Je vous partage ce matin une petite vidéo d’une personne qui avait compris beaucoup de choses et l’a malheureusement payé de sa vie.
Corinne Gouget s’est battue pour informer sur les additifs alimentaires nocifs, notamment sur le glutamate monosodique qui m’avait valu des soucis de santé il y a une vingtaine d’années, et sur l’aspartame.
Elle a fait des conférences et écrit un livre pour dénoncer. Son livre a été traduit dans plusieurs langues. Pour la faire taire, on lui a retiré ses 2 filles. Elle a continué sa bataille mais a été retrouvée morte dans des circonstances nébuleuses. Et Amazon a retiré ses livres de leur site.
Je suis heureuse de savoir que ses filles ont repris le flambeau pour poursuivre le travail de leur maman.
J’avais décidé de ne pas rentrer dans le jeu des médias et de ne rien publier sur ce sujet du Coronavirus qui est déjà sur toutes les lèvres. Ce sujet revient partout, en permanence, de façon anxiogène, générant de la peur principalement due au manque d’informations claires et au fait qu’avec tout ce qui circule sur le net il est extrêmement difficile de discerner le vrai du faux. Cependant j’ai reçu plusieurs messages me demandant ce que j’en pensais. Du coup, voilà que je m’y mets également en écrivant un article plutôt que de répondre à chacun en particulier.
D’où provient ce virus ?
Je ne vais pas vous raconter des histoires, je n’en sais absolument
rien, comme vous tou(te)s.
Les médias jouent un jeu très pervers en disant d’un côté quelque chose, et de l’autre son contraire : d’un côté le virus n’est pas si létal que ça et en même temps ils parlent du nombre de morts vingt fois par jour ou la ministre de la santé française qui annonce que le masque n’est pas nécessaire en porte un elle-même et, dernièrement on nous annonce qu’il n’y a pas de raison de ne pas mettre les enfants à l’école, qui a toujours été un énorme nid à microbes en tous genres et on maintient Batibouw qui brasse des milliers de visiteurs (A noter que la France ne fait pas mieux en laissant ouvert Eurodisney), et de l’autre on interdit l’accès aux bâtiments de la commission européenne !
Nous pouvons bien évidemment nous demander si les autorités nous disent toute la vérité ? Car visiblement elles prennent cette épidémie très au sérieux si l’on en juge les décisions prises pour limiter la propagation de l’épidémie en Chine et en Italie. Nous pouvons nous interroger sur les raisons de la mise en place de mesures aussi extrêmes. Qu’est-ce qui fait tellement peur aux autorités ? Que savent ils et oublient de nous dire sur la dangerosité de ce virus ? Car entre le nombre de personnes décédées et les mesures prises, il me paraît tout de même y avoir un énorme fossé… qui demande de réelles explications.
On joue avec nos nerfs avec une pandémie qui, me semble-t-il ne fait même pas le nombre de morts que fait la grippe saisonnière chaque année si les chiffres annoncés sont exacts. Ne s’agirait-il pas purement et simplement de manipulation ? Je vous avoue sans honte que je ne sais pas quoi en penser.
En réalité, même si cette information paraît surprenante, la Belgique n’a pas de plan de pandémie mais seulement un plan d’épidémie (j’ai personnellement vérifié cette information qui est exacte). Or cela fait une différence énorme en matière de logistique : les chaînes d’approvisionnement du matériel de soins se retrouvent interrompues puisqu’il n’y a aucune réserve stratégique.
Tout le matériel nécessaire, non seulement pour assurer le fonctionnement normal de notre système de soins de santé, mais aussi pour avoir la capacité d’absorber le surcroît inévitable dans le nombre de patients à traiter, doit être gardé en stock en quantité suffisante s’il n’est pas produit sur le territoire belge. Mais cela n’est pas le cas chez nous et les dirigeants ne semblent pas s’en inquiéter.
La propagation d’un virus est intimement liée à la fréquence des contacts entre individus. Plus il y a de contacts, plus la probabilité de transmission augmente, ce n’est un secret pour personne. Contenir un virus pandémique est une course contre la montre. Selon moi le pays devrait déjà être passé en phase 3. Mais là non plus, pas de panique en Belgique.
Les experts du gouvernement prétendent suivre la situation de près et être préparés, mais en réalité démontrent une méconnaissance totale de ce nouveau coronavirus. Leur communication reste incohérente et ils refusent d’anticiper. Soit ils ne comprennent pas suffisamment la nature du danger et ce n’est pas la politique de l’autruche qui va nous aider, soit ils se fichent complètement de ce à quoi nous faisons face. Je vous laisse seul juge. Il semblerait que le souci principal du ministère de la santé, depuis le début de cette crise, est de rassurer la population en minimisant la nature du danger. Les actions prises jusqu’ici par le gouvernement sont trop peu, trop tard et avec une communication très confuse.
N’aurait il pas fallu recommander l’annulation des vacances de carnaval en France et en Italie, et au minimum tester les personnes rentrant sur le territoire et les mettre en quarantaine, plutôt que de donner un laisser passer au coronavirus en lui ouvrant grand les portes ? Mais comme toujours on a d’abord regardé le coût financier d’une telle mesure parce que l’argent est plus important que la vie !!!
Le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus déclare « Ce n’est pas un exercice. Ce n’est pas le moment d’abandonner, ce n’est pas le moment de trouver des excuses, c’est le moment d’y aller à fond ». Qu’attendons-nous en Belgique ?
Pour ma part je me veux sereine rien qu’avec mes jeûnes réguliers, ma base alimentaire et ma supplémentation en molécules Redox qui boostent mon système immunitaire.
Mais, il est vrai que, comme beaucoup d’entre vous, je me pose quelques questions : pourquoi accuse-t-on des chauves-souris d’être responsable de la contamination initiale. Excusez-moi, mais comment des chauves-souris qui hibernent en cette période auraient pu contaminer Wuhan ? Après on a mis ça sur le dos d’un pangolin, je ne connaissais même pas l’existence de cet animal, j’aurai au moins appris quelque chose. Mais il faut vraiment arrêter de raconter n’importe quoi. Il existe de nombreuses failles béantes et des aberrations géantes dans cette histoire.
Et comment sont-ils en possession de millions de kits de détection
partout sur la planète pour ce Covid-19 si tout cela n’a pas été organisé (une
autre piste sur l’origine de ce virus qui serait sorti tout droit du
laboratoire chinois) ? Ne serait-il pas plus logique que ces kits détectent
simplement les virus de façon générale ? Or, nous avons en permanence des virus
dans le corps donc cela n’a pas le moindre sens à mes yeux.
Jusqu’à présent, jamais on n’a précisé par quel moyen cette confirmation est obtenue. Le manque de curiosité des journalistes ne cessera jamais de m’étonner. Ou cette mise sous silence est elle volontaire ?
Il y a de grandes chances que l’examen en question soit un test de PCR (Polymerase Chain Reaction). Cette méthode ne consiste pas à observer réellement le virus mais à photocopier de multiples fois sa signature génétique, elle manque de spécificité et serait à l’origine de nombreux « faux positifs », le moindre contaminant ou débris cellulaire pouvant être confondu avec de l’ADN ou de l’ARN viral. D’ailleurs son inventeur lui-même, Karry Mullis, ne lui attribuait aucune valeur pour le diagnostic d’une maladie, il me semble que c’est tout dire.
Quant à l’imagerie médicale, elle ne permet pas de distinguer une pneumonie virale d’une bactérie bactérienne ou fongique. Et les signes cliniques ne permettent pas plus de faire le tri entre les grippes classiques, les syndromes grippaux qui se compliquent et les pneumonies. Parmi les cas avérés, je suis convaincue que nombre d’entre eux n’ont rien à voir avec le corona, cela d’autant plus que la confusion entre maladies virales et non-virales est sciemment entretenue.
N’est pas étrange que les Etats-Unis, bien connus pour toujours se mettre sur le devant de la scène continuent de rester si silencieux sur cette pandémie ? Ce silence ne cacherai- il pas quelque chose ? Oui, je suis bien consciente que certains vont arrêter leur lecture dès à présent en pensant « encore une complotiste ». Mais sachez que je m’en moque vraiment. Je ne m’étais pas exprimée sur le sujet jusqu’à présent, ce n’est pas pour, au moment où je le fais, ne dire que ce qui ne va pas choquer. Je suis convaincue que bien des choses se trament derrière notre dos et qu’on nous considère comme des pions et chacun est libre d’y croire ou non.
La réaction drastique du gouvernement chinois (et maintenant italien) consistant à mettre environ des millions de personnes en quarantaine pour une durée indéterminée au risque de voir l’économie du pays s’effondrer, est très inquiétante. Vous connaissez beaucoup de pays qui construisent des hopitaux en 10 jours et désinfectent les rues au camion pompe ? Cela me paraît tout de même indiquer la gravité de la situation. Ils savaient que les choses étaient graves. Les autorités devaient donc savoir depuis le début de l’épidémie que le germe était très virulent… Comment le savaient-ils et, pourquoi cet oubli dans les informations ? Pourquoi le reste du monde n’a-t-il pas immédiatement pris les mesures de précautions qui s’imposent ? L’hypothèse d’une fuite depuis le laboratoire secret ressort, je suis loin d’être la seule à y penser.
En France, on peut clairement dire que le coronavirus est une réelle au aubaine pour le gouvernement : le problème des retraites passe désormais au second plan et l’utilisation du 49-3 ne serait jamais passée sans cette pandémie. Le réchauffement planétaire on n’en parle plus, quant aux grèves, aux manifestations des gilets jaunes, tout ça est passé aux oubliettes. Et la France n’était pas le seul pays dans lequel les citoyens se rebellaient de plus en plus, refusaient l’oppression de leurs dirigeants. Désormais, d’autres choses sont prioritaires. Coïncidence ?
Pourquoi des représentants de nombreux pays se sont-ils réunis en octobre 2019 sur la préparation à une pandémie qui était principalement axée sur l’impact financier d’une pandémie et pas le moins du monde l’impact en matière de santé de la population ?
Malgré son évolution pandémique, je continue de croire que les clés de cette crise sanitaire ne sont pas seulement infectieuses, mais se situent là où elle a commencé, à Wuhan. Son origine est-elle la pollution atmosphérique ou les effets délétères des antennes 5G ? Ou plus probablement la combinaison des deux ? Il est évident pour moi que la fréquence de 60 mégahertz est particulièrement néfaste. Selon des infos circulant sur le net, cette longueur d’ondes agirait négativement sur l’oxygène sanguin, favorisant ainsi les difficultés respiratoires. Il faut probablement confirmation de ceci, mais l’éventuel impact de la technologie 5G ne doit certainement pas être balayé. Un petit article sur le sujet : https://www.alerte.ch/fr/information/info-generale/203-scientifiques-et-m%C3%A9decins-alertent-sur-les-effets-de-la-5g.html?fbclid=IwAR3hiwAhSrNuceYu9cCUmTsSoUESSkxBevxxlEzu5SRoEQevs8spzTuYdiE
Et les merdias, oui désolée si le terme ne plaît pas, mais puisque vous voulez connaître mon avis, je vous le donne (si je ne regarde plus la télévision depuis longtemps, ce n’est pas pour rien) se plaisent à écrire des articles creux plutôt que nous parler des bienfaits d’une promenade dans la nature. Pourtant la marche en forêt est bénéfique pour le système immunitaire, et réduit l’anxiété. Mais c’est clair que ce genre d’article est nettement moins vendeur que les nouveaux cas probables ou détectés et les décès annoncés.
Rester loin des infos qui influencent sur notre moral me paraît une meilleure attitude si on veut rester serein. Cela ne veut pas dire qu’il faut vivre avec des œillères et ignorer ce qui se passe, il faut rester informé, mais pas 24h/24 et surtout en gardant un regard critique sur les choses. Si vous êtes en bonne santé, profitez-en, continuez à vivre et à faire ce que vous aimez. Et si vous faites partie de ceux qui paniquent et qui croient qu’ils vont mourir avant la fin du mois, raison de plus pour profiter de votre santé actuelle (oui, je sais, certains me diront que je n’ai pas de cœur mais détrompez-vous, j’ai simplement la tête sur les épaules et, si demain vous êtes malade et avez besoin d’un endroit où vous reposer, je vous ouvrirai la porte bien grande en continuant de prendre soin de moi).
Vais-je l’attraper ?
D’ici quelques jours ou semaines, le virus sera répandu sur une majorité du territoire, on n’y échappera pas, même si pour une bonne partie d’entre nous cela sera probablement asymptomatique ou anodin (une fois encore, je le redis, si on ne nous cache pas certaines informations importantes).
Ce virus, comme tout virus, est dangereux pour personnes âgées souvent polymédiquées, fragiles, ou déjà atteintes de pathologies.
Pour évaluer la contagion on parle du « R Zéro » du virus. Cela signifie combien de gens vont attraper le virus si on place un individu malade dans une pièce avec 100 personnes (en considérant que les chiffres annoncés sont exacts et rien ne prouve qu’ils ne sont pas fortement minimisés).
