Archives de catégorie : Actualités

Que se passe-t-il en ce moment sur notre planète

STOP à cette folie

Bonsoir,

J’espère que vous avez passé une belle journée et que vous parvenez à rester serein au milieu de cette folie.

Tous les dimanches à Bruxelles, de 12 à 17 h, c’est le moment de s’unir pour la liberté

Nous voulons tous que cela se passe agréablement bien et sereinement.

BUT : Montrer notre présence et manifester pacifiquement notre mécontentement.

Il est demandé à chacun de respecter les mesures du gouvernement et de la ville de Bruxelles. (Chacun étant responsable de lui-même)

Localisation : devant la Tour des Finances – Boulevard Jardin Botanique, BRUXELLES

Date et heure : tous les dimanches de 12h à 17h.

Règles sanitaires de bon sens, prévoyez de l’eau.

Soyons sereins, la lumière gagne toujours. A demain?

Mabelle

Réalité Vs illusion

Bonsoir à tou(te)s, j’espère que vous allez bien.

Ayant été en formation ce week-end je n’ai pas trop eu le temps d’écrire un article. Je serai encore en formation toute la semaine prochaine donc il faut bien lever un peu lever le pied dans certains aspects de ma vie durant ce moment.

J’en profite pour partager l’excellent article d’une amie que je vous laisse découvrir

http://www.notre-realite-une-illusion.com/pages/etes-vous-ouvert-au-changement.html?fbclid=IwAR0BNtEF7T5xHRnuEI8kZJrNGr57c5JQT0O7XcDVTsN3rcEFZt3VQ-0-Moo

Belle découverte

Mabelle

Où va le monde ?

Lorsque je vois l’évolution actuelle du monde, il me paraît difficile de continuer de vivre comme si tout allait bien, ou comme si tout allait bien aller demain. Or il me semble que c’est ce que fait la population, quel que soit le pays.

Je crains pour ce monde que nous offrons à nos enfants et petits enfants.

La majorité de la population a continuellement renoncé à ses responsabilités… préférant se délester de toute liberté pour connaître un semblant de sécurité. Une partie de la population continue sa vie comme si ce que nous vivons n’était qu’une toute petite contrainte pour pouvoir continuer à jouir de sa liberté de vivre. Beaucoup ont accepté un masque si celui-ci leur permettait de pouvoir aller en vacances.

Une autre partie des citoyens sont dans la panique totale engendrée à renforts d’articles les plus alarmants les uns que les autres concoctés avec soin par tous les médias. C’est clair qu’ils sont payés pour nous envoyer ces messages de maladie mortelle dont seul le vaccin pourra nous sauver. J’ai un peu de mal à comprendre comment des personnes peuvent dormir tranquillement quand elles savent qu’elles racontent des mensonges depuis plusieurs mois. Est-ce ça le métier qu’elles rêvaient de faire lorsqu’elles ont fait leurs études de journalisme ? Quel dommage, que cela ne soit pas pour donne de vraies informations.

Dans la vie, il y a deux choix possibles : choisir une illusion de sécurité en renonçant à la la liberté, ou choisir la liberté pour trouver la véritable sécurité.

La majorité ayant choisi des emplois normalement stables, en sécurité, elle s’est délestée de toute liberté… et elle commence à en payer le prix.

Melbourne, en Australie, vient d’instaurer la loi martiale sous prétexte d’une recrudescence du COVID-19. Je précise PRETEXTE car celui qui cherche les informations au bon endroit (même si les infos sont de plus en plus censurées, il est encore possible d’en trouver) comprendra rapidement que cela est entièrement faux

Qu’est-ce que cela signifie ?
N’importe quel politicien véreux peut faire passer n’importe quelle loi liberticide et prendre le pouvoir.

Vous pensez que cela n’arrivera pas ?
Eh bien, vous avez la preuve du contraire chez nous.

Au sein même de l’Europe, le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a profité de l’état de crise pour faire passer des décrets en urgence… et il est devenu le premier dictateur élu.

Mais il n’est pas nécessaire de quitter le pays, en Belgique ou en France on nous a imposé le confinement illégal, puis le port du masque tout aussi illégal et tout le monde obéit. Pendant que tout le monde a les yeux fixés sur les chiffres faussés d’un prétendu virus, ils font passer des lois toujours de plus en plus liberticides.

Tout ça pour quoi ? Et de quel droit ? Parce que la majorité a renoncé à son pouvoir.

C’est le moment de reprendre le vôtre si vous ne voulez pas vivre dans une dictature selon le modèle chinois.

Prenez soin de vous

Mabelle

Quelques petites réponses

Bonsoir,

Suite à mes derniers articles, certains m’ont demandé d’autres infos, et où faire des recherches, me disant qu’ils avaient un peu de mal à expliquer les choses à leur entourage.

Je tiens à vous avertir, ne tentez pas de convaincre qui que ce soit. En effet, la plupart du temps, plus on essaie d’expliquer, et plus les gens se braquent et ne veulent rien entendre.

En inventant cet argument de taille de « la théorie du complot », on empêche les gens de raisonner. On annihile leur intelligence, leur libre arbitre. On les paralyse. Je suis contente d’être ce que beaucoup nomment une complotiste, ça prouve que je suis capable de réfléchir par moi même. Mais vu que, depuis notre naissance la société nous dit que faire et de quelle manière, quoi manger et à quel moment, comment se divertir et avec qui, … nous sommes tous formatés pour être comme tout le monde, se fondre dans la masse. Et, sortir de là n’est pas si simple. Je pense que personne n’acceptera jamais ce que vous lui dites si vous lui sortez subitement trois ou quatre vérités que vous connaissez. Déjà une chose c’est compliqué à entendre, alors il ne faut pas s’imaginer pouvoir en révéler plusieurs à la fois, mais laisser mûrir les choses, le temps de digérer et que la personne se pose des questions. Alors, en votre âme et conscience vous déciderez s’il s’agit d’une connerie ou de quelque chose qui vaut la peine d’être approfondi.

Certains vous traiteront d’imbécile, de naïf qui croit n’importe quoi et se laisse manipuler. Ils n’entendront jamais la moindre vérité. Pour eux les révélations seront très dures à encaisser le jour venu, mais on ne peut pas forcer quelqu’un à entendre ce qu’il refuse d’entendre. Les médias nous racontent des mensonges depuis des décennies, alors contredire une actualité telle qu’on nous l’abreuve, ce n’est pas si simple puisqu’on n’a pas forcément les preuves de ce qu’on avance à montrer sur un média mainstream vu que partout on raconte autre chose pour défendre d’occultes intérêts.

Comme le disait Jean-Jacques Crévecoeur, plutôt que de tenter de démontrer quoi que ce soit, il sera plus profitable pour tous de poser des questions afin d’ébranler les convictions. Voici la vidéo dans laquelle il en parle, ça peut être utile :

https://www.youtube.com/watch?v=sg-uBY4Net4

Quand on se pose des questions, on fait des recherches, on s’informe, on se conscientise, et on se pose d’autres questions … c’est un cercle vertueux. A la base je voulais vivre en paix, librement, qu’on me laisse tranquille, comme la plupart d’entre vous. Je me suis posé une question et les réponses ne me paraissant pas claires, j’ai cherché. J’ai découvert certaines choses que j’aurais peut-être préféré ne pas savoir parce que, c’est vrai que c’est plus confortable d’ignorer toutes les horreurs, de penser que tous ces salauds n’existent pas, mais quand on sait on ne peut pas faire semblant de ne rien savoir, ça entraîne d’autres questions et j’ai continué de chercher pour comprendre le lien entre différentes choses. Quand on découvre certaines vérités on ne peut plus les ignorer et continuer de vivre comme avant, et sans doute que cela fait peur à beaucoup de monde. Il est aussi bien plus simple de nier, de ne rien vouloir savoir plutôt que de devoir remettre en question tout ce qu’on nous a appris depuis toujours, d’admettre qu’on a été trompé et qu’on s’est trompé. Ils sont partout, dans tous les secteurs et inventent des concepts monstrueux. Il faut vraiment s’accrocher, mais personnellement je préfère savoir que de me retrouver face à tout ça le jour de la révélation.

Si vous êtes prêt à savoir réellement ce qu’est le monde dans lequel nous vivons, vous trouverez des réponses. A partir du moment où on s’ouvre à les recevoir, certaines viendront à vous sans la moindre difficulté et parfois de directions totalement inattendues. Il y a chaque jour de plus en plus de personnes éveillées et le fait de s’éveiller soi même fait que les semblables s’attirent.

Vous m’avez demandé des endroits où chercher, vous pouvez également vous informer sur différentes chaînes youtube en plus de celle de Jean-Jacques Crèvecoeur : https://www.youtube.com/channel/UCCPk… qui a aussi une chaîne privée

Ema Krusi : https://www.youtube.com/channel/UCp2rcO8R6UkBSLs6NjCp-Cw

Silvano Trotta : https://www.youtube.com/channel/UCgJsFMb8rF_aO1qZgvu_2AQ

Fils de Pangolin : https://www.youtube.com/c/FilsdePangolin/featured

Alexis Cosette de Radio Quebec : https://www.youtube.com/channel/UCxLJZvb6-tlvk5Lq_vyETOQ

Chloé F. : https://www.youtube.com/channel/UCYgeUtQwry3VGNinJ0zu6mQ

Salim Laïbi : https://www.youtube.com/channel/UCAWbpsb5YQKxE8F62TEVCww

Tal Schaller : https://www.youtube.com/channel/UCsErDjBW330E-axwjFIUiLQ

Sophie Meulemans : https://www.youtube.com/channel/UCW0C

Cette liste est bien loin d’être exhaustive. Il y a bien d’autres francophones mais, si vous parlez d’autres langues, il y a pas mal d’américains, de brésiliens, d’espagnols. Parce que, des « complotistes » il y en a sur toute la planète, qui tentent de vous défendre, de défendre votre personne. Nous sommes à l’heure de vérité, la lumière n’est plus bien loin. Beaucoup on compris que certaines choses n’étaient pas « normales » en voyant que l’OMS n’a aucun but de santé mais est une organisation politique qui aide les labos pharmas à s’enrichir, avec l’aide de tous les gouvernements. Ecoutez les bonnes infos car vos oreilles sont tout ce qui vous reste , vous avez déjà perdu symboliquement la parole avec les masques et vous risquez bien de perdre la santé cet automne à force de respirer de l’air vicié.

Ce blog n’a pas été créé dans le but de divulguer ce genre d’informations et si je me suis permise d’en parler c’est parce que, à la base cette pseudo pandémie était sensée être une question de santé, de bien-être, ce qui est le thème du blog. Je pensais juste informer sur comment rester serein malgré les circonstances mais les choses se prolongent et voilà qu’ils nous remettent une couche avec les masques obligatoires d’abord en Belgique puis en France, sans la moindre raison et je suis en colère de voir que tout le monde accepte silencieusement. Donc j’ai ressenti le besoin de donner mon avis, qui est commun à de nombreux thérapeutes et médecins, même si peu osent parler, de peur de se voir radiés. Mais je pense que j’en ai dit suffisamment pour que vous cherchiez par vous même et vous avez quelques pistes à suivre pour trouver les bonnes informations, à votre rythme, même si les informations les plus nombreuses circulent en messages privés et que si vous n’avez pas des contacts qui « savent », vous ne trouverez pas d’infos de ce côté là surtout avec toutes les censures. Il y a tout de même certains groupes Facebook dont vous pouvez devenir membre sans devoir faire trop de recherches.

