Archives de catégorie : Coaching de vie

Le jeu de l’égo

Bonjour, comment allez-vous ?

Quand nous quittons la Source pour incarner un corps nous entamons un long processus d’identification, à commencer par le prénom choisi par nos parents (ou soufflé par nous, pourquoi pas ?).

Puis c’est le genre qui vient: fille ou garçon? Quand par un fait extrêmement rare personne n’arrive à le déterminer, on nous qualifie de “bouc-bique” comme disaient les anciens. A remarquer qu’il y a de plus en plus de personnes dans ce cas, rarement par choix.

Puis viennent les qualificatifs se rapportant au physique (je n’ai eu des cheveux que très tard et, 40 ans plus tard, certains m’appelaient toujours la chauve alors que j’avais une grosse tignasse de boucles), caractère, et plus tard, aux centres d’intérêt, aux lieux de vie, aux activités, à la profession, aux orientations politiques, religieuses, j’en passe et des meilleures…. Sans oublier nos tendances émotionnelles, notre état de santé, tout ce qui nous attache à une identité quelconque et qui nous positionne au sein d’un groupe.

Cela constitue notre “bagage” à porter tout au long de notre incarnation, et qui devrait nous servir d’outil dans cette expérimentation, si l’harmonie nous accompagne. Or il est bien difficile de trouver cette harmonie dans un environnement qui nous broie au quotidien.

Une des solutions à ce déséquilibre qu’utilise l’Ego est l’identification, phénomène qu’il maîtrise parfaitement en ajoutant une couche supplémentaire de cet artifice sur chaque nouvelle souffrance. Ainsi de suite jusqu’à ce que nous ployions sous le poids de toutes ces étiquettes qui au lieu de nous aider, nous entravent. Nous perdons de vue ce que nous sommes, en nous identifiant à ce que nous croyons être, ce que l’Ego nous murmure par le biais du mental, de nos émotions. Son intérêt n’est pas de nous libérer de nos peurs mais de les masquer, quitte à en créer de nouvelles.

Clamer “je suis comme tel” nous donne une autorité indiscutable, et souvent une excuse pour nous protéger de nos peurs. Et cela renforce cet Ego qui n’abandonne pas une recette qui fonctionne. Il faut savoir que l’Ego est un outil de survie, et que s’il est systématiquement sollicité, il devient notre maître. Imaginez le marteau dicter sa volonté au menuisier ! Pourtant les menuisiers ne sont pas tous marteaux. 😅 Le petit jeu de mots pour bien comprendre que nos identifications ne sont que le Jeu de l’Ego…

Libérez-vous, si vous le voulez, en vous dépouillant de vos étiquettes surnuméraires. Vous êtes plus que ce que vous pensez.

VOUS ETES, tout simplement.

Mabelle

Comment se laisser programmer

Comment se laisser programmer ? Gardez bien à l’esprit que lorsqu’une info est répétée H24 7/7 il y a anguille sous roche, peu importe le contenu, peu importe la source ou de quel camp elle provient. Cela sert généralement soit de diversion, soit de programmation. On appelle cela une PsyOP (Opération psychologique). Pendant plus de deux ans on a eu droit au Covid 24h/24, puis « vaccins inoffensifs », Poutine le vilain grand méchant, crises cardiaques inexpliquées, réchauffement climatique, droits des LGBTQ+

Peut être un mème de 2 personnes et texte qui dit ’C'EST QUOI LA MATRICE ELLE EST LE MONDE QU'ON SUPERPOSE À ΤΟΝ REGARD POUR T'EMPECHER DE VOIR LA VÉRITÉ.’

Le but est de faire rentrer au forceps, des informations dans votre conscience, et par la suite dans votre subconscient. Répéter un mensonge mille fois, ne le rendra pas plus vrai, mais le rendra crédible aux faibles d’esprit (Et dieu sait s’ils sont pléthores). Cela s’appelle de la manipulation, voire même de l’ingénierie sociale.