Le «R zéro» :
– De la grippe est de 1,3
– Du coronavirus est de 2,2 (il s’agit des derniers chiffres que j’ai entendus mais ils semblent évoluer chaque jour)
Le temps moyen d’incubation du coronavirus est de 6 jours, cela
signifie donc que si l’on place un individu malade dans une pièce de 100
personnes, on aura :
– À J+6 : 2,2 personnes malades + le premier malade = 3,2
– À J+12 : les 2,2 vont chacun contaminer 2,2 personnes => 3,2 + 2,2
+ 2,2 = 7,6 malades
– À J+18 : 24 malades = 24 % de la population si je ne me trompe pas
dans mes calculs.
Donc un petit foyer peut rapidement entraîner jusqu’à 850000 belges
infectés.
Il est souvent fait la comparaison avec la grippe saisonnière. Le coronavirus est donc 1,7 fois plus contagieux que la grippe saisonnière. En Belgique, la grippe touche 500.000 personnes en moyenne par an. Sans mesures de précaution plus drastiques qu’avec la grippe, on risque donc d’avoir 1,7 x 500.000 = 850.000 personnes infectées par le coronavirus en Belgique. Je vous laisse faire les calculs pour votre pays si cela vous tente, tout en sachant que cela ne va rien changer, que ça n’est jamais que des chiffres probables.
En absence de mesures de santé publique, un épidémiologiste a calculé, avec des calculs d’exponentielle trop compliqués pour moi, qu’à partir d’un cas COVID-19 on obtient 1000 cas après 24 jours, un million après 48 jours et un milliard de cas à partir d’un seul cas après 72 jours… et certains continuent d’en rire, sans doute parce qu’ils n’ont pas d’expérience personnelle de la puissance destructrice d’une pandémie. Le problème c’est qu’ils propagent dangereusement le virus. Certaines réflexions font d’ailleurs froid dans le dos « On est trop nombreux sur terre de toutes manières, il est temps qu’un virus vienne nettoyer tout ça! C’est de la sélection naturelle, c’est très bien ». Pourquoi donc le « tout ça » serait il un chinois ou un italien inconnu, voire un voisin, mais pas eux-mêmes, leur mère, leur enfant ?
Si le corona virus est bien un virus typique du rhume, et non un virus manipulé par des laboratoires (ce dont je n’ai aucune certitude), seules les personnes plus âgées en baisse d’immunité (en mauvaise santé intestinale/dysbiose, manque de vitamines A, D, diabétiques, malnutris, manquant de Fer ou de Zinc) peuvent en être victimes.
Comment se manifeste le virus ?
Je vous livre ces informations d’une connaissance infirmière de retour
d’Italie.
Il est dit un peu partout que l’infection du Coronavirus ne se présente pas comme le rhume habituel, avec le nez qui coule ou une toux avec cathares et crachats, mais au contraire avec une toux sèche et que ça serait le premier signal à bien identifier.
Or cela est faux. il peut aussi causer des congestions et écoulements nasaux et des crachats » car les « symptômes sont d’abord similaires à ceux d’un rhume classique », selon le professeur Brandon Brown, épidémiologiste à l’Université de Californie. Selon les autorités sanitaires américaines (CDC) et l’Organisation mondiale de la santé (OMS), les principaux symptômes demeurent la fièvre, la toux, la sentation d’essouflement et des difficultés respiratoires. Mais certains patients peuvent ne pas connaître de symptômes du tout ou simplement des symptômes similaires à ceux d’un rhume ou d’une grippe La. durée d’incubation varie de 1 à 14 jours selon les estimations de l’OMS.
La pneumonie se manifeste avec de la fièvre élevée et des difficultés de respiration et elle ne ressemble absolument pas à un rhume ordinaire. Vous pourriez même avoir la sensation de vous noyer à cause de la difficulté respiratoire. N’attendez pas d’en arriver là avant de contacter un service de soins d’urgence.
Quelle attitude adopter ?
Je choisis de vous donner quelques pistes de simple bon sens, il est vrai. Mais il arrive souvent, que dans la panique, on en oublie le plus élémentaire mais pourtant efficace, on n’agit plus de manière logique. Il ne s’agira donc de rien d’autre que de conseils d’hygiène de vie habituels.
La transmission est, semble-t-il aérienne (gouttelettes de salive) qui peuvent être directement être respirées ou déposées sur le visage d’une personne qui, en se frottant le visage contaminera ses propres mains. Ensuite la personne contaminée transmettra le virus (poignées de mains, objets touchés).
Les gouttelettes de salive peuvent se déposer sur les objets environnant qui seront touchés ensuite par des tiers, ce qui les contaminera à leur tour via les mains.
Il ne semble exister aucune information sur d’autres modes possibles de contamination comme les selles, les urines et les relations sexuelles… ce qui serait pourtant important de connaitre compte tenu de l’existence des nombreux porteurs sains. Mais soit on ne le sait pas, ou on refuse de nous en informer.
Toutes les règles habituelles d’hygiène sont donc à respecter plus que jamais pour éviter de transmettre le virus à une personne fragile pour qui il pourrait être potentiellement dangereux.
Beaucoup d’infos circulent sur les réseaux sociaux, sur la durée de vie du virus, sur les mains environ 10 minutes, sur les tissus durant 6 à 12 heures et 12 heures sur les surfaces métalliques. En réalité personne ne peut donner précisément une telle information. On ne peut qu’imaginer qu’il se comporte comme les autres virus. Selon l’OMS il semblerait qu’il peut vivre sur les surfaces quelques jours à plusieurs jours.
Une étude publiée en mars par des chercheurs allemands dans le Journal of Hospital Infection analysait la persistance des autres coronavirus, comme ceux des ayant provoqué les épidémies de SARS ou de MERS, proche du Sars-Cov2, le virus actuel. Voici leurs résultats qui sont sensiblement différents des affirmations sur le net.
Quoiqu’il en soit, quelle que soit la durée de vie du virus,
et même si elle n’était que de 10 minutes, pendant ces 10 minutes beaucoup de
choses peuvent se passer : se frotter les yeux ou se gratter le nez par exemple
et permettre ainsi au virus d’entrer dans votre gorge. Evitez de vous toucher
le visage ou de vous frotter les yeux avec les mains avant de les avoir lavées.
Soyez vigilants, évitez autant que possible de toucher les
rampes d’escalier, les poignées de porte, les robinets ou autres objets touchés
dans les lieux publics. Pour votre bien-être et pour celui des autres, lavez-vous
les mains.
Si vous êtes malade, restez chez vous, n’allez pas vous exposer à un coronavirus en plus de ce que vous avez déjà puisque, si vous avez un souci de santé c’est bien que votre système de défense n’est pas au top donc ne prenez pas le risque de côtoyer un autre virus, qui demanderait encore plus à votre système qu’il n’est en situation de le faire.
Eternuez et toussez dans votre coude et non en mettant la main devant le visage (pour éviter toute projection autour de vous mais également sur vos mains) et utilisez des mouchoirs jetables et lavez vous les mains. Je reviendrai sur le sujet plus loin car point trop n’en faut.
Si vous êtes en bonne santé, dites bonjour de loin, évitez les poignées de mains et ne faites pas la bise. C’est parfait si vous allez bien, mais soyez responsable pour ne pas propager le virus à des personnes qui ne le sont pas. Si une personne qui a été déjà affectée éternue devant vous, et qu’elle se trouve à 3 mètres de distance, le virus attérira au sol et donc n’arrivera pas jusqu’à vous (ce n’est pas un avion à réaction non plus). C’est la raison pour laquelle une distance de sécurité est importante entre les personnes.
J’aurais envie de vous dire de porter un masque dans les lieux publics confinés (transports en commun notamment) même si, à la base, les masques sont destinés à être portés par les personnes malades et que le gouvernement dit que cela n’est pas nécessaire. Mais quoi qu’il en soit les masques FFP2 (selon un rapport de chercheurs chinois le diamètre des particules du nouveau coronavirus varie entre 60nn et 140nn, ce qui impliquerait que le FFP2 soit nécessaire pour l’arrêter selon moi, en rappelant que je ne suis pas médecin) , voire les masques chirurgicaux semblent être partout en rupture de stock, ce qui confirme bien que nos dirigeants sont irresponsables et n’ont prévu aucun stock de matériel pour une situation comme celle à laquelle nous sommes actuellement confrontés ou cela est volontaire ?
Utilisez des diffuseurs d’huiles essentielles dans vos lieux de vie et de travail pour assainier l’atmosphère, ou du papier d’Arménie si vous ne possédez pas de diffuseur et ne disposez pas des moyens financiers de vous en procurer un. Et si même ça ne fonctionne pas, ça ne peut pas faire de tort et ça parfumera la maison.
Ces règles élémentaires sont en réalité celles à adopter en tout temps par toute personne responsable qui pourrait être le relais d’une infection entre une personne malade et une personne fragile. Mais ces règles s’imposent plus encore en période hivernale d’épidémie, et ici de pandémie.
Je ne suis pas certaine que de rester enfermé chez soi soit la meilleure des solutions. Le corps a besoin de prendre l’air, de marcher. Evidemment, pas si vous vivez en centre-ville et ne pouvez pas faire trois pas sans frôler quatre personnes. Mais, pour ceux qui ont la chance de vivre à la campagne, il ne faut pas non plus diaboliser ce virus et s’imaginer qu’il est partout dans l’air qu’on respire.
Faut-il avoir peur ?
Est-il vraiment nécessaire de s’inquiéter autant pour le Coronavirus ? A vous d’en juger… Mais gardons à l’esprit que la peur n’y changera rien, que tu contraire. La crainte, l’inquiétude et la peur sont autant de portes ouvertes dans notre système immunitaire. Il s’agit de tenter de s’informer en gardant la tête froide et de mettre en place ce qui peut être fait.
Nous ne sommes généralement préparés qu’aux dangers auxquels nous faisons face régulièrement. Personne n’est préparé psychologiquement à une pandémie, ou n’en a l’expérience puisque la dernière date de plus de 100 ans. Il est très difficile d’anticiper l’aspect explosif de la propagation d’un agent infectieux, alors qu’il est scientifiquement établi qu’un virus se propage de manière exponentielle.
Nous savons qu’il existe de nombreuses personnes porteuses (et donc transmetteuses) du virus qui sont asymptomatiques c’està-dire qu’elles ne sont pas elles-mêmes malades. De plus, les animaux peuvent aussi être des porteurs (sains ?) si l’on en croit ce qui a été dit en début d’épidémie avec le pangolin et à propos de chiens par la suite… qui peuvent transmettre la maladie aux humains. Tout cela fait que la situation est difficilement contrôlable et peut engendrer du stress. Ce stress est principalement lié à notre mental d’humain (qui est le seul animal capable de se stresser tout seul) qui nous envisage souvent le pire. Nous n’avons aucun contrôle du futur. Nous pouvons seulement vivre le présent et garder notre bons sens au cas où cette épidémie venait à nous toucher personnellement ou à toucher nos proches. Ainsi la première chose à mettre en place pour prévenir la maladie est de lutter contre le stress.
Car, quoi qu’il arrive, le stress est le principal agent causal de toutes les maladies puisqu’il épuise le système immunitaire. Plus on a peur, plus l’organisme se met en position d’alerte pour se préparer au combat ou à la fuite. Et, quand il fait cela, il met en pause les autres fonctions qu’il ne considère pas comme prioritaires. Quelles fonctions ? Et bien la digestion et le système immunitaire ! Donc plus vous avez peur des virus et plus vous leur préparez le terrain.
Pour moi la première chose à faire est de rester aussi calme que possible. Je suis bien consciente qu’il est parfaitement clair que d’être obligé de se passer les mains au gel hydroalcoolique avant d’entrer dans un magasin, puis d’assister à une bagarre pour un paquet de pâtes peut franchement faire flipper. On se croirait dans un mauvais feuilleton télé, il ne manque plus que les gars bâtis comme Schwarzenegger, en tenue de camouflage avec leurs armes de guerre à la main et les grenades à la ceinture ! Et, là encore je me pose la question « n’y aurait il pas un intérêt à maintenir la population dans la peur ? » Je ne peux m’empêcher de penser aux attentats et la peur qui en a suivi. Pendant ce temps là plus personne ne manifeste, on nous sort des lois sans que nous soyons au courant de ce qui se fait dans notre dos. Nous ouvrirons des yeux ébahis lorsque ce virus ne sera plus là parce que nous n’avons rien vu de ce qui se passait tout ce temps là.
Cependant, être en état de stress permanent diminue l’équilibre du
système immunitaire donc si même la vue de la bagarre au magasin n’était pas
agréable, il faut impérativement, une fois rentré chez soi, se détendre et
passer à autre chose. Certainement pas se ruer sur la télévision qui annonce de
nouveaux morts pour continuer le stress le reste de la soirée.
Pourquoi ne pas méditer, ou
écouter une musique agréable, notamment une musique à la fréquence de 432 Hz.
Rien de plus simple, il suffit de taper 432 Hz sur youtube et vous en trouverez
des milliers.
La fréquence de 432 Hz est qualifiée, par des scientifiques, de
« naturelle ». Ils ont calculé les fréquences de résonance des atomes
et molécules dans la nature. L’oscillation à 432Hz est une fréquence de
résonance de l’eau. Je vous rappelle que l’eau est le constituant majeur de
toute vie sur terre, et notamment de l’être humain.
