Quand nous avons pris pour habitude depuis notre enfance de compter sur nos chères et tendres institutions, nos chers et tendres politiciens, nos chères et tendres banques, notre cher et bon gouvernement et notre cher et bon système pour nous protéger, nous assister et globalement prendre des décisions à notre place, forcément arrive un moment où la corde s’étire et finit par se briser.
On se réveille alors et on réalise que nous étions plongés dans une illusion qui nous avait poussés à léguer notre pouvoir, notre vie et notre état d’être à des individus qui ne sont en rien habilités et motivés à faire des choix qui vont dans le sens de notre liberté d’être et de notre épanouissement.
La souveraineté, c’est se rappeler que c’est inacceptable de placer toute institution et toute personne sur un piédestal au point de lui laisser prendre le pouvoir de notre vie.
La souveraineté, c’est réaliser que nous avons TOUT en nous, que nous sommes maîtres de nos choix, maîtres de notre vie et que rien ni personne ne peut affecter l’intégrité de la personne que nous sommes.
La souveraineté, c’est réaliser qu’il est inacceptable qu’un groupe d’individus puissent ne serait-ce tenter d’entacher cette vérité fondamentale que nous sommes bien plus que ce que nous imaginons.
La souveraineté, c’est décider de mettre fin à ce carnage qui a été fait à l’égard des humains et qui n’avait pour seul objectif de le rendre esclave de lui-même, du système dans lequel il naît et des modes de pensées et croyances qu’il a absorbés depuis sa naissance et qui l’ont empoissonné lui et bon nombre de personnes.
La souveraineté passe par un éveil et surtout un réveil, celui qui naît de la prise de conscience que nous sommes bien plus que ce que l’on imagine et bien plus que ce qu’on nous a fait croire depuis des années, des décennies voire des siècles…
Et il est temps que l’humanité s’active pour enfin assumer qui elle est pour mettre fin à cette dictature et cet esclavage latent et sournois.
Je vous partage ce matin un texte de Laurence Simonnet, en espérant qu’il vous parlera autant qu’à moi.
Prenez soin de vous.
Mabelle
J’ai été trop souvent enfermée et limitée !
Tout d’abord, dans mon corps. Depuis enfant, je me souviens d’être en conscience que je suis plus que ce corps, plus que mon âge et que j’ai accès à d’autres réalités que celle que me proposaient mes parents, ma famille, l’école.
Ensuite, dans la fille que j’étais et qui a subi des moqueries sur sa sensibilité extrême, de son côté fleur de peau, fleur bleue. J’ai cru que je rencontrais une difficulté et non eux. Ils ressemblaient à toutes les autres personnes.
À l’adolescence, quel enfermement ! Ce corps qui s’est transformé, qu’il me faut assumer, montrer, subir les mains baladeuses, hasardeuses, les remarques désobligeantes, les dragues, les blagues à deux sous, les invitations intéressées… Et, pourtant, j’étais en conscience de tout ce qui se déroulait : l’enjeu !
Puis vint la jeune femme si naïve avec juste l’envie de vivre cet Amour qu’elle contactait dans son cœur, qui coulait en elle de la Source. Naïve, je n’imaginais même pas que la prison de l’adolescence que je quittais avec joie, allait m’enfermer dans une prison dorée.
Et, me voilà, mère de deux filles… 1ᵉʳ déclic.
Une nouvelle porte s’ouvre dans ma conscience. Je demande à les accompagner dans ce que je ressens au fond de mon Cœur, de mon âme. Je re-découvre tout ce qu’enfant, je voyais, je vivais, aspirais, étais. Tout était là, inscrit en mon cœur. Tout m’est revenu, tout s’assembla : le puzzle du Grand Plan. J’avais retrouvé mes ailes.
J’ai élevé mes filles avec d’autres réalités tout en conservant bien les pieds sur Terre. Les laissant explorer les Mondes que je connaissais et dont personne n’avait pu m’accompagner, me guider enfant. Je les initiais, je me guérissais. Enfin !