A chaque fois que cela arrive, les questions à se poser sont :

-A qui cela profite-t ‘il ?

-Quel est le but ?

-Que tente-t’on de nous cacher ?

-Qui en est l’auteur ?

-En quoi cela me concerne-t-il ?

Que vous le vouliez ou non, vous avez été conditionnés dès votre plus jeune âge, à obéir aux structures de contrôle. De perdre l’innocence au profit de la concurrence. Une étape qui consiste à faire disparaître l’égalité pour le bénéfice d’une hiérarchisation sociale. Il faut des maîtres, des chefs et des esclaves. Prémices de l’implantation psychologique de la pyramide de contrôle.

Souvenez-vous de votre entrée à l’école, la première chose que l’on vous « enseigne » est de vous taire et de lever le doigt pour demander quoi que ce soit. (phase de l’obéissance achevée)

Ce cap passé, s’en vient la concurrence, toujours être le meilleur, écraser les autres pour s’élever au-dessus de la mêlée.

Nous avons tous entendu le : « si tu ne travailles pas bien à l’école, tu ne seras rien, tu n’auras pas de boulot, tu te retrouveras caissière ou à la rue » et autres âneries du genre.

Ce formatage n’est pas anodin, il est le précurseur à l’esclavage des temps modernes. Mais cela n’est qu’une infime partie de l’enseignement pré-adolescent. La seconde partie consiste à faire croire aux enfants en des dogmes qui ne reposent sur rien, hormis sur une volonté de faire croire, et j’insiste sur le « faire croire », et non d’inculquer un savoir.

Ce n’est pas parce qu’un mensonge est répété génération après génération, qu’il en est pour autant une vérité. Et c’est là toute la perversité de ce système, Ne pas laisser les enfants découvrir par eux-mêmes les valeurs fondamentales de la vie, mais de faire rentrer dans leurs petits crânes des graines d’idéologies.

Preuve en est, l’éducation revient aux parents, il s’agit de la transmission d’un savoir générationnel, à contrario de l’instruction qui elle, devrait en théorie fournir les outils pour comprendre et évoluer individuellement. Le paradoxe vient quand l’état (structure de contrôle par excellence) renomme l’instruction nationale en éducation nationale. Les travers et dérives commencent réellement à se faire voir maintenant dans cette institution qui n’en à plus que le nom, siège de toutes les dérives idéologiques. Vous comprenez maintenant pourquoi, l’instruction en famille est devenue la bête noire du gouverne-ment.

Et voilà, la fabrique à cancres est née, des êtres formatés, coupés des réalités primordiales à l’existence, et munis d’une instruction au ras des pâquerettes… Réfléchissez-y, nous sommes tous passés par là !

Le formatage est donc la phase indispensable et préparatoire à la programmation. Mais la programmation de quoi ? Simplement des esprits, dans le but d’intégrer les individus dans un système d’obéissance pyramidal.

Cette programmation est indispensable, c’est la base de l’obéissance aveugle en une construction purement virtuelle, et vous faire accepter l’autorité, afin de vous soumettre aux décisions des maîtres auto-proclamés.

Il est primordial pour ‘eux’ de vous supprimer de l’esprit, l’évidence qu’entre vous et le créateur (peu importe le nom que vous lui attribuez) il n’y a rien, n’y personne. Pour cela, il leur faut impérativement votre consentement. Car rien de ce qui a été créé par l’homme ne lui est supérieur sans son consentement.

Le tableau est posé, alors comment s’y prennent-ils ? Ils usent de deux piliers principaux, l’ignorance et la peur.

L’ignorance sur les vérités, les mécanismes qu’ils vous cachent, vos origines, votre histoire. La peur, instinct primaire de conservation (partie reptilienne du cerveau)

Si vous voulez une définition de la peur, je dirai que c’est l’ignorance des choses. Car une fois que vous savez, la peur disparaît. Donc ils ne veulent surtout pas que vous sachiez.

