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Pratique de la méditation

L’important est ne plus avoir besoin de tout contrôler. La méditation est alors un véritable geste d’amour — Fabrice Midal

Fabrice Midal est un philosophe qui a étudié auprès de nombreux maîtres de la tradition tibétaine. Je l’ai découvert à travers des vidéos du site Psychologies.com ou il présentait la pratique de la méditation à travers 10 vidéos.

Le livre « Pratique de la méditation » répond à de nombreuses questions sur la méditation :

— Qu’est-ce que la méditation?

— Comment pratiquer?

— Quel est son rôle en occident?

Il aborde des thèmes tels que

— Stress, santé et méditation

— Méditation et psychothérapies

— Méditation et poésie

— Méditation et spiritualité

 

Il ouvre un regard différent sur une pratique déjà présente dans la vie de tous jours, il entraine dans une pratique plus approfondie.

C’est également un guide idéal pour les débutants, avec son CD proposant six méditations guidées :

— Entrer en relation avec soi

— Garder les six points de la posture

— Habiter le corps, devenir un avec le souffle

— Travailler avec ses pensées

— L’attention dans toute sa précision

— Ouvrir le champ de la présence : développer notre attention aux perceptions et aux émotions

Si vous ne pratiquez pas encore la méditation, ce livre répondra à vos sans doute nombreuses questions et vous guidera dans vos débuts.

Prenez soin de vous – Mabelle

Le revenu de base, késako ?

L’été dernier j’ai fait une formation avec Pierrre Catelin, un personnage à lui tout seul !

Pierre donne des formations, et est aussi l’auteur de plusieurs livres avec Axelle De Brandt.

 Durant les pauses, Pierre nous a parlé de son intérêt pour le principe du Revenu de Base: un revenu garanti à tout citoyen de façon inconditionnelle et égalitaire et sans contrepartie de travail, qui lui permette de vivre dignement.

C’était la première fois que j’entendais parler de cette idée innovante, qui m’a tout de suite séduite par son potentiel face aux problèmes économiques de notre époque.

 Je tiens à vous transmettre les informations reçues sur le sujet il y a quelques jours.

J’ai en effet reçu un mail d’Axelle me présentant deux médias auxquels elle a participé (un journal et un documentaire) pour (re)découvrir ce concept pertinent pour s’épanouir en tant qu’individu et citoyen.

revenu de base

Depuis quelques semaines, le premier numéro de L’Inconditionnel, un journal sur le Revenu de Base édité, grâce à un crowdfundig, par les Réseaux belge, français et suisse du Revenu de Base, est sorti de presse. Au cours des 20 pages A3 d’articles, vous découvrirez une radiographie du concept sous différentes facettes comme la politique, l’emploi, l’économie, la santé, la société,…

La rédaction a sollicité Axelle pour écrire un article, ce qui a abouti à: Le revenu de base nous rendra-t-il plus heureux?

Ce journal est gratuit, et également téléchargeable sur le site linconditionnel.info
Axelle et Pierre continuent à travailler sur un modèle de financement du Revenu de Base dont les prémices figuraient déjà dans leurs 2 livres.

   

Leur travail se concrétisera par un livre qui est en cours de réalisation, et dont Axelle nous révèle déjà le titre : Le Revenu de Base XXL – Chiffres à l’Appui.

En attendant la sortie du livre (personnellement je l’attends avec impatience), je vous propose de visionner le documentaire néerlandophone « Iedereen een basisinkomen » diffusé fin 2014 sur la chaîne flamande Canvas.

 L’interview a été enregistré au Parlement Fédéral, juste à côté de la salle où se votera la loi instaurant le Revenu de Base en Belgique… Tout un symbole….

En espérant que cette merveilleuse idée devienne très vite réalité, vivez une magnifique journée  Mabelle

Agir ou accepter

François était travailleur, courageux et tenace. Il cultivait sa terre avec bonheur. Ses champs les plus fertiles s’étendaient le long du fleuve. Il les appelait ses terres du bas.

Sur les terres du milieu, il y avait sa ferme entourée de vergers, de prairies et de quelques cultures.

Sur les terres du haut, plus arides, poussaient des oliviers.

Jacques était un vieil ami. Il avait quitté le village pour parcourir le vaste monde. Il avait bourlingué pendant des années avant de revenir au pays, la peau tannée, la besace pleine de récits merveilleux et d’une bonne dose de sagesse.

Le fleuve, bon an mal an, sortait de son lit et fécondait les terres du bas puis se retirait. François l’appelait son allié.