Je me sentais alors de plus en plus vivante, vivifiée malgré cette prison dorée.
Alors, j’ai commencé à rêver de liberté, d’espaces, de découvertes, d’envies, de beauté, de besoins.
2ᵉ déclic : je peux me libérer moi-même et divorcer.
Démarches, logement, écoles… Tout était d’une justesse, guidée, accompagnée, j’avais déployé mes ailes.
J’ai semé des graines d’amour et d’éveil dans les cœurs des personnes se présentant à moi tant en formation qu’en consultations. J’ai enseigné, transmis depuis plus de 26 ans.
J’ai continué à distribuer mes semences d’Amour et d’éveil à chaque instant parfaitement aligné à ce que je suis.
Divorcée, j’ai pris conscience, à nouveau, de mon enfermement. Je donnais mes stages chez moi, je consultais chez moi, je recevais chez moi… Bref, je ne sortais jamais et je travaillais toujours.
3ᵉ déclic : je peux sortir de ma zone de confort. Oui, mais…
Mon corps, je l’avais totalement oublié, dénigré, laissé pour compte. Il avait des kg en trop, il faisait du « sur place », il était coincé. J’ai oublié que j’étais une femme avec ses envies, ses désirs, ses plaisirs…
4ᵉ déclic : je suis un TOUT, et je peux emporter mon corps dans mon aventure. Changements d’alimentation, reprise de la marche quotidienne. Je me suis mise à l’aimer, mon corps qui deviendra mon meilleur ami qui ne ment jamais. Il retranscrit la vérité de l’instant et sans détour.
Je ressentais tout grâce à lui, mais je n’avais pas compris son utilité dans mon développement personnel de femme.
5ᵉ déclic : je me suis enfermée toute seule.
Par peurs, par différence, par confusion, je me suis protégée.
Aujourd’hui, les murs sont devenus des grillages, et les grillages sont devenus des tremplins sur lesquels je prends mon envol vers la liberté.
Je suis la seule à pouvoir me libérer, à m’affranchir de mes prisons physiques, émotionnelles, mentales et même spirituelles.
Je me choisis et je reste en conscience de tous les choix que je prends afin de rester libre.
Aujourd’hui encore, je reste dans l’optique de me libérer davantage, de sortir des chemins battus, de m’autoriser encore davantage à être plus libre, plus moi : à transgresser certaines règles figées et fixées.
6ᵉ déclic : je peux tout et en tout temps de l’instant où je reste en accord avec ce qui vibre en moi et dans le respect.
Je me libère !
Je me libère de tout jugement ou croyance imposé par les autres. Je me libère de mes chaînes invisibles.
Accorde-toi aussi le droit d’être qui tu es et d’oser enfin rayonner !
Pour la plupart d’entre nous, nous passons notre vie à apprendre à lire, à compter, à apprendre des concepts, des idées,des matières académiques, une profession.
Nous apprenons surtout à nous comporter et à agir selon les standards et les règles de la société à laquelle nous appartenons, de la famille dont nous sommes issus et du milieu dans lequel nous évoluons. Nous apprenons à être un bon enfant,un bon élève, un bon parent, un bon employé,un bon patron, un bon conjoint, un bon ami…. Nous apprenons tout cela et bien plus…mais nous n’apprenons pas à être nous-mêmes.
Et nous nous réveillons à 40, 50, 60, 70 anspour réaliser que toute notre vie, nous avons appris pour répondre aux attentes des autres et de la société, mais nous avons oublié d’apprendre à rester nous-mêmes.
