Les gens gentils sont en meilleure santé!

Présentée comme cela, l’affirmation pourrait paraître étrange. Pourtant si on pense que le fait d’être gentil au quotidien reflète une tournure d’esprit positive, cela devient bien plus évident. Des scientifiques suédois vont plus loin, les personnes gentilles vivraient plus longtemps et auraient de meilleures défenses immunitaires. Il est prouvé que les émotions négatives et le ressentiment sont corrélés à une élévation du rythme cardiaque et de la pression artérielle.

Une bien bonne raison donc ,s’il vous en fallait une, pour se plier à l’exercice pour 24 heures. Et, reconnaissez qu’une journée mondiale de la gentillesse change tout de même agréablement des habituelles journées contre la lèpre, les femmes battues, le cancer, ou le paludisme.

L’initiative de cette journée est anglo-saxonne, son nom d’origine est

le « World Kindness Day »

promulgué par le World Kindness Movement , que nous pouvons traduire par  » Mouvement mondial pour la gentillesse », un organisme laïc international né à Singapour en 2000.

Et, chaque année, la Journée de la Gentillesse rencontre un succès croissant. Elle se décline désormais dans le monde de l’entreprise, à l’école, … de nombreux pays.

Et c’est tant mieux. Une petite piqûre de rappel annuel n’est pas de trop pour soutenir cette valeur essentielle trop souvent assimilée à de la naïveté ou de la faiblesse. Je serais plutôt d’avis que c’est en fait tout le contraire, la gentillesse est plutôt une forme d’intelligence vu la sérénité et le bien être qu’elle apporte, qui n’exclut absolument pas le respect de soi-même.

Le chacun pour soi a vécu, nous avons besoin de solidarité,

la gentillesse est une nécessité.

La gentillesse c’est faire acte de bonté, avoir un comportement de bienveillance, un caractère doux, et avoir le souci des autres. La gentillesse est reconnue comme une vertu et comme une valeur dans de nombreuses cultures et religions.

La journée de la gentillesse a pour objectif d’abolir les frontières, de valoriser ces petites attentions capables d’enchanter le quotidien, de rendre la vie sociale un peu plus belle ,les relations plus sereines.

Je suis bien consciente que c’est un peu (oui, beaucoup !) utopiste, mais je rêve d’un monde meilleur et plus convivial. D’ailleurs, Rousseau ne disait-il pas que se soucier des autres est ce qui nous rend pleinement humains.

Alors, soyons entièrement humains en cette nouvelle Journée de la Gentillesse !

Essayons d’être (encore) plus sympa que d’habitude. La gentillesse engendrant de la gentillesse, cela deviendra plus contagieux qu’une grippe. Quelques minutes de notre temps suffisent à répandre autour de nous sourires et bonne humeur.

On peut espérer que tous n’attendent pas cette journée pour pratiquer la gentillesse dans leur vie quotidienne.

Pourtant, mine de rien, pour beaucoup, ce n’est pas si naturel d’être gentil du matin au soir sans se forcer quelque peu.

Si la langue de Shakespeare est votre amie, sur le site www.actsofkindness.org, vous trouverez des centaines de trucs à tester, dans tous les domaines de la vie pour cette journée dédiée à la gentillesse. Ne vous en privez surtout pas.

 Gentille journée à toutes et tous – Mabelle

Si cette information se vérifie, à partir du 10 décembre prochain, un simple tweet sur Fukushima pourrait vous conduire tout droit en prison. En effet, le Japon qui ne souhaite pas communiquer sur la catastrophe de Fukushima va classer les informations « secret défense ».

Pourquoi ? Protection économique ? Pour éviter la panique ? Plusieurs réacteurs au plutonium (bien plus dangereux que les réacteurs à l’uranium de Tchernobyl) sont éventrés, la contamination touche la faune, mais aussi les nuages, l’eau qui circule sur toute la planète.

Alors que la Russie refuse des véhicules japonais trop radioactifs, il est inquiétant de constater que chez nous, le commerce avec le Japon ne se soit pas arrêté pour autant. Au contraire, l’U.E. a revu les taux de contamination pour les produits importés à la hausse.

Mari Takenouchi, qui se bat pour l’évacuation des enfants et des femmes enceintes des territoires contaminés par la catastrophe continue de subir des attaques. Et, ses amis militants, notamment Jan Hemmer en Allemagne, reçoivent également des messages hostiles pour l’avoir soutenue.

