
Journée de la femme

Avez-vous vu ce film qui a été réalisé spécialement à l’occasion des 40 ans de la journée internationale de la Femme ?
4 questions ont été posées à 18 personnalités :
- Qu’est ce qu’une femme libre aujourd’hui ?
- Quelle est la place de la femme dans la société ?
- Qu’est ce qu’une femme libre dans 20 ans ?
- La femme est-elle l’égale de l’homme ?
Je vous laisse le découvrir en suivant le lien ci-dessous :
https://www.youtube.com/watch?v=uuWpOQkaLhM
Un film à regarder aussi bien par les hommes que par les femmes, pour un avenir différent en harmonie dans les relations hommes-femmes
La journée de la femme cela ne devrait pas être un jour par an, mais 365 jours par an !
Mabelle
Se sentir mieux au quotidien
Bonjour,
Avez vous parfois du mal à vous sentir bien ces jours où la vie est plus difficile, où vous passez une mauvaise journée ?
Je vous propose quelques astuces à pratiquer au quotidien pour être plus positif et combattre la morosité malgré les circonstances extérieures qui pourraient vous saper le moral.
Cessez de vous comparer aux autres : Tout le monde est unique, que peut vous apporter de vous comparer aux autres ? Regardez ces différences qui font de vous un être exceptionnel. Et si vous voulez absolument vous comparer, alors comparez vous à vous, à qui vous étiez dans le passé et regardez vos progrès. Regardez qui vous voulez être dans le futur, et mettez en place ce qui doit l’être pour avancer dans la bonne direction et devenir cette personne.
La gratitude : Chaque soir écrivez, dans un carnet prévu à cet effet, au moins cinq choses de la journée pour lesquelles vous êtes reconnaissant. Au début, cela vous paraîtra peut-être compliqué certains jours. Mais il n’est pas nécessaire de trouver des choses extraordinaires, ça peut être le sourire de la caissière, quelqu’un qui vous a tenu la porte lorsque vous aviez les mains chargées, un rayon de soleil qui vous a réchauffé la nuque, le message reçu d’un ami, un oiseau sur le muret du voisin, … Repensez aux choses qui vous ont fait sourire. Avec l’habitude cela sera de plus en plus facile, vous arriverez à être reconnaissant plus souvent. Et les jours où vous serez moins en forme, vous pourrez toujours relire quelques pages de votre carnet de gratitude pour trouver la vie beaucoup plus plaisante.
Le tapping : Tapoter chaque soir est un peu dans le même esprit que le carnet de gratitude, si ce n’est qu’ici on ne regarde pas le positif de la journée, mais le négatif. En effet, il s’agit de se remémorer les instants difficiles de la journée tout en tapotant pour en libérer la charge négative et ainsi se sentir plus léger. Il n’est pas forcément nécessaire de formuler les choses, mais de simplement tapoter en pensant aux différents moments désagréables. Bien sûr vous pouvez aussi dire sur chaque point « je libère et je lâche ».
Pratiquez la respiration abdominale : elle a déjà été l’objet d’un article précédemment, donc je ne reviens pas dessus dans celui-ci. J’ai, à de nombreuses reprises, constaté que la respiration abdominale associée au tapping sur les points clavicules est extraordinaire pour éliminer le stress au moment où il se déclenche, mais cela peut également avoir un effet préventif.
Redevenez un enfant : Vous souvenez vous comme vous pouviez vous amuser d’un rien étant enfant ? Ou avez vous même oublié tellement cela est devenu impossible pour vous actuellement ? Parlez à un inconnu, amusez vous à sauter dans les flaques, à danser sous la pluie, mettez un peu de folie dans votre vie rêvez. En devenant adulte, on a bien trop tendance à prendre les choses au sérieux, à s’inquiéter de ce que les autres pourraient penser si on fait un peu les fous. Pourquoi seuls les enfants auraient ils le droit de s’amuser ? Prenez le temps de rire, et riez chaque fois que vous en avez envie.
