Se relier à la nature

La fin de l’année approche et la semaine dernière, nous avons eu les premières gelées. Le matin, ceux qui ont encore la liberté de travailler en dehors de chez eux quittent la maison dans l’obscurité et le soir, rentrent dans le noir. L’obscurité fait-elle baisser votre niveau d’énergie ? Faites le plein d’énergie le weekend en partant explorer la nature et profitez pleinement de votre jardin.

Une dame m’a récemment fait part d’un fait très intéressant, que moi-même je vis au quotidien, surtout ces derniers temps. Elle m’a dit qu’elle avait besoin de purifier son champ énergétique, des peurs et anxiétés des autres et de veiller – plus que jamais – à maintenir sa fréquence à un haut niveau.

En effet, beaucoup de personnes ressentent de l’anxiété, à juste titre. Il est vraiment important de gérer notre état d’être, de maintenir une haute fréquence.

Pour retrouver un peu de sérénité, nous avons tous nos propres petites recettes que nous utilisons depuis longtemps, ou découvertes depuis peu mais qui peuvent nous faire le plus grand bien pendant cette période. Je pourrais ajouter à cela de faire du bien à votre corps pour que votre esprit en profite, mais vu qu’il n’est pas possible de se faire prodiguer un massage, et même pas de se rendre chez la coiffeuse pour se sentir mieux dans sa peau, il va falloir trouver un autre moyen.

Il peut s’agir de pratiquer votre activité détente préférée : peinture, couture, lecture, cuisine, bricolage, chant, danse, yoga, …

Mais aussi d’éviter tout ce qui est anxiogène : médias écrits et télévisés, conversations sur les sujets du moment, la frustration ou la colère des uns, les croyances et la désinformation des autres.

Cependant si consacrer du temps à une chose qui nous plaît peut en effet distraire l’esprit le temps de l’activité et ramener un peu de calme, ça n’est sans doute pas suffisant pour beaucoup. Dans ce cas des techniques comme celles dont il est question sur ce blog devraient grandement vous aider. Je ne vais pas développer ici les sujets qui l’ont déjà été précédemment, et vous invite à regarder les anciennes publications selon ce qui vous intéresse le plus.

L’EFT que vous pouvez pratiquer seul(e) si vous ne vous attaquez pas à un gros trauma,

La méditation que vous pratiquerez seul(e) ou avec l’aide d’un soutien audio, ce n’est pas ce qui manque sur youtube ou ailleurs si celui-ci disparaît comme devrait sans doute être le cas vu les censures et l’ingérence dans les élections américaines. Pour ceux qui ont la chance d’avoir un Psio, c’est encore plus pratique pour se déconnecter complètement de l’instant avec lunettes et casque.

Ceux qui ne possèdent pas le Psio et souhaite s’offrir ce cadeau pour Noël, profitez du code promo :

Parlons aujourd’hui de sylvothérapie :

Du latin  » silva  » qui signifie  » arbre « , la sylvothérapie souhaite rétablir les liens primitifs qu’il peut exister entre l’être humain et la nature, par l’action que peut exercer un arbre sur lui. La sylvathérapie qui est donc  » Faire un câlin à un arbre », part du principe que les arbres, comme tout être vivant possèdent leur vibration. Connectés à la terre par leurs racines, et au ciel par leurs branches, possèdent une énergie particulièrement forte dont nous pouvons nous ressourcer. Des études scientifiques démontrent que la simple vue d’arbres a un effet anti-dépresseur, et que l’énergie des arbres réduit l’anxiété, aide les enfants souffrant de troubles de l’attention et permet même de diminuer les douleurs. En anglais, on dit « Tree Hugging ».

Et si vous vous mettiez à la sylvothérapie

En 1982, la pratique a été introduite au Japon où elle est reconnue comme une technique de relaxation à part entière et jouit aujourd’hui d’un statut médical officiel et se nomme  » Shinrin-yoku « ,  » bains de forêts « . Il ne s’agit toutefois pas d’un effet de mode.  » Il y a toujours eu des personnes qui allaient en forêt embrasser des arbres. De tout temps, les hommes ont voulu se rapprocher de la nature « , explique Jean-Marie Defossez, auteur du livre Sylvothérapie, le pouvoir bienfaisant des arbres.

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Avez-vous déjà fait un câlin à un arbre ?

