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Sungazing, régénération solaire

Bonjour,

J’espère que vous allez bien

L’automne est là, alors qu’en Belgique nous n’avons pas eu d’été. Le soleil est important à mes yeux.

Le sungazing est l’art de se nourrir de soleil par les yeux tout en absorbant ses diverses fréquences vibratoires. Pratiqué seulement au lever et au coucher du soleil afin de ne pas s’abîmer la vue, il permet de développer notre potentiel énergétique et régénérer notre corps à tous niveaux.

Après trois ans de travail sur lui-même, l’indien Hira Ratan Manek a revivifié cette science pratiquée il y a des milliers d’années en Egypte, en Inde, en Amérique latine, en Grèce… Il s’est principalement inspiré de Lord Mahavir, qui pratiquait déjà cette méthode il y a 2600 ans.

Hira Ratan Manek vit depuis plus de 13 ans d’énergie solaire et d’eau solarisée et enseigne actuellement le sungazing (regarder le soleil fixement). Mais occasionnellement, par hospitalité, il boit du thé, du café ou du babeurre.

Grâce à Hira Ratan Manek, le sungazing est devenu une pratique scientifique suivie à travers le monde par des milliers de pratiquants. Entendons-nous bien, il ne s’agit pas ici de vous inciter à vous nourrir des rayons du soleil en abandonnant toute nourriture. Le but est uniquement d’informer sur des pratiques existantes. Après chacun est invité à s’informer plus profondément sur le sujet et libre de pratiquer toute technique qui l’inspire … ou pas.

A trois reprises, Hira Ratan Manek, a observé des jeûnes stricts durant lesquels il n’absorbait que de l’énergie solaire et de l’eau solarisée (placée au soleil durant 5 à 8 heures). Cela sous contrôle de médecins et scientifiques.

Le premier de ces jeûnes, supervisé par le Dr Ramachandran, expert en médecine allopathique et ayurvédique, dura 211 jours en 1995/1996 à Calicut en Inde.

Le deuxième, supervisé par les Dr Sudhir Shah et K.K. Shah président de l’association médicale indienne, dura 411 jours en 2000/2001 à Ahmedabad, en Inde.

Au vu de ces formidables découvertes, Hira Ratan Manek a été invité à l’université Thomas Jefferson et à l’université de Pensylvanie, où sa rétine, sa glande pinéale et son cerveau ont été observés durant 130 jours sous la direction du Dr Andrew B. Newberg, leader dans le domaine du cerveau, et le Dr Brenard, leader dans le domaine de la glande pinéale.

Si les scientifiques sont totalement d’accord sur le fait que sa faim a disparu, ils sont incapables d’expliquer comment de tels effets positifs sur le corps et le mental sont possibles, ni comment le sungazing produit ces résultats.

Depuis 2002, Hira Ratan Manek a animé de nombreuses conférences à travers le monde entier.

Comment ça marche ?

Les yeux reçoivent le spectre entier de la lumière du soleil, qui est distribuée partout dans le corps. L’œil est donc la porte d’entrée de l’énergie solaire vers le cerveau qui envoie les différentes couleurs du prisme solaire aux organes et régénère le corps à tous ses niveaux.

Hira Ratan Manek pense qu’une sorte d’analyse photovoltaïque se met en place puisque la rétine et la glande pinéale sont équipées de cellules photoréceptrices.

Les bienfaits

Après 3 mois de pratique : développement de la confiance en soi, plus grand équilibre psychologique, développement de l’intuition, tendance à être plus constructif.

Après 6 mois de pratique : de nombreuses maladies peuvent être soulagées grâce aux fréquences des rayons solaires.

Après 9 mois de pratique : La pinéale ayant aussi des fonctions psychiques, développement d’expériences mystiques, la sensation de faim diminue fortement ou disparaît.