Si on prend l’exemple actuel au sujet de la « vaccination », il n’y a pas d’obligation réelle, juste un besoin de vous voler votre consentement par des contraintes aussi nombreuses que diverses en générant de la peur (peur de mourir, de perdre son emploi, de se voir retirer les enfants, …)

Le cerveau est programmable. Les outils pour y parvenir sont nombreux :

– Vous avez les mensonges qui sont propagés principalement par les maîtres (l’Etat), avec comme voix, les merdias.

– Vous avez la science, dont son rôle est de tenir comme « évidences » des choses qui ne le sont pas ou peu. Et qui possède une pléthore de « sachants », qui confondent science et appât du gain.

– Et finalement, et je sais que cela ne plaira pas à certains, les religions. Religions qui ont été dévoyées des messages originaux, toujours dans le but de contrôler et de soumettre, et cela fonctionne depuis la nuit des temps.

Et quand un groupe tient pour acquis leurs vérités (celles des maîtres). Ils s’en font les défenseurs. Et iront même jusqu’à se battre pour défendre et imposer ces dites vérités. L’esprit humain a, ce que je nommerai de tare, celle du conformisme. La peur à nouveau, de ne pas ressembler, ni s’intégrer à la majorité d’un groupe, sous peine de s’en voir rejeté.

Et voilà, le tour est joué, vous êtes programmé.

La vieillesse

Bonjour, comment allez vous ?

La vieillesse n’existe pas dans notre ADN.

Ils nous mentent et nous disent que les gens meurent de vieillesse ; il n’existe pas de maladie appelée, vieillesse ! Notre ADN ne contient pas d’informations sur le vieillissement et la mort.

Les cellules du corps se renouvellent en permanence, même chez les personnes âgées.

Un remède contre la vieillesse ... à base de brocoli et de concombre ? -  Terrafemina

Les gens ne meurent pas de vieillesse, mais des maladies et de leurs pensées.

La vieillesse n’existe pas. Nous avons été endoctrinés avec une certaine durée de vie.

Les ongles continuent de pousser,

Notre peau se renouvelle tous les 28 jours,

Le cœur se renouvelle tous les 20 ans,

Les poumons se renouvellent chaque année,

Le foie se renouvelle en quelques mois.

Le cerveau renouvelle également ses cellules.

En l’espace de 10 ans, le squelette se régénère.

Sur 15 ans, tous les muscles et tissus se régénèrent.

La personnalité change également tous les 7 ans.

Pour que la régénération soit un succès, il faut prendre soin de soi à tous points de vue, et j’entends par là la nourriture, l’air, l’eau et aussi l’information. Et c’est là que se situe le problème puisque nous buvons, mangeons, respirons des toxiques au quotidien.

Le secret est que notre ADN ne contient pas d’informations sur le vieillissement et la mort.

Le programme de vieillissement est dans nos têtes. C’est ainsi que nous avons été programmés pour croire que c’est la façon normale de mourir. La réalité est tout autre.

Le programme de vieillissement est dans les toxiques que nous ingérons et respirons chaque jour de notre vie, qui s’accumulent toujours un peu plus et empêchent nos cellules de faire leur travail. Il est important de donner à notre corps ce dont il a besoin pour continuer à fonctionner de manière optimale quel que soi notre âge (info en MP si vous voulez connaître mon protocole bien-être)

Ce n’est pas un secret que lorsque nous nous perdons dans le passé, nous ne sommes pas tournés vers l’avenir. Il est important de laisser le passé derrière soi et d’aller vers l’avenir en changeant le présent, dans sa tête.

Le temps passe vite, oui, mais nous pouvons reculer la vieillesse, pourquoi nous en priver ?

Mabelle

Encore s’aimer quand on a été mal aimé

Bonjour, je vous espère en forme.

Je vous partage un texte de Martine SDY BENZAQUEN.