J’imagine l’air dubitatif de certains, mais se ressourcer à l’énergie des arbres a fait l’objet de plusieurs livres et études scientifiques. Bon, je suis la première à dire qu’on ne peut plus se fier aux études scientifiques quand on voit à quel point elles sont manipulées selon qui les a financées. Il s’agit donc de toujours se poser l’éternelle question « A qui profite le crime ? ». Or, ici, à personne, que vous fassiez un câlin à un arbre ne rapporte d’argent à aucun laboratoire, que du contraire donc, je choisis de croire à ces études. Mais vous êtes libre de croire ce que bon vous semble. Je ne fais que partager ce que j’estime juste et profitable pour tous et chacun se fera sa propre idée, cherchera ailleurs des infos sur le sujet, pratiquera ou non.

Détrompez-vous, cela n’a rien de ridicule. Au contraire, cela a un réel effet apaisant, régénérant, tout à fait surprenant.

Prenons un moment pour nous enraciner dans le présent. Ce bel après-midi ensoleillé est un merveilleux moment pour profiter de Dame Nature est de ses multiples vertus pour le corps et l’esprit.

Choisissez votre arbre, dirigez-vous instinctivement vers celui qui vous appelle, ça sera forcément l’arbre parfait. Peu importe qu’il soit lisse ou rugueux, droit ou tordu. Vous pouvez pratiquer dans un parc, au risque d’être regardé bizarrement. Personnellement je me moque des personnes qui ne sont pas capables de comprendre ce que je fais et se permettent de me juger. Je suis convaincue qu’un jour tout le monde pratiquera la sylvothérapie, cela fera partie de nos habitudes quotidiennes.

Depuis que j’ai déménagé il y a 4 ans, je n’ai plus les grands arbres de mon ancien jardin et c’est seulement l’an dernier que j’ai aménagé l’extétieur et planté le figuier reçu en cadeau de fête des mères. Autant vous dire que deux doigts suffisent à faire le tour de son minuscule tronc. Or, plus l’arbre est grand, et plus il aura d’énergie à vous donner.

Si vous choisissez un arbre paraissant malade, il ne pourra pas vous donner d’énergie. Si vous le faites, ça sera au contraire pour lui donner de l’énergie et non pour lui prendre le peu qu’il lui reste.

Si le regard des autres vous gêne, et que vous avez un arbre dans votre jardin, rien ne vous empêche de pratiquer chez vous. Et, à partir du moment où vous en aurez ressenti les bienfaits, vous oserez le faire ailleurs, au vu des bienfaits par rapport à la moquerie des gens qui ne comprennent pas.

Lorsque vous avez trouvé votre arbre (à moins que ça ne soit lui qui vous a trouvé ?), prenez un moment pour l’observer. Demandez-lui intérieurement la permission de l’approcher.

Collez-vous contre lu, le front ou la joue contre l’écorce. Fermez les yeux. Restez dans l’instant et respirez calmement.

Lorsque vous serez installé dans ce câlin, sentez que vous ne faites qu’un avec l’arbre, vous êtes l’arbre et l’arbre est vous.

Inspirez profondément en ancrant un peu plus vos pieds dans le sol comme pour vous connecter aux racines. Faites remonter le souffle dans tout votre corps jusqu’au sommet de votre tête comme la sève qui monte vers la cime.

Et expirez vers le ciel.

Puis faites le chemin inverse. Inspirez du ciel et faites descendre le souffle jusque dans le sol, jusqu’à vos pieds, jusqu’aux racines de l’arbre.

Restez aussi longtemps que vous souhaitez dans ce câlin avec la nature en portant votre attention sur les battements de la vie qui circule dans ce duo entre vous et l’arbre.

Avant de repartir, n’oubliez pas de remercier l’arbre qui vous a insufflé de l’énergie, autant qu’une séance de sophrologie. Alors même s’il ne parle pas, remerciez-le !

Et emportez avec vous tous les bienfaits de ce moment de douceur.

Une autre technique, que j’aime moins personnellement, mais qui conviendra sans doute mieux à ceux qui s’inquiètent du passage de quelqu’un qui pourrait les surprendre en plein câlin, consiste à se mettre dos à l’arbre. Une main sur le sacrum, paume contre l’écorce de l’arbre. L’autre main paume sur le plexus solaire. Reposez l’arrière de la tête contre l’écorce de l’arbre et si possible les pieds entre les racines. Respirez profondément et restez dans cette position 5 min. Ensuite alternez les mains et recommencez (afin de respecter la polarité du corps).

Bonne recharge énergétique

Mabelle

Girimananda et Bouddha

L’Eveillé Bouddha demeurait près de Savatthi sur les terres de Anathapindika dans le bois de Jeta.

