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Les Oméga 3

oméga

Les Oméga 3 sont à la mode ces dernières années, mais que sont-ils exactement ?

Ils font partie de la famille des acides gras. Les graisses ont généralement la réputation d’être néfastes pour la santé. Cependant, concernant les Oméga 3, cette affirmation mérite d’être nuancée. Les Oméga 3 sont des acides gras essentiels, c’est-à-dire l’un des deux types d’acides gras indispensables au bon fonctionnement de notre organisme, au même titre que les vitamines et les minéraux.

Le terme « essentiels » signifie que notre corps ne sait pas les synthétiser, ils doivent donc être fournis en quantité suffisante par l’alimentation. Or ils sont trop rarement présents dans nos assiettes !

besoins en oméga

Les Inuits du Groenland, ont un faible taux de maladies cardio-vasculaires malgré une alimentation riche en gras. Leur secret ? Leur alimentation est principalement constituée de poisson gras, riche en Oméga 3.

Le taux de maladies cardio-vasculaires, comme notamment l’infarctus, est en effet beaucoup plus faible chez eux par rapport aux autres groupes d’Esquimaux ayant une alimentation plus occidentale contenant beaucoup de viande riche en acides gras saturés.

Quels sont les principaux bienfaits des Oméga 3

 – Ils sont indispensables à la croissance et au développement optimal du cerveau des bébés. Il est donc essentiel que les femmes enceintes ou allaitantes consomment des Oméga 3 en suffisance. L’ajout d’acide alpha-linolénique (précurseur d’Oméga 3) dans le lait pour nourrissons est d’ailleurs imposé par la loi.

– Ils jouent un rôle bénéfique sur la mémoire, la concentration et les facultés d’apprentissage. De plus en plus d’études prouvent qu’une carence en Oméga 3 ou un déséquilibre du rapport Oméga 3 et Oméga 6 peuvent favoriser la survenue du TDAH, de la dyslexie, de troubles locomoteurs, de l’autisme…

– De plus en plus de scientifiques sont convaincus qu’une consommation suffisante d’Oméga 3 contribue à prévenir la démence et la maladie d’Alzheimer.

– Ils assurent une meilleure gestion du stress, améliorent l’humeur, et permettent de lutter contre la dépression (dans les pays gros consommateurs de poisson, comme le Japon, les dépressions sont beaucoup moins fréquentes).

– Ils diminuent les douleurs rhumatismales, notamment de l’arthrite rhumatoïde (les Oméga 3 ont des propriétés anti-inflammatoires et améliorent la résistance immunitaire)

arthrite

– Ils contribuent à tonifier les membranes cellulaires

– Ils permettent la production de cytokines qui défendent l’organisme contre les agressions extérieures

– Ils adoucissent la peau, sont particulièrement utiles dans le traitement de l’eczéma et du psoriasis

– Ils favorisent la perte de poids

– Ils améliorent les performances physiques en augmentant le niveau d’énergie

– Ils participent au bon fonctionnement du système cardio-vasculaire. Quand on sait qu’il s’agit d’un des principales causes de mortalité dans les pays occidentaux, et un problème de santé majeur dans le monde, on voit ici l’importance d’un apport suffisant de ces précieux acides gras essentiels. Notre alimentation occidentale se caractérise par un rapport Oméga 6/Oméga 3 de 15/1, ce qui vraiment excessif. Ce rapport devrait être de 5/1.

– préviennent la formation de caillots dans les vaisseaux sanguins, diminuent les triglycérides présents dans le sang, favorisent la diminution de la pression artérielle.

– contribuent à stabiliser le rythme cardiaque

rythme cardiaque

– rendent les globules rouges plus flexibles, ils peuvent ainsi mieux oxygéner tous les tissus

– améliorent le fonctionnement des reins, contribuant ainsi à réduire à rétention d’eau et la pression artérielle

 Les meilleures sources d’Oméga 3

 Certaines huiles végétales (lin, noix, canola) sont sources d’Oméga 3, comme les graines dont elles sont tirées (chanvre, chia).

Cependant, les poissons gras en sont la meilleure source. En réalité, même s’ils sont appelés poissons gras, ils présentent un assez faible taux de gras et ceux-ci sont principalement des gras essentiels. Ils sont très faibles en gras saturés.

Il est bon de savoir que la majorité du saumon frais vendu dans le commerce, sous le nom de saumon de l’atlantique, est en fait du saumon d’élevage. Ces poissons présentent un taux de contamination aux métaux lourds plus élevés que ceux retrouvés chez les poissons sauvages. Même si ces taux sont inférieurs aux doses considérées comme toxiques par les organismes de santé, mieux vaut rester prudent, et privilégier des types de poissons moins contaminés, comme le saumon sauvage du Pacifique ou de l’Alaska.

