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L’énergie verte ? Quelle arnaque !

Bonjour, comment allez-vous ? Petit partage sur un des mensonges qu’on nous a vendu ces dernières années et que nous payons au quotidien. Le développement durable, une arnaque parmi d’autres.

Avez-vous vu le coût de l’énergie verte sur votre facture d’énergie ? Et vous payez bien sûr en ayant bonne conscience de faire un geste pour notre belle planète. Mais tout ça ce n’est que sur le papier. Cette énergie n’a rien de verte, c’est juste une invention de plus des dirigeants pour nous taxer, et nous maintenir dans la peur de la fin des énergies fossiles (j’ai déjà publié sur le sujet, ces énergies n’ont rien de fossiles et ne peuvent pas s’arrêter). Remplacer les sources d’énergies par des énergies plus propres !!! Tu parles de propre. Ont ils supprimé les centrales nucléaires depuis qu’ils ont abimé nos paysages avec des éoliennes ? Absolument pas, on paie juste plus cher, rien de plus.

Une éolienne de deux mégawatts est composée de 300 tonnes d’acier qui nécessitent 300 tonnes de minerai de fer et 230 tonnes de charbon, tous extraits, transportés et produits par des hydrocarbures. Il contient 400 litres d’huile et de fluide hydraulique qui doivent être remplacés tous les 9 mois. Personnellement je ne vois rien là de très écologique.

Bétonisation et artificialisation des terres : quelle contribution de  l'éolien ? | Décrypter l'énergie

Mais, en dehors de cela, qui pense à ce que deviennent ces éoliennes quand elles seront en fin de vie ? Selon l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe), la durée de vie d’un parc éolien est estimée à 20 ans. Au-delà, la fiabilité technique et l’efficacité des éoliennes deviennent insuffisantes. C’est quoi 20 ans par rapport à l’âge de Gaia ? Ca ne représente rien !!!

https://www.futura-sciences.com/planete/questions-reponses/energie-renouvelable-duree-vie-eolienne-1035/

Mâts et pales d'éoliennes démontées sur le site de Saint-Ode, près de Bastogne.
Mâts et pales d’éoliennes démontées à St Ode, Belgique

Claude Boever propriétaire d’un parc éolien belge nous explique ce que ces anciennes éoliennes, aujourd’hui démontées en pièces et gisantes au sol, vont devenir : « Ce qu’il va se passer, la fondation, elle va être détruite. Après, vous pouvez voir, il faut enlever toute la fondation, tous les morceaux de béton, tous les plastiques, … « 

Donc, les fondations, elles sont sensées être complètement déterrées et concassées (déjà c’est ce qu’ils prétendent, je ne suis pas convaincue que ça se passe réellement de cette manière ou que toute cette structure reste sur place des milliers d’années). Elles finiraient en empierrement pour des fondations de route par exemple. Le mât et le générateur sont des métaux facilement recyclables et partiraient donc dans les filières classiques, mais les pales, en matériaux composites ? Elles sont brûlées dans des fours ou enterrées ! ? Avouez que ce n’est pas très écologique tout cela. Et je ne vous parle même pas des dégâts que font les immenses pales sur les oiseaux et les chauves-souris pour produire une électricité coûteuse et inadaptée.

Je vous partage le témoignage d’une agricultrice Auvergnate, qui nous parle de l’envers du décor de l’éolien. Merci à elle d’avoir le courage de dire la vérité et de ne pas céder à la facile tentation de s’enrichir sur notre dos. « J’ai 35 ans, je suis agricultrice bio en Auvergne. Il y a deux ans, j’ai été contactée par une entreprise privée qui avait pour projet d’installer un parc d’éoliennes dans ma commune. Je l’ai reçue avec joie ! J’avais hâte de participer à un projet écologiste.

Première surprise : je m’attendais à rencontrer un représentant de l’État, ou de la préfecture pour ce genre de projet (l’énergie est, il me semble, le bien de tous et nous sommes tous concernés). En fait, il n’en était rien ; c’était bien une entreprise privée, financée par des fonds de pensions étrangers, qui était chargée du projet. Un peu bizarre mais, après m’être renseignée, je me suis aperçue que tous les projets étaient tenus par des sociétés privées qui prospectent un peu partout en France pour chercher des terrains où placer des éoliennes. Je pensais donc que cette société voulait m’acheter un bout de terrain, un peu comme un promoteur immobilier « du vert ».

Deuxième surprise : la société envisageait effectivement d’implanter une éolienne chez moi, mais elle ne voulait « surtout pas » me déposséder de mes terres. Elle voulait seulement louer le terrain. Et cela, pour une somme absolument mirobolante : 30.000 euros par an pour deux éoliennes implantées. Mes revenus actuels sont de 1.500 euros par mois, pensez-donc, 30.000 euros net par an et pendant 20 ans ! Pendant 20 ans… 30.000 euros qui tombent tous les ans et je participe à l’écologie nationale. Un rêve ! La société a insisté pour que je signe « rapidement », car d’autres agriculteurs pouvaient être aussi intéressés. A 30.000 euros par an, je n’en doutais pas une seconde.