Le Vénérable Girimananada était affligé, souffrant et très malade. Il approcha Bouddha et s’assit à côté de lui. Il lui dit ceci :

– Maître, le Vénérable Girimananda est affligé souffrant et très malade. S’il vous plaît, Maître, puisse l’Eveillé s’approcher du vénérable Girimananda, ayant pitié de lui.

– Si vous, Ananda, répondit Bouddha, ayant approché le moine Girimananda, vous récitiez les dix perceptions, alors il est possible que, les ayant entendues, l’affliction du moine Girimananda disparaîtra immédiatement.

– Quelles sont-elles ? demanda Ananda.

– La perception de l’impermanence, la perception du non-soi, la perception de ce qui est repoussant, la perception du danger, la perception de l’abandon. La perception du non-désir, la perception de la cessation, la perception de la non-délectation à l’égard du monde, la perception de l’impermanence dans tous les processus, l’attention en plein conscience sur la respiration.

Maintenant, Ananda, qu’est-ce que la perception de l’impermanence ?

Ici Ananda, un moine qui s’est rendu dans la forêt, ou au pied d’un arbre, ou un lieu isolé, considère les choses ainsi : la forme est impermanente, les sensations sont impermanentes, les perceptions sont impermanentes, les processus (mentaux) sont impermanents, la conscience est impermanente.

Ainsi, au regard de ces cinq groupes constituants (de l’esprit et du corps) qui procurent du carburant à l’attachement, il demeure contemplant l’impermanence.

Ceci, Ananda, est appelé la perception de l’impermanence.

Maintenant, Ananda, qu’est-ce que la perception du non-soi ?

Ici Ananda, un moine qui s’est rendu dans la forêt, ou au pied d’un arbre, ou un lieu isolé, considère les choses ainsi : l’oeil n’est pas le soi. La forme n’est pas le soi. L’oreille n’est pas le soi. Les sons ne sont pas le soi. Le nez n’est pas le soi. Les odeurs ne sont pas le soi. La langue n’est pas le soi. Les saveurs ne sont pas le soi. Le corps n’est pas le soi. Les éléments tangible ne sont pas le soi. L’esprit n’est pas le soi. Les pensées ne sont pas le soi.

Ainsi, au regard de ces six sphères sensorielles internes et externes, il demeure contemplant le non-soi.

Ceci, Ananda, est appelé la perception du non-soi.

Maintenant, Ananda, qu’est-ce que la perception de ce qui est repoussant ?

Ici Ananda, un moine réfléchit à ce corps de la plante des pieds vers le haut, des cheveux vers le bas, liés par la peau et remplis de nombreuses impuretés :

Il y a dans ce corps : les cheveux, les poils, les ongles, les dents, la peau, la chair, les tendons, les os, la moelle osseuse, les reins, le coeur , la foie, la plèvre, la rate, les poumons, les intestins, le mésentère, la nourriture non digérée, les excréments, la bile, le phlegme, le pus, le sang, la sueur, la graisse, les larmes, la salive, le mucus, le liquide, synovial, l’urine.

Ainsi, au regard de ce corps, il demeure contemplant ce qui est repoussant.

Ceci, Ananda, est appelé la perception de ce qui est repoussant.

Maintenant, Ananda, qu’est-ce que la perception du danger ?

Ici Ananda, un moine qui s’est rendu dans la forêt, ou au pied d’un arbre, ou un lieu isolé, considère les choses ainsi :

Ce corps a beaucoup de souffrances. Il comporte de nombreux dangers, ainsi, en connexion avec ce corps, de nombreuses afflictions apparaissent, comme telles :

une maladie des yeux, une maladie de l’oreille, une maladie de nez, une maladie de la langue, une maladie du corps, (i.e des maladies affectant les sphères sensorielles), une maladie de la tête, une maladie de l’oreille, une maladie de la bouche, une maladie des dents, une toux, de l’asthme, une catarrhe, une pyrexie, de la fièvre, un mal d’estomac, une perte de connaissance, une diarrhée, des coliques, le choléra, la lèpre, des furoncles, de ‘eczéma, la tuberculose, des crises d’épilepsie, une mycose, des démangeaisons, la gale, la varicelle, une hémorragie, du diabète, des hémorroïdes, un cancer, des ulcères, des afflictions résultant d’excès de bile, des afflictions résultant d’excès de flegme, des afflictions résultant d’excès de souffles, vitaux, des affliction résultant d’un conflit d’humeurs, des afflictions née d’un changement de saisons, des afflictions nées du fait d’être imprudent, des afflictions née du fait attaqué, des afflictions nées en tant que résultant d’actions,(antérieures malsaines), un corps de froid, de la chaleur, de la faim, de la soif, un problème de selles, de l’urine. Ainsi, au regard de ce corps, il demeure contemplant le danger.

