A la demande de plusieurs personnes, voici le journal du bien-être Nikken
Journal Le Bien-être Aujourd’hui – PowerPoint
Prenez soin de vous – Mabelle
A la demande de plusieurs personnes, voici le journal du bien-être Nikken
Journal Le Bien-être Aujourd’hui – PowerPoint
Prenez soin de vous – Mabelle
Le Chakra du coeur, Anahata(signifie Point de vie) est situé sur la ligne médiane du sternum, à hauteur du coeur, c’est-à-dire, au coeur des 7 chakras principaux. Il fait donc la jonction entre les chakras inférieurs et supérieurs.
Grâce à lui, nous ressentons la beauté de la nature, de la musique, de la poésie…
Anahata est le siège des sentiments, du pardon, de la compassion, de l’amour inconditionnel (celui que l’on peut donner et recevoir). Pour aimer les autres et leur transmettre respect et confiance, il faut commencer par s’aimer soi même à sa juste valeur. Le Chakra du coeur est en relation très forte avec le Chakra solaire, avec nos relations et l’estime de soi.
Il agit sur la répartition des énergies, en laissant ouvert, bloquant le passage de celles-ci, ou en les concentrant.
Il est associé au coeur, au système circulatoire et respiratoire, au thymus, à la couleur verte, à l’élément Air
-équilibre dans les différentes parties de vous-même
-permet de nous adapter à toute situation de la vie dont d’autres personnes font partie
-gère les émotions amoureuses
-régule les voies respiratoires
-sa fonction sensorielle est le toucher.
L’équilibre de ce Chakra est l’amour inconditionnel, une générosité à toute épreuve, des rapports harmonieux avec les autres, bonté, gratitude, pardon et chaleur humaine.
Les personnes ayant un 4ème Chakra harmonieux imposent le respect et l’estime par leur stabilité mentale. Elles atteignent au détachement, la sagesse, la compassion, l’équilibre entre le physique et psychique, ainsi qu’à l’harmonie entre le monde intérieur et extérieur.
Les sentiments sont dénués de conflits, tous les actes de la vie sont vécus avec sincérité.
Elles ont la capacité d’auto-guérison, et d’aider les autres à guérir par imposition des mains.
-soit un Amour Universel sans limite amenant au don de soi (personne totalement dévouée à aider les autres, trop généreux au point d’être pénible), soit unégocentrisme et un narcissisme total (personne qui n’aime qu’elle même et ne s’intéresse aux autres qu’à travers ce qu’ils peuvent lui apporter).
-tendance à un excès de passion amoureuse étouffante, non partagée et dévastatrice
-sentiment de supériorité dû à un amour excessif et exclusif de soi.
-sentiment d’être incompris en raison de l’amour excessif qu’on porte aux autres, amour égoïste n’admettant pas l’échec.
-hyperémotivité.
-tendance à avoir de grandes exigences vis à vis de soi et des autres.
-dépendance à l’égard des autres et du regard des autres.
-jalousie.
-problèmes circulatoires, altérations du rythme cardiaque.
Bon nombre de personnes ont un chakra du coeur trop actif car nous vivons dans une société où, à notre yeux, notre image représente beaucoup pour les autres. Nous nous mettons donc une pression supplémentaire et inutile qui nous conduit à avoir peur du regard des autres.
-si Anahata est bloqué, l’énergie ne passe plus entre le bas et le haut. Vous êtes vulnérable et dépendant de l’amour des autres.
-vous ne rayonnez plus, vous êtes triste et déprimez, et vous perdez l’estime que vous avez de vous même. Vous vous sentez sale et perdez l’envie de plaire aux autres.
-tendance à être froid, indifférent, associable et distant, vous avez des difficultés à communiquer avec autrui, êtes distant, médisant, ingrat, instable, possessif, arrogant, cruel, avez peu d’empathie, et peur de l’intimité.
-incapacité à aimer, à manifester son amour, par peur du rejet et de l’échec (déceptions amoureuses fréquentes).
-manque de générosité, égoïsme, repli sur soi, sentiment de solitude. Les relations se détournent de vous.
-les activités physiques ou intellectuelles excessives, sont une fuite pour se persuader de n’avoir pas besoin de l’amour des autres et se protéger des éventuelles douleurs et ce qui est ressenti comme des attaques.
-sur le plan physique, tous les problèmes liés au coeur (la crise cardiaque est liée à la mauvais distribution d’énergie entre le chakra solaire et le chakra cardiaque), à la circulation sanguine, ainsi que toutes les affections qui touchent les voies respiratoires.
Aimer, Respirer, Toucher, Donner…
Traduction la page du site emofree.com de Gary Craig
**http://www.emofree.com/Articles2/body-conversation.htm**
L’intégralité de la série se présente de la sorte :
Partie 1: Introduction
Partie 2 : Le Passé – Accrochage à des événements traumatiques
Partie 3 : Le Passé – Mauvaises nouvelles en stock
Partie 4 : Le Présent – Qu’est-ce que vous avez « dans la peau » ?
Partie 5 : Le Présent – Ce n’est pas une question de microbes
Partie 6 : Le Futur – Angoisse au sujet de ma vie
Partie 7 : Le Futur – Peur de leurs réactions
Dans cette série en 7 parties, la psychothérapeute Carol Look nous propose d’avoir une « conversation avec notre corps » pour prendre conscience de tout ce que nous stockons dans notre système immunitaire et dans certaines parties du corps afin de nous « protéger ». – Par Carol Look, EFT Master
Carol Look écrit :
Encore une fois, puisque j’ai déjà abordé les traumatismes du passé et les trahisons en faisant la démonstration pour des malaises dans les parties 2 et 3 de cette série, je vais supposer que ce sont les facteurs de stress courants qui contribuent aux douleurs de la vie quotidienne, pour les besoins de la partie 5 de cette série. Bien qu’il y ait toujours du stress issu du passé, on va se concentrer sur la vie actuelle.
