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La fibromyalgie, oui je suis guérie

Pendant des années, comme beaucoup de malades j’ai pratiqué l’errance médicale jusqu’à ce que, plus de 15 ans après les premières très grosses douleurs, un algologue me diagnostique une capsulite rétractile à l’épaule gauche. J’avais mal quasiment partout dans mon corps mais personne ne voulait reconnaître autre chose que cette capsulite ! Selon lui, toutes les autres douleurs étaient une conséquence de la mauvaise position due à la douleur à l’épaule. J’avais beau lui dire que l’épaule n’était aussi douloureuse que depuis quelques semaines et que bien d’autres douleurs étaient présentes depuis plus longtemps, j’avais l’impression de lui parler chinois, ou d’être muette, il ne m’entendait pas. J’en avais l’habitude, ça faisait des dizaines de médecins qui ne prenaient pas en compte ce que je disais, qui me voyaient comme un dos, un pied ou une tête et jamais comme une personne entière souffrant à divers endroits.

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Dans mon orientation de thérapies alternatives, j’avais consulté de nombreux thérapeutes, et c’est d’ailleurs en espérant me soulager que j’avais entrepris diverses formations (EFT, Reiki, …), qui ne m’avaient pas véritablement aidée finalement. Pas plus que les médecins conventionnels, aucun thérapeute n’avais mis un nom sur ce qui me rendait la vie impossible, mais après tout cela était-il vraiment important ? Ce que je désirais avant tout était de me sentir bien, de pouvoir vivre « normalement ». Pourtant le fait qu’un algologue mette un nom sur une toute petite partie de mes problèmes a été le début de recherches supplémentaires quand il a constaté qu’il ne parvenait pas à me soulager ce qui, en principe est guérissable. Prises de sang, échos, radios, scanners, IRM, densitométrie, consultation de rhumatologues renommés, … j’ai fait tellement d’examens que je ne sais même plus de quoi il s’agissait. A chaque nouveau médecin rencontré, de nouveaux examens, et des maladies étaient éliminées. Au moins on avançait même si on continuait à me prendre pour une folle avec des douleurs psychosomatiques. Je ne savais pas de quoi je souffrais mais au moins je savais ce que je n’avais pas.

Je voulais bien reconnaître que j’avais une capsulite, que je prenais de mauvaises positions pour éviter la douleur, mais je ne voyais pas du tout le rapport avec tous les autres symptômes handicapants au quotidien qui m’invalidaient depuis plusieurs dizaines d’années. Mais l’algologue, lui, avait une explication pour tout. En plus des douleurs musculaires et articulaires, qu’on pouvait éventuellement attribuer à la position, je n’avais plus aucune force (normal, je faisais moins travailler mes muscles !) J’étais épuisée, fatiguée à l’extrême avec de gros soucis de concentration, de mémorisation et des vertiges fréquents (normal je dormais mal à cause des douleurs !) J’étais très sensible à la lumière, les odeurs, les bruits (normal, ça n’avait rien à voir avec le reste ça, c’était les migraines !) J’avais de gros soucis intestinaux (normal, je mangeais trop de fruits et légumes ! Il fallait manger quoi ? Des Mc Do ?). J’avais des sensations de piqûres ou de brûlures dans tout le corps, même l’eau de la douche m’était insupportable (normal, les nerfs étaient sensibles !) Si je parlais de ça autour de moi, on me répondait que je me braquais contre ce médecin qui cherchait une solution, simplement parce que j’étais contre les médicaments !!! C’est totalement exact que je ne voulais pas de ses mélanges explosifs d’anxiolytiques, somnifères, myorelaxants, antidouleurs, … mais totalement faux que je refusais en bloc tout ce qu’il me disait. Je voulais qu’il m’écoute et tente de comprendre que tout ne pouvait être imputé à une capsule d’épaule.

A l’époque je me souviens avoir parlé avec un médecin à la retraite et il m’avait expliqué que, lorsqu’il était en fac de médecine, à se faire lobotomiser par les labos pharmaceutiques, il avait posé la question à un de ses professeurs « comment peut-on connaître les effets secondaires possibles quand on prescrit plusieurs médicaments ? » La réponse avait été « on verra ça plus tard » Cependant il n’a jamais eu de réponse, et c’est après 30 ans de pratique qu’il a compris que la réponse aurait dû être celle ci, à peu de choses près « On ne peut jamais prévoir quoi que ce soit ! On sait plus ou moins quels effets sont possibles, et on peut essayer de gérer ça. Mais chaque corps est différent et il peut toujours arriver quelque chose qu’on n’attend pas quand on prescrit un médicament et qui n’est indiqué nulle part sur la notice. Quand on prescrit deux médicaments, ils interagissent entre eux et donc on sait encore moins ce qui pourrait arriver. Une fois qu’on arrive à trois, même un bon chimiste est incapable de gérer quoi que ce soit ».

Si je m’étais résolument tournée vers les thérapies alternatives, j’avais d’abord tenté de me soigner avec des médicaments totalement inefficaces. Pourquoi ? Parce que c’est ainsi que mes parents m’avaient élevée : tu as mal quelque part, tu appelles le médecin, il a fait beaucoup d’études pour savoir plein de choses que tu ne connais pas, tu prends les médicaments qu’il te prescrit et tu vas mieux. J’avais pu expérimenter que cela n’était pas vraiment la réalité, mais je travaillais en clinique et les choses n’étaient pas simples. Ce n’était pas réellement un choix, simplement une question de survie. En effet, j’élevais seule mes enfants et ne pouvais pas me permettre d’être en congé maladie à 60% de mon salaire. Or je travaillais dans un hôpital et refuser de prendre un médicament que vous donne le chef de service, l’urgentiste ou l’anesthésiste, c’était vu comme un refus de se soulager pour pouvoir travailler et je mettais ma place en jeu si je refusais toutes ces horreurs aux effets secondaires terribles pour moi.

Lorsque je n’ai vraiment plus eu le choix et que j’ai du arrêter le travail, j’ai rejeté toute chimie pour m’orienter vers l’hypnose, le décodage biologique, les guérisseurs et magnétiseurs, la sophrologie, l’acupuncture, la magnétothérapie, la morathérapie, l’ozonothérapie, la naturopathie, l’iridologie, ou encore la méditation. J’ai fait des recherches sur les causes des maladies, j’ai modifié mon alimentation qui l’était déjà depuis que j’avais eu mon premier cancer. J’ai soutenu mon foie, fait des cures détox, …

Et malgré tous mes efforts, rien n’y faisait, quasiment de jour en jour mon état empirait. Si parfois j’allais un peu mieux pendant quelques jours, ce n’était que pour être plus mal encore les jours suivants.

Puis, le diagnostic a enfin été posé avec certitude, j’étais fibromyalgique. Qu’importe selon eux que je trouve ce diagnostic bien tardif puisque cette maladie auto-immune était de toutes manières inguérissable !

Cela en plus des migraines que j’avais depuis l’âge de 8 ans et contre lesquelles personnes ne pouvait rien faire non plus. Woaw, quelles jolies prévisions d’avenir ! J’ai fait quelques recherches sur internet, je me suis penchée sur les causes de la maladie, voulant prendre ma santé en main en malade responsable pour arrêter de subir. Mais je me suis rapidement découragée, j’ai très vite abandonné car tout ce qui se disait sur le sujet était plus que démoralisant et m’aurait fait sombrer dans la dépression que le médecin prétendait que j’avais et qui était responsable de mes douleurs psychologiques. Mais je n’étais pas dépressive, au contraire, j’avais une furieuse envie de vivre, mais de vivre « normalement », pas avec d’atroces douleurs quotidiennes.

