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L’acide citrique ne provient pas du citron

Autrefois, l’acide citrique provenait des agrumes.

Bonjour, je vous espère en forme. Sans nous le dire, l’industrie modifie la plupart des produits que nous utilisons. Autrefois on en tirait le goût acidulé directement du citron et de la lime, avec un lien évident entre l’ingrédient et sa source.

Puis, au début du 20e siècle, l’industrie a basculé vers une autre réalité avec la fermentation d’une moisissure noire, Aspergillus niger, souvent modifiée OGM pour produire ce que les étiquettes continuent d’appeler « acide citrique ».

Aujourd’hui, environ 99 % de l’acide citrique mondial ne sort plus d’un fruit mais d’une cuve. On a remplacé un extrait naturel par le sous-produit d’un organisme fongique cultivé industriellement.

Pfizer s’en vante noir sur blanc dans son son site web d’avoir été pionnier de la production de masse par fermentation pour s’affranchir des producteurs d’agrumes européens.

Cette nouvelle façon de faire n’a pas seulement changé la provenance, il a aussi changé la nature de l’ingrédient, fabriqué loin des vergers, dans des bioréacteurs où règnent les souches d’Aspergillus niger les plus productives mais à quel prix pour le consommateur, la transparence et la santé publique.

La moisissure est nourrie au sirop de maïs OGM. On gave la moisissure de sucres, elle en digère une partie et sécrète un acide chimiquement similaire à celui des citrons. Similaire, mais d’origine radicalement différente. On ne parle plus d’extraction d’un jus, mais d’un procédé de fermentation fongique massif, optimisé par la biologie industrielle et la chimie de purification. Derrière l’image rassurante du mot « citrique », c’est plutôt une usine à microbes.

On le retrouve dans les sodas et boissons aromatisées, dans les conserves de tomates et de fruits, dans les aliments pour bébés, dans certains compléments alimentaires, dans les cosmétiques et produits d’hygiène, jusque dans des formulations pharmaceutiques.

Officiellement, il apporte une note acidulée, régule le pH, agit comme conservateur, chélateur et exhausteur de saveur. En pratique, il sert de clé passe-partout à l’industrie pour stabiliser, soutenir le goût et prolonger la durée de vie des produits transformés.

Aspergillus niger, c’est un producteur connu de mycotoxines, la même famille de toxines fongiques que les moisissures noires dans les maisons humides. À l’état brut, ces moisissures sont associées à des troubles respiratoires, des allergies sévères et des infections.

L’argument industriel affirme que l’acide est purifié, que la biomasse fongique est filtrée et que les procédés garantissent l’innocuité. Pourtant, pour un nombre non négligeable de personnes sensibles, la consommation d’acide citrique industriel est liée à des réactions inflammatoires, des exacerbations d’asthme, des problèmes cutanés persistants, des atteintes hépatiques rapportées et même un déclin cognitif décrit par certains consommateurs, autant de signaux qui devraient au minimum susciter la prudence et la transparence.

On a fini par entretenir une confusion volontaire entre « acide citrique » et « citron ». Le consommateur croit ajouter un produit naturel à son assiette alors qu’il avale le produit d’une fermentation fongique nourrie au maïs OGM. Il peut apparaître sous le code E330, mais aussi derrière des appellations plus techniques comme citrate de potassium ou citrate de calcium, selon l’usage recherché. Pire, il peut se cacher sous la mention « arôme naturel » lorsque sa fonction est d’ajuster le profil gustatif, brouillant encore davantage la lecture. Dans tous les cas, c’est le même univers industriel qui s’invite dans l’assiette, avec des formulations différentes et des étiquettes qui ne disent pas tout.

L’acide citrique d’aujourd’hui n’a plus rien à voir avec l’image qu’on s’en fait. Il ne vient pas d’un fruit, mais d’une moisissure noire élevée au sucre industriel, l’illustration parfaite d’une chimie de substitution qui s’est imposée silencieusement au cœur de notre alimentation quotidienne.

Maintenant, vous savez, faites vos choix !

Mabelle

Pourquoi je ne soutiens pas Octobre Rose

Tout en soutenant les femmes touchées

Bonjour, j’espère que vous allez bien

Vous avez sans doute vu des rubans roses fleurir un peu partout ces derniers jours pour rappeler l’importance du dépistage du cancer du sein.

Mais je ne me laisse pas berner par cette douce couleur rose. Derrière les rubans, les affiches et slogans, il y a la réalité de l’arnaque dont peu osent parler : le gigantesque business des laboratoires et de l’industrie médicale.