L’écoute
d’une musique en 432 Hz nous rapproche de la nature, nous met en résonance avec
elle. Elle a un effet profond sur l’organisme, en procurant rapidement une
sédation du système neuro-végétatif et un état de bien-être.
Ne vous laissez pas atteindre par la peur. Si votre système immunitaire est déjà dégradé par vos habitudes de vie, que votre santé n’est pas terrible, faites ce qu’il faut pour votre corps retrouve l’équilibre, il faudra sans doute une approche plus musclée, le temps de bien réaccorder votre système immunitaire. Mais c’est important de le faire dès à présent et de sortir du stress au plus vite. N’oubliez jamais que des milliers de personnes meurent chaque jour dans un accident de voiture, ou d’un problème cardiaque que rien n’annonçait. Vous ne pensez pas à ça toute la journée. Or vous n’avez pas plus de risque de mourir du coronavirus.
Si vous persistez à ressentir la peur, je vous suggère de faire une (ou autant que vous en ressentez le besoin) ronde d’EFT sur le sujet. Vous trouverez toutes les infos sur l’EFT sur ce blog. Si vous préférez une ronde en vidéo, mon amie Claude, bien consciente que la peur aggrave le danger a posté dernièrement une vidéo sur le sujet
Vous pouvez aussi faire une séance de Bars d’Access Consciousness pour laisser aller toutes ces peurs, du Reiki ou de la réflexologie plantaire pour vous calmer et soutenir votre système immunitaire. Il existe des tas de techniques, je ne vais pas toutes vous les citer, vous avez très certainement vos préférences, faites le choix parmi les nombreuses possibilités existantes.
Pourquoi serez-vous malade mais pas votre voisin ? Ou l’inverse ! Je ne suis pas voyante extralucide !
Qu’il s’agisse du Corona Virus, de tout autre virus ou de la grippe
saisonnière (qui fait des milliers de morts chaque année mais que tout le monde
semble oublier subitement parce que les médias entretiennent la panique), le
meilleur moyen de s’en préserver est et restera toujours de maintenir un
système immunitaire performant. C’est son rôle tout de même de nous protéger de
tout agent extérieur. Ce n’est pas un hasard si les décès dus à la grippe
annuelle sont des personnes âgées ou déjà en mauvais état de santé. Leur
système immunitaire est déjà défaillant.
Par ailleurs, il faut garder à l’esprit que, s’il peut y avoir des virus dans l’air respiré, avant que cet air arrive au niveau des bronches, il passe à travers le système immunitaire mucosal. Si nous entendons actuellement de plus en plus parler de flore intestinale et des gentilles bactéries qu’elle contient. C’est aussi vrai pour les virus non pathogènes qui se répartissent dans notre flore intestinale mais également buccale, génitale et cutanée, yeux, nez, bronches. Finalement ce système immunitaire mucosal constitue l’essentiel de notre défense immunitaire, qui entre en action avant même les globules blancs. On voit donc l’importance, contrairement à ce qui se lit et se propage partout, de ne pas procéder à des lavages excessifs des mains à l’aide gel hydroalcoolique qui va nuire énormément à notre flore cutanée. L’empêchant de jouer son rôle protecteur. Mais, ici encore, chacun fera ce qui lui paraît adapté à sa situation, je ne fais que donner mon avis sur la question. Et, ceux qui y tiennent absolument trouveront plus loin une recette de gel en cas de pénurie en magasins. Sachez également que du simple vinaigre blanc convient tout aussi bien qu’un gel à l’alcool.
Le rôle de ce système immunitaire, constitué de microbes, champignons, levures,
bactéries, et virus, est de trier ce qui doit rentrer dans l’organisme et ce
qui ne doit pas y entrer.
S’il y a infection, qu’elle soit virale ou bactérienne, c’est uniquement parce que le système immunitaire n’a pas joué son rôle. Je suis bien consciente que c’est là le problème de la médecine allopathique avec son approche symptomatique des maladies, sans regarder l’aspect causal et cela sera toujours plus problématique car il y aura toujours plus de maladies vu qu’on utilise des antibiotiques, on vaccine toujours plus et on aseptise à l’extrême. Si bien que le corps diminue sa capacité adaptative. Mais soyons clair, ça n’est pas un masque qui va pouvoir remplir le rôle de système immunitaire
Comprenez bien que notre immunité est un système adaptatif. Notre vécu
aura invariablement un impact dessus, soit en la stimulant soit au contraire en
l’affaiblissant. Pour se protéger du Coronavirus, c’est pareil que pour toutes
les autres maladies, le seul vrai moyen est d’avoir un bon système immunitaire
afin que le corps soit capable de distinguer ce qui est bon ou mauvais pour
lui. Pour certains un coup de boost sera nécessaire.
Pasteur, lui-même, a reconnu, sur son lit de mort, la pertinence des travaux de son rival en énonçant cette phrase célèbre : « Béchamp avait raison, le microbe n’est rien, le terrain est tout ! » Il existe des traitements préventifs (naturels) pouvant stimuler l’état général et le système immunitaire. Devant l’expansion de l’épidémie, il serait même indiqué que chacun les utilise dès à présent. Je vous invite donc à renforcer votre système immunitaire que de vous focaliser sur des pensées de peur et de panique qui vont fragiliser votre organisme …une pensée émet une onde … donc ayez des pensées saines et de protection et de renforcement de votre capital cellulaire.
Comment booster le système
immunitaire ?
Il existe de nombreuses façons de stimuler l’immunité. Que ce soit pour
se protéger du Coronavirus, de la grippe ou de tout autre virus pathogène, ces
conseils sont tout à fait valables. Il est inutile de multiplier les approches,
il importe de mettre en place une, deux voire trois habitudes qui vous
correspondent, vous parlent et dont vous trouvez un bénéfice. Stimuler son
immunité, c’est stimuler sa vitalité. Pour savoir si cela fonctionne, c’est
simple : vous devez vous sentir mieux !
Le repos n’est pas anodin. Une mauvaise hygiène de vie n’est pas uniquement une question d’alimentation. Pendant le sommeil cerveau sécrète des hormones qui aident le système immunitaire à lutter contre les infections bactériennes et virales. La privation de sommeil amène l’épuisement du système immunitaire.
Dormir moins de 6 heures par nuit multiplie par 4 le risque de tomber
malade lorsqu’on se trouve exposé à des virus, selon une étude publiée en 2015.
J’ai lu dernièrement un article saluant la mémoire du Dr Ehong Jinxing,
32 ans, décédé officiellement du coronavirus le 28 février. Le quotidien
précise que ce médecin héroïque avait travaillé 33 jours d’affilée au chevet
des malades admis dans son service. Difficile de croire que le manque de
sommeil et la tension accumulée n’ont pas de lien avec l’infection contractée
et son issue fatale.
Le jeûne est un excellent moyen de renforcer le système immunitaire. On dit que trois jours de jeûne renforcent l’organisme et même renouvellerait complètement le système immunitaire. Maintenant je ne vous dis pas que de jeûner une fois le virus contracté va régler le problème, je ne saurais pas répondre à cette question. Mais je suis convaincue que d’avoir régulièrement jeûné en amont a forcément renforcé l’immunité pour traverser un environnement contenant des bactéries ou virus pour y être suffisamment résistant puisque le système est capable de différencier ce qui est bon et ce qui ne l’est pas. Pour plus d’infos sur le sujet, vous trouverez d’anciens articles sur ce même blog.
La pratique d’une activité physique stimule le système immunitaire. Si le stress et la fatigue affaiblissent le système immunitaire, rendant ainsi plus vulnérable aux attaques pathogènes, une activité physique, régulière et sans excès, agit positivement sur le bien-être physique et mental et participe au renforcement du système immunitaire. Avec l’âge, le système immunitaire vieillit, manifestement par un affaiblissement des réponses immunitaires face aux infections, notamment respiratoires. L’activité physique préviendrait ce vieillissement. Marcher en pleine nature (les phytoncides participent au développement de l’immunité) en respirant profondément semble tellement simple, mais combien de fois sommes nous en apnée au quotidien ?
Attention cependant, selon plusieurs études scientifiques, il a été
prouvé que la pratique d’une activité sportive intensive affaiblit le système
immunitaire. Quand l’effort est intense, la production de cellules, comme les
lymphocytes, augmente très rapidement pour ensuite diminuer, voire disparaître
après l’effort. Après leur entrainement, les athlètes de haut niveau sont
exposés aux risques d’infections respiratoires sans pour autant en être sujets.
Le microbiote joue un rôle essentiel dans l’immunité, il est composé de 100.000 milliards de bactéries, microbes, levures, champignons, virus bénéfiques au corps, soit 10 fois plus que le nombre de cellules du corps, avec un poids plus élevé que le cerveau, jusqu’à 2 kilos !
Il est essentiel de préserver la diversité de ces micro-organismes en
leur apportant suffisamment de nutriments qualitatifs pour leur permettre de
vivre et donc de nous protéger. Cela passe par l’alimentation et, si nécessaire
par une complémentation. Je vous donnerai plus d’infos sur le sujet avec
plaisir.
La quercétine. On peut lire sur internet que le virus ne résiste pas à la uen chaleur de plus de 26° à l’extérieur du corps et qu’il serait intéressant de boire des boissons chaudes. Selon le Professeur Brandon Brown, la consommation de boissons chaudes n’ont aucune incidence sur ce virus. Il n’est donc pas nécessaire de changer la température de ce que vous buvez. Par contre, boire de l’eau est toujours important, virus ou pas. Par contre je trouve judicieux de consommer du thé vert, non pas pour sa chaleur, mais pour sa richesse en quercétine, qui protège contre de nombreuses maladies. Le Dr Michel Chrétien, éminent virologue, a expliqué à la télévision canadienne que la quercétine a de bonnes chances de fonctionner dans la prévention mais aussi la guérison du coronavirus et a déjà prouvé son efficacité sur Zika et Ebola. Affaire à suivre ! Mais en attendant d’en avoir la preuve définitive, pourquoi ne pas l’essayer ? Vous pouvez bien entendu penser que si les médias n’en parlent pas, ça n’a pas d’intérêt. Soyez certain que s’ils n’en parlent pas c’est uniquement parce que les compléments alimentaires ne rapportent rien aux labos pharmaceutiques. Ca c’est mon avis, je vous laisse libre de vous faire le vôtre. Vous trouverez également de la quercétine en quantité dans les oignons. N’est ce pas le moment de faire une bonne soupe à l’oignon ? Une manière simple de se prémunir.
Certaines plantes médicinales, en tisane, le romarin, la sauge ou le thym sont des plantes qui peuvent stimuler notre immunité. L’Aunée ((Inula helenium L.) est également intéressante dans les cas d’affections pulmonaires, respiratoires (décoction de 10 à 20g de rhizome par litre d’eau à boire une tasse avant chaque repas)
L’Echinacée (Echinacea purpurea) est une plante qui a prouvé ses vertus. C’est au 19ème qu’elle est le plus utilisée en Amérique de Nord car elle a la particularité de stimuler le système immunitaire de l’organisme, notamment dans l’activation des pouvoirs des macrophages. Elle est souvent utilisée pour la prévention des infections ORL. Cependant cette plante ne doit pas faire l’objet d’un traitement continu, il est important de passer par des « fenêtres thérapeutiques » (interrompre le traitement par intervalles réguliers).
De plus l’échinacée n’a pas le même effet selon les personnes et la nature de l’infection. Le Corona étant quelque chose de nouveau, impossible de savoir si elle a une action ou non.
Attention également aux effets indésirables et des contre-indications.
Si vous êtes asthmatique ou allergique, il est possible que vous développiez
une allergie à l’échinacée. Il est important de prendre conseil auprès d’un médecin
ou naturopathe.
La puissance deshuiles essentiellespour vous protéger
L’huile essentielle de Ravintsara (Cinnamomum camphora ct 1,8 cinéole) serait l’un des plus puissants antiviraux naturels connus. Elle est particulièrement efficace contre les infections virales et les troubles respiratoires nerveux. C’est sans le moindre doute l’une des huiles essentielles à avoir chez soi, avec le tea tree ou la lavande. En 2003 des chercheurs ont démontré l’action antivirale de la ravintsara grâce à une action sur l’inhibition de la formation des acides nucléiques viraux, et également sur l’inhibition de la réplication virale. Elle renforce le système immunitaire en stimulant les glandes surrénales et elle détruit les microbes.
Cependant, attention, cette huile essentielle est déconseillée chez les
asthmatiques, les enfants de moins de 3 mois et les femmes enceintes
Comment l’utiliser ? Elle excelle en prévention des maladies ORL avec l’application d’une goutte pure sur l’intérieur du poignet, puis frottez les poignets l’un sur l’autre chaque matin. Ou 4 gouttes dans une noisette de gel d’aloe vera à appliquer sur le thorax et les voûtes plantaires.
Vous pouvez également déposer une goutte sur un mouchoir et le respirer
plusieurs fois par jour.
Ou l’utiliser en synergie avec la Tee Trea, 2gouttes de chaque sous les
clavicules et sur les avants bras chaque matin et soir, 5 jours sur 7
Pour assainir l’air de votre domicile, vous pouvez aussi l’utiliser en
diffusion.