Il était bien question parfois des effets néfastes des toxines et métaux lourds, mais déjà lorsque j’avais fait le choix de retirer mes amalgames dentaires en espérant soulager les migraines le médecin avait d’abord souri, pire s’était moqué de moi. Je ne comprenais pas pourquoi cette maladie ne se voit sur aucun examen, je ne pouvais pas m’empêcher de faire le rapprochement avec un déséquilibre acido-basique, un corps rempli de toxines qui ne se voit pas non plus mais qui, selon les naturopathes peut être guéri. Mais j’avais déjà fait des détox sans résultat donc j’ai abandonné tout espoir.

Extérieurement la fibromyalgie ne se voit pas, l’entourage doute, vous pensant paresseuse, l’employeur vous croit affabulatrice, les médecins vous disent hypocondriaque ou dépressive. En gros on est jugé en permanence par des personnes qui sont incapables de comprendre à quel point la vie est difficile, les douleurs invisibles difficiles à supporter.

Oui, on est fatiguée mais on n’est pas forcément déprimée, en tous cas au début, même si d’être sans cesse traitée de fainéante ou de folle tout en ne pouvant pas vivre la vie qu’on désire, on pourrait le devenir. On ne raconte pas des histoires, on a mal aux pieds, aux jambes, aux mains, aux bras, au dos, … il serait plus simple de dire où on n’a pas mal que de dire où on a mal. On a l’impression d’avoir la grippe en continu sans la fièvre. Non, il ne suffit pas de dormir pour aller mieux, d’ailleurs on dort tellement mal et si peu qu’on ne peut même plus nommer cela dormir. Non on ne peut pas sortir avec des amis pour un ciné ou un resto, et encore moins pour faire une journée de shopping parce qu’on ne peut pas supporter la foule, le bruit, et encore moins prévoir si on sera même en état de sortir de la maison le jour prévu. Alors les connaissances nous voient moins qu’avant, ne peuvent pas comprendre car il n’y a rien à comprendre si ce n’est qu’on souffre sans que cela soit visible de l’extérieur. Parce qu’une personne malade, ça doit forcément se voir. Et on vous critique, on vous dit de faire un effort sans même tenter de comprendre que vous faites des efforts à chaque seconde qui passe parce que le quotidien ressemble à marcher sur une jambe cassée, à soulever une tasse qui pèse 45 kilos, faire trois pas est aussi fatiguant que le sont 30 kilomètres pour une personne en bonne santé. On vous juge et vous vous retrouvez complètement isolée face à l’incompréhension de tous, l’étau se resserre, on souffre toujours plus, et seule.

Je vivais dans une grande maison que je ne savais plus entretenir, avec des marches partout qui me fatiguaient plus que de raison, un grand jardin qui aurait demandé l’aide quotidienne d’un jardinier. J’ai déménagé pour une habitation plus adaptée à ma situation. Mais, même là, avec moins de travail de maintenance mon état s’aggravait. J’avais des problèmes de vue. L’ophtalmo m’annonçait deux opérations d’iridotomie suivies de deux autres de cataracte.

La première opération a eu lieu et, j’avais beau ne pas vouloir de médicaments, il fallait absolument mettre des gouttes post op. Celles-ci ont provoqué une grosse réaction allergique. C’est à ce moment là que, sur mon chemin de vie, j’ai rencontré un ange qui m’a parlé de détoxination profonde. Au point où j’en étais je ne croyais plus en rien pour guérir, je voulais juste que cette allergie cesse et je l’ai écoutée. C’était la meilleure décision de ma vie.

J’ai défié tous les pronostics, je pense qu’on peut guérir de la fibromyalgie. Dernièrement quelqu’un m’a dit que c’est impossible, que je suis simplement en rémission et qu’un jour ou l’autre la maladie va refaire surface. Je refuse d’entrer dans cette vision pessimiste. Je m’estime aujourd’hui guérie car je n’ai plus le moindre symptôme de la fibromyalgie depuis 28 mois. Plus non plus de capsulite ou de migraine. Et tous les autres problèmes de santé que je pouvais avoir sont également disparus, je pourrais en écrire un livre comme on me l’a déjà dit à plusieurs reprises. Mais je pense avoir été bien assez longue en vous passant tous les détails supplémentaires.

Par contre, pour garder cet état de santé, il est certain que depuis, j’ai conservé un équilibre alimentaire, je cuisine des aliments bio autant que possible et très peu de viande, je n’achète pas de produits et boissons industriels, je vis le plus sainement possible, tout en étant parfaitement consciente qu’il n’y a plus rien de complètement sain sur cette planète. Puisque je ne peux arrêter de respirer un air pollué, que même les aliments bio poussent dans un sol malade et sont arrosés de pluies remplies de choses aux mots imprononçables, je choisis de me détoxiquer au quotidien. Je choisis la prévention plutôt que d’attendre l’arrivée de pathologies pour prendre les choses en main.

Je n’écris pas cet article pour vous raconter ma vie, elle n’a vraiment rien de palpitant et je suis convaincue que d’autres que moi ont des choses bien plus captivantes à raconter, mais pour vous dire de toujours garder espoir, de ne pas rester figé sur un diagnostic, aussi pessimiste soit-il. Si j’ai pu guérir tout le monde peut en faire autant. Même s’il y a eu de nombreux progrès dans le domaine de la médecine, les médecins ne savent pas tout, loin de là. Ils ne peuvent savoir que ce qu’ils ont appris à la fac. Et que leur a-t-on appris ? A vendre des médicaments. On leur a appris qu’à tout symptôme correspond un médicament à un dosage bien précis selon l’âge, le poids, … Or dans la fibromyalgie, les symptômes sont nombreux et variés et ils y perdent leur latin. Pour guérir ce n’est pas au symptôme qu’il faut s’attaquer mais à la cause.

Le Dr. Robert Ward a déclaré : « La fibromyalgie est le résultat d’une intoxication chronique aux agents pro-oxydants ainsi qu’une condition de stress oxydatif permanente due à notre environnement toxique. »

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Un pro-oxydant est une substance qui déclenche un stress oxydatif par l’augmentation des radicaux libres. L’oxydation se produit lorsque les molécules d’oxygène interagissent avec d’autres substances exogènes : pollution (pesticides, particules fines, métaux lourds…), exercice physique trop intense, stress, alimentation industrielle et raffinée (additifs, conservateurs, …), excès de soleil, excipients des produits d’hygiène (parabens, sulfates, aluminium, dioxyde de titane, …), alcool, cigarette, …

Si nous favorisons l’activité antioxydante au niveau cellulaire, nous retrouvons la capacité d’autoguérison du corps. La fibromyalgie est une maladie d’intoxication, en pleine expansion depuis que notre environnement s’est modifié de manière accélérée alors que notre mécanisme d’adaptation n’a pas pu suivre le rythme.

Les toxines et les radicaux libres du stress oxydatif causant des dommages aux cellules ont une affinité particulière pour les cellules du système nerveux central et périphérique, qui ont un taux d’élimination lent. D’où l’origine des maladies neurodégénératives.

J’ai entendu dernièrement (merci Gilles) que tout mammifère a une durée de vie de 7 fois sa vie adulte. Si je calcule bien 7 X 20 ans pour un humain ferait 140 ans. Vous en connaissez beaucoup d’hommes qui vivent ces années, et surtout en étant en bonne santé ? J’ai passé une grande partie de ma vie à être malade et je compte bien rattraper le temps perdu en vivant jusqu’à 140 ans en pleine forme. Je vous invite à en faire de même.

