Archives de catégorie : Inspirations

Bonne fête à toutes les mamans

mamans

En ce jour spécial pour toutes les mamans belges, je souhaite une excellente fête à toutes les mamans belges, mais aussi du monde entier, car la fête des mamans ça devrait être tous les jours de l’année. Une petite pensée toute particulière à toutes les mamans oubliées, à toutes les mamans dans la difficulté, dans les pays en guerre, à toutes ces mamans merveilleuses que vous êtes.

Une pensée également à tous les enfants, quel que soit leur âge qui n’ont plus de maman à fêter ce jour. 

Je partage avec vous une publicité virale réalisée par Card Store pour la fête des Mères. 

La société Card Store a posté en ligne et dans les journaux une annonce pour un faux emploi. Ils ont ensuite fait passer de vrais entretiens via webcam à des prétendants au poste. Mais les candidats vont vite déchanter quand le recruteur va décrire le poste. Un poste physique où on reste debout presque toute la journée sans pause et qui demande de l’endurance. Il faut également un diplôme en art culinaire, médecine et finance. C’est un emploi à 135h par semaines, 7 jours sur 7. Et le pire c’est qu’il n’ait pas payé ! Une blague ? Non pas vraiment, quand on sait que des centaines de millions de personnes ont ce poste, ce sont des mamans.

http://www.koreus.com/video/worlds-toughest-job.html

Bonne fête les mamans !

Et un merci à ma puce, car si je suis une maman c’est aussi parce que tu es une fille merveilleuse.

Mabelle

Et si nous sortions de la rancune ?

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Deux amis qui marchaient dans le désert se disputèrent et l’un d’eux donna une gifle à l’autre.

Ce dernier, sans rien dire, écrivit dans le sable : Aujourd’hui mon meilleur ami m’a donné une gifle.

Ils continuèrent à marcher et trouvèrent une oasis dans laquelle ils décidèrent de se baigner. Celui qui avait été giflé manqua de se noyer et son ami le sauva.

Quand il se fut repris, il grava sur une pierre  : Aujourd’hui mon meilleur ami m’a sauvé la vie.

Celui qui avait donné la gifle et sauvé son ami lui demanda : Quand je t’ai blessé tu as écrit dans le sable, et maintenant tu as écrit dans la pierre. Pourquoi ?

amis

L’autre répondit : Quand quelqu’un nous blesse, nous devons l’écrire dans le sable, où le vent de l’oubli l’effacera. Mais quand quelqu’un fait quelque chose de bien pour nous, nous devons le graver dans la pierre, où rien ne peut l’effacer.

 Histoire d’origine inconnue, si vous en connaissez la source, laissez moi un petit commentaire. Merci

Mabelle

La vie

la vie

La vie est une chance, saisis-la.
La vie est beauté, admire-la.
La vie est béatitude, savoure-la.
La vie est un rêve, fais-en une réalité.
La vie est un défi, fais-lui face.
La vie est un devoir, accomplis-le.
La vie est un jeu, joue-le.
La vie est précieuse, prends-en soin.
La vie est une richesse, conserve-la.
La vie est amour, jouis-en.
La vie est un mystère, perce-le.
La vie est promesse, remplis-la.
La vie est tristesse, surmonte-la.
La vie est un hymne, chante-le.
La vie est un combat, accepte-le.
La vie est une tragédie, prends-la à bras-le-corps.
La vie est une aventure, ose-la.
La vie est bonheur, mérite-le.
La vie est la vie, défends-la.

Mère Teresa

Le conte de la culpabilité

coupable

Deux hommes qui se connaissaient depuis longtemps se rencontrèrent au bord d’un trottoir.
Ils étaient tous les deux abattus, atterrés, déprimés comme il n’est pas possible de l’être.
L’un des deux, croyant être le plus déprimé, s’adressa à l’autre et lui dit:
« Si je puis me permettre, tu ne sembles pas aller bien, que t’arrive-t-il ? »
Il espérait que l’autre lui dirait : « Je vais bien », ce qui lui aurait permis de dire à son tour :
« Tu en as de la chance, moi ça ne va pas du tout…… »

Mais celui-ci, contre toute attente, répondit :
« Oh ! ça ne va pas du tout, je me sens coupable, affreusement fautif. Ma mère était malade, je lui ai conseillé de se faire opérer. Et elle est morte des suites de cette opération. Jamais , jamais je n’aurais dû lui conseiller cela. C’est de ma faute, si elle est morte. »
Et le premier de s’exclamer à son tour :
« Moi c’est pire encore, ma mère aussi était très malade, elle voulait se faire opérer, je lui ai déconseillé cela. Je l’ai invitée à partir plutôt en vacances. Et elle est morte d’un accident de la route. C’est terrible, jamais je n’aurais dû la déconseiller pour cette opération. C’est de ma faute si elle est morte. »