A ceux qui se battent contre tous les mensonges du NOM, priez, méditez, envoyez de la lumière au maximum. Je vous dis merci. Ceux qui s’éveillent, je vous aime. Et ceux qui ne veulent pas savoir, je suis triste pour vous et espère que vous comprendrez rapidement car, sachez qu’en plus de toute cette escroquerie au niveau de la santé, d’autres choses bien plus graves nous ont été cachées et devraient sortir au grand jour assez rapidement. Vous risquez d’être choqués si vous ne vous ouvrez pas à ce qui se passe derrière le rideau. Et, là, le choc risque d’être terrible.

Quand on commence à s’éveiller, on retrouve sa source divine, c’est ce que je vous souhaite à tou(te)s

Prenez soin de vous

Mabelle

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Décryptage de la situation

Bonsoir,

En ce 14 juillet, jour de liberté en France, une amie m’a envoyé le message suivant auquel je ne changerai pas un mot parce qu’il me tient à coeur de vous le partager avec exactitude en ses propres termes.

Je me souviens parfaitement vous avoir dit, il y a de cela maintenant précisément 4 mois, que je ne tenais pas à écrire plusieurs articles sur le sujet d’actualité. Et pourtant me revoici encore à en parler. A l’époque je ne voyais pas l’intérêt de m’étendre sur quelque chose dont tout le monde parlait déjà et en quoi je ne croyais pas vraiment. Comme déjà dit, pour moi cette histoire de virus n’a pas le moindre sens, si on suit la vision de Béchamp plutôt que celle de Pasteur. Or, c’est mon cas. Donc il n’y avait pas grand chose à en dire si ce n’était « prenez soin de votre système immunitaire ».

Mais, même pour ceux qui croient au mythe pasteurien, là ça commence vraiment à friser le ridicule, pour ne pas dire autre chose. Sérieusement, comment est il possible que tout le monde continue d’écouter les médias qui nous racontent qu’on risque nos vies à cause d’un minuscule petit virus mais qui ne font jamais la moindre allusion à notre système immunitaire, nous martelant que la seule issue possible est un vaccin qui modifiera nos gènes. Après qu’on nous ai menti en falsifiant les chiffres, qu’on nous ai dit que les masques ne servaient à rien, que l’OMS déconseille de le porter, on nous oblige à le porter parce qu’ils ont des stocks à vendre. Comment peut on obéir en portant un masque devenu obligatoire quasiment partout et qui semblerait il va aussi le devenir sur les marchés, soit en plein air, en plein été quand la pandémie est terminée (oui j’emploie le mot tout en continuant de dire qu’il n’y avait pas de pandémie et qu’il a fallu modifier les chiffres pour le prétendre) . Chaque jour, on nous a pris un peu de nos libertés, et nous avons accepté sans discuter. Et cela continue et tout le monde baisse la tête, sans rien dire. Moi, je refuse de cette vie et je me permets de le dire et il m’importe peu que cela déplaise à certain(e)s. Ce que disent les médias et les politiques (sans la moindre preuve scientifique de ce qu’ils avancent et contre l’avis de médecins renommés) me déplaît et ça ne les empêche pas de continuer à s’exprimer, donc j’estime avoir moi aussi le droit de le faire. Comme a le droit de le faire la personne qui a écrit le texte ci-dessous qui est très bien documenté. Je vous laisse en juger par vous même.

Prenez soin de vous, informez vous ailleurs que dans les médias payés grassement payés pour vous museler.

Mabelle

Ce temps de manipulation a trop duré :

  1. A nous de faire le choix d’agir pour la liberté
  2. Ou de subir, laisser faire un système mafieux, qui ne nous veut pas de bien.

Nous pouvons faire beaucoup en partageant les informations.

Y mettre beaucoup d’Amour et de Lumière, pour aider au réveil des consciences.

Nous n’avons pas à porter de muselière, voir les arguments de  spécialistes

Une nouvelle secte est née : les porteurs de masque ! - Riposte ...

Trois raisons de (re)jeter le masque

1.  Le masque, ça ne protège pas

  • Le masque, c’est mauvais pour la santé
  • Le masque, les médecins s’en passaient bien

Trois raisons sanitaires basées sur des argumentaires scientifiques et cliniques

Néosanté Hebdo, par Yves Rasir, 27 mai 2020 https://www.neosante.eu/3-raisons-de-rejeter-le-masque/

Pandémie, fin de partie ! Comme l’avaient bien prévu le Pr Didier Raoult et quelques autres spécialistes clairvoyants, le Covid-19 s’est comporté comme une banale virose saisonnière et n’a pas résisté au retour des beaux jours. L’hiver n’a pas été rigoureux mais il a été long, les températures ne remontant vraiment qu’à partir du 15 avril. Et c’est précisément à partir de ce moment-là, avec l’arrivée du printemps climatique, que le nombre de cas a piqué du nez et que la très relative affluence dans les hôpitaux – en Belgique, l’occupation des lits en soins intensifs n’a jamais dépassé 60% – s’est brusquement tarie. L’épidémie est terminée depuis un bon mois et il n’y aura pas de deuxième vague, cette autre divagation née dans l’imagination des experts conseillant le pouvoir. Maintenant, la question est de savoir si l’on va retrouver la 7ème Compagnie, je veux dire la grippe annuelle qui a mystérieusement disparu des statistiques françaises de mortalité, comme le révèle l’article de notre collaboratrice Pryska Ducoeurjoly que nous avons mis en ligne (1).

Quoi, c’est pas possible, on aurait aussi amalgamé ce fléau prétendument dévastateur avec la bonne vieille « crève » hivernale ? Il n’est pas interdit de le penser. Pour rappel (voir mes infolettres précédentes), certaines études montrent que 80% des syndromes grippaux hivernaux ne sont pas associés au virus Influenza. Et d’autres travaux indiquent que la famille des virus Corona intervient dans 7 à 15% des infections respiratoires qualifiées de grippes. Or celles-ci dégénèrent fréquemment en pneumonies typiques ou atypiques.

Tous covidés ?

Les complications de cette deuxième catégorie, caractérisées par une dyspnée prononcée malgré une faible atteinte pulmonaire et des images thoraciques en « verre dépoli », étaient déjà observées en automne en Italie, mais aussi dans l’Est de la France et aux États-Unis dès le mois de novembre. En Belgique, certains chercheurs ont retrouvé la trace du SRAS-Cov-2 dès le début du mois de février. Il est par conséquent probable que cette grippe saisonnière un peu inhabituelle rôdait déjà sous nos latitudes depuis un bon bout de temps. Et donc que son taux de létalité – évalué pour l’instant à 0,5% en étant parti de 5 % – devrait encore être revu à la baisse grâce à l’augmentation des tests sérologiques. L’autre jour, je discutais avec ma vieille voisine de 78 ans qui avait dû se faire amener en ambulance fin octobre et qui m’a raconté ses symptômes : si ce n’était pas un Covid, c’était très bien imité !  Une amie m’a également parlé de sa grippe de janvier accompagnée de pertes de goûts et d’odorat, deux signes cliniques qui ne sont pas particuliers au Covid mais qui ont été maintes fois signalés cette année. Moi-même, je me souviens avoir été sérieusement grippé au début de l’automne, période où je suis assez sensible parce que c’est la pleine saison des acariens et que ce contexte environnemental (les premiers froids + l’omniprésence des arachnides ) réveille

un douloureux traumatisme de ma prime enfance. Je me rappelle m’être réveillé plusieurs nuits essoufflé et avoir dû faire des exercices de cohérence cardiaque pour réguler ma respiration et retrouver le sommeil. Bref, on peut se demander si beaucoup d’entre nous n’ont pas été « covidés » sans le savoir et si cette étiquette n’a pas été collée – en sus de tous les autres diagnostics abusifs et du gérontocide commis dans les EPAHD – sur la très traditionnelle grippe annuelle. Pryska va essayer de retrouver la 7ème compagnie et nous vous tiendrons au courant.

La jugeote de mon coiffeur

En attendant que les chiffres parlent, il faut bien endurer la prolongation du Corona Circus et se farcir le dernier numéro de ce spectacle navrant, celui de la paranoïa grotesque nous incitant, voire nous contraignant, à bien garder nos distances et à porter un masque pendant le déconfinement. Hier, j’ai enfin pu retourner chez le coiffeur. Respect des consignes oblige, Umberto m’attendait affublé d’un masque blanc très élégant mais il ne m’a pas demandé d’en mettre un. Cool, j’aurais été capable de

faire demi-tour et d’attendre encore jusqu’à l’été avant de me faire couper les tifs. Son indulgence m’a soulagé car si le port des cheveux longs m’a rappelé ma jeunesse sixties et seventies, je commençais à en avoir marre de les avoir dans les yeux. Engageant la conversation, j’ai demandé à mon figaro s’il se souvenait avoir déjà « chopé » le rhume ou la grippe d’un de ses clients. « Jamais en 25 ans de métier, m’a-t-il répondu, car j’ai une bonne immunité et je ne tombe jamais malade ». Intéressant, non, ce témoignage attestant que des centaines, voire des milliers de contacts rapprochés avec des porteurs de microbes n’ont aucune influence sur un terrain

robuste ? Encouragé par son bon sens, je lui ai parlé de la controverse Béchamp/Pasteur et lui ai dit que moi, je ne croyais pas du tout à la contagion. Que j’y croyais si peu que j’étais prêt à passer tout un mois en compagnie d’une jolie covidée et à l’embrasser à longueur de journée, avec la certitude de ne rien attraper. Ça l’a bien fait rire et il a eu cette réplique épatante : « Logique que tu n’attraperas rien puisque tu auras pris ton pied sans penser à autre chose ». Franchement, en entendant ça, je me suis dit que la compréhension de la santé était bien plus répandue dans les salons de coiffure que dans les facultés de médecine. Car les médecins, il ne faut pas trop compter sur eux. Après avoir pleuré sur la pénurie des masques, ils sont nombreux – j’ai reçu beaucoup d’échos allant dans ce sens – qui l’arborent en consultation, l’imposent à leurs patients et leur conseillent de le porter en permanence. Mais bon sang, leur arrive-t-il encore de réfléchir et de lire autre chose que les slogans officiels ? Voici à leur intention, mais aussi à la vôtre, trois bonnes raisons de ne pas porter cet objet ridicule et de le jeter à la poubelle. (*)