La pratique

Le sungazing doit être strictement pratiqué dans l’heure qui suit le lever du soleil ou celle qui précède le coucher de soleil. Et ce sur un mode progressif en commençant par 10 secondes d’observation du soleil et en augmentant chaque jour de 10 secondes supplémentaires. Continuez jusqu’à atteindre 44 minutes d’observation (ce qui prend neuf mois si la météo est favorable chaque jour. Pas évident en Belgique).

Commence ensuite la seconde étape du processus : arrêtez l’observation solaire et marchez pieds nus pendant 45 minutes de façon à stimuler vos glandes par les zones réflexes des pieds. A partir de là, le corps emmagasinera spontanément le soleil. Et, si nécessaire, vous pouvez toujours pratiquer le sungazing par temps gris.

Mise en garde

Il faut continuer à manger de la nourriture solide aussi longtemps que le corps le demande. La faim diminuera progressivement et proportionnellement à l’augmentation du niveau d’énergie dans le corps.

Equilibre et bien-être

Le sungazing améliore l’équilibre physique et mental. Il peut soulager les maladies après 6 mois de pratique en purifiant le corps (la diminution de la quantité de nourriture entraîne une détoxication du corps physique) et en lui apportant de l’énergie. C’est un excellent moyen (gratuit par ailleurs) contre la dépression et pour l’équilibre des différents centres énergétiques.

Se passer d’aliments physiques n’est pas le but du sungazing, c’en la conséquence grâce au niveau d’énergie dans le corps. En effet, le corps n’a pas besoin d’aliments pour vivre mais d’énergie et les aliments sont une source secondaire.

Par ailleurs, sachant qu’on nous a toujours induits en erreur en inversant tout, eh bien il suffit souvent de réinverser tout pour être dans la vérité.

On nous dit « le soleil donne le cancer de la peau, attention aux UV, ne vous exposez pas trop et surtout mettez de la crème solaire ».

Pourtant rien n’a jamais démontré que le soleil donnait le cancer, et d’ailleurs rien ne le montrera jamais. Personne ne pourra jamais faire le lien entre une exposition au soleil et une tâche qui apparaît 20 ans plus tard.

Ensuite, il a été observé que toutes les substances cancérigènes ont le point commun d’absorber la longueur d’onde à 380 nm, c’est-à-dire des UV. (Dans les années 1970, le biophysicien Fritz-Albert Popp.) Or les crèmes solaires sont dans ce cas, donc elles sont cancérigènes.

Puis il a été montré que cette longueur d’onde avait la propriété de régénérer les cellules même quand elles sont détruites jusqu’à 99%. Les UV ont ainsi un effet réparateur très fort.

Conclusion : si on ne veut pas de cancer de la peau, il faut s’exposer au soleil et ne surtout pas mettre de crème solaire.

Tout ça sans même parler du fait que le soleil est bon pour la santé et l’humeur d’une façon générale, et que plus on fait peur aux gens des cancers plus ils ont de chances d’en avoir.

Donc, je fais le contraire de ce qui est habituellement conseillé et chacun se fera sa propre opinion sur la question.

Profitez du soleil d’automne autant que possible afin de remonter vos réserves de vitamines D dont tout le monde aura bien besoin pour cet automne.

Mabelle

Nous ne reviendrons pas en arrière

Bonjour, j’espère que vous allez bien

Certaines personnes continuent de croire que toute cette histoire de pandémie sera bientôt derrière nous et qu’il reprendront leur vie d’avant. Ca fait plus d’un an et demi que je dis et répète qu’il n’y aura jamais de retour à la vie d’avant. Mais tout est possible, une vie bien meilleure aussi, pour tous.

Voici deux petites vidéos pour vous aider à avancer sur votre chemin.

j’espère que vous serez présents sur la méditation ce soir à 17 heures.

Belle journée.