Le thym à linalol (Thymus vulgaris CT linalol), en application sur les avant-bras ou sur la plante des pieds, 1 ou 2 gouttes par jour est également très efficace.
L’huile essentielle de Laurier noble (Laurus Nobilis) est aussi particulièrement indiquée. La forme suppositoire est la plus efficace (à faire préparer en pharmacie). Mais vous pouvez également appliquer 2 gouttes de cette huile sur le haut de poitrine ou sur la face interne du poignet, trois fois par jour.
Attention cependant les huiles essentielles, si elles sont puissantes, ont également un risque élevé d’allergies. Je vous conseille de toujours faire un test d’allergie sur le pli du coude en préalable à toute utilisation. Et d’être très prudent dans leur utilisation avec les enfants. Personnellement je ne recommande pas leur utilisation sur les petits, mais plutôt l’homéopathie : Thymuline 9CH à raison de 3 granules par jour.
Mon médecin me conseille vaccinococcinum, une dose 30CH. J’ai vu que ça existe chez Boiron. Pour les enfants le 9CH.
Les oligoéléments
L’argent colloïdal, dosé à 20ppm, est un antibactérien, antifongique et antiviral, qui ne connaît pas de résistances aux souches les plus récurrentes comme le staphylocoque doré. Si vous ne savez pas lequel choisir, j’utiise la marque Catalyons (que j’achète en magasin bio). Ce laboratoire est spécialiste en oligo-éléments et bénéficie d’une bonne réputation. À titre préventif prenez un bouchon doseur par jour. Vous pouvez passer à plusieurs bouchons par jour (j’en ai déjà pris 2 bouchons trois fois par jour) en cas d’infection. Je rappelle que je ne parle que par expérience et ne suis pas médecin. Consultez toujours votre médecin si vous êtes malade.
Cuivre-or-argent : 1 dose à garder en bouche pendant une à deux minutes le matin à jeun pendant une quinzaine de jours puis diminuer la posologie à un jour sur deux.
Comme pour toute infection bactérienne ou virale débutante, ce qui est redoutablement efficace c’est d’associer l’argent colloïdal et l’huile essentielle d’origan. Ces deux substances naturelles ont un effet redoutable et ont même prouvé leur efficacité sur le virus Ebola lors des poussées épidémiques
–argent colloïdal : 2 gorgées à avaler 3-4 x/jour sur estomac vide
pendant quelques jours
–huile essentielle d’origan, en gélules, pas en gouttes : 4 x 2/jour pendant quelques jours
L’extrait de pépin de pamplemousse (EPP) est un remède naturel puissant. Il possède de très nombreuses vertus et s’utilise au quotidien pour tout désinfecter, autant en utilisation interne qu’externe, en prévention ou en traitement. Sa richesse en bioflavonoîdes et en vitamine C protègent les cellules du vieillissement prématuré et stimulent le système immunitaire.
Il faut apporter un soin particulier au choix du produit. Il existe de
nombreux extraits fabriqués à partir de n’importe quel pamplemousse. Il faut
donc privilégier un extrait tiré du pamplemousse Citrus paradisi, sous la forme
liquide, plus pure et plus efficace que les comprimés.
Enfin, attention, l’EPP est déconseillé en cas de prise d’immunodépresseurs, statines (molécules anti-cholestérol) et de traitements contre les troubles cardiaques. De manière générale, évitez l’EPP si vous prenez des médicaments car le pamplemousse peut interférer sur leur bonne assimilation et en inhiber ou en minimiser l’action.
Les vitamines
En prévention, plusieurs vitamines sont précieuses et vous rendent plus
résistants contre les infections virales.
La plus importante est la vitamine D3.
Une étude de l’Université du Colorado a démontré qu’une dose de 3 000
UI de vitamine D par jour réduit de 40 % le risque d’infection respiratoire. Selon
une étude américaine ayant suivi plus de 13 000 patients sur dix ans, une
carence en vitamine D serait associée à un excès de mortalité de 26 %, toutes
causes confondues. Or, près de 80% de la population serait carencée en vitamine
D selon l’Académie de Médecine Française.
Or cette vitamine étant synthétisée dans l’organisme sous l’action des rayonnements UVB1 du soleil, le mois de mars est la période de l’année où nos réserves de vitamine D sont au plus bas, faute de soleil suffisant depuis le début de l’automne et du fait que le stock constitué durant l’été est épuisé. Cette situation n’est pas sans effets sur l’organisme. En 2010, des chercheurs ont mis en évidence qu’en l’absence de vitamine D, le système immunitaire ne peut pas remplir son rôle. En effet, les cellules de l’immunité chargées de tuer les bactéries et les virus doivent d’abord trouver de la vitamine D circulante, et la fixer sur un récepteur pour lancer leur processus de défense.
N’attendez donc pour vous complémenter avec au moins 3 000 UI par jour
(vous pouvez même prendre 10000 UI durant 10 jours avant de redescendre à 3000
UI) pendant les 3 prochains moins minimum. Pour ceux pour qui les conditions
climatiques le permettent, exposez-vous le plus possible au soleil.
La vitamine C (présente dans les fruits et légumes-persil frais, baies de Goji, produits de la ruche) réduit l’oxydation excessive dans les poumons, toujours utile quand on sait que le coronavirus cause des pneumonies. Si vous choisissez de vous complémenter, gardez à l’esprit que les comprimés de vitamines à croquer ne sont pas très utiles, il est important de prendre de la vitamine C liposomale. OK, le goût c’est loin d’être sympa, mais c’est la seule que le corps assimile.
La vitamine E (présente dans les huiles végétales tournesol, colza, germe de blé) renforce le système immunitaire et est vitale pour la santé des poumons. Si vous êtes âgé(e), on sait qu’après certain âge, tout le monde manque de vitamine E.
Mais les vitamines A et B jouent aussi un rôle contre les infections. Et la vitamine K2 est indispensable pour assimiler correctement la vitamine D3. Donc je vous recommande une complémentation de multivitamines comme je le fais moi-même. Pensez toujours à les choisir naturelles et non synthétiques.
Le Nigari est un véritable désinfectant naturel, mais un traitement très peu coûteux qui n’a pas été ébruité puisqu’il n’a aucun intérêt économique pour les laboratoires. Il a été découvert par un chirurgien français au cours de la première guerre mondiale. Sa première utilisation a été de lutter contre les infections en augmentant le pouvoir des globules blancs. Il s’agit de diluer 20grammes dans un litre d’eau et d’en boire un verre chaque matin à jeûn.
Il faut bien reconnaître que le goût est plutôt désagréable, mais il
peut être atténué si on le mélange à du jus de fruits (pas d’agrumes qui sont
trop acides). Pour qu’il soit plus facile à avaler, conservez la bouteille au
frigo. En cas de diarrhée, il suffit de diminuer les doses.
La Propolis est un autre anti-viral naturel qui peut vous aider à vous protéger et, coronavirus ou pas, l’approche du printemps est un des meilleurs moments de l’année pour faire une cure d’au moins 3 semaines de propolis, surtout si vous êtes sensible aux infections. Prenez 300 à 400mg matin et soir
Les molécules de signalisation Redox
Peut-être l’avez-vous lu précédemment, j’ai eu dans le passé de sérieux
soucis de santé. Mon corps n’arrivait plus à gérer le quotidien. Il faut savoir
que je mangeais aussi sain que possible mais que j’ai été soumise à de nombreux
stress tout au long de ma vie : inceste durant l’enfance, mari violent,
problèmes familiaux graves. Et, est arrivé le moment où mon corps a dit stop,
il n’était plus capable de fonctionner. Si vous me suivez, vous avez du lire certains
articles sur le sujet. Si non, je vous invite à le faire si l’envie vous en
dit. A partir du moment où j’ai remonté mon potentiel Redox, mon corps s’est
débarrassé de toute cette inflammation générée par le stress oxydatif, mes
cellules ont commencé à mieux communiquer, mon corps a retrouvé son homéostasie
naturelle. J’ai retrouvé une bonne santé avec un système immunitaire sain.
Depuis maintenant deux ans et demi, je n’ai plus eu la moindre gastro, plus d’allergie, pas un seul rhume, aucun souci de santé quel qu’il soit car mon corps a retrouvé sa capacité innée d’autoguérison.
Les études le démontrent, le Redox augmente la production cellulaire, la biodisponibilité et l’utilisation du glutathion (le plus grand antioxydant du corps) de 500 à 800%. Je ne connais pas de meilleur moyen de booster son immunité. Attention, je ne dis absolument pas qu’il va guérir ou traiter la maladie, mais qu’il soutient le corps.
De plus, lorsque j’étais malade, j’avais pris des compléments alimentaires
sans le moindre résultat. Pourquoi ? Tout ce qui est extérieur au corps
n’est pas forcément assimilé par le corps quand on est déjà dans la maladie. Le
corps, s’il peut trouver sympa d’avoir un apport de certaines vitamines durant
trois semaines, sature très rapidement et ne sait plus quoi en faire. Du coup
cela surcharge le foie qui relâche une partie des toxines dans la circulation
sanguine et intoxique encore plus le corps d’une personne malade.
Par ailleurs il faut savoir que, même acheté en magasin bio, la plupart
des compléments contiennent des tas de choses qui font des dégâts :
-Stéarate de magnésium
-Polycarbonate 80 qui a des effets délétères sur le microbiote
-Myristate d’isopropyle, qui est un solvant utilisé dans les diffuseurs
de parfum
-Phosphate de Calcium qui pose un problème d’assimilation de certaines
vit, amines et nutriments
-Pipérine qui ouvre les jonctions serrées pour permettre le passage des
nutriments à travers la barrière intestinale, ce qui favorise l’hyperméabilité
intestinale.
Il est donc important de vérifier que les compléments achetés ne
contiennent pas ce genre de choses.
Gardez bien à l’esprit que vous pouvez apporter tous les meilleurs
compléments, plantes, vitamines, huiles essentielles, algues … à votre corps,
pour les utiliser correctement il a besoin que ses cellules fonctionnent
correctement. Si les cellules dysfonctionnent, elles ne profitent pas
pleinement de tous les compléments que vous pouvez apporter. La base de la
santé c’est des cellules qui fonctionnent. Si vous souhaitez plus d’infos sur
comment relancer le fonctionnement cellulaire, revenez vers moi.
L’alimentation saine. Si vous mangez du sucre à longueur d’années, que vous consommez de l’alcool régulièrement, et une nourriture dénaturée, et en plus nourrissez votre psychisme de pensées négatives vous risquez en effet de tomber malade.
Pour booster le système immunitaire, il est primordial d’avoir une
alimentation (50 à 90%) à base de fruits et légumes crus, voire peu cuits pour
en préserver les micronutriments. Privilégiez la cuisson à la vapeur.
Dans l’idéal, il faudrait restreindre, voire supprimer les produits
laitiers et le sucre raffiné (j’ai déjà écrit des articles sur ces sujets, regardez
les articles précédents sur ce blog ou renseignez-vous sur le net), la viande
(provenant très souvent d’animaux malades), les mauvaises graisses qui ne
nourriront jamais nos cellules en micronutriments qui sont indispensables pour un
corps en santé et favorisent la production de mauvaises bactéries dans les
intestins.
Un corps carencé est forcément plus vite malade, c’est juste du bon
sens.
Il n’est pas évident de changer d’alimentation du jour au lendemain, mais
ce virus qui touche aujourd’hui la planète risque d’être suivi par bien d’autres,
donc, préparez votre corps dès à présent en lui apportant ce dont il a besoin, faites
un changement à la fois, allez-y petit à petit jusqu’à ce que ça devienne votre
manière de vous alimenter au quotidien.
Faîtes la cuisine et évitez les produits préparés : ces derniers
contiennent souvent du gluten, du lactose ou du sucre cachés.
Les céréales : Le blé ayant subi d’importantes modifications
génétiques, à l’heure actuelle une personne sur 3 serait sensible au gluten.
Julien Venesson auteur du livre, « Gluten Comment le blé moderne
nous intoxique », nous éclaire sur la question.
Depuis les débuts de l’agriculture il y a 10 à 15 000 ans, le blé a
subi de nombreuses manipulations génétiques qui étaient le fruit de sélections
et de mutations naturelles. Mais depuis plusieurs dizaines d’années, l’homme a
opéré des modifications dans le génome des blés à l’aide de techniques de
génétique qui ont donné naissance à de nouveaux blés. Aucun autre aliment n’a
subi autant de modifications dans son génome que le blé, en particulier sur un
laps de temps aussi court. De plus, les manipulations génétiques opérées sur le
blé ont été le fruit de techniques de génétique avancées qui ne correspondent
pas à de simples croisements entre deux plantes. Les blés originels comptaient
14 chromosomes alors que les blés actuels en comptent… 42 ! Et aucun agronome
n’est capable de vous dire ce que font exactement les milliards de gènes de ces
nouveaux blés (c’est un travail européen qui a lieu actuellement et auquel
participe l’INRA sous la direction de Catherine Feuillet). Chez l’homme l’ajout
d’un seul chromosome a des effets incommensurables (par exemple la trisomie
21). Alors imaginez ce qui peut se passer en multipliant un patrimoine
génétique par 3 !!!