 Les sardines constituent également un bon choix. D’après un test pratiqué sur 6 échantillons de différentes marques de sardines, on retrouve dans 100 gr de sardines entre 1,3 et 3,3 grammes d’Oméga-3. Les sardines fraîches sont encore plus riches en Oméga 3, puisque l’on y retrouverait de 3 à 6 grammes par 100 gr.

 La meilleure manière de consommer des Oméga 3 consiste à adopter une alimentation équilibrée. Il est donc recommandé de prendre deux ou trois repas de poisson gras par semaine, et de consommer des huiles et graines où ils sont présents. Beaucoup d’entre nous le savent, mais, qui le fait ? Les Oméga 3 sous forme de suppléments sont efficaces, mais ne remplacent pas une saine alimentation. Alors, à vos casseroles pour de nouvelles recettes de poisson !

 Sachez cependant que plusieurs semaines d’utilisation peuvent s’écouler avant que les effets salutaires des Oméga 3 commencent à se manifester.

Existe-t-il des effets secondaires à la supplémentation en Oméga 3 ?

Les Oméga 3 sont généralement très tolérés. Les effets secondaires possibles sont d’ordre digestif : nausées, mauvaise haleine, et rots. Pour éviter ces désagréments :

– Commencez avec une capsule par jour, puis augmentez après quelques jours.

– Prenez vos capsules pendant un repas.

– Évitez de prendre votre supplément avec des boissons ou aliments irritants tels que café, ou jus d’agrumes.

Les Oméga 3 Nikken

Se basant sur la maxime d’Hippocrate, « Que la nourriture soit votre remède », Nikken combine les meilleures avancées de la science avec tout ce que la nature offre de plus sain.
Le complément alimentaire Kasai® Nikken est à base d’huile de poisson et de bourrache, il contient à la fois les huiles oméga 3 et oméga 6, qui ne peuvent pas être synthétisées dans l’organisme et doivent donc être obtenues par la consommation d’aliments.

oméga nikken

L’huile Oméga 3 provient de sardines et d’anchois des côtes péruviennes.

Riche en nutriments, l’huile de poisson de Kasai® Huiles oméga est extrêmement pure, obtenue par une technologie de purification et de concentration unique développée au cours de nombreuses années de recherche, et d’expérience de fabrication.

Pour un effet optimal, votre corps a besoin de 250 mg d’huile d’Oméga 3

Deux gélules d’Huiles Oméga contiennent :
ePa 97,9 mg (acide eicospentaenoïque)
DHa 64,97 mg (acide docosahexaenoïque)
gla 11,00 mg (acide gamma-linolénique)

 Prenez soin de vous, de votre santé – Mabelle

L’ennemi invisible de notre santé

Les métaux lourds, comprendre, détecter, agir

Bonjour, je vous souhaite en pleine forme

Je vous partage un article du Dr Mohamed Boutbaoucht

Il n’est plus possible aujourd’hui d’ignorer l’omniprésence des métaux lourds dans notre environnement. Aluminium, mercure, plomb, cadmium, nickel… autant de substances que notre organisme accumule silencieusement, jusqu’à provoquer des désordres biologiques parfois graves.

Dentisterie, vaccins, alimentation industrielle, cosmétiques, ustensiles de cuisine, pollution atmosphérique, tabac — les sources d’exposition sont multiples et continues. Cette pollution chronique est l’un des grands défis de la santé moderne.

Des métaux qui s’accumulent et détruisent lentement :

Les recherches accumulées ces dernières années confirment un lien étroit entre l’exposition chronique aux métaux lourds et un grand nombre de maladies dégénératives et auto-immunes.

Même à des doses considérées comme « faibles », ces toxiques modifient profondément la physiologie cellulaire :

• Le plomb, même en dessous du seuil de toxicité reconnu, augmente le risque de maladies cardiovasculaires, de cancers et de mortalité globale. Une concentration sanguine de 20 à 29 µg/dl est déjà associée à une élévation de 39 % de la mortalité toutes causes confondues.

• Le mercure bloque les systèmes antioxydants naturels, accélérant le vieillissement cellulaire et affaiblissant les défenses immunitaires. Sa neurotoxicité est aujourd’hui bien documentée : il est impliqué dans la fibromyalgie, le syndrome de fatigue chronique, la sclérose en plaques, Alzheimer et Parkinson.

• L’aluminium, quant à lui, s’accumule lentement dans le cerveau, où il favorise les agrégations protéiques caractéristiques des maladies neurodégénératives. Il interfère aussi avec le métabolisme du calcium, des phosphates et de la myéline, et contribue à l’athérosclérose et au vieillissement accéléré.