Je précise que mon intention n’est certainement pas de nier la souffrance des femmes atteintes d’un cancer du sein. J’en ai eu dans ma famille et mes amies et je leur adresse tout mon respect et mon soutien. Cependant soutenir ces femmes ne passe pas par le soutien d’une campagne qui repose sur des méthodes nocives.

Le “dépistage” du cancer du sein (mammographie de dépistage chez des femmes ne présentant aucun symptôme) n’est pas un moyen de protéger les femmes de cette maladie, mais un moyen pour l’industrie du cancer de trouver de nouvelles clientes, en les soignant de façon supposément “préventive” de quelque chose qui la plupart du temps, n’aurait jamais posé de problème.

La manipulation va jusqu’au point où de nombreuses femmes “dépistées” qui ont survécu aux traitements sont convaincues d’avoir été sauvées d’une maladie mortelle (syndrome de Stockholm).

Une revue Cochrane (2013, Gotzsche & Jorgensen) estime qu’« il n’y a pas de preuve claire que la mammographie de masse diminue la mortalité globale », mais qu’elle augmente fortement les risques de faux positifs et de traitements lourds (chirurgie, radiothérapie, chimiothérapie) pour des cancers qui n’auraient parfois jamais évolué.

En 2014, le Swiss Medical Board (commission indépendante en Suisse) a conclu, après analyse des grandes études, que « les bénéfices du dépistage systématique sont faibles et surestimés, tandis que les effets négatifs sont fréquents et sous-estimés ».

Le British Medical Journal a publié plusieurs éditoriaux questionnant l’utilité d’un dépistage généralisé, rappelant que certains cancers agressifs se développent si rapidement qu’ils échappent à tout dépistage, alors que d’autres restent indolents et ne nécessiteraient pas de traitement.

En clair : un cancer fulgurant peut apparaître en quelques semaines seulement, ce qui rend la mammographie annuelle ou bisannuelle totalement inefficace pour le détecter à temps. Jusqu’à 30 % des cancers détectés par dépistage seraient des tumeurs qui n’auraient jamais menacé la vie de la patiente, mais qui entraînent pourtant une cascade de traitements extrêmement lourds qui ne sont pas sans graves conséquences. La chimiothérapie est l’un des traitements les plus rentables, mais également l’un des traitements des plus invasifs tout de même.

Chaque mammographie expose à des radiations, dont l’accumulation est loin d’être anodine pour le tissu mammaire.

L’écrasement des seins entre deux plaques, surtout pour les fortes poitrines, est violent, douloureux et humiliant. Si on proposait la même chose pour les testicules des hommes, je suis curieuse de savoir combien accepteraient. Or la douleur doit très certainement être assez semblable.

Le stress du dépistage, des faux positifs, des examens complémentaires et des semaines d’attente pèse lourd sur la santé psychologique. Or, ce stress est justement ce qui amène la plupart des maladies, et notamment les cancers.

Plutôt que d’imposer une mammographie systématique, il serait plus logique (mais bien moins lucratif pour le monde médical) d’apprendre aux femmes à bien connaître leurs seins et comment pratiquer une auto-palpation régulière pour détecter rapidement tout changement anormal (grosseur, rétraction d’un mamelon, écoulement anormal, grosse asymétrie subite. Et, en première intention demander une échographie. Mais, ça, la plupart des cliniques la refusent en prétendant que ça ne sert à rien. La mammographie ne sert à rien et ils en pratiquent tous les jours, ne se gênant pour traiter de douillette une femme qui est à la limite de l’évanouissement tant elle a mal.

Alors, soutenir une femme atteinte, je dis oui, mais soutenir une campagne qui n’a d’autre but que de générer de scandaleux profits, d’entretenir la peur et de maltraiter les femmes, c’est non.

Le corps d’une femme, comme tout corps d’ailleurs, n’est pas un numéro à entrer dans des statistiques et des protocoles obligatoires sans qu’elle puisse avoir son mot à dire

Il serait temps également que les gynécologues préviennent les femmes que la pilule contraceptive est un agent endocrinien qui n’est pas sans conséquences, mais une fois de plus rapporte beaucoup https://www.facebook.com/watch/?v=365867373135546  

Croire que l’industrie pharmaceutique lutte contre les maladies, c’est comme croire que les fabricants d’armes luttent pour la paix

Le cancer : Coulisse d’un business lucratif https://www.facebook.com/damoucho/videos/26026585713623951

Injection covid et Turbo cancer : https://www.facebook.com/damoucho/videos/8913720875386958

Prenez soin de vous

Mabelle