Nous sommes tous exposés aux microbes et aux bactéries au jour le jour. J’ai des clients qui viennent dans mon bureau, ils toussent et postillonnent un peu partout. Je prends le métro à New York et je travaille dans un immeuble d’habitation. Alors, pourquoi devrais-je attraper un rhume ou la grippe, juste par hasard un certain mardi ? Qu’est-ce qui s’est passé, cette fois-ci, pour que je fasse bon accueil aux microbes?
Notre système immunitaire est incroyablement fort et il peut même s’adapter. Cependant, il peut en « encaisser » jusqu’à un certain point, avant de ralentir ou d’avoir une réponse inadéquate à l’infection. Le seul moment où j’attrape le rhume, malgré ma large exposition, c’est quand je suis stressée, fatiguée, contrariée, ou que je ne me sens pas soutenue dans ma vie. De toute évidence, ce n’est pas une question de microbes…
Supposons que vous sentiez venir un rhume, mais qu’il n’ait pas encore tout à fait pris racine. Bien qu’il soit peut-être trop tard pour l’arrêter, je trouve utile d’étudier votre emploi du temps.
– Qu’est-ce qui vous a dérangé ou bouleversé récemment ?
– A propos de quoi avez-vous besoin de pleurer ?
– Qu’est-ce qui vous a fait vous sentir écrasé ou débordé récemment ?
– Pourquoi (est-ce que ça arrive) maintenant ?
– Est-ce qu’il y a un avantage au fait d’avoir un rhume ou la grippe cette semaine ?
Comme nous le savons tous, certaines maladies nous permettent de faire une pause quand nous n’en avons pas pris le temps. Cela nous ramène à la nécessité de prendre soin de soi-même… Si vous ne prenez pas soin de vous-même, votre corps commence à protester très fort pour attirer votre attention. Je ne connais personne qui n’ait vu ce schéma apparaître dans sa vie à un moment ou à un autre.
Point Karaté:
– « Même si j’ignore quelque chose dont il faudrait que je m’occupe, j’accepte que mon corps se sente épuisé… »
– « Même si ce virus essaie de me dire quelque chose, j’accepte ce que je suis et comment je me sens… »
– « Même si la grippe est en train d’exprimer quelque chose pour moi, je choisis d’être ouverte à la possibilité d’exprimer de mes sentiments aujourd’hui. »
Sourcil : Je me sens faible et épuisé.
Coin de l’oeil : Je sens le rhume qui vient.
Sous l’oeil : Je me sens si fatigué, il faut que je m’arrête.
Sous le nez : Je ne sais pas pourquoi je tombe malade aujourd’hui.
Menton : Peut-être que c’est juste un excès de fatigue.
Clavicule : Il faut que je laisse mon corps se reposer.
Sous le bras : Je me demande pourquoi j’ai cette maladie maintenant.
Sommet de la tête : Je ne veux pas être malade maintenant.
Sourcil : Je choisis d’exprimer mes sentiments.
Coin de l’oeil : Je vais écouter mon corps à l’instant même.
Sous l’oeil : J’accepte d’écouter mon corps maintenant.
Sous le nez : Je sais que j’ai ignoré ma santé.
Menton : C’est le moment de me mettre à écouter mon corps.
Clavicule : C’est le moment de prendre soin de ma santé.
Sous le bras : Je choisis d’apprécier ce que je suis.
Sommet de la tête : Je me sens prêt à écouter ce que mon corps essaie de me dire.
Et si vous continuez de vous sentir sensibles aux microbes, au rhume et à la grippe, continuez à tapoter pour votre peur d’être « infecté. » Le point de vue de la plupart des médecins sera de rechercher les microbes. Je ne suis pas médecin, alors j’explore les causes énergique et vibratoires autour de la maladie. J’ai vu suffisamment de schémas de comportement pour croire que tout cela n’est pas une question de microbes, que c’est vous et votre vibration…
Point Karaté:
– « Même si j’ai peur de tomber malade à nouveau, je choisis de me sentir fort et heureux dans mon corps… »
– « Même si je suis convaincu que les microbes vont m’avoir, j’accepte ce que je suis et comment je me sens… »
– « Même si je me sens vulnérable aux microbes, j’accepte ce que je suis ainsi que la force de mon corps. »
Sourcil : Je me sens vulnérable aux microbes.
Coin de l’oeil : J’ai toujours eu peur des microbes.
Sous l’oeil : J’ai toujours eu peur de tomber malade.
Sous le nez : Je ne veux pas tomber malade.
Menton : J’y pense tout le temps.
Clavicule : Je ne veux pas être aussi effrayé.
Sous le bras : Je me sens si faible.
Sommet de la tête : Je pense que mon système immunitaire est faible.
Sourcil : Je veux me sentir fort.
Coin de l’oeil : Je suis prêt à dépasser toutes ces peurs.
Sous l’oeil : Je choisis de me sentir fort.
Sous le nez : Je suis plus fort que je crois.
Menton : C’est le moment de me sentir fort à nouveau.
Clavicule : Mon corps sait quoi faire.
Sous le bras : Mon corps sait comment être en bonne santé.
Sommet de la tête : Je me sens prêt à être fort et en bonne santé maintenant.
Encore une fois, regardons le calendrier. Dans ce cas précis, nous n’allons pas traiter les microbes, mais une maladie chronique qui fait une « poussée » lorsque vous êtes de mauvaise humeur.
Supposons que votre dos « fasse sa crise » environ tous les 6 mois et que vous connaissiez ce schéma depuis des années. Les médecins vous disent qu’il ya rien à faire. Questions :
– Pourquoi (cette crise) maintenant ?
– Pourquoi cette semaine en particulier ?
– Est-ce que ce que votre dos vous dit vaut la peine que vous l’écoutiez ?
– Qu’est-ce qui doit changer ?
– Qu’est-ce que votre dos veut que vous fassiez ?