Cette année-là, les eaux gonflèrent plus que de coutume. Un flot tumultueux envahit les terres du bas et submergea bientôt les terres du milieu. François mit ses bêtes à l’abri sur les terres du haut et rejoignit sa ferme à la nage.

inondations

Réfugié à l’étage, il voyait les flots grossir inexorablement. La peur commença à étreindre son coeur, mais il ne voulut pas abandonner sa maison.

L’eau monta encore. Il se retrouva sur le toit, serrant contre lui quelques objets.

Jacques veillait au grain. Il connaissait bien son ami: il était si obstiné qu’il se serait laissé emporter par les flots plutôt que de quitter ses biens.

Jacques dirigea sa barque vers la ferme.

– Monte, dit-il. Les eaux vont t’emporter.

– Pas question, elles finiront bien par se retirer. Je ne quitterai pas mon toit.

– Fuir vaut mieux que risquer la mort. Pour faire face au danger, il vaut parfois mieux l’éviter, s’en éloigner, partir.

François décida de suivre Jacques. Il s’installa dans une grange qu’il possédait sur les terres du haut. Les jours passèrent. Les eaux ne baissaient toujours pas.

D’alliée, la nature était devenue hostile.

François sentit monter en lui une profonde colère contre les éléments déchaînés, qui se transforma vite en un désir puissant d’affronter et de combattre ce nouvel ennemi. Il réussit à convaincre les hommes du village de mener ce combat avec lui. Ensemble, ils réussirent à construire des digues et de solides murs pour séparer les eaux des terres du milieu et regagnèrent ainsi une partie de leurs vergers et de leurs champs.

Mais les terres du bas restaient sous les eaux. Le terrain y était instable, les digues s’affaissaient.

Jacques voyait François lutter sans succès.

– Laisse tomber, lui dit-il, cesse ce combat vain et épuisant.

– N’y compte pas, répliqua François. Je ne suis pas un lâche.

– Au contraire, dit Jacques. Tu as fait tout ce que tu pouvais pour sauver tes terres. Tu as lutté avec courage et ténacité. Mais la nature est plus forte que nous. Changer les choses ne dépend plus de toi. Aie la sagesse d’arrêter ce combat.

– Me résigner, rétorqua François, jamais.

– Reconnaître ton impuissance et cesser d’épuiser tes forces dans une lutte vaine n’est pas de la résignation, dit Jacques, mais une façon de commencer à faire le deuil de tes terres du bas, à abandonner ton rêve de tout récupérer et à accepter cette nouvelle réalité. Si tu ne réussis pas à l’accepter tu pourrais effectivement sombrer dans la résignation ou le désespoir, et passer ton temps à ruminer ton impuissance et ta frustration ou à regretter ce que tu as perdu.

– Mais les flots se retireront peut-être, rétorqua François, dans un dernier effort pour s’accrocher à cette réalité à laquelle il tenait tellement. Ou nous finirons par trouver un moyen de construire des digues plus solides.

– Si cela arrive et si entre temps tu as réussi à faire le deuil de tes terres, dit Jacques, ton bonheur de les retrouver sera d’autant plus grand.

– Je pense que tu as raison, dit François, même si ce que tu suggères me paraît très dur.

– Oui, répondit Jacques, le chemin de l’acceptation est très difficile. Il demande autant de courage et de ténacité que la lutte contre les éléments.

La tristesse t’envahira souvent. Sache l’accueillir, car elle t’aidera à avancer et te permettra de mesurer le chemin parcouru.

Quand elle te quittera, tu seras arrivé à destination.

François estima une fois encore que son vieil ami faisait preuve de sagesse et décida d’accepter la perte de ses terres. Cela fut long et difficile, mais il y parvint.

N’étant plus obsédé par la récupération de ses terres, il put consacrer toutes ses forces à valoriser ses champs, ses vergers et ses prairies du milieu et du haut.

Il retrouva sérénité, entrain et joie de vivre.

Quelques mois plus tard, Jacques dit à son ami qu’il s’apprêtait à faire un long voyage pour rendre visite à un vieux compagnon d’aventure.

– Si tu veux, tu peux m’accompagner, dit Jacques. Tu mérites un peu de repos, après le travail ardu que tu as accompli ces derniers mois.

François y consentit et ils partirent pour un pays lointain retrouver le vieil ami de Jacques. On l’appelait Archimède. C’était un vieil homme original et ingénieux. En toute circonstance, il trouvait un moyen de se tirer d’affaire.