Pour les toxicologues, ces nouveaux blés sont comparables à des OGM et
aucune autorité sanitaire ne peut en garantir l’innocuité. Nous sommes en train
de vivre une expérience toxicologique à grandeur nature en consommant ces
nouvelles céréales. Or l’explosion du nombre d’intolérances et de sensibilités
au gluten montre que cette expérience se déroule très mal.
Julien Venesson a mené une enquête pendant plus d’un an pour comprendre
pourquoi le gluten est montré du doigt de plus en plus fréquemment. Il a
rassemblé de nombreuses références scientifiques et des interviews des
chercheurs les plus renommés dans leurs domaines (expert toxicologue à l’ANSES,
responsable du plus grand centre de recherches sur les intolérances au gluten
aux USA, expert en allergologie).
Le gluten est un mélange de protéines qu’on retrouve abondamment dans
le blé mais aussi dans d’autres céréales comme l’avoine, l’épeautre, l’orge ou
le seigle et qui est responsable de nombreux problèmes de santé. Plus aucune de
ces céréales ne ressemble à celles que nous consommions il y a 10 000 ans.
Il s’agit donc de choisir d’autres sources de féculents. Et, fait
intéressant, la plupart des alternatives à ces céréales (lentilles, pois
chiches, riz, sarrasin, amarante, patate douce, panais pois cassés, haricots
azuki) sont plus riches en goût, contiennent plus de vitamines et de minéraux que
le blé moderne et leur consommation est associée à une meilleure santé en
général.
Si le blé n’est pas responsable de tous les maux du monde. Il faut
savoir néanmoins que les travaux des chercheurs que Julien Venesson cite
exposent clairement l’implication du blé moderne dans de nombreux problèmes de
santé très courants comme l’eczéma, la spondylarthrite, le psoriasis,
l’arthrose, le côlon irritable, l’acné, les maladies auto-immunes…
Le fait qu’un régime sans gluten soit socialement excluant est une
particularité européenne, ce n’est pas une vérité en soi. Si vous déménagez au
Japon ou en Corée où l’aliment de base est le riz (et non le pain), un régime
sans gluten est très social. Il faut donc apprendre à choisir comment on veut
vivre sa vie et son alimentation. De plus, même si l’Europe a une politique de
santé axée sur le traitement et non sur la prévention (il n’y a presque aucun
cours de nutrition pour prévenir les maladies dans le cursus universitaire d’un
médecin généraliste) alors que les aliments qu’on introduit chaque jour dans
notre organisme ont un réel impact sur la santé, il est tout de même clair que la
généralisation des aliments, des restaurants et même des boulangeries sans
gluten, rend les choses de plus en plus faciles et donc de plus en plus
sociales. Il faut simplement mettre en place de nouvelles habitudes.
Penser aux amandes, pistaches, noisettes, noix de macadamia ou noix de
Grenoble pour grignoter autre chose que des biscuits. Ce sont aussi de bonnes
sources de vitamine E (dont les européens manquent souvent) et d’antioxydants.
Contrairement à une idée reçue ces oléagineux ne font pas grossir.
Retrouvez plus d’informations dans le livre « Gluten Comment le blé moderne nous intoxique » de Julien Venesson aux éditions Thierry Souccar https://amzn.to/3axhvQM
Recettes
Des organes officiels comme l’OMS ainsi que les médias incitent à se servir de gels antibactériens (gels hydroalcooliques). À défaut de connaître leur mode de fabrication, je suis d’avis qu’il mieux vaut les éviter, ils sont fréquemment pollués par des solvants. Et la majorité sont composés d’alcool isopropylique, lequel favorise l’installation de parasites une fois fixé dans un organe. En clair, ce solvant participe à l’affaiblissement de l’immunité qui est le seul moyen qu’a notre organisme de se protéger. S’il est important de se laver les mains, il me paraît par ailleurs dangereux de détruire la flore au niveau de la peau par des nettoyages intensifs qui auraient un impact négatif, agissez donc selon votre conscience. Par ailleurs, pour rappel, se laver soigneusement les mains avec du savon de Marseille et de l’eau pendant au moins 20 secondes détruit aussi 99,9% des pathogènes sans altérer le système immunitaire.
Recette de gel alcoolique pour les mains
Dans un flacon spray de 30 ml, versez
-5ml (une cuillère à café) d’alcool à 70° (de la vodka fera l’affaire),
-5ml d’huile végétale (amande douce, olive, …)
-5 gouttes d’huile essentielle de Ravintsara et 10 gouttes de tea tree.
Mélangez bien puis remplissez le flacon avec du gel d’aloe vera
Ce gel se conserve 2 mois à l’abri du soleil et de la chaleur.
Attention, il ne convient pas aux enfants de moins de 3 ans.
Recette de savon nettoyant, sans alcool à base d’huile essentielle de tea tree
Dans un flacon pulvérisateur, versez 10ml d’huile végétale,
Ajoutez 20 gouttes d’huile essentielle de tea tree,
Mélangez. Ajoutez 40ml de gel d’aloe vera
Attention, comme toute préparation avec des huiles essentielles, et qui
plus est avec de l’alcool, il est à utiliser uniquement sur les mains. Evitez
tout contact avec les yeux ou muqueuses.
Respectez les règles de prudence pour les enfants et femmes enceintes.
Mais, que faire si vous êtes contaminé
par le coronavirus ?
Tout ce qui a été cité ci-dessus était de la prévention pour éviter d’être infecté, ou en tous cas tenter de ne pas l’être. Tout ceci en partant du principe qu’il s’agit bien d’un virus qui n’a pas été fabriqué en laboratoire, ce dont je ne suis nullement certaine, je ne le dirai jamais assez. Quoi qu’il en soit, et quelle que soit son origine, le plus important à mon sens est de garder son calme et de rebooster le plus possible son système immunitaire afin que le corps soit en état de se défendre.
La médecine allopathique ne dispose pas de véritable solution. Les traitements conventionnels sont essentiellement symptômatiques. Ils surveillent afin de voir si les chose ne s’aggravent pas et vous mettent sous antibiotiques si l’infection survient. Cependant, ils sont toujours indispensables, bien que limités quant à leur effet.
Aussi, pourquoi ne pas utiliser aussi d’autres protocoles si vous êtes inquiet, avec des doutes, voire une suspicion d’infection, ou si vous avez été diagnostiqué. Tout conseil utilisable en prévention peut également l’être en cas de maladie avérée et peuvent apporter des solutions là où la médecine conventionnelle n’en a pas.
Bien évidemment je vous conseille le Redox afin d’agir à la base, le fonctionnement cellulaire. Le Redox ne guérit absolument pas des virus ni de quoi que ce soit d’autre, il permet une bonne communication cellulaire. Des cellules qui fonctionnent correctement, c’est un corps qui fonctionne correctement.
A cela vous pouvez ajouter des huiles essentielles efficaces contre les virus respiratoires en général
Huile essentielle de Cannelle de Chine, deux gélules, 3 fois par jour (disponibles chez Pranarôm notamment)
Huile essentielle d’Origan, deux comprimés, 3 fois par jour
Caroline Gayet, elle, recommande les huiles essentielles de Ravintsara,
Niaouli et Cajeput, en massage sur le thorax, les avant-bras, le cou, la
clavicule ou le long du dos.
De nombreux aromathérapeutes conseillent l’huile essentielle de Laurier
Noble, prometteuse contre le coronavirus.
Appliquez 5 gouttes d’huile essentielle pure sous chaque plante de
pied, plusieurs fois par jour. Ce mode d’application permet une diffusion
rapide jusque dans les poumons.
et propose sur sa page facebook une application pratique en
aromathérapie pour utiliser l’huile essentielle de Laurier Noble en cas de
besoin.
https://www.facebook.com/FCouicMarinier/
On ne sait pas, à l’heure actuelle, si la météo ou les températures ont un impact sur la diffusion du Corona. On peut toujours espérer que, comme d’autres virus dans le passé, la chaleur printanière ou estivale pourra aider à affaiblir ce virus.
Désolée pour la longueur de l’article, je le voulais le plus complet possible afin de ne pas devoir revenir sur le sujet à plusieurs reprises.
Je reviens encore vous parler de jeûne car je n’avais pas voulu faire un article trop long la dernière fois. Au-delà de toutes les théories sur les carences, sur les apports des repas équilibrés, on se rend compte que plus il y a de spécialistes de l’alimentation, plus il y a de malades.
Je voulais tout de même vous donner quelques infos un peu plus scientifiques que mon expérience sur le sujet.
À chaque jeûne, vous faites du neuf tout en nettoyant les cellules malades, les tissus les moins nécessaires sont les premiers à disparaître. Quant aux tissus essentiels, ils se nourrissent par autolyse. C’est donc tout bénéfice pour un corps qui est en train de lutter contre la maladie, notamment contre le cancer. Le cancer n’est jamais que des cellules qui ont trouvé le code de l’immortalité, qui se reproduisent plus vite que des cellules saines, jusqu’à toucher d’autres parties du corps. Empêcher la prolifération cellulaire est donc essentiel pour rester en vie.
Chez les souris suivant un protocole de jeûne, il a été observé que les tumeurs se développent beaucoup moins.
Le sucre est indispensable au développement des cancers.
Des scientifiques ont conclu, dans une étude de janvier 2015, que le jeûne empêcherait le développement des cancers du sein, notamment grâce à la réduction du taux de sucre dans le sang : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25448890
Contrairement aux cellules saines qui acceptent différents types d’énergie, le carburant de prédilection des cellules cancéreuses c’est le glucose. En jeûnant les cellules cancéreuses ne peuvent plus se nourrir de sucre, leur développement s’arrête.
Par ailleurs, les cellules cancéreuses et les cellules saines réagissent différemment au jeûne.
Lorsque les cellules saines manquent d’apports énergétiques, elles se mettent en situation de protection pour éviter de mourir. Cette protection est sans doute une conséquence de l’évolution, car durant plusieurs millions d’années l’homme a alterné périodes d’alimentation et disettes.
Les cellules cancéreuses, quant à elles, ont muté. Elles n’ont plus ce mécanisme et restent sensibles au manque de nourriture.
Le système immunitaire se renforce, il se renouvelle complètement en seulement trois jours.
Les docteurs CARLSON et KUNDE, du service de physiologie de l’université de Chicago, ont montré qu’un jeûne de deux semaines, restaure, temporairement, les tissus d’un homme de quarante ans et les ramène à la condition d’un jeune de dix-sept ans : https://amzn.to/2K4Kvay
Quel jeûne choisir ?
Les puristes vous diront qu’il n’y a pas plusieurs jeûnes, que jeûner signifie priver le corps de toute nourriture et boisson. D’autres diront qu’il existe différentes manières de jeûner, chacun choisira celle qui lui convient le mieux, et la durée du jeûne dépend des possibilités de chacun et de ses habitudes alimentaires.
Certains s’habituent à manger peu, d’autres pratiquent le jeûne régulièrement : hydrique, sec, aux jus verts, ou encore le jeûne intermittent. C’est mon préféré, qui permet à mon corps de faire le ménage, de se débarrasser des toxines qui traînent un peu partout, de réguler le fonctionnement de mes organes, d’éliminer l’inflammation, de se réparer. Personnellement j’ajoute à cela des molécules Rédox dont je ne pourrais plus me passer et qui accentuent la détoxination pour une santé optimale. Si vous voulez plus d’infos sur le sujet, c’est par ici : http://eepurl.com/deGkdH
J’ai choisi le jeûne pour mon bien-être physique et mental, parce que veux vivre alerte jusqu’à un âge très avancé, ne plus jamais être touchée par les maladies de civilisation qui touchent de plus en plus de personnes de tous âges. Il y a vraiment de quoi remettre en cause notre mode vie. J’ai été bien malade une grosse partie de ma vie, j’ai parfois l’impression que toutes ces années m’ont été volées, et il est clair qu’elles sont perdues à jamais. Aussi je veux pleinement profiter de celles qui me restent. Or, je sais maintenant que le jeûne et le Redox sont vraiment deux alliés pour une vie en santé optimale. Soyons clairs, ce n’est pas le jeûne qui est un remède mais bien la pause qu’il offre à l’organisme qui est propice à la guérison, c’est le corps qui se guérit. Si l’hygiène de vie n’est pas modifiée, les problèmes risquent de revenir.
Nous sommes tous conditionnés à manger trois fois par jour, et depuis la maternelle à prendre une collation en matinée et un goûter. On a des tas d’idées reçues sur l’obligation de manger trois fois par jour pour être en bonne santé. Et on n’ose pas forcément franchir cette barrière de méconnaissance à propos du jeûne, aller là où ça pourrait être inconfortable.
Mais si on y réfléchi un peu, on s’aperçoit que nos ancêtres se couchaient bien plus tôt que la plupart d’entre nous. Il se passait donc plus d’heures entre le repas du soir et le déjeuner. D’ailleurs le mot dé-jeuner vient d’arrêter de jeûner parce que la nuit était une période de jeûne.
Comme beaucoup j’ai toujours tenté de faire manger mes enfants avant leur départ pour l’école, je voulais qu’ils ne partent pas l’estomac vide. Pourquoi ? Parce que c’est ce qu’on m’avait toujours inculqué depuis l’enfance « l’importance du sacrosaint petit-déjeuner !!! ». Depuis mes gros soucis de santé, j’ai cherché d’autres sources d’informations et j’en suis arrivée à pratiquer le jeûne intermittent en ne prenant plus que deux repas par jour, parce que j’ai compris que quel que soit votre âge, ou votre état de santé, le jeûne a quelque chose à vous offrir. Ses bienfaits touchent chaque partie du corps.
