Archives de catégorie : Alimentation

Pourquoi ne dit on rien à la population ?

Bonjour, comment allez-vous ?

Je vous partage ce matin un texte qui m’a été envoyé en m’excusant auprès de son auteur(e) dont je n’ai pas connaissance du nom.

J’ajouterai simplement qu’il existe des molécules qui permettent une bonne communication cellulaire, favorisant la détection, réparation, et le remplacement des cellules endommagées. Des cellules en bonne santé sont un corps en bonne santé.

Belle journée

Mabelle

À quelle heure a-t-on expliqué à la population. que chacun a la capacité de renforcer naturellement son système immunitaire en quelques jours (les plus petits) ou en quelques semaines les adultes ?

Pourquoi ne pas s’impliquer dans les canaux d’information avec des plateformes et des professionnels de santé qui parlent de prévention, comme les nutritionnistes, les naturopathes, les phytothérapeutes, qui pourraient réaliser un immense travail d’information et de prévention au public tout en allégeant le travail des médecins et sanitaires qui sont sur le front ?

Pourquoi ne pas dire aux gens que manger des ordures, comme des produits industriels, travaillés et raffinés, est la première chose qui détruit nos défenses ?

Que l’efficacité de notre système immunitaire dépend étroitement de la qualité de notre flore intestinale et donc de la qualité de ce que nous mangeons.

Les fruits et légumes crus, locaux et de saison sont donc le meilleur moyen d’accumuler rapidement nos réserves minérales nécessaires à l’immunité…

Pourquoi ne pas expliquer qu’un jeûne intermittent contrôlé renforce le système immunitaire en seulement 3 jours ?

Qu’une respiration correcte a la capacité de réduire les niveaux élevés de production de cortisol, d’hormone régulatrice de vos niveaux de stress.

Pourquoi ne pas parler des bienfaits d’une douche froide ou d’un bain en mer, qui en quelques jours augmente le niveau de certains lymphocytes T ?

Pourquoi ne pas expliquer que des plantes comme l’échinacea, l’astragale, le sureau, la rosa canina, l’artémisia annua … sous leurs formes concentrées et correctes, augmentent les défenses immunitaires en quelques semaines ?

Pourquoi ne pas parler de l’efficacité des huiles essentielles antivirales ?

Outre la vitamine C à haute dose, l’importance de la vitamine D et des minéraux comme le zinc, le sélénium, le magnésium ? Tout cela est facile et bon marché à obtenir. Parfois, comme dans le cas du soleil, gratuit !

Pourquoi ne pas parler de comment une activité sportive saine active les hormones de la joie et du bien-être ?

Pourquoi ne pas parler de l’importance de la qualité de nos pensées et de la connexion entre l’esprit et le corps ?

Pourquoi ne pas parler de la forteresse de l’amour et de la compagnie, qui guérissent bien plus que l’isolement et la méfiance ?

Pourquoi ne pas parler du bien-être immédiat que nous donne la marche ou être dans la nature ?

Pourquoi ne pas expliquer que la peur est immunosuppresseur ? Et ça génère plus que tout : maladie, faiblesse, anxiété, souffrance.

POURQUOI NE PAS COMMENCER À INFORMER. ET POURQUOI NE PAS LE FAIRE VRAIMENT…

Ils nous ont juste appris, à mettre un masque, à être enfermés et à avoir peur.

Si vous pensez que cette information est bonne…Copiez et collez pour atteindre plus de gens et agir

Nourris-toi bien et assieds-toi.

(Crédits à l’auteur)

Respire ! 🤍

Ma vinaigrette préférée

J’aime souvent faire ma vinaigrette, incontournable des salades et autres crudités au fur et à mesure de mes besoins, en mélangeant huile, vinaigre, avec tout ce que j’ai sous la main, au gré de mes envies. Cependant, j’apprécie aussi d’avoir au frigo un flacon de vinaigrette préparée par avance qu’il me suffit de verser vite fait sur une petite salade.

En matière de vinaigrette, il est possible de varier à l’infini les différents ingrédients, mais malgré tout, l’une d’entre elles reste toujours ma préférée, qui a du goût et composée d’ingrédients sains. Je vous partage la recette de celle-ci. Elle ferait presque aimer la salade aux réfractaire

Dans un pot à moutarde vide (350gr), je verse :

– 100 g de vinaigre de cidre

– 50 g d’huile de Bourrache (Bourrache et Onagre étant deux huiles essentielles pour la régulation des hormones féminines)

– 50 g d’huile d’Onagre

– 2 cuillères à café de moutarde à l’ancienne

– 1 cuillère à café de miso blanc

– 3 tomates sèches mixées ou finement hachées (avant j’utilisais le vieux moulin à café de ma grand-mère pour les mixer, mais je pense qu’il devait bien avoir 50 ans et il m’a lâchée. Depuis lors, je hache finement les tomates sèches – pas celles qui trempent dans l’huile)

– 1 gousse d’ail finement râpée ou passée au presse ail

– 1 cuillère à soupe de graines de lin mixées (j’en avais mixé lorsque le moulin à café fonctionnait toujours, j’ai l’intention de regarder au magasin bio s’il existe des graines mixées)

– 1 cuillère à café rase d’herbes de Provence

– 1/2 cuillère à café de curcuma en poudre

– 1/2 cuillère à café de sel de Guérande

– 1/4 de cuillère à café de poivre

– je complète avec de l’eau chaude et, lorsque j’en ai sous la main, j’ajoute une petite échalotte finement ciselée

Je ferme le bocal, et je secoue bien

Cette vinaigrette se conserve au réfrigérateur et se bonifie avec le temps, mais je l’utilise souvent rapidement, donc pas de bonification à la maison.

Et vous, quelle est votre recette de vinaigrette préférée ? N’hésitez pas à me la partager.

Merveilleuse journée

Mabelle

Manger des pommes

Pour rester en bonne santé, il suffit souvent de bien utiliser les produits qui nous entourent. Manger des pommes régulièrement serait par exemple une excellente idée à laquelle nous ne pensons pas assez souvent.

Manger des pommes fait partie du quotidien de nombreux consommateurs, mais connaissons-nous tous les bienfaits de la pomme ? La pomme est excellente pour la santé mais également pour la ligne.

Caractériser la diversité des variétés anciennes de pommier conservées en  France - Jardins de France

La pomme régule les problèmes de transit

La pomme est un fruit riche en fibres, qui facilitent le transit intestinal et réduisent le risque de constipation. Pour cela, il faut la manger crue avec la peau. En cas de diarrhées, en revanche, pelez votre pomme. Elle aura alors un effet radical. La pectine qu’elle contient est une fibre soluble qui peut en effet retenir jusqu’à 20 fois son volume d’eau.

La pomme réduit les risques de cancer

La pomme est également un allié contre le cancer. Elle contient en effet d’importants niveaux de catéchines et de quercétine, des antioxydants qui agissent contre la prolifération de cellules cancéreuses. Ces antioxydants se trouvent principalement dans la peau, alors pensez à acheter des pommes bio ou lavez-les bien avant de les consommer.

La pomme combat le mauvais cholestérol

Les pommes sont capables de réduire significativement les taux de mauvais cholestérol et d’augmenter légèrement les taux de bon cholestérol. C’est grâce à la pectine que les pommes empêchent les graisses de s’agglutiner dans les artères. Presser la pomme en jus permettrait de lutter encore plus efficacement contre le mauvais cholestérol.

La pomme est un allié minceur

La pomme serait par ailleurs recommandée pour toutes les personnes qui cherchent à perdre du poids. Elle est en effet un excellent coupe-faim. Manger deux pommes par jour permettrait par conséquent de perdre du poids. Le sentiment de satiété qu’elle procure réduit les grignotages ainsi que notre appétit pendant les repas.

La pomme réduit les risques de diabète

Manger des pommes serait également utile pour réduire les risques de diabète. Les fibres, à l’instar de la pectine, freinent la pénétration des sucres dans le sang et stabilisent ainsi les taux de glycémie. Selon les résultats d’une étude américaine, manger une pomme par jour permettait de réduire de 28 % le risque de développer un diabète de type 2.

La pomme est bonne pour les os

Plusieurs études ont montré que la consommation de fruits riches en antioxydants, comme la pomme, entraînait une augmentation de la masse osseuse et une plus grande résistance des os. En règle générale, la consommation de fruits entraîne une meilleure densité minérale osseuse.

La pomme permet de mieux dormir

Manger des pommes rend nos nuits plus paisibles. Parce qu’elle est riche en phosphore, la pomme prévient les problèmes de sommeil comme l’insomnie. Elle lutte également contre l’anxiété et favorise la détente. Manger une pomme avant de se coucher est donc recommandé.

La pomme réduit le risque d’AVC

Selon une étude menée par des chercheurs néerlandais et publiée dans Stroke, le Journal de l’American Heart Association, consommer régulièrement des poires et des pommes permet de réduire de 52 % les risque d’AVC (accident vasculaire cérébral). Une pomme par jour suffirait pour prévenir de manière efficace les AVC.

La pomme réduit le risque de maladie neurodégénérative

La pomme est également recommandée pour avoir une bonne santé cérébrale car elle contient un antioxydant, la quercétine, qui protège efficacement les cellules du cerveau. Elle permet également de conserver une bonne mémoire et de prévenir les maladies neurodégénératives comme Alzeihmer ou Parkison.

La pomme est excellente pour la santé bucco-dentaire

La pomme est enfin indispensable pour conserver une bonne hygiène bucco-dentaire. Elle favorise en effet la production de salive. Or la salive protège les dents des bactéries et permet de lutter contre le développement de caries.

Avec ou sans pomme, prenez soin de vous

Mabelle

Un peu de saumon ?

Bonsoir,

J’espère que vous avez vécu une belle journée, et soirée également.

Je vous partage bien vite un petit message de Michel Dogna avant de faire une petite séance de Psio et de me coucher.

Certains feront peut-être des courses demain dans la journée et cet article pourrait leur permettre de penser à un petit changement de menu pour ceux qui célèbrent Noël et avaient l’intention de consommer du saumon.

Pourquoi faut-il éviter de mettre du citron sur le saumon fumé ? : Femme  Actuelle Le MAG

Le saumon fumé… en mangez-vous encore ?

Les ¾ de ces saumons proviennent des milliers de fermes aquacoles installées dans les fjords norvégiens. Le marché, c’est maintenant 600 000 tonnes par an de ce poisson qui en sont exportées.

Mais il y a un problème de taille : les saumons sont élevés dans de telles conditions concentrationnaires (l’équivalent de 27 truites dans une baignoire), qu’il s’est installé un parasite, le pou de mer, provoquant de gros trous dans leur peau ainsi que des abcès les rendant malades et invendables. Pendant 20 ans ce problème a été traité par les antibiotiques mais comme d’habitude, une résistance s’est installée. Alors les services sanitaires ont appliqué une solution radicale, le Diflurobenzuron, un pesticide pourtant interdit en Europe (sauf en France !) dans les milieux aquatiques pour son extrême dangerosité.

La visite de fermes avec des cages de 400 000 saumons a révélé que la moitié des saumons meurent par l’effet combiné du manque d’espace, du manque d’oxygène, et des poux. Alors, toutes les 6 semaines en moyenne, on verse des sceaux de Diflurobenzuron dans le parc ; il s’ensuit à chaque fois la mort de 2 à 300 saumons par jour pendant une semaine.
Puis le produit se répand aux alentours tuant immédiatement toutes les espèces de poissons qui s’approchent du site. Les saumons sont les seuls à résister (partiellement) à ce toxique légalisé en Norvège. Bien sûr, aucune étude n’a été effectuée sur l’incidence du « Diflumachin » sur la santé humaine…

Le lobby de l’aquaculture est devenu tellement puissant qu’il encadre tous les organismes de contrôle. La Norvège ne faisant pas partie de l’Europe, sa règlementation n’est pas assujettie à la législation européenne. Mais en raison d’un accord de libre échange (obligé par l’OMC), aucun contrôle  n’est effectué à nos frontières…
C’est comme cela que le Diflurobenzuron, classé hautement cancérogène arrive tranquillement dans votre assiette. Renseignements pris,

aucun des éleveurs interrogés ne consomment de leur  production…

Maintenant, vous ne pourrez plus dire que vous ne saviez pas. A vous de voir ce qu’il vous reste à faire.

Douce nuit

Mabelle

Bonjour , comment allez-vous ce matin ?

Je vous partage ce matin une petite vidéo d’une personne qui avait compris beaucoup de choses et l’a malheureusement payé de sa vie.