Point Karaté :
– « Même si je ne pouvais vraiment pas en encaisser plus et que j’avais besoin d’une pause, je choisis d’aimer et d’accepter ce que je suis et comment je me sens… »
– « Même si je ne pouvais plus encaisser plus de ce stress dans ma vie, j’accepte ce que je suis et comment je me sens… »
– « Même si je tiens le stress dans mon dos, et que ce n’est pas étonnant qu’il ait craqué cette semaine, j’accepte ce que je suis et je choisis d’écouter mes émotions. »
Sourcil : Je me sens tellement débordé.
Coin de l’oeil : Je ne sais pas pourquoi mon dos m’a lâché.
Sous l’oeil : Je me sens tellement stressé mais je ne peux pas m’arrêter.
Sous le nez : J’ai besoin de me reposer.
Menton : Je ne sais pas comment prendre du temps pour moi-même.
Clavicule : Je ne sais pas comment me donner ce dont j’ai besoin.
Sous le bras : Je ne sais même pas de quoi j’ai besoin en ce moment.
Sommet de la tête : Je suis reconnaissant pour ce moment de calme et de repos.
Sourcil : Je veux bien écouter mon dos.
Coin de l’oeil : Je veux bien faire attention à ce que je ressens.
Sous l’oeil : Je ne suis pas sûr de savoir pourquoi mon dos m’a lâché en ce moment…
Sous le nez : J’accepte de m’ouvrir à cette information.
Menton : C’est le moment pour moi de faire des changements.
Clavicule : Je ne sais même pas quoi changer.
Sous le bras : Je veux changer parce que dans ma vie les choses ne marchent pas en ce moment.
Sommet de la tête : Je me sens prêt à changer.
Quand quelqu’un doit rester au lit à cause d’une maladie ou d’une douleur, il s’offre un temps de réflexion. J’ai toujours su faire bon usage du temps! Que dois-je changer? Quelque chose ne fonctionne pas, alors j’essaie de faire attention aux conflits récents concernant l’équilibre entre la vie, l’amour, le travail et la famille. Encore une fois, vous allez ajouter une séquence pour exprimer votre gratitude envers votre corps pour sa force.
Sourcil : J’apprécie mon dos complètement.
Coin de l’oeil : Je suis reconnaissant pour la force de mon dos.
Sous l’oeil : Mon dos m’a soutenu pendant toutes ces années.
Sous le nez : Je suis tellement reconnaissant envers mon dos.
Menton : J’apprécie la force qui est dans mon dos.
Clavicule : Je me sens plein de gratitude envers mon dos.
Sous le bras : J’apprécie tout mon corps.
Sommet de la tête : J’apprécie mon dos et mon corps.
Dr Carol Look, EFT Master (USA)
En buvant de l’eau vivante PiMag® de Nikken
– vous améliorez votre santé en hydratant efficacement votre corps et en diminuant son acidité grâce à l’alcalinité de l’eau PiMag; une bonne hydratation est essentielle pour garder la santé et seule une eau vivante est en mesure de procurer une telle hydratation.
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En résumé, une solution intelligente et écologique à la portée de tous et mise en place pour faire face aux dispositifs compliqués, souvent très onéreux. Par ailleurs, notre dispositif a obtenu le très convoité label d’or « Water Quality Association »
Prenez soin de vous – Mabelle
Y a-t-il quelque chose que vous avez toujours eu l’intention de faire, voulu faire, mais que… vous n’avez pas fait ? Matt Cutts propose : essayez de le faire pendant 30 jours. Cet exposé bref et léger nous propose un moyen habile de réfléchir à la planification et la réalisation d’objectifs.
Traduction la page du site emofree.com de Gary Craig
**http://www.emofree.com/Articles2/body-conversation.htm**
L’intégralité de la série se présente de la sorte :
Partie 1: Introduction
Partie 2 : Le Passé – Accrochage à des événements traumatiques
Partie 3 : Le Passé – Mauvaises nouvelles en stock
Partie 4 : Le Présent – Qu’est-ce que vous avez « dans la peau » ?
Partie 5 : Le Présent – Ce n’est pas une question de microbes
Partie 6 : Le Futur – Angoisse au sujet de ma vie
Partie 7 : Le Futur – Peur de leurs réactions
Votre corps vous parle avec ses « maux » à lui
Dans cette série en 7 parties, la psychothérapeute Carol Look nous propose d’avoir une « conversation avec notre corps » pour prendre conscience de tout ce que nous stockons dans notre système immunitaire et dans certaines parties du corps afin de nous « protéger ». – Par Carol Look, EFT Master
Carol Look écrit :
Dans la partie 4 de cette série, je tiens à aborder les problèmes qui se manifestent à travers la peau, le plus vaste organe de notre corps. Aux fins de cette illustration, je vais présumer que les irritations résultent du stress de la vie courante – et non pas de traumatismes du passé comme ce que j’ai illustré dans les parties 2 et 3.
Les gens, les lieux et les situations entrent sous notre peau, et quand nous nous sentons irrités, cela paraît sur notre visage ou sur notre corps. Notre peau est en contact à la fois avec notre monde intérieur et avec notre monde extérieur, car elle absorbe toutes les informations de notre environnement. Je crois que nous nous rendrions un grand service à nous-mêmes si nous prêtions attention à ce que notre peau est en train de nous dire par des éruptions, irritations cutanées, maladies de peau, etc. Quand nous nous sentons débordés et que nos sentiments ne sont pas exprimés ni entendus, ils ont tendance à se répandre dans notre corps… et notre peau est un endroit parfait pour exprimer nos conflits, notre stress et notre impression de ne plus en pouvoir. Il n’est pas surprenant d’entendre quelqu’un dire: « Ma peau réagit depuis ce changement d’emploi… » ou « ce type me donne des boutons… » ou encore : « ça me démange de lui en flanquer une… », et « je ne peux pas le supporter, c’est épidermique »… Sans oublier la traditionnelle « Je l’ai tellement dans la peau… »
Supposez que vous ayez reçu une sorte de diagnostic concernant cette inflammation de la peau, et que les médecins aient fait tout ce qu’ils pouvaient faire pour proposer des solutions médicales.