1.   Le masque, ça ne protège pas

Quand il n’y en avait pas assez, les politiciens et les experts nous disaient que les masques ne servaient pas à grand-chose. Maintenant qu’une industrie locale a été relancée et que les pays à bas coût salarial inondent le marché, les mêmes nous certifient que les bouts de tissu ou de plastique protègent efficacement. Qu’en est-il exactement ? En fait, il n’est pas scientifiquement démontré que le port du masque présente un quelconque intérêt sanitaire. Des citoyens canadiens ont passé en revue la littérature médicale et ils n’ont trouvé aucune évidence plaidant pour le port du masque. Voici le « rapport technique » (2) où ils ont compilé les études prouvant plutôt le contraire. De son

côté, sur le blog (3) où il déconstruit méthodiquement le « mythe infectieux », le scientifique David Crowe a pris la peine de lire les quelques études favorables au masque et a trouvé qu’elles étaient entachées de biais de confusion, notamment le fait que les groupes contrôles étaient composés d’individus en meilleure santé que les groupes observés. Sa conclusion ? « Il y a une large évidence contre le port du masque par la population générale, généralement vu comme inefficace et

pouvant contrarier les autres mesures préventives». David Crowe a aussi retrouvé les opinions formulées par certaines sommités médicales estimant que la propagation du virus ne pouvait pas être freinée par la généralisation du masque. Piquant : il a même retrouvé une déclaration de l’OMS

datée du 6 avril et selon laquelle il n’y a pas de bénéfice avéré à porter un masque en public, ni entre personnes en bonne santé ni lors de leurs contacts avec des gens malades. C’est d’ailleurs sur cette absence de preuve que le Danemark s’est appuyé pour… déconseiller le port du masque ! Seul pays européen à ne pas émettre une telle recommandation, le royaume scandinave a en effet choisi l’option inverse et a dissuadé sa population de sortir masquée. Le microbiologiste Hans Jorn Jepsen Kolmos, un des experts conseillant le gouvernement danois , l’a justifié ainsi : « Ce n’est pas une question de croire au masque ou pas (…). La position des autorités sanitaires est que, pour l’instant, nous n’avons pas de preuve clinique, scientifique, disant que les masques peuvent protéger efficacement le grand public ». (Journal International de Médecine, 22 mai 2020). Préférer la science à la croyance, n’est-ce pas raisonnable ?

2.   Le masque, c’est mauvais pour la santé

Ce pavé a été lancé dans la mare par le Dr Russel Blaylock. Dans un article qui a fait le tour de la toile (4), ce neurochirurgien américain réputé déclare carrément que « les masques faciaux peuvent poser de sérieux risques pour la santé » de ceux qui les portent. En premier lieu, il désigne les personnes âgées fragiles et les personnes atteintes de maladies respiratoires, telles que la bronchite chronique obstructive, l’emphysème ou la fibrose pulmonaire. Pour cette catégorie de patients, le port du masque entraine potentiellement une grave détérioration de la fonction pulmonaire. Cela inclut également les patients atteints de cancer du poumon et les personnes ayant subi une chirurgie pulmonaire, en particulier avec une résection partielle ou l’ablation d’un poumon entier. Mais le Dr Blaylock va beaucoup plus loin : il estime que les gens en bonne santé masquées sont également à

risque car elles sont exposées à un risque accru… d’infection ! Des études ont en effet montré que l’hypoxie (baisse de l’apport d’oxygène) peut inhiber les lymphocytes T CD4+, les principales cellules immunitaires mobilisées lors des infections virales. « Cela prépare le terrain pour contracter toute infection, y compris Covid-19, et rendre les conséquences de cette infection beaucoup plus graves. » Dans son document, David Crowe mentionne aussi deux études scientifiques accablantes. La première montre que le personnel hospitalier portant un masque fermé « attrape » plus facilement la grippe  que les autres travailleurs de santé porteurs d’un  simple masque chirurgical.  Les analyses en laboratoire ont confirmé que la pénétration de particules virales était de 97% pour le masque fermé, contre 44% pour les masques médicaux. L’air de rien, voilà encore un immense caillou dans la chaussure de la théorie pasteurienne ! La seconde étude indique que les soignants (médecins, infirmières, paramédicaux..) engagés dans la bataille contre le Covid-19 ont constaté un accroissement de la fréquence et de la sévérité de leurs maux de tête, symptômes notoires d’un déficit en oxygène. Sans être versé en physiologie, on peut aisément comprendre que se boucher la bouche et le nez gêne la respiration et n’est pas sans effets négatifs et contre-productifs. Puisque la recherche scientifique en fournit les preuves, il faudrait détruire les stocks de masques ou les renvoyer à l’expéditeur au lieu de propager, à grand renfort de propagande, la fausse idée que cet équipement contribue à l’hygiène de vie. C’est exactement le contraire.

3.   Le masque, les médecins s’en passaient bien

Il y a très longtemps de cela, à une époque dont on se souvient à peine, c’est-à-dire il y a quelques mois, les disciples d’Hippocrate recevaient ou visitaient leur patientèle sans porter de masque ni de gants, sans éviter les contacts physiques et sans s’arroser de gel hydro-alcoolique. Depuis toujours, les médecins de terrain affrontent les épidémies sans protection particulière. Tombaient-ils malades pour autant ? Évidemment que non ! Ces dernières années et surtout dans mon infolettre du 20 mars 2019 (5), j’ai soulevé ce paradoxe : lors des épidémies de grippe, les toubibs ne contractent pas cette infection pourtant considérée comme hautement contagieuse. Ils devraient tomber comme des mouches, succomber massivement à l’agent viral qu’ils côtoient tous les jours, s’aliter à leur tour et déserter leurs cabinets, mais non, ils restent au poste et ne semblent nullement affectés par

l’ « ennemi invisible ». Si c’était le cas, ça se saurait car il manquerait cruellement de praticiens lors des pics hivernaux de syndromes grippaux. Question à la hiérarchie de l’église

pasteurienne : comment expliquez-vous ce grand mystère de votre foi ? Question

subsidiaire : comment expliquez-vous que le Covid-19, contrairement à ce qui est rabâché dans les médias, ait fait si peu de victimes dans le corps médical ? Depuis le début de la « pandémie », le château de cartes de la théorie du germe craque de toute part et le virus à couronne est en train de révéler que la contagiosité est une absurdité sans fondement : le microbe ne peut absolument rien sur un terrain suffisamment sain. Heureusement, il y a des médecins qui en prennent conscience. Et d’autres qui le pensaient déjà tout bas et qui osent désormais l’affirmer très haut. Le Dr Jean-Michel Crabbé est de ceux-là. Collaborateur occasionnel de la revue Néosanté et auteur du livre « Tempête sur le diabète », ce généraliste de Besançon n’a guère apprécié l’injonction à se masquer et il a pris sa plume pour le faire savoir au Conseil de l’Ordre. Ci-dessous, je partage et reproduis sa lettre car elle pose bien le débat et contient quelques arguments percutants. Face à la tuberculose, les médecins d’antan étaient également et curieusement « immunisés » bien qu’il combattaient sans rien – à mains, bouches et narines nues – le très contagieux bacille ! Voilà le genre de prises de parole qui font réfléchir et qui pourraient, si elles se multipliaient, faire vaciller la dogmatique médecine académique emprisonnée dans ses croyances d’un autre âge. Il n’est que temps, comme nous tous, de la déconfiner complètement !

Dr Jean-Michel CRABBÉ

Qualifié en Médecine Générale et biologie appliquée aux sports

21 C, rue Jean Wyrsch 25 000 Besançon

tél : +33 3 81 50 39 93 – gsm : +33 6 80 20 32 48

Conseil de l’Ordre des Médecins du Doubs, Copie : M. Pierre Laurent, L’Est Républicain,

Besançon, le 13 mai 2020

Monsieur le président, mes chers confrères,

Dans le contexte épidémique covid-19, j’ose rappeler des faits incontestables qui devraient être connus de tous à propos des épidémies.

Au début du XXe siècle, au plus fort de l’épidémie de tuberculose, un confrère a écrit ceci : « Au sanatorium de Bligny, où tout le monde vit en promiscuité avec les malades, le Dr Guinard n’a jamais vu, ni dans le personnel, ni dans les familles du personnel, un seul cas de tuberculose pouvant être attribué à une contamination dans un service du sanatorium. » (Larousse médical illustré 1924, page 1258/1400).

Dans les années 1920, le personnel médical soignait les tuberculeux sans gants, sans masques, sans matériel à usage unique, et il n’était pas contaminé. Après la Deuxième Guerre mondiale, alors que l’épidémie régressait, les autorités sanitaires ont présenté la tuberculose comme une maladie très contagieuse, imposé des règles sanitaires rigoureuses, et rendu obligatoire la vaccination par le BCG sans apporter la preuve de son utilité (La Recherche, n° 356, septembre 2002).

En 2003, dans un service parisien de patients immunodéprimés, un cas de tuberculose très contagieuse chez un soignant n’a donné lieu à aucune contamination parmi les 180 patients très fragiles et les membres du personnel soignant exposés (BEH n° 10-11, 18 mars 2003).

Comme une majorité écrasante de mes collègues et du personnel soignant, j’ai exercé 45 ans dans le milieu médical sans protections particulières, j’ai traversé des dizaines d’épidémies de grippe très contagieuses sans vaccin, sans jamais être contaminé par la grippe ou par aucune autre maladie transmise par un patient. Comme mes collègues, j’ai constaté que la majorité des maladies infectieuses ne sont absolument pas contagieuses et que dans les familles, il y a rarement plus d’un malade à la fois. Nous sommes tous exposés quotidiennement à des milliards d’agents infectieux sans jamais contracter la moindre maladie, y compris à un âge très avancé.

L’histoire des grandes épidémies (Pr J-Ch Sournia, revue du Palais de la découverte – Vol. 15 – N° 146) nous enseigne que les phénomènes de contagion – peste, choléra, tuberculose, etc – n’ont jamais respecté les lois statistiques que nos épidémiologistes utilisent pour justifier des règles de confinement et d’hygiène à toute la population.

Il est amplement démontré que la notion de contagion pastorienne, qui fait la loi aujourd’hui, est inexacte et appliquée sans aucun discernement. En pratique, le terrain est essentiel.

De nombreux facteurs fragilisent un individu. Certains sont endogènes comme l’âge, les spécificités génétiques, les antécédents, les carences, l’hygiène individuelle. D’autres facteurs sont exogènes comme les stress physiques, l’épuisement professionnel et le travail de nuit, l’exposition à des toxiques et la pollution atmosphérique, les effets secondaires de médicaments ou de vaccins. Même un stress psychologique diminue l’amplitude respiratoire, provoque une stagnation de l’air alvéolaire et favorise la pullulation du bacille de la tuberculose et d’autres agents infectieux comme ce coronavirus.

Depuis très longtemps, on sait que la meilleure vaccination, c’est un ou deux ans d’allaitement maternel, grâce auquel la mère transmet ses propres cellules immunitaires à l’enfant qu’elle allaite (Pouvert C. et coll., Immunologie fondamentale et immunopathologie, Marketing, 1991).