Cependant je voudrais à présent faire un « vrai » jeûne, soit me passer complètement de nourriture durant plusieurs jours, même si je ne suis toujours pas certaine d’en être capable.
Ceux qui ont pratiqué le jeûne disent souvent : « je croyais que je n’en serais pas capable ». Et, en effet, l’idée de de réduire son apport en nourriture, de se limiter à de l’eau pendant plusieurs jours, nous fait peur.
Comme nous ne connaissons pas le manque, nous redoutons de devoir l’affronter. Nous craignons, dans le fond, que le jeûne puisse nous faire « mal ».
Et pourtant, les « jeûneurs » disent exactement le contraire.
Personnellement je n’ai pas du tout peur de mal faire car je suis convaincue des bienfaits du jeûne. Mais je sais que je mange par habitude et non par faim et c’est surtout cette habitude qui risque de me manquer.
L’idéal pour passer le cap est de bien se renseigner et de se faire accompagner. Mais bien évidemment mon côté « je me débrouille toute seule » prend le dessus et je n’ai aucune envie de me faire accompagner. Ce que, bien sûr je ne vous recommande pas. Je choisis de faire mes propres expériences mais ne vous déconseille d’en faire de même. Oui, je sais, ce n’est pas bien, je ne montre pas l’exemple !!!
J’en suis aussi arrivée à la conclusion que, si le jeûne peut se faire tout au long de l’année, les meilleures périodes correspondent aux deux grands changements de saison : l’automne et le printemps. C’est donc la période idéale.
Si j’en crois mes recherches faites sur le sujet, le plus difficile est de prendre la décision de jeûner. Or ce choix je l’ai fait, il s’agit d’un réel choix personnel.
La privation de nourriture ne serait pénible que deux jours en raison du besoin créé par l’habitude, cette habitude qui m’inquiète un peu. Une fois le jeûne commencé, la sensation de faim disparaît très rapidement, et de plus en plus facilement supportée à mesure que l’on s’exerce au jeûne. Et le reste se fait naturellement.
A la base mon intention était de jeûner trois jours pour renouveler mon système immunitaire. Mais, puisque le plus difficile c’est les deux premiers jours, j’ai choisi de ne pas me prendre la tête, et de voir comment les choses vont se passer. Peut-être choisirais je de prolonger, … ou pas ?
Depuis que je m’intéresse et consomme au quotidien des molécules de signalisation Redox, j’ai vraiment pris conscience que la maladie n’est pas une fatalité, et que l’état normal du corps est l’homéostasie, la parfaite santé. En me supplémentant en Redox j’aide mon corps, mais si je peux encore accélérer les choses avec un jeûne de quelques jours, pourquoi ne pas essayer ? Tout ce que je risque c’est de faire du bien à mon corps.
Moins le corps sera occupé à la digestion, et mieux il saura s’atteler à la réparation de ce qui en a besoin.
Début du défi : demain. Il me restait de la soupe, et pas de place au congélateur, je l’ai donc consommée ce midi. Là, il n’y a plus rien de périmable dans le réfrigérateur, et je n’ai aucune raison de bouger de la maison durant les deux prochains jours, c’est parfait au cas où j’aurais un coup de fatigue, c’est le moment de commencer.Prenez soin de vous
Je reviens sur la suite de mon article de hier sur le jeûne pour vous donner mon expérience sur le sujet.
Ma première expérience avec le jeûne remonte à quelques années. J’étais en chimiothérapie contre un cancer. Vu les nausées provoquées par mon traitement, je n’avais plus aucune envie de manger quoi que ce soit pour le rendre dans les toilettes dans les minutes qui suivaient mon repas.
Par ailleurs j’en étais à mon troisième cancer, ça commençait à bien faire. Ca ne pouvait pas être simplement le sort qui s’acharnait contre moi, il devait bien y avoir une raison et je la cherchais.
Affaiblie par tous ces traitements lourds, je n’étais pas capable de faire grand-chose de physique, je consacrais beaucoup de mon temps à la lecture et je fouillais un peu partout sur le net.
Je suis arrivée sur plusieurs études faisant un lien entre le sucre et le cancer. Il était question d’affamer les cellules cancéreuses pour arriver à l’autophagie des cellules malades. A l’époque je découvrais et n’étais pas du tout consciente de la quantité de sucres cachés un peu partout dans la nourriture. Lorsque je mangeais une tranche de jambon, je pensais manger des protéines, un peu de graisse aussi, mais certainement pas du sucre. Jusqu’au moment où j’ai compris que je mangeais une quantité impressionnante de sucre sans même le vouloir ni m’en rendre compte.
J’ai pris conscience de la nécessité de revoir de fond en comble mon alimentation.
Il me semblait clair que certains veulent asservir le monde par la chimie et la technologie, peu importe l’impact dramatique que cela peut avoir sur la population, nous menant à notre perte.
Eviter de m’empoisonner plus encore en mangeant était devenu pour moi un réel problème, me demandant une attention permanente. Je ne voulais plus manger de sucre, mais ne savais que faire pour m’en libérer définitivement. J’aurais sans doute pu cultiver mes légumes mais mon état de santé ne permettait pas de me mettre au jardinage. Et mes finances ne me permettaient pas plus d’acheter des produits locaux et bios.
Puis, un jour où je parlais avec une amie du fait que j’étais convaincue que le fait de manger me rendait encore plus malade, elle m’a répondu « malheureusement tu ne peux pas arrêter de manger ». Et je me suis dit « Pourquoi pas ? » J’avais déjà entendu des histoires de personnes se nourrissant de Prâna, mais à l’époque je me disais que c’était quelque chose que seuls des personnes très spirituelles ou dotées d’une volonté incommensurable étaient capables de faire, que ce n’était pas pour moi. Mais l’idée était là et je ne pouvais plus cesser d’y penser.
Evidemment, j’en ai parlé à l’oncologue, qui n’était visiblement pas très au courant de la chose et qui plutôt que de me le déconseiller me l’a carrément interdit. Et je déteste qu’on m’interdise des choses que je juge importantes pour moi. Il n’en fallait pas plus pour que je me mette en recherche sur comment vivre sans manger.
J’ai trouvé de nombreuses informations, mais à chaque fois il était bien recommandé de se faire accompagner par un médecin. Or les médecins à qui j’en ai parlé étaient totalement réfractaires à mon idée.
J’avais trouvé une étude dans laquelle un biologiste californien avait démontré que le jeûne avant et après une chimio réduisait les effets secondaires … sur les souris et qu’elles vivaient plus longtemps que celles qui avaient poursuivi leur alimentation habituelle.
Une autre étude disait qu’en jeûnant on forçait le corps à faire le ménage, qu’il cassait les cellules malades en premier lieu. Cela faisait rire mon oncologue qui n’était pas prêt à remettre en question la médecine officielle et me disait que je ne pouvais pas me comparer à une souris tout en continuant de m’empoisonner avec ses produits chimiques.
Il y avait bien des cliniques spécialisées dans le domaine du jeûne, mais leurs prix n’étaient pas du tout adaptés à mon budget et un séjour à l’étranger signifiait également mettre fin à la chimio.
Tout ça était bien compliqué à mes yeux.
Je ne pouvais que constater que mon état ne s’améliorait pas et les alternatives me semblaient peu nombreuses.
Fermement convaincue que le mieux que je puisse faire pour moi était de me tenir le plus loin possible des prescriptions allopathiques et de détoxiner mon organisme des pollutions qu’il avait subies, j’ai choisi de continuer mes recherches. Il était clair pour moi que moins on mange, plus on vit longtemps.
J’en suis arrivée à la conclusion, que quitte à mourir, je préférais mourir un peu plus tard en étant responsable d’avoir cessé de manger que de mourir rapidement empoisonnée par d’autres.
Attention, que les choses soient bien claires, je ne conseille à personne de suivre mon exemple.
Le jeûne véritable, c’est pas du tout de nourriture, sur une période de temps donnée et définie par avance. Il est évident qu’une telle pratique ne saurait être employée n’importe quand et surtout n’importe comment, par des personnes dépourvues des connaissances suffisantes en la matière.
C’est vrai que, personnellement je l’ai fait, mais mon côté kamikaze n’est pas du tout un exemple à suivre, loin de là. Je vous le déconseille fortement.
Le nettoyage de l’organisme, déclenché par un jeûne bien conduit, devrait toujours être réalisé sous la supervision d’un professionnel de santé, pour être assuré d’une pratique saine et sans danger.
Sauter un repas de temps à autre ne présente aucun risque, mais se lancer dans l’aventure du jeûne nécessite l’avis préalable d’un thérapeute qui effectuera un bilan de santé avant de débuter l’expérience. Actuellement de nombreux naturopathes pratiquent régulièrement le jeûne comme hygiène de vie et pourront vous conseiller correctement sur le sujet.
Je pense que j’ai eu beaucoup de chance parce que tous les effets que l’on peut ressentir lors d’un jeûne sont, pour moi, passés inaperçus. J’avais tant d’effets secondaires avec les traitements de chimio que la transition vers les effets dûs au jeûne ne se sont pas vraiment fait sentir. Je pensais toujours être malade avec mes traitements et n’ai pas réellement fait le lien avec le jeûne.
Lorsque j’ai commencé à jeûner, j’étais tellement mal depuis quelques semaines que je mangeais de moins en moins depuis déjà un moment et je n’ai jamais ressenti de faim, à aucun moment. J’avais mal la tête et peut-être étais ce un signe de détox mais vu que j’avais mal la tête depuis l’âge de 8ans, ça ne me paraissait pas vraiment inhabituel. J’avais mal un peu partout, toutes mes articulations étaient douloureuses, mais cela aussi durait depuis des années, ça avait aussi débuté plus ou moins en même temps que les maux de tête et je vivais avec depuis si longtemps que je m’y étais accommodée. J’avais des douleurs au ventre et de fortes diarrhées mais la chimio me faisait aussi cet effet depuis plusieurs mois donc, rien de réellement alarmant à mes yeux.
Mais rapidement je me suis sentie plus sereine, je n’étais plus constamment dans mes pensées « que va devenir ma fille si je meurs demain, que va-t-elle devenir sans moi, comment va-t-elle poursuivre ses études, … » J’avais cette impression que j’allais mieux, que le mal qui me rongeait perdait la bataille, les douleurs étaient fortement diminuées. Je retrouvais une certaine souplesse perdue pourtant depuis si longtemps. J’étais moins fatiguée, peut-être parce que j’arrivais à dormir durant plusieurs heures d’affilée alors que ça faisait des mois que j’étais éveillée toutes les heures chaque nuit par des douleurs infernales.
Depuis cette expérience le cancer est un lointain souvenir. Une fois guérie (en rémission comme ils disent parce qu’ils refusent de dire autre chose) j’ai recommencé à manger « normalement » et j’ai même recommencé à manger du sucre. Visiblement j’ai du mal à comprendre les choses la première fois, il faut que je répète les mêmes erreurs plusieurs fois avant de comprendre !
Et, bien évidemment j’ai à nouveau été malade. Mais ça, c’est une autre histoire que je vous raconterai prochainement, cet article est bien assez long.
Prenez soin de vous, et si vous êtes tenté par le jeûne, faites vous conseiller et suivre par une personne compétente
Bonsoir, j’espère que vous allez bien et que vous avez pu un peu profiter de la journée ensoleillée.
Ce soir, un petit article sur le jeûne qui fait suite à une conversation que j’ai eue sur le sujet il y a quelques jours.
Le jeûne est une méthode très simple pour vivre plus longtemps, en meilleure santé et avec plus d’énergie.
Une connaissance me disait, pas plus tard que ce week-end, que jeûner c’est priver le corps du carburant nécessaire à son fonctionnement, et qu’on peut se poser la question de savoir si cela est bien intelligent de vouloir rouler sans carburant.
Mais ne serait-il pas plus sensé de cesser de vouloir comparer le corps à une voiture qui, elle serait bien incapable de faire le moindre kilomètre avec un réservoir vide. Le corps est bien plus qu’un simple assemblage de pièces mécaniques. C’est oublier qu’il y a en chacun de nous un médecin prodigieux qui peut accomplir des miracles.
Beaucoup trouvent normal de s’en remettre à des médicaments chimiques pour se soigner et refusent de croire à l’efficacité du jeûne comme thérapie.
C’est vrai que cela peut paraître trop simple pour combattre des maladies telles que Parkinson ou cancer. Et pourtant !
Les recherches sur le jeûne sont assez récentes. Mais déjà les scientifiques estiment que le jeûne est une thérapie très puissante.
Les études démontrent que jeûner améliore significativement la résistance, le fonctionnement et la longévité du corps.
Depuis les années 30, on sait que chez les souris, le simple fait de diminuer de 30% leur apport journalier, allonge leur durée de vie. Dans une étude de mai 2000, elle augmente en moyenne de 40%, passant de 48 à 64 semaines.