Je vous mets au défi d’utiliser l’une ou l’autre de ces techniques, voire toutes, dès aujourd’hui. Je vous mets au défi de les pratiquer durant quelques semaines, et de me laisser un commentaire afin de me dire si cela vous a aidé(e).
Mabelle
A méditer
06
Faire les bons choix
Je contemple mon jardin qui change de jour en jour. Il est très loin de ce que je souhaite qu’il devienne, mais il avance dans la bonne direction. Et j’ai tellement de gratitude de savoir que je vous écris, à vous qui prenez le temps aussi d’observer les mouvements de votre vie.
Choisir de s’arrêter et regarder les courants de notre existence, ses calmes, ses ouragans puissants, ses écueils, ses chutes parfois inattendues.
C’est là que réside notre liberté, faire le choix de s’arrêter et de contempler sans jugement.
Et voir que ces mouvements de vie nous emmènent dans la direction où nous souhaitons aller, même si cela nous paraît parfois assez inconfortable.
Quelqu’un me parlait hier d’avoir peur de faire un mauvais choix. Chacun de nos choix crée plus de conscience, aucun choix n’est ni bon ni mauvais. Pourquoi avoir peur de choisir quelque chose de différent ?
J’ai choisi de vendre ma maison que j’adorais, et dans laquelle je vivais depuis trente ans pour venir ici dans un village inconnu, une maison où tout était à faire. Autour de moi c’était l’incompréhension, personne ne voulait comprendre que c’était mon choix. Tout le monde me disait inconsciente, irréfléchie, voire irresponsable. Cela était de la folie pure et simple. Mais ça, c’était leur point de vue.
Personnellement je voyais cela comme de la conscience au contraire. Pourquoi vouloir déménager ? Ma maison me paraissait trop grande, le jardin trop compliqué d’entretien. L’idée m’a un jour parcouru l’esprit et je sais qu’aucune envie ne vient par hasard, si elle est là, c’est que sa réalisation est possible sinon on n’y penserait même pas. Mon ancienne maison était simplement le résultat que mes choix passés avaient créés.
Si l’envie d’autre chose est apparue dans ma vie, ça impliquait d’abandonner beaucoup (me défaire de nombreuses choses par manque de place dans la nouvelle maison), de perdre beaucoup (des habitudes de vie, une maison magnifique, un jardin splendide, des voisins sympas), mais c’était aussi le choix de me permettre de recevoir autre chose, même si je n’avais pas la moindre idée de ce que cela pouvait être, c’était forcément la vie joyeuse que je désirais.
Ca a été des rencontres intéressantes, des défis à surmonter, une nouvelle manière de vivre, une santé bien meilleure, et quoi d’autre encore est possible ?
Je choisis de ne pas juger mes choix passés, je n’avais pas encore la conscience que j’ai aujourd’hui.
C’est maintenant que j’ai le choix de changer mes possibilités futures. Et dans les choix que je ferai dans 10 secondes, et encore 10 secondes plus tard, et encore …
Et, si pour approfondir l’expérience du Recevoir, je poursuivais avec un échange de Bars avec une praticienne de la région ? Ces 32 points sur la tête qui, touchés très délicatement, délestent des milliers de mémoires, de croyances et de positionnements passés, qui agissent comme autant de barrières entre nous et la vie miraculeuse que nous pouvons vivre. Se relaxer, recevoir et devenir cet espace infini de joie et de créativité.
Y a-t-il une praticienne proche de mon nouveau domicile ? Faites moi signe ! Et on planifie cela chez moi, ou chez vous.
Merveilleuse journée à vous
Mabelle
Surmonter rapidement une crise d’angoisse

L’angoisse, qui surgit très souvent de manière inattendue se caractérise par une peur intense et incontrôlée, et empêche généralement de profiter pleinement de la vie.
Il s’agit d’un trouble émotionnel qui se manifeste par un sentiment d’insécurité, une inquiétude injustifiée et excessive face aux événements de la vie.