Corinne Gouget s’est battue pour informer sur les additifs alimentaires nocifs, notamment sur le glutamate monosodique qui m’avait valu des soucis de santé il y a une vingtaine d’années, et sur l’aspartame.

Elle a fait des conférences et écrit un livre pour dénoncer. Son livre a été traduit dans plusieurs langues. Pour la faire taire, on lui a retiré ses 2 filles. Elle a continué sa bataille mais a été retrouvée morte dans des circonstances nébuleuses. Et Amazon a retiré ses livres de leur site.

Je suis heureuse de savoir que ses filles ont repris le flambeau pour poursuivre le travail de leur maman.

Prenez 45 minutes pour votre santé.

Prenez soin de vous

Mabelle

Coronavirus, qu’en penser ?

Bonsoir,

J’espère que vous allez bien.

J’avais décidé de ne pas rentrer dans le jeu des médias et de ne rien publier sur ce sujet du Coronavirus qui est déjà sur toutes les lèvres. Ce sujet revient partout, en permanence, de façon anxiogène, générant de la peur principalement due au manque d’informations claires et au fait qu’avec tout ce qui circule sur le net il est extrêmement difficile de discerner le vrai du faux. Cependant j’ai reçu plusieurs messages me demandant ce que j’en pensais. Du coup, voilà que je m’y mets également en écrivant un article plutôt que de répondre à chacun en particulier.

D’où provient ce virus ?

Je ne vais pas vous raconter des histoires, je n’en sais absolument rien, comme vous tou(te)s.

Les médias jouent un jeu très pervers en disant d’un côté quelque chose, et de l’autre son contraire : d’un côté le virus n’est pas si létal que ça et en même temps ils parlent du nombre de morts vingt fois par jour ou la ministre de la santé française qui annonce que le masque n’est pas nécessaire en porte un elle-même et, dernièrement on nous annonce qu’il n’y a pas de raison de ne pas mettre les enfants à l’école, qui a toujours été un énorme nid à microbes en tous genres et on maintient Batibouw qui brasse des milliers de visiteurs (A noter que la France ne fait pas mieux en laissant ouvert Eurodisney), et de l’autre on interdit l’accès aux bâtiments de la commission européenne !

Nous pouvons bien évidemment nous demander si les autorités nous disent toute la vérité ? Car visiblement elles prennent cette épidémie très au sérieux si l’on en juge les décisions prises pour limiter la propagation de l’épidémie en Chine et en Italie. Nous pouvons nous interroger sur les raisons de la mise en place de mesures aussi extrêmes. Qu’est-ce qui fait tellement peur aux autorités ? Que savent ils et oublient de nous dire sur la dangerosité de ce virus ? Car entre le nombre de personnes décédées et les mesures prises, il me paraît tout de même y avoir un énorme fossé… qui demande de réelles explications.

On joue avec nos nerfs avec une pandémie qui, me semble-t-il ne fait même pas le nombre de morts que fait la grippe saisonnière chaque année si les chiffres annoncés sont exacts. Ne s’agirait-il pas purement et simplement de manipulation ? Je vous avoue sans honte que je ne sais pas quoi en penser.

En réalité, même si cette information paraît surprenante, la Belgique n’a pas de plan de pandémie mais seulement un plan d’épidémie (j’ai personnellement vérifié cette information qui est exacte). Or cela fait une différence énorme en matière de logistique : les chaînes d’approvisionnement du matériel de soins se retrouvent interrompues puisqu’il n’y a aucune réserve stratégique.

Tout le matériel nécessaire, non seulement pour assurer le fonctionnement normal de notre système de soins de santé, mais aussi pour avoir la capacité d’absorber le surcroît inévitable dans le nombre de patients à traiter, doit être gardé en stock en quantité suffisante s’il n’est pas produit sur le territoire belge. Mais cela n’est pas le cas chez nous et les dirigeants ne semblent pas s’en inquiéter.

La propagation d’un virus est intimement liée à la fréquence des contacts entre individus. Plus il y a de contacts, plus la probabilité de transmission augmente, ce n’est un secret pour personne. Contenir un virus pandémique est une course contre la montre. Selon moi le pays devrait déjà être passé en phase 3. Mais là non plus, pas de panique en Belgique.

Les experts du gouvernement prétendent suivre la situation de près et être préparés, mais en réalité démontrent une méconnaissance totale de ce nouveau coronavirus. Leur communication reste incohérente et ils refusent d’anticiper. Soit ils ne comprennent pas suffisamment la nature du danger et ce n’est pas la politique de l’autruche qui va nous aider, soit ils se fichent complètement de ce à quoi nous faisons face. Je vous laisse seul juge. Il semblerait que le souci principal du ministère de la santé, depuis le début de cette crise, est de rassurer la population en minimisant la nature du danger. Les actions prises jusqu’ici par le gouvernement sont trop peu, trop tard et avec une communication très confuse.

N’aurait il pas fallu recommander l’annulation des vacances de carnaval en France et en Italie, et au minimum tester les personnes rentrant sur le territoire et les mettre en quarantaine, plutôt que de donner un laisser passer au coronavirus en lui ouvrant grand les portes ? Mais comme toujours on a d’abord regardé le coût financier d’une telle mesure parce que l’argent est plus important que la vie !!!

Le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus déclare « Ce n’est pas un exercice. Ce n’est pas le moment d’abandonner, ce n’est pas le moment de trouver des excuses, c’est le moment d’y aller à fond ». Qu’attendons-nous en Belgique ?

Pour ma part je me veux sereine rien qu’avec mes jeûnes réguliers, ma base alimentaire et ma supplémentation en molécules Redox qui boostent mon système immunitaire.

Mais, il est vrai que, comme beaucoup d’entre vous, je me pose quelques questions : pourquoi accuse-t-on des chauves-souris d’être responsable de la contamination initiale. Excusez-moi, mais comment des chauves-souris qui hibernent en cette période auraient pu contaminer Wuhan ? Après on a mis ça sur le dos d’un pangolin, je ne connaissais même pas l’existence de cet animal, j’aurai au moins appris quelque chose. Mais il faut vraiment arrêter de raconter n’importe quoi. Il existe de nombreuses failles béantes et des aberrations géantes dans cette histoire.

Et comment sont-ils en possession de millions de kits de détection partout sur la planète pour ce Covid-19 si tout cela n’a pas été organisé (une autre piste sur l’origine de ce virus qui serait sorti tout droit du laboratoire chinois) ? Ne serait-il pas plus logique que ces kits détectent simplement les virus de façon générale ? Or, nous avons en permanence des virus dans le corps donc cela n’a pas le moindre sens à mes yeux.

Jusqu’à présent, jamais on n’a précisé par quel moyen cette confirmation est obtenue. Le manque de curiosité des journalistes ne cessera jamais de m’étonner. Ou cette mise sous silence est elle volontaire ?

Il y a de grandes chances que l’examen en question soit un test de PCR (Polymerase Chain Reaction).  Cette méthode ne consiste pas à observer réellement le virus mais à photocopier de multiples fois sa signature génétique, elle manque de spécificité et serait à l’origine de nombreux « faux positifs », le moindre contaminant ou débris cellulaire pouvant être confondu avec de l’ADN ou de l’ARN viral. D’ailleurs son inventeur lui-même, Karry Mullis, ne lui attribuait aucune valeur pour le diagnostic d’une maladie, il me semble que c’est tout dire.

Quant à l’imagerie médicale, elle ne permet pas de distinguer une pneumonie virale d’une bactérie bactérienne ou fongique. Et les signes cliniques ne permettent pas plus de faire le tri entre les grippes classiques, les syndromes grippaux qui se compliquent et les pneumonies. Parmi les cas avérés, je suis convaincue que nombre d’entre eux n’ont rien à voir avec le corona, cela d’autant plus que la confusion entre maladies virales et non-virales est sciemment entretenue.

N’est pas étrange que les Etats-Unis, bien connus pour toujours se mettre sur le devant de la scène continuent de rester si silencieux sur cette pandémie ? Ce silence ne cacherai- il pas quelque chose ? Oui, je suis bien consciente que certains vont arrêter leur lecture dès à présent en pensant « encore une complotiste ». Mais sachez que je m’en moque vraiment. Je ne m’étais pas exprimée sur le sujet jusqu’à présent, ce n’est pas pour, au moment où je le fais, ne dire que ce qui ne va pas choquer. Je suis convaincue que bien des choses se trament derrière notre dos et qu’on nous considère comme des pions et chacun est libre d’y croire ou non.

La réaction drastique du gouvernement chinois (et maintenant italien) consistant à mettre environ des millions de personnes en quarantaine pour une durée indéterminée au risque de voir l’économie du pays s’effondrer, est très inquiétante. Vous connaissez beaucoup de pays qui construisent des hopitaux en 10 jours et désinfectent les rues au camion pompe ? Cela me paraît tout de même indiquer la gravité de la situation. Ils savaient que les choses étaient graves. Les autorités devaient donc savoir depuis le début de l’épidémie que le germe était très virulent… Comment le savaient-ils et, pourquoi cet oubli dans les informations ? Pourquoi le reste du monde n’a-t-il pas immédiatement pris les mesures de précautions qui s’imposent ? L’hypothèse d’une fuite depuis le laboratoire secret ressort, je suis loin d’être la seule à y penser.

En France, on peut clairement dire que le coronavirus est une réelle au aubaine pour le gouvernement : le problème des retraites passe désormais au second plan et l’utilisation du 49-3 ne serait jamais passée sans cette pandémie. Le réchauffement planétaire on n’en parle plus, quant aux grèves, aux manifestations des gilets jaunes, tout ça est passé aux oubliettes. Et la France n’était pas le seul pays dans lequel les citoyens se rebellaient de plus en plus, refusaient l’oppression de leurs dirigeants. Désormais, d’autres choses sont prioritaires. Coïncidence ?

Pourquoi des représentants de nombreux pays se sont-ils réunis en octobre 2019 sur la préparation à une pandémie qui était principalement axée sur l’impact financier d’une pandémie et pas le moins du monde l’impact en matière de santé de la population ?

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Malgré son évolution pandémique, je continue de croire que les clés de cette crise sanitaire ne sont pas seulement infectieuses, mais se situent là où elle a commencé, à Wuhan. Son origine est-elle la pollution atmosphérique ou les effets délétères des antennes 5G ? Ou plus probablement la combinaison des deux ? Il est évident pour moi que la fréquence de 60 mégahertz est particulièrement néfaste. Selon des infos circulant sur le net, cette longueur d’ondes agirait négativement sur l’oxygène sanguin, favorisant ainsi les difficultés respiratoires. Il faut probablement confirmation de ceci, mais l’éventuel impact de la technologie 5G ne doit certainement pas être balayé. Un petit article sur le sujet : https://www.alerte.ch/fr/information/info-generale/203-scientifiques-et-m%C3%A9decins-alertent-sur-les-effets-de-la-5g.html?fbclid=IwAR3hiwAhSrNuceYu9cCUmTsSoUESSkxBevxxlEzu5SRoEQevs8spzTuYdiE

Vous pouvez en trouver plein d’autres sur le net, et certains groupes sur Facebook si ce sujet vous intéresse. Il y a aussi des pétitions qui circulent dans plusieurs pays. https://www.mesopinions.com/petition/sante/reseau-5g-laissons-faire-experimentation-grande/64040?fbclid=IwAR3izGVijHZR6XYIVxVAouX42oz2My58KOLZlvRrwQVMCKgaC729NJQAq1U

Et les merdias, oui désolée si le terme ne plaît pas, mais puisque vous voulez connaître mon avis, je vous le donne (si je ne regarde plus la télévision depuis longtemps, ce n’est pas pour rien) se plaisent à écrire des articles creux plutôt que nous parler des bienfaits d’une promenade dans la nature. Pourtant la marche en forêt est bénéfique pour le système immunitaire, et réduit l’anxiété. Mais c’est clair que ce genre d’article est nettement moins vendeur que les nouveaux cas probables ou détectés et les décès annoncés.

Rester loin des infos qui influencent sur notre moral me paraît une meilleure attitude si on veut rester serein. Cela ne veut pas dire qu’il faut vivre avec des œillères et ignorer ce qui se passe, il faut rester informé, mais pas 24h/24 et surtout en gardant un regard critique sur les choses. Si vous êtes en bonne santé, profitez-en, continuez à vivre et à faire ce que vous aimez. Et si vous faites partie de ceux qui paniquent et qui croient qu’ils vont mourir avant la fin du mois, raison de plus pour profiter de votre santé actuelle (oui, je sais, certains me diront que je n’ai pas de cœur mais détrompez-vous, j’ai simplement la tête sur les épaules et, si demain vous êtes malade et avez besoin d’un endroit où vous reposer, je vous ouvrirai la porte bien grande en continuant de prendre soin de moi).