La situation actuelle est une perversion de la médecine, une maltraitance de populations entières privées de véritables soins et livrées au pouvoir arbitraire, non des médecins de terrain expérimentés, mais de l’administration et de la police. Cette fausse conception des épidémies et de la contagion est le prétexte à la mise en place d’un système répressif à l’échelle de la planète. Ce système maltraite les jeunes, les travailleurs, les personnes âgées, il réduit l’humanité en esclavage, il neutralise les relations sociales et familiales indispensables à la vie et crée une hystérie collective.

Aujourd’hui, les hommes sentent que notre société va mal, et ils ont peur. Le non-sens règne partout avec le scientisme, le consumérisme, l’inversion des valeurs traditionnelles, la violation des lois de la nature, la perversion de la notion de famille et de communauté. Le respect des lois naturelles, cela s’appelle la Sagesse, et quand l’humanité viole la Sagesse, elle se met en danger. Alors, avec ou sans confinement, l’humanité s’expose à être ravagée par une épidémie.

Recevez mes meilleures salutations confraternelles Dr Jean-Michel Crabbé

Je cherche la vérité

Bonsoir,

J’espère que vous allez bien.

Comme je l’avais dit dans un précédent article, je n’oblige personne à me croire et je ne prétends absolument pas détenir une quelconque vérité.

Cependant, oui, je le revendique, je suis une chercheuse de vérité. Appelez moi complotiste, comme certaines me l’ont dit dernièrement, si cela peut faire votre bonheur.

J’ai toujours cherché à comprendre le monde dans lequel je vis et je m’aperçois qu’il y a très peu de monde qui en fait autant, que toutes les personnes qui se posent de nombreuses questions sont soit traitées de folles, soit de complotistes. Cependant je ne complote absolument rien du tout. Je pense même que le complot se trouve là où personne ne veut le voir. Parce que, oui, de nombreuses choses ne me paraissent pas « normales » et donc je continue de chercher une explication plausible à tout ce qui arrive. Si derrière tout ce que nous vivons il y a des personnes qui tirent les ficelles afin que les choses se déroulent à leur avantage, pour moi c’est plutôt eux qu’il faudrait qualifier de complotistes. Mais, finalement, ce n’est jamais qu’une question de vocabulaire, et qu’importe comment ils se nomment ou me nomment, je cherche simplement à comprendre et ceux qui veulent continuer à fermer les yeux sont libres de le faire, chacun est libre de ses choix et je respecte les vôtres. Si mes écrits ne vous plaisent pas, passez simplement votre chemin, vers des écrits qui sont en accord avec vos valeurs. Si c’est votre choix, je vous souhaite bonne route.

Je vous partage aujourd’hui un article de Yves Rasir, qui se pose également des questions : Comment expirer pour ne pas … expirer

Avant de prendre un peu de repos et de mettre l’infolettre en pause pendant 3 semaines,  permettez-moi de revenir sur la thèse que je défends depuis maintenant 6 mois :  cette pseudo-pandémie virale est pour l’essentiel une pandémie de peur. Dans le sillage d’un Didier Raoult et de quelques autres scientifiques, je soutiens évidemment que cette virose saisonnière a suscité une psychose excessive et que celle-ci a été contre-productive : les mesures adoptées ont créé de l’anxiété chez beaucoup, de l’angoisse chez certains et une détresse intense chez les personnes âgées confinées dans leurs maisons de retraite. Nuisible pour la santé en général et pour l’immunité en particulier, ce genre de stress est  également connu pour aggraver les assuétudes (tabac, alcool…) et augmenter la consommation de certains médicaments psychotropes. Selon le SNDS (Système  Français de Données de Santé), les prescriptions d’hypnotiques étaient supérieures de 5 à 8% eu cours du confinement , ce qui révèle l’augmentation des troubles du sommeil et  la prévalence  accrue des symptômes dépressifs.  Mais ce ne sont là que des dégâts collatéraux mineurs en regard du pouvoir méconnu de la peur, celui de faire mourir ceux qui en sont les proies ! Loin d’être seulement une conséquence de l’alarmisme des experts, de la « sur-réaction » des autorités et de l’emballement des médias, la peur distillée par ces trois  catégories d’acteurs est à mes yeux  la CAUSE principale de la mortalité  erronément attribuée à un agent infectieux. Depuis le début, je pense que nous avons affaire à une épidémie fictive mais auto-réalisatrice, c’est-à-dire générée par sa narration « hallucinée », pour reprendre le terme employé par Jean-Dominique Michel.
 
Mourir de la peur de mourir
 
Qu’est-ce qui me permet de tenir de tels propos ? C’est bien sûr le « nouveau paradigme médical » dont les éditions  Néosanté ont fait leur cheval de bataille. Fondée notamment sur les travaux d’Henri Laborit, les découvertes du Dr  Ryke Geerd Hamer, les intuitions de quelques autres pionniers de la psychosomatique et la synthèse de tout cela effectuée sous le nom de « biologie totale » par le Dr Claude Sabbah, cette nouvelle vision de la santé postule que les maladies ont un sens en terme de survie et qu’elles découlent, dans leur grande majorité, de chocs émotionnels ingérables par le psychisme. Depuis que nous existons, nous avons maintes fois souligné que la frayeur de la mort se somatisait le plus souvent dans les poumons et qu’elle pouvait y semer des tumeurs alvéolaires.  A fortiori, la terreur ressentie par un individu peut se traduire par des pathologies moins dangereuses que le cancer, comme la grippe ou la pneumonie.  Dans la revue Néosanté du mois de mai, nous avons publié deux articles montrant comment la peur impactait, non pas tant le système immunitaire, mais surtout le système nerveux autonome. Pour peu que son système neurovégétatif soit faible et encore affaibli par un ressenti de grave danger pour la sphère pulmonaire, un être humain très effrayé  peut ainsi trépasser sous le seul effet de ses émotions. Il peut  – ironie tragique –  mourir de la peur de mourir ! Et ça, ce ne sont pas seulement quelques soignants « sectaires » qui l’affirment. Depuis sa création en 2011,  notre mensuel a interrogé des dizaines de médecins et chercheurs  convaincus des pouvoirs de l’esprit sur le corps,  tant pour le meilleur ( la pleine santé, la guérison) que pour le pire (la maladie et la mort prématurée). Pour notre numéro de juin, nous avons interrogé le Dr Patrick Clervoy, psychiatre français qui a suivi des soldats engagés lors de plusieurs opérations militaires à hauts risques. Il a vu clairement que les émotions intenses pouvaient déclencher une mort  subite et que celle-ci était fréquemment précédée  –  tiens, tiens – d’une détresse respiratoire aiguë.  Dans le numéro de juillet-août, notre journaliste Carine Anselme interviewe Christophe Haag,  chercheur en psychologie sociale, spécialiste des émotions extrêmes  et auteur du livre « La contagion émotionnelle » (Albin Michel). Et que nous dit-il ? Accrochez-vous : il faut à peine 21 millièmes de secondes pour qu’une émotion soit transmise d’un individu à l’autre.  Pas besoin de se tousser dessus et inutile d’adopter des gestes barrières car cette contagion immatérielle – la seule, la vraie –  s’opère à distance, par exemple par téléphone ou via la télévision. S’il existe, le coronavirus a probablement moins tué que le Journal de 20 heures ou le discours va-t-en-guerre du président Macron !
 
 
La tragédie de l’hypoxie
 
Cette hypothèse me semble d’autant moins saugrenue qu’un phénomène bizarre s’est produit en marge de cette grippe baptisée Covid : une épidémie d’hypoxie silencieuse. Je vous en ai déjà parlé mais ça vaut la peine qu’on s’y attarde. Car si la terreur médiatisée est l’arme du crime, cette étrange  manifestation somatique semble en être la signature traumatique.  Pour rappel, l’hypoxie silencieuse  est un manque d’oxygène dans le sang n’entraînant pas – du moins pas immédiatement – de difficulté à respirer. Elle peut survenir concomitamment à une détresse respiratoire mais pas nécessairement.  La fréquence respiratoire est généralement plus élevée mais le malade semble respirer normalement. On l’appelle également « hypoxie heureuse » parce que les patients sont inconscients de leur état de sous-oxygénation et qu’ils sont même légèrement euphoriques, comme sous l’influence d’un gaz. Lorsque le corps médical s’aperçoit du problème par l’apparition de  cyanose (marques bleues sur la peau et les muqueuses), il est déjà moins une car la carence en oxygène peut rapidement déboucher sur la défaillance du foie et/ou des reins. Un peu partout dans le monde, les hôpitaux ont vu affluer de nombreux « covidés »  déjà cyanosés et qu’il a fallu placer dare-dare sous oxygène.  Of course, la médecine a rapidement tenté d’attribuer le processus à l’action du coronavirus. Ce dernier serait tellement sournois qu’il provoquerait une infection très ciblée s’attaquant au surfactant pulmonaire, la substance qui remplit les alvéoles. Ce faisant, leur lien avec les poumons est coupé et les niveaux d’oxygène commencent à chuter. Et si c’était plutôt la rançon du stress subi à l’idée d’être atteint par un mal  que certains ont carrément comparé à la peste ? Sans être physiologiste, tout le monde sait qu’une émotion forte est synonyme d’hyperventilation : on ingère goulument de l’air et cette façon de respirer produit un changement des proportions de gaz dans le sang, avec une hausse du taux d’oxygène (O2 ) et une baisse du dioxyde de carbone (CO2).  Or l’organisme humain est ainsi fait qu’il ne supporte pas les changements de proportions entre ces deux gaz, il cherche toujours à rétablir l’équilibre. La  présence de CO2  est indispensable à l’absorption de l’Opar les poumons, puis à son passage dans le sang et de là, à l’imprégnation des cellules.   Paradoxalement, l’individu qui stresse s’empoisonne à l’oxygène et compromet dangereusement son oxygénation sanguine et cellulaire. Dès lors, on peut imaginer l’impact iatrogène des interventions médicales consistant à fournir encore plus d’oxygène. Rappelez-vous la vidéo du Dr Caméron Kyle Sidell: au plus fort de l’épidémie,  ce  jeune médecin urgentiste new-yorkais a alerté sur le fait que la plupart des patients  placés sous respirateur artificiel mouraient. Et il se demandait à juste titre si ce  n’était pas ce geste médical qui les tuait. Quand ils intubent un « hypoxique heureux »,  les soignants ne font en effet qu’aggraver la situation, comme l’expliquait le Dr Zach Bush dans la vidéo que j’ ai partagée il y a 15 jours.  L’introduction forcée d’oxygène à haute pression génère une lésion oxydative et inflammatoire sur des tissus impuissants à encaisser le choc gazeux. À New-York, 88% des personnes placées sous respirateur sont mortes. En Europe, où les deux principales comorbidités (diabète et obésité) sont moins répandues,  on parle de 40 à 60% de décédés parmi les patients intubés. Question : aurait-on pu éviter cette tragédie si l’intubation n’avait pas été privilégiée par hantise du virus ? Autre question : ne faudrait-il pas, comme je le soulevais dès le mois de février, remettre en cause les bénéfices de l’oxygénation médicale sous toutes ses formes, lunettes et masques compris ? Autrefois, on réanimait les patients en pratiquant le bouche-à-bouche. Aujourd’hui encore, les pompiers procèdent de la sorte lorsque l’équipement fait défaut. Or cette technique efficace consiste à insuffler un air chargé en COpuisqu’il provient des poumons du secouriste. Je me demande si l’oxygénothérapie n’est pas le vrai problème révélé par cette « pandémie ». Et je soupçonne que les chiffres de mortalité sont étroitement reliés à son mésusage face à l’hypoxie silencieuse.
 