La crise d’angoisse se caractérise par des symptômes physiques variés, tels qu’un malaise général plus ou moins intense accompagné de palpitations, tremblements, douleurs thoraciques, une boule dans la gorge qui gêne la respiration, …
Appliquer quelques règles d’hygiène de vie peut parfois bien aider à diminuer fortement les troubles anxieux.
– Un régime alimentaire équilibré riche en magnésium, en éliminant ou tout au moins en réduisant les excitants tels que café, tabac ou alcool devrait être pris en considération.
– Un sommeil de qualité est important : respectez les phases de repos, couchez vous tôt et dormez suffisamment.
– Pratiquez une activité physique régulière, même une simple marche d’une demi heure peut déjà être bénéfique.
– Diverses techniques s’avèrent être réellement très intéressants pour surmonter les crises d’angoisse de diverses manières, comme le yoga, la sophrologie, la méditation, l’EFT, …
Tout le monde n’est pas réceptif à tous ces outils. Le plus judicieux est de les tester et de voir quelle est la méthode la plus approprié pour vous.
Comment se calmer rapidement lorsque la crise d’angoisse s’annonce ?
– Inspirez lentement et profondément par la bouche.
– Retenez tout l’air de cette inspiration en crispant tous les muscles du corps (pieds, jambes, cuisses, abdominaux, dos, bras, mains, cou, visage) durant 5 à 10 secondes.
– Après avoir tendu tout votre corps des pieds à la tête, expirez lentement, toujours par la bouche, en décontractant chaque muscle de votre corps, et en éliminant mentalement tout ce qui vous dérange et vous angoisse
– Répétez ce processus plusieurs fois, jusqu’à retrouver votre calme.
Utilisez cette technique à chaque fois que vous en éprouvez le besoin, mais aussi simplement pour vous détendre à n’importe quel moment de la journée, quand l’envie vous en prend.
Je vous rappelle aussi que les points EFT en cas de stress sont les points clavicule, à tapoter sans modération.
Ne laissez pas le stress vous gâcher la vie.
Mabelle
Citation de la semaine

Cet air de printemps
Sentez vous cet air de printemps qui ravive vos sens ?

Au moment où j’écris ces mots, un rayon de soleil caresse ma vitre, j’entends des oiseaux pépier en s’affairant, c’est la première fois que cela arrive depuis que je vis ici, cela me manquait énormément. Dans le jardin de mon ancienne maison j’avais planté beaucoup d’arbres et arbustes qui étaient un refuge pour les oiseaux en hiver, et dans lesquels ils faisaient leur nid au printemps. J’avais donc toujours des dizaines d’oiseaux : mésanges, rouge gorges, pies, tourterelles, pigeons, merles noirs, moineaux, et tant d’autres dont j’ignore le nom qui chantaient à tue tête parfois, tout doucement à d’autres moments. J’avais aussi régulièrement la visite de hérons attirés par mon étang, et trois magnifiques pic verts avaient élu domicile dans mon vieux saule au point d’en détruire la moitié du tronc. Il était impossible de jeter le regard deux minutes dehors sans apercevoir l’un ou l’autre de ces habitants, il y avait toujours du mouvement.
Ici, vu les circonstances dans lesquelles nous avons déménagé, nous avons agi dans l’urgence, aménagé prioritairement l’intérieur afin de le rendre habitable. Et déjà l’automne était là, laissant le jardin dans un piteux état : mauvaises herbes d’un terrain qui avait été une prairie à vaches, vaches que le fermier avait un peu trop rapidement retirées vu que la maison était vendue (alors que s’il m’en avait parlé je lui aurait demandé de les laisser encore manger l’herbe jusqu’à l’hiver) et du coup l’herbe a rapidement poussé. Une grosse pluie avait couché les hautes herbes qu’il n’était plus possible de faucher. Les tas de terre restants des terrassements pour la construction n’enjolivaient pas le paysage.
Le travail était trop colossal pour être réalisé en quelques heures et le mauvais temps n’a plus permis de s’en occuper avant maintenant.