L’étape suivante consiste à explorer ce qui pourrait être à l’origine de votre situation actuelle :
– Si votre peau enflammée vous rappelait quelqu’un, ce serait qui ?
– Si l’inflammation avait un nom, quel serait-il ?
– Qui ou quoi pourrait être la cause des démangeaisons que vous ressentez ?
– Si ces zones sèches qui grattent avaient un message pour vous, quel serait-il ?
– Si vos éruptions cutanées essayaient d’attirer votre attention, sur quoi devriez-vous vous concentrer ?
– Si à partir de ces éruptions vous pouviez remonter à un facteur de stress dans votre vie actuelle, où pourriez-vous atterrir en finale ?
– Si votre peau représentait ce que vous êtes et ce dont vous avez besoin, alors de quoi avez-vous besoin en ce moment ?
Si notre peau illustre nos conflits, nous devons savoir pourquoi, où c’est situé, et qui s’exprime par ces irritations, rougeurs et démangeaisons !
Point Karate :
– « Même s’il m’a vraiment rendu allergique cette fois-ci, j’accepte ce que je suis et j’apprécie mes sentiments… »
– « Même si j’ai peur d’admettre jusqu’à quel point je suis irrité par ce problème, je m’accepte moi-même et j’accepte mes sentiments et mes émotions au sujet de ce qui s’est passé… »
– « Même si je garde ce problème sous ma peau, je choisis de me libérer de cette irritation. »
Sourcils : « Je me sens tellement irrité par cette situation. »
Coin de l’oeil : « Je suis obligé de le supporter et ensuite j’ai des boutons qui sortent. »
Sous l’oeil : « J’ai de nombreux problèmes accumulés sous la surface. »
Sous le nez : « J’ai peur de creuser pour voir ce qu’il y a sous la surface. »
Menton : « Je ne veux pas regarder sous la surface ce qui pourrait causer ces éruptions. »
Clavicule : « Je l’ai tellement dans la peau (que j’en suis marteau, dingue, cinglé) !
Sous le bras : « Je m’accroche à cette irritation de ma peau. »
Sommet de la tête : « Je ne veux pas la laisser partir pour le moment. »
Sourcil : « Je vais envisager de débloquer ce conflit qui se manifeste dans ma peau. »
Coin de l’oeil : « Je suis presque prêt à le laisser partir. »
Sous l’œil : « Une partie de moi veut vraiment laisser partir ce conflit. »
Sous le nez : « L’autre partie de moi veut s’y accrocher. »
Menton : « Il ou elle a vraiment réussi à me donner des boutons. »
Clavicule : « Je suis tellement irrité par ce qui s’est passé. »
Sous le bras : « Je n’ai plus besoin de retenir cela dans ma peau maintenant. »
Sommet de la tête : « Je me sens prêt à libérer une partie de ce conflit et à calmer l’irritation de ma peau. »
J’ai trouvé extrêmement productif le fait d’utiliser quelques séquences d’EFT pour exprimer sa gratitude à son corps. Cela nous rappelle combien nous sommes vraiment forts et nous permet de nous focalliser temporairement sur quelque chose de positif, en dépit du problème.
Sourcil : « Je suis plein de gratitude envers ma peau. »
Coin de l’oeil : « J’apprécie ma peau. »
Sous l’œil : « J’aime la façon dont ma peau a toujours été si souple. »
Sous le nez : « J’apprécie la totalité de ma peau. »
Menton : « Je suis reconnaissant pour ce que ma peau fait pour moi. »
Clavicule : « Je remercie ma peau. »
Sous le bras : « Je suis plein de gratitude pour la totalité de moi-même. »
Sommet de la tête : « Je suis si reconnaissant envers ma peau et mon corps. »
Et si les problèmes de peau semblent être causés par l’impression d’être débordé et dépassé par les événements, et par le stress en général, je propose d’essayer quelque chose dans le sens des « phrases de départs » suivantes avec leurs « rappels » :
Point Karaté :
– « Même si le stress de mon travail ressort par ma peau, je choisis d’exprimer mes sentiments et de prendre soin de moi-même… »
– « Même si le stress de mon travail et de la famille déborde sur ma peau, j’accepte ce que je suis et comment je me sens… »
– « Même si je ne peux pas supporter ce stress alors il m’enflamme la peau, j’accepte ce que je suis et comment je me sens en ce qui concerne ma vie. »
Sourcils : « Je me sens tellement stressé. »
Coin de l’oeil : « Je sais que le stress me sort par la peau. »
Sous l’oeil : « Je me sens tellement épuisé et stressé par la vie que je mène. »
Sous le nez : « J’ai tellement de sentiments et d’émotions qui ont besoin de sortir. »
Menton : « J’ai tellement de stress dans mon environnement actuel. »
Clavicule : « Je veux me détendre et apaiser ma peau. »
Sous le bras : « Ma pauvre peau ne peut pas soutenir plus de stress. »
Sommet de la tête : « Je veux juste me sentir calme et apaisé. »
Sourcil : « Je sais que j’exprime mes sentiments à travers ma peau. »
Coin de l’oeil : « Toute ma famille exprime ses sentiments par la peau. »
Sous l’oeil : « Je ne veux pas exprimer ces sentiments qui m’effraient. »
Sous le nez : « J’ai peur d’exprimer ces sentiments violents à qui que ce soit. »
Menton : « Je suis tellement épidermique sur ces sujets. »
Clavicule : « Je me sens tellement irrité. »
Sous le bras : « Il n’y a pas d’autre endroit pour exprimer ce problème. »
Sommet de la tête : « Quand je pense à ce problème ça me gratte de partout. »
Je termine toujours par une séquence sur l’aspect positif afin de donner à la personne des options possibles pour apaiser sa peau.