Merveilleuse soirée

Mabelle

Cancer, métabolisme et Redox

Bonjour, j’espère que vous allez merveilleusement bien et que vous lirez cet article pour information et non parce que vous êtes concerné par le cancer.

Dr Schwartz

Le Docteur Schwartz a passé sa vie à faire de la recherche contre le cancer. Alors que nous dit le Docteur Schwartz ? Et bien il nous dit la chose suivante : « Le cancer ce n’est pas si compliqué que çà, c’est peut-être une maladie de la fermentation du sucre ! »

Ses recherches appuyées par une équipe de biologistes, de physiciens… sur une quantité infinie de souris démontrent que la cellule fermente au lieu de brûler le glucose. C’est la fermentation du sucre qui permet à la cellule de grossir car elle ne peut pas brûler, la mitochondrie n’étant plus active. Otto Warburg prix Nobel de médecine en 1931, donc pas n’importe qui…développait la même théorie.

Petit focus : La mitochondrie késako ? c’est une admirable cellule qui bosse jour et nuit pour fabriquer du carburant à votre corps. Le tabac, l’alcool, la mal bouffe, les produits chimiques, ce que vous respirez ciblent la mitochondrie et empêchent la cellule de brûler du sucre. La mitochondrie est donc la chaudière de la cellule et bien… quand il n’y a plus de carburant, les braises s’éteignent.

Alors on peut dire que le Dr Schwartz fait preuve d’une logique de bon sens. Aujourd’hui les traitements conventionnels ciblent les tumeurs, je dirai pourquoi pas….mais au passage ils oublient de rallumer l’activité de la mitochondrie.

Mais que faire docteur ?

Le Dr Schwartz nous dit : « diminuer l’apport de sucre qui est le coupable N°1 du cancer, s’ouvrir vers le cétogène et mettre en place un traitement métabolique, une combinaison de compléments alimentaires »

Il propose un traitement à (seulement) 200 euros par mois, est-ce la raison pour laquelle il n’arrive pas à réaliser des essais cliniques pour prouver l’efficacité de ses recherches ? Une question politique, une de plus dans le secteur médical ?

Le code source

Alors dans tout ça, si l’on fait le rapprochement avec les molécules de signalisation REDOX on peut dire qu’il y a un lien inséparable. Des mitochondries épuisées, fatiguées ne vont plus pouvoir fabriquer les molécules de signalisation REDOX essentielles au bon fonctionnement de notre corps … Nous en avons besoin pour protéger nos cellules, constater les menaces et les dégâts et réparer celles qui sont touchées ou encore les remplacer. Et si ces molécules ne parlent plus entre elles, si leur communication est défaillante…ça… DYSFONCTIONNE COMPLETEMENT.

Les molécules de signalisation redox vont aider le corps à régénérer les cellules et donc les mitochondries qui en font partie. Parce que ces molécules nous les avons en nous, il suffisait donc de savoir les reproduire…FORMIDABLE NON ??

Ce procédé unique et breveté a été mis au point par la société ASEA. Une biotechnologie encore trop peu connue en Europe. Elle est contrôlée régulièrement et certifiée par les plus importants laboratoires Européens BIOAGYLITICS et DERMATEST.

En vieillissant nous perdons des cellules tous les jours et un apport de supplément de molécules de signalisation redox va aider nos cellules à se régénérer en donnant les ordres aux vieilles cellules de mourir pour être remplacées par des nouvelles.

Personnellement cette biotechnologie m’a permis d’être libérée des migraines et douleurs que j’avais un peu partout dans le corps, de retrouver de la vitalité, de l’énergie, de la clarté mentale, …et même si tout n’est probablement pas encore réglé parce que mes problèmes de santé étaient nombreux et ne datent pas de hier, J’ai enfin retrouvé une vie normale et je ne crains plus l’avenir.

Asea Redox n’est pas un médicament, les molécules aident notre patrimoine cellulaire, et c’est notre qui retrouve ses possibilités de faire son travail, faisons lui confiance, il sait ce qu’il a à faire quand il a les bonnes informations.

La société recommande une supplémentation sur une durée d’au moins trois mois pour avoir des résultats probant, même s’il ne m’a pas fallu tout ce temps pour avoir de réelles améliorations. Nous sommes tous différents et, finalement, nous ne voyons les choses que de l’extérieur, nous ne savons pas ce qui se passe à l’intérieur de notre corps. Il faut savoir que les molécules agissent en priorité là où le corps en a le plus besoin, donc tout dépend de l’état de nos cellules à l’intérieur de nos organes que nous ne pouvons pas voir.

Une vidéo qui parle du traitement métabolique par le Dr Schwartz :
https://www.youtube.com/watch?v=HuZS63D30No&list=PLS8_sRq5JoTZj9QScmOs7nM4tMJhosKsk&index=18

Et si nous prenions soin de nos cellules avant qu’elles nous rappellent de le faire ?

Si vous souhaitez plus d’informations sur le Redox, inscrivez vous ici : http://eepurl.com/deGkdH

Ou visitez cette page : https://mabelle.myasealive.com/fb/products/Asea.aspx

Mabelle

Un antioxydant très important, le Glutathion

Jacques Prévert le disait déjà « On a beau avoir une santé de fer, on finit toujours par rouiller ».

C’est cette sorte de « rouille » qui, en s’accumulant dans le corps, nous pousse dans la maladie chronique, accélère le vieillissement et finit par nous tuer.

Tout le monde a déjà entendu parler des antioxydants et de leurs cibles préférées, les radicaux libres. Mais, de quoi s’agit-il exactement ?

Les radicaux libres jouent un rôle à la fois positif et négatif. A doses physiologiques, ils ont un effet bénéfique pour l’organisme.

Par contre, lorsqu’ils sont dans un excès insupportable pour le corps, celui-ci entre dans un stress oxydatif, avec des conséquences importantes sur notre santé.

D’où viennent ces radicaux libres ?

Les radicaux libres sont produits par l’organisme. Tout se passe dans les mitochondries qui, en produisant de l’énergie, dégagent également des radicaux libres. Et, en vieillissant nos mitochondries fonctionnent moins bien, accumulant encore davantage de radicaux libres au fil des ans.

Mais ils proviennent également de sources extérieures présentes dans notre environnement. En effet, ils sont produits par l’alimentation, les médicaments, le stress, les agents infectieux, les radiations de toutes sortes, les polluants chimiques. Finalement, les radicaux libres sont partout.

L’oxydation des composants de nos cellules entraîne des dommages irréversibles, avec à la clé inflammations, maladies articulaires, diabète, cancers …

Même si nous sommes inégaux devant les radicaux libres, nous sommes armés pour les neutraliser dès qu’ils commencent à présenter un danger, grâce à une petite molécule faite de trois acides aminés (glycine, cystéine et glutamate), le glutathion, produit par notre foie. Malheureusement, notre source interne de glutathion se tarit à la cinquantaine

Le glutathion est une molécule que l’on considère comme essentielle à l’apparition de la vie humaine sur Terre. Elle contrôle la plupart des processus vitaux de nos cellules.

Plus de cent années de recherches et plusieurs dizaines de milliers d’articles scientifiques ont établi que le glutathion est l’une des plus importantes molécules protectrices dans l’organisme.

Il a la capacité de se lier à des toxines comme les solvants, les pesticides et les métaux lourds, et de les transformer en composés hydrosolubles qui seront éliminés dans la bile ou les urines.

Des études ont démontré que les molécules Redox d’Asea augmentent la production cellulaire, la biodisponibilité et l’utilisation du glutathion de plus de 500%. Pour plus d’infos contactez moi.