Le manque de végétation, de refuge, faisait que les oiseaux n’avaient rien à faire chez moi. Puis, le jardinier est arrivé hier, a commencé à dégager des terres, à creuser, à aplanir. Est-ce cette terre fraîche ou simplement le printemps qui approche enfin qui fait que quelques oiseaux trouvent mon jardin intéressant ?
En tous cas, qu’ils se rassurent, je vais poursuivre l’aménagement extérieur, faire quelques plantations, prévoir un point d’eau pour qu’ils puissent s’y baigner. Ils s’y sentiront chez eux et je pourrai encore entendre leurs chants mélodieux.
Ce matin, en faisant mon jogging j’ai découvert dans la campagne alentour des bourgeons en train d’éclore. Cela m’a mise en joie, j’adore cette saison où tout revit.
Cette période s’accompagne de multiples changements dans la nature, mais aussi chez nous les êtres humains.
Peut-être est ce l’occasion de revenir à l’essentiel, de faire la place pour du neuf, ça n’est pas pour rien si nos ancêtres faisaient le grand nettoyage de printemps.
Avez vous besoin d’aide ?
Les séances Bars que je propose permettent de se reconnecter à ce qui est vrai pour chacun d’entre nous, à l’être qui ne demande qu’à rire, prendre du plaisir, et alléger sa vie.
C’est tellement bon de voir ce changement opérer, de passer de la lourdeur à la joie, de voir des douleurs qui s’effacent et les sourires qui reviennent, comme par magie. C’est là où je me dis que j’ai tellement de chance de faire ce que je fais.
Prenez soin de vous
Mabelle
Citation de la semaine

Ma réconciliation avec le Dien Chan

Il y a quelques années j’avais été tentée par une formation de Dien Chan, qui m’avait fortement déçue. Mais me voici réconciliée avec la technique.
D’où provenait cette déception ?
Lorsque j’étais allée en formation Dien Chan, les élèves ont pris ensemble le repas de midi. Nous étions allés au restaurant avec le formateur. J’avais mangé en dehors de mes habitudes alimentaires. Difficile de faire autrement car il n’y avait rien à la carte, et je ne voulais pas faire ma difficile alors que tout le monde semblait se satisfaire des choix possibles.
Bien évidemment, comme souvent lorsque je mange certaines choses que mon corps n’apprécie pas, j’ai recommencé l’après-midi avec une belle migraine. Très ennuyeux lorsqu’on veut rester concentré sur la formation mais que la tête ne demande plus qu’à se reposer dans le silence et le noir. Le formateur, a saisi l’occasion pour faire une démonstration de ses techniques sur ma douleur. Pourquoi refuser ? J’allais être débarrassée de la douleur et poursuivre la journée sereine. Et comment refuser ? Le formateur me proposait gentiment de me démontrer l’efficacité de la technique que j’étais venue apprendre.
J’ai donc servi de cobaye et je m’en souviens encore comme si c’était hier. Il a pris ses outils de torture. Oui, je ne vois pas comment nommer cela autrement, car cela a été une réelle torture que j’ai vécu sous ses mains. Il a commencé à m’enfoncer son détecteur un peu partout sur le visage. Cela était absolument atroce, j’avais horriblement mal. J’en pleurais. Si bien que je lui ai demandé d’arrêter car je n’en pouvais plus. Et, je pense qu’il n’a pas apprécié que je l’empêche de poursuivre sa démonstration. Mais c’était plus que je pouvais supporter. En plus de la migraine qui a amplifié de minute en minute, j’avais le visage agressé et endolori.
Une amie a du me ramener à la maison (encore merci Marie-Christine) sans que je puisse terminer cette formation.
J’avais gardé de cette technique une bien mauvaise expérience, la voyant comme extrêmement douloureuse et pas du tout efficace. Aussi je n’ai jamais tenté de l’utiliser pour quoi que ce soit d’autre. Parce que, non, je ne suis pas masochiste.