A partir du 10 décembre, la loi de protection des secrets d’Etat devrait être appliquée au Japon. Il est important de soutenir les journalistes et blogueurs qui continuent de nous informer sur la réalité de la contamination et ses conséquences sanitaires.

Vous trouverez des articles plus complets sur Fukushima-blog.com

Avec espoir en un monde meilleur – Mabelle

Il était une fois un petit garçon qui avait grandi avec l’idée qu’il ne fallait pas dire aux autres son amour pour eux.
Tout petit son papa et sa maman avait du se séparer de lui et ce sont ses grands-parents qui l’avaient élevé. Quand parfois ses parents venaient lui rendre visite, il se cachait sous la table.
Oh, c’était plus par peur qu’ils lui disent: «Si tu ne vis pas avec nous et bien c’est qu’on ne t’aime pas assez.» Alors il fuyait se refugier pas trop loin mais pas trop près non plus, sous la table….
Beaucoup plus tard dans sa vie d’adolescent il rencontra des jeunes femmes et toujours, il avait peur de n’être pas assez aimé. Ses compagnes ne comprenaient pas plus que lui pourquoi il avait toujours peur d’être abandonné, elles ne savaient pas que la table était devenue trop petite pour l’abriter, elles finissaient toujours par le quitter, cela justifiait sa peur: «je savais bien que j’avais raison…».
Vous savez cette peur là est terriblement vivace, elle le paniquait, et parfois, il se mettait en colère car il croyait sincèrement que c’était la faute des autres s’il vivait cela, qu’ils étaient responsables, coupables même de cet effroi.

Très vite alors il s’est aperçu qu’en buvant un peu d’alcool, il n’avait plus peur, cela lui semblait d’ailleurs un peu grisant d’être soudain si courageux, d’être si puissant par rapport aux autres.
Il avait découvert enfin un moyen de vivre «comme tout le monde» ses émotions de peur qui lui faisaient si peur, qu’il s’anesthésiait le corps et l’esprit.

Hélas vous savez aussi que lorsque qu’on commence à prendre une drogue pour «se soigner» en croyant que c’est le seul remède, cela a des conséquences fâcheuses pour soi même et ceux que vous côtoyez.

Peu à peu il lui a fallu bien plus d’alcool pour ne pas vivre cette peur, puis, ce produit ne lui a plus du tout convenu, il a fallu alors d’autres drogues plus «efficaces», plus puissantes…

Les quelque fois où il décidait de mettre fin à cet esclavage, il s’interdisait alors toute relation trop proche avec les autres, non parce qu’il ne le désirait pas mais simplement car il avait peur que cette peur revienne, qu’il soit «obligé» de se «soigner» à nouveau.
Pourtant un jour il est allé écouter les contes d’un homme dans la belle ville de Grenoble, il ne sait pas vraiment pourquoi mais tout de suite il a su qu’il lui faisait confiance, que cet homme là savait beaucoup de choses qui pourraient l’aider à vivre ses peurs plutôt que de continuer à se détruire.

Il a demandé à ce monsieur, Jacques Salomé, s’il pouvait lui écrire. A son grand étonnement le conteur à accepté de correspondre.
Un jour il a reçu un conte qui parlait de pigeon qui ne pouvait se passer d’ambroisie, et dans lequel on conseillait à ce pigeon de symboliser son attachement par un objet d’amour….(C’est le langage des pigeon). Il a choisit un objet qui représente cet attachement là, un objet qu’il porte toujours avec lui, un médaillon tibétain, une sorte de gris-gris à deux faces bien différentes mais qui représentent une unique et même chose : Son attachement à l’ambroisie.

Et bien vous me croirez si vous voulez mais cela lui a donné la force de se rendre dans un centre de traitement ou il «se mettrait à table» sur sa vie passée et non plus sous la table.
Aujourd’hui cet enfant est devenu un homme respectable par lui même et les autres et vit sa vie sans ambroisie ou autre illusion de ce genre. Bien sûr cela ne résout pas tout, il a encore beaucoup de chemin à faire, notamment en ce qui concerne ses relations aux autres et à lui même, mais voyez-vous, il a une chance merveilleuse il est conscient de ce qu’il vit, conscient aussi que des personnes ont assez d’amour a lui offrir, qu’un homme, un Re-père, a écrit un conte pour l’aider à se soutenir lui-même.
Et bien c’est à l’occasion de l’anniversaire du jour où il a dit «NON A L’ESCLAVAGE» qu’aujourd’hui il peut enfin vous dire :
Oui, mes amis passés, présents et futurs, je vous aime tel que vous êtes dans l’ici et maintenant d’une relation vivante.