L’homme a toujours jeûné, c’est d’ailleurs une tradition ancestrale :
Les bouddhistes pratiquent le jeûne, nécessaire à la méditation des moines, les musulmans pratiquent le Ramadan, les catholiques vivent le jeûne du Carême, et dans le nord de l’Inde les hindous jeûnent tous les jeudis.
Mais, au-delà du jeûne lié aux religions, l’homme a souvent vécu des privations forcées par les circonstances (pauvreté, mauvaises récoltes, guerre, …).
Actuellement, le jeûne est une pratique extrêmement populaire dans certaines régions du monde puisque, par exemple en Allemagne 15 à 20% de la population aurait tenté l’expérience. Ce ne sont pas moins de 16 millions de personnes qui y ont recours… et sont d’ailleurs, pour cela, remboursés par leur système de santé !
Le jeûne est largement utilisé au Japon dans le cadre de psychothérapies. En Russie, il intervient dans la prise en charge de certaines maladies, de la dépression aux troubles obsessionnels compulsifs.
Le jeûne est sans doute la méthode de santé naturelle la plus vieille du monde, et en même temps celle qui suscite le plus de débats.
Critiqué par les uns comme étant une pratique extrêmement dangereuse faite pour les marginaux, les sectes et les fanatiques. Certains parents se retrouvent d’ailleurs en prison pour avoir pratiqué le jeûne avec leurs enfants.
Défendu par les autres qui le voient comme un bouton de remise à zéro du système qui permet de guérir n’importe quelle maladie en faisant un grand nettoyage physique, mental et émotionnel.
Ceci est fort compréhensible, dans la mesure où, en occident, nous mangeons désormais en abondance tout au long de l’année. Cette habitude de manger est si bien ancrée que peu de personnes sont disposées à sauter plus d’un repas pour expérimenter l’intérêt de la pratique. Se priver va à l’encontre de la surconsommation à laquelle nous sommes constamment invités. La perspective de manquer de nourriture pendant quelque temps panique.
Il est clair également qu’il suffit qu’une petite quantité d’individus, ayant une fonction officielle dans le domaine de la santé, critique ouvertement le jeûne sans l’avoir même essayée deux jours d’affilée, pour que la majorité s’en fasse une idée préconçue.
Pourtant l’homme a vécu des millions d’années sans ce confort. D’ailleurs, nos réserves de graisses sont conçues pour nous permettre de tenir 3 mois sans manger.
Le Professeur Henri Joyeux, qui est un homme de grande sagesse, mais aussi de connaissances de l’être humain et de son fonctionnement écrit dans sa lettre « À propos du jeûne en cancérologie
« Le jeûne devrait être systématiquement proposé aux patients, sous surveillance médicale, mais pour cela il faudrait former les psychiatres aux bienfaits des changements des habitudes alimentaires.
Cela est aussi vrai pour la plupart des spécialités médicales, de la pédiatrie à la gériatrie en passant par la cardiologie, la pneumologie, la rhumatologie, la gynécologie, la chirurgie, la neurologie… bref, toutes les spécialités médicales gagneraient à s’ouvrir à la thérapie par le jeûne. »
Quels sont les intérêts du jeûne ?
Jeûner affûte les fonctions cognitives, le cerveau est plus alerte, les idées plus claires.
Les études démontrent que le jeûne influence la capacité d’adaptation, de mémorisation, il est plus alerte, les idées sont plus claires. Il améliore les performances sur les tests de mémoires chez les personnes âgées. Voir l’étude : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25576651
Le jeûne freine non seulement le développement des maladies neuro-dégénératives… mais aussi améliore la qualité de vie de ceux déjà affecté par ces maladies.
Jeûner aide les dépressifs à retrouver un esprit positif grâce aux changements hormonaux initiés : le cortisol augmente au réveil, le taux de dopamine est plus élevé durant la journée, et le soir c’est la sérotonine qui est produite en plus grande quantité et permet de mieux dormir.
Jeûner réduit l’hypertension rapidement, le cholestérol et les triglycérides se normalisent très vite, la tension se normalise et, avec elle une diminution du risque de maladies cardio-vasculaires. Reste à voir avec le médecin si les médicaments sont toujours nécessaires.
Jeûner permet de redevenir conscient des besoins du corps, de différencier une faim réelle d’un désir de nourriture. L’appétit redevient normal, le poids se stabilise avec une perte de la masse graisseuse.
Jeûner améliore le système immunitaire. D’ailleurs il suffit de regarder un animal blessé, il cesse de s’alimenter, ce qui permet au corps de se focaliser sur l’infection à combattre. Le stress oxydatif réduit, le corps peut se concentrer sur la réparation des tissus.
Le jeûne apporte un nombre important de changements, tant chimiques, qu’organiques : l’augmentation de l’hormone de croissance et du métabolisme, réduction du risque de diabète, … Certains de ces bienfaits ne sont probablement même pas encore connus. Mais ce qui est certain c’est que jeûner aide le corps à refonctionner comme il le devrait.
Le jeûne détoxine l’organisme, et on sait aujourd’hui que 4 maladies sur 5 sont directement ou indirectement dues aux toxines stockées dans l’organisme.
En général, effectivement, les jeûneurs témoignent de transformations extraordinaires dans leur vie, tant au niveau physique que psychologique.
Pratiquement tous constatent également une multitude de bénéfices étonnement immédiats, comme une meilleure respiration, une disparition de leurs allergies, une diminution des douleurs articulaires. Un effet rajeunissant est constaté, la peau devient plus lisse, le teint plus lumineux et les cheveux plus soyeux, les yeux sont clairs car le foie est dégagé.
Pour moi, thérapeutique ou préventif, le jeûne offre une vraie solution pour un bien-être et une santé durable.
Notre corps est trop nourri, mal nourri, trop souvent nourri. Bien qu’il soit spécialiste du tri sélectif, il n’est pas capable de se débarrasser de tout ce qui lui est nocif. Il a la capacité de s’auto réparer à condition de ne pas dépasser ses capacités adaptatives Au fil des ans il accumule déchets produits par le fonctionnement des cellules, toxiques issus des pesticides, colorants, additifs et conservateurs. Fatigue et problèmes de santé sont autant de symptômes qui traduisent son encrassement. Jeûner permet au corps d’entreprendre un travail de détoxination.
Comment fait-il ?
Privé de nourriture extérieure, il prend à l’intérieur ce dont il a besoin. Tout d’abord en puisant dans le glucose en réserve dans le foie. Une fois celui-ci épuisé, il se nourri des protéines restées disponibles du dernier repas. Après il se servira dans les réserves graisseuses (le foie a la capacité de transformer les graisses en glucose) et la détoxination commence. Le corps pourrait tenir ainsi durant 40 jours environ, selon le poids corporel de chacun.
Forcément, le premier effet visible de l’extérieur est la perte de poids. Cependant il est important de garder à l’esprit que si le jeûne est entrepris uniquement dans ce but, sans modification des habitudes alimentaires, les kilos reviendront au galop. Jeûner fait partie d’une vision globale de la santé.
Bon, j’avais prévu d’écrire un petit article, et comme souvent me voilà encore partie pour un roman fleuve, désolée. Mes lecteurs de longue date doivent commencer à me connaître. Quand je commence, je ne sais plus m’arrêter 😉
Je vais cependant m’arrêter ici et reprendrai la suite demain, je vous expliquerai pourquoi je me suis intéressée au jeûne.
Je suis bien consciente que lorsqu’on a des enfants, il est difficile d’y échapper, les copains y vont, c’est tentant de vouloir faire pareil. Malgré tout j’y ai rarement emmené ma famille qui s’en porte plutôt bien.
Expliquer à un enfant que le fast food n’est pas bon pour sa santé, ce n’est pas forcément un argument qui l’intéresse. J’avais un gros avantage par rapport à d’autres, c’est que ma fille était allergique à beaucoup de choses et qu’il était facile de trouver une liste des allergènes contenus dans les burgers. Cela simplifiait drôlement les choses pour éviter de l’empoisonner avec tous les ingrédients toxiques contenus dans cette malbouffe.
Quand on y pense, c’est assez paradoxal, tout le monde sait que l’alimentation vendue par le géant américain est mauvaise pour la santé, ce n’est pas dans la plus grande chaîne de restauration rapide au monde que vous pourrez manger équilibré et sain mais pourtant Mc Do est présent dans le monde entier.
Toutes les recherches scientifiques démontrent le lien entre la mauvaise alimentation et les maladies sérieuses comme les maladies cardio-vasculaires, le diabète, ou le cancer. Pourtant McDo continue de vendre des milliards de repas. Son succès repose sans doute sur le fait qu’ils sont présents partout, dans les centres commerciaux, les lieux touristiques, les aéroports, à tous les coins de rues, et malheureusement leur popularité, malgré des scandales réguliers, ne semble pas en prendre un coup.
Beaucoup de personnes à travers le monde sont addicts à cette alimentation malsaine. Mais savent elles ce qu’elles avalent ?
Les cuisines du Mc Do contiennent plus de produits chimiques que de nombreux laboratoires dans lesquels je n’ai personnellement aucune envie de manger.
McDonald’s utilise de l’azodicarbonamide dans tous ses pains à hamburgers. Ce produit est utilisé dans la fabrication des chaussures ou des tapis de sport. Il s’agit d’une poudre jaune orangée qui possède des vertus gonflantes, conférant ainsi moelleux et élasticité au caoutchouc. Il est important de préciser que les aliments proposés chez McDo varient légèrement d’un pays à l’autre et, heureusement, l’utilisation de l’azodicarbonamide en tant qu’additif alimentaire est interdite dans l’Union européenne. Malheureusement, il y a un autre ingrédient qui est toujours autorisé en Europe : l’huile hydrogénée, McDonald’s le dit sur son propre site, ses produits sont préparés avec de l’huile de soja partiellement hydrogénée. Ces huiles ont une teneur très élevée en acides gras trans, connus pour augmenter le taux de LDL (mauvais cholestérol), et par conséquent le risque de maladies cardio vasculaires, mais aussi du diabète de type 2.
Le pyrophosphate de sodium est un produit utilisé comme ferment dans l’industrie alimentaire. Il faut savoir que l’excès de consommation de pyrophosphate de sodium engendre des déséquilibres alimentaires qui peuvent provoquer l’ostéoporose, peut provoquer des inflammations graves s’il est ingéré ou inhalé (selon le Center for Science in the Public Interests).
Le métabisulfite de sodium, un autre agent de conditionnement des pâtes à pain industrielles, provoque des réactions allergiques et est lié à de nombreux problèmes de santé tels qu’affections cutanées, diabète, douleurs articulaires, léthargie, et perte de mémoire.
L’acrylamide Même si les aliments varient d’un pays à l’autre, les frites et autres fritures (Filets-O-Fish, Chicken McNuggets) sont présentes dans tous les Mc Do du monde. Or ces frites contiennent de l’acrylamide, qui est un produit de synthèse qui se forme lors de la friture des aliments. Le taux d’acrylamide des frites de chez Mc Donald’s est particulièrement élevé. Cette molécule est cancérigène et affecte la fertilité masculine chez les animaux (elle n’a pas encore été étudiée chez l’homme). L’OMS considère l’acrylamide comme un risque réel pour la santé.
Par ailleurs Mc Do utilise un agent antimousant dans ses huiles de friture, le polydiméthylsiloxane, qui est aussi utilisé dans les produits cosmétiques, et dans les implants mammaires.
Mais ce n’est pas tout, l’huile contient également du BHQT (butylhydroquinone tertiaire), un agent de conservation dérivé du pétrole, également utilisé en cosmétique pour fabriquer notamment le fard à paupières.
Quant à la pâte à frire, elle contient parmi d’autres additifs alimentaires, du diphosphate disodique. Diverses études démontrent qu’il existe un lien entre la consommation du diphosphate disodique et l’apparition de la maladie d’Alzheimer.
Les sauces et sodas ne sont pas meilleurs, puisqu’elles contiennent du benzoate de sodium. Une étude du Royaume-Uni constate que la consommation de benzoate de sodium et de colorants artificiels est directement liée à l’hyperactivité chez les enfants.
Et la liste est encore longue : pour n’en citer que quelques uns : l’inosinate disodique et le leguanylate disodique, exhausteurs de goût présents dans les sauces et préparations au poulet dont la consommation est dangereuse pour les personnes asthmatiques, SGHF (sirop de maïs à haute teneur en fructose). Mc Donald’s, qui utilise le marketing de désinformation dont l’objectif est de minimiser les effets nocifs des ingrédients utilisés dans leurs préparations. Sur leur site, ils annoncent que la composition du SGHF se rapproche de celle du sucre traditionnel et en banalisent l’utilisation en précisant qu’il est utilisé « dans une grande variété de produits que vous trouvez dans les rayons de votre supermarché ». Une manière comme une autre de noyer le poisson ! Pendant qu’on parle de produit largement utilisé comparable au sucre, on ne parle pas des encore plus toxiques ! Cependant de nombreuses études scientifiques indiquent que la consommation du SGHF est liée à l’obésité et à l’apparition de maladies cardiovasculaires.
Qu’en penser ? Ne pouvons plus offrir un burger à nos enfants ? Si, bien sûr, mais un vrai hamburger et des frites maison, avec des produits de qualité. Et pourquoi ne pas en profiter pour préparer cela en famille, une activité qui devrait plaire aux enfants.
