Y a-t-il quelque chose que vous avez toujours eu l’intention de faire, voulu faire, mais que… vous n’avez pas fait ? Matt Cutts propose : essayez de le faire pendant 30 jours. Cet exposé bref et léger nous propose un moyen habile de réfléchir à la planification et la réalisation d’objectifs.
Archives de catégorie : Inspirations
Petite balade
Aujourd’hui, accordez-vous une pause pour petit moment de rêverie dans une forêt finlandaise.
Ouvrez grands vos yeux et vos oreilles.
Comme si vous y étiez, vous y découvrirez des plantes, des animaux, insectes.
Vous approcherez notamment des renardeaux, un élan, une hermine, et différents oiseaux.
Et vous trouverez des champignons.
Si le sujet vous intéresse vous pourrez apprendre comment se gère les forêts.
C’est magique, il ne manque que les odeurs.
Merveilleuse balade
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Le papillon
Un jour, un homme a trouvé un cocon de chenille et a décidé de l’apporter chez lui. Quelques jours plus tard, une petite ouverture est apparue. L’homme s’est assis et a observé pendant plusieurs heures le papillon se débattre de toutes ses forces afin de sortir de son cocon.
Au bout d’un certain temps, le papillon ne bougeait presque plus. Comme s’il avait donné son maximum et qu’il n’avait plus rien à faire. L’homme a décidé alors d’aider le papillon. Il a pris une paire de ciseaux et a coupé le reste du cocon.
Le papillon est sorti alors facilement de son cocon, mais le corps du papillon était enflé et petit, et ses ailes étaient toutes ratatinés. L’homme continuait alors d’observer le papillon et s’attendait à ce qu’il ouvre tout grand ses ailes et commence à voler, mais rien de cela ne se passait. En fait, le papillon a passé le reste de sa vie à ramper avec son corps enflé et ses ailes déformées. Il n’a jamais été capable de voler.
Ce que l’homme avec sa gentillesse et son empressement n’avait pas compris, c’est que la lutte que le papillon devait effectuer pour sortir de son cocon était essentiel à son développement. En luttant ainsi de toutes ses forces, les fluides de son corps se seraient répartis dans ses ailes et, compte tenu du temps qu’il lui fallait pour crever son cocon par lui-même et déployer ses ailes, le papillon aurait été alors en mesure de voler et de se libérer une fois pour toutes de son cocon.
Il en est de même dans notre vie : les obstacles que la vie met sur notre chemin sont exactement ce dont nous avons besoin pour grandir.
La lutte éprouvé sur le chemin de la réussite personnelle fait partie intégrante du prix à payer pour réaliser notre plein potentiel. Si nous devions passer au travers de la vie sans obstacles, nous serions certainement tout rabougris, comme le malheureux papillon. Nous ne serions pas aussi forts que nous pourrions l’être et nous ne pourrions jamais voler, nous non plus, vers l’accomplissement de nos rêves.
Soyez confiants, la vie ne nous apporte rien que nous n’ayons la possibilité de dépasser, pour devenir un magnifique papillon.
Merveilleuse semaine.
Mabelle
Deux anges
Deux anges s’arrêtent pour passer la nuit dans la maison d’une famille aisée.
La famille refus que les anges demeurent dans la chambre d’amis de la maison. À la place, ils laissent les anges dormir dans une petite pièce dans le sous-sol froid.
Pendant qu’ils font leur lit sur le sol dur, le plus âgé des anges aperçoit un trou dans le mur et le répare.
Quand le plus jeune des anges demande « pourquoi ? » Le plus âgé des anges réplique :
« Les choses ne sont pas toujours ce qu’elles paraissent ».
La nuit suivante, nos compères arrivent pour se reposer dans une maison où le fermier et sa femme sont vraiment pauvres mais très hospitaliers. Après avoir partagé le peu de nourriture qu’ils ont, le couple laisse les anges dormir dans leur lit pour qu’ils aient une bonne nuit de sommeil.
Lorsque le soleil se lève le lendemain matin, les anges trouvent le fermier et sa femme en larmes. Leur unique vache, de laquelle le lait était une bénédiction, gît morte sur le sol.