Mabelle

Changer d’habitudes

Changer d’habitude c’est s’adapter, rester flexible, en mouvement. Et le mouvement c’et la vie. Rester flexible, que cela soit physiquement ou mentalement c’est se permettre une plus grande vision des choses, de la vie. C’est s’autoriser à prendre connaissance de plusieurs points de vue et ainsi pouvoir faire des choix de vie éclairés.

Ne sommes-nous pas venus sur cette terre pour y expérimenter la vie ? Comment le faire si nous avons peur de l’expérience et nous limitons en répétant inlassablement toujours le même schéma sans le moindre petit pas de côté ?

Généralement, ce qui nous empêche de changer une habitude, c’est notre peur de perdre un certain sentiment de sécurité car nous aimons notre zone de confort, même si elle est pourtant bien souvent un confort assez inconfortable. Inconfortable mais connu et c’est là que se trouve notre peur : faire face à l’inconnu.

Nous voyons le fait de changer d’alimentation, se mettre au sport ou arrêter la cigarette comme une énorme montagne infranchissable, mais cela fait juste partie de nos croyances que cela relève de l’impossible, qu’il faut avoir une volonté de fer, que nous allons souffrir sans finalement réussir.

Ce n’est donc pas l’alimentation, la sédentarité ou la cigarette qu’il est difficile de changer mais nos croyances bien ancrées, nos conditionnements sur le sujet. Nous souffrons parce que nous croyons que nous allons souffrir, rien de plus. Et si nous faisions d’autres choix ? Il semblerait qu’il ne faut que 21 jours pour intégrer pleinement une nouvelle habitude. Que représentent 21 jours sur l’espace d’une vie ? Et si nous changions une habitude à la fois, en nous donnant ce temps, si nous ne nous jugions pas, si nous ne culpabilisions pas si parfois on « craque » ? J’aime cette phrase de Lao Tseu qui dit : « La nature fait les choses sans se presser et pourtant tout est accompli ».

Il est très important d’identifier précisément vos objectifs et vos buts. En effet, si vous souhaitez arrêter la cigarette parce que ça dérange votre mari/épouse, je doute vraiment que vous y arriviez un jour. Par contre si votre but est de vous rapprocher des autres parce que vous vous sentez exclue des conversations familiales qui ont lieu autour de la table pendant que vous êtes seul(e) sur la terrasse à griller votre cigarette, si vous voulez vous dormir des nuits paisibles sans être réveillé par une quinte de toux du fumeur, si vous voulez une meilleure santé pour être capable de courir avec votre petit-fils, que vous savez précisément ce que vous voulez, il sera bien plus facile de matérialiser vos idées, de vous dire que si d’autres le peuvent, vous le pouvez également. La deuxième étape consistera à établir des actions pour vous rapprocher de vos objectifs, d’agir et de savourer vos petites victoires. Vous êtes en droit de vous féliciter si vous n’avez pas jeté votre paquet, mais n’avez pas allumé votre première cigarette au saut du lit ou celle après le repas, si vous n’avez pas fait une heure de sport intensif mais avez pris l’escalier au lieu de l’ascenseur ou êtes allé à pied chez le boulanger, si vous avez tout de même craqué pour un carré de chocolat mais n’en avez pas mangé deux tablettes. Tout petit changement d’habitude est une victoire.

Chaque année de notre vie nous donne la possibilité de changer 17 habitudes différentes en 21 jours, woaw, imaginez le nombre d’habitudes que vous pourriez changer si vous en preniez vraiment la décision, là, maintenant. Pas demain, pas l’été, pas en résolution du 1er janvier, pas l’an prochain, pas quand les enfants auront grandi, pas lors de votre retraite, maintenant, tout de suite !

Changer une habitude ce n’est pas se priver, c’est s’améliorer, apporter une nouveauté dans notre vie, remplacer par quelque chose de plus positif pour nous, en étant flexible, en découvrant, en s’adaptant en vivant autrement. Pour changer une habitude, quelle qu’elle soit, commencez par une journée en vous sentant libre de ne pas le faire le lendemain. Prenez une autre route que votre chemin habituel pour vous rendre chez l’épicier, mangez un miam-ô-fruit le matin plutôt qu’un croissant au beurre.