Ceci, Ananda, est appelé la perception du danger.

Maintenant, Ananda, qu’est-ce que la perception de l’abandon ?

Ici, Ananda, un moine ne donne pas son consentement à des pensées de désir sensuels qui sont apparues, (ceci,) il l’abandonne, le dissipe, le conduit sa fin et le rend non-existant.

Il ne consent pas aux pensées de malveillance qui ont surgi, (celles-ci) il les abandonne, les dissipe, les conduit à leur fin et les rend no-existantes. Il ne consent pas aux moindres pensées mauvaise et malsaines qui ont surgi, (celles-ci) il les abandonne, les dissipe, les conduit à leur fin et les rend non-existantes.

Ceci, Ananda, est appelé la perception de l’abandon.

Maintenant, Ananda, qu’est-ce que la perception du non-désir ?

Ici Ananda, un moine qui s’est rendu dans la forêt, ou au pied d’un arbre, ou un lieu isolé, considère les choses ainsi :

C’est paisible, c’est excellent, c’est-à-dire l’apaisement de tous les processus, la lâcher-prise de toutes les bases de clivages, la fin de l’envie impérieuse, le non-désir, Nibbana [Nirvana].

Ceci, Ananda, est appelé la perception du non-désir.

Maintenant, Ananda, qu’est- ce que la perception de la perception ?

Ici Ananda, un moine qui s’est rendu dans la forêt, ou au pied d’un arbre, ou un lieu isolé, considère les choses ainsi : C’est paisible, c’est excellent, c’est-à-dire :

L’apaisement de tous les processus, le lâcher-prise de toutes les bases de clivage, la fin de l’envie impérieuse, la cessation, Nibbana.

Ceci, Ananda est appelé la perception de la perception.

Maintenant, Ananda qu’est -ce que la perception de la cessation ?

Ici Ananda, un moine qui s’est rendu sans la forêt, ou au pied d’un arbre, ou un lieu isolé, considère les choses ainsi : C’est possible, c’est excellence, c’est-à-dire : l’apaisement de tous les processus, le lâcher-prise de toutes les bases de clivages, la fin de l’envie impérieuse, la cessation, Nibbana. Ceci, Ananda, est appelé la perception de la cessation.

Maintenant, Ananda, qu’est ce que la perception de la non-délectation à l’égard du monde ?

Ici, Ananda, un moine, au regard du monde et de tous les moyens et attachements égoïstes, ou déterminations mentales, croyance établies ou tendances que l’on y trouve, les abandonnent, n’y étant point attaché, il s’en abstient.

Ceci Ananda, est la perception de non-délectation à l’égard du monde.

Maintenant, Ananda, qu’est-ce que la perception de l’impermanence dans tous les processus ?

Ici, Ananda, un moine au regard de tous les processus, est affligé, il a honte et il est dégoûté.

Ceci, Ananada, est la perception de l’impermanence dans tous les processus.

Maintenant. Ananda, qu’est-ce que l’attention en pleine conscience de la respiration ?

Ici, Ananda, un moine qui s’est rendu dans la forêt, ou au pied d’un arbre, ou eu un lieu isolé, s’assoit. Après avoir croisé les jambes, gardant son corps droit et établissant l’intention en pleine conscience au niveau du nez, attentif en pleine conscience, il inspire, attentif en pleine conscience, il expire.

Tandis qu’il inspire longuement, il sait « j’inspire longuement ».

Tandis qu’il expire longuement, il sait « j’expire longuement ».

Tandis qu’il inspire de façon courte, il sait « j’inspire de façon courte ».

Tandis qu’il expire de façon courte, il sait ‘’ j’expire de façon courte ».

Il s’entraîne ainsi :

Expérimentant la totalité du corps, j’inspirerai. Expérimentant la totalité du corps, j’expirerai.

Rendant tous les processus corporels apaisés, j’inspirerai. Rendant tous les processus corporels apaisés, j’expirerai.

Expérimentant la joie, j’inspirerai. Expérimentant la joie, j’expirerai.