Vais-je l’attraper ?

D’ici quelques jours ou semaines, le virus sera répandu sur une majorité du territoire, on n’y échappera pas, même si pour une bonne partie d’entre nous cela sera probablement asymptomatique ou anodin (une fois encore, je le redis, si on ne nous cache pas certaines informations importantes).

Ce virus, comme tout virus, est dangereux pour personnes âgées souvent polymédiquées, fragiles, ou déjà atteintes de pathologies.

Pour évaluer la contagion on parle du « R Zéro » du virus. Cela signifie combien de gens vont attraper le virus si on place un individu malade dans une pièce avec 100 personnes (en considérant que les chiffres annoncés sont exacts et rien ne prouve qu’ils ne sont pas fortement minimisés).

Le «R zéro» :

– De la grippe est de 1,3

– Du coronavirus est de 2,2 (il s’agit des derniers chiffres que j’ai entendus mais ils semblent évoluer chaque jour)

Le temps moyen d’incubation du coronavirus est de 6 jours, cela signifie donc que si l’on place un individu malade dans une pièce de 100 personnes, on aura :

– À J+6 : 2,2 personnes malades + le premier malade = 3,2

– À J+12 : les 2,2 vont chacun contaminer 2,2 personnes => 3,2 + 2,2 + 2,2 = 7,6 malades

– À J+18 : 24 malades = 24 % de la population si je ne me trompe pas dans mes calculs.

Donc un petit foyer peut rapidement entraîner jusqu’à 850000 belges infectés.

Il est souvent fait la comparaison avec la grippe saisonnière. Le coronavirus est donc 1,7 fois plus contagieux que la grippe saisonnière. En Belgique, la grippe touche 500.000 personnes en moyenne par an. Sans mesures de précaution plus drastiques qu’avec la grippe, on risque donc d’avoir 1,7 x 500.000 = 850.000 personnes infectées par le coronavirus en Belgique. Je vous laisse faire les calculs pour votre pays si cela vous tente, tout en sachant que cela ne va rien changer, que ça n’est jamais que des chiffres probables.

En absence de mesures de santé publique, un épidémiologiste a calculé, avec des calculs d’exponentielle trop compliqués pour moi, qu’à partir d’un cas COVID-19 on obtient 1000 cas après 24 jours, un million après 48 jours et un milliard de cas à partir d’un seul cas après 72 jours… et certains continuent d’en rire, sans doute parce qu’ils n’ont pas d’expérience personnelle de la puissance destructrice d’une pandémie. Le problème c’est qu’ils propagent dangereusement le virus. Certaines réflexions font d’ailleurs froid dans le dos « On est trop nombreux sur terre de toutes manières, il est temps qu’un virus vienne nettoyer tout ça! C’est de la sélection naturelle, c’est très bien ». Pourquoi donc le « tout ça » serait il un chinois ou un italien inconnu, voire un voisin, mais pas eux-mêmes, leur mère, leur enfant ?

Si le corona virus est bien un virus typique du rhume, et non un virus manipulé par des laboratoires (ce dont je n’ai aucune certitude), seules les personnes plus âgées en baisse d’immunité (en mauvaise santé intestinale/dysbiose, manque de vitamines A, D, diabétiques, malnutris, manquant de Fer ou de Zinc) peuvent en être victimes.

Comment se manifeste le virus ?

Je vous livre ces informations d’une connaissance infirmière de retour d’Italie.

Il est dit un peu partout que l’infection du Coronavirus ne se présente pas comme le rhume habituel, avec le nez qui coule ou une toux avec cathares et crachats, mais au contraire avec une toux sèche et que ça serait le premier signal à bien identifier.

 Or cela est faux. il peut aussi causer des congestions et écoulements nasaux et des crachats » car les « symptômes sont d’abord similaires à ceux d’un rhume classique », selon le professeur Brandon Brown, épidémiologiste à l’Université de Californie. Selon les autorités sanitaires américaines (CDC) et l’Organisation mondiale de la santé (OMS), les principaux symptômes demeurent la fièvre, la toux, la sentation d’essouflement et des difficultés respiratoires. Mais certains patients peuvent ne pas connaître de symptômes du tout ou simplement des symptômes similaires à ceux d’un rhume ou d’une grippe La. durée d’incubation varie de 1 à 14 jours selon les estimations de l’OMS.

La pneumonie se manifeste avec de la fièvre élevée et des difficultés de respiration et elle ne ressemble absolument pas à un rhume ordinaire. Vous pourriez même avoir la sensation de vous noyer à cause de la difficulté respiratoire. N’attendez pas d’en arriver là avant de contacter un service de soins d’urgence.

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Quelle attitude adopter ?

Je choisis de vous donner quelques pistes de simple bon sens, il est vrai. Mais il arrive souvent, que dans la panique, on en oublie le plus élémentaire mais pourtant efficace, on n’agit plus de manière logique. Il ne s’agira donc de rien d’autre que de conseils d’hygiène de vie habituels.

La transmission est, semble-t-il aérienne (gouttelettes de salive) qui peuvent être directement être respirées ou déposées sur le visage d’une personne qui, en se frottant le visage contaminera ses propres mains. Ensuite la personne contaminée transmettra le virus (poignées de mains, objets touchés).

Les gouttelettes de salive peuvent se déposer sur les objets environnant qui seront touchés ensuite par des tiers, ce qui les contaminera à leur tour via les mains.

Il ne semble exister aucune information sur d’autres modes possibles de contamination comme les selles, les urines et les relations sexuelles… ce qui serait pourtant important de connaitre compte tenu de l’existence des nombreux porteurs sains. Mais soit on ne le sait pas, ou on refuse de nous en informer.

Toutes les règles habituelles d’hygiène sont donc à respecter plus que jamais pour éviter de transmettre le virus à une personne fragile pour qui il pourrait être potentiellement dangereux.

Beaucoup d’infos circulent sur les réseaux sociaux, sur la durée de vie du virus, sur les mains environ 10 minutes, sur les tissus durant 6 à 12 heures et 12 heures sur les surfaces métalliques. En réalité personne ne peut donner précisément une telle information. On ne peut qu’imaginer qu’il se comporte comme les autres virus. Selon l’OMS il semblerait qu’il peut vivre sur les surfaces quelques jours à plusieurs jours.

Une étude publiée en mars par des chercheurs allemands dans le Journal of Hospital Infection analysait la persistance des autres coronavirus, comme ceux des ayant provoqué les épidémies de SARS ou de MERS, proche du Sars-Cov2, le virus actuel. Voici leurs résultats qui sont sensiblement différents des affirmations sur le net.

Quoiqu’il en soit, quelle que soit la durée de vie du virus, et même si elle n’était que de 10 minutes, pendant ces 10 minutes beaucoup de choses peuvent se passer : se frotter les yeux ou se gratter le nez par exemple et permettre ainsi au virus d’entrer dans votre gorge. Evitez de vous toucher le visage ou de vous frotter les yeux avec les mains avant de les avoir lavées.

Soyez vigilants, évitez autant que possible de toucher les rampes d’escalier, les poignées de porte, les robinets ou autres objets touchés dans les lieux publics. Pour votre bien-être et pour celui des autres, lavez-vous les mains.

Si vous êtes malade, restez chez vous, n’allez pas vous exposer à un coronavirus en plus de ce que vous avez déjà puisque, si vous avez un souci de santé c’est bien que votre système de défense n’est pas au top donc ne prenez pas le risque de côtoyer un autre virus, qui demanderait encore plus à votre système qu’il n’est en situation de le faire.

Eternuez et toussez dans votre coude et non en mettant la main devant le visage (pour éviter toute projection autour de vous mais également sur vos mains) et utilisez des mouchoirs jetables et lavez vous les mains. Je reviendrai sur le sujet plus loin car point trop n’en faut.

Si vous êtes en bonne santé, dites bonjour de loin, évitez les poignées de mains et ne faites pas la bise. C’est parfait si vous allez bien, mais soyez responsable pour ne pas propager le virus à des personnes qui ne le sont pas. Si une personne qui a été déjà affectée éternue devant vous, et qu’elle se trouve à 3 mètres de distance, le virus attérira au sol et donc n’arrivera pas jusqu’à vous (ce n’est pas un avion à réaction non plus). C’est la raison pour laquelle une distance de sécurité est importante entre les personnes.

J’aurais envie de vous dire de porter un masque dans les lieux publics confinés (transports en commun notamment) même si, à la base, les masques sont destinés à être portés par les personnes malades et que le gouvernement dit que cela n’est pas nécessaire. Mais quoi qu’il en soit les masques FFP2 (selon un rapport de chercheurs chinois le diamètre des particules du nouveau coronavirus varie entre 60nn et 140nn, ce qui impliquerait que le FFP2 soit nécessaire pour l’arrêter selon moi, en rappelant que je ne suis pas médecin) , voire les masques chirurgicaux semblent être partout en rupture de stock, ce qui confirme bien que nos dirigeants sont irresponsables et n’ont prévu aucun stock de matériel pour une situation comme celle à laquelle nous sommes actuellement confrontés ou cela est volontaire ?

Utilisez des diffuseurs d’huiles essentielles dans vos lieux de vie et de travail pour assainier l’atmosphère, ou du papier d’Arménie si vous ne possédez pas de diffuseur et ne disposez pas des moyens financiers de vous en procurer un. Et si même ça ne fonctionne pas, ça ne peut pas faire de tort et ça parfumera la maison.

Ces règles élémentaires sont en réalité celles à adopter en tout temps par toute personne responsable qui pourrait être le relais d’une infection entre une personne malade et une personne fragile. Mais ces règles s’imposent plus encore en période hivernale d’épidémie, et ici de pandémie.

Je ne suis pas certaine que de rester enfermé chez soi soit la meilleure des solutions. Le corps a besoin de prendre l’air, de marcher. Evidemment, pas si vous vivez en centre-ville et ne pouvez pas faire trois pas sans frôler quatre personnes. Mais, pour ceux qui ont la chance de vivre à la campagne, il ne faut pas non plus diaboliser ce virus et s’imaginer qu’il est partout dans l’air qu’on respire.

Faut-il avoir peur ?

Est-il vraiment nécessaire de s’inquiéter autant pour le Coronavirus ? A vous d’en juger… Mais gardons à l’esprit que la peur n’y changera rien, que tu contraire. La crainte, l’inquiétude et la peur sont autant de portes ouvertes dans notre système immunitaire. Il s’agit de tenter de s’informer en gardant la tête froide et de mettre en place ce qui peut être fait.

Nous ne sommes généralement préparés qu’aux dangers auxquels nous faisons face régulièrement. Personne n’est préparé psychologiquement à une pandémie, ou n’en a l’expérience puisque la dernière date de plus de 100 ans. Il est très difficile d’anticiper l’aspect explosif de la propagation d’un agent infectieux, alors qu’il est scientifiquement établi qu’un virus se propage de manière exponentielle.

Nous savons qu’il existe de nombreuses personnes porteuses (et donc transmetteuses) du virus qui sont asymptomatiques c’està-dire qu’elles ne sont pas elles-mêmes malades. De plus, les animaux peuvent aussi être des porteurs (sains ?) si l’on en croit ce qui a été dit en début d’épidémie avec le pangolin et à propos de chiens par la suite… qui peuvent transmettre la maladie aux humains. Tout cela fait que la situation est difficilement contrôlable et peut engendrer du stress. Ce stress est principalement lié à notre mental d’humain (qui est le seul animal capable de se stresser tout seul) qui nous envisage souvent le pire. Nous n’avons aucun contrôle du futur. Nous pouvons seulement vivre le présent et garder notre bons sens au cas où cette épidémie venait à nous toucher personnellement ou à toucher nos proches. Ainsi la première chose à mettre en place pour prévenir la maladie est de lutter contre le stress.

Car, quoi qu’il arrive, le stress est le principal agent causal de toutes les maladies puisqu’il épuise le système immunitaire. Plus on a peur, plus l’organisme se met en position d’alerte pour se préparer au combat ou à la fuite. Et, quand il fait cela, il met en pause les autres fonctions qu’il ne considère pas comme prioritaires. Quelles fonctions ? Et bien la digestion et le système immunitaire ! Donc plus vous avez peur des virus et plus vous leur préparez le terrain.