Le véritable fléau
 
Ce que j’espère surtout, c’est que le phénomène hypoxique  « covidien » va servir de révélateur au véritable fléau qui ravage les pays industrialisés, à savoir l’hyperventilation chronique. Contrairement à une croyance aussi fausse que bien enracinée, le stress consubstantiel à  nos sociétés « modernes » trépidantes n’est pas synonyme de respiration insuffisamment ventilante. Nous sommes au contraire très nombreux à hyperventiler en permanence. Nous respirons trop vite, trop fort, trop mal. Dans son article du mois de juin, notre chroniqueur Yves Patte expliquait que beaucoup d’hommes et de femmes ont la mauvaise habitude d’inspirer par la bouche. Ce n’est pas  un penchant anodin car l’évolution a façonné l’être humain pour qu’il inspire par le nez. Les narines font office de filtres mécaniques (notamment pour les microbes !) et l’inspiration nasale joue un rôle de filtre chimique en  stimulant la synthèse du monoxyde d’azote (NO), un composé extrêmement important pour notre corps. Ce gaz est en effet un vasodilatateur pour les vaisseaux sanguins, un régulateur du système nerveux parasympathique (celui qui calme le stress) et un acteur non négligeable du système  immunitaire. Dans sa chronique de juillet-août, notre spécialiste du modèle paléo examine la façon d’expirer et fait le même constat navrant:  nous expirons trop vite, trop peu, trop mal. C’est une catastrophe car il en résulte un déséquilibre constant entre le dioxygène et le dioxyde de carbone. Plus vite on expulse le CO2, moins on absorbe l’O2. Il y a un siècle, un individu moyen respirait 4,9 litres par minute. Nous en sommes aujourd’hui à 12 litres par minute ! Cette croissance vertigineuse de la consommation fait que nos cellules sont de moins en moins oxygénées. Le pire, c’est que nous sommes enfermés dans un cercle vicieux : nous hyperventilons parce que nous sommes stressés, nous aggravons le stress parce que nous hyperventilons. Pour échapper au piège, il faut revoir complètement  sa façon de respirer, tant à l’inspir qu’à l’expir, et Yves Patte nous indique des solutions puisées dans la  méditation et  dans  la tradition du  Pranayama yoga (yoga du souffle). En gros, il s’agit de respirer mieux en  inspirant plus calmement et en expirant plus profondément, jusqu’à vider complètement ses poumons par des exercices d’apnée. Le yoga aurait-il pu sauver les hypoxiques prétendument attaqués par  un virus ? À mon avis, ce n’est pas du tout à exclure. Ma conviction est en tout cas que les « covidés » en hypoxie ont été mal traités, sinon maltraités, et que leur hyperventilation aiguë est survenue sur un terrain d’hyperventilation chronique.  Par le plus grand des hasards (pour ceux qui y croient encore), j’ai rencontré récemment un jeune gars qui a été sévèrement atteint et qui présentait ces facteurs de risques caractéristiques. Il m’a aussi confié un vécu relationnel correspondant typiquement à la causalité conflictuelle des troubles pulmonaires. Je vous raconterai ce cas d’école à mon retour de vacances en France, en espérant que celles-ci ne soient pas gâchées par le soi-disant rebond épidémique et un éventuel reconfinement dont la rumeur circule depuis hier. Manquerait plus que les marchands de peur m’empêchent de me ressourcer un peu à l’abri de leurs délires virophobiques !

Prenez soin de vous

Mabelle

Des chiffres réalistes

Bonjour,

Je vous espère en pleine forme.

Mercredi après-midi, au téléphone avec une amie, qui a un site et publie très régulièrement des vidéos et articles intéressants, elle me disait avoir écrit un article sur les circonstances que nous vivons. Je vous partage son article qui remet, une fois encore les choses à leur juste place. Bonne lecture

Mabelle

On vit dans un monde devenu fou

Bonjour,

J’espère que vous allez bien en ce premier jour de juillet, bien gris et pluvieux chez moi.

Je tiens à vous partager aujourd’hui un article du site Santé Nature Innovation parce que, je n’ai vraiment pas envie de revenir encore une fois sur cette histoire complètement folle dans laquelle nous vivons depuis quelques mois et qui semble vouloir se prolonger.

Après Woluwe-Saint-Lambert, Auderghem recommande le port du masque

Je n’ai pas plus envie de répondre aux personnes qui n’approuvent pas mon article sur le sujet parce qu’elles préfèrent croire les médias mainstream. C’est leur droit le plus strict et je respecte leur choix de continuer à se laisser diriger de la sorte, mais j’estime avoir aussi le droit d’avoir un autre avis sur la question. Jusqu’à présent nous ne sommes pas encore poursuivis parce qu’on pense autrement que ce vers quoi on nous pousse, donc j’en profite tant que je peux 😉

Par contre je constate que je ne suis pas seule à avoir cet avis, j’en suis ravie, et j’aime à partager cet article de Jean-Marc Dupuis, même s’il y a certaines redites par rapport à ce dont j’ai parlé dans mon dernier article. Vu que les merdias répètent les mêmes âneries depuis 4 mois, ça ne peut pas faire de tort de lire plusieurs fois de suite des choses bien plus sensées sur le sujet.

Je viens de voir que, même un média officiel s’interroge enfin sur le port du masque infondé et les dégâts sur l’équilibre de vie en général. Mieux vaut tard que jamais !

http://www.francesoir.fr/politique-monde/les-mysteres-du-masque-entre-deraison-soumission-panique-et-contagion?fbclid=IwAR33FSQyb05aZZ0lq4o-PP0VX6c3kAcJEI7gT6eQtHXZUe1CRFhT4UxWj-Q

Je vous souhaite un très bel après-midi

Mabelle

Oui, nous allons tous mourir, mais pas ce soir

Bonjour, j’espère que vous allez bien en cette belle journée d’été.

J’ai reçu ces dernières semaines plusieurs messages de lectrices me reprochant de ne rien publier sur le Covid. Oui, c’est tout à fait vrai, je n’ai eu aucune envie de parler ce ça. Pour moi tout était dit : je ne savais pas si cette pandémie était réelle ou non, par contre je savais que l’OMS avait depuis peu modifié les normes concernant les déclarations de pandémie sans quoi le Covid n’aurait pas pu être déclaré comme tel. Je savais aussi que cette « pandémie » arrivait étrangement au bon moment pour arrêter net les revendications qui se faisaient de plus en plus importantes dans de nombreux pays où les citoyens n’en pouvaient plus d’être pressés comme des citrons pendant que les riches continuaient de s’enrichir. Et, pour moi, quel que soit le problème de santé, il n’existe pas de solution miraculeuse, les médicaments n’étant qu’un moyen d’être encore plus malade en apportant au corps des molécules chimiques qui ne font que cacher des symptômes et n’agissant pas à la cause mais ajoutant d’autres problématiques avec de nombreux effets secondaires. La seule et unique chose à faire étant d’aider son système immunitaire, je vous avais présenté diverses manières de le faire. A partir de là, chacun était libre de prendre soin de lui de la manière qui lui convenait le mieux.

Mais si je dois m’expliquer sur le sujet, ça ne me pose pas de problème de le faire, cependant vu que je me suis tue durant trois mois, ça risque d’être long, mais c’est vous qui le demandez. Si je me suis abstenue de parler du sujet Covid, il y avait plusieurs raisons à ça.

La première est que je n’avais pas envie qu’une histoire de virus, qui déjà semblait être le centre de l’attention de tout le monde devienne aussi le truc le plus important de ma vie alors qu’il y a tant de choses bien plus importantes et plus graves que ça, bien plus belles aussi. Parce que, oui, il y avait de très belles choses qui se passaient pendant que tout le monde était enfermé, la couche d’ozone qui se réparait, les fleuves et rivières nettement moins pollués, certains qui se tournaient subitement vers le bio dont ils n’avaient jamais voulu entendre parler, …

Mais des choses plus graves que de rester chez soi avaient lieu également, notamment l’installation un peu partout de la 5G et de caméras de surveillance. Pendant que tout le monde craignait une contamination et vivait les yeux rivés sur son portable ou sa télé, tout le monde n’était pas confiné, loin de là. Les antennes poussaient, cachées dans de faux arbres ou cheminées, voire à la vue de tous. L’étape suivante sera de la déployer et de devenir tous des zombies incapables de penser par eux-mêmes, voués à disparaître et ainsi combler de bonheur Bill Gates qui ne cesse de proclamer qu’il faut éliminer une grosse partie de la population (je ne vais pas écrire de nombre car je ne sais plus s’il s’agit de 80% ou d’un autre pourcentage, mais quoi qu’il en soit c’est énorme). Faites vos recherchez sur youtube, il en parle ouvertement dans de nombreuses vidéos et reconnaît lui-même que la vaccination est un des moyens pour atteindre ce but.

Parce que, oui un excellent moyen de réduire la population est de la vacciner. Le processus a déjà commencé depuis un bon moment. Si vous trouvez une preuve de l’intérêt des vaccins, dites-le-moi, personnellement je n’en ai pas trouvé, bien au contraire. Je m’intéresse pourtant au sujet depuis le jour où ma fille devait recevoir son premier vaccin. Elle a 28 ans, ce n’est donc pas récent. De nombreux scientifiques, médecins, pharmaciens, nous disent depuis des années que les vaccins ne sont pas sûrs, contiennent de nombreux produits dangereux et provoquent de gros soucis de santé. Mais tout est fait pour les faire taire, parfois en les menaçant de leur enlever le droit d’exercer, ou en les faisant passer pour des fous, et d’autres se sont tus de manières bien plus radicales aussi, je ne m’étendrai pas sur le sujet. Si, au lieu d’écouter les médias, les gens savaient que les sociétés qui fabriquent les vaccins ne sont pas contrôlées depuis trente ans et ont passé des accords avec les gouvernements qui font qu’ils ne peuvent pas être poursuivis si une personne vaccinée se retrouvait malade ou en mourrait, que les médecins sont incapables de dire ce que les vaccins contiennent et ne les proposent que parce qu’ils leurs sont recommandés par les labos qui gagnent des milliards avec ce marché juteux, ces personnes auraient elles toujours envie de se faire vacciner ?