Franck Alleron une nuit d’été.

Merveilleuse semaine – Mabelle

Il y a un eu plus de deux, un grand génie s’est éteint : Roland Moreno, l’inventeur de la carte à puces (et de bien d’autres inventions utiles ou loufoques également).

Par contre, ce qu’on oublie très souvent, c’est que Moreno a inventé cette fameuse puce qui a transformé nos vies… pendant un rêve !

Et il n’est pas le seul a avoir accédé à son génie créatif grâce aux rêves. Friedrich Kekulé, par exemple, a découvert la structure cyclique du Benzène en rêvant du serpent Ourobouros, le serpent mystique qui se mord la queue.

Ceci démontre l’importance des rêves pour libérer le pouvoir incroyable de notre inconscient et nous donner accès à une face cachée de notre vie. 
Ce que perçoit le cerveau conscient n’est qu’une infime partie d’une réalité bien plus complexe. L’inconscient, partie immergée de l’iceberg, échange des informations 200 millions de fois plus rapidement que le cerveau conscient, et influence bien plus nos comportements que ne le font les pensées conscientes.

Le travail sur les rêves permet d’utiliser cette ressource intérieure extraordinaire, plutôt que de laisser échapper ces flashs d’intuition, ces messages importants utiles pour prendre les décisions difficiles, ou pour donner un sens à la vie.

Le sommeil paradoxal, la phase du sommeil la plus propice aux rêves, ne dure que 20-25 minutes, il s’agit donc d’en bénéficier un maximum. Le travail sur les rêves ne s’improvise pas.

– Faites attention à la qualité de votre sommeil, en respectant un rituel d’endormissement.

– Evitez les excitants en général, et d’autant plus durant la soirée.
-Conservez un carnet et un stylo sur votre table de nuit, pour noter vos rêves dès le réveil et éviter ainsi de les oublier rapidement.
-Evitez de confondre les rêves qui sont simplement des échos de votre quotidien avec les véritables messages de votre inconscient.

Avec un peu de pratique, vous arriverez plus facilement à vous souvenir de vos rêves, à les interpréter également. Et, tout à coup, une idée de génie surgira comme une évidence suite au travail de votre inconscient durant votre sommeil.

Bons rêves ! Mabelle

Ce matin, je viens vous demander un petit service.

Il s’agit de visionner une vidéo qui a été réalisée par le chanteur Macaco avec les travailleurs et les patients du 8ème étage (Oncologie) de L’Hôpital pour enfants San Juan de Dios à Barcelone afin de récolter des fonds pour la recherche sur le cancer.

Chaque fois que vous entrez dans la vidéo, 5 centimes serons versés à la cause.

J’espère qu’énormément de monde ouvrira la vidéo et que nombreux transmettrons à leurs amis pour qu’ils en fasse de même. C’est pour une bonne cause.

http://www.youtube.com/watch_popup?v=8WATgU5PduE&feature=youtu.be

Merci. Vivez une merveilleuse journée

Mabelle

Bonjour, je partage avec vous aujourd’hui une vidéo TEDx qui m’a plu :

Margaret Heffernan : Oser ne pas être d’accord

Tout un programme ! La plupart des gens évitent les conflits instinctivement. Mais Margaret Heffernan nous montre qu’un bon désaccord est essentiel pour progresser. Elle illustre, parfois contre toute attente, comment les meilleurs partenaires ne sont pas des échos l’un de l’autre, comment les grandes équipes de recherche, les relations et les entreprises permettent aux gens d’être en profond désaccord.

Vivez passionnément, dans la joie et la bonne humeur.

Mabelle

Voici une « innovation » des services de l’INRA (Institut National de la Recherche Agricole) : Des vaches à hublot.

Âmes sensibles, s’abstenir !

D’après les chercheurs, ce hublot, qui donne accès à l’un des estomacs de la vache, permet d’analyser de manière simple et non douloureuse le contenu de ce qu’elle mange, afin de lui fournir plus tard la meilleure nourriture possible.

En réalité, tout cela a pour seul but mercantile de faire produire à ces pauvres vaches 100.000 litres de lait par an, en s’assurant qu’elles digèrent bien et que le taux d’acidité est correct.

Pour cela ils ont créé dans leur flanc un orifice d’un diamètre de +10-15 cm dans lequel ils introduisent une sonde. Cet orifice est cerclé de plastic ou de je ne sais quoi pour que ce trou béant ne puisse se refermer.

