sens vont s’adapter au stress en bloquant de manière temporaire la fonction du tissu ou en DÉTRUISANT UNE PARTIE DES CELLULES (nécrose, ulcère) afin de réduire ou stopper la fonction et offrir une meilleure stratégie de survie ! Les cellules bêta du pancréas vont être réduites afin de diminuer la production d’insuline et donc augmenter la glycémie. Les cellules osseuses et musculaires vont être détruites. Les cellules internes des vaisseaux sanguins vont être réduites pour augmenter le volume et donc le débit de ces vaisseaux, etc. On peut dans ce cas par exemple diagnostiquer un diabète, une hypothyroïdie, une ostéoporose, un ulcère de la peau, un ulcère de l’estomac,…
Dans le cas où la maladie survient durant la phase active de stress, elle est donc la meilleure solution que la nature et l’évolution ont trouvée pour surmonter le danger de la manière qui offre le plus de chances de survie en s’adaptant au vécu précis et au stress que le cerveau a identifié. Bien sûr, dès que le danger est passé et que le niveau de stress redescend à un niveau proche de la normale, le cerveau enclenche LA RÉPARATION pour rétablir les valeurs physiologiques cellulaires et fonctionnelles. La réparation se fait dans un contexte INFLAMMATOIRE, ce qui se traduit par de nombreux symptômes désagréables (douleur, gonflement, perte de fonction, céphalées, fatigue,…) La maladie au sens clinique du terme est ici avant tout une réparation et une restauration du corps. Elle permet donc un rétablissement au plus près de la normale suite à un important stress pour garantir les meilleures chances de survie au corps de manière rapide ! C’est la solution la plus adaptée que l’évolution de la vie a gardée en mémoire et que le cerveau coordonne tel un chef d’orchestre de manière autonome dans notre corps à tous.
Nous voyons donc que quand il y a nécessité de réagir face à un stress, le système nerveux commande au corps de manière rapide et automatique des mécanismes d’adaptation intelligents et ciblés selon 3 possibilités de réaction :
⁃ L’arrêt de la fonction cellulaire (panne fonctionnelle)
⁃ La multiplication cellulaire (hyperplasie, hypertrophie, tumeur,…)
⁃ La destruction cellulaire (ulcère, nécrose)
Dès que le danger est passé, ces adaptations seront « réparées » de manière ciblée et logique selon le tissu et sa fonction. Les cellules qui avaient été détruites seront restaurées, les cellules qui avaient été multipliées seront à l’inverse détruites et enfin les organes qui étaient en arrêt fonctionnel verront leur fonction reprendre. C’est donc grâce aux mémoires de l’évolution et à l’intelligence dont notre corps a hérité que nous possédons chacun les programmes de survie face à tous les différents stress, peurs et dangers que nous vivons au cours de notre vie.
Sans eux, il n’y aurait pas d’adaptation possible et chaque stress important serait un désastre pour notre corps car il ne saurait comment réagir.
Donc aussi désagréables qu’ils soient, les symptômes que nous expérimentons en phase active de stress ou en phase de réparation sont le plus souvent inévitables car ils accompagnent les processus adaptatifs au niveau cellulaire de nos différents organes. Nous voyons donc bien que la maladie nous maintient en vie et que sans maladie, il n’y aurait pas de survie possible ! Voir la maladie sous cet angle change complètement l’approche de la guérison, du traitement et de l’accompagnement thérapeutique. Comprendre POURQUOI le corps réagit au travers des symptômes permet de traiter le problème à la source. Et c’est cela qui est passionnant !
Prenez soin de vous
Mabelle
Il était une fois une âme
Il était une fois une âme venue des étoiles pour s’incarner sur Terre, pour apprendre à s’aimer et à aimer, trouver sa lumière et l’offrir au monde..
Elle a choisi de revivre les blessures d’abandon et de trahison pour apprendre que l’amour ne dépend de rien ni de personne, mais qu’il est là toujours..
Elle a connu la peur de ne pas être assez, la peur du vide, la peur d’être seule, pour comprendre que le faire ne remplacerait jamais l’être, qu’elle n’était jamais seule même dans le plus profond silence..
Elle a connu la violence, la manipulation, l’envie de mourir pour sentir toute la valeur de la vie et de la liberté..
Elle a caché sa vulnérabilité, fermé son coeur de peur d’être blessée, fait semblant d’être forte, insensible pour découvrir la force de sa sensibilité et la puissance de l’amour d’un coeur ouvert..
Elle a connu le doute, le pragmatisme, a été cartésienne à l’extrême pour que le sens de la vie, la foi et la confiance lui soit révélée..
Elle a éprouvé le mensonge, la traîtrise pour apprendre la richesse de la sincérité, lui donnant l’élan de marcher sa vérité..
Elle a traversé ses ombres pour enfin accepter pleinement sa lumière, ses talents, les découvrir et les incarner, pour comprendre que ce pourquoi elle était venue, au bout du compte, c’est partager, transmettre, rayonner et aimer, en toute humilité..
Il était une fois une âme venue s’incarner sur Terre pour rallumer les étoiles, partager sa lumière et son amour..
Et pour œuvrer à travers eux à l’émergence d’un nouveau monde…
Frederique Roussel.