Pour moi la première chose à faire est de rester aussi calme que possible. Je suis bien consciente qu’il est parfaitement clair que d’être obligé de se passer les mains au gel hydroalcoolique avant d’entrer dans un magasin, puis d’assister à une bagarre pour un paquet de pâtes peut franchement faire flipper. On se croirait dans un mauvais feuilleton télé, il ne manque plus que les gars bâtis comme Schwarzenegger, en tenue de camouflage avec leurs armes de guerre à la main et les grenades à la ceinture ! Et, là encore je me pose la question « n’y aurait il pas un intérêt à maintenir la population dans la peur ? » Je ne peux m’empêcher de penser aux attentats et la peur qui en a suivi. Pendant ce temps là plus personne ne manifeste, on nous sort des lois sans que nous soyons au courant de ce qui se fait dans notre dos. Nous ouvrirons des yeux ébahis lorsque ce virus ne sera plus là parce que nous n’avons rien vu de ce qui se passait tout ce temps là.

Cependant, être en état de stress permanent diminue l’équilibre du système immunitaire donc si même la vue de la bagarre au magasin n’était pas agréable, il faut impérativement, une fois rentré chez soi, se détendre et passer à autre chose. Certainement pas se ruer sur la télévision qui annonce de nouveaux morts pour continuer le stress le reste de la soirée.

 Pourquoi ne pas méditer, ou écouter une musique agréable, notamment une musique à la fréquence de 432 Hz. Rien de plus simple, il suffit de taper 432 Hz sur youtube et vous en trouverez des milliers.

La fréquence de 432 Hz est qualifiée, par des scientifiques, de « naturelle ». Ils ont calculé les fréquences de résonance des atomes et molécules dans la nature. L’oscillation à 432Hz est une fréquence de résonance de l’eau. Je vous rappelle que l’eau est le constituant majeur de toute vie sur terre, et notamment de l’être humain.

L’écoute d’une musique en 432 Hz nous rapproche de la nature, nous met en résonance avec elle. Elle a un effet profond sur l’organisme, en procurant rapidement une sédation du système neuro-végétatif et un état de bien-être.

Ne vous laissez pas atteindre par la peur. Si votre système immunitaire est déjà dégradé par vos habitudes de vie, que votre santé n’est pas terrible, faites ce qu’il faut pour votre corps retrouve l’équilibre, il faudra sans doute une approche plus musclée, le temps de bien réaccorder votre système immunitaire. Mais c’est important de le faire dès à présent et de sortir du stress au plus vite. N’oubliez jamais que des milliers de personnes meurent chaque jour dans un accident de voiture, ou d’un problème cardiaque que rien n’annonçait. Vous ne pensez pas à ça toute la journée. Or vous n’avez pas plus de risque de mourir du coronavirus.

Si vous persistez à ressentir la peur, je vous suggère de faire une (ou autant que vous en ressentez le besoin) ronde d’EFT sur le sujet. Vous trouverez toutes les infos sur l’EFT sur ce blog. Si vous préférez une ronde en vidéo, mon amie Claude, bien consciente que la peur aggrave le danger a posté dernièrement une vidéo sur le sujet

https://www.youtube.com/watch?v=1A5U02YWcqU&feature=youtu.be&fbclid=IwAR0mFHA0NzkuiuI1Xh3-DHbWZ16kSm6XsdA2dBAKUDR87-xBc3psLn6gqjw

Vous pouvez aussi faire une séance de Bars d’Access Consciousness pour laisser aller toutes ces peurs, du Reiki ou de la réflexologie plantaire pour vous calmer et soutenir votre système immunitaire. Il existe des tas de techniques, je ne vais pas toutes vous les citer, vous avez très certainement vos préférences, faites le choix parmi les nombreuses possibilités existantes.

Pourquoi serez-vous malade mais pas votre voisin ? Ou l’inverse ! Je ne suis pas voyante extralucide !

Qu’il s’agisse du Corona Virus, de tout autre virus ou de la grippe saisonnière (qui fait des milliers de morts chaque année mais que tout le monde semble oublier subitement parce que les médias entretiennent la panique), le meilleur moyen de s’en préserver est et restera toujours de maintenir un système immunitaire performant. C’est son rôle tout de même de nous protéger de tout agent extérieur. Ce n’est pas un hasard si les décès dus à la grippe annuelle sont des personnes âgées ou déjà en mauvais état de santé. Leur système immunitaire est déjà défaillant.

Par ailleurs, il faut garder à l’esprit que, s’il peut y avoir des virus dans l’air respiré, avant que cet air arrive au niveau des bronches, il passe à travers le système immunitaire mucosal. Si nous entendons actuellement de plus en plus parler de flore intestinale et des gentilles bactéries qu’elle contient. C’est aussi vrai pour les virus non pathogènes qui se répartissent dans notre flore intestinale mais également buccale, génitale et cutanée, yeux, nez, bronches. Finalement ce système immunitaire mucosal constitue l’essentiel de notre défense immunitaire, qui entre en action avant même les globules blancs. On voit donc l’importance, contrairement à ce qui se lit et se propage partout, de ne pas procéder à des lavages excessifs des mains à l’aide gel hydroalcoolique qui va nuire énormément à notre flore cutanée. L’empêchant de jouer son rôle protecteur. Mais, ici encore, chacun fera ce qui lui paraît adapté à sa situation, je ne fais que donner mon avis sur la question. Et, ceux qui y tiennent absolument trouveront plus loin une recette de gel en cas de pénurie en magasins. Sachez également que du simple vinaigre blanc convient tout aussi bien qu’un gel à l’alcool.

Le rôle de ce système immunitaire, constitué de microbes, champignons, levures, bactéries, et virus, est de trier ce qui doit rentrer dans l’organisme et ce qui ne doit pas y entrer.

S’il y a infection, qu’elle soit virale ou bactérienne, c’est uniquement parce que le système immunitaire n’a pas joué son rôle. Je suis bien consciente que c’est là le problème de la médecine allopathique avec son approche symptomatique des maladies, sans regarder l’aspect causal et cela sera toujours plus problématique car il y aura toujours plus de maladies vu qu’on utilise des antibiotiques, on vaccine toujours plus et on aseptise à l’extrême. Si bien que le corps diminue sa capacité adaptative. Mais soyons clair, ça n’est pas un masque qui va pouvoir remplir le rôle de système immunitaire

Comprenez bien que notre immunité est un système adaptatif. Notre vécu aura invariablement un impact dessus, soit en la stimulant soit au contraire en l’affaiblissant. Pour se protéger du Coronavirus, c’est pareil que pour toutes les autres maladies, le seul vrai moyen est d’avoir un bon système immunitaire afin que le corps soit capable de distinguer ce qui est bon ou mauvais pour lui. Pour certains un coup de boost sera nécessaire.

Pasteur, lui-même, a reconnu, sur son lit de mort, la pertinence des travaux de son rival en énonçant cette phrase célèbre : « Béchamp avait raison, le microbe n’est rien, le terrain est tout ! » Il existe des traitements préventifs (naturels) pouvant stimuler l’état général et le système immunitaire. Devant l’expansion de l’épidémie, il serait même indiqué que chacun les utilise dès à présent. Je vous invite donc à renforcer votre système immunitaire que de vous focaliser sur des pensées de peur et de panique qui vont fragiliser votre organisme …une pensée émet une onde … donc ayez des pensées saines et de protection et de renforcement de votre capital cellulaire.

Comment booster le système immunitaire ?

Il existe de nombreuses façons de stimuler l’immunité. Que ce soit pour se protéger du Coronavirus, de la grippe ou de tout autre virus pathogène, ces conseils sont tout à fait valables. Il est inutile de multiplier les approches, il importe de mettre en place une, deux voire trois habitudes qui vous correspondent, vous parlent et dont vous trouvez un bénéfice. Stimuler son immunité, c’est stimuler sa vitalité. Pour savoir si cela fonctionne, c’est simple : vous devez vous sentir mieux !

Le repos n’est pas anodin. Une mauvaise hygiène de vie n’est pas uniquement une question d’alimentation. Pendant le sommeil cerveau sécrète des hormones qui aident le système immunitaire à lutter contre les infections bactériennes et virales. La privation de sommeil amène l’épuisement du système immunitaire.

Dormir moins de 6 heures par nuit multiplie par 4 le risque de tomber malade lorsqu’on se trouve exposé à des virus, selon une étude publiée en 2015.

J’ai lu dernièrement un article saluant la mémoire du Dr Ehong Jinxing, 32 ans, décédé officiellement du coronavirus le 28 février. Le quotidien précise que ce médecin héroïque avait travaillé 33 jours d’affilée au chevet des malades admis dans son service. Difficile de croire que le manque de sommeil et la tension accumulée n’ont pas de lien avec l’infection contractée et son issue fatale.

Le jeûne est un excellent moyen de renforcer le système immunitaire. On dit que trois jours de jeûne renforcent l’organisme et même renouvellerait complètement le système immunitaire. Maintenant je ne vous dis pas que de jeûner une fois le virus contracté va régler le problème, je ne saurais pas répondre à cette question. Mais je suis convaincue que d’avoir régulièrement jeûné en amont a forcément renforcé l’immunité pour traverser un environnement contenant des bactéries ou virus pour y être suffisamment résistant puisque le système est capable de différencier ce qui est bon et ce qui ne l’est pas. Pour plus d’infos sur le sujet, vous trouverez d’anciens articles sur ce même blog.

La pratique d’une activité physique stimule le système immunitaire. Si le stress et la fatigue affaiblissent le système immunitaire, rendant ainsi plus vulnérable aux attaques pathogènes, une activité physique, régulière et sans excès, agit positivement sur le bien-être physique et mental et participe au renforcement du système immunitaire. Avec l’âge, le système immunitaire vieillit, manifestement par un affaiblissement des réponses immunitaires face aux infections, notamment respiratoires. L’activité physique préviendrait ce vieillissement. Marcher en pleine nature (les phytoncides participent au développement de l’immunité) en respirant profondément semble tellement simple, mais combien de fois sommes nous en apnée au quotidien ?

Attention cependant, selon plusieurs études scientifiques, il a été prouvé que la pratique d’une activité sportive intensive affaiblit le système immunitaire. Quand l’effort est intense, la production de cellules, comme les lymphocytes, augmente très rapidement pour ensuite diminuer, voire disparaître après l’effort. Après leur entrainement, les athlètes de haut niveau sont exposés aux risques d’infections respiratoires sans pour autant en être sujets.

Le microbiote joue un rôle essentiel dans l’immunité, il est composé de 100.000 milliards de bactéries, microbes, levures, champignons, virus bénéfiques au corps, soit 10 fois plus que le nombre de cellules du corps, avec un poids plus élevé que le cerveau, jusqu’à 2 kilos !

Il est essentiel de préserver la diversité de ces micro-organismes en leur apportant suffisamment de nutriments qualitatifs pour leur permettre de vivre et donc de nous protéger. Cela passe par l’alimentation et, si nécessaire par une complémentation. Je vous donnerai plus d’infos sur le sujet avec plaisir.

La quercétine. On peut lire sur internet que le virus ne résiste pas à la uen chaleur de plus de 26° à l’extérieur du corps et qu’il serait intéressant de boire des boissons chaudes. Selon le Professeur Brandon Brown, la consommation de boissons chaudes n’ont aucune incidence sur ce virus. Il n’est donc pas nécessaire de changer la température de ce que vous buvez. Par contre, boire de l’eau est toujours important, virus ou pas. Par contre je trouve judicieux de consommer du thé vert, non pas pour sa chaleur, mais pour sa richesse en quercétine, qui protège contre de nombreuses maladies. Le Dr Michel Chrétien, éminent virologue, a expliqué à la télévision canadienne que la quercétine a de bonnes chances de fonctionner dans la prévention mais aussi la guérison du coronavirus et a déjà prouvé son efficacité sur Zika et Ebola. Affaire à suivre ! Mais en attendant d’en avoir la preuve définitive, pourquoi ne pas l’essayer ? Vous pouvez bien entendu penser que si les médias n’en parlent pas, ça n’a pas d’intérêt. Soyez certain que s’ils n’en parlent pas c’est uniquement parce que les compléments alimentaires ne rapportent rien aux labos pharmaceutiques. Ca c’est mon avis, je vous laisse libre de vous faire le vôtre. Vous trouverez également de la quercétine en quantité dans les oignons. N’est ce pas le moment de faire une bonne soupe à l’oignon ? Une manière simple de se prémunir.

Certaines plantes médicinales, en tisane, le romarin, la sauge ou le thym sont des plantes qui peuvent stimuler notre immunité. L’Aunée ((Inula helenium L.) est également intéressante dans les cas d’affections pulmonaires, respiratoires (décoction de 10 à 20g de rhizome par litre d’eau à boire une tasse avant chaque repas)

L’Echinacée (Echinacea purpurea) est une plante qui a prouvé ses vertus. C’est au 19ème qu’elle est le plus utilisée en Amérique de Nord car elle a la particularité de stimuler le système immunitaire de l’organisme, notamment dans l’activation des pouvoirs des macrophages. Elle est souvent utilisée pour la prévention des infections ORL. Cependant cette plante ne doit pas faire l’objet d’un traitement continu, il est important de passer par des « fenêtres thérapeutiques » (interrompre le traitement par intervalles réguliers).