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Dans son livre « Les combats de la vie », le professeur Luc Montagnier, virologue, et prix Nobel de médecine 2008, nous livre avec une rare indépendance d’esprit ses révoltes, ses solutions pour une nouvelle manière d’aborder les maladies, fondée sur le développement de nos défenses immunitaires, sur la prévention des maladies chroniques. Avec un humanisme réconfortant, il nous explique pas mal de choses sur le fonctionnement de notre corps, de nos cellules, et pourquoi la médecine traditionnelle n’a pas réponse à tout.

Alors qu’apparaissent de nouveaux virus aux mutations imprévisibles, Luc Montagnier nous révèle les moyens de réduire le stress oxydant présent dans la plupart des maladies. Il nous parle de l’efficacité du glutathion dans les cancer de l’ovaire ou du pancréas notamment, ainsi que son apport très utile face aux dégâts collatéraux des chimiothérapies.

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J’ai choisi la prévention, c’est mon choix. Quel est le vôtre ?

Mabelle

Le jeûne, une aide en cas de cancer ?

Bonjour, comment allez-vous ?

Je reviens encore vous parler de jeûne car je n’avais pas voulu faire un article trop long la dernière fois. Au-delà de toutes les théories sur les carences, sur les apports des repas équilibrés, on se rend compte que plus il y a de spécialistes de l’alimentation, plus il y a de malades.

Je voulais tout de même vous donner quelques infos un peu plus scientifiques que mon expérience sur le sujet.

À chaque jeûne, vous faites du neuf tout en nettoyant les cellules malades, les tissus les moins nécessaires sont les premiers à disparaître. Quant aux tissus essentiels, ils se nourrissent par autolyse. C’est donc tout bénéfice pour un corps qui est en train de lutter contre la maladie, notamment contre le cancer. Le cancer n’est jamais que des cellules qui ont trouvé le code de l’immortalité, qui se reproduisent plus vite que des cellules saines, jusqu’à toucher d’autres parties du corps. Empêcher la prolifération cellulaire est donc essentiel pour rester en vie.

Chez les souris suivant un protocole de jeûne, il a été observé que les tumeurs se développent beaucoup moins.

Le sucre est indispensable au développement des cancers.

Des scientifiques ont conclu, dans une étude de janvier 2015, que le jeûne empêcherait le développement des cancers du sein, notamment grâce à la réduction du taux de sucre dans le sang : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25448890

Contrairement aux cellules saines qui acceptent différents types d’énergie, le carburant de prédilection des cellules cancéreuses c’est le glucose. En jeûnant les cellules cancéreuses ne peuvent plus se nourrir de sucre, leur développement s’arrête.

Encore il y a une quinzaine de jours, un biochimiste faisait le lien entre le sucre et le cancer : http://guerir-du-cancer.fr/epouvantablement-sucre/?fbclid=IwAR2tdT8x2xgvvez-mKRTtyVMaB9GYxk7xrpKi6WfQY7Dl1BC7cdaCQdpigw

Par ailleurs, les cellules cancéreuses et les cellules saines réagissent différemment au jeûne.

Lorsque les cellules saines manquent d’apports énergétiques, elles se mettent en situation de protection pour éviter de mourir. Cette protection est sans doute une conséquence de l’évolution, car durant plusieurs millions d’années l’homme a alterné périodes d’alimentation et disettes.

Les cellules cancéreuses, quant à elles, ont muté. Elles n’ont plus ce mécanisme et restent sensibles au manque de nourriture.

Le système immunitaire se renforce, il se renouvelle complètement en seulement trois jours.

Lors d’une radiothérapie, un jeûne juste avant protège les cellules saines tandis que les cellules cancéreuses seront plus vulnérables : http://stm.sciencemag.org/content/4/124/124ra27.abstract

Les docteurs CARLSON et KUNDE, du service de physiologie de l’université de Chicago, ont montré qu’un jeûne de deux semaines, restaure, temporairement, les tissus d’un homme de quarante ans et les ramène à la condition d’un jeune de dix-sept ans :  https://amzn.to/2K4Kvay

Quel jeûne choisir ?

Les puristes vous diront qu’il n’y a pas plusieurs jeûnes, que jeûner signifie priver le corps de toute nourriture et boisson.  D’autres diront qu’il existe différentes manières de jeûner, chacun choisira celle qui lui convient le mieux, et la durée du jeûne dépend des possibilités de chacun et de ses habitudes alimentaires.

Certains s’habituent à manger peu, d’autres pratiquent le jeûne régulièrement : hydrique, sec, aux jus verts, ou encore le jeûne intermittent. C’est mon préféré, qui permet à mon corps de faire le ménage, de se débarrasser des toxines qui traînent un peu partout, de réguler le fonctionnement de mes organes, d’éliminer l’inflammation, de se réparer. Personnellement j’ajoute à cela des molécules Rédox dont je ne pourrais plus me passer et qui accentuent la détoxination pour une santé optimale. Si vous voulez plus d’infos sur le sujet, c’est par ici : http://eepurl.com/deGkdH

J’ai choisi le jeûne pour mon bien-être physique et mental, parce que veux vivre alerte jusqu’à un âge très avancé, ne plus jamais être touchée par les maladies de civilisation qui touchent de plus en plus de personnes de tous âges. Il y a vraiment de quoi remettre en cause notre mode vie. J’ai été bien malade une grosse partie de ma vie, j’ai parfois l’impression que toutes ces années m’ont été volées, et il est clair qu’elles sont perdues à jamais. Aussi je veux pleinement profiter de celles qui me restent. Or, je sais maintenant que le jeûne et le Redox sont vraiment deux alliés pour une vie en santé optimale. Soyons clairs, ce n’est pas le jeûne qui est un remède mais bien la pause qu’il offre à l’organisme qui est propice à la guérison, c’est le corps qui se guérit. Si l’hygiène de vie n’est pas modifiée, les problèmes risquent de revenir.

Nous sommes tous conditionnés à manger trois fois par jour, et depuis la maternelle à prendre une collation en matinée et un goûter. On a des tas d’idées reçues sur l’obligation de manger trois fois par jour pour être en bonne santé. Et on n’ose pas forcément franchir cette barrière de méconnaissance à propos du jeûne, aller là où ça pourrait être inconfortable.

Mais si on y réfléchi un peu, on s’aperçoit que nos ancêtres se couchaient bien plus tôt que la plupart d’entre nous. Il se passait donc plus d’heures entre le repas du soir et le déjeuner. D’ailleurs le mot dé-jeuner vient d’arrêter de jeûner parce que la nuit était une période de jeûne.

Comme beaucoup j’ai toujours tenté de faire manger mes enfants avant leur départ pour l’école, je voulais qu’ils ne partent pas l’estomac vide. Pourquoi ? Parce que c’est ce qu’on m’avait toujours inculqué depuis l’enfance « l’importance du sacrosaint petit-déjeuner !!! ». Depuis mes gros soucis de santé, j’ai cherché d’autres sources d’informations et j’en suis arrivée à pratiquer le jeûne intermittent en ne prenant plus que deux repas par jour, parce que j’ai compris que quel que soit votre âge, ou votre état de santé, le jeûne a quelque chose à vous offrir. Ses bienfaits touchent chaque partie du corps.

Cependant je voudrais à présent faire un « vrai » jeûne, soit me passer complètement de nourriture durant plusieurs jours, même si je ne suis toujours pas certaine d’en être capable.