Sourcil : « Je sais que j’ai d’autres moyens de m’exprimer en plus de ma peau. »
Coin de l’oeil : « Je choisis de m’exprimer clairement maintenant. »
Sous l’œil : « Je comprends mes sentiments et je vais leur permettre de sortir au grand jour. »
Sous le nez : « Je commence à accepter ce que je suis et ce que je ressens. »
Menton : « Je comprends pourquoi ma peau est pleine de conflits. »
Clavicule : « Je me sens déjà moins irrité. »
Sous le bras : « Je peux enfin relâcher une partie de cette inflammation. »
Sommet de la tête : « Je n’ai plus de démangeaisons concernant ces problèmes. »
Les exemples ci-dessus sont un bon début. Faites votre travail sur vous-même pour découvrir les lieux de votre corps où vous stockez vos conflits et continuez le tapotage régulier.
Restez en ligne pour la partie 5 de cette série : « Le Présent – Ce n’est pas une question de microbes. »
Dr Carol Look, EFT Master (USA)
l était une fois, dans des temps très anciens, des gens qui vivaient très heureux. Ils s’appelaient Timothée et Marguerite et avaient deux enfants, Charlotte et Valentin. Ils étaient très heureux et avaient beaucoup d’amis.
Pour comprendre à quel point ils étaient heureux, il faut savoir comment on vivait à cette époque-là. Chaque enfant, à sa naissance, recevait un sac plein de chaudoudoux. Je ne peux pas dire combien il y en avait dans ce sac on ne pouvait pas les compter. Ils étaient inépuisables. Lorsqu’une personne mettait la main dans son sac, elle trouvait toujours un chaudoudou. Les chaudoudoux étaient très appréciés. Chaque fois que quelqu’un en recevait un, il se sentait chaud et doux de partout.
Ceux qui n’en avaient pas régulièrement finissaient par attraper mal au dos, puis ils se ratatinaient, parfois même en mouraient. En ce temps-là, c’était très facile de se procurer des chaudoudoux. Lorsque quelqu’un en avait envie, il s’approchait de toi et te demandait : ” Je voudrais un chaudoudoux “. Tu plongeais alors la main dans ton sac pour en sortir un chaudoudou de la taille d’une main de petite fille. Dès que le chaudoudoux voyait le jour, il commençait à sourire et à s’épanouir en un grand et moelleux chaudoudoux. Tu le posais alors sur l’épaule, la tête ou les genoux, et il se pelotonnait câlineusement contre la peau en donnant des sensations chaleureuses et très agréables dans tout le corps.
Les gens n’arrêtaient pas d’échanger des chaudoudoux. et, comme ils étaient gratuits, on pouvait en avoir autant que l’on en voulait. Du coup, presque tout le monde vivait heureux et se sentait chaud et doux.
Je dis « presque », car quelqu’un n’était pas content de voir les gens échanger des chaudoudoux. C’était la vilaine sorcière Belzépha. Elle était même très en colère. Les gens étaient tous si heureux que personne n’achetait plus ses philtres ni ses potions. Elle décida qu’il fallait que cela cesse et imagina un plan très méchant.
Un beau matin, Belzépha s’approcha de Timothée et lui parla à l’oreille tandis qu’il regardait Marguerite et Charlotte jouer gaiement. Elle lui chuchota : « Vois-tu tous les chaudoudoux que Marguerite donne à Charlotte ? Tu sais, si elle continue comme cela, il n’en restera plus pour toi ». Timothée s’étonna : « Tu veux dire qu’il n’y aura plus de chaudoudoux dans notre sac chaque fois que l’on en voudra un ? » « Absolument, répondit Belzépha. Quand il n’y en a plus, c’est fini ». Et elle s’envola en ricanant sur son balai. Timothée prit cela très au sérieux, et désormais, lorsque Marguerite faisait don d’un chaudoudoux à quelqu’un d’autre que lui, il avait peur qu’il ne lui en reste plus.
Et si la sorcière avait raison ? Il aimait beaucoup les chaudoudoux de Marguerite, et l’idée qu’il pourrait en manquer l’inquiétait profondément, et le mettait même en colère. Il se mit à la surveiller pour ne pas qu’elle gaspille les chaudoudoux et en distribue trop aux enfants ou à n’importe qui.
Puis il se plaignit chaque fois que Marguerite donnait un chaudoudoux à quelqu’un d’autre que lui. Comme Marguerite l’aimait beaucoup, elle cessa d’offrir des chaudoudoux aux autres et les garda pour lui tout seul. Les enfants voyaient tout cela, et ils pensaient que ce n’était vraiment pas bien de refuser des chaudoudoux à ceux qui vous en demandaient et en avaient envie. Mais eux aussi commencèrent à faire très attention à leurs chaudoudoux. Ils surveillaient leurs parents attentivement, et quand ils trouvaient qu’ils donnaient trop de chaudoudoux aux autres, ils s’en plaignaient. Ils étaient inquiets à l’idée que leurs parents gaspillent les chaudoudoux.
La vie avait bien changé : le plan diabolique de la sorcière marchait ! Ils avaient beau trouver des chaudoudoux à chaque fois qu’ils plongeaient la main dans leur sac, ils le faisaient de moins en moins et devenaient chaque jour plus avares. Bientôt tout le monde remarqua le manque de chaudoudoux, et tout le monde se sentit moins chaud et moins doux.
Les gens s’arrêtèrent de sourire, d’être gentils, certains commencèrent à se ratatiner, parfois même ils mouraient du manque de chaudoudoux. Ils allaient de plus en plus souvent acheter des philtres et des potions à la sorcière. Ils savaient que cela ne servait à rien, mais ils n’avaient pas trouvé autre chose ! La situation devint de plus en plus grave. Pourtant la vilaine Belzépha ne voulait pas que les gens meurent. Une fois morts, ils ne pouvaient plus rien lui acheter.