Sans doute que, même ces petites choses vous perturberont, déstabiliseront votre égo. Mais observez, acceptez, et vivez pleinement ce que vous vivez, sentez-vous libre, savourez chaque moment de bonheur, et comme un enfant amusez-vous.

Ce sentiment de sécurité que vous procure le fait de rester toujours dans les mêmes habitudes est un leurre. Le sentiment de sécurité est en nous, il est bien plus profond qu’une cigarette ou notre alimentation, il suffit juste de le retrouver. Plusieurs techniques existent pour nous aider à retrouver le vrai sentiment de sécurité, la confiance en soi et en la vie : comme le Qi-qong, la méditation, la sophrologie ou encore une pratique spirituelle. J’ai mes techniques, celles qui me conviennent le mieux. A vous de choisir celle qui vous sont le plus appropriées. N’hésitez pas à partager vos techniques préférées.

Merveilleux dimanche après-midi

Mabelle

L’EFT, outil génial pour les enfants

L’EFT est un outil de rêve à offrir à nos enfants. C’est leur apprendre dès le plus jeune âge à gérer leurs émotions et à s’offrir du bien-être et du soulagement rapidement et de manière très ludique. Imaginez les adultes de demain que cela fera, s’ils savent depuis tout petit comment ne pas remplir inutilement leur bagage émotionnel avec des poids trop lourds et encombrants !

eft-enfants

Alors utilisez l’EFT en chantant et riant, et surtout sans modération ! Vous verrez très vite que pipi au lit, stress et petites contrariétés auront tôt fait de n’être que de lointains souvenirs !

Cette méthode pourrait permettre à nos enfant d’entrer dans l’âge adulte emplis de hauts niveaux de paix intérieure et de confiance en eux-même.

Si ces avantages étaient donnés à chaque enfant, les occasions possibles de paix dans le monde dépasseraient de loin celles promises par nos armées, et ses bombes, et autres menaces. En effet, si ces avantages étaient donnés à chacun avec savoir-faire, nos armées, bombes et autres menaces auraient des chances de devenir inutiles. La guerre n’est pas nécessaire pour ceux qui ont vraiment la paix intérieure.

L’idée de base:

L’idée de base est simple. Chaque soir, en mettant au lit leurs enfants, les parents devraient demander…

« Peux-tu me parler de tes bonnes et mauvaises pensées ainsi que des bonnes et mauvaises choses qui te sont arrives aujourd’hui? »

Puis, au fur et à mesure que l’enfant raconte les évènements (bons ou mauvais), les parents devraient tapoter ou frotter les points d’EFT gentiment et avec amour.

Résultats attendus:

Pour les EFT’eurs expérimentés il est facile de voir l’intérêt de tapoter sur les « mauvaises » choses (nous parlerons du tapotement sur les « bonnes » choses plus tard). Pendant que l’enfant raconte son histoire il/elle « est clairement connecté(e) » à son problème. De ce fait, les tapotements sur les points d’EFT auront des chances de résoudre les problèmes ou, au minimum, alléger leurs impacts sur l’enfant.

Ceci est essentiel pour les enfants car ils reprennent constamment des « trucs » de leurs parents, professeurs, pairs, télévision, et ainsi de suite. Ces données ont lieu quotidiennement et s’accumulent sur les années pour remplir ce que nous, adultes, appelons souvent nos « sacs à ordures émotionnels. »

Naturellement, si ces données restent non résolues, elles formeront des « limitations » inutiles et contrecarreront l’accomplissement de nos vrais potentiels. Souvent ces peurs, culpabilités, peines, et traumas inutiles ont un effet retentissant sur nos « réalités d’adulte » et nous coûtent très cher, autant en paix intérieure qu’à nos portefeuilles.