Après le terrorisme, le fantôme de la peur d’une épidémie mortelle récidivante est si facile à agiter ! Forcément quand on instille la peur 24h sur 24 depuis des semaines, pour créer un tsunami émotionnel en faisant passer tout avis différent pour fou, sénile ou complotiste, ça ne peut mener qu’à la peur d’être malade, peur de mourir, peur de perdre ses proches. Les médias martèlent de manière injustifiée des chiffres à propos d’hospitalisations et de décès, répètent que le seul moyen de se protéger est un vaccin, certains y croient et attendent le vaccin avec impatience, comme le sauveur de l’humanité. Ils se feront injecter quelque chose, mais quoi ? Ils ne le savent pas et leur médecin n’en a pas la moindre idée lui non plus. Et s’ils déclenchent une maladie auto-immune dans quelques temps, on leur racontera que le vaccin n’y est pour rien et ils le croiront peut-être ou, éventuellement, commenceront à faire quelques recherches qui leur permettront de comprendre pourquoi ils en sont arrivés là.

Si ce n’est pas pour créer la panique, ça sert à quoi de passer en boucle des informations sur le nombre de personnes hospitalisées, sur les morts de la journée, si ce n’est pour mener à une soumission sur le plan des pertes de liberté sous couvert de sécurité et l’effondrement économique. Les géants du Web et les médias sont les grands gagnants de cette crise, tous les records d’audience ont été battus. Toute nouvelle information, aussi fantaisiste soit-elle, et même démentie dans les heures qui ont suivi, ont permis de réaliser des clics et des pages vues. Les médias n’ont pas du tout donné d’information transparente, mais au contraire ont joué un rôle important pour convaincre la population d’accepter les plus graves atteintes à leurs droits fondamentaux. Il est plus que temps de prendre conscience de cela et ne pas se laisser influencer par des sources qui ne sont là que pour confirmer à chacun ses propres préjugés.

Toutes les façons de manipuler les émotions sont exploitées. Je ne peux que vous encourager à vous protéger de cela et de ne pas laisser les autres manipuler vos émotions. Et si vous vous posiez à chaque fois la question « A qui profite le crime ? » car oui, à chaque fois, il y a une personne derrière qui a intérêt à ce que vous l’écoutiez, le croyiez et suiviez ce qu’elle dit. Est-ce vraiment dans votre intérêt et l’intérêt de tous ? Cela devrait nous inviter à ouvrir les yeux et éviter de replonger dans le même scénario quand arrivera la grippe saisonnière et ses peurs programmées. Il y a toujours eu des morts chaque jour, mort sur la route, morts de cancer, morts de suicide, morts sous la violence d’un malfrat, d’un conjoint, d’un parent, et aussi 25000 morts de faim ou de soif chaque jour. Cela vous a-t-il empêché de manger plus que vous en aviez besoin, d’aller au restaurant ? Non, certainement pas parce que vous ne vous sentiez pas concerné. Mais ils ont réussi à vous convaincre que vous risquiez d’attraper un virus très dangereux, que votre vie était en danger et ils vous ont montré des chiffres qui augmentaient chaque jour (en sachant que ces chiffres étaient totalement faussés puisque depuis ce fameux virus, il n’y a plus eu aucune mort pour une autre raison que le covid. Ah, oui, c’est vrai, il est très fort ce virus qui a éliminé toutes les maladies causes de décès). Vous ne vous sentiez plus en sécurité, vous aviez peur pour votre famille. Puis on vous a annoncé un risque de deuxième vague et proposé comme unique solution un vaccin et certains se sont déjà proposés pour le tester sans même savoir ce qu’il contient, si cela a du sens, si cela ne va pas les tuer. Je trouve ça vraiment dingue. C’est quoi le but ? Pouvoir dire j’ai donné mon corps à la science ? Et quel est donc l’intérêt, autre que financier et de dépopulation, de vacciner pour une maladie qui n’est pas immunisante ?

Vous pensez que j’exagère ? Observez bien, renseignez-vous ailleurs que sur les médias mainstream payés par les mêmes qui nous dirigent, vous verrez que nous allons en ligne droite, tête baissée, vers cet avenir qu’ils ont décidé pour nous et que chacun accepte presque en remerciant. Je ne vous dis pas de me croire, loin de là, je n’ai jamais prétendu détenir une quelconque vérité. Je ne vous dis pas de ne pas vous vacciner, ce n’est pas mon rôle. Je vous dis de vous renseigner, loin des merdias de masse qui n’informent pas mais vous disent quoi penser, quoi manger, comment agir, … Il y a des médias alternatifs qui donnent les informations exactes, sources à l’appui. Mais bien évidemment on nous dit que ce sont des complotistes. Mais savez-vous que ce mot de complot a été inventé par la CIA pour discréditer les personnes qui cherchaient la vérité ?

Quant à moi, je préfère être une semeuse de vérité qu’un mouton qui écoute et obéit sagement pour enrichir ceux qui nous volent déjà bien assez jusque-là. Les informations je les cherche, je les trouve, et croyez-moi qu’elle n’est pas belle à voir et que, le jour où tout ce qui se passe réellement derrière le rideau bien caché des puissants couverts par les médias, certains risquent bien de tomber de leurs chaises. Vous pouvez bien sûr cesser de lire mon blog, au cas où vous auriez peur d’attraper le virus de la vérité, au cas où vous préférez rester confortablement installé dans ce mensonge qui vous convient parce qu’il ne vous demande pas de réfléchir, ça ne changera pas ma vie. Ce blog ne me rapporte pas le moindre centime, au contraire, il me coûte de l’argent. Je l’avais commencé pour partager des informations en ma connaissance sur diverses méthodes pour prendre soin de soi. Mais je pense qu’il ne suffit pas de proposer des techniques intéressantes, il est aussi du devoir de chacun d’informer sur les dangers de certaines choses sur notre pleine santé et ce blog me le permet, autant en profiter. On ne peut pas les taire pour plaire au plus grand nombre. Je me moque de plaire ou non. Pour moi, le principal est d’être moi-même, et si cela entraîne de perdre des lectrices (oui je n’ai jamais de messages que de lectrices, je ne suis pas du tout certaine d’avoir des lecteurs, ou alors ils sont très discrets) parce qu’elles ne peuvent pas accueillir mes idées du fait que j’ai un autre positionnement que le masse, ça ne me perturbe nullement. Avec tout le respect que je vous dois, je vous invite à passer cet article qui vous dérange, voire à ne plus visiter mon blog si c’est plus que vous pouvez entendre. Je peux comprendre qu’il soit difficile d’admettre qu’on est manipulé, qu’on est trompé, et qu’on s’est trompé. C’est vrai que ça demande du courage et que tout le monde n’est pas encore prêt pour ça. Je vous remercie de m’avoir lue jusqu’ici et vous souhaite bonne route pour la suite. Mais si le fait d’exposer mes idées permet, ne serais-ce qu’à une personne, de se poser des questions, d’y réfléchir, d’en parler à quelqu’un ou de décider de faire des recherches pour vérifier mes dires, je n’aurai pas perdu mon temps. Je suis bien consciente que les infos sont de plus en plus difficiles à trouver vu le nombre de fois où j’ai été censurée sur Facebook, vu la quantité de vidéos Youtube qui ont été supprimées et même les chaînes fermées du jour au lendemain mais, il reste des informations qui sont republiées régulièrement, il suffit de s’informer correctement.

La deuxième raison pour laquelle je n’ai écrit qu’un article sur le Covid, est que j’ai mes propres convictions sur la santé, qui va complètement en sens inverse de ce que dit le monde médical, et que peu de monde est prêt à l’entendre. Alors ce n’est évidemment pas en période de stress intense géré de mains de maître par les gouvernements et médias que quelqu’un peut réfléchir et se poser les bonnes questions donc, à quoi bon parler de choses que tout le monde préfère ignorer ?

Pourtant, depuis Pasteur, toute la médecine est basée sur le fait que la maladie vient de l’extérieur, que le corps est « attaqué » par des bactéries et virus. Or, si cela est convenu comme vérité universelle, il faut tout de même savoir que le mythe Pasteur s’avère être une grande imposture. Bien que la vaccination ait commencé à la fin du XVIIIe siècle avec Edward Jenner, c’est Pasteur qui reste le père de la vaccination et c’est avec lui qu’a débuté un très long cortège de mensonges. Cet homme intelligent se tenait au courant des travaux effectués par ses pairs. Sa technique était de reconnaître les bonnes idées et de se les approprier sans vergogne en prétendant les avoir découvertes. C’est ainsi qu’il est devenu un bienfaiteur de l’humanité et, surtout, un mythe intouchable, en volant les travaux de Toussaint pour la maladie du charbon, quant à la cristallographie ce sont les travaux d’Auguste Laurent qu’il a plagié.

En 2005, Pasteur a été élu de deuxième plus grand Français de tous les temps, après Charles de Gaulle. J’aurais presque envie d’en rire si ce n’était pas une fois de plus de la manipulation de la terre entière. Le Pr Axel Kahn, directeur de recherche à l’Inserm, et l’un des plus fidèles supporters de Pasteur, n’a pas hésité à affirmer que c’était grâce à Pasteur que les femmes ne mouraient plus en couches de la fièvre puerpérale. Or, cette découverte est en vérité celle du hongrois Ignace Semmelweis qui avait observé que les femmes ne mouraient plus lorsque les accoucheurs prenaient des précautions d’hygiène, à commencer par se laver les mains avant l’accouchement, en sachant qu’ils arrivaient tout de droit de la morgue où ils avaient disséqué des cadavres. Finalement, juste une question de bon sens qu’ils ne semblaient pas avoir à l’époque. Semmelweis n’avait pas réussi à convaincre ses confrères malgré des résultats évidents. On l’accusa de publications mensongères, et on le révoqua.

En 1886, Pasteur déclarait « Je n’admets pas qu’on discute désormais mes théories et ma méthode, je ne souffrirai pas qu’on vienne contrôler mes expériences ». Il inaugurait ainsi une pratique désormais devenue institution, le mensonge scientifique, proféré par des hommes de science au prestige usurpé. L’histoire n’a retenu que le succès du vaccin, mais a « oublié » de dire qu’il avait multiplié les décès par la rage.

Incontestablement, de nombreuses découvertes imputées à Pasteur sont entachées d’irrégularités, chiffres faussés, effets secondaires sous-estimés ou cachés. Le Pr Peter a accusé Pasteur, d’avoir augmenté l’incidence de la rage mais également d’avoir provoqué des cas de rage paralytique et convulsive au lieu de l’avoir fait disparaître complètement, comme il l’avait annoncé. Il disait « Monsieur Pasteur ne guérit pas la rage, il la donne ». C’est donc uniquement grâce à de nombreux mensonges que la rage fut le premier grand triomphe de Pasteur.

L’affaire de la rage est un bel exemple des mensonges de Pasteur qui ont été introduits dans la mémoire collective, au point d’être devenus des vérités pour tout un chacun. Contrairement à ce que l’on nous enseigne, le vaccin antirabique ne fut pas créé par Pasteur, mais par Henri Toussaint, qui avait réussi à atténuer la virulence du virus. Le vaccin de Pasteur, lui, était très dangereux et fut très vite abandonné. D’ailleurs, Émile Roux, son collaborateur, avait refusé de s’associer aux premiers essais qui avaient fait de nombreux morts tant en France qu’à l’étranger. Etrangement, on n’en parle jamais et on continue de voir en Pasteur un grand homme.