Alors elle mit au point un nouveau plan. Elle distribua à chacun un sac qui ressemblait beaucoup à un sac des chaudoudoux, sauf qu’il était froid, alors que celui qui contenait les chaudoudoux était chaud. Dans ces sacs, Belzépha avait mis des froids-piquants. Ces froids-piquants ne rendaient pas ceux qui les recevaient chauds et doux, mais plutôt froids et hargneux. Cependant, c’était mieux que rien. Ils empêchaient les gens de se ratatiner. À partir de ce moment-là, lorsque quelqu’un disait : « Je voudrais un chaudoudou », ceux qui craignaient d’épuiser leur réserve de chaudoudoux répondaient : « Je ne peux pas vous donner un chaudoudou, mais voulez-vous un froid-piquant ? ».
Parfois, deux personnes se rencontraient en pensant qu’elles allaient s’offrir des chaudoudoux, mais l’une changeait soudain d’avis, et finalement elles se donnaient des froids-piquants. Dorénavant, les gens mouraient presque plus, mais la plupart étaient malheureux, avaient froid et étaient hargneux. La vie devint encore plus difficile : les chaudoudoux qui au début étaient disponibles comme l’air que l’on respire, devinrent de plus en plus rares. Les gens auraient fait n’importe quoi pour en obtenir.
Avant l’arrivée de la sorcière, ils se réunissaient souvent par petits groupes pour échanger des chaudoudoux, se faire plaisir sans compter, sans se soucier de qui offrait ou recevait le plus de chaudoudoux. Depuis le plan de Belzépha, ils restaient par deux et gardaient les chaudoudoux l’un pour l’autre. Quand ils se trompaient en offrant un chaudoudou à une autre personne, ils se sentaient coupable, sachant que leur partenaire souffrirait du manque.
Ceux qui ne trouvaient personne pour leur faire don de chaudoudoux étaient obligés de les acheter et devaient travailler de longues heures pour les gagner.
Les chaudoudoux étaient devenus si rares que certains prenaient des froids-piquants qui, eux, étaient innombrables et gratuits. Ils les recouvraient de plumes un peu douces pour cacher les piquants et les faisaient passer pour des chaudoudoux. Mais ces faux chaudoudoux compliquaient la situation. Par exemple, quand deux personnes se rencontraient et échangeaient des faux chaudoudoux, elles s’attendaient à ressentir une douce chaleur et s’en réjouissaient à l’avance et, au lieu de cela, elles se sentaient très mal. Comme elles croyaient s’être donné de vrais chaudoudoux, plus personne n’y comprenait rien !
Évidemment comment comprendre que ses sensations désagréables étaient provoquées par les froids-piquants déguisés en faux chaudoudoux ? La vie était bien triste ! Timothée se souvenait que tout avait commencé quand Belzépha leur avait fait croire qu’un jour où ils ne s’y attendraient pas, ils trouveraient leurs sacs de chaudoudoux désespérément vides.
Mais écoutez ce qui se passa. Une jeune femme gaie et épanouie, aux formes généreuses, arriva alors dans ce triste pays. Elle semblait ne jamais avoir entendu parler de la méchante sorcière et distribuait des chaudoudoux en abondance sans crainte d’en manquer. Elle en offrait gratuitement, même sans qu’on lui en demande. Les gens l’appelèrent Julie Doudoux. Mais certains la désapprouvèrent parce qu’elle apprenait aux enfants à donner des chaudoudoux sans avoir peur d’en manquer.
Les enfants l’aimaient beaucoup parce qu’ils se sentaient bien avec elle. Eux aussi commencèrent à distribuer à nouveau des chaudoudoux comme ils en avaient envie. Les grandes personnes étaient inquiètes et décidèrent de passer une loi pour protéger les enfants et les empêcher de gaspiller leurs chaudoudoux.
Malgré cette loi, beaucoup d’enfants continuèrent à échanger des chaudoudoux chaque fois qu’ils en avaient envie et qu’on leur en demandait. Et comme il y avait beaucoup d’enfants, beaucoup d’enfants, presque autant que les grandes personnes, il semblait que les enfants allaient gagner. À présent, on ne sait pas encore comment ça va finir.
Est-ce que les grandes personnes, avec leur loi, vont arrêter l’insouciance des enfants ? Vont-elles se décider à suivre l’exemple de la jeune femme et les enfants et prendre le risque en supposant qu’il y aura toujours autant de chaudoudoux que l’on voudra ? Se souviendront-elles des jours heureux que leurs enfants veulent retrouver, du temps où les chaudoudoux existaient en abondance parce qu’on les donnait sans compter ?
Auteur inconnu. Merci à Marc Leroy pour ce partage
Aujourd’hui, accordez-vous une pause pour petit moment de rêverie dans une forêt finlandaise.
Ouvrez grands vos yeux et vos oreilles.
Comme si vous y étiez, vous y découvrirez des plantes, des animaux, insectes.
Vous approcherez notamment des renardeaux, un élan, une hermine, et différents oiseaux.
Et vous trouverez des champignons.
Si le sujet vous intéresse vous pourrez apprendre comment se gère les forêts.
C’est magique, il ne manque que les odeurs.
Merveilleuse balade
http://clicks.aweber.com/y/ct/?l=JgxeF&m=3xm_zzLdBkVIujC&b=aueCuPvkqDLJF8_SfdD_7Q
Traduction la page du site emofree.com de Gary Craig
**http://www.emofree.com/Articles2/body-conversation.htm**
L’intégralité de la série se présente de la sorte :
Partie 1: Introduction
Partie 2 : Le Passé – Accrochage à des événements traumatiques
Partie 3 : Le Passé – Mauvaises nouvelles en stock
Partie 4 : Le Présent – Qu’est-ce que vous avez « dans la peau » ?