Ceux qui ont pratiqué le jeûne disent souvent : « je croyais que je n’en serais pas capable ». Et, en effet, l’idée de de réduire son apport en nourriture, de se limiter à de l’eau pendant plusieurs jours, nous fait peur.

Comme nous ne connaissons pas le manque, nous redoutons de devoir l’affronter. Nous craignons, dans le fond, que le jeûne puisse nous faire « mal ».

Et pourtant, les « jeûneurs » disent exactement le contraire.

Personnellement je n’ai pas du tout peur de mal faire car je suis convaincue des bienfaits du jeûne. Mais je sais que je mange par habitude et non par faim et c’est surtout cette habitude qui risque de me manquer.

L’idéal pour passer le cap est de bien se renseigner et de se faire accompagner. Mais bien évidemment mon côté « je me débrouille toute seule » prend le dessus et je n’ai aucune envie de me faire accompagner. Ce que, bien sûr je ne vous recommande pas. Je choisis de faire mes propres expériences mais ne vous déconseille d’en faire de même. Oui, je sais, ce n’est pas bien, je ne montre pas l’exemple !!!

J’en suis aussi arrivée à la conclusion que, si le jeûne peut se faire tout au long de l’année, les meilleures périodes correspondent aux deux grands changements de saison : l’automne et le printemps. C’est donc la période idéale.

Si j’en crois mes recherches faites sur le sujet, le plus difficile est de prendre la décision de jeûner. Or ce choix je l’ai fait, il s’agit d’un réel choix personnel.

La privation de nourriture ne serait pénible que deux jours en raison du besoin créé par l’habitude, cette habitude qui m’inquiète un peu. Une fois le jeûne commencé, la sensation de faim disparaît très rapidement, et de plus en plus facilement supportée à mesure que l’on s’exerce au jeûne. Et le reste se fait naturellement.

A la base mon intention était de jeûner trois jours pour renouveler mon système immunitaire. Mais, puisque le plus difficile c’est les deux premiers jours, j’ai choisi de ne pas me prendre la tête, et de voir comment les choses vont se passer. Peut-être choisirais je de prolonger, … ou pas ?

Depuis que je m’intéresse et consomme au quotidien des molécules de signalisation Redox, j’ai vraiment pris conscience que la maladie n’est pas une fatalité, et que l’état normal du corps est l’homéostasie, la parfaite santé. En me supplémentant en Redox j’aide mon corps, mais si je peux encore accélérer les choses avec un jeûne de quelques jours, pourquoi ne pas essayer ? Tout ce que je risque c’est de faire du bien à mon corps.

Moins le corps sera occupé à la digestion, et mieux il saura s’atteler à la réparation de ce qui en a besoin.

Début du défi : demain. Il me restait de la soupe, et pas de place au congélateur, je l’ai donc consommée ce midi. Là, il n’y a plus rien de périmable dans le réfrigérateur, et je n’ai aucune raison de bouger de la maison durant les deux prochains jours, c’est parfait au cas où j’aurais un coup de fatigue, c’est le moment de commencer.Prenez soin de vous

Mabelle

Pourquoi donc me suis-je intéressée au jeûne ?

Bonjour, vous allez bien ?

Je reviens sur la suite de mon article de hier sur le jeûne pour vous donner mon expérience sur le sujet.

Ma première expérience avec le jeûne remonte à quelques années. J’étais en chimiothérapie contre un cancer. Vu les nausées provoquées par mon traitement, je n’avais plus aucune envie de manger quoi que ce soit pour le rendre dans les toilettes dans les minutes qui suivaient mon repas.

Par ailleurs j’en étais à mon troisième cancer, ça commençait à bien faire. Ca ne pouvait pas être simplement le sort qui s’acharnait contre moi, il devait bien y avoir une raison et je la cherchais.

Affaiblie par tous ces traitements lourds, je n’étais pas capable de faire grand-chose de physique, je consacrais beaucoup de mon temps à la lecture et je fouillais un peu partout sur le net.

Je suis arrivée sur plusieurs études faisant un lien entre le sucre et le cancer. Il était question d’affamer les cellules cancéreuses pour arriver à l’autophagie des cellules malades. A l’époque je découvrais et n’étais pas du tout consciente de la quantité de sucres cachés un peu partout dans la nourriture. Lorsque je mangeais une tranche de jambon, je pensais manger des protéines, un peu de graisse aussi, mais certainement pas du sucre. Jusqu’au moment où j’ai compris que je mangeais une quantité impressionnante de sucre sans même le vouloir ni m’en rendre compte.

J’ai pris conscience de la nécessité de revoir de fond en comble mon alimentation.

Il me semblait clair que certains veulent asservir le monde par la chimie et la technologie, peu importe l’impact dramatique que cela peut avoir sur la population, nous menant à notre perte.

Eviter de m’empoisonner plus encore en mangeant était devenu pour moi un réel problème, me demandant une attention permanente. Je ne voulais plus manger de sucre, mais ne savais que faire pour m’en libérer définitivement. J’aurais sans doute pu cultiver mes légumes mais mon état de santé ne permettait pas de me mettre au jardinage. Et mes finances ne me permettaient pas plus d’acheter des produits locaux et bios.

Puis, un jour où je parlais avec une amie du fait que j’étais convaincue que le fait de manger me rendait encore plus malade, elle m’a répondu « malheureusement tu ne peux pas arrêter de manger ». Et je me suis dit « Pourquoi pas ? » J’avais déjà entendu des histoires de personnes se nourrissant de Prâna, mais à l’époque je me disais que c’était quelque chose que seuls des personnes très spirituelles ou dotées d’une volonté incommensurable étaient capables de faire, que ce n’était pas pour moi. Mais l’idée était là et je ne pouvais plus cesser d’y penser.

Evidemment, j’en ai parlé à l’oncologue, qui n’était visiblement pas très au courant de la chose et qui plutôt que de me le déconseiller me l’a carrément interdit. Et je déteste qu’on m’interdise des choses que je juge importantes pour moi. Il n’en fallait pas plus pour que je me mette en recherche sur comment vivre sans manger.

J’ai trouvé de nombreuses informations, mais à chaque fois il était bien recommandé de se faire accompagner par un médecin. Or les médecins à qui j’en ai parlé étaient totalement réfractaires à mon idée.

J’avais trouvé une étude dans laquelle un biologiste californien avait démontré que le jeûne avant et après une chimio réduisait les effets secondaires … sur les souris et qu’elles vivaient plus longtemps que celles qui avaient poursuivi leur alimentation habituelle.

Une autre étude disait qu’en jeûnant on forçait le corps à faire le ménage, qu’il cassait les cellules malades en premier lieu. Cela faisait rire mon oncologue qui n’était pas prêt à remettre en question la médecine officielle et me disait que je ne pouvais pas me comparer à une souris tout en continuant de m’empoisonner avec ses produits chimiques.

Il y avait bien des cliniques spécialisées dans le domaine du jeûne, mais leurs prix n’étaient pas du tout adaptés à mon budget et un séjour à l’étranger signifiait également mettre fin à la chimio.

Tout ça était bien compliqué à mes yeux.

Je ne pouvais que constater que mon état ne s’améliorait pas et les alternatives me semblaient peu nombreuses.

Fermement convaincue que le mieux que je puisse faire pour moi était de me tenir le plus loin possible des prescriptions allopathiques et de détoxiner mon organisme des pollutions qu’il avait subies, j’ai choisi de continuer mes recherches. Il était clair pour moi que moins on mange, plus on vit longtemps.

J’en suis arrivée à la conclusion, que quitte à mourir, je préférais mourir un peu plus tard en étant responsable d’avoir cessé de manger que de mourir rapidement empoisonnée par d’autres.