Bonne lecture

Mabelle

Peut-on cesser d'aimer du jour au lendemain ? - Quora

C’est qu’on ne veut pas s’avouer combien a eu mal d’aimer, combien on n’a pas été aimé comme on l’avait rêvé, on ne veut pas savoir combien l’autre nous a blessé, torturé, déchiqueté …

On est sûr qu’on est indemne, que tout est comme avant, idem, et qu’on s’aime.

On ne voit pas ce qui nous a séparé de nous-mêmes, ce doute de soi qui nous a rongé, pendant des années.

On ne réalise pas qu’on ne croit plus dans les autres, qu’on n’a plus confiance en l’amour, qu’on n’est plus très convaincu qu’on puisse être aimé, qu’on le mérite, qu’on est beau, qu’on est bon, qu’on est quelqu’un de bien ….

Quand tu as été mal aimé, quand on t’a méprisé, rejeté, bafoué, ignoré, insulté, frappé mais que tu as réussi à t’échapper, que tu as survécu à tes manques, à tes douleurs, tu crois que tu as tout gagné …

C’est vrai.

Sauf que, voilà, tu ne sais plus t’estimer, te regarder tel que tu es, t’aimer …

Pour se réapprendre, il y a un secret : pour guérir d’avoir tout donné, il faut encore plus donner.

Un peu comme Musset.

Et puis, savoir recevoir. Se laisser aimer, émouvoir. Se permettre la bonté. Oser laisser les autres nous gâter. Accepter la véritable amitié. Rejeter ceux qui nous rejettent. Fuir ceux qui nous aiment à moitié, avec tiédeur, pas assez de chaleur et de bonheur.

Éloigner ceux qui pensent savoir qui nous devons être, ceux qui nous jugent, ceux qui nous aiment avec un peu de condescendance, pas assez de conscience, ceux qui pensent nous connaître mieux que nous nous connaissons, ceux qui veulent changer nos pantalons, nous donnent sans cesse des leçons, sont certains qu’ils auraient fait mieux et nous expliquent avec un mépris -qu’ils nomment affection- leurs « il faut », leurs « tu dois », ceux qui n’ayant jamais rien vécu te montrent qu’ils n’ont jamais perdu !

Je connais un loup solitaire, une vieille panthère, un chat qui n’aime pas qu’on l’appelle comme cela, un loup-garou d’un peu partout, une souris qui sourit, qui a commencé à s’aimer après plusieurs millions d’années, qui a retrouvé sa liberté en osant retrouver l’amour total et absolu qu’elle portait à l’humanité, en risquant de se laisser aimer, en risquant la profonde bonté, en risquant de se détacher de ceux qui aimaient avec modération comme la boisson, en risquant d’aimer son prochain avec enfance, sans défiance, sans méfiance, sans penser aux risques.

En risquant de se regarder.

Vous laissez vous piéger par le confort ?

Lorsqu’une souris est dans un bocal rempli de riz, elle pense que la vie est amusante et agréable car elle a suffisamment de nourriture.
Elle restera donc dans ce bocal et en profitera jusqu’à ce que le riz soit épuisé.

Peut être une image de texte qui dit ’A Méditer’


Un jour, le pot sera vide et elle verra qu’elle a été piégée dedans et ne pourra plus jamais sortir de ce pot…

Tant que vous avez la force, la motivation et surtout la santé pour le faire, vous pouvez vous battre pour une vie meilleure et vous pouvez toujours prendre des risques.

Faites donc cela au lieu de choisir le confort et de rester dans la zone de confort illusoire…

Lorsque vous prenez le risque de quitter votre zone de confort, vous découvrirez une vie complètement différente et bien plus intéressante

Qu’est ce que ça fait d’être vielle ?

Bonjour, comment vas tu ?

L’autre jour, une jeune personne m’a demandée : – Que ressentez vous en étant vieille ?

J’ai été très surprise par la question, car je ne me considère pas vieille. Quand elle a vu ma réaction, elle s’en est immédiatement voulu, mais je lui ai expliquée que c’était une question intéressante.

Après avoir réfléchi, j’ai conclu que devenir vieux est un cadeau.