Nous avons enfilé comme des vêtements superposés tous ces rôles que l’on nous demandait de jouer au fil des années, tous ces attributs que nous avons jugés importants d’additionner à notre bagage de masques et de déguisementsdéjà bien trop lourd. Nous cherchons même parfois, inconsciemmentou mûs par un faux besoin de sécurité, à préservertous ces apprentissages tellement nous nous sommes identifiés à eux. Nous voulons rester dans ces rôles professionnels et personnels auxquels nous nous sommes assujettis toute notre vie alors que nous avons oublié de mettre la Vie, notre vie, au premier plan.Mais cette époque semble en voie d’être révolue.
Bien des humains, de plus en plus conscients,cherchent à se débarrasser de tout ce qui ne leur appartient pas. Nous cherchons de plus en plus à voyager léger, à nous délester de ces rôles qui nous ont fait oublier de vivre pleinement et de savourer chaque instant, trop occupés que nous étions à jouer le rôle de celui ou celle que nous ne sommes pas. Nous avons soif d’être vrais, d’être authentiques, d’êtres nous-mêmes, de nous affirmer, de « nous dire » comme le dit si bien Jacques Salomé.
Nous voulons désapprendre ces conditionnements qui nous étouffent et qui nous éloignent de notre propre lumière intérieure. Nous cherchons à éviter d’ajouter quelque bagage inutile que ce soit car nous avons bien souvent porté tellement de valises trop lourdes que nous nous y sommes épuisés à tenter de répondreà tout et à tous, en oubliant de nous demander ce que nous voulions vraiment, nous.
Faire le ménage dans sa vie, c’est faire de la placepour du plus beau, c’est sortir les cailloux pourque les plumes puissent s’y inviter, c’est revenir à soi et devenir sa propre référence plutôt que d’aller chercher nos validations à l’extérieur.
Alors désapprenons les conditionnements qui ne nous servent plus, qui nous étouffent, qui nous ralentissent, qui nous alourdissent. Laissons tomber la lourdeur et l’entêtementet faisons confiance à la Vie, à nous, à ce qui vibre en nous. Revenons à nous, soyons à l’écoute de la Vie, laissons-nous et laissons-la nous guider vers ce qui nourrit vraiment notre âme, vers ce qui nous rend heureux, vers ce qui nous élève.
Pour pouvoir s’élever, il faut devenir plus léger… en étant simplement et totalement soi.
Le corps humain est composé d’environ 65% d’eau. Une partie de l’eau présente dans notre corps compose le sang et irrigue nos organes, c’est l’eau dite circulante. Le reste entre dans la composition des organes. Le cerveau, par exemple, est fait à 85% d’eau ! C’est dire son importance
Toutefois, savez-vous ce que ça implique ?
Si nous sommes composés à majorité d’eau, alors l’hydratation est un enjeu majeur de notre santé.
Nous pouvons vivre des semaines sans manger, mais seulement quelques jours sans boire.
L’eau est notre fluide de vie.
Que faut-il en tirer ?
Portez plus d’attention à l’eau que vous consommez.
Buvez votre eau avec conscience.
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Ce grand-père raconte à son petit-fils que rien n’est plus beau qu’un arbre :
– Regarde, regarde les arbres comme ils travaillent.
– Qu’est-ce qu’ils font, grand-père ?
– Ils rattachent la terre au ciel. Et cela, c’est très difficile. Vois-tu, le ciel est si léger qu’il est toujours sur le point de prendre la fuite. S’il n’y avait pas d’arbres, il nous dirait adieu, le ciel. Alors il ne nous resterait plus qu’à mourir. Mais heureusement, il y a les arbres… Regarde ce tronc rugueux, tu vois. C’est comme une grosse corde. Il y a même des nœuds dedans. Mais à chaque bout, les fils de la corde se desserrent et s’élargissent pour s’accrocher au ciel et à la terre. On les appelle des branches en haut et des racines en bas. Mais c’est la même chose. Les racines cherchent leur Chemin dans le sol de la même manière que les branches cherchent leur Chemin dans le ciel.
– Mais, grand-père, c’est plus difficile d’entrer dans le sol que dans le ciel !