Le plus jeune des anges est furieux et demande au plus âgé des anges comment il a pu laisser faire cela ?
Le premier homme avait tout et tu l’as aidé, accuse l’ange.
La deuxième famille avait peu mais était disposée à tout partager et tu as laissé sa vache mourir.
« Les choses ne sont pas toujours comme elles paraissent »
réplique le plus vieux des anges.
» Quand nous sommes restés dans le sous-sol de la maison, je me suis aperçu qu’il y avait de l’or rangé dans ce trou dans le mur. Étant donné que le propriétaire était tellement obsédé par la haine et qu’il ne voulait pas partager sa fortune, j’ai scellé le trou afin qu’il ne le retrouve plus.
– Et, la nuit dernière, lorsque nous étions endormis dans la chambre du fermier, l’ange de la mort est venu chercher sa femme. Je lui ai donné la vache à la place.
Les choses ne sont pas toujours ce qu’elles paraissent, »
Lorsque les choses ne tournent pas de la façon dont vous auriez voulu… réfléchissez et dites-vous alors que les choses ne sont pas toujours ce qu’elles paraissent.
La fenêtre aveugle
Texte de Charles Brulhart, janvier 2003
Il était une fois un jeune prince qui vivait avec insouciance dans le palais de son père.
Un jour, il demanda au vieux sage chargé de son instruction :
– L’argent est-il quelque chose de bon ou de mauvais ?
L’ homme emmena le prince dans le salon du palais et le fit asseoir face à la vaste baie vitrée donnant sur la grand place.
– Que vois-tu ? interrogea l’ancien.
– Je vois les enfants qui jouent sur la place, les jeunes filles qui dansent près du lavoir, les artisans qui travaillent dans leurs échoppes.
Le sage disparut un instant et revint avec un seau et un pinceau.
– Qu’est-ce ? dit le prince.
– Un vernis à base d’argent.
Le vieil homme sortit du palais et recouvrit toute la baie vitrée d’une épaisse couche de peinture.
Lorsqu’il rentra, le prince s’exclama :
– Mais il fait sombre, je ne vois plus rien.
Le sage alluma une lampe et demanda :
– À présent, que vois-tu par la baie vitrée ?
– Je ne vois plus rien, sauf moi, comme dans un miroir, répondit le prince, je n’arrive plus à voir les autres.
– Tu as la réponse à ta question, dit le vieux sage. Et il s’en alla.
Le prince ordonna à ses serviteurs de nettoyer la baie vitrée. Mais le vernis résistait. À force de frotter, la vitre réapparut, mais entièrement dépolie.
Irrité de ne pouvoir retrouver une vision claire, le jeune prince, dans un accès de colère, lança violemment la lourde coupe d’argent qu’il tenait à la main contre la vitre. Celle-ci vola en éclats.
Le prince put alors revoir toute la beauté du monde extérieur.
Mais en plus, il pouvait maintenant entendre les cris des enfants qui jouaient, les chants des jeunes filles qui dansaient et les bruits provenant des échoppes des artisans.
Il pouvait sentir le parfum des épices et la caresse du vent. Il traversa le cadre vide de la fenêtre et se fondit dans la vie de la grand place.
Ouvrons les yeux sur la manière dont l’argent peut affecter nos relations aux autres !
Magnifique journée
Mabelle
Le bonheur
Légende indoue
Une vieille légende hindoue raconte qu’il y eut un temps où tous les hommes étaient des dieux. Mais ils abusèrent tellement de leur divinité que Brahma, le maître des dieux, décida de leur ôter le pouvoir divin !et de le cacher à un endroit où il leur serait impossible de le retrouver.
Le grand problème fut donc celui de trouver une cachette.
Lorsque les dieux mineurs furent convoqués à un conseil pour résoudre ce problème, ils proposèrent ceci :
– Enterrons la divinité de l’homme dans la terre.
Mais Brahma répondit :
– Non, cela ne suffit pas, car l’homme creusera et la trouvera.
Alors les dieux répliquèrent :
– Dans ce cas, jetons la divinité dans le plus profond des océans.
Mais Brahma répondit à nouveau :
– Non, car tôt ou tard l’homme explorera les profondeurs de tous les océans et il est certain qu’un jour il la trouvera et la remontera à la surface.