Parfois, je suis surprise de la personne que je vois dans mon miroir. Mais je ne me soucie plus de ces choses depuis longtemps. Je ne changerais pas pour tout l’or du monde pour avoir des cheveux gris en moins et un estomac plat. Je ne me force pas pour faire le lit, ou pour manger quelques « choses » de plus. Je suis dans mon droit d’être un peu bordélique, d’être extravagante et de passer des heures à contempler mes fleurs.

J’ai vu quelques chers amis partir de ce monde, avant d’avoir profité de la liberté qui vient avec la vieillesse et qui donne le droit de lire ou de jouer sur l’ordinateur jusqu’à 4 h du matin et après dormir jusqu’à je ne sais quelle heure ?

-J’ai le droit de danser seule au rythme des années 70 et 80 et ensuite pleurer, si l’envie m’en prend pour un amour perdu il y a plus de 40 ans.

Je prends le droit de marcher sur la plage avec un maillot de bain qui s’étire sur mon corps dodu et faire un plongeon dans les vagues en me laissant porter, malgré les regards de compassion de celles qui portent un bikini. Elles vont aussi un jour devenir vieilles, si elles ont la chance de vivre aussi longtemps.

On va à la plage ? Nannnnn !! mais pourquoi ?

C’est vrai qu’à travers les années mon coeur a souffert pour la perte d’un être cher, pour la douleur d’un enfant, ou pour voir mourir un animal de compagnie. Mais c’est la souffrance qui nous donne de la force et nous fait grandir. Un coeur qui n’a pas été brisé, est stérile et ne saura jamais du bonheur d’être imparfait.

Je me sens fière d’avoir vécu assez longtemps pour que mes cheveux deviennent gris et pour garder le sourire de ma jeunesse, avant que les sillons profonds n’apparaissent sur mon visage.

Maintenant, pour répondre à la question avec sincérité, je peux dire «J’aime être vieille, parce que la vieillesse me rend plus sage, plus libre !»

Je sais que je ne vais pas vivre pour toujours, mais tant que je serai là, je vais vivre selon mes propres lois, celles de mon coeur. Je ne vais pas me lamenter sur ce qui n’était pas, ni m’inquiéter de ce que ce sera. Pour le temps qu’il me reste, j’aimerais simplement vivre ma vie comme je l’ai fait jusqu’à aujourd’hui, le reste le destin décidera

Prends soin de toi et de tes proches

Mabelle

Faire les bons choix

Bonjour, comment allez vous ? Je vous propose de faire les bons choix pour une vie meilleure

1. Choisis de faire la paix avec ton passé pour qu’il ne dérange pas ton présent et ton futur.

2. Choisis de ne pas te préoccuper de ce que les autres pensent de toi.

3. Choisis d’être patient en toute circonstance.

Why patience is a misunderstood strength

4. Choisis d’être dans l’énergie de l’Amour.

5. Choisis de ne pas comparer ta vie à celle des autres.

6. Choisis de laisser ton mental au repos.

7. Choisis de mettre ton plus bel habit, ton sourire.

8. Choisis de vivre pleinement le moment présent.

9. Choisis d’être dans la compréhension

10. Choisis de faire confiance à ton intuition.

11. Choisis d’accueillir chaque chose et événement qui vient sur ton chemin.

12.  Choisis d’être dans la gratitude.

13. Choisis de cultiver la bienveillance envers toi-même et envers les autres.

14. Choisis d’être TOI en toutes circonstances …

Cette liste n’est pas exhaustive!

Mabelle

Arrêter de vivre pour les autres

Bonjour, j’espère que vous allez bien. Je vous partage ce matin un article pour vous remettre au centre de votre vie. Durant des années j’ai vécu pour les autres, pour apporter aux autres ce dont ils avaient besoin, pour leur faire plaisir, pour les aider, pour les soutenir. Et moi dans tout ça ?