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De plus l’échinacée n’a pas le même effet selon les personnes et la nature de l’infection. Le Corona étant quelque chose de nouveau, impossible de savoir si elle a une action ou non.

Attention également aux effets indésirables et des contre-indications. Si vous êtes asthmatique ou allergique, il est possible que vous développiez une allergie à l’échinacée. Il est important de prendre conseil auprès d’un médecin ou naturopathe.

La puissance des huiles essentielles pour vous protéger

L’huile essentielle de Ravintsara (Cinnamomum camphora ct 1,8 cinéole) serait l’un des plus puissants antiviraux naturels connus. Elle est particulièrement efficace contre les infections virales et les troubles respiratoires nerveux. C’est sans le moindre doute l’une des huiles essentielles à avoir chez soi, avec le tea tree ou la lavande. En 2003 des chercheurs ont démontré l’action antivirale de la ravintsara grâce à une action sur l’inhibition de la formation des acides nucléiques viraux, et également sur l’inhibition de la réplication virale. Elle renforce le système immunitaire en stimulant les glandes surrénales et elle détruit les microbes.

Cependant, attention, cette huile essentielle est déconseillée chez les asthmatiques, les enfants de moins de 3 mois et les femmes enceintes

Comment l’utiliser ? Elle excelle en prévention des maladies ORL avec l’application d’une goutte pure sur l’intérieur du poignet, puis frottez les poignets l’un sur l’autre chaque matin. Ou 4 gouttes dans une noisette de gel d’aloe vera à appliquer sur le thorax et les voûtes plantaires.

Vous pouvez également déposer une goutte sur un mouchoir et le respirer plusieurs fois par jour.

Ou l’utiliser en synergie avec la Tee Trea, 2gouttes de chaque sous les clavicules et sur les avants bras chaque matin et soir, 5 jours sur 7

Pour assainir l’air de votre domicile, vous pouvez aussi l’utiliser en diffusion.

Le thym à linalol (Thymus vulgaris CT linalol), en application sur les avant-bras ou sur la plante des pieds, 1 ou 2 gouttes par jour est également très efficace.

L’huile essentielle de Laurier noble (Laurus Nobilis) est aussi particulièrement indiquée. La forme suppositoire est la plus efficace (à faire préparer en pharmacie). Mais vous pouvez également appliquer 2 gouttes de cette huile sur le haut de poitrine ou sur la face interne du poignet, trois fois par jour.

Attention cependant les huiles essentielles, si elles sont puissantes, ont également un risque élevé d’allergies. Je vous conseille de toujours faire un test d’allergie sur le pli du coude en préalable à toute utilisation. Et d’être très prudent dans leur utilisation avec les enfants. Personnellement je ne recommande pas leur utilisation sur les petits, mais plutôt l’homéopathie : Thymuline 9CH à raison de 3 granules par jour.

Mon médecin me conseille vaccinococcinum, une dose 30CH. J’ai vu que ça existe chez Boiron. Pour les enfants le 9CH.

Les oligoéléments

L’argent colloïdal, dosé à 20ppm, est un antibactérien, antifongique et antiviral, qui ne connaît pas de résistances aux souches les plus récurrentes comme le staphylocoque doré. Si vous ne savez pas lequel choisir, j’utiise la marque Catalyons (que j’achète en magasin bio). Ce laboratoire est spécialiste en oligo-éléments et bénéficie d’une bonne réputation. À titre préventif prenez un bouchon doseur par jour. Vous pouvez passer à plusieurs bouchons par jour (j’en ai déjà pris 2 bouchons trois fois par jour) en cas d’infection. Je rappelle que je ne parle que par expérience et ne suis pas médecin. Consultez toujours votre médecin si vous êtes malade.

Cuivre-or-argent : 1 dose à garder en bouche pendant une à deux minutes le matin à jeun pendant une quinzaine de jours puis diminuer la posologie à un jour sur deux.

Comme pour toute infection bactérienne ou virale débutante, ce qui est redoutablement efficace c’est d’associer l’argent colloïdal et l’huile essentielle d’origan. Ces deux substances naturelles ont un effet redoutable et ont même prouvé leur efficacité sur le virus Ebola lors des poussées épidémiques

–argent colloïdal : 2 gorgées à avaler 3-4 x/jour sur estomac vide pendant quelques jours

–huile essentielle d’origan, en gélules, pas en gouttes : 4 x 2/jour pendant quelques jours

L’extrait de pépin de pamplemousse (EPP) est un remède naturel puissant. Il possède de très nombreuses vertus et s’utilise au quotidien pour tout désinfecter, autant en utilisation interne qu’externe, en prévention ou en traitement. Sa richesse en bioflavonoîdes et en vitamine C protègent les cellules du vieillissement prématuré et stimulent le système immunitaire.

Il faut apporter un soin particulier au choix du produit. Il existe de nombreux extraits fabriqués à partir de n’importe quel pamplemousse. Il faut donc privilégier un extrait tiré du pamplemousse Citrus paradisi, sous la forme liquide, plus pure et plus efficace que les comprimés.

Enfin, attention, l’EPP est déconseillé en cas de prise d’immunodépresseurs, statines (molécules anti-cholestérol) et de traitements contre les troubles cardiaques. De manière générale, évitez l’EPP si vous prenez des médicaments car le pamplemousse peut interférer sur leur bonne assimilation et en inhiber ou en minimiser l’action.

Les vitamines

En prévention, plusieurs vitamines sont précieuses et vous rendent plus résistants contre les infections virales.

La plus importante est la vitamine D3.

Une étude de l’Université du Colorado a démontré qu’une dose de 3 000 UI de vitamine D par jour réduit de 40 % le risque d’infection respiratoire. Selon une étude américaine ayant suivi plus de 13 000 patients sur dix ans, une carence en vitamine D serait associée à un excès de mortalité de 26 %, toutes causes confondues. Or, près de 80% de la population serait carencée en vitamine D selon l’Académie de Médecine Française.

Or cette vitamine étant synthétisée dans l’organisme sous l’action des rayonnements UVB1 du soleil, le mois de mars est la période de l’année où nos réserves de vitamine D sont au plus bas, faute de soleil suffisant depuis le début de l’automne et du fait que le stock constitué durant l’été est épuisé. Cette situation n’est pas sans effets sur l’organisme. En 2010, des chercheurs ont mis en évidence qu’en l’absence de vitamine D, le système immunitaire ne peut pas remplir son rôle. En effet, les cellules de l’immunité chargées de tuer les bactéries et les virus doivent d’abord trouver de la vitamine D circulante, et la fixer sur un récepteur pour lancer leur processus de défense.

N’attendez donc pour vous complémenter avec au moins 3 000 UI par jour (vous pouvez même prendre 10000 UI durant 10 jours avant de redescendre à 3000 UI) pendant les 3 prochains moins minimum. Pour ceux pour qui les conditions climatiques le permettent, exposez-vous le plus possible au soleil.

La vitamine C (présente dans les fruits et légumes-persil frais, baies de Goji, produits de la ruche) réduit l’oxydation excessive dans les poumons, toujours utile quand on sait que le coronavirus cause des pneumonies. Si vous choisissez de vous complémenter, gardez à l’esprit que les comprimés de vitamines à croquer ne sont pas très utiles, il est important de prendre de la vitamine C liposomale. OK, le goût c’est loin d’être sympa, mais c’est la seule que le corps assimile.

La vitamine E (présente dans les huiles végétales tournesol, colza, germe de blé) renforce le système immunitaire et est vitale pour la santé des poumons. Si vous êtes âgé(e), on sait qu’après certain âge, tout le monde manque de vitamine E.

Mais les vitamines A et B jouent aussi un rôle contre les infections. Et la vitamine K2 est indispensable pour assimiler correctement la vitamine D3. Donc je vous recommande une complémentation de multivitamines comme je le fais moi-même. Pensez toujours à les choisir naturelles et non synthétiques.

Le Nigari est un véritable désinfectant naturel, mais un traitement très peu coûteux qui n’a pas été ébruité puisqu’il n’a aucun intérêt économique pour les laboratoires. Il a été découvert par un chirurgien français au cours de la première guerre mondiale. Sa première utilisation a été de lutter contre les infections en augmentant le pouvoir des globules blancs. Il s’agit de diluer 20grammes dans un litre d’eau et d’en boire un verre chaque matin à jeûn.

Il faut bien reconnaître que le goût est plutôt désagréable, mais il peut être atténué si on le mélange à du jus de fruits (pas d’agrumes qui sont trop acides). Pour qu’il soit plus facile à avaler, conservez la bouteille au frigo. En cas de diarrhée, il suffit de diminuer les doses.

La Propolis est un autre anti-viral naturel qui peut vous aider à vous protéger et, coronavirus ou pas, l’approche du printemps est un des meilleurs moments de l’année pour faire une cure d’au moins 3 semaines de propolis, surtout si vous êtes sensible aux infections. Prenez 300 à 400mg matin et soir

Les molécules de signalisation Redox

Peut-être l’avez-vous lu précédemment, j’ai eu dans le passé de sérieux soucis de santé. Mon corps n’arrivait plus à gérer le quotidien. Il faut savoir que je mangeais aussi sain que possible mais que j’ai été soumise à de nombreux stress tout au long de ma vie : inceste durant l’enfance, mari violent, problèmes familiaux graves. Et, est arrivé le moment où mon corps a dit stop, il n’était plus capable de fonctionner. Si vous me suivez, vous avez du lire certains articles sur le sujet. Si non, je vous invite à le faire si l’envie vous en dit. A partir du moment où j’ai remonté mon potentiel Redox, mon corps s’est débarrassé de toute cette inflammation générée par le stress oxydatif, mes cellules ont commencé à mieux communiquer, mon corps a retrouvé son homéostasie naturelle. J’ai retrouvé une bonne santé avec un système immunitaire sain.

Depuis maintenant deux ans et demi, je n’ai plus eu la moindre gastro, plus d’allergie, pas un seul rhume, aucun souci de santé quel qu’il soit car mon corps a retrouvé sa capacité innée d’autoguérison.

Les études le démontrent, le Redox augmente la production cellulaire, la biodisponibilité et l’utilisation du glutathion (le plus grand antioxydant du corps) de 500 à 800%. Je ne connais pas de meilleur moyen de booster son immunité. Attention, je ne dis absolument pas qu’il va guérir ou traiter la maladie, mais qu’il soutient le corps.

De plus, lorsque j’étais malade, j’avais pris des compléments alimentaires sans le moindre résultat. Pourquoi ? Tout ce qui est extérieur au corps n’est pas forcément assimilé par le corps quand on est déjà dans la maladie. Le corps, s’il peut trouver sympa d’avoir un apport de certaines vitamines durant trois semaines, sature très rapidement et ne sait plus quoi en faire. Du coup cela surcharge le foie qui relâche une partie des toxines dans la circulation sanguine et intoxique encore plus le corps d’une personne malade.

Par ailleurs il faut savoir que, même acheté en magasin bio, la plupart des compléments contiennent des tas de choses qui font des dégâts :

-Stéarate de magnésium

-Polycarbonate 80 qui a des effets délétères sur le microbiote

-Myristate d’isopropyle, qui est un solvant utilisé dans les diffuseurs de parfum

-Phosphate de Calcium qui pose un problème d’assimilation de certaines vit, amines et nutriments

-Pipérine qui ouvre les jonctions serrées pour permettre le passage des nutriments à travers la barrière intestinale, ce qui favorise l’hyperméabilité intestinale.

Il est donc important de vérifier que les compléments achetés ne contiennent pas ce genre de choses.

Gardez bien à l’esprit que vous pouvez apporter tous les meilleurs compléments, plantes, vitamines, huiles essentielles, algues … à votre corps, pour les utiliser correctement il a besoin que ses cellules fonctionnent correctement. Si les cellules dysfonctionnent, elles ne profitent pas pleinement de tous les compléments que vous pouvez apporter. La base de la santé c’est des cellules qui fonctionnent. Si vous souhaitez plus d’infos sur comment relancer le fonctionnement cellulaire, revenez vers moi.

https://mabelle.myasealive.com/

L’alimentation saine. Si vous mangez du sucre à longueur d’années, que vous consommez de l’alcool régulièrement, et une nourriture dénaturée, et en plus nourrissez votre psychisme de pensées négatives vous risquez en effet de tomber malade.