Expérimentant le plaisir, j’inspirerai. Expérimentant les processus mentaux, j’inspirerai.

Expérimentant les processus mentaux j’expirerai. Rendant les processus mentaux apaisés, j’inspirerai. Rendant les processus mentaux apaisés, j’expirerai.

Expérimentant l’esprit j’inspirerai. Expérimentant l’esprit j’expirerai.

Rendant l’esprit joyeux j’inspirerai. Rendant l’esprit joyeux, j’expirerai.

Concentrant l’esprit, j’inspirerai. Concentrant l’esprit, j’expirerai.

Libérant l’esprit j’inspirerai. Libérant l’esprit, j’expirerai.

Contemplant l’impermanence, j’inspirerai. Contemplant l’impermanence, j’expirerai,

Contemplant le non-désir j’inspirerai. Contemplant le non désir j’expirerai.

Contemplant la cessation, j’inspirerai. Contemplant la cessation, j’expirerai.

Contemplant le lâcher-prise, j’inspirerai. Contemplant le lâcher-prise, j’expirerai.

Ceci Ananda, est l’attention en pleine conscience de la respiration.

Si vous, Ananda, récitiez ces dix perceptions au moine Girimananda, il est possible que, les ayant entendues, l’affliction du moine Girimananda disparaîtra immédiatement.

Le vénérable Ananda, ayant appris ces dix perceptions de la bouche de l’Eveillé, approcha le vénérable Girimananda et lui récita ces dix perceptions.

Ayant entendu ces dix perceptions, l’affliction du vénérable Girimananda disparut immédiatement et il fut guéri de cette affliction. Par cela l’affliction du vénérable Girimanada prit fin.

Rockefeller, Rothschild et Cie

Bonjour,

Je vous espère en forme. Je vous partage un documentaire pour mieux comprendre comment et pourquoi nous en sommes là aujourd’hui.

Mère veilleuse journée à vous

Mabelle

Un documentaire pour comprendre la relation entre les Rockefeller, Rothschild, Nobels, la famille royale anglaise et néerlandaise, Henry Kissinger, Israël, GM, Shell, les réunions des Bilderbergs, les guerres mondiales et de pétrole ainsi que l’industrie pétrolière qui a façonné le monde depuis 150 ans. Vous allez faire la relation avec l’industrie pharmaceutique, la création monétaire, l’éducation, la médecine, la révolution verte et génétique, … Le complotisme n’est pas là où les médias le disent.

Il s’agit de faits, sans aucune controverse. Le seul débat possible est autour de l’intention : mauvaise ou égoïste ? Peut-être veulent il le bien de l’humanité mais finissent toujours par être à chaque fois  les principaux bénéficiaires par erreur ?

Ça peut paraître long 70 minutes mais il y a des mois de travail de plusieurs personnes derrière cette vidéo et vu la météo, quoi de mieux que de s’installer pour un peu plus d’une heure pour comprendre le monde ?

Toutes les références sont sur le site https://www.corbettreport.com/

Version originale anglaise : https://youtu.be/ySnk-f2ThpE

Traduction, Narration francophone, adaptation vidéo au français, sous-titres et éditeur audio de la version francophone par Peter Moore:

http://www.facebook.com/pages/Peter-Moore-ThePlot911/310369155705996

VOIR D’AUTRES VIDÉOS

http://www.youtube.com/user/motormagnet

https://www.youtube.com/user/lescomplots

http://www.dailymotion.com/ThePlot911

http://rutube.ru/video/person/276948/#personal

Soros : https://www.youtube.com/watch?v=QT_PGEG87m8

Gates : https://www.youtube.com/watch?v=DGuje_sow88

Les sceptiques du climat : https://www.youtube.com/watch?v=ceWp0p1Kijk

Mourir d’un cancer du cerveau

Bonjour,

J’espère que vous allez bien en ce matin froid et humide.

Je vous partage un article de Michel Dogna sur les dangers des téléphones portables, cellulaires comme on le nomme dans certains pays, gsm comme on le dit chez moi en Belgique.

Malgré les études plus affolantes les unes que les autres, je vois malheurement des enfants de plus en plus jeunes avec leur téléphone. Une très grande prudence s’impose

Prenez soin de vous, et veillez à la santé de vos enfants

Mabelle

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Téléphones portables, confirmation affolante

Ils détruisent lentement le cerveau des adultes. Et rapidement le cerveau des enfants et des ados.

Un enfant ou un ado qui meurt d’une tumeur cancéreuse du cerveau, c’est très triste.