Attention, que les choses soient bien claires, je ne conseille à personne de suivre mon exemple.

Le jeûne véritable, c’est pas du tout de nourriture, sur une période de temps donnée et définie par avance. Il est évident qu’une telle pratique ne saurait être employée n’importe quand et surtout n’importe comment, par des personnes dépourvues des connaissances suffisantes en la matière.

C’est vrai que, personnellement je l’ai fait, mais mon côté kamikaze n’est pas du tout un exemple à suivre, loin de là. Je vous le déconseille fortement.

Le nettoyage de l’organisme, déclenché par un jeûne bien conduit, devrait toujours être réalisé sous la supervision d’un professionnel de santé, pour être assuré d’une pratique saine et sans danger.

Sauter un repas de temps à autre ne présente aucun risque, mais se lancer dans l’aventure du jeûne nécessite l’avis préalable d’un thérapeute qui effectuera un bilan de santé avant de débuter l’expérience. Actuellement de nombreux naturopathes pratiquent régulièrement le jeûne comme hygiène de vie et pourront vous conseiller correctement sur le sujet.

Je pense que j’ai eu beaucoup de chance parce que tous les effets que l’on peut ressentir lors d’un jeûne sont, pour moi, passés inaperçus. J’avais tant d’effets secondaires avec les traitements de chimio que la transition vers les effets dûs au jeûne ne se sont pas vraiment fait sentir. Je pensais toujours être malade avec mes traitements et n’ai pas réellement fait le lien avec le jeûne.

Lorsque j’ai commencé à jeûner, j’étais tellement mal depuis quelques semaines que je mangeais de moins en moins depuis déjà un moment et je n’ai jamais ressenti de faim, à aucun moment. J’avais mal la tête et peut-être étais ce un signe de détox mais vu que j’avais mal la tête depuis l’âge de 8ans, ça ne me paraissait pas vraiment inhabituel. J’avais mal un peu partout, toutes mes articulations étaient douloureuses, mais cela aussi durait depuis des années, ça avait aussi débuté plus ou moins en même temps que les maux de tête et je vivais avec depuis si longtemps que je m’y étais accommodée. J’avais des douleurs au ventre et de fortes diarrhées mais la chimio me faisait aussi cet effet depuis plusieurs mois donc, rien de réellement alarmant à mes yeux.

Mais rapidement je me suis sentie plus sereine, je n’étais plus constamment dans mes pensées « que va devenir ma fille si je meurs demain, que va-t-elle devenir sans moi, comment va-t-elle poursuivre ses études, … » J’avais cette impression que j’allais mieux, que le mal qui me rongeait perdait la bataille, les douleurs étaient fortement diminuées. Je retrouvais une certaine souplesse perdue pourtant depuis si longtemps. J’étais moins fatiguée, peut-être parce que j’arrivais à dormir durant plusieurs heures d’affilée alors que ça faisait des mois que j’étais éveillée toutes les heures chaque nuit par des douleurs infernales.

Depuis cette expérience le cancer est un lointain souvenir. Une fois guérie (en rémission comme ils disent parce qu’ils refusent de dire autre chose) j’ai recommencé à manger « normalement » et j’ai même recommencé à manger du sucre. Visiblement j’ai du mal à comprendre les choses la première fois, il faut que je répète les mêmes erreurs plusieurs fois avant de comprendre !

Et, bien évidemment j’ai à nouveau été malade. Mais ça, c’est une autre histoire que je vous raconterai prochainement, cet article est bien assez long.

Prenez soin de vous, et si vous êtes tenté par le jeûne, faites vous conseiller et suivre par une personne compétente

Mabelle

Vivre mieux et plus longtemps en jeûnant

Bonsoir, j’espère que vous allez bien et que vous avez pu un peu profiter de la journée ensoleillée.

Ce soir, un petit article sur le jeûne qui fait suite à une conversation que j’ai eue sur le sujet il y a quelques jours.

Le jeûne est une méthode très simple pour vivre plus longtemps, en meilleure santé et avec plus d’énergie.

Une connaissance me disait, pas plus tard que ce week-end, que jeûner c’est priver le corps du carburant nécessaire à son fonctionnement, et qu’on peut se poser la question de savoir si cela est bien intelligent de vouloir rouler sans carburant.

Mais ne serait-il pas plus sensé de cesser de vouloir comparer le corps à une voiture qui, elle serait bien incapable de faire le moindre kilomètre avec un réservoir vide. Le corps est bien plus qu’un simple assemblage de pièces mécaniques. C’est oublier qu’il y a en chacun de nous un médecin prodigieux qui peut accomplir des miracles.

Beaucoup trouvent normal de s’en remettre à des médicaments chimiques pour se soigner et refusent de croire à l’efficacité du jeûne comme thérapie.

C’est vrai que cela peut paraître trop simple pour combattre des maladies telles que Parkinson ou cancer. Et pourtant !

Les recherches sur le jeûne sont assez récentes. Mais déjà les scientifiques estiment que le jeûne est une thérapie très puissante.

Les études démontrent que jeûner améliore significativement la résistance, le fonctionnement et la longévité du corps.

Depuis les années 30, on sait que chez les souris, le simple fait de diminuer de 30% leur apport journalier, allonge leur durée de vie. Dans une étude de mai 2000, elle augmente en moyenne de 40%, passant de 48 à 64 semaines.

L’homme a toujours jeûné, c’est d’ailleurs une tradition ancestrale :

Les bouddhistes pratiquent le jeûne, nécessaire à la méditation des moines, les musulmans pratiquent le Ramadan, les catholiques vivent le jeûne du Carême, et dans le nord de l’Inde les hindous jeûnent tous les jeudis.

Mais, au-delà du jeûne lié aux religions, l’homme a souvent vécu des privations forcées par les circonstances (pauvreté, mauvaises récoltes, guerre, …).

Actuellement, le jeûne est une pratique extrêmement populaire dans certaines régions du monde puisque, par exemple en Allemagne 15 à 20% de la population aurait tenté l’expérience. Ce ne sont pas moins de 16 millions de personnes qui y ont recours… et sont d’ailleurs, pour cela, remboursés par leur système de santé !

Le jeûne est largement utilisé au Japon dans le cadre de psychothérapies. En Russie, il intervient dans la prise en charge de certaines maladies, de la dépression aux troubles obsessionnels compulsifs.

Le jeûne est sans doute la méthode de santé naturelle la plus vieille du monde, et en même temps celle qui suscite le plus de débats.

Critiqué par les uns comme étant une pratique extrêmement dangereuse faite pour les marginaux, les sectes et les fanatiques. Certains parents se retrouvent d’ailleurs en prison pour avoir pratiqué le jeûne avec leurs enfants.

Défendu par les autres qui le voient comme un bouton de remise à zéro du système qui permet de guérir n’importe quelle maladie en faisant un grand nettoyage physique, mental et émotionnel.

Ceci est fort compréhensible, dans la mesure où, en occident, nous mangeons désormais en abondance tout au long de l’année. Cette habitude de manger est si bien ancrée que peu de personnes sont disposées à sauter plus d’un repas pour expérimenter l’intérêt de la pratique. Se priver va à l’encontre de la surconsommation à laquelle nous sommes constamment invités. La perspective de manquer de nourriture pendant quelque temps panique.

Il est clair également qu’il suffit qu’une petite quantité d’individus, ayant une fonction officielle dans le domaine de la santé, critique ouvertement le jeûne sans l’avoir même essayée deux jours d’affilée, pour que la majorité s’en fasse une idée préconçue.

