Les médecines non conventionnelles sont nombreuses.

La plupart d’entre elles sont issues de traditions parfois séculaires, ou de pratiques ayant émergé avant l’avènement de la méthode scientifique.

Pour cette raison elles sont globalement considérées comme pseudo-scientifiques par une grande partie de la communauté médicale.

Selon les pays, leurs traditions et législations, elles peuvent être répandues (Danemark, Suisse, Allemagne), tolérées (France, Belgique et pays de tradition latine) ou bien interdites purement et simplement.

Elles ont souvent une vocation préventive, et se développent en complément ou en alternative à la médecine classique.

Des statistiques réalisées fin des années 90 révélaient qu’elles étaient utilisées par 20 à 50 % des populations de la communauté européenne.

Seules quelques unes d’entre elles font l’objet d’une reconnaissance progressive en Europe depuis quelques années. Cependant, on a parfois l’impressionn qu’il y a deux systèmes de soins fonctionnant indépendamment l’un de l’autre. Les patients auraient donc à choisir entre deux thérapeutiques concurrentes l’une de l’autre :

la médecine traditionnelle ou la médecine alternative.

Il me semble que ne devrions pas avoir à choisir l’une ou l’autre façon de nous soigner et que ces deux formes de traitements devraient être considérées comme complémentaires, dans l’intérêt du malade.

Je partage avec vous une partie de JT qui semble aller dans ce sens et me donne confiance et espoir pour la suite  :

 http://www.wat.tv/video/clinique-souvre-aux-medecines-5ce6j_2i6xp_.html

Excellente journée

Mabelle