Natalité en baisse

Les masques, un futur scandale sanitaire ?

Oui, je sais je reviens souvent sur le sujet, mais je suis toujours autant sidérée de croiser au quotidien des personnes masquées. Elles ont été tellement soumises à la dissonance cognitive qu’elles sont devenues incapables de réfléchir par elles-mêmes pour peu qu’elles l’ai déjà fait dans le passé.

Déjà si ces personnes se donnaient la peine de s’informer plutôt que d’écouter naïvement les médias, elles comprendraient que leur comportement n’a aucun sens. Mais, le pire c’est qu’en croyant protéger leur santé elles la détruisent.

Les masques contribuent à implanter des micro plastiques profondément dans les poumons. Je pense que, même un enfant de 5 ans comprend que ce n’est pas là la place des plastiques.

Les scientifiques découvrent des microplastiques dans les poumons profonds. Cela est dû aux masques jetables que les gens ont été encouragés à porter constamment et qui sont faits de ces mêmes plastiques. Evidemment les médias essayent de noyer le pois(s)on dans le cadre de la crise climatique … et sans doute certains y croiront ils encore.

Certains des plastiques trouvés dans les poumons profonds ont également des propriétés œstrogéniques prouvées, ce qui signifie qu’ils interagissent avec les récepteurs des œstrogènes et perturbent le système endocrinien. Déjà on sait que de nombreuses femmes en âge de procréer qui ont accepté les injections se retrouvent avec de gros soucis de cycle menstruel, font des fausses couches, perdent leur bébé quelques jours après la naissance, se retrouvent ménopausées dans la vingtaine … (excellent moyen de réduire la population comme le souhaite les globalistes) mais en plus le plastique des masques provoque un désordre hormonal qui mène probablement lui aussi à la stérilité.

Tu comprends pourquoi « ils » veulent mettre des masques à l’école aux enfants pendant que les dirigeants ne les ont portés que pour les photos mais uniquement durant quelques minutes. Oui oui, je sais, certains vont encore me dire que je radote. J’ai vu assez de vidéos où des politiciens parlaient, s’embrassaient, se touchaient tout à fait normalement puis, pour la photo qui va paraître dans les médias, hop, tout le monde sort son masque de sa poche, la photo est faite et le masque retourne au fond de la poche. Assez de vidéos ont circulé sur le net pour le dénoncer, mais c’est clair que seuls ceux qui ont vraiment cherché à s’informer ailleurs qu’à la télé ont pu le voir. Il est plus que temps d’ouvrir les yeux si tu ne veux pas les fermer à jamais.

Mabelle

Encore s’aimer quand on a été mal aimé

Bonjour, je vous espère en forme.

Je vous partage un texte de Martine SDY BENZAQUEN.

Bonne lecture

Mabelle

Peut-on cesser d'aimer du jour au lendemain ? - Quora

C’est qu’on ne veut pas s’avouer combien a eu mal d’aimer, combien on n’a pas été aimé comme on l’avait rêvé, on ne veut pas savoir combien l’autre nous a blessé, torturé, déchiqueté …

On est sûr qu’on est indemne, que tout est comme avant, idem, et qu’on s’aime.

On ne voit pas ce qui nous a séparé de nous-mêmes, ce doute de soi qui nous a rongé, pendant des années.

On ne réalise pas qu’on ne croit plus dans les autres, qu’on n’a plus confiance en l’amour, qu’on n’est plus très convaincu qu’on puisse être aimé, qu’on le mérite, qu’on est beau, qu’on est bon, qu’on est quelqu’un de bien ….

Quand tu as été mal aimé, quand on t’a méprisé, rejeté, bafoué, ignoré, insulté, frappé mais que tu as réussi à t’échapper, que tu as survécu à tes manques, à tes douleurs, tu crois que tu as tout gagné …

C’est vrai.

Sauf que, voilà, tu ne sais plus t’estimer, te regarder tel que tu es, t’aimer …

Pour se réapprendre, il y a un secret : pour guérir d’avoir tout donné, il faut encore plus donner.

Un peu comme Musset.

Et puis, savoir recevoir. Se laisser aimer, émouvoir. Se permettre la bonté. Oser laisser les autres nous gâter. Accepter la véritable amitié. Rejeter ceux qui nous rejettent. Fuir ceux qui nous aiment à moitié, avec tiédeur, pas assez de chaleur et de bonheur.

Éloigner ceux qui pensent savoir qui nous devons être, ceux qui nous jugent, ceux qui nous aiment avec un peu de condescendance, pas assez de conscience, ceux qui pensent nous connaître mieux que nous nous connaissons, ceux qui veulent changer nos pantalons, nous donnent sans cesse des leçons, sont certains qu’ils auraient fait mieux et nous expliquent avec un mépris -qu’ils nomment affection- leurs « il faut », leurs « tu dois », ceux qui n’ayant jamais rien vécu te montrent qu’ils n’ont jamais perdu !

Je connais un loup solitaire, une vieille panthère, un chat qui n’aime pas qu’on l’appelle comme cela, un loup-garou d’un peu partout, une souris qui sourit, qui a commencé à s’aimer après plusieurs millions d’années, qui a retrouvé sa liberté en osant retrouver l’amour total et absolu qu’elle portait à l’humanité, en risquant de se laisser aimer, en risquant la profonde bonté, en risquant de se détacher de ceux qui aimaient avec modération comme la boisson, en risquant d’aimer son prochain avec enfance, sans défiance, sans méfiance, sans penser aux risques.

En risquant de se regarder.