– Hé non, mon fils. Si c’était vrai, les branches seraient droites. Et vois comme elles sont tordues sur le vieux pommier ! Elles doivent aussi chercher leur Chemin. Elles poussent. Elles changent de direction. Elles ont parfois bien plus de mal que les racines.
– Et qu’est-ce qui leur donne tout ce mal, grand-père ?
– C’est le vent. Le vent voudrait séparer le ciel et la terre. Les arbres tiennent bon. Mais c’est une sacrée bataille…
L’Arbre de Vie symbolise la force de la vie. En plongeant ses racines dans la terre et en faisant croître son feuillage vers le ciel, il unit les mondes matériel et spirituel, assurant l’équilibre de la vie.
Contrairement à l’idée reçue selon laquelle il faut surélever ses pieds la nuit pour faciliter la circulation, Andrew Fletcher explique, depuis plus de 20 ans, qu’il faut au contraire dormir sur un lit incliné de 5°, la tête haute !
Andrew K. Fletcher est un ingénieur anglais, pas un médecin, mais doté d’une grande capacité d’observation et de réflexion. Précisément, c’est en analysant le principe de circulation de la sève dans les arbres que, par analogie, il se demanda si le fait de dormir horizontalement – et pire, en surélevant les pieds – est véritablement une bonne option pour la santé. Il a passé les vingt dernières années de sa vie à expérimenter le lit incliné.
Peu de gens sont au départ enclin à admettre cette remise en cause d’une coutume millénaire paraissant totalement physiologique et évidente pour tous. Et pourtant, le fait qu’il ait obtenu des résorptions de varices en quatre semaines était la preuve évidente de l’opportunité de sa méthode, même si elle désavoue la littérature sur la physiologie médicale.
Le mécanisme circulatoire de la sève des arbres
La sève montante – par capillarité – qui est captée par les racines est en fait composée de 98% d’eau chargée de nutriments. Quand elle arrive au niveau des feuilles, une évaporation importante s’effectue (on connaît la fraîcheur qu’apportent les arbres et le principe de formation des nuages au-dessus des forêts).
Le flux de sève descendante, est formé, conséquemment à cette évaporation, la sève se concentre et devient plus dense, donc plus lourde, ce qui la fait redescendre sous l’effet de la pesanteur, nourrissant tout ce qui peut l’être (fruits, branches, tronc, racines).
La sève ascendante (sève brute) monte le long de canalicules qui sont des cellules mortes, comme des pailles … et ce qui l’aspire vers le haut, c’est le phénomène de transpiration foliaire : De par le rayonnement solaire, l’eau des feuilles passe à l’état gazeux, ce qui crée une différence de « potentiel hydrique » entre le sol et les feuilles : La plante perd son eau dans l’atmosphère, et c’est ainsi qu’une forêt d’un hectare évapore pour 3.000 tonnes d’eau par an … Autre phénomène induit : La plante se refroidit, ce qui lui permet de supporter sans surchauffe l’intensité du rayonnement solaire subi du fait de son immobilité.
Cette montée de sève se produit via un circuit ligneux modifié pour « céder le passage », le xylème, situé au centre de la tige ou du tronc.
La sève élaborée, elle, circule en retour dans un tissu vivant périphérique, juste sous l’écorce, c’est le phloème : Un arbre est un fin manchon de tissus vivants reposant sur une base de tissus morts.
Voilà ce qu’a compris Andrew Fletcher : chez les plantes, la station verticale est favorable au mouvement des fluides. Aussi, qu’en est-il pour nous, qui sommes dressés le jour et allongés la nuit ?
Le mécanisme circulation humain rapporté aux végétaux
Pour Fletcher, la relation est évidente : Comme pour les plantes, notre respiration avec perte d’eau se situe « en haut » du corps, au niveau thoracique, et elle crée un appel naturel des fluides pour l’ensemble du corps.