C’est une bien sage décision que de faire le choix d’arrêter de vivre pour soi, mais comment l’appliquer ? En effet, que ce soit au travail ou à la maison, nous sommes trop gentils. En fait, nous avons peur de décevoir les autres, alors nous passons beaucoup de temps à vouloir satisfaire les besoins de tout le monde.

Alors, comment réussir à vivre pour soi ? Voici 3 erreurs à éviter.

1 – Arrêter de croire que nos relations avec les autres sont plus importantes que nous-mêmes

Ce qui nous pousse à vivre pour les autres, mais dont nous n’avons pas conscience, c’est que nous croyons que les autres sont plus importants dans notre vie que nous-mêmes et nous les mettons au dessus de notre propre bien-être. Oui, dans notre enfance, nous devions satisfaire les adultes qui nous entouraient, être et faire comme ils le désiraient, autrement nous étions « punis ». C’est pourquoi aujourd’hui nous avons autant de difficultés à dire « non » ou à penser à soi.

Pourtant, si on s’arrêtait quelques instants, nous prendrions conscience à quel point nous vivons dans l’erreur. Oui, les autres sont importants dans notre vie, car nos relations donnent de la joie à notre existence. Mais, pour autant, elles peuvent aussi complètement gâcher notre vie quand on vit pour les autres. Il est important d’apprendre à vivre pour vous tout en ayant de bonnes relations avec les autres, à surmonter la peur d’être rejeté par les autres s’ils sont déçus.

Car, c’est ça le principal obstacle : la peur de décevoir. Pourtant, quand nous faisons des choses que nous n’avons pas vraiment envie de faire par peur de décevoir les autres, qui décevons-nous ? Nous-mêmes. Et pourquoi avons-nous plus peur de décevoir les autres que de nous décevoir nous-mêmes ? Personne d’autre n’est plus important que vos propres besoins. Autorisez vous à décevoir les autres pour vous respecter, vous en avez le droit. Dire oui quand ona envie de dire, c’est se dire non à soi-même.

2  – Arrêter de croire que les autres nous connaissent mieux que nous- mêmes

Vivre pour les autres va plus loin encore que de faire trop de choses pour les autres au point d’oublier de prendre soin de nous. En fait, vivre pour les autres, c’est aussi vivre la vie que les autres ont décidé pour nous. Souvent, nous n’en n’avons pas conscience. Pourtant, souvenez vous de la dernière fois où vous avez dû faire un choix. Il y a de fortes chances pour que vous ayez demandé conseil autour de vous.

Les autres nous enferment dans des cases. Ce n’est pas méchant, c’est juste plus confortable. D’ailleurs, sans doute faites vous la même chose avec les personnes qui vous entourent. Pourtant, vous êtes bien différent de la personne que vous étiez il y a 10 ans, même si dans la tête de votre entourage vous êtes toujours la personne que vous étiez une décennie plus tôt et ça leur convient bien ainsi, soit parce qu’ils n’aiment pas que vous changiez, soit parce que le changement leur fait peur, soit parce qu’ils ont peur pour vous.

Autorisez-vous à être la personne que vous êtes dans le moment présent. Et vous seul connaissez cette personne. Ne laissez pas les autres décider ce qu’ils estiment bon pour vous.

3 – Arrêter d’être un second rôle dans notre propre vie

Maintenant, arrêtez vous un instant, revenez sur vos dernières pensées. À qui pensiez-vous ? Pourquoi ? Vous pensez à ce qu’ils pensent de vous. Vous vous demandez comment faire pour être plus aimé, plus respecté … En fait, en pensant ainsi ce sont les autres qui ont presque toute votre attention.

Or, si votre vie était un film dont vous êtes l’acteur principal, qui devrait apparaître le plus à l’écran ? Vous ! Si ça n’est pas le cas, que ce sont les autres qui sont le plus présents, vous n’avez que le second rôle

En effet, vous passez votre temps à deviner ce qui se passe dans leur tête, mais que se passe-t-il dans la vôtre ? Quand vous vous entendez penser : « il, elle, ils, elles, eux », revenez au « je » : « Je veux, je choisis, je pense, je rêve ».