Puis, il y a quelques mois j’ai lu un article sur le traitement des cicatrices par le Dien Chan. Cela m’interpellait. Comment traiter une cicatrice qui est souvent douloureuse avec ces outils de barbare ? J’ai pris des informations et j’ai appris que le Dien Chan, à la base, est une technique douce, et qu’on n’utilise les points que si le reste ne fonctionne pas. Le reste ? Ah bon, quel reste ? Dans la formation que j’avais suivi, il n’était question de rien d’autre que de pousser très fortement avec des outils pointus sur des points douloureux.
J’ai donc voulu en savoir plus afin de ne pas rester sur cette vision très négative de la technique. Une formation m’a été proposée. Si j’étais assez réticente, ma curiosité l’a emporté. J’ai donc fait à nouveau une formation de Dien Chan. J’ai été bluffée par les résultats que j’ai pu constater sur d’autres élèves, mais également sur moi. Parce que, une fois encore j’ai mangé en dehors de mes habitudes alimentaires et ai débuté une migraine. Celle-ci a été traitée tout en douceur en quelques minutes. Merci le Dien Chan, maintenant nous sommes amis.
Mais avec qui suis je amie en fait ? Peut-être ne connaissez vous pas le Dien Chan.
Dien signifie visage et Chan diagnostiquer.
Il s’agit d’une technique de diagnostic et de stimulation faciale découverte au Vietnam par le Pr Bùi Quoc Châu dans les années 1980.

Durant la guerre du Vietnam, de nombreux jeunes se sont drogués pour supporter les horreurs psychologiques et physiques de la guerre. Une fois la guerre terminée, des centres de détoxications ont du être créés pour aider ces jeunes en grande souffrance.
Le Pr Châu travaillait en tant qu’acupuncteur dans le Centre de Guérison des Toxicomanes de Bình Triệu près de HoChiMinh, dans des conditions assez difficiles (manque de matériel, milliers de pensionnaires, …).
Inspiré par la travaux du Dr Pierre Nogier sur la réflexothérapie de l’oreille et les points réflexes, le Pr Châu, a pris conscience des relations évidentes qui existent entre certaines zones du visage et différentes parties du corps (organes et membres). En stimulant ces zones, il a constaté le soulagement quasi immédiat de certains symptômes au niveau du corps.
Confronté au manque cruel d’aiguilles pour pratiquer l’acupuncture, il a stimulé ces points avec les doigts, puis à l’aide de petits instruments.
Ces points, ainsi stimulés, provoquent le déblocage de l’énergie vitale, la libération et le soulagement quasi instantané des gênes et douleurs.
Le Dien Chan contribue donc au rétablissement d’un déséquilibre suivant les principes de la médecine chinoise et l’acupuncture, sans manipulations agressives, sans aiguilles, et sans produits toxiques.
Le Dien Chan trouve ainsi un large champ d’application dans le soulagement de problèmes d’origine vasculaire, neurologique, inflammatoire, circulatoire.
La peau de notre visage est une source importante d’information sur l’état de notre santé. La tonicité de la peau, sa texture sont toujours des points de référence de l’état de santé de notre corps.
Tous les troubles du corps finissent par se manifester sur notre visage à travers l’apparition de signes inesthétiques.
Les grains de beauté, les rides, les fossettes, les cicatrices et les taches nous parlent de possibles troubles qui sont indicateurs de nos faiblesses passées et présentes. Les endroits où apparaissent ces signes ne sont pas dû au hasard et le Dien Chan permet d’établir un diagnostique en appliquant les schémas réflexologiques sur le visage.
Le Dien Chan permet ainsi d’atteindre l’origines des troubles, en stimulant notre processus naturel d’auto-régulation afin de rééquilibrer notre corps de façon naturelle.
Attention, pensez toujours à consulter un médecin en cas de troubles, le Dien Chan ne peut pas être considéré comme le remède miracle, mais utilisé en complément d’un avis et/ou traitement médical.
Prenez soin de vous
Mabelle
Vous souhaitez en savoir plus ? Le livre du Pr Châu est très complet sur le sujet