Les apports hydriques, eux, proviennent de l’intestin, donc l’équivalent des racines (tiens, c’est pas bête, cette comparaison, et les deux fonctionnent grâce à l’action des bactéries saprophytes…)
A l’inverse, le sang au sortir des poumons est plus concentré (comme la sève élaborée) et va redescendre par gravité dans l’ensemble des tissus.
Translaté au système sanguin, Andrew Fletcher explique : « D’une manière générale, la circulation de tous les fluides organiques a commencé bien avant le développement du cœur, et cette circulation primaire a persisté ; elle soutient le cœur à condition que l’on prenne en compte la direction qu’induit la pesanteur. Le principe repose sur le fait que le sang qui entre dans les capillaires pulmonaires transporte l’eau et le gaz carbonique que nous allons exhaler à chaque respiration. En sortant des poumons, le sang est donc devenu plus dense. Il va ensuite passer par le cœur qui va le réinjecter dans l’aorte, ajoutant au sang une densité qui va créer un écoulement pulsatile vers le bas, en particulier vers les reins. Ce sang partant des reins, et qui entre dans les veines, est toujours moins dense que le sang artériel en amont des reins. »
Le lit incliné : les pharaons connaissaient déjà !
Lit de la reine Hétep-Hérès 1ère
Clin d’œil du destin, Fletcher, lors d’une visite du musée des beaux arts de Boston, fut interpellé par le lit de la reine Hétep-Hérès 1ère, mère du pharaon Khéops, dont l’original est au musée égyptien du Caire. Personne semble-t-il ne s’est jamais posé de question sur la raison précise pour laquelle ce lit a les pieds de la tête de lit 15 cm plus haut que ceux du pied de lit. Les Égyptiens de l’époque disposaient-ils donc d’un secret de santé concernant la circulation sanguine… oublié depuis ?
Ceci semblait confirmer les résultats des expérimentations de Fletcher qui conclut que 15 centimètres étaient bien la hauteur idéale qu’il avait définie pour la surélévation de la tête de lit, ce qui entraîne exactement un angle de 5 degrés d’inclinaison. (Ne pas tenir compte du curieux appui-tête qui devait être réglé en rapport avec l’épaisseur du matelas.)
Une civilisation d’intoxiqués
Déduction logique de Fletcher : Notre position allongée à l’horizontale dans le lit ne correspond pas aux vrais besoins physiologiques, elle peut même expliquer certaines pathologies.
Il est d’ailleurs conforté dans cette démarche par des recherches historiques : Oui, les Egyptiens, ou tout au moins l’élite de ce peuple, utilisaient des lits inclinés avec une barre d’appui pour les pieds. Oui, on peut retrouver des illustrations datant du moyen-âge, de malades qu’on laisse reposer sur des couches inclinées.
Il est évident que l’intoxication organique chez les humains comme chez les animaux agit sur le caractère, et par voie de conséquence sur l’ambiance relationnelle générale, aussi bien dans l’intimité familiale que dans le milieu social ou professionnel. On entend tellement de personnes se plaindre qu’elles sont fatiguées, stressées, surmenées… En fait, ces gens sont des sacs ambulants de toxines et de poisons chimiques qui n’ont pas pu être éliminés correctement pendant le sommeil – cela les rend soit déprimés, soit agressifs, soit cyclothymiques. La vie est tellement plus agréable et constructive au milieu de gens détendus et harmonieux…
Et Fletcher de confectionner un lit incliné, de s’y coucher chaque nuit avec différents angles d’inclinaison, et de ressentir en lui impressions et soulagements…
La solution est impertinemment simple : Soulever la tête des lits de 15 cm ! Mais il y a plus que le bien-être harmonieux, il y a de multiples tracas de santé allant des plus bénins aux plus lourds qui sont améliorés. Tous les grands médecins de l’histoire sont d’accord sur le fait que le nettoyage organique est le dénominateur commun préalable nécessaire à toute vraie guérison. Il existe de multiples méthodes pour cela, mais elles coûtent toutes du temps, du travail ou de l’argent. Rien de tout cela cette fois, les petits et grands miracles se font en dormant !
