Un petit doliprane, et hop, la douleur disparaît

Ce n’est pas parce que c’est simple d’avaler un comprimé avec un verre d’eau que c’est forcément bon pour la santé. Le corps crie au secours parce que quelque chose dysfonctionne, mais on prend un petit cachet pour supprimer le symptôme … jusqu’à ce que le corps n’en puisse plus et déclare quelque chose de bien plus grave quelques semaines, mois ou années plus tard. Et, là, la majorité ne comprend pas ce qui leur arrive alors qu’ils ont ignoré tous les signaux d’avertissements envoyé à de nombreuses reprises.

Je compare souvent le corps à une voiture parce que, là, subitement, ça devient plus clair pour tout le monde : lorsqu’un témoin s’allume au tableau de bord (comme une douleur se fait sentir dans le corps), il ne viendrait à l’idée de personne d’ignorer la cause et de se contenter de retirer le témoin ou le fusible. Alors, pourquoi beaucoup prennent ils un doliprane pour supprimer le signal envoyé par le corps, ignorant totalement la cause de cet appel au secours ?

Bon, ok, certains se questionnent sur le pourquoi d’un laxatif (Macrogol 6000) dans le Doliprane. C’est un bon début mais, tout le reste n’est pas mieux. Si les personnes qui prennent des antidouleurs, somnifères, antiacides, antidépresseurs, antibiotiques, … prenaient la peine de lire la notice qui accompagne leurs médicaments, peut-être hésiteraient ils à prendre ces poisons ? J’ose continuer de l’espérer, même si pour beaucoup, le fait que leur médecin leur conseille un médicament, reste pour eux une certitude qu’il est sans danger. Il suffit de regarder tous les jours le nombre de décès dus aux injections pourtant recommandées par la plupart des médecins, pour comprendre qu’ils ne font que répéter ce que les labos leur ont inculqué. Il suffit de regarder le nombre d’autistes qui augmente à la même vitesse affolante que le nombre de vaccins recommandés pour les nourrissons pour être légitime à douter des compétences et connaissances des prescripteurs.

La povidone (polyvinylpyrrolidone, PVP) . Il est utilisé pour l’antisepsie de la peau, des plaies et des brûlures superficielles peu étendues, et dans le traitement d’appoint des infections de la peau et des muqueuses. Il est utilisé dans l’industrie pharmaceutique comme véhicule polymère synthétique pour disperser et suspendre des médicaments. Elle agit également comme désintégrant et liant pour comprimés.

Le Stéarate de Magnésium peut avoir un effet néfaste sur la fonction immunitaire, car l’acide stéarique a été associé à l’élimination des lymphocytes T de l’organisme. En outre, le Stéarate entraîne la formation d’une fine couche dans l’intestin qui empêche l’absorption correcte des nutriments dans le tube digestif

L’hydroxypropylcellulose Une consommation excessive de produits contenant de l’additif E464 peut entrainer des complications et notamment provoquer des désagréments intestinaux tels que des ballonnements, diarrhées, constipations. De plus, l’EFSA, Autorité Européenne de Sécurité Alimentaire, suspecte l’hydroxypropylcellulose de contenir des impuretés de propylène chlorhydrine, qui sont mutagènes. Elle a d’ailleurs et pour cette raison, refusé la demande de l’industrie d’augmenter le taux résiduel autorisé pour ce composant.

Le E104 pourrait avoir un effet cancérigène et mutagène. Le E104 est autorisé en France mais interdit aux USA, en Australie, en Norvège et au Japon.

Le E172 est un oxyde de fer. Les oxydes de fer existent dans une distribution de particules de tailles variées, jusqu’aux nanoparticules. L’Autorité européenne de sécurité alimentaire estime qu’il serait nécessaire d’inclure cette distribution dans les spécifications des colorants commercialisés. Les oxydes rouges et noirs ont été positifs pour des tests de génotoxicité au sein de cellules mammaires. L’Efsa a néanmoins conclu qu’il n’était pas possible de conclure transversalement à tous les types d’oxydes au vu des données disponibles. Il existe un manque important de données  : l’Efsa estime ne pas être à même de produire une évaluation adéquate de la sûreté du E172, du fait notamment des propriétés physicochimiques variables des différents types d’oxydes. En 2020, l’Autorité nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) considère que le E172 se présente, au moins partiellement, sous forme nanométrique dans certains produits. Cependant, elle n’évalue pas encore le risque associé aux additifs nanoparticulaires.

L’Azorubine est concerné par une étude suggérant un lien possible entre la consommation de ce colorant associé au benzoate de sodium (E211) et l’hyperactivité chez l’enfant. Dans un rapport spécifiquement consacré à cette étude dite de Southampton, l’Autorité européenne de sécurité alimentaire en atténue quelque peu les conclusions. Les aliments contenant du E122 doivent mentionner obligatoirement « peut avoir des effets secondaires sur l’activité et l’attention chez l’enfant »

Et après certains ne comprennent pas pourquoi je ne prends pas de médicaments, je n’utilise que des technologies sans produit ou avec des molécules identiques aux molécules innées du corps. Certains me disent « ce n’est pas un doliprane qui va me tuer », libre à vous. C’est votre corps que vous détruisez, pas le mien, vous êtes en droit d’en faire ce que vous voulez et vous pouvez en effet choisir d’avaler un cocktail de produits chimiques et d’attendre que les choses s’aggravent.

Il serait cependant plus sage de ne pas se limiter à supprimer les symptômes mais de s’attaquer directement aux causes.

Si vous ne prenez pas soin de vous, n’imaginez pas que quelqu’un d’autre le fera pour vous.

Mabelle

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