Quelques exemples de « mauvaises » choses que les enfants pourraient évoquer seraient….

  • « Papa m’a effrayé quand il m’a hurlé dessus. »
  • « J’ai vu un monstre à la télévision manger des personnes. »
  • « Mon professeur pense que je ne suis pas très intelligent. »
  • « Je ne peux pas courir aussi vite que Jimmy. »
  • « Donna est plus jolie que moi. »
  • « Le pasteur m’a dit que je dois être parfait sinon Dieu ne m’aimera pas. »

Bien sûr, il y a des milliers d’autres exemples qui s’installent comme invités non invités dans le psyché des enfants. La plupart sont des fictions et on peut soutenir qu’elles ont un impact bien plus important sur le développement de la vie d’un enfant que n’en a son éducation.

Les parents vigilants ont une occasion manifeste d’écarter au quotidien ces « dévoreurs de confiance en soi ». Plus encore, le processus peut apporter beaucoup aux parents comme aux enfants parce que des enfants aiment être touchés (tapotés, frictionnés) avec affection. Pendant que vous donnez de l’amour à vos (nos) enfants de cette façon, vous pouvez leur poser plus de questions sur « ce qui s’est passé aujourd’hui » et aller encore plus profondément dans les problèmes. Mieux encore, en faisant de l’EFT à vos enfants, vous pouvez proposer des recadrages (une autre façon de penser) qui auront toutes les chances d’être plus efficaces que si vous les ameniez au cours d’une conversation normale.

Ce processus entier est également utile pour les enfants en bas âge. Malgré le fait que les enfants en bas âge ne puissent pas nous dire ce qui les tracasse, le seul fait qu’ils pleurent ou qu’ils démontrent tout autre signe de détresse indique aux parents que quelque chose (par exemple. une crainte, un trauma, ou un malaise physique) a besoin d’être résolu. Pendant ces moments de détresse l’enfant en bas âge « est connecté » à son problème et en parfaite condition pour l’EFT. L’ajout des tapotements d’EFT à l’habituel « tout va bien » et autres paroles apaisantes, va probablement rapporter, à long terme, d’importantes dividendes.

Peut-être avez vous remarqué que je n’ai pas inclus de phrase EFT de Préparation dans ce processus. Il serait naturellement utile de l’inclure, bien que les enfants semblent en avoir moins besoin que les adultes. Vous pourriez vouloir utiliser le langage ci-dessous, lorsque vous l’incluez (en la disant les enfants s’illuminent)….

« Même si j’ai ce___________________, je suis quand même trop fort. »

Comme mentionné précédemment, de tapoter les points d’EFT est utile même quand l’enfant parle de ses « bonnes » pensées et événements de la journée. Fait correctement, l’EFT parental peut ajouter un élément apaisant à la discussion. De plus, bien que l’enfant parle de quelque chose de positif, une « comparaison négative » est souvent cachée derrière. Par exemple, si l’enfant dit…

« Aujourd’hui ma maîtresse m’a complimenté devant toute la classe. » ….la comparaison négative à l’arrière pourrait être… « Mais parfois elle gronde des enfants ou les ignore et j’ai peur que ça m’arrive. »

Dans ce cas, malgré le fait que le tapotement soit fait pour la « bonne » déclaration de la maîtresse, il est susceptible de réduire aussi la peur impliquée dans la comparaison négative. Ainsi, l’application de l’EFT aux « bons » et « mauvais » sujets est susceptible d’apporter, d’un bout à l’autre, des avantages considérables.

Naturellement, nous sommes tous des enfants (bien que certains d’entre nous aient développé quelques rides), ainsi cet article n’a pas besoin d’être limité à une catégorie d’âge précise. Quelque soit votre âge, ne serait-il pas agréable que quelqu’un vous pose des questions sur les « choses » de votre d’enfance ? Et ne serait-ce pas encore plus agréable de résoudre quotidiennement ces problèmes ? Peut-être vous pourriez échanger ce service avec quelqu’un, ou simplement juste faire le processus en solo.