Des effets synergiques et cumulatifs :

Les métaux lourds n’agissent pas seuls. Ils s’associent, se potentialisent et remplacent nos oligoéléments vitaux (zinc, sélénium, cuivre, magnésium). Cette substitution toxique perturbe le fonctionnement enzymatique, les voies métaboliques et la communication cellulaire.

C’est ainsi que des pathologies fonctionnelles — intolérances au gluten, troubles digestifs, colopathies, allergies, maladies auto-immunes — trouvent parfois leur origine dans une intoxication chronique méconnue.

Les métaux lourds altèrent aussi profondément le microbiote intestinal, détruisant les bactéries protectrices et favorisant la prolifération de germes pathogènes et de parasites. Cet effet sur l’écosystème intestinal explique le lien observé entre intoxication métallique, inflammation chronique et troubles neurodéveloppementaux tels que l’autisme et les troubles du comportement chez l’enfant.

Comment savoir si l’on est intoxiqué ?

Face à des symptômes persistants, polymorphes, et souvent inexpliqués (fatigue, douleurs diffuses, troubles digestifs, insomnie, anxiété, brouillard mental…), la question se pose légitimement : et si c’était les métaux lourds ?

Plusieurs analyses permettent d’en avoir le cœur net :

1. Analyse sanguine : Utile pour détecter une exposition récente au plomb, mercure, aluminium ou cadmium (chez les fumeurs notamment). Elle ne reflète cependant que les métaux circulants, et non ceux déjà stockés dans les tissus, ce qui limite sa fiabilité.

2. Analyse capillaire (cheveux) : Simple, non invasive et globalement représentative du terrain biologique. Les cheveux concentrent de nombreux métaux et minéraux, offrant un aperçu des expositions chroniques.

3. Analyse des porphyrines urinaires : Test de référence pour objectiver une exposition chronique. Les porphyrines, intermédiaires du métabolisme héminique, se modifient spécifiquement au contact des métaux lourds.

Si vous avez des difficultés financières, renseignez vous toujours sur la prise en charge par la sécurité sociale car vous risquez une bien mauvaise surprise. La médecine conventionnelle reste prudente ,voire réticente ,face à ces tests, qu’elle classe encore parmi les « analyses de confort ».

Pourtant, de nombreux praticiens de médecine fonctionnelle et intégrative observent des améliorations cliniques majeures après détoxication associée à la restauration du microbiote et du statut minéral.

Le corps humain, par son intelligence biologique, tente sans cesse d’éliminer ces métaux ; mais lorsque la charge dépasse ses capacités de détoxification (foie, reins, intestin, peau), l’organisme bascule dans l’inflammation, la dérégulation immunitaire et la dégénérescence.

La solution ne réside pas uniquement dans la détection ou la chélation, mais dans une réhabilitation globale du terrain biologique :

• Réparer la barrière intestinale,

• Restaurer la flore protectrice

• Rééquilibrer le statut minéral,

• Soutenir les voies de détoxification naturelle (foie, reins, peau).

• Réduire les sources d’exposition au quotidien (cosmétiques, ustensiles, amalgames dentaires, alimentation industrielle).

En conclusion

Les métaux lourds ne sont pas de simples polluants : ce sont des perturbateurs silencieux du vivant.

Leur dépistage et leur élimination doivent être intégrés dans toute approche médicale systémique, notamment dans la prévention des maladies neurodégénératives, auto-immunes et métaboliques.

Identifier et neutraliser ces toxiques, c’est redonner au corps sa capacité à guérir, à se régénérer, et à retrouver son équilibre originel.

Personnellement, je l’ai déjà dit, j’utilise les molécules de signalisation Redox pour une bonne communication cellulaire et une détoxication en douceur au quotidien (je m’intoxique chaque jour, je me détoxique chaque jour, je n’attends pas d’être malade pour agir). https://www.aseaglobal.com/fr-FR/asea?webSiteName=mabelle

Je prends soin de mon microbiote avec https://feelgreatmission.video/products?uid=mabelle et un probiotique (qui est offert ce mois-ci lors d’un premier achat de Unimate et Balance). Il est exact qu’il y a en magasin des probiotiques moins cher, mais avez-vous eu des résultats ? Combien de souches contiennent ils ? A quel dosage ? Sont elles actives ? Personnellement je préfère payer un peu plus cher pour un produit de qualité que des produits douteux en magasin bio ou sur le net. J’ai besoin d’être en confiance avec la société qui distribue le produit et donne des garanties. Je ne partagerai jamais que des produits dont je suis convaincue à 1000%. Mais vous restez libre d’acheter autre chose si vous le sentez ainsi.

Prenez soin de vous

Mabelle