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J’ai défendu la vaccination, je me suis fait vacciner, et après ?

Partage du témoignage de quelqu’un qui réalise qu’il s’est trompé :

J’avoue, au début, j’ai défendu la vaccination contre le Covid-19. Parce que j’avais peur et je croyais que c’était la seule solution. Je ne comprenais pas ceux qu’on appelait les antivax. Parce que je croyais que le gouvernement, les médias, les médecins… voulaient notre bien. Alors quand j’entendais des discours de dépopulation, je me disais : ces gens sont fous ! Cela ne peut être vrai !

Puis certains événements m’ont semblé bizarres : le recours au paracétamol comme étant le seul traitement préconisé en attendant le « vaccin » qui allait nous sauver, les pénuries de masques, de gel hydroalcoolique, de médicaments… J’étais sous le choc. Quoi au 21ème siècle, comment est-ce possible ?

Puis, j’ai fait le vax Pfizer. 1ère dose : OK, tout va bien. 2ème dose : ah, ça ne va pas si bien que ça : arthralgies, faiblesse musculaire, tendinite, fatigue, brouillard mental, pieds rouges comme des écrevisses et très douloureux, douleurs cardiaques fulgurantes puis ça passe… Mais je ne pouvais plus tenir debout plus de 5 minutes, devais me cramponner à la rampe pour monter les escaliers qui menaient à ma chambre, pouvais à peine parcourir une distance de 300 mètres à pied sans être épuisée… Qu’est-ce qui se passe ? Tout ça, ce n’est pas normal.

La propagande antivax s’accentue, puis les sanctions tombent : les soignants non vaccinés sont interdits d’exercer, ne touchent plus rien. Et là, gros déclic : et si tout ce que les antivax avaient dit était vrai ? Si nos dirigeants nous voulaient vraiment du mal ? Si les médecins étaient complices ?

Après mes douleurs cardiaques, j’ai vu le médecin traitant de maman. Je m’inquiétais. Est-ce le début d’une myocardite ? Elle m’a rassurée tout de suite. Si c’était le cas, j’aurais beaucoup plus mal. Puis, elle m’a avoué que son frère a eu une myocardite après la deuxième injection.

J’étais troublée. Comment pouvait-elle continuer de défendre la vaccination alors que son frère avait fait une myocardite ?

J’avais entendu des consignes données à sa secrétaire : ne surtout pas répondre aux questions, en dire le moins possible.

Cela m’avait choquée.

La prise de conscience était de plus en plus forte, la révolte aussi. Je pensais à ce que les médecins avaient été contraints de faire sous l’Allemagne nazie. Plus de 70 % avaient obéi. Consultation suivante : une affiche de campagne de vaccination était collée dans l’entrée. C’en était trop. Dans le cabinet du docteur F., j’ai exprimé mon indignation. J’ai osé dire : « Savez-vous que sous l’Allemagne nazie, plus de 70 % des médecins ont obéi aux ordres criminels de leur hiérarchie, de l’administration, du pouvoir ? »

À ces paroles, le docteur F. est devenue hystérique : « Vous êtes en train de me traiter de nazie ? Je vais porter plainte ! »

À cet instant, face à la violence de sa réaction, j’ai compris que j’avais mis le doigt sur quelque chose de sensible, quelque chose qui ne devait pas être très loin de la vérité, une vérité que nous ne devions surtout pas connaître.

Aujourd’hui, ce soir, j’ai lu le titre d’un article défendant encore les vaccins contre le Covid, dont les conclusions se basaient sur les résultats d’une étude EPI-PHARE. J’ai pensé : ça continue… Au moment où la propagande russophobe bat son plein, où on nous parle de plus en plus d’entrée en guerre contre la Russie. Cela confirme ce que j’ai compris depuis longtemps : la plandémie est un programme de préparation psychologique à un conflit mondial. Et un programme de dépopulation en même temps. Car si nous entrons dans un conflit mondial, le 3ème qui prend naissance sur notre continent européen, la dépopulation se comptera en centaines de millions.

Prions pour que tous les peuples européens comprennent et se soulèvent massivement !