Mais… je suis auvergnate, et par nature méfiante, « ils veulent payer 75 fois le prix de la terre sans la posséder ? Ici ? Là où nos terres ne valent pas grand-chose ? Il y a un loup quelque part ». Alors j’ai cherché le loup. Et je l’ai trouvé en demandant un nouveau rendez-vous avec la société. Je leur ai demandé un contrat du bail. Et j’ai lu toutes les petites lignes. Et voici la question que je leur ai posée : au bout de 20 ans, que se passe-t-il ? Une réponse très floue : « (.…) On ne sera plus là, car on revend nos implantations à des entreprises étrangères (chinoises notamment). Mais, comme la loi nous demande de prévoir le démantèlement de l’éolienne, nous vous provisionnons 50.000 euros pour vos deux éoliennes. » Parce que, bien entendu, au bout de 20 ans, une éolienne, elle est en fin de course, foutue, et il est stipulé de la démonter. Ah bon ? Alors j’ai fait venir plusieurs entreprises spécialisées dans le démantèlement des éoliennes. Résultat : devis pour une éolienne (hauteur : 80 mètres), le coût minimum est de 450.000 euros par éolienne, à charge du propriétaire du terrain. Et s’il ne peut pas payer ? Comme il s’agit d’une éolienne industrielle, l’État se retourne contre le propriétaire, puis contre la commune. Je fais un rapide calcul : le projet d’ensemble de ma commune de 200 habitants comprend 7 éoliennes, soit 450 000 x 7 = 3.150.000 de dette pour la commune. C’est la faillite pour tous !

Ensuite, je me suis demandé pourquoi cette société voulait implanter des éoliennes dans un endroit où il y a si peu de vent. Réponse : « En effet, il n’y a pas assez de vent, mais nous allons construire des éoliennes beaucoup plus hautes… de 80 mètres de haut ». Fort bien. Pour des éoliennes qui ne tourneront que 25 % du temps, ce n’est pas très rentable. Mais, comment se fait-il que des fonds de pension s’intéressent tant à l’éolien en France ? Tout simple ! En France, une loi exige que l’énergie verte des éoliennes soit achetée en priorité deux fois le prix des autres énergies (l’hydraulique, qui est pourtant totalement vert, n’a pas ce privilège !). Donc, c’est intéressant pour les investisseurs étrangers, sans doute en pleine complicité avec notre gouvernement car, qui paye cette différence ? … C’EST NOUS ! Regardez bien votre facture EDF, il y a une petite ligne qui indique que nous « participons au développement de l’énergie verte ».

Et si on parlait un peu du gel ?

Ça se passe en Suède, au pays merveilleux de Greta (la pauvre petite fille riche qui voyage en jet privé, prétend qu’on lui vole son enfance et entraine les ados à la suivre dans ses délires. Bon, allez, je m’arrête là sur son portrait, elle n’y peut pas grand-chose cette gamine MK Ultra, complètement aux ordres du système qui l’a lobotomisée)

En Suède, paradis des essais ahurissants du socialisme triomphant, il fait plus froid que chez nous, et les éoliennes gèlent. Un mélange d’eau et de glycol est chauffé durant la nuit à l’aide d’un camion équipé d’un brûleur fioul de 260 kW. À l’aube, 44 mètres cubes d’eau à 60 degrés se trouvent dans les réservoirs et l’hélicoptère peut commencer à voler en navette vers l’éolienne dont les pales sont givrées.A chaque tour, il faut 850 litres de mélange à base de glycol (antigel très bon pour l’environnement) dans un réservoir avec un pulvérisateur à moteur. Pour réussir le dégivrage, le débit doit être élevé et tout au plus tout le réservoir doit être pulvérisé en deux minutes.Pour effectuer l’opération, trois personnes sont nécessaires. Un pilote d’hélicoptère, un opérateur qui contrôle le pulvérisateur à l’aide d’un joystick et une personne au camion qui s’assure que l’hélicoptère peut remplacer rapidement le réservoir vide par un plein. Arrêtez moi si je suis dans l’erreur, les éoliennes sont bien installées pour éviter d’utiliser des combustibles fossiles qui créent le réchauffement climatique, n’est ce pas ? Si je comprends bien la photo, soit ça ne se réchauffe pas partout soit j’ai la désagréable impression qu’ils essaient de me prendre pour une idiote ! Ou peut-être les deux, d’ailleurs !

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Bienvenue en Absurdistan

!!! Ca ne choque personne ? Tout va merveilleusement bien dans ce monde tant que le peuple dort, tranquillement endormi par les merdias et pseudo scientifiques menteurs qui propagent des mensonges à longueur d’années.

Mabelle