Pour booster le système immunitaire, il est primordial d’avoir une alimentation (50 à 90%) à base de fruits et légumes crus, voire peu cuits pour en préserver les micronutriments. Privilégiez la cuisson à la vapeur.

Dans l’idéal, il faudrait restreindre, voire supprimer les produits laitiers et le sucre raffiné (j’ai déjà écrit des articles sur ces sujets, regardez les articles précédents sur ce blog ou renseignez-vous sur le net), la viande (provenant très souvent d’animaux malades), les mauvaises graisses qui ne nourriront jamais nos cellules en micronutriments qui sont indispensables pour un corps en santé et favorisent la production de mauvaises bactéries dans les intestins.

Un corps carencé est forcément plus vite malade, c’est juste du bon sens.

Il n’est pas évident de changer d’alimentation du jour au lendemain, mais ce virus qui touche aujourd’hui la planète risque d’être suivi par bien d’autres, donc, préparez votre corps dès à présent en lui apportant ce dont il a besoin, faites un changement à la fois, allez-y petit à petit jusqu’à ce que ça devienne votre manière de vous alimenter au quotidien.

Faîtes la cuisine et évitez les produits préparés : ces derniers contiennent souvent du gluten, du lactose ou du sucre cachés.

Les céréales : Le blé ayant subi d’importantes modifications génétiques, à l’heure actuelle une personne sur 3 serait sensible au gluten.

Julien Venesson auteur du livre, « Gluten Comment le blé moderne nous intoxique », nous éclaire sur la question.

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Depuis les débuts de l’agriculture il y a 10 à 15 000 ans, le blé a subi de nombreuses manipulations génétiques qui étaient le fruit de sélections et de mutations naturelles. Mais depuis plusieurs dizaines d’années, l’homme a opéré des modifications dans le génome des blés à l’aide de techniques de génétique qui ont donné naissance à de nouveaux blés. Aucun autre aliment n’a subi autant de modifications dans son génome que le blé, en particulier sur un laps de temps aussi court. De plus, les manipulations génétiques opérées sur le blé ont été le fruit de techniques de génétique avancées qui ne correspondent pas à de simples croisements entre deux plantes. Les blés originels comptaient 14 chromosomes alors que les blés actuels en comptent… 42 ! Et aucun agronome n’est capable de vous dire ce que font exactement les milliards de gènes de ces nouveaux blés (c’est un travail européen qui a lieu actuellement et auquel participe l’INRA sous la direction de Catherine Feuillet). Chez l’homme l’ajout d’un seul chromosome a des effets incommensurables (par exemple la trisomie 21). Alors imaginez ce qui peut se passer en multipliant un patrimoine génétique par 3 !!!

Pour les toxicologues, ces nouveaux blés sont comparables à des OGM et aucune autorité sanitaire ne peut en garantir l’innocuité. Nous sommes en train de vivre une expérience toxicologique à grandeur nature en consommant ces nouvelles céréales. Or l’explosion du nombre d’intolérances et de sensibilités au gluten montre que cette expérience se déroule très mal.

Julien Venesson a mené une enquête pendant plus d’un an pour comprendre pourquoi le gluten est montré du doigt de plus en plus fréquemment. Il a rassemblé de nombreuses références scientifiques et des interviews des chercheurs les plus renommés dans leurs domaines (expert toxicologue à l’ANSES, responsable du plus grand centre de recherches sur les intolérances au gluten aux USA, expert en allergologie).

Le gluten est un mélange de protéines qu’on retrouve abondamment dans le blé mais aussi dans d’autres céréales comme l’avoine, l’épeautre, l’orge ou le seigle et qui est responsable de nombreux problèmes de santé. Plus aucune de ces céréales ne ressemble à celles que nous consommions il y a 10 000 ans.

Il s’agit donc de choisir d’autres sources de féculents. Et, fait intéressant, la plupart des alternatives à ces céréales (lentilles, pois chiches, riz, sarrasin, amarante, patate douce, panais pois cassés, haricots azuki) sont plus riches en goût, contiennent plus de vitamines et de minéraux que le blé moderne et leur consommation est associée à une meilleure santé en général.

Si le blé n’est pas responsable de tous les maux du monde. Il faut savoir néanmoins que les travaux des chercheurs que Julien Venesson cite exposent clairement l’implication du blé moderne dans de nombreux problèmes de santé très courants comme l’eczéma, la spondylarthrite, le psoriasis, l’arthrose, le côlon irritable, l’acné, les maladies auto-immunes…

Le fait qu’un régime sans gluten soit socialement excluant est une particularité européenne, ce n’est pas une vérité en soi. Si vous déménagez au Japon ou en Corée où l’aliment de base est le riz (et non le pain), un régime sans gluten est très social. Il faut donc apprendre à choisir comment on veut vivre sa vie et son alimentation. De plus, même si l’Europe a une politique de santé axée sur le traitement et non sur la prévention (il n’y a presque aucun cours de nutrition pour prévenir les maladies dans le cursus universitaire d’un médecin généraliste) alors que les aliments qu’on introduit chaque jour dans notre organisme ont un réel impact sur la santé, il est tout de même clair que la généralisation des aliments, des restaurants et même des boulangeries sans gluten, rend les choses de plus en plus faciles et donc de plus en plus sociales. Il faut simplement mettre en place de nouvelles habitudes.

Penser aux amandes, pistaches, noisettes, noix de macadamia ou noix de Grenoble pour grignoter autre chose que des biscuits. Ce sont aussi de bonnes sources de vitamine E (dont les européens manquent souvent) et d’antioxydants. Contrairement à une idée reçue ces oléagineux ne font pas grossir.

Retrouvez plus d’informations dans le livre « Gluten Comment le blé moderne nous intoxique » de Julien Venesson aux éditions Thierry Souccar https://amzn.to/3axhvQM

Recettes

Des organes officiels comme l’OMS ainsi que les médias incitent à se servir de gels antibactériens (gels hydroalcooliques). À défaut de connaître leur mode de fabrication, je suis d’avis qu’il mieux vaut les éviter, ils sont fréquemment pollués par des solvants. Et la majorité sont composés d’alcool isopropylique, lequel favorise l’installation de parasites une fois fixé dans un organe. En clair, ce solvant participe à l’affaiblissement de l’immunité qui est le seul moyen qu’a notre organisme de se protéger. S’il est important de se laver les mains, il me paraît par ailleurs dangereux de détruire la flore au niveau de la peau par des nettoyages intensifs qui auraient un impact négatif, agissez donc selon votre conscience. Par ailleurs, pour rappel, se laver soigneusement les mains avec du savon de Marseille et de l’eau pendant au moins 20 secondes détruit aussi 99,9% des pathogènes sans altérer le système immunitaire.

Recette de gel alcoolique pour les mains

Dans un flacon spray de 30 ml, versez

-5ml (une cuillère à café) d’alcool à 70° (de la vodka fera l’affaire),

-5ml d’huile végétale (amande douce, olive, …)

-5 gouttes d’huile essentielle de Ravintsara et 10 gouttes de tea tree.

Mélangez bien puis remplissez le flacon avec du gel d’aloe vera

Ce gel se conserve 2 mois à l’abri du soleil et de la chaleur.

Attention, il ne convient pas aux enfants de moins de 3 ans.

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Recette de savon nettoyant, sans alcool à base d’huile essentielle de tea tree

Dans un flacon pulvérisateur, versez 10ml d’huile végétale,

Ajoutez 20 gouttes d’huile essentielle de tea tree,

Mélangez. Ajoutez 40ml de gel d’aloe vera

Attention, comme toute préparation avec des huiles essentielles, et qui plus est avec de l’alcool, il est à utiliser uniquement sur les mains. Evitez tout contact avec les yeux ou muqueuses.

Respectez les règles de prudence pour les enfants et femmes enceintes.

Mais, que faire si vous êtes contaminé par le coronavirus ?

Tout ce qui a été cité ci-dessus était de la prévention pour éviter d’être infecté, ou en tous cas tenter de ne pas l’être. Tout ceci en partant du principe qu’il s’agit bien d’un virus qui n’a pas été fabriqué en laboratoire, ce dont je ne suis nullement certaine, je ne le dirai jamais assez. Quoi qu’il en soit, et quelle que soit son origine, le plus important à mon sens est de garder son calme et de rebooster le plus possible son système immunitaire afin que le corps soit en état de se défendre.

La médecine allopathique ne dispose pas de véritable solution. Les traitements conventionnels sont essentiellement symptômatiques. Ils surveillent afin de voir si les chose ne s’aggravent pas et vous mettent sous antibiotiques si l’infection survient. Cependant, ils sont toujours indispensables, bien que limités quant à leur effet.

Aussi, pourquoi ne pas utiliser aussi d’autres protocoles si vous êtes inquiet, avec des doutes, voire une suspicion d’infection, ou si vous avez été diagnostiqué. Tout conseil utilisable en prévention peut également l’être en cas de maladie avérée et peuvent apporter des solutions là où la médecine conventionnelle n’en a pas.

Bien évidemment je vous conseille le Redox afin d’agir à la base, le fonctionnement cellulaire. Le Redox ne guérit absolument pas des virus ni de quoi que ce soit d’autre, il permet une bonne communication cellulaire. Des cellules qui fonctionnent correctement, c’est un corps qui fonctionne correctement.

A cela vous pouvez ajouter des huiles essentielles efficaces contre les virus respiratoires en général

Huile essentielle de Cannelle de Chine, deux gélules, 3 fois par jour (disponibles chez Pranarôm notamment)

Huile essentielle d’Origan, deux comprimés, 3 fois par jour

Caroline Gayet, elle, recommande les huiles essentielles de Ravintsara, Niaouli et Cajeput, en massage sur le thorax, les avant-bras, le cou, la clavicule ou le long du dos.

De nombreux aromathérapeutes conseillent l’huile essentielle de Laurier Noble, prometteuse contre le coronavirus.

Appliquez 5 gouttes d’huile essentielle pure sous chaque plante de pied, plusieurs fois par jour. Ce mode d’application permet une diffusion rapide jusque dans les poumons.

Le Dr Françoise Couic Marinier, Docteur en pharmacie et formatrice en aromathérapie a également relevé cette étude réalisée sur l’activité de l’huile essentielle de Laurier noble sur un coronavirus le SARS-CoV (un cousin du COVID-19) https://www.ncbi.nlm.nih.gov/m/pubmed/18357554/?fbclid=IwAR1Vy-XfASKwOnFO3-ybf0Ng6I70U-88IIVaCz6q7LyGrPabexLLcqh0mOw

et propose sur sa page facebook une application pratique en aromathérapie pour utiliser l’huile essentielle de Laurier Noble en cas de besoin.

https://www.facebook.com/FCouicMarinier/

On ne sait pas, à l’heure actuelle, si la météo ou les températures ont un impact sur la diffusion du Corona. On peut toujours espérer que, comme d’autres virus dans le passé, la chaleur printanière ou estivale pourra aider à affaiblir ce virus.

Désolée pour la longueur de l’article, je le voulais le plus complet possible afin de ne pas devoir revenir sur le sujet à plusieurs reprises.

Prenez soin de vous

Mabelle

Le jeûne, une aide en cas de cancer ?

Bonjour, comment allez-vous ?

Je reviens encore vous parler de jeûne car je n’avais pas voulu faire un article trop long la dernière fois. Au-delà de toutes les théories sur les carences, sur les apports des repas équilibrés, on se rend compte que plus il y a de spécialistes de l’alimentation, plus il y a de malades.

Je voulais tout de même vous donner quelques infos un peu plus scientifiques que mon expérience sur le sujet.

À chaque jeûne, vous faites du neuf tout en nettoyant les cellules malades, les tissus les moins nécessaires sont les premiers à disparaître. Quant aux tissus essentiels, ils se nourrissent par autolyse. C’est donc tout bénéfice pour un corps qui est en train de lutter contre la maladie, notamment contre le cancer. Le cancer n’est jamais que des cellules qui ont trouvé le code de l’immortalité, qui se reproduisent plus vite que des cellules saines, jusqu’à toucher d’autres parties du corps. Empêcher la prolifération cellulaire est donc essentiel pour rester en vie.

Chez les souris suivant un protocole de jeûne, il a été observé que les tumeurs se développent beaucoup moins.

Le sucre est indispensable au développement des cancers.

Des scientifiques ont conclu, dans une étude de janvier 2015, que le jeûne empêcherait le développement des cancers du sein, notamment grâce à la réduction du taux de sucre dans le sang : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25448890

Contrairement aux cellules saines qui acceptent différents types d’énergie, le carburant de prédilection des cellules cancéreuses c’est le glucose. En jeûnant les cellules cancéreuses ne peuvent plus se nourrir de sucre, leur développement s’arrête.