Il n’est jamais trop tard pour avoir une enfance heureuse.

Traduction du site www.eftuniverse.com

En espérant vous aider à avancer sur votre chemin – Mabelle

Pistes pour renforcer la confiance en soi

Voici quelques idées pratiques pour affermir la confiance en soi, qui peut être considérée comme un des ingrédients du bonheur, et source de longévité.

 Bonheur

Définissez vos projets de vie

Quel que soit l’endroit où vous souhaitez vous rendre en taxi, vous devez l’indiquer au chauffeur pour qu’il vous emmène à la bonne destination. Sans cela, vous risquez de ne pas aller bien loin. C’est pareil pour tout dans la vie, il faut savoir où on désire aller.

Prenez le temps de réfléchir objectivement à vos objectifs dans la vie. Puis déterminez les priorités afin d’écarter les doutes et vous focaliser sur vos priorités. Chercher à réaliser ses priorités améliore la confiance en soi.

Découvrez vos valeurs fondamentales

Quelles sont vos valeurs fondamentales (famille, respect, amour, liberté, travail, …) ? Etablissez en la liste, sans vous laisser influencer par des idées superficielles. Les valeurs sont les fondations de votre vie. Vivre avec des valeurs fortes contribue au bonheur.

Affirmez vous

Apprenez à dire ce que vous pensez, ressentez, souhaitez. Apprenez également à formuler clairement et concrètement.

Reconnaissez vos qualités

Nous avons tous des qualités (beaucoup) et des défauts (quelques-uns), qui peuvent changer au fil de la vie. L’important est de ne pas se focaliser sur ses défauts, mais sur ses qualités .

D’ailleurs pourquoi les considérer comme des défauts, et ne pas plutôt les voir comme des caractéristiques personnelles qui font que nous sommes tous des êtres différents et uniques ?

Il est intéressant d’établir une liste de toutes nos qualités, à relire régulièrement et faire évoluer au fil du temps.

Regardez vous avec bienveillance

Vous faites de votre mieux pour vous améliorer chaque jour, cela vaut bien un peu de tendresse et de bienveillance. Encouragez-vous, soyez positif et regardez toujours du côté de la solution. Dans toute situation il y a toujours du positif et si certaines choses paraissent difficiles, rien n’est impossible.

La vie est ponctuée de petites et grandes réussites dont il est important de s’imprégner. Ces victoires peuvent être célébrées comme de petits instants magiques qui apportent du bonheur.

Chaque soir, remémorez vous toutes les petites réussites de la journée et choisissez-en un pour le consigner dans un journal du positif.

Réduisez au silence votre juge intérieur

Cette petite voix intérieure qui vous dit « tu n’y arriveras pas, tu n’en es pas capable,  tu n’est pas assez intelligent… » émet des critiques nullement justifiées qui gâchent inutilement des instants heureux. Ces phrases imprègnent votre psychisme et handicapent vos pensées et vos actes. En prendre conscience permet de les éliminer. Cessez de vous critiquer pour apprécier pleinement le moment présent.

Aidez-vous des techniques qui fonctionnent pour améliorer la confiance en soi : EFT, Hypnose, Sophrologie, PNL, …

Merveilleuse journée, baignée de soleil

Mabelle

Sophrologie : séances individuelles ou collectives pour retrouver l’harmonie au quotidien

sophro exercices

Séances collectives (1heure-1 heure30)

La sophrologie est tout particulièrement adaptée à la pratique en groupe. Généralement, les séances en groupe sont proposées aux personnes n’ayant pas de pathologies ou d’attentes particulières, mais qui souhaitent vivre mieux et en harmonie avec elles-mêmes

Nombre de participants : 5 minimum, 10 maximum.