En effet, pour avoir accès plus facilement à l’intérieur du rumen (le premier des quatre estomacs de la vache), ils ont cousu ce dernier à la peau et refermé le tout avec un hublot en plastic. Le hublot permet de passer le bras profondément dans l’animal afin de prélever des échantillons du bol alimentaire.

J’avais vu, il y a quelques mois, un reportage sur Arte sur l’élevage intensif de bovins. Il y était question du traitement hormonal contre nature injecté aux vaches pour augmenter leur production de lait. Ce traitement provoquant notamment des infections des pis, les vaches devaient subir en plus un traitement à base d’antibiotiques qui se retrouvaient forcément dans le lait. Par ailleurs, avant que l’infection soit détectée et traitée, elle se répandait également dans le lait.

L’homme qui adore jouer avec la nature a donc inventé « la vache parfaite ». Pauvres bêtes, et honte à nous de faire partie de ces humains dans toute leur horreur ! Pour remédier à ces « soucis techniques », l’homme a inventé les vaches avec un hublot permettant de contrôler constamment la qualité de la digestion, et les médicaments à donner pour que tout soit « parfait » !

Vous n’êtes pas d’accord avec cette façon de faire, signez la pétition :

https://www.lapetition.be/en-ligne/la-fin-des-vaches-hubl…

Certaines histoires laissent des traces dans la mémoire. Celle-ci est l’une d’entre elles : Un couple qui s’aime a bien du mal à s’en sortir financièrement. Le mari travaille la journée dans une blanchisserie, et son épouse travaille nuit. Leurs salaires suffisent à peine à payer les dépenses courantes et le loyer. Leurs conditions de vie sont si modestes, qu’ils doivent se priver de manger pour payer les médicaments de leur bébé. Le soir en rentrant, il écrit car il est persuadé qu’il détient un talent d’écrivain. Il passe des nuits à remplir des pages entières, pour réaliser son rêve : Écrire un roman à succès !

 Son épouse croit en lui. Elle l’encourage. Et, lorsque le manuscrit est terminé, elle expédie chez les éditeurs les copies de l’ouvrage. Alors, c’est l’attente… parfois insupportable… … Puis, la déception. A chaque fois, une lettre avec des mots assez durs  « Aucun talent littéraire », ou encore « Sujet qui n’intéressera personne »

 Les lettres de refus des éditeurs s’accumulent ,et malgré les nombreuses tentatives de son épouse, les réponses négatives se suivent . Jusqu’au jour où le courrier d’un éditeur, très courtois, annonce lui aussi son refus mais avec des mots d’encouragements : « Continuez, vous avez du talent » affirme la lettre de cet éditeur.

 Le courage revient et le mari continue à écrire des romans, dopé par ces mots. Sa femme est à ses côtés pour de nouveau expédier les manuscrits. Et , à nouveau ,les manuscrits reviennent avec la sempiternelle lettre de refus.

 « Pourtant, cet éditeur m’a encouragé à continuer car j’ai, dit-il, du talent. Il va bien accepter mon dernier manuscrit ». Son épouse fait le paquet et le poste chez l’éditeur courtois. Ils attendent tous deux la réponse avec espérance.

 Elle ne tarde pas à arriver, avec une nouvelle fois un refus et toujours le petit mot qui accompagne: « Votre talent est certain, vous devez poursuivre votre travail ».

 Là, c’en est trop ! « Pas un seul éditeur ne  veut publier mes livres, malgré mon talent reconnu. J’arrête ! » L’écrivain décide de tout abandonner. Il ne veut plus subir ces échecs à répétitions. Il jette à la poubelle le dernier manuscrit qu’il avait terminé. Il décide de ne plus jamais écrire et de retourner à sa triste vie d’employé blanchisseur.

 Toutefois, sa femme, convaincue que le talent de son mari serait un jour reconnu, récupère le manuscrit dans la poubelle, sans lui dire. Elle l’expédie en cachette chez un éditeur et… miracle, reçoit une acceptation de signer un contrat d’édition. C’est ainsi que ce livre devient un Best-Seller mondial, dont on réalisa un film.

 Le premier grand succès mondial de STEPHEN KING, « CARRIE », était né et ce fût le début de sa longue carrière d’écrivain à succès.

 Que retenir de cette histoire ? Si même vous rencontrez les pires difficultés, des refus à répétitions, croyez en vos rêves ! Ne laissez jamais tomber !

Si vous aimez Stephen King, son dernier livre vient de paraître, parions qu’il sera le nouveau best-seller

Excellente journée

Mabelle

Mabelle