Partie 5 : Le Présent – Ce n’est pas une question de microbes
Partie 6 : Le Futur – Angoisse au sujet de ma vie
Partie 7 : Le Futur – Peur de leurs réactions
Dans cette série en 7 parties, la psychothérapeute Carol Look nous propose d’avoir une « conversation avec notre corps » pour prendre conscience de tout ce que nous stockons dans notre système immunitaire et dans certaines parties du corps afin de nous « protéger ». – Par Carol Look, EFT Master
Carol Look écrit :
Dans la partie 3 de cette série, je vais aborder de nombreux exemples montrant comment, dans le passé, un conflit émotionnel et ses « mauvaises nouvelles » associées peuvent être stockés dans le corps, les maladies, les douleurs et les courbatures.
Commençons par les traumatismes émotionnels qui n’impliquent pas de coupure, d’égratignure, d’ecchymose ni aucun autre signe physique évident.
Supposons que vous vous êtes senti abandonné par vos parents quand ils ont divorcé. Ils étaient si impliqués dans leur combat qu’ils ont laissé les enfants seuls et sans ressources pour parler de leur peur et de leur tristesse. Peut-être étiez-vous pré-adolescent, pas tout à fait en colère encore, et le choc de la nouvelle du divorce de vos parents n’a jamais été discuté avec eux, ni avec un conseiller familial, ni même avec un de vos pairs. (Ceci est très commun.)
– Vous souvenez-vous de l’endroit où vous étiez quand vous avez reçu cette nouvelle ?
– Vous rappelez-vous ce que vous portiez, de la température ce jour-là ? Etiez-vous assis ou debout ?
– Où est-ce que cette nouvelle s’est stockée dans votre corps? (Sans une réponse claire, il suffit de deviner…)
– Quelles conclusions sur vous-même et sur la vie avez-vous fait à la suite de cette mauvaise nouvelle ? (du genre « on n’est pas en sécurité quand on aime… »)
Les clients utilisent souvent des phrases telles que:
– « Je me suis senti comme si j’avais reçu un coup de poing dans l’estomac quand j’ai entendu cela. »
– « Cela m’a frappé comme si j’avais pris une tonne de briques sur la tête. »
– « Cela m’a fait sauter en l’air. »
On peut demander :
– Comment se porte votre estomac maintenant ?
– Où est passée la tonne de briques ?
– Quel effet cela fait de sauter en l’air et de retomber ?
Nos corps sont des lieux de stockage de toutes les trahisons verbales, émotionnelles et mentales.
C’est pourquoi nous devons dégager notre système énergétique des conflits qui y restent stockés. Il est plus que probable que beaucoup de gens ne sont même pas conscients de la façon dont certains chocs précis ont été stockés, comment les mauvaises nouvelles y ont été maintenues, ou comment de vieilles blessures ont été camouflées au lieu d’être guéries.
Comme je l’ai mentionné plus tôt, il n’est pas surprenant que les malaises et les plaintes des adultes puissent être symboliquement attribuées à des douleurs émotionnelles ou à des conflits survenus à un très jeune âge. Supposons que vous soyez stupéfait d’apprendre que vous avez été trahi et que vous avez perdu le soutien d’un ami de confiance, d’un mentor ou d’un patron. Il y a des endroits pratiques pour stocker ces informations et ce traumatisme : ce sont vos genoux et vos jambes… représentant symboliquement l’impression d’être « soutenu », etc (Si l’exemple qui suit ne résonne pas pour vous, choisissez-en un autre vous-même et mettez vos propres mots à la place.)
Point Karate :
– « Même si les mauvaises nouvelles apparemment ont été stockées dans mes genoux, je choisis de les en faire sortir maintenant… »
– « Même si je ne savais pas où stocker les mauvaises nouvelles ailleurs que là, j’accepte qui je suis et comment je me sens à ce sujet… »
– « Même si j’ai maintenu ces mauvaises nouvelles dans mon corps, je choisis de les en faire sortir maintenant. »
Début du sourcil : « Je ne veux pas me souvenir de ces mauvaises nouvelles. »
Coin externe de l’oeil : « Je sais que j’ai stocké les mauvaises nouvelles dans mes jambes. »
Sous l’oeil : « Je sens que je dois protéger ces mauvaises nouvelles. »
Sous le nez : « Je ne me sentais pas soutenu. »
Centre du menton : « Je ne veux pas rouvrir ces vieilles blessures. »
Clavicule : « Je me sens blessé par ces mauvaises nouvelles. »
Sous le bras : « Je me sens encore sous le choc et paralysé sur place. »
Sommet de la tête : « Cela fait des années que je conserve ces mauvaises nouvelles en stock dans mes jambes. »
Début du sourcil : « Je ne suis pas prêt à les laisser partir. »
Coin externe de l’oeil : « Ou peut-être que je suis prêt… »
Sous l’oeil : « Je ne veux pas me souvenir des mauvaises nouvelles. »
Sous le nez : « Je pourrais être en mesure de laisser sortir ces mauvaises nouvelles de mes jambes. »
Menton : « C’était il y a longtemps. »
Clavicule : « Il est grand temps de me libérer de ce fardeau.
Sous le bras : « Je suis prêt à laisser certaines d’entre elles quitter mes jambes. »
Sommet de la tête : « Je n’ai plus besoin de les retenir plus longtemps dans mon corps. »
Les « mauvaises nouvelles » représentent souvent un choc pour nous et, bien sûr, c’est aussi un choc pour chacune des cellules de notre corps. Les appels téléphoniques souvent véhiculent des mauvaises nouvelles : un accident, un décès, les mauvais résultats d’un test médical, ou bien un changement dans la vie de la personne. Pensez à un appel téléphonique que vous avez reçu qui a été un choc pour vous (ou pour un de vos clients) :
– Où est-ce que le choc de cette mauvaise nouvelle s’est stocké pour vous ?
– Est-ce que le temps s’est arrêté pour vous à ce moment-là ?
– Quels problèmes physiques avez-vous rencontrés depuis ce moment ?
– Avez-vous déjà réussi à vous en libérer ?