Les séances se déroulent le  plus souvent à un rythme hebdomadaire et vise à l’apprentissage d’une méthode utilisable de manière autonome, puisque le but est que la personne en tire un réel bénéfice pour son quotidien et cela requiert une certaine régularité dans l’entrainement, aussi bien en groupe que seul, à la maison.

Un cycle complet se compose généralement de 10 séances en groupe en plus d’entraînements personnels réguliers (idéalement, une séance quotidienne de 10 à 15 min).

Déroulement d’une séance :

1 –La séance commence toujours par un temps de parole, d’échange des besoins de chacun, suivi d’une courte information. L’état d’esprit avant de commencer permet au praticien d’adapter le cours. Cette phase (dialogue pré-sophronique) dure de 5 à 10 minutes.

2 – Relaxation dynamique (debout et/ou assise) durant 30 à 40 minutes  :  mouvements très simples, plus ou moins énergiques. Ce sont des contractions musculaires synchronisées à la respiration, des exercices de concentration facilitant la prise de conscience des sensations. Le but étant d’atteindre un relâchement musculaire associé à une baisse du rythme cardiaque; Le sujet est  appelé à mieux écouter son corps, à en prendre pleinement conscience.

3 – La séance se prolonge avec relaxation guidée par la voie du sophrologue. On y cherche, par exemple, à identifier tous les points d’appui du corps sur le sol pour pouvoir le détendre. Mais on peut aussi visualiser des images agréables. Tout dépend du but recherché lors de la séance.

  4 – La séance se termine par un nouveau temps d’échange sur le vécu de la séance ,nommé dialogue post-sophronique.

La séance collective permet le partage du vécu (appelé « vivance ») entre les participants, sans jugement, dans le respect des différences.

Chacun peut exprimer ses ressentis physiques. Il ne s’agit en aucun cas de faire une analyse. Ici on travaille sur le physique. Il s’agit d’un dialogue libre, et sans obligation, au cours duquel le  praticien donne si nécessaire, à la personne en demande, des informations supplémentaires ou recommandations pour une pratique de plus en plus autonome. Une personne timide n’a pas obligée de prendre la parole , elle peut simplement dire un mot ou deux, mais dans tous les cas il est important de s’exprimer pour que le sophrologue sache que tout va bien.

La sophrologie s’inscrit dans le cadre d’une psychologie humaniste, considérant que chacun possède les ressources pour se dynamiser, et les capacités à se grandir.

Séances individuelles (1heure)

Elles sont recommandées lorsqu’une personne n’est pas à l’aise en groupe mais aussi pour :

– aborder une problématique de façon personnelle.

– adapter les techniques aux besoins de la personne

Ces séances sont donc plus ciblées sur une demande, un symptôme. La demande peut concerner un accompagnement ponctuel, pour un événement bien particulier (comme la préparation pour une épreuve importante ).

Au cours des séances individuelles vous avez la possibilité de suivre un programme personnalisé répondant à vos attentes spécifiques :

  • Développer la confiance en soi,
  • S’ouvrir à soi même et aux autres,
  • Vivre au présent plus sereinement,
  • Apprendre à lâcher-prise,
  • Retrouver un sommeil réparateur,
  • Optimiser sa concentration,
  • Se préparer à un examen, un entretien,
  • Diminuer stress, anxiété, …

Les séances visent à libérer le trop-plein de tensions, aussi bien psychiques que physiquesavec le but d’acquérir une certaine autonomie.

Séances à Domicile (1heure)

Si vous ne pouvez pas vous déplacer, ou si vous voulez tout simplement découvrir la sophrologie chez vous, et que vous pouvez vous aménager un moment de tranquillité.

Séances avec les enfants

La séance est plus courte pour les enfants, 30 à 45 minutes, selon l’âge.

Merveilleuse journée.

Mabelle