Et son interlocuteur de surenchérir :
« Mais toi, tu détestais ta mère, alors que moi je l’aimais, c’est donc moi qui souffres le plus. »
« C’est ce que tu crois, s’empressa d’ajouter le premier, la tienne n’a pas eu à subir d’opération, elle. Elle est morte sans souffrir, alors que la mienne… »
« Oui mais la tienne n’a rien senti, n’a pas su ce qui lui arrivait, alors que la mienne… »

Un orage les sépara mais ils se promirent de reprendre cet échange passionnant.
Pour savoir lequel est le premier en culpabilité, lequel est celui qui doit s’attribuer la plus grande souffrance d’avoir fait ou dit, de n’avoir pas fait ou pas dit.

Auteur inconnu, à méditer.

Merveilleuse journée.

Mabelle

Le vase brisé

Deux frères héritèrent d’un vase de Chine de grande valeur.

vase

– Nous devons le partager, dit l’aîné. Mais comment faire ?

– Garde-le pour toi, dit le cadet, Je n’en n’ai pas besoin. Je n’en veux pas.

 – Il n’en n’est pas question, répondit l’aîné. C’est contraire à mon sens de l’équité.

– Alors, dit le cadet, prenons-le six mois l’un, six mois l’autre.

– C’est beaucoup trop compliqué, dit l’aîné. Trouvons une solution plus simple.

– Vendons-le, dit le cadet. Nous nous partagerons le montant de la vente.

– Tu n’y songes pas, rétorqua l’aîné. Ce serait une insulte à la mémoire de notre père.

– Alors, tirons-le au sort, ajouta le cadet.

– Pas question, répliqua l’aîné. Je refuse de laisser le sort décider à notre place.

– Dans ce cas, poursuivit le cadet, que proposes-tu ?

– Battons-nous, dit l’aîné. Le plus fort aura le vase

-Cela ne m’intéresse pas, répondit le cadet. Nous risquerions de nous blesser et de nous en vouloir pour toujours. Je refuse de me battre avec toi pour cela.

– Tu n’es qu’un lâche, riposta l’aîné. Tu as peur de te battre. Tu n’es pas un homme.

Sous l’effet de la colère, il se mit à invectiver son frère, se jeta sur lui et dans sa précipitation renversa le vase qui se brisa en mille morceaux.

– C’est de ta faute, hurla l’aîné. Si tu n’avais pas été aussi lâche, rien de cela ne serait arrivé.

– C’est possible, répondit le cadet. Tu voulais que nous nous battions pour ce vase.

Maintenant, l’objet de notre litige a disparu. Allons-nous continuer à nous battre ?

Ou ton besoin de te battre est-il si fort que tout puisse devenir prétexte à des querelles entre nous ?

 Texte de Charles Brulhart, Janvier 1998

Merveilleuse journée

Mabelle

Le prix de la sagesse

Grand Sage
Grand Sage
Vieux conte oriental

Un jour un homme vint voir un sage et lui demanda : Maître, que dois-je faire pour acquérir la sagesse ?

 Le sage ne répondit pas.

Ayant répété plusieurs fois la question sans résultat, l’homme se retira. Mais il revint le lendemain et fit la même demande : Maître, que dois-je faire pour acquérir la sagesse ?

 Toujours pas de réponse. Il revint le troisième jour en répétant encore : Maître, que dois-je faire pour acquérir la sagesse ?

 Finalement, le sage se dirigea vers une rivière, et, entrant dans l’eau, pria l’homme de le suivre. Arrivé à une profondeur suffisante, il le saisit par les épaules et le maintint sous l’eau, en dépit des efforts qu’il faisait pour se libérer.

Au bout d’un moment, le sage le relâcha et quand l’homme eut à grand-peine retrouvé son souffle, le sage lui demanda : Dis-moi, quand tu étais plongé sous l’eau, quel était ton suprême désir ?

 Sans hésitation le jeune homme répondit : De l’air, de l’air ! J’avais besoin d’air !

 – N’aurais-tu pas préféré la richesse, les plaisirs, la puissance ou l’amour ? N’as-tu songé à aucune de ces choses ?

 – Non, Maître, j’avais besoin d’air et ne pensais qu’à cela.

 – Eh bien, reprit le sage, pour acquérir la sagesse, il faut la désirer aussi intensément que tu désirais de l’air, il y a un instant.

Il faut lutter pour elle à l’exclusion de tout autre ambition dans la vie. Elle doit être ta seule et unique aspiration, nuit et jour.

Si tu cherches la sagesse avec une telle ferveur, un jour, tu la trouveras.

Vieux conte oriental