Il remarque d’entrée le défaut majeur du procédé : avec une pente même minime, le corps a tendance à glisser vers le bas du lit, les pieds en avant : il faut donc installer une tablette sur laquelle les pieds vont pouvoir s’appuyer : on retrouve ici le modèle égyptien. Et la ressemblance d’ailleurs va plus loin, car Fletcher estime que la pente idéale est de 5° (soit un relevé de 15 cm pour le haut du lit), c’est précisément le chiffre constaté sur les lits égyptiens des musées. C’est la pente où les effets physiologiques sont tangibles, alors que la gêne due au glissement est tolérable.
Comment la digestion est-elle affectée par la thérapie du lit incliné (TLI) ?
L’ensemble de notre tube digestif est composé d’un seul tube allant de notre bouche à l’anus. Notez que le gros intestin ressemble à un siphon, l’anus étant plus bas par rapport à la gravité lorsque nous sommes debout et que l’intestin grêle fournit une pression positive à partir du contenu de l’estomac qui coule vers le bas.
Pensez à cela pendant un moment. Nos intestins sont constitués d’un seul tube qui est compacté et disposé à l’intérieur de notre abdomen. Lorsque nous dormons à plat, nous annulons « presque » l’influence de la gravité et la façon dont elle agit sur nos repas et nos boissons lors de son voyage à travers notre corps, bien que lorsque nous tournons dans un lit plat, nous utilisons la gravité, ce qui sans aucun doute aide à déplacer la nourriture, quoique plus lentement.
Lorsque nous sommes inclinés au lit, quelle que soit la position dans laquelle nous dormons, la gravité agit positivement sur le système digestif en aidant à déplacer les aliments plus rapidement, ce qui aide à prévenir la constipation et la diarrhée et à éviter que les scybales (masses de matières fécales durcies) ne provoquent une blocage dans le côlon.
Garder les aliments en mouvement est important et plus facile à réaliser avec l’activité, car nous changeons de posture. Cela aide sans aucun doute notre nourriture à naviguer dans les méandres des intestins et des intestins. Lorsque nous sommes dans un lit incliné, les selles ont tendance à se produire peu après le lever le matin et à devenir plus régulières. C’est une excellente nouvelle pour la muqueuse du tube digestif, car elle aide à prévenir la stagnation et la surcharge de nos intestins par des bactéries et des aliments en décomposition et mal digérés
Des résultats remarquables cliniquement testés
Allergies, asthme
Apnée du sommeil, étourdissements matinaux, problèmes respiratoires, ronflements
Séquelles d’AVC
Diarrhée
Déficit de l’attention (TDAH)
Dorsalgies, douleurs articulaires matinales
Glaucome
Immunité améliorée
Œdèmes et problèmes circulatoires (varices, ulcères…)
Mictions nocturnes fréquentes
Migraine
Moelle épinière : Atteinte ou blessée
Mort subite du nourrisson (hors vaccins)
Parkinson
Peau : Affections diverses
Pieds et mains glacés
Poche sous les yeux
Rétention d’eau
Sclérose en plaques
Sinus congestionnés
Troubles du sommeil
Mais il y a probablement encore d’autres bienfaits à découvrir.
Précisions particulières
Dans le cas d’œdème des jambes, celui-ci est dû au fait que la pression dans les veines est plus grande que dans le tissu environnant, si bien que les fluides qui s’écoulent hors des veines provoquent le gonflement. La méthode du lit incliné repousse les varices à l’intérieur en exerçant une tension sur le sang des veines, ce qui incite les fluides à retourner des tissus environnants vers le système circulatoire.