Pourtant l’homme a vécu des millions d’années sans ce confort. D’ailleurs, nos réserves de graisses sont conçues pour nous permettre de tenir 3 mois sans manger.

Le Professeur Henri Joyeux, qui est un homme de grande sagesse, mais aussi de connaissances de l’être humain et de son fonctionnement écrit dans sa lettre « À propos du jeûne en cancérologie

« Le jeûne devrait être systématiquement proposé aux patients, sous surveillance médicale, mais pour cela il faudrait former les psychiatres aux bienfaits des changements des habitudes alimentaires.

Cela est aussi vrai pour la plupart des spécialités médicales, de la pédiatrie à la gériatrie en passant par la cardiologie, la pneumologie, la rhumatologie, la gynécologie, la chirurgie, la neurologie… bref, toutes les spécialités médicales gagneraient à s’ouvrir à la thérapie par le jeûne. »

Quels sont les intérêts du jeûne ?

Jeûner affûte les fonctions cognitives, le cerveau est plus alerte, les idées plus claires.

Les études démontrent que le jeûne influence la capacité d’adaptation, de mémorisation, il est plus alerte, les idées sont plus claires. Il améliore les performances sur les tests de mémoires chez les personnes âgées. Voir l’étude : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25576651

Le jeûne freine non seulement le développement des maladies neuro-dégénératives… mais aussi améliore la qualité de vie de ceux déjà affecté par ces maladies.

Jeûner aide les dépressifs à retrouver un esprit positif grâce aux changements hormonaux initiés : le cortisol augmente au réveil, le taux de dopamine est plus élevé durant la journée, et le soir c’est la sérotonine qui est produite en plus grande quantité et permet de mieux dormir.

Une revue des études sur le jeûne a démontré une amélioration de l’humeur en quelques jours. Voir l’étude : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0165178112008153

Jeûner réduit l’hypertension rapidement, le cholestérol et les triglycérides se normalisent très vite, la tension se normalise et, avec elle une diminution du risque de maladies cardio-vasculaires. Reste à voir avec le médecin si les médicaments sont toujours nécessaires.

Jeûner permet de redevenir conscient des besoins du corps, de différencier une faim réelle d’un désir de nourriture. L’appétit redevient normal, le poids se stabilise avec une perte de la masse graisseuse.

Jeûner améliore le système immunitaire. D’ailleurs il suffit de regarder un animal blessé, il cesse de s’alimenter, ce qui permet au corps de se focaliser sur l’infection à combattre. Le stress oxydatif réduit, le corps peut se concentrer sur la réparation des tissus.

Le jeûne apporte un nombre important de changements, tant chimiques, qu’organiques : l’augmentation de l’hormone de croissance et du métabolisme, réduction du risque de diabète, … Certains de ces bienfaits ne sont probablement même pas encore connus. Mais ce qui est certain c’est que jeûner aide le corps à refonctionner comme il le devrait.

Le jeûne détoxine l’organisme, et on sait aujourd’hui que 4 maladies sur 5 sont directement ou indirectement dues aux toxines stockées dans l’organisme.

En général, effectivement, les jeûneurs témoignent de transformations extraordinaires dans leur vie, tant au niveau physique que psychologique.

Pratiquement tous constatent également une multitude de bénéfices étonnement immédiats, comme une meilleure respiration, une disparition de leurs allergies, une diminution des douleurs articulaires. Un effet rajeunissant est constaté, la peau devient plus lisse, le teint plus lumineux et les cheveux plus soyeux, les yeux sont clairs car le foie est dégagé.

Pour moi, thérapeutique ou préventif, le jeûne offre une vraie solution pour un bien-être et une santé durable.

Notre corps est trop nourri, mal nourri, trop souvent nourri. Bien qu’il soit spécialiste du tri sélectif, il n’est pas capable de se débarrasser de tout ce qui lui est nocif. Il a la capacité de s’auto réparer à condition de ne pas dépasser ses capacités adaptatives Au fil des ans il accumule déchets produits par le fonctionnement des cellules, toxiques issus des pesticides, colorants, additifs et conservateurs. Fatigue et problèmes de santé sont autant de symptômes qui traduisent son encrassement. Jeûner permet au corps d’entreprendre un travail de détoxination.

Comment fait-il ?

Privé de nourriture extérieure, il prend à l’intérieur ce dont il a besoin. Tout d’abord en puisant dans le glucose en réserve dans le foie. Une fois celui-ci épuisé, il se nourri des protéines restées disponibles du dernier repas. Après il se servira dans les réserves graisseuses (le foie a la capacité de transformer les graisses en glucose) et la détoxination commence. Le corps pourrait tenir ainsi durant 40 jours environ, selon le poids corporel de chacun.

Forcément, le premier effet visible de l’extérieur est la perte de poids. Cependant il est important de garder à l’esprit que si le jeûne est entrepris uniquement dans ce but, sans modification des habitudes alimentaires, les kilos reviendront au galop. Jeûner fait partie d’une vision globale de la santé.

Bon, j’avais prévu d’écrire un petit article, et comme souvent me voilà encore partie pour un roman fleuve, désolée. Mes lecteurs de longue date doivent commencer à me connaître. Quand je commence, je ne sais plus m’arrêter 😉

Je vais cependant m’arrêter ici et reprendrai la suite demain, je vous expliquerai pourquoi je me suis intéressée au jeûne.

Prenez soin de vous.

Mabelle

La vie est merveilleuse

Bonjour,

Comment allez-vous ? Comment va votre vie, la vie à l’intérieur de votre corps ?

Je vous partage ce matin un article du Dr Samuelson que je trouve très bien écrit.

Etre la vie dans les énormes communautés de cellules qui constituent les tissus et les systèmes de notre corps, ainsi que dans toutes les merveilleuses interactions qui se produisent à l’intérieur et entre les cellules, faites une pause et réfléchissez à la qualité de votre vie.

La vie est belle quand…

Il y a intégrité – tout fonctionne comme il faut pour que cela fonctionne

Il y a une compréhension – chaque membre individuel entend et répond aux besoins des autres

Il y a de l’abondance – tous les individus ont tout ce dont ils ont besoin au moment où ils en ont besoin

Il y a un équilibre – il existe un moyen de résoudre efficacement le stress et de retrouver l’équilibre lorsque les choses tournent mal

Il y a unité – une vision claire de ce qui doit être accompli pour que tout fonctionne

Si vous vous souvenez d’une époque où la vie était merveilleuse, il y a peut-être d’autres éléments qui vous viennent à l’esprit. Vous avez peut-être eu le temps de vous faire entendre et d’entendre et de répondre à quelqu’un, un temps où les communications étaient claires, un moment où des liens significatifs faisaient la différence, un moment de ces bons moments de la vie, un de ces moments où on se sent «en vie».

N’est-il pas intéressant de noter que dans les moments de la vie qui vous font sentir le plus vivant, vous êtes entouré par d’autres personnes qui interagissent de manière significative avec vous ? Il y a expression, communication, interaction. Ces éléments semblent être à l’essence même de la vie.

Vos cellules ressentent également la même chose que vous. Quand elles ont la belle vie, elles nous sourient quand on les regarde au microscope. L’expression, la communication, l’interaction ont la même importance et le même effet sur les cellules que sur nous. Les voies de signalisation qui permettent aux cellules de se parler font toute la différence. La façon dont vos cellules interagissent les intègre à VOUS et leur confère le rôle qu’elles jouent en vous. Si nos cellules sont heureuses, nous sommes en bonne santé. Plus les signaux sont bons et clairs entre les cellules, meilleures sont leurs chances de rester en bonne santé.