Dans une thèse de 250 pages sur Antoine Béchamp, Marie Nonclercq, docteur en pharmacie, explique «c’était un falsificateur des expériences et des résultats, qu’il voulait favorables à ses idées premières. Les falsifications commises par Pasteur nous paraissent actuellement incroyables… Pasteur a volontairement ignoré les travaux de Béchamp, un des plus grands savants français du XIXème siècle, médecin, biologiste, naturaliste, professeur de chimie médicale et pharmaceutique à la Faculté de Montpellier et professeur de chimie biologique et de physique à l’Université de Paris, puis doyen de la faculté libre de Lille, dont l’œuvre considérable dans le domaine de la chimie de synthèse, de la biochimie et de la pathologie infectieuse est presque totalement méconnue aujourd’hui, parce qu’elle a été systématiquement falsifiée, dénigrée, pour les intérêts personnels d’un personnage illustre (Pasteur) qui avait, contrairement à Béchamp, le génie de la publicité et de ce que l’on appelle aujourd’hui les relations publiques ». En effet, depuis longtemps, il cultivait ses relations avec la cour impériale, ce qui lui permit de se lier d’amitié avec des ministres et des représentants officiels de pays étrangers, relations toujours utiles !

PASTEUR ET BECHAMP : LES DEUX FACES DE LA MEDECINE - Quantum ...

Entre 1869 et 1872, Pasteur a énoncé trois postulats de base complètement erronés qui servent encore aujourd’hui de fondement à la vaccination.

Le premier estimait que l’asepsie règne dans nos cellules et tous les microbes viennent de l’extérieur et l’attaquent. Ces germes ont une existence indépendante des organismes vivants.

Le second est que chaque maladie correspond à un agent spécifique, bactérie, microbe ou virus, contre lequel on peut se prémunir grâce à un vaccin.

Enfin, l’immunité s’obtient par la production d’anticorps en réaction à l’introduction d’antigènes contenus dans le vaccin et ces anticorps confèrent une protection.

Je vous laisse deviner l’enjeu économique énorme de ces postulats pour l’industrie des vaccins. Nous savons depuis longtemps que ces postulats sont faux, les dernières découvertes en immunologie les contredisent totalement, mais les vaccinalistes font mine d’ignorer ces travaux même s’il est parfaitement clair que si chaque germe provoquait une maladie, il y a longtemps qu’il n’y aurait plus de vie sur Terre.

Pasteur s’est trompé, et jusque-là on pourrait l’excuser, l’erreur est humaine. Cependant, ce qui est inadmissible, c’est son animosité envers Béchamp, qui a identifié les microzymas, véritables responsables de toute vie. Chez l’homme, leur forme varie suivant l’état général du terrain dans lequel ils vivent et dont ils se nourrissent. Ce sont des éléments aussi bien constructeurs que destructeurs. Si cette théorie avait été reconnue, elle aurait bouleversé notre façon d’envisager la maladie et la santé. Quand un déséquilibre perturbe le fonctionnement normal des microzymas – malnutrition, intoxication, stress physique ou psychique – le microzyma se transforme en germe pathogène, et la maladie survient. Dans cette optique, il suffit de renforcer la santé de la personne pour que les germes pathogènes internes retrouvent leur forme originelle et leur fonction protectrice. Intéressant quand on sait que durant des semaines les médias ont tout fait pour stresser la population, que l’alimentation, l’eau, l’air sont remplis de toxiques et que le port du masque (j’y reviendrai plus loin) ne peut qu’accentuer encore le fonctionnement des microzymas.

Si, pour Pasteur le microbe est à l’origine de la maladie, pour Béchamp, c’est la maladie qui permet au microbe de s’exprimer. Cette dualité de position dure officiellement depuis plus de cent ans, même si Pasteur a maquillé les résultats d’expériences qui ne lui étaient pas favorables, comme un faussaire avec l’aide de complices, et a systématiquement discréditée Béchamp au profit de ses intérêts personnels.

Et, même si, sur son lit de mort, Pasteur a affirmé que c’était Béchamp qui avait raison « le microbe n’est rien, le terrain est tout ». (En effet, si le microbe était l’unique responsable, comment pouvait-on expliquer le fait que les infirmières soignant les tuberculeux n’étaient pas contaminées, alors que d’autres personnes, bien moins exposées au bacille, tombaient rapidement malades ?), qu’il n’a pas inventé le vaccin contre la rage, ni la pasteurisation, ce qui ne l’a pas empêché de déposer un brevet, le mythe Pasteur persiste. Pourquoi ? La réponse est simple : il fait vendre les laboratoires pharmaceutiques qui l’ont toujours soutenu et financé pour débiter des mensonges.

Si vous en avez le courage, Béchamp a écrit un livre, de 1000 pages, sur les microzymas que vous pouvez trouver en pdf ici : https://www.bonnes-habitudes.fr/comprendre/polymorphisme-microbien/ ou vous informer sur les travaux de Gaston Naessens ou du Dr Alain Scohy, médecin rebelle qui œuvre inlassablement à faire connaître les travaux de Béchamp.

Et si de découvrir l’histoire des sciences, du XVIIe siècle à nos jours à travers les imposteurs vous intéresse, c’est ce que propose le journaliste scientifique Gilles Harpoutian dans son livre « La petite histoire des grandes impostures scientifiques ».

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Du petit mensonge aux génies créateurs qui n’hésitent pas à s’approprier le mérite d’une découverte, cette suite de récits fait tomber quelques mythes. Dans son livre, Il révèle aussi une immense imposture archéologique. Dans les années 70, le Honduras a créé un site archéologique Maya de toutes pièces pour attirer les touristes ! « C’est un cas unique d’imposture archéologique d’Etat ! Dans les années 70, c’est une dictature, et le Honduras manque d’attraits touristiques. Alors le pays décide de se créer un passé Maya et des sites qui vont avec. On va réécrire l’histoire du pays, on va changer les manuels scolaires, les intellectuels sont tenus de raconter la vraie-fausse histoire ». Parce que, oui, la manipulation est partout, et pas seulement dans le monde médical et, même si je me répète, si la vérité arrive à éclater comme je l’espère, certains risquent bien d’avoir du mal à s’en remettre.

La troisième pour laquelle je n’ai pas parlé du Covid est que, je le reconnais, j’espérais secrètement que cet épisode permettrait à chacun de mûrir, de voir la grande mascarade derrière tout ça. Mais je ne peux que déplorer que ce n’est malheureusement pas le cas.

Je rêvais bien naïvement que ce confinement, jamais vu dans l’histoire de l’humanité, permettrait à chacun de se poser les bonnes questions et d’en finir avec cette mystification scientifique qui voit la maladie comme une malédiction consistant à croire que les microbes nous font la guerre et envahissent nos corps pour les détruire. Trop optimiste sans doute j’imaginais que certains réaliseraient à quel point ils s’étaient fourvoyés mais il semblerait, au contraire, que le dogme des disciples de Pasteur soit plus actuel que jamais. La théorie est tellement inscrite dans l’inconscient collectif qu’elle semble indestructible.

Cependant, même si en francophonie, il n’y a plus guère de chercheurs et de praticiens qui osent remettre en cause la médecine dominante, j’ai malgré tout eu le plaisir de voir quelques vidéos récentes de plusieurs chercheurs de vérité qui ont fait ce qu’ils pouvaient pour ébranler ces fausses certitudes implantées dans nos cerveaux depuis une centaine d’années seulement. Et je reste convaincue qu’une petite partie de la population pense autrement. Si je m’en réfère à l’histoire du centième singe (je vous laisse faire vos recherches sur le sujet sur le net, voire à retrouver cette histoire ici même sur mon blog), il suffit seulement qu’une toute petite partie des hommes commencent à penser autrement pour faire grandir en conscience le reste de l’humanité. Au vu du nombre de commentaires reçus sur certaines de mes publications Facebook, je suis heureuse que bon nombre de personnes sont éveillées et prêtes pour ce grand changement, et je continue de croire que la démolition du pasteurisme ne restera pas un rêve.

Vous trouverez beaucoup d’informations dans l’excellent livre du Dr Eric Ancelet, En finir avec Pasteur : https://amzn.to/3hW3kJG

A l’occasion de la 4ème édition de son ouvrage, Éric Ancelet a enregistré une conférence qui est en ligne sur Youtube et que vous pouvez écouter :

Et déjà de nombreux auteurs ont écrit sur le sujet du Covid. Vous trouverez notamment un écrit collectif, en réponse aux questions posées par le confinement et en soutien aux librairies indépendantes. Je n’ai pas encore eu le temps de lire cet eBook, mais je pense que cela vaut le coup d’y jeter un œil vu que des auteurs comme Thomas D’Ansembourg et Philippe Guillemant y participent, on peut espérer avoir des sujets de réflexion pour construire un nouveau monde.

https://massot.com/collections/bas-les-masques/

Pour pouvoir lire le livre sur vos supports (pc, téléphone, etc) : https://calibre-ebook.com/fr/download

Le philosophe Bernard Henri-Lévy a publié un nouveau livre : “Le virus qui rend fou”, dans lequel il estime qu’on “s’est fait avoir” par les médias, le pouvoir politique et des médecins apprentis sorciers qui se présentaient comme compétents pour décider pour le pays sans vraiment comprendre la situation, créant ainsi la terreur générale et la folie collective. Il dit que cela a permis à « toutes les crapules de la planète d’avancer leurs pions ». Il ne mâche pas ses mots concernant la guerre en Syrie, Erdogan, les Ouighours, Nuremberg et tant d’autres choses de ce monde qui arrangent bien certains et qui font partie de la manipulation dont j’ai parlé à plusieurs reprises dans cet article.

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Et si vous croyez savoir ce qui s’est passé, le Professeur Christian Perronne, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital de Garches, qui a été un des principaux conseillers en matière de santé publique de plusieurs gouvernements risque bien de vous démontrer le contraire.

Ce médecin réputé est l’auteur du livre La vérité sur la maladie de Lyme https://amzn.to/2AM0si1

Dans son dernier livre, Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? il raconte à quel point la crise du Covid-19 a été un désastre sanitaire. Le président français, les ministres, les experts n’ont rien vu venir ?

Plus grave : certains savaient.

Un témoignage inquiétant mais incontestable. Un livre sur tout ce qui n’a pas été dit dans les médias.

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DES INCOHERENCES QUE TOUT LE MONDE ACCEPTE EN SILENCE

Samedi je suis allée en ville, pas une grande ville, juste la petite ville la plus proche de mon domicile. Toutes ces personnes portant des masques, se lavant les mains à l’entrée de chaque magasin, cela me dépasse de voir à quel point les gens sont dociles et ignorants, obéissant aux médias et gouvernements qui nous mentent du matin au soir, propageant un climat d’insécurité.