N’imaginez pas une seconde que cela fera de vous une personne égocentrique et égoïste, cela fera de vous une personne en paix, qui se respecte.

En fait, arrêter de vivre pour les autres, c’est arrêter de vivre dans la peur. Vous êtes quelqu’un de bien, alors, cessez de vouloir constamment être autrement ou faire plus.

Comment arrêter de vivre pour les autres ?

* Revenir à soi : Qu’est-ce que je veux ? Qu’est-ce qui est important pour moi ?

* Se choisir soi et remplacer : « Que va en penser un tel par qu’est-ce que j’en pense moi ? »

* Ne plus se laisser déstabiliser par les avis des autres : se répéter cette phrase « Quand les autres parlent de moi, ils parlent d’eux-mêmes, de leurs envies, de leurs peurs. Cela ne me concerne donc pas. »

* S’autoriser à décevoir les autres : se répéter cette phrase « Je ne suis pas ici pour vivre la vie qu’un autre que moi voudrait que je vive. Je suis le personnage principal de ma vie. »

* Penser à soi : se répéter cette phrase « Les autres sont responsables de leur bonheur et de leur bien-être. Tout comme je suis responsable de mon bonheur et de mon bien-être. »

Si vous vous retrouvez dans ces lignes, il est temps de revenir avec bienveillance et tout votre amour à celle ou celui que vous êtes, c’est-à-dire un Être Unique !

Vivez une merveilleuse journée.

Mabelle

Les molécules du bonheur

Bonjour, comment allez vous ?

À l’opposé de nourrir le stress et ravager notre santé, puis souffrir… Nous pouvons choisir d’être heureux, sélectionner les hormones que nous voulons voir véhiculer dans nos énergies.

Sans compter que ces hormones changent la chimie de notre corps, donc notre signature électromagnétique, et donc notre pouvoir d’attraction. En état de stress nous n’attirons que des catastrophes, des doutes et des peurs… à l’opposé, nous attirons le bonheur, la joie et l’abondance

Le bonheur à ces hormones, nous sommes à présent capables de les gérer grâce à la neuroscience, contrairement aux autres hormones. C’est une arme contre le stress qui est responsable de plus de 70% des maladies. On peut, par notre comportement et notre hygiène et mode de vie, stimuler notre propre production de sérotonine (hormone de la bonne humeur), d’endorphine (sorte de morphine naturelle) et d’ocytocine (hormone de l’attachement et de la sécurité intérieure), mais comment ?

Le massage bien-être. Il doit être fait par une personne formée qui maîtrise l’anatomie du corps. Parmi les massages : le massage californien, réflexologie, le shiatsu … Des chercheurs ont en effet découvert que les massages réduisaient les niveaux de cortisol (l’hormone du stress) de 31 %, tout en faisant augmenter les niveaux de sérotonine et de dopamine de respectivement 28 et 31 %.

Le thé vert, la L-théanine, un acide aminé présent dans le thé vert, a un effet relaxant sur le corps. Et cela en haussant les niveaux d’activité des ondes alpha dans le cerveau. En plus d’être moins stressé en buvant du thé, on serait également plus heureux, car l’effet relaxant de cette boisson ferait augmenter la concentration de sérotonine et de dopamine dans notre organisme.

Le bain de Soleil, l’ensoleillement stimule la sérotonine sécrétée par notre cerveau, Ce serait entre autres pour cette raison qu’il y aurait plus de dépressions et de suicides les mois d’hiver et dans les pays nordiques. Le faible ensoleillement durant cette période nuirait à la sécrétion de cette hormone du bonheur.

Le miel en plus de ces propriétés antifongiques et anti-inflammatoires permettrait d’accroître la concentration de sérotonine dans le corps il agit comme un antidépresseurs naturels.