Encore il y a une quinzaine de jours, un biochimiste faisait le lien entre le sucre et le cancer : http://guerir-du-cancer.fr/epouvantablement-sucre/?fbclid=IwAR2tdT8x2xgvvez-mKRTtyVMaB9GYxk7xrpKi6WfQY7Dl1BC7cdaCQdpigw

Par ailleurs, les cellules cancéreuses et les cellules saines réagissent différemment au jeûne.

Lorsque les cellules saines manquent d’apports énergétiques, elles se mettent en situation de protection pour éviter de mourir. Cette protection est sans doute une conséquence de l’évolution, car durant plusieurs millions d’années l’homme a alterné périodes d’alimentation et disettes.

Les cellules cancéreuses, quant à elles, ont muté. Elles n’ont plus ce mécanisme et restent sensibles au manque de nourriture.

Le système immunitaire se renforce, il se renouvelle complètement en seulement trois jours.

Lors d’une radiothérapie, un jeûne juste avant protège les cellules saines tandis que les cellules cancéreuses seront plus vulnérables : http://stm.sciencemag.org/content/4/124/124ra27.abstract

Les docteurs CARLSON et KUNDE, du service de physiologie de l’université de Chicago, ont montré qu’un jeûne de deux semaines, restaure, temporairement, les tissus d’un homme de quarante ans et les ramène à la condition d’un jeune de dix-sept ans :  https://amzn.to/2K4Kvay

Quel jeûne choisir ?

Les puristes vous diront qu’il n’y a pas plusieurs jeûnes, que jeûner signifie priver le corps de toute nourriture et boisson.  D’autres diront qu’il existe différentes manières de jeûner, chacun choisira celle qui lui convient le mieux, et la durée du jeûne dépend des possibilités de chacun et de ses habitudes alimentaires.

Certains s’habituent à manger peu, d’autres pratiquent le jeûne régulièrement : hydrique, sec, aux jus verts, ou encore le jeûne intermittent. C’est mon préféré, qui permet à mon corps de faire le ménage, de se débarrasser des toxines qui traînent un peu partout, de réguler le fonctionnement de mes organes, d’éliminer l’inflammation, de se réparer. Personnellement j’ajoute à cela des molécules Rédox dont je ne pourrais plus me passer et qui accentuent la détoxination pour une santé optimale. Si vous voulez plus d’infos sur le sujet, c’est par ici : http://eepurl.com/deGkdH

J’ai choisi le jeûne pour mon bien-être physique et mental, parce que veux vivre alerte jusqu’à un âge très avancé, ne plus jamais être touchée par les maladies de civilisation qui touchent de plus en plus de personnes de tous âges. Il y a vraiment de quoi remettre en cause notre mode vie. J’ai été bien malade une grosse partie de ma vie, j’ai parfois l’impression que toutes ces années m’ont été volées, et il est clair qu’elles sont perdues à jamais. Aussi je veux pleinement profiter de celles qui me restent. Or, je sais maintenant que le jeûne et le Redox sont vraiment deux alliés pour une vie en santé optimale. Soyons clairs, ce n’est pas le jeûne qui est un remède mais bien la pause qu’il offre à l’organisme qui est propice à la guérison, c’est le corps qui se guérit. Si l’hygiène de vie n’est pas modifiée, les problèmes risquent de revenir.

Nous sommes tous conditionnés à manger trois fois par jour, et depuis la maternelle à prendre une collation en matinée et un goûter. On a des tas d’idées reçues sur l’obligation de manger trois fois par jour pour être en bonne santé. Et on n’ose pas forcément franchir cette barrière de méconnaissance à propos du jeûne, aller là où ça pourrait être inconfortable.

Mais si on y réfléchi un peu, on s’aperçoit que nos ancêtres se couchaient bien plus tôt que la plupart d’entre nous. Il se passait donc plus d’heures entre le repas du soir et le déjeuner. D’ailleurs le mot dé-jeuner vient d’arrêter de jeûner parce que la nuit était une période de jeûne.

Comme beaucoup j’ai toujours tenté de faire manger mes enfants avant leur départ pour l’école, je voulais qu’ils ne partent pas l’estomac vide. Pourquoi ? Parce que c’est ce qu’on m’avait toujours inculqué depuis l’enfance « l’importance du sacrosaint petit-déjeuner !!! ». Depuis mes gros soucis de santé, j’ai cherché d’autres sources d’informations et j’en suis arrivée à pratiquer le jeûne intermittent en ne prenant plus que deux repas par jour, parce que j’ai compris que quel que soit votre âge, ou votre état de santé, le jeûne a quelque chose à vous offrir. Ses bienfaits touchent chaque partie du corps.

Cependant je voudrais à présent faire un « vrai » jeûne, soit me passer complètement de nourriture durant plusieurs jours, même si je ne suis toujours pas certaine d’en être capable.

Ceux qui ont pratiqué le jeûne disent souvent : « je croyais que je n’en serais pas capable ». Et, en effet, l’idée de de réduire son apport en nourriture, de se limiter à de l’eau pendant plusieurs jours, nous fait peur.

Comme nous ne connaissons pas le manque, nous redoutons de devoir l’affronter. Nous craignons, dans le fond, que le jeûne puisse nous faire « mal ».

Et pourtant, les « jeûneurs » disent exactement le contraire.

Personnellement je n’ai pas du tout peur de mal faire car je suis convaincue des bienfaits du jeûne. Mais je sais que je mange par habitude et non par faim et c’est surtout cette habitude qui risque de me manquer.

L’idéal pour passer le cap est de bien se renseigner et de se faire accompagner. Mais bien évidemment mon côté « je me débrouille toute seule » prend le dessus et je n’ai aucune envie de me faire accompagner. Ce que, bien sûr je ne vous recommande pas. Je choisis de faire mes propres expériences mais ne vous déconseille d’en faire de même. Oui, je sais, ce n’est pas bien, je ne montre pas l’exemple !!!

J’en suis aussi arrivée à la conclusion que, si le jeûne peut se faire tout au long de l’année, les meilleures périodes correspondent aux deux grands changements de saison : l’automne et le printemps. C’est donc la période idéale.

Si j’en crois mes recherches faites sur le sujet, le plus difficile est de prendre la décision de jeûner. Or ce choix je l’ai fait, il s’agit d’un réel choix personnel.

La privation de nourriture ne serait pénible que deux jours en raison du besoin créé par l’habitude, cette habitude qui m’inquiète un peu. Une fois le jeûne commencé, la sensation de faim disparaît très rapidement, et de plus en plus facilement supportée à mesure que l’on s’exerce au jeûne. Et le reste se fait naturellement.

A la base mon intention était de jeûner trois jours pour renouveler mon système immunitaire. Mais, puisque le plus difficile c’est les deux premiers jours, j’ai choisi de ne pas me prendre la tête, et de voir comment les choses vont se passer. Peut-être choisirais je de prolonger, … ou pas ?

Depuis que je m’intéresse et consomme au quotidien des molécules de signalisation Redox, j’ai vraiment pris conscience que la maladie n’est pas une fatalité, et que l’état normal du corps est l’homéostasie, la parfaite santé. En me supplémentant en Redox j’aide mon corps, mais si je peux encore accélérer les choses avec un jeûne de quelques jours, pourquoi ne pas essayer ? Tout ce que je risque c’est de faire du bien à mon corps.

Moins le corps sera occupé à la digestion, et mieux il saura s’atteler à la réparation de ce qui en a besoin.

Début du défi : demain. Il me restait de la soupe, et pas de place au congélateur, je l’ai donc consommée ce midi. Là, il n’y a plus rien de périmable dans le réfrigérateur, et je n’ai aucune raison de bouger de la maison durant les deux prochains jours, c’est parfait au cas où j’aurais un coup de fatigue, c’est le moment de commencer.Prenez soin de vous

Mabelle

Pourquoi donc me suis-je intéressée au jeûne ?

Bonjour, vous allez bien ?

Je reviens sur la suite de mon article de hier sur le jeûne pour vous donner mon expérience sur le sujet.

Ma première expérience avec le jeûne remonte à quelques années. J’étais en chimiothérapie contre un cancer. Vu les nausées provoquées par mon traitement, je n’avais plus aucune envie de manger quoi que ce soit pour le rendre dans les toilettes dans les minutes qui suivaient mon repas.

Par ailleurs j’en étais à mon troisième cancer, ça commençait à bien faire. Ca ne pouvait pas être simplement le sort qui s’acharnait contre moi, il devait bien y avoir une raison et je la cherchais.

Affaiblie par tous ces traitements lourds, je n’étais pas capable de faire grand-chose de physique, je consacrais beaucoup de mon temps à la lecture et je fouillais un peu partout sur le net.

Je suis arrivée sur plusieurs études faisant un lien entre le sucre et le cancer. Il était question d’affamer les cellules cancéreuses pour arriver à l’autophagie des cellules malades. A l’époque je découvrais et n’étais pas du tout consciente de la quantité de sucres cachés un peu partout dans la nourriture. Lorsque je mangeais une tranche de jambon, je pensais manger des protéines, un peu de graisse aussi, mais certainement pas du sucre. Jusqu’au moment où j’ai compris que je mangeais une quantité impressionnante de sucre sans même le vouloir ni m’en rendre compte.

J’ai pris conscience de la nécessité de revoir de fond en comble mon alimentation.

Il me semblait clair que certains veulent asservir le monde par la chimie et la technologie, peu importe l’impact dramatique que cela peut avoir sur la population, nous menant à notre perte.

Eviter de m’empoisonner plus encore en mangeant était devenu pour moi un réel problème, me demandant une attention permanente. Je ne voulais plus manger de sucre, mais ne savais que faire pour m’en libérer définitivement. J’aurais sans doute pu cultiver mes légumes mais mon état de santé ne permettait pas de me mettre au jardinage. Et mes finances ne me permettaient pas plus d’acheter des produits locaux et bios.

Puis, un jour où je parlais avec une amie du fait que j’étais convaincue que le fait de manger me rendait encore plus malade, elle m’a répondu « malheureusement tu ne peux pas arrêter de manger ». Et je me suis dit « Pourquoi pas ? » J’avais déjà entendu des histoires de personnes se nourrissant de Prâna, mais à l’époque je me disais que c’était quelque chose que seuls des personnes très spirituelles ou dotées d’une volonté incommensurable étaient capables de faire, que ce n’était pas pour moi. Mais l’idée était là et je ne pouvais plus cesser d’y penser.

Evidemment, j’en ai parlé à l’oncologue, qui n’était visiblement pas très au courant de la chose et qui plutôt que de me le déconseiller me l’a carrément interdit. Et je déteste qu’on m’interdise des choses que je juge importantes pour moi. Il n’en fallait pas plus pour que je me mette en recherche sur comment vivre sans manger.

J’ai trouvé de nombreuses informations, mais à chaque fois il était bien recommandé de se faire accompagner par un médecin. Or les médecins à qui j’en ai parlé étaient totalement réfractaires à mon idée.

J’avais trouvé une étude dans laquelle un biologiste californien avait démontré que le jeûne avant et après une chimio réduisait les effets secondaires … sur les souris et qu’elles vivaient plus longtemps que celles qui avaient poursuivi leur alimentation habituelle.

Une autre étude disait qu’en jeûnant on forçait le corps à faire le ménage, qu’il cassait les cellules malades en premier lieu. Cela faisait rire mon oncologue qui n’était pas prêt à remettre en question la médecine officielle et me disait que je ne pouvais pas me comparer à une souris tout en continuant de m’empoisonner avec ses produits chimiques.

Il y avait bien des cliniques spécialisées dans le domaine du jeûne, mais leurs prix n’étaient pas du tout adaptés à mon budget et un séjour à l’étranger signifiait également mettre fin à la chimio.

Tout ça était bien compliqué à mes yeux.

Je ne pouvais que constater que mon état ne s’améliorait pas et les alternatives me semblaient peu nombreuses.

Fermement convaincue que le mieux que je puisse faire pour moi était de me tenir le plus loin possible des prescriptions allopathiques et de détoxiner mon organisme des pollutions qu’il avait subies, j’ai choisi de continuer mes recherches. Il était clair pour moi que moins on mange, plus on vit longtemps.

J’en suis arrivée à la conclusion, que quitte à mourir, je préférais mourir un peu plus tard en étant responsable d’avoir cessé de manger que de mourir rapidement empoisonnée par d’autres.

Attention, que les choses soient bien claires, je ne conseille à personne de suivre mon exemple.