Les terroristes ont mystérieusement disparu depuis quelques mois, sans doute étaient-ils confinés 😉 Les voici avantageusement remplacés par un ennemi invisible mais tellement puissant, un ennemi tellement parfait qui permet à tout mégalomane d’ainsi réaliser ses rêves les plus fous.

Le confinement a permis d’enfermer sans aucun besoin de prison ni même de nourrir les prisonniers qui se sont nourris eux-mêmes en grandes surfaces puisque l’accès aux producteurs locaux était limité. Ce n’est pas seulement les personnes qui ont été confinées, mais leurs libertés et la plupart trouve ça normal d’abandonner ses libertés contre une soit-disant sécurité. A l’allure où cela va, comme en Chine, tous nos moindres faits et gestes seront surveillés en permanence dans un régime totalitaire ressemblant à une véritable prison grandeur nature où la répression est un quotidien qu’il faut vivre en silence. Avez-vous vu le très bon documentaire d’Arte ?

Est-ce cette vie que vous voulez pour vos enfants ? Elle est belle la vie !

Quant aux masques entraînant un manque d’oxygène et une baisse du système immunitaire et qui provoqueront tant de maladies et de ventes de médicaments que certains ne peuvent que s’en réjouir, ils sont inutiles et dangereux. Inutiles puisque les virus sont si petits (0,1 micron) qu’ils passent à travers tous les masques, même les plus sophistiqués (0,3 microns). Autant essayer d’empêcher un moustique de passer en laissant la fenêtre grande ouverte, il ne faudra pas deux minutes pour que vous soyez piqué. Et croyez-moi j’y connais quelque chose en matière de moustiques qui me dévorent chaque été.

Une vidéo pense comme moi à ce propos : https://www.youtube.com/watch?v=D7bhx5lGZY8&feature=share&fbclid=IwAR0VkynMUfMs2GDkEXs_0DaJ-SX_BR4ernSTgx2zKsVbrYopqcP5uqGQeOI

Les masques sont surtout dangereux parcequ’ils font ré-inspirer le gaz carbonique. Si le corps rejette ce gaz c’est justement qu’il doit l’être et le ré-inspirer crée de nombreux troubles. Je ne vais pas m’étendre sur le sujet, il y a suffisamment d’articles sur l’hypoxie sur le net.

A coté de ça, pour moi, le masque est avant tout un symbole de soumission au pouvoir en place. Et je reste dans l’incompréhension face aux personnes qui le portent croyant ainsi échapper à une possible grippe. Nous sommes en juin rappelons-le, et la grippe touche la population, âgée ou ayant déjà des problèmes immunitaires, seulement l’hiver. C’est pour ces raisons que je ne porterai pas de masque, ni ne rentrerai dans un magasin où on m’oblige à en porter, cela peut paraître exagéré, mais le faire serait un acte de soumission aux diffuseurs de peur. Résister à la peur cela commence là.

Ne pensez pas que je suis irrespectueuse des personnes et que mon comportement met la vie de certain en danger. Je suis au contraire très respectueuse de la vie, mais je ne gobe pas n’importe quoi. Et je prends soin de mon système immunitaire, ce qui est exactement l’opposé qu’engendre le port du masque. Si ce virus existe il faut apprendre à vivre avec, en l’assimilant comme nous l’avons fait avec tous les autres depuis toujours. S’il n’existe pas, à quoi bon tout cela, si ce n’est pour cacher des choses inacceptables. Dans les deux cas le masque est inutile.

Les vacances d’été approchent, je n’irai pas à la plage, mais combien d’entre vous iront y passer quelques jours ou même quelques heures ? Savez-vous combien de virus contient un litre d’eau de mer ? Une étude parue en 2015 dans la revue Science nous apporte la réponse : un million. Or, qui se baigne avec une tenue de protection anti-virus ?

La seule explication possible que je vois dans cette obéissance aveugle est probablement que chacun est tellement empoisonné par les métaux lourds contenus depuis des décennies dans la nourriture, l’eau et l’air, qu’il n’est plus capable de raisonner clairement et de voir l’absurdité des injonctions des gouvernements en place. Je suis ravie de me détoxiquer au quotidien et de garder un esprit clair.

Sinon comment expliquer que si peu de monde trouve normal les informations qui changent sans cesse.

D’abord, l’OMS a dit : “Ne portez pas de masques.” Puis “Il faut porter des masques.” Après “Les masques ne servent pas à grand-chose.” Et maintenant le gouvernement belge doit décider aujourd’hui de décréter le port du masque obligatoire à partir de fin juin, partout ailleurs que chez soi. Et encore puisque les médias ont même recommandé « Si vous faites l’amour, portez un masque ».

D’un autre côté, les réseaux sociaux censurent tout qui contredit les recommandations de l’OMS, mais lesquelles puisqu’elles changent sans cesse ?

Sérieusement, respirez quelques fois, recentrez-vous. Tout ça vous paraît normal ?

J’en reviens à cette histoire loufoque d’obligation du port du masque, sans le moindre argument scientifique pour défendre une telle décision, alors que le nombre de cas confirmés, d’hospitalisations et de décès sont en constante diminution depuis 10 semaines. Le rapport de Sciensano du 23 juin annonce que le nombre de cas a diminué de 17% la semaine malgré les manifestations du week-end du 7 juin et les prétendues dérives.

Comment imposer le port du masque à ce stade de l’épidémie alors que le port du masque dans l’espace public n’a jamais été imposé pendant le pic de l’épidémie (entre fin mars et fin avril) quand le nombre de cas par jour était en moyenne 500 fois supérieur dans la semaine du 4 mai que la semaine du 15 juin. Cela relève de l’absurde et je refuse de participer à cette folie collective. Qu’ils me mettent des amendes si ça leur plaît, je ne les paierai pas et préfère payer un avocat qu’une amende qui n’a rien de cohérent.

Je fais partie d’un collectif citoyen. A l’heure où je vous écris, une avocate plaide la procédure en référé contre l’obligation du port du masque.

Pour des raisons de sécurité liées au « Covid », le tribunal n’autorise que 35 personnes dans la salle. Notre avocate va revenir sur ce sujet lors du procès car l’impossibilité pour les parties d’être présentes à leur propre procès viole l’article 6 de la C.E.D.H. Bien que nous contestions toutes ces mesures, nous respectons l’état de droit et souhaitons que le juge mette fin lui-même à ces règles.

Concernant les gels (bien oui, vous m’avez dit que je ne m’exprimais pas, donc je le fais à propos de tout ce qui me vient à l’esprit concernant ce Covid, et je n’aurai plus à revenir sur le sujet), si même il n’en sera pas question au tribunal, mon avis sur le sujet est que notre corps contient 300000 milliards de virus, et il y en a autant au m³ dans l’air ou l’eau qui nous entoure, ces derniers vivent en osmoses depuis la nuit des temps avec les bactéries. En détruisant notre flore bactérienne sur nos mains en les lavant avec ces gels, nous détruisons notre système défensif et compromettons notre intégrité. Il suffit de voir le chiffre explosif de cas de maladies nosocomiales dans les hôpitaux, pour se rendre compte que si l’hygiène est nécessaire, le trop est l’ennemie du bien, si nous tuons la vie qui nous protège par trop d’hygiène, c’est la mort qui prend la place. Tant qu’il y aura des êtres vivants, il y aura forcément des épidémies qui se produiront, c’est le cas en particulier des infections respiratoires qui reviennent en hiver. Mais ce phénomène universel ne justifie aucunement la paranoïa.

Les mesures de distanciation quant à elles, n’ont pour objectif que de créer une distance psychique entre nous. Finir de casser cette solidarité, qui nous a permis dans le passé de lutter contre des directives et lois injustes. Sous des prétextes de respect, de protection de la santé, de soit-disant bonnes intentions, cette pratique, nous éloigne un peu plus de l’autre, nous déshumanisant davantage. N’oublions jamais que si le mal existe, et je le crois, ce dernier a pour principales armes la ruse et le mensonge, et celui-ci sait comment se déguiser pour arriver à ses fins.

Je ne téléchargerai pas l’application de traçage de la population est est une atteinte fondamentale aux droits de l’Homme et la liberté fait partie de mes principales valeurs. Il ne s’agit nullement de soigner, ni même de savoir si vous êtes malade, mais de créer des banques de données de groupes de citoyens désignés comme “nuisibles” pour le reste de la population, et de les isoler. Ceci n’est absolument pas compatible avec la dignité humaine ni les libertés fondamentales de chacun.

Et pour terminer, car je pense ne jamais avoir été aussi longue (Je vous avais prévenu !), je ne peux que vous conseiller de continuer à prendre soin de votre système immunitaire. Revoyez pour ça d’anciens articles. Prenez l’air aussi souvent que possible, faites de l’exercice, méditez, riez, chantez, dansez, faites de l’EFT, demandez qu’on fasse une séance de massage, de réflexologie, … Mangez le plus sainement possible, des aliments frais, en soutenant les circuits courts, les producteurs locaux de votre région. Rejoignez une association, une coopérative qui fournit des paniers bios et supplémentez-vous si nécessaire.

Et si vous voulez envoyer un mail à nos politiciens pour leur faire connaître votre opinion sur leur gestion du Covid, voici quelques adresses

sophie.wilmes@premier.fed.be ; Info.maggiedeblock@minsoc.fed.be ; info@decroo.fed.be ; info@clarinval.fed.be ; Cabinet.decrem@ibz.fgov.be ; elio.dirupo@gov.wallonie.be

Portez-vous bien, et cela commence par penser par vous-même.

Mabelle

Vivre en Oasis ?

Bonjour, j’espère que vous allez bien

Vous avez l’impression de ne pas être tombé sur la bonne planète ?

Que le monde ne tourne pas rond ?

Vous rêvez de vivre en Oasis ou de créer votre propre éco-lieu ?

Ou simplement découvrir une autre façon de vivre en harmonie avec notre environnement ?

Comme toujours je suis à la bourre mais il n’est pas encore trop tard ! Le sommet des Oasis a commencé hier mais la rediffusion est toujours en ligne. Les conférences sont gratuites pendant 48 heures après leur diffusion.

C’est, du 8 au 18 juin, 22 conférences exceptionnelles, d’experts et fondateurs d’Oasis qui nous transmettrons toutes les clefs pour construire le monde de demain

10 journées pour réussir un projet d’éco-lieu

Une invitation pour un monde bien meilleur

Je relaie ce sommet avec une grande joie car le sommet des Oasis c’est une belle initiative où transparaît l’humain, une belle intention, oserais-je dirais l’âme ? Quoi de mieux pour illustrer l’esprit de ce sommet que les encouragements de Pierre Rabhi :

Soutien de Pierre Rabhi

==> Je vous invite à ce magnifique sommet : https://oasis-des-3-chenes.learnybox.com/inscription-au-sommet-des-oasis-1/?aff=5njp8z&cpg=43t3s3t0

Je serai aussi présente tout au long de ce magnifique sommet pour écouter toute la richesse transmise par les conférenciers.

Je vous y retrouve ?

Mabelle