Alors les dieux mineurs conclurent :
– Nous ne savons pas où la cacher car il ne semble pas exister sur terre ou dans la mer d’endroit que l’homme ne puisse atteindre un jour.
Alors Brahma dit :
– Voici ce que nous ferons de la divinité de l’homme : nous la cacherons au plus profond de lui-même, car c’est le seul endroit où il ne pensera jamais à chercher.
Depuis ce temps-là, conclut la légende, l’homme a fait le tour de la terre. Il a exploré, escaladé, plongé et creusé à la recherche de quelque chose qui se trouve en lui.
Vieille légende indoue
Merveilleuse semaine à vous – Mabelle
Bonne fête à toutes les mamans
En ce jour spécial pour toutes les mamans belges, je souhaite une excellente fête à toutes les mamans belges, mais aussi du monde entier, car la fête des mamans ça devrait être tous les jours de l’année. Une petite pensée toute particulière à toutes les mamans oubliées, à toutes les mamans dans la difficulté, dans les pays en guerre, à toutes ces mamans merveilleuses que vous êtes.
Une pensée également à tous les enfants, quel que soit leur âge qui n’ont plus de maman à fêter ce jour.
Je partage avec vous une publicité virale réalisée par Card Store pour la fête des Mères.
La société Card Store a posté en ligne et dans les journaux une annonce pour un faux emploi. Ils ont ensuite fait passer de vrais entretiens via webcam à des prétendants au poste. Mais les candidats vont vite déchanter quand le recruteur va décrire le poste. Un poste physique où on reste debout presque toute la journée sans pause et qui demande de l’endurance. Il faut également un diplôme en art culinaire, médecine et finance. C’est un emploi à 135h par semaines, 7 jours sur 7. Et le pire c’est qu’il n’ait pas payé ! Une blague ? Non pas vraiment, quand on sait que des centaines de millions de personnes ont ce poste, ce sont des mamans.
http://www.koreus.com/video/worlds-toughest-job.html
Bonne fête les mamans !
Et un merci à ma puce, car si je suis une maman c’est aussi parce que tu es une fille merveilleuse.
Mabelle
Et si nous sortions de la rancune ?
Deux amis qui marchaient dans le désert se disputèrent et l’un d’eux donna une gifle à l’autre.
Ce dernier, sans rien dire, écrivit dans le sable : Aujourd’hui mon meilleur ami m’a donné une gifle.
Ils continuèrent à marcher et trouvèrent une oasis dans laquelle ils décidèrent de se baigner. Celui qui avait été giflé manqua de se noyer et son ami le sauva.
Quand il se fut repris, il grava sur une pierre : Aujourd’hui mon meilleur ami m’a sauvé la vie.
Celui qui avait donné la gifle et sauvé son ami lui demanda : Quand je t’ai blessé tu as écrit dans le sable, et maintenant tu as écrit dans la pierre. Pourquoi ?
L’autre répondit : Quand quelqu’un nous blesse, nous devons l’écrire dans le sable, où le vent de l’oubli l’effacera. Mais quand quelqu’un fait quelque chose de bien pour nous, nous devons le graver dans la pierre, où rien ne peut l’effacer.
Histoire d’origine inconnue, si vous en connaissez la source, laissez moi un petit commentaire. Merci
Mabelle
La vie
La vie est une chance, saisis-la.
La vie est beauté, admire-la.
La vie est béatitude, savoure-la.
La vie est un rêve, fais-en une réalité.
La vie est un défi, fais-lui face.
La vie est un devoir, accomplis-le.
La vie est un jeu, joue-le.
La vie est précieuse, prends-en soin.
La vie est une richesse, conserve-la.
La vie est amour, jouis-en.
La vie est un mystère, perce-le.
La vie est promesse, remplis-la.
La vie est tristesse, surmonte-la.
La vie est un hymne, chante-le.
La vie est un combat, accepte-le.
La vie est une tragédie, prends-la à bras-le-corps.
La vie est une aventure, ose-la.
La vie est bonheur, mérite-le.
La vie est la vie, défends-la.
Mère Teresa