Point Karaté :
– « Même si cette information a été un gros choc pour moi, et que je l’ai stockée dans mon cou, j’accepte ce que je suis et ce que j’ai fait de cette information… »
– « Même si je n’ai pas vu venir le coup, je l’accepte ainsi que l’endroit où j’ai choisi d’enterrer cette information…
– « Même si je n’étais pas prête à entendre cette mauvaise nouvelle, et qu’elle s’est logée dans mon cou, j’accepte ce que je suis, l’endroit où j’ai mis cette information, et ce que je ressens maintenant. »
Sourcil : « Je me souviens encore de ce que j’ai ressenti quand j’ai entendu la nouvelle. »
Coin de l’oeil : « Je me suis gelé intérieurement en l’entendant. »
Sous l’oeil : « Je me sens si triste quand je repense à cet appel téléphonique. »
Sous le nez : « Je me souviens d’avoir été tellement choqué, et du fait qu’une partie de moi se sent encore sous le choc. »
Menton : « Pas étonnant que j’aie une raideur dans la nuque. »
Clavicule : « J’ai été pris au dépourvu, je ne savais pas quoi faire. »
Sous le bras : « Je me suis accroché à ce choc et à la peur dans mon cou. »
Sommet de la tête : « Je ne savais pas quoi faire avec cette information. »
Sourcil : « Je considère la possibilité de laisser partir ce choc de mon cou. »
Coin de l’oeil : « Je suis prêt à relâcher une partie du traumatisme émotionnel. »
Sous l’oeil : « J’ai été pris au dépourvu, et c’est OK. »
Sous le nez : « Je n’ai pas vu venir le coup, comment aurais-je pu?
Menton : « Je peux envisager de baisser ma garde à nouveau. »
Clavicule : « Je ne savais pas quoi faire, mais maintenant je ne peux laisser aller ce problème. »
Sous le bras : « Je choisis de me libérer de ce choc et de le laisser partir de mon cou et de mon corps. »
Sommet de la tête : « Je me sens déjà soulagé en laissant partir ces émotions de mon cou. »
Supposons que vous ayez soudain été éjecté de votre emploi ou de votre mariage… et que vous n’aviez rien vu venir. Où avez-vous « casé » cette information (cette mauvaise nouvelle) tout en essayant de faire bonne figure ? Beaucoup de gens sont complètement pris au dépourvu lorsque leur conjoint ou partenaire annonce qu’il s’en va. Ils se réprimandent eux-même pour le fait de n’avoir pas su voir les signes avant-coureurs, et ils supposent que c’est parce qu’ils ne sont « pas assez bien. » Ces conclusions, ainsi que le choc de la « mauvaise nouvelle », se stockent dans le corps.
Point Karaté :
– « Même si ce fut une surprise totale, et que je ne l’oublierai jamais, j’accepte ce que je suis et ce que je ressens à ce sujet… »
– « Même si je me reproche d’avoir été laissé pour compte, j’accepte ce que je suis et ce que j’ai fait de cette information…
– « Même si c’est de ma faute et que je l’ai mérité, je suis encore sous le choc et je ne sais pas quoi faire à ce sujet. »
Sourcil : « Je ressens encore ce choc dans mon dos. »
Coin de l’oeil : « Je sais que j’ai stocké ce choc dans mon dos. »
Sous l’oeil : « Je me sens si mal au sujet de cette mauvaise nouvelle. »
Sous le nez : « Mon dos n’a plus jamais été comme avant. »
Menton : « Je peux sentir la douleur de l’abandon dans mon dos. »
Clavicule : « J’ai stocké cette douleur dans mon dos. »
Sous le bras : « Je ne veux pas la laisser partir. »
Sommet de la tête : « Je suis encore tellement en colère. »
Sourcil : « Je suis sous le choc, même après toutes ces années. »
Coin de l’oeil : « Je ne pouvais pas contrôler ce qui se passait. »
Sous l’oeil : « Je me sens tellement impuissant, même maintenant. »
Sous le nez : « Pourquoi est-ce que je n’ai pas vu venir le coup ? »
Menton : « Je suis en colère parce que cela m’a été annoncé de cette façon. »
Clavicule : « J’aurais voulu qu’il/elle gère les choses différemment. »
Sous le bras : « Je ne sais pas comment gérer les mauvaises nouvelles. »
Sommet de la tête : « Je me suis accroché à ce choc pendant toutes ces années. »
En cas de doute, on peut ajouter quelques séquences de phrases positives pour aider la personne à accepter ce qui s’est passé et à envisager de passer à autre chose.
Sourcil : « Je suis prêt à travailler pour sortir de ce conflit. »
Coin de l’oeil : « Je suis disposé à considérer que ce n’était pas ma faute. »
Sous l’œil : « Et si c’était pour le mieux de toute façon ? »
Sous le nez : « Je ne suis pas prêt à lâcher prise. »
Menton : « Je ressens encore la souffrance et l’abandon. »
Clavicule : « Je ne sais pas comment me libérer de cette douleur dans mon dos. »
Sous le bras : « Je suis décidé à me détendre et à m’accepter. »
Sommet de la tête : « Je me sens presque prêt à accepter ce que je suis et comment je gérais les mauvaises nouvelles à l’époque. »
Sourcil : « J’apprécie mon dos et ce que je suis. »
Coin de l’oeil : « Je n’ai pas de problème avec la façon dont j’ai enregistré cette information dans mon dos. »
Sous l’oeil : « J’ai fait du mieux que je pouvais à l’époque. »
Sous le nez : « Je fais encore du mieux que je peux. »
Menton : « J’apprécie mon corps. »
Clavicule : « Je suis plein de reconnaissance envers mon corps pour la protection qu’il me donne. »
Sous le bras : « J’apprécie mon corps. »
Sommet de la tête : « Je me sens bien à l’idée de laisser partir certaines de ces douleurs. »
Restez en ligne pour la quatrième partie de cette série : « Le Présent – Qu’est-ce que vous avez « dans la peau » ?
Dr Carol Look, EFT Master (USA)