Si nous voulons avoir une belle vie, il serait sage d’apprendre quelques leçons nos cellules.

Et pour rétablir une communication cellulaire optimale : http://eepurl.com/deGkdH

Merveilleuse journée

Mabelle

La vie des générations à venir risque d’être terrible

Je vous souhaite une entrée dans le froid de l’automne douce et sereine . Si vous me suivez depuis longtemps, vous savez que je n’aime pas le froid, le vent, la pluie. J’ai besoin de lumière, de sentir le soleil sur ma peau. Pourtant cette année, ce début d’automne semble moins avoir de prise sur moi. Est-ce l’été particulièrement chaud et long ou le fait de prendre ces petites molécules magiques qui font vibrer mes cellules ? Je ne peux le dire.

Par contre, ce qui est certain, c’est que c’est tellement gratifiant et ça me remplit aussi de gratitude de pouvoir proposer aux personnes qui souhaitent une réelle solution causale aux problèmes que vit leur corps, de pouvoir relancer le fonctionnement cellulaire sans rien ajouter d’autre au corps que quelque chose qu’il fabrique déjà lui-même !

Vu le nombre de personnes que je rencontre avec des souffrances diverses et variées et parfois graves, …mais surtout de plus en plus JEUNE …. je me dis qu’à ce rythme là, les générations à venir vont avoir une vie terrible si personne ne leur insuffle le BABA de la guérison naturelle du corps !

Alors, A tous ceux que la vie malmène ponctuellement, souvent, tout le temps, longtemps, …. psychologiquement, physiquement, émotionnellement, …. Sachez que la douleur est une information. En neurologie cela se nomme « une expérience sensorielle et émotionnelle subjective  » ! C’est à dire que si quelque chose est brûlant, piquant, acide, …. vous éviterez de vous en approcher une prochaine fois.

Cette information de la douleur nous renseigne sur le danger, et est donc vitale. Que ce soit externe (boutons, rougeurs, …) et qui n’est que la partie visible de l’iceberg, ou interne (inflammations, infections, et toutes les choses que vous ne voyez pas), c’est le signal qu’il existe un problème.

Toute douleur cherche donc à nous dire qq chose, il s’agit donc de ne pas essayer de la rendre muette à coup de médicaments, mais de chercher à comprendre pour pouvoir en traiter la cause et ainsi éviter les complications plus sérieuses.

Je sais que certains diront, oui mais moi, … tu comprends, … c’est plus grave, … je n’ai pas le temps, … pas les moyens, …je ne crois pas que ça marcherait pour moi, …. !

Je comprends oui, j’ai été moi-même sceptique également. Mais ce que je comprends c’est que ce n’est facile pour personne, que cela demande de sortir de sa zone de confort, que cela demande de la volonté, une certaine ouverture d’esprit, de la curiosité, de ne pas chercher à comparer à ce qu’on connaît déjà, et de la simplicité à la fois.

Votre corps sait comment faire, il sait le faire tout seul. Il a juste besoin d’un coup de pouce, besoin de ne pas rester coincé dans le mental, de ne pas rester dans la vision sociétale.

Alors si vous êtes vraiment mis à l’épreuve, faites-vous le magnifique cadeau de vous installer confortablement dans votre canapé lundi à 21h, ou mardi ou mercredi à 20h, et visionnez la présentation, pour comprendre de quoi votre corps est capable en matière de santé.

Désolée de vous dire ça comme ça mais, comme moi, vous n’êtes rien d’autre qu’un énorme tas de cellules. L’idée est que cela ne soit pas qu’un tas de cellules malades, voire mortes trop rapidement. Et pour ça, le seul moyen est que nos cellules communiquent correctement entre elles. Et pour ça, jusqu’à ce jour, le seul moyen d’augmenter la communication cellulaire, c’est un apport en molécules de signalisation.

Les personnes intéressées à recevoir l’accès aux réunions peuvent me contacter via la page de capture http://eepurl.com/deGkdH (en fonction du moment où vous vous inscrivez vous ne recevrez peut-être l’invitation que pour les réunions de la semaine prochaine)

Pour les pressés, utilisez mail, téléphone, ou commentaire en bas de l’article.

N’hésitez pas à diffuser à vos proches en souffrance, à ceux qui veulent bien vieillir, aux curieux, aux sportifs qui veulent performer encore plus sans les douleurs du lendemain, …. car si vous ne le faites pas pour vous un ami sera peut être heureux lui de pouvoir l’expérimenter.

Je vous partagerai aussi mon propre témoignage avec plaisir, ou vous communiquerai le lien vers celui de ce parkinsonien qui a retrouvé une démarche et une réactivité normale, celui de cet homme atteint d’un lymphome qui a retrouvé une vie normale, celui de cette dame atteinte d’Alzheimer qui peut avoir une conversation avec sa famille, celui de ce sportif qui a amélioré ses performances et gagné 30% d’endurance (la présentation de mardi 30 est spécialement destinée aux sportifs, même si elle peut intéresser tout le monde) ou des histoires de chevaux, de chiens, de chats et de plantes (pour les sceptiques qui pensent à l’effet placebo).

Donc si vous pensez avoir quelques cellules endommagées dans le corps (par le stress, l’alimentation, la pollution, ou simplement l’âge), cela pourrait bien vous aider.

Je vous souhaite une excellente santé intérieure et je vais me coucher pour profiter pleinement de cette heure supplémentaire que nous aurons cette nuit. N’oubliez pas de changer l’heure pour demain !

Mabelle

Renouvellement cellullaire

Bonjour, vous allez bien ? Etes vous en forme ce matin ?

Le renouvellement cellulaire consiste à prolonger la durée de la fonction cellulaire par la réparation ou la régénération des cellules. Les cellules de la peau ont une durée de vie d’environ trois à quatre semaines, tandis que les globules rouges ont une espérance de vie de trois mois. Les cellules n’ont pas toutes la même durée de vie, ce qui amène les scientifiques à affirmer que la signalisation est importante dans le corps. Ces signaux dans le corps déterminent quelles cellules doivent être protégées et quelles cellules doivent être rejetées ou régénérées. Il est émis l’hypothèse que les toxines créent l’usure de nos cellules et nuisent à leur capacité de fonctionner aussi bien qu’elles le faisaient lors de leur création. Ces dommages aux cellules pourraient éventuellement indiquer au corps qu’il doit y avoir une régénération rapide de ces cellules. Il est intéressant de noter que les cellules musculaires et neuronales durent tout un cycle de vie. Les dommages causés aux cellules cérébrales peuvent entraîner une perte de mémoire, ce qui conforte la théorie selon laquelle le renouvellement cellulaire contribue à la perte de mémoire. Les recherches menées au cours des dernières années ont aidé les scientifiques à mieux comprendre la réaction des corps et à se protéger du stress oxydatif. Nous savons que les antioxydants présents dans les fruits et légumes ont le potentiel de générer des signaux importants pour les cellules du corps. Ce qui a amené le Dr Richard K. Watt, membre du Conseil scientifique ASEA, à poser la question suivante : «Si les antioxydants sont des molécules de signalisation, les oxydants agissent-ils en tant que molécules de signalisation ?» Il a constaté que la réponse à sa question était, en fait, positive et que les oxydants peuvent créer des signaux encore plus forts que les antioxydants. Les produits ASEA , RENU28 et ASEA Redox contiennent des molécules de signalisation redox pour reconstituer ce que le corps a perdu.

Texte original ASEA’s Cellular Health Renewal.

Ce domaine vous intéresse ? http://eepurl.com/deGkdH

Prenez soin de vous

Mabelle