Le jeûne véritable, c’est pas du tout de nourriture, sur une période de temps donnée et définie par avance. Il est évident qu’une telle pratique ne saurait être employée n’importe quand et surtout n’importe comment, par des personnes dépourvues des connaissances suffisantes en la matière.

C’est vrai que, personnellement je l’ai fait, mais mon côté kamikaze n’est pas du tout un exemple à suivre, loin de là. Je vous le déconseille fortement.

Le nettoyage de l’organisme, déclenché par un jeûne bien conduit, devrait toujours être réalisé sous la supervision d’un professionnel de santé, pour être assuré d’une pratique saine et sans danger.

Sauter un repas de temps à autre ne présente aucun risque, mais se lancer dans l’aventure du jeûne nécessite l’avis préalable d’un thérapeute qui effectuera un bilan de santé avant de débuter l’expérience. Actuellement de nombreux naturopathes pratiquent régulièrement le jeûne comme hygiène de vie et pourront vous conseiller correctement sur le sujet.

Je pense que j’ai eu beaucoup de chance parce que tous les effets que l’on peut ressentir lors d’un jeûne sont, pour moi, passés inaperçus. J’avais tant d’effets secondaires avec les traitements de chimio que la transition vers les effets dûs au jeûne ne se sont pas vraiment fait sentir. Je pensais toujours être malade avec mes traitements et n’ai pas réellement fait le lien avec le jeûne.

Lorsque j’ai commencé à jeûner, j’étais tellement mal depuis quelques semaines que je mangeais de moins en moins depuis déjà un moment et je n’ai jamais ressenti de faim, à aucun moment. J’avais mal la tête et peut-être étais ce un signe de détox mais vu que j’avais mal la tête depuis l’âge de 8ans, ça ne me paraissait pas vraiment inhabituel. J’avais mal un peu partout, toutes mes articulations étaient douloureuses, mais cela aussi durait depuis des années, ça avait aussi débuté plus ou moins en même temps que les maux de tête et je vivais avec depuis si longtemps que je m’y étais accommodée. J’avais des douleurs au ventre et de fortes diarrhées mais la chimio me faisait aussi cet effet depuis plusieurs mois donc, rien de réellement alarmant à mes yeux.

Mais rapidement je me suis sentie plus sereine, je n’étais plus constamment dans mes pensées « que va devenir ma fille si je meurs demain, que va-t-elle devenir sans moi, comment va-t-elle poursuivre ses études, … » J’avais cette impression que j’allais mieux, que le mal qui me rongeait perdait la bataille, les douleurs étaient fortement diminuées. Je retrouvais une certaine souplesse perdue pourtant depuis si longtemps. J’étais moins fatiguée, peut-être parce que j’arrivais à dormir durant plusieurs heures d’affilée alors que ça faisait des mois que j’étais éveillée toutes les heures chaque nuit par des douleurs infernales.

Depuis cette expérience le cancer est un lointain souvenir. Une fois guérie (en rémission comme ils disent parce qu’ils refusent de dire autre chose) j’ai recommencé à manger « normalement » et j’ai même recommencé à manger du sucre. Visiblement j’ai du mal à comprendre les choses la première fois, il faut que je répète les mêmes erreurs plusieurs fois avant de comprendre !

Et, bien évidemment j’ai à nouveau été malade. Mais ça, c’est une autre histoire que je vous raconterai prochainement, cet article est bien assez long.

Prenez soin de vous, et si vous êtes tenté par le jeûne, faites vous conseiller et suivre par une personne compétente

Mabelle

Vivre mieux et plus longtemps en jeûnant

Bonsoir, j’espère que vous allez bien et que vous avez pu un peu profiter de la journée ensoleillée.

Ce soir, un petit article sur le jeûne qui fait suite à une conversation que j’ai eue sur le sujet il y a quelques jours.

Le jeûne est une méthode très simple pour vivre plus longtemps, en meilleure santé et avec plus d’énergie.

Une connaissance me disait, pas plus tard que ce week-end, que jeûner c’est priver le corps du carburant nécessaire à son fonctionnement, et qu’on peut se poser la question de savoir si cela est bien intelligent de vouloir rouler sans carburant.

Mais ne serait-il pas plus sensé de cesser de vouloir comparer le corps à une voiture qui, elle serait bien incapable de faire le moindre kilomètre avec un réservoir vide. Le corps est bien plus qu’un simple assemblage de pièces mécaniques. C’est oublier qu’il y a en chacun de nous un médecin prodigieux qui peut accomplir des miracles.

Beaucoup trouvent normal de s’en remettre à des médicaments chimiques pour se soigner et refusent de croire à l’efficacité du jeûne comme thérapie.

C’est vrai que cela peut paraître trop simple pour combattre des maladies telles que Parkinson ou cancer. Et pourtant !

Les recherches sur le jeûne sont assez récentes. Mais déjà les scientifiques estiment que le jeûne est une thérapie très puissante.

Les études démontrent que jeûner améliore significativement la résistance, le fonctionnement et la longévité du corps.

Depuis les années 30, on sait que chez les souris, le simple fait de diminuer de 30% leur apport journalier, allonge leur durée de vie. Dans une étude de mai 2000, elle augmente en moyenne de 40%, passant de 48 à 64 semaines.

L’homme a toujours jeûné, c’est d’ailleurs une tradition ancestrale :

Les bouddhistes pratiquent le jeûne, nécessaire à la méditation des moines, les musulmans pratiquent le Ramadan, les catholiques vivent le jeûne du Carême, et dans le nord de l’Inde les hindous jeûnent tous les jeudis.

Mais, au-delà du jeûne lié aux religions, l’homme a souvent vécu des privations forcées par les circonstances (pauvreté, mauvaises récoltes, guerre, …).

Actuellement, le jeûne est une pratique extrêmement populaire dans certaines régions du monde puisque, par exemple en Allemagne 15 à 20% de la population aurait tenté l’expérience. Ce ne sont pas moins de 16 millions de personnes qui y ont recours… et sont d’ailleurs, pour cela, remboursés par leur système de santé !

Le jeûne est largement utilisé au Japon dans le cadre de psychothérapies. En Russie, il intervient dans la prise en charge de certaines maladies, de la dépression aux troubles obsessionnels compulsifs.

Le jeûne est sans doute la méthode de santé naturelle la plus vieille du monde, et en même temps celle qui suscite le plus de débats.

Critiqué par les uns comme étant une pratique extrêmement dangereuse faite pour les marginaux, les sectes et les fanatiques. Certains parents se retrouvent d’ailleurs en prison pour avoir pratiqué le jeûne avec leurs enfants.

Défendu par les autres qui le voient comme un bouton de remise à zéro du système qui permet de guérir n’importe quelle maladie en faisant un grand nettoyage physique, mental et émotionnel.

Ceci est fort compréhensible, dans la mesure où, en occident, nous mangeons désormais en abondance tout au long de l’année. Cette habitude de manger est si bien ancrée que peu de personnes sont disposées à sauter plus d’un repas pour expérimenter l’intérêt de la pratique. Se priver va à l’encontre de la surconsommation à laquelle nous sommes constamment invités. La perspective de manquer de nourriture pendant quelque temps panique.

Il est clair également qu’il suffit qu’une petite quantité d’individus, ayant une fonction officielle dans le domaine de la santé, critique ouvertement le jeûne sans l’avoir même essayée deux jours d’affilée, pour que la majorité s’en fasse une idée préconçue.

Pourtant l’homme a vécu des millions d’années sans ce confort. D’ailleurs, nos réserves de graisses sont conçues pour nous permettre de tenir 3 mois sans manger.

Le Professeur Henri Joyeux, qui est un homme de grande sagesse, mais aussi de connaissances de l’être humain et de son fonctionnement écrit dans sa lettre « À propos du jeûne en cancérologie

« Le jeûne devrait être systématiquement proposé aux patients, sous surveillance médicale, mais pour cela il faudrait former les psychiatres aux bienfaits des changements des habitudes alimentaires.

Cela est aussi vrai pour la plupart des spécialités médicales, de la pédiatrie à la gériatrie en passant par la cardiologie, la pneumologie, la rhumatologie, la gynécologie, la chirurgie, la neurologie… bref, toutes les spécialités médicales gagneraient à s’ouvrir à la thérapie par le jeûne. »

Quels sont les intérêts du jeûne ?

Jeûner affûte les fonctions cognitives, le cerveau est plus alerte, les idées plus claires.

Les études démontrent que le jeûne influence la capacité d’adaptation, de mémorisation, il est plus alerte, les idées sont plus claires. Il améliore les performances sur les tests de mémoires chez les personnes âgées. Voir l’étude : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25576651

Le jeûne freine non seulement le développement des maladies neuro-dégénératives… mais aussi améliore la qualité de vie de ceux déjà affecté par ces maladies.

Jeûner aide les dépressifs à retrouver un esprit positif grâce aux changements hormonaux initiés : le cortisol augmente au réveil, le taux de dopamine est plus élevé durant la journée, et le soir c’est la sérotonine qui est produite en plus grande quantité et permet de mieux dormir.

Une revue des études sur le jeûne a démontré une amélioration de l’humeur en quelques jours. Voir l’étude : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0165178112008153

Jeûner réduit l’hypertension rapidement, le cholestérol et les triglycérides se normalisent très vite, la tension se normalise et, avec elle une diminution du risque de maladies cardio-vasculaires. Reste à voir avec le médecin si les médicaments sont toujours nécessaires.

Jeûner permet de redevenir conscient des besoins du corps, de différencier une faim réelle d’un désir de nourriture. L’appétit redevient normal, le poids se stabilise avec une perte de la masse graisseuse.

Jeûner améliore le système immunitaire. D’ailleurs il suffit de regarder un animal blessé, il cesse de s’alimenter, ce qui permet au corps de se focaliser sur l’infection à combattre. Le stress oxydatif réduit, le corps peut se concentrer sur la réparation des tissus.

Le jeûne apporte un nombre important de changements, tant chimiques, qu’organiques : l’augmentation de l’hormone de croissance et du métabolisme, réduction du risque de diabète, … Certains de ces bienfaits ne sont probablement même pas encore connus. Mais ce qui est certain c’est que jeûner aide le corps à refonctionner comme il le devrait.

Le jeûne détoxine l’organisme, et on sait aujourd’hui que 4 maladies sur 5 sont directement ou indirectement dues aux toxines stockées dans l’organisme.

En général, effectivement, les jeûneurs témoignent de transformations extraordinaires dans leur vie, tant au niveau physique que psychologique.

Pratiquement tous constatent également une multitude de bénéfices étonnement immédiats, comme une meilleure respiration, une disparition de leurs allergies, une diminution des douleurs articulaires. Un effet rajeunissant est constaté, la peau devient plus lisse, le teint plus lumineux et les cheveux plus soyeux, les yeux sont clairs car le foie est dégagé.

Pour moi, thérapeutique ou préventif, le jeûne offre une vraie solution pour un bien-être et une santé durable.

Notre corps est trop nourri, mal nourri, trop souvent nourri. Bien qu’il soit spécialiste du tri sélectif, il n’est pas capable de se débarrasser de tout ce qui lui est nocif. Il a la capacité de s’auto réparer à condition de ne pas dépasser ses capacités adaptatives Au fil des ans il accumule déchets produits par le fonctionnement des cellules, toxiques issus des pesticides, colorants, additifs et conservateurs. Fatigue et problèmes de santé sont autant de symptômes qui traduisent son encrassement. Jeûner permet au corps d’entreprendre un travail de détoxination.

Comment fait-il ?

Privé de nourriture extérieure, il prend à l’intérieur ce dont il a besoin. Tout d’abord en puisant dans le glucose en réserve dans le foie. Une fois celui-ci épuisé, il se nourri des protéines restées disponibles du dernier repas. Après il se servira dans les réserves graisseuses (le foie a la capacité de transformer les graisses en glucose) et la détoxination commence. Le corps pourrait tenir ainsi durant 40 jours environ, selon le poids corporel de chacun.

Forcément, le premier effet visible de l’extérieur est la perte de poids. Cependant il est important de garder à l’esprit que si le jeûne est entrepris uniquement dans ce but, sans modification des habitudes alimentaires, les kilos reviendront au galop. Jeûner fait partie d’une vision globale de la santé.

Bon, j’avais prévu d’écrire un petit article, et comme souvent me voilà encore partie pour un roman fleuve, désolée. Mes lecteurs de longue date doivent commencer à me connaître. Quand je commence, je ne sais plus m’arrêter 😉

Je vais cependant m’arrêter ici et reprendrai la suite demain, je vous expliquerai pourquoi je me suis intéressée au jeûne.

Prenez soin de vous.

Mabelle