On serait porté à croire que les patients hospitalisés qui dorment inclinés en raison de leurs problèmes de santé bénéficient d’une approche de la méthode. Ceci n’est pas le cas du point de vue circulatoire, car l’alignement de l’ensemble du corps est essentiel. Par ailleurs, cette position semi-assise malmène les hanches et le dos, particulièrement lorsque l’on souhaite dormir sur le côté. Autre cause de problèmes : La position semi-assise entraîne des lésions cutanées sur des points de compression permanents des fesses.
On sait aussi que les malades alités au long cours ont tendance à se décalcifier, sachant que le métabolisme de calcification passe par un phénomène piézoélectrique amorcé par une compression des os longs ; encore une bonne raison pour installer les grabataires sur un lit incliné.
NOTA : Fletcher signale quelques petits problèmes possibles d’adaptation au début de l’adoption de la position allongée-inclinée, tels que des raideurs de la nuque ou certaines tensions musculaires. Il signale également l’importance de boire plus souvent afin d’éviter la déshydratation due à une augmentation de perte d’eau par les poumons et la vessie – l’urine est plus chargée et davantage de déchets sont éliminés par le sang.
Concrètement, comment obtenir un lit incliné efficace ?
Il faut noter qu’en raison de l’inclinaison, il est nécessaire de retenir d’une part le matelas, d’autre part les pieds du dormeur ; ceci nécessite donc un lit doté d’un panneau au pied.
Le réglage de la hauteur de la tête de lit pourra s’effectuer soit avec deux gros rondins de bois coupés à 15 cm, soit avec deux parpaings de 15 cm couchés que l’on aura rempli de plâtre ou de ciment pour consolidation, soit avec les vieux bottins en veillant bien à ce que cela fasse 15 cm d’épaisseur.
Si votre lit est équipé d’un cadre à lattes en guise de sommier, il est possible de soulever seulement la tête du cadre – à chacun de trouver le bricolage le mieux adapté.
Si votre literie est simplement composée d’un sommier sur pieds sous le matelas, il va falloir fixer solidement un panneau vertical en bois sur le sommier afin de retenir votre matelas et vos pieds.
Cette thérapie est gratuite, ne vous étonnez pas qu’on n’en parle pas !
Il est possible que pendant les premiers temps cette nouvelle position pour dormir (tête plus haute que les pieds), peut être difficile, mais il faut persister, peut être en augmentant progressivement l’angle du lit (8, 10, 12, 15 cm…) C’est à chacun de j’ajuster afin de pouvoir bénéficier des effets bénéfiques de cette thérapie, sans trop de difficultés.
Vu que cette technique gratuite ne rapporte rien à personne, il ne faut pas s’étonner que Fletcher, dans ses démarches multiples depuis vingt ans pour faire connaître sa découverte, ait été la plupart du temps sèchement éconduit par les professionnels médicaux, et même par des organisations caritatives.
Il n’est pas besoin d’être malade pour adopter le lit incliné. Il suffit de l’essayer pour constater l’amélioration de la qualité du sommeil et la belle forme qu’il en résulte au réveil. On se demande comment un principe aussi simple n’a pas été (re)découvert plus tôt et largement diffusé. À tous ceux qui auront eu la curiosité d’essayer, c’est un cadeau gratuit que de le conseiller à vos amis. Je suis sûr que vous recevrez des remerciements… Du moins, de ceux qui ont des oreilles pour entendre.
Je me répète peut-être car je poste à différents endroits mais, puisqueles médias nous martèlent sans cesse avec toutes leurs infos mensongères, pourquoi ne pas aussi répéter les vérités ? Ceux qui ne veulent pas les lire passeront leur chemin. Je ne cherche pas la notoriété, juste à informer.
Nous sommes en 1914. Années de la première guerre mondiale et des agriculteurs qui ont fait pousser du « cannabis » en échange de dollars américains… Gardez ceci à l’esprit et continuez à lire.