Bonjour, j’espère que vous allez merveilleusement bien ce matin.
Je vous partage aujourd’hui ma dernière lecture.
Véritable phénomène d’édition qui a propulsé sa jeune auteure Giulia Enders dans le podium des ventes, Le charme discret de l’intestin a été vendu à plusieurs millions d’exemplaires mais j’ai beaucoup de livres « en attente » d’être lus dans ma bibliothèque et je viens seulement de le lire.
Docteur en médecine à l’université de Francfort, l’auteure, motivée par sa propre guérison d’une grave maladie de peau grâce à un changement radical d’alimentation, a été lauréate de deux bourses importantes, et a gagné à trois reprises le premier prix de la Nuit des Sciences.
Comment expliquer un tel engouement pour un livre sur un organe à priori pas réellement charmant, que j’ai moi même dévoré ?
L’auteure, médecin de profession, s’est attachée à redorer l’image de cette partie de notre corps qu’elle présente comme « mal aimée », dans un langage simple et accessible à tous.
Le livre regorge d’informations, théoriques et pratiques, sur nos fonctionnements intimes et sur ce que la recherche médicale la plus récente met en évidence, sans le faire connaître au public, le fait que de nombreuses maladies (du simple ballonnement à la baisse de moral, voire la déprime) sont liées à l’état de la flore intestinale;
Nous découvrons le rôle de ce « deuxième cerveau » et commet en prendre soin pour notre plus grand bien-être.
Mes liens avec la sophrologie
En sophrologie, l’une des premières étapes mise en place est la détente. Giulia Enders nous rappelle l’importance de cette détente qui permet au corps de diriger l’énergie là où elle est nécessaire.
Son livre fourmille d’explications claires sur le fonctionnement des différents systèmes nerveux, sur le stress et les manifestations qu’il induit au niveau digestif
J’ai beaucoup aimé ce best-seller illustré avec humour par Jill Enders, qui n’est autre que la soeur de l’auteure, diplômé en graphisme.
Bonjour, êtes vous en forme ce matin ? Vraiment en forme, bien dans votre tête et dans votre corps ?
J’avais envie ce matin de vous parler de poids.
Maigrir à tout prix n’est plus au goût du jour, trouver son poids de forme est de plus en plus reconnu comme une question de santé, et c’est très bien ainsi. Cet objectif peut être facilité à la fois par la Sophrologie, et l’EFT.
De trop nombreuses personnes ont essayé tous les régimes à la mode, le truc de la meilleure amie, de la cousine ou du dernier Marie-Claire, voire ont avalé des pilules miracles souvent très mauvaises pour la santé. Avec pour tout résultat une grosse déception, quand ce n’est pas l’effet yoyo avec une reprise de poids toujours plus importante et une bien mauvaise estime de soi due à la succession d’échecs.
Basée sur des exercices des exercices dynamiques, de respiration, de relaxation, et des visualisations, la sophrologie est une école de bien être qui aide à retrouver un poids de forme. Ici pas question de restriction alimentaire, mais une écoute du corps. Vous reconstruisez votre schéma corporel en apprenant à le respecter sans vous soucier de cette satanée balance.
Au fil des séances, c’est tout naturellement que vous vous tournez vers des aliments plus sains, une autre manière de vous alimenter.
Les séances vous aident à prendre conscience des troubles qui ont déclenché votre prise de poids, vous vous écoutez et mangez mieux.
L’EFT est une autre approche aux effets secondaires parfois très surprenants : vous n’avez tout à coup plus du tout envie de chocolat alors que vous en mangiez jusqu’à présent au moins une tablette chaque soir, pas plus que des chips que vous avaliez en vitesse en rentrant du boulot. Vous ne grignotez plus à longueur de journée ou vous mangez la moitié de quantité. Pourquoi ? Parce que vous vous êtes libéré(e) des blocages énergétiques à l’origine de vos troubles alimentaires.
Et si vous utilisiez les deux techniques simultanément ? Testez, et vous verrez !
Ce matin, je vous propose un dernier petit article sur le poids.
Nous savons que les régimes ne marchent pas et sont dangereux pour la santé, et faire du sport a très peu d’impact. Alors, que faire pour atteindre votre poids idéal ?
Un extrait du communiqué de presse de la Haute Autorité de Santé nous apporte un début de réponse
Ils ont effectivement raison, mais par contre, ils n’expliquent pas d’où viennent ces habitudes alimentaires, ni comment les changer. Or, pour la plupart d’entre nous, changer d’habitudes relève de l’impossible.
L’élément essentiel qui influence nos habitudes alimentaires est un ensemble de programmations alimentaires inconscientes.
Depuis que le monde est monde, nous avons été conditionnés à rechercher et consommer autant de nourriture que disponible, par peur de manquer. Si cela était valable pour l’homme des cavernes dont la survie dépendait de nombreux facteurs extérieurs, cela ne l’est plus pour nous puisqu’il nous suffit d’ouvrir le réfrigérateur ou d’aller au supermarché du coin pour trouver de quoi manger en abondance. Mais, malgré tout, cela reste inscrit en nous.
Par ailleurs nous avons également intégré au fil des ans, et particulièrement durant l’enfance de nombreuses programmations alimentaires auxquelles notre cerveau obéit indépendamment de notre volonté, et même souvent contre notre volonté .
Vous connaissez très certainement les bases de la nutrition. Vous n’avez besoin de personne pour savoir que manger une Fast Food ou une plaquette entière de chocolat n’est pas raisonnable pour avoir la forme, et le corps svelte dont vous rêvez. Pourtant, même en sachant cela, vous continuez à ne pas vous nourrir correctement, sans la moindre logique.
Vous ne mangez pas par faim, vous mangez même parfois sans y penser. Vous mangez pour répondre aux programmations bien ancrées dans votre vécu personnel et familial.
Il est donc important, pour maigrir durablement, de traiter ces mauvaises programmations.
A la naissance, le corps est conçu pour s’alimenter uniquement quand il a faim. Il suffit pour s’en convaincre de regarder le fonctionnement d’un bébé. Il pleure lorsqu’il a besoin de manger et s’arrête de téter dès qu’il est rassasié, peu importe que son biberon soit encore à moitié plein ou non. Et je vous mets au défi de l’obliger à vider son biberon !
Malheureusement, au fil du temps, nous nous déconnectons de nos signaux internes de faim, nous pouvons manger sans avoir faim, voire continuer de manger avec le ventre déjà bien plein, et forcément accumuler les kilos en trop.
Pourquoi ? L’éducation y est pour beaucoup.
La plupart des mauvaises programmations alimentaires inconscientes se sont forgées durant notre enfance.
On vous a peut-être appris à toujours terminer votre assiette. C’est ce qu’on m’a inculqué durant mon enfance, et je ne dois pas être la seule
-parce qu’il y a des enfants qui ont faim dans le monde ! Et même si le fait que je mange tout ne les nourrirait pas, je mangeais tout pour éviter le sentiment de culpabilité lié au fait de gâcher de la nourriture !
-ou, chez ma grand-mère, parce que j’allais être privée de dessert si je ne mangeais pas tout, et j’adorais les desserts, donc devinez qui terminait son assiette puis mangeais en surplus un dessert avec le ventre déjà bien trop rempli ?
-parce qu’un homme doit manger beaucoup pour être fort. Ca, c’était pour mon frère (oui, très stéréotypée ma famille !), mais moi je voulais aussi être forte donc je mangeais aussi pour cette raison, et par solidarité pour mon frère.
-ou parce qu’on ne pouvait pas quitter la table sans avoir terminé. Le système éducatif fondé sur la récompense et la punition était le seul qui marchait parfois avec mon plus jeune frère. Lui, il n’avait que faire des petits qui avaient faim, il n’aimait pas les desserts et savait qu’il en aurait un dans l’heure qui suivait s’il faisait ses yeux doux comme il savait très bien le faire. Tout ce qui l’intéressait c’était de repartir jouer et de reprendre la suite de ses bêtises au plus vite.
Tout ça est bien loin maintenant, et il est vrai qu’on n’y pense pas en se mettant à table, mais notre cerveau, lui, a une excellente mémoire, il a enregistré qu’il faut tout manger, et il mange tout.
Le conditionnement social
La publicité nous montre comment un chocolat est doux et réconfortant, et nous donne envie de nous ruer dessus à la moindre angoisse.
Un autre chocolat nous permettrait de partager nos émotions avec les personnes qu’on aime.
Une autre publicité nous vante les desserts ou les chips à partager dans les moments de convivialité entre amis.
Elle accentue ainsi notre tendance à considérer que les aliments qui nous apportent du plaisir sont également ceux qui font grossir, alors que les épinards ou les choux de Bruxelles sont associés au déplaisir
Et l’homme fuit le déplaisir pour le plaisir immédiat, et donc mange toutes ces choses qui le font grossir, même si cela lui causera un déplaisir dans le futur.
Si la prise de poids a toujours la même origine, une consommation énergétique plus importante que la dépense d’énergie, cela ne signifie pourtant pas que tout le monde grossit exactement pour la même raison.
En effet, certains mangent de trop grosses quantités d’aliments (si vous faites partie des personnes qui terminent toujours leur assiette parce que vous avez été éduqué ainsi, vous ne répondez pas à un signal de satiété, mais à la quantité de nourriture dans votre assiette). , d’autres mangent peut-être moins, mais grignotent tout au long de la journée, et d’autres encore mangent très mal (trop gras, trop sucré, voire uniquement des aliments préparés industriellement). Pour d’autres encore, la faim est émotionnelle, l’alimentation est un réconfort lorsqu’ils se sentent malheureux ou angoissés.
Quelle soit votre manière de manger, si vous êtes en surpoids, vous êtes victime de votre relation à la nourriture, c’est un peu comme si vous étiez sur pilotage automatique, suivant le plan de vol de vos programmations alimentaires inconscientes.
La solution pour maigrir durablement et vous sentir bien dans votre peau est d’essayer de changer les programmations qui déterminent vos habitudes alimentaires.
Comment reprendre le contrôle de l’avion fou ?
Il existe différentes méthodes :
– la sophrologie permet d’entrer en relaxation, un état mental optimal permettant d’effectuer les changements intérieurs. Tout changement de rapport à la nourriture reste soumis à votre libre arbitre, ne s’opère qu’en accord avec vos valeurs, si vous souhaitez l’accepter.
– l’hypnose, technique efficace, lors de laquelle vous êtes dans un état mental permettant d’effectuer les changements intérieurs. Je n’utilise pas cette technique personnellement, mais il suffit de taper hypnose sur Google pour trouver nombre de personnes compétentes dans le domaine.
– L’EFT est une méthode douce, sans combat, qui peut vous libérer de votre appétit insatiable, de vos envies incontrôlables de chocolat ou de frites. Ainsi, vous perdez du poids et atteignez le bien-être auquel vous aspirez.
S’il est souvent plus facile de travailler avec un praticien qui pose les bonnes questions, il est toujours possible de travailler seul. Vous trouverez toutes les informations nécessaires à un travail en solo sur ce blog.
Si vous me suivez, vous savez que je n’aime pas travailler avec des protocoles « tout faits » puisque chaque personne étant différente, elle vit et a vécu des situations différentes.
Je vous propose donc de tapoter au quotidien sur votre manière de manger, et également chaque fois que vous allez manger sans faim. Vous utiliserez les phrases qui vous correspondent le mieux. Voici de petits exemples pour vous lancer, mais l’important étant de tapoter sur les émotions qui viennent et de dire tout ce qui vous passe par la tête.
« Même si je mange pour combler un vide, pour me sentir moins seule, pour avoir un peu de douceur, … », « Même si j’ai envie de manger parce que je suis en colère, même si je mange pour ne pas fâcher ma famille, … »
« Même si je n’arrive pas à maigrir malgré tout ce que j’ai déjà essayé, même si je reprends plus de poids à chaque fois, même si j’ai beaucoup de kilos à perdre, … »
« Même si je n’ai aucune volonté …, même si je suis toujours tentée …, même si je suis incapable de résister à ces chips délicieux, à ce croquant, à ce bon petit goût … »
« Même si j’ai l’impression de me priver constamment, même si j’ai la sensation de mourir de faim, même si mon seul bonheur c’est de manger … »
Et si vous ne croyez pas à la méthode, commencez par « Même si je ne pense pas que peux maigrir avec l’EFT, je m’aime et je m’accepte malgré mes kilos en trop et me regarde avec respect et amour »
Tapotez tous les jours durant au moins trois semaines et faites moi un petit retour sur les changements survenus !
– Que diriez-vous de prendre un nouveau départ, tranquillement, chez vous, à votre rythme, quand vous en avez envie ?
Je vous ai déjà parlé du Psio précédemment, un puissant outil de relaxation. Pour rappel, il s’agit de lunettes sophistiquées, dotées d’un lecteur mp3 ,de stimulation par la lumière à des rythmes très précis (mode pulsé ou continu). Elles peuvent vous aider dans vos difficultés à perdre du poids (quelles qu’en soient les raisons, boulimie, envies de sucré, …) mais à tellement d’autres choses encore (gestion du stress, insomnie, …)
Le Psio agit sur votre esprit comme un bouton de réglage de fréquence d’une radio.