Un jour, Jacques suggéra à François d’accompagner Archimède au marché. Ils traversèrent un village qui attira l’attention de François car il ressemblait étrangement au sien. Un fleuve le traversait, bordé de champs et de prairies. Mais ce qui l’intrigua surtout, ce fut un groupe d’hommes occupés à travailler dans les eaux peu profondes longeant les berges du fleuve.

– Que font-ils, demanda François ?

– Ils ont fixé sur le fond du fleuve des nasses pour attraper des poissons, répondit Archimède.

Alors François comprit que Jacques, par l’intermédiaire d’Archimède, lui avait une nouvelle fois tendu la perche. Il rentra chez lui, reconquit ses terres du bas, qui étaient devenues les hauts fonds du fleuve, en y installant des nasses pour y prendre des poissons. Et le fleuve redevint son allié.

Texte de Charles Brulhart, Janvier 2006

Il est bien inutile de vouloir lutter en permanence, il s’agit d’accepter les limites de notre maîtrise des choses, des événements et du monde. Et de lâcher-prise.

Merveilleuse journée – Mabelle

Méditation : qui, quoi, comment ?

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Qui peut méditer ?

Tout le monde peut pratiquer la méditation. Néanmoins certaines règles sont importantes à respecter :

– Etre assis dans un endroit calme, de préférence toujours au même endroit au début

– S’installer dans une position décontractée, confortable, avec le dos bien droit

– Etre ouvert de corps et d’esprit, sans attente

– Ne penser à rien. Cela est très difficile et demande beaucoup de pratique. Il est normal que l’esprit vagabonde. Il ne faut pas chercher à faire le vide, cela n’aurait que l’effet inverse. Seulement prendre conscience de ce fait, et revenir dans l’instant présent. Et prendre conscience de la respiration, sans toutefois y porter trop d’attention, se contenter d’observer avec autant de neutralité que possible émotions et pensées.

 Comment méditer ?

Il existe plusieurs types de méditation, la plus pratiquée étant la méditation Vipassana.

Peu importe le type de méditation sur lequel votre choix se porte L’essentiel étant de choisir librement, en évitant les écoles religieuses ou sectaires qui imposent leur doctrine et leur façon de penser qui ferment l’esprit. Il n’est pas besoin d’un Dieu ou d’un gourou quelconque pour méditer. Il est certainement plus facile de pratiquer avec une personne maîtrisant la méditation et, comme pour toute autre activité, il est vrai que la pratique en solo est moins motivante. Mais, la méditation peut très bien se pratiquer seul, dans le salon, la cuisine ou le jardin.

Et de nombreux livres, CD et DVD existent sur le sujet et pourront vous aider à progresser.

Méditation -12 méditations guidés de Fabrice Midal : deux CD et un livre qui répond à toutes les questions pratiques sur la méditation, indépendamment de toute croyance. Un livre intéressant comme aide à la pratique, en toute sérénité :

Mais il en existe bien d’autres

   

Peu importe le type de méditation sur lequel vous portez le choix, l’essentiel est de pratiquer chaque jour.

Prenez soin de vous – Mabelle

Changer

Changer n’est pas chose facile. Le Dr BruceLipton bouleverse les dogmes établis et nous révèle la nouvelle manière d’aborder la médecine moderne pour nous aider à changer.

Enseignant en biologie cellulaire à la faculté de médecine de l’université du Wisconsin, et auteur de livres tels que « la biologie des croyances » ou « Evolution spontanée », se consacre à des recherches qui ont joué un rôle précurseur dans le développement de l’épigénétique (influence de l’environnement sur l’ADN). Il a reçu le « Goi Peace Award » pour sa contribution scientifique à l’harmonie du monde.

Avec cette vidéo  https://www.youtube.com/watch?v=LjKhwlq7n-U

le travail des personnes qui travaillent en énergétique devrait vous paraître moins abstrait

Bruce Lipton nous dit que seules 3 méthodes sont capables de modifier les programmations inconscientes :
– l’hypnose
– la répétition gestuelle
– la psychothérapie énergétique comme l’EFT

Vous souhaitez plus d’informations sur le sujet, je vous conseille les lectures suivantes :

                                                                 

 Bruce Lipton a écrit d’autres livres, et je ne doute pas de leur intérêt, mais je ne les ai pas lu, je ne veux donc pas vous conseiller des lectures que je n’ai pas faites moi-même.

Vous voulez changer une habitude ? Contactez-moi pour travailler ce changement avec l’EFT !

Prenez soin de vous – Mabelle