Le chanvre industriel n’est pas seulement une plante agricole. C’est un antidote pour le pétrole et le dollar.
Comment a-t-il été interdit ?
👉1. Un hectare de cannabis produit de l’oxygène comme 25 hectares de forêt.
👉2. Encore une fois, un hectare de chanvre peut produire la même quantité de papier que 4 hectares d’arbres.
👉3. Alors que le chanvre peut être transformé en papier 8 fois, le bois peut être transformé 3 fois en papier.
👉4. Le chanvre pousse en 4 mois, l’arbre en 20-50 ans.
👉5. Le cannabis est un véritable piège à radiations.
👉6. Le cannabis peut être cultivé n’importe où dans le monde et il a besoin de très peu d’eau. Aussi, comme il peut éloigner les insectes, il n’a pas besoin de pesticides.
👉7. Si les textiles du chanvre se généralisent, l’industrie des pesticides pourrait complètement disparaître.
👉8. Les premiers jeans ont été fabriqués à partir de chanvre ; même le mot « CANVAS » est le nom que les produits du cannabis ont obtenu.
Le chanvre est aussi une plante idéale pour la production de cordes, lacets, sacs à main, chaussures et chapeaux.
👉9. Réduit les effets de la chimiothérapie et de la radiothérapie dans le traitement du cannabis, du sida et du cancer; utilisé dans au moins 250 maladies telles que les rhumatismes, le cœur, l’épilepsie, l’asthme, l’estomac, l’insomnie, la psychologie et la raideur ver
👉10. La valeur protéique des graines de chanvre est très élevée, et les deux acides gras qu’elles contiennent ne sont nulle part ailleurs dans la nature.
👉11. La production de chanvre est encore moins chère que le soja.
👉12. Les animaux qui mangent du cannabis n’ont pas besoin d’additifs hormonaux.
👉13. Tous les produits en plastique peuvent être fabriqués à partir de chanvre, et le plastique de chanvre est très facile à retourner à la
👉14. Si la carrosserie de la voiture est en chanvre, elle sera 10 fois plus solide que l’acier.
👉15. Il peut également servir pour l’isolation du bâtiment ; il est durable, bon marché et flexible.
👉16. Les savons et cosmétiques faits à base de chanvre ne contamine pas l’eau, ils sont donc totalement respectueux de l’environnement.
En Amérique, au 18ème siècle, sa production était obligatoire, et les agriculteurs qui ne produisaient pas étaient enfermés. Mais maintenant la situation a basculé dans l’autre sens.
👎-V. R. Hurst possédait des journaux, magazines et médias aux États-Unis dans les années 1900. Ils avaient des forêts et produisaient du papier. Si le papier était fait de chanvre, il aurait pu perdre des millions.
👎-Rockefeller était l’homme le plus riche du monde, propriétaire d’une compagnie pétrolière. Le biocarburant, l’huile de cannabis, était, bien sûr, son plus grand ennemi.
👎-Melon était l’un des principaux actionnaires de la société Dupont et avait un brevet pour la production de plastique à partir de dérivés du pétrole. Et l’industrie du cannabis a mis son marché en danger.
Melon est plus tard devenu ministre des Finances du président Hoover. Ces grands noms dont nous avons parlé lors de leurs réunions ont décidé que le cannabis était l’ennemi et l’ont éliminé. À travers les médias, ils ont gravé le mot marijuana dans le cerveau des gens comme un poison.
Les médicaments au cannabis ont été retirés du marché, remplacés par les médicaments chimiques utilisés aujourd’hui.
Les forêts sont coupées pour produire du papier.
L’intoxication et toutes les maladies qui l’accompagnent, de la plus petite au cancer sont en hausse.
Et puis nous remplissons notre monde de déchets plastiques, déchets nocifs … mais rassurez vous, c’est pour votre bien et celui de notre mère la Terre.