La méditation, ou le yoga participent  à faire croître les niveaux d’œstrogène Surtout chez les femmes en post-ménopause. L’œstrogène combat l’anxiété et l’irritabilité, tout en favorisant la production de sérotonine.Des chercheurs ont récemment observés une augmentation de 65 % de la dopamine sécrétée chez les gens qui pratiquaient de la méditation.

La lavande, et l’huile de nigelle en plus de leurs propriétés contre les maladies respiratoires et les informations elles augmenterait significativement les concentrations de sérotonine dans notre organisme, elle agissent aussi contre l’insomnie.

Stimuler les hormones du bonheur – Prendre de la vitamine B6 et de l’oméga 3. Essayez d’intégrer du thon, du saumon ou encore de la morue à votre menu. Ces poissons sont reconnus pour être une bonne source de vitamine B6 et oméga 3. D’après le Centre médical de l’Université du Maryland, la vitamine B6 aide notre organisme à produire de la sérotonine. Dans le cas des dépressifs, elle aiderait même à diminuer leurs symptômes.

La vitamine C ne vous aide pas juste à prévenir le rhume ou à renforcer votre système immunitaire. Elle aide à accroître les niveaux de progestérone, une hormone stéroïde prévenant l’anxiété et les sautes d’humeur, dans le sang. Personnellement je préfère la vitamine C liposomale mais, chacun fera comme bon lui semble. Mieux vaut prendre de la vitamine C, liposomale ou non, que pas de vitamine C.

À nous le bonheur avec modération.

Mabelle

Bonne fête les mamans

Après avoir eu un enfant, j’ai réalisé qu’aux yeux de la société, les mères ne peuvent pas:

– Se plaindre (Ma mère me disait : tu l’as voulue tu l’as eue)

– Pleurer (Si tu voulais être heureuse, il ne fallait pas avoir d’enfant. Ah, elle était sympa ma mère et aimant à me renvoyer ses regrets d’être mère ? Pensais-tu que c’était facile ?)

Peut être un dessin animé de texte

– Être débordées (Tu ne fais rien d’extra ordinaire!)

– Dormir (Tu es paresseuse ! Ce n’est pas parce que tu n’as pas fermé l’oeil de la nuit que tu as le droit de profiter de la sieste de ton enfant pour te reposer. Tu auras du temps pour ça quand tu seras pensionnée)

– Etre à nouveau enceinte (Tu es devenue folle ? Un ne te suffit pas ? Combien d’enfants veux-tu de plus ? Tu as l’intention de faire une équipe de football ?)

– Arrêter de travailler (Comment comptes tu les nourrir ?)

– Travailler (On ne fait pas d’enfant quand on n’est pas capable de s’en occuper !)

– Les amener à la crèche (Ah c’est facile de faire des enfants puis de les faire élever par quelqu’un d’autre !)

– Etre femme au foyer (Pauvre mari, il travaille dur et sa femme reste à la maison à ne rien faire !)

– Être célibataire (personne ne veut d’une femme avec des enfants)

– Sortir pour se changer les idées (Tu est vraiment une irresponsable, laisser ton enfant pour sortir t’amuser)

Et vous savez ce qui est pire ? 50% de ces phrases sont prononcées par d’autres femmes. Apprenons à être plus solidaires les unes envers les autres.

Je souhaite à toutes les mamans du monde ( je ne me souviens jamais les dates de fête des mères dans les autres pays), qui devraient être fêtées tous les jours de l’année, quand elles sont enceintes, quand elles ont des petits bouts, quand elles ont des enfants, des ados, quand leurs enfants ont quitté le nid. Vous êtes des mamans et vous le restez toute votre vie ! Nos enfants sont nos raisons de vivre, de continuer à nous battre pour un monde meilleur pour les futures générations, ils sont nos soleils les jours de pluie, nos étoiles dans la nuit. Mais vous avez aussi le droit parfois d’être fatiguées, débordées, dépassées, découragées, d’avoir besoin de prendre un moment pour vous, n’écoutez pas celles et ceux qui vous diront le contraire.

Mabelle