Bonjour, je vous espère en forme.
Nous voyons autour de nous de plus en plus de personnes atteintes d’Alzheimer. Je suis personnellement convaincue que cette maladie au un lien très étroit avec les métaux lourds (présents dans l’alimentation, les vaccins, les chemtrails, …) dans le cerveau et c’est la raison pour laquelle je me supplémente en molécules de signalisation Redox. https://mabelle.myasealive.com/fb/products/Asea.aspx
Ma grand-mère et ma mère souffraient d’Alzheimer et je refuse de me retrouver dans cet état de démence. Aussi je fais le choix de me détoxiquer au quotidien, comme je m’intoxique chaque jour même si j’évite autant que faire se peut tout toxique. Je ne peux malheureusement pas éviter de respirer un air pollué par des chemtrails et même si j’ai un purificateur d’air à la maison, je dois sortir comme tout le monde à l’extérieur. Je me complémente également en pré et probiotiques car, de plus en plus de médecins le disent désormais, l’intestin est notre deuxième cerveau. https://mabelle.myasealive.com/fb/products/AseaViaInformation.aspx
Avoir le ventre noué, des papillons dans l’estomac » « Se mettre la rate au court-bouillon » « Se faire de la bile »… Bien avant que la réalité scientifique ne leur donne raison, les expressions populaires mettaient en avant le lien étroit entre notre ventre et nos émotions…
J’aurais personnellement tendance à dire que l’intestin est carrémment notre premier cerveau puisqu’il contient plus de neurones que le cerveau lui même. Aujourd’hui, nous savons que 200 millions de neurones sont présents au niveau de l’intestin et qu’en plus de ses fonctions métaboliques et immunitaires, le microbiote intestinal prend également part à la communication entre l’intestin et le cerveau et influence le fonctionnement cérébral. Il y a donc, selon moi un lien évident entre un déséquilibre du microbiote intestinal et certains troubles psychiques, allant du stress ou la dépression jusqu’à des maladies neurodégénératives telles que Parkinson, Alzheimer….
C’était une piste déjà explorée, mais une équipe de chercheurs suisses et italiens la confirme : un déséquilibre spécifique du microbiote intestinal est associé au développement de la maladie d’Alzheimer.
Leurs travaux ont été publiés le 10 novembre dans le Journal of Alzheimer’s Disease.
Les scientifiques ont en particulier mis en évidence une relation entre un phénomène inflammatoire détecté dans le sang des personnes souffrant de la maladie d’Alzheimer, certaines bactéries intestinales et la maladie elle-même. L’étude, portant sur 89 personnes âgées de 65 à 85 ans, dont certaines étaient atteintes de la maladie et d’autres pas, a permis de montrer que cette inflammation chez les malades pouvait constituer “un médiateur” entre le microbiote et le cerveau.
“Ces résultats permettent d’envisager de nouvelles stratégies préventives basées sur la modulation du microbiote des personnes à risque”, peut-on lire dans un communiqué de l’université de Genève, d’où sont issus plusieurs auteurs de l’étude. Mais ne nous réjouissons pas trop vite, préviennent les scientifiques. “La prise d’un cocktail bactérien pour rétablir l’équilibre du microbiote intestinal ou de produits permettant de nourrir les bonnes bactéries ne serait efficace qu’à un stade ‘très précoce’ de la maladie”, continuent ils.
Or diagnostiquer tôt les maladies neurodégénératives n’est pas chose aisée. Je suis une adepte de la prévention plutôt que de la guérison. Et vous ?
Mabelle