Mais cela est-il toujours dû à un injuste hasard qui frappe aveuglément ?

Une récente étude pilotée par Ronald L. Melnick pour le compte du gouvernement américain a alerté l’Académie américaine de pédiatrie pour resserrer les recommandations qu’elle faisait aux parents concernant l’usage du cellulaire par leurs enfants – ainsi que par eux-mêmes. Cette étude a stupéfié de nombreux sceptiques – dont ceux du NTP qui prétendait les GSM inoffensifs, et qui ont alors fait un virage à 180 degrés.

L’American Cancer Society a reconnu la valeur scientifique de cette étude, et le magazine Consumer Reports la juge assez révolutionnaire pour désormais recommander à son lectorat de se protéger de ce type de Radio Fréquence.

En effet, l’étude révèle hors de tout doute, que ces radiofréquences micro ondes (autour de 2,4 Giga Hertz) causent les mêmes types de tumeurs chez les rats que celles dont l’incidence est plus élevée chez les humains qui collent leur GSM à l’oreille 30 minutes par jour en moyenne au bout d’une durée de10 ans. Evidemment, les risques augmentent encore en fonction de la dose d’exposition.

A noter que l’étude du NTP est déjà dépassée et ne pourra pas être répliquée, puisque l’exposition correspondait à la technologie de deuxième génération (2G ou GSM pour Global System for Mobile Communications) employée il y a 17 ans, c’est-à-dire au moment de la conception de l’étude. Avec les nouvelles technologies (UMTS pour Universal Mobile Telecommunications System), on arrive déjà à la 5G, ce qui inquiète encore davantage les experts.

Mille fois moins puissante que la technologie 2G, la 3G présente pourtant trois fois plus de risque de développer un gliome, (forme très agressive de cancer du cerveau).

« La puissance moyenne du rayonnement 2G/GSM est 1.000 fois plus élevée que celle des téléphones cellulaires modulés 3G/UMTS)de troisième génération ; et pourtant, pour 100 heures d’utilisation, le risque de cancer du cerveau par l’utilisation d’un téléphone cellulaire 3G/ UMTS est 3,4 fois plus élevé que l’utilisation de 2G » – c’est ce que nous a expliqué par courriel Lloyd L. Morgan, survivant du cancer du cerveau, chercheur à l’Environmental Health Trust et directeur représentant des patients au registre national américain des tumeurs.

L’affiche présentée à la conférence BIOEM 2016 illustrait qu’après 3.000 heures d’utilisation cumulative, le risque de cancer du cerveau d’un téléphone G3/UMTS est de 4 fois la normale, alors qu’avec un téléphone 2G/GSM le risque est de 1,5 fois. Mais comment une puissance 1.000 fois plus faible peut-elle causer un risque plus élevé ? Explication probable : « la modulation UMTS inhibe les gènes de réparation de l’ADN endommagé. »

Recommandations de l’AAP

Face à l’étude du NTP, l’American Academy of Pediatrics (AAP) dit s’inquiéter du fait que des enfants de plus en plus jeunes adoptent le cellulaire alors que leur corps et leur intellect sont en plein développement. Ronald L. Melnick affirme : « Pour les enfants, les risques de cancer du cerveau sont bien supérieurs à ceux des adultes en raison d’une plus grande pénétration et absorption du rayonnement du téléphone cellulaire dans leur cerveau, et parce que leur système nerveux en développement est beaucoup plus sensible ».

L’AAP rappelle que la norme fédérale américaine (de la Federal Communications Commission ou FCC) limitant le rayonnement des téléphones cellulaires n’a pas été mise à jour depuis 1996. Cette limite autorisée aux États-Unis, de 1,6 W/kg, vise seulement à prévenir l’échauffement des tissus du corps d’un adulte et non les effets non thermiques comme les dommages à l’ADN et le cancer. « Les crânes des enfants sont plus minces et peuvent absorber plus de rayonnement. » Voici les nouvelles mesures de sécurité recommandées par l’AAP qui déconseille leur usage par les tout-petits :

Maintenez le cellulaire à au moins 3 cm de votre tête durant une conversation.

Utilisez la messagerie texte autant que possible, sinon téléphonez en mode haut-parleur ou avec un kit filaire mains-libres ou Blue tooth.

Nota :

A ce sujet, il se colporte que les ondes WIFI se propagent dans les écouteurs mains libres – C’EST FAUX et techniquement impossible vu que les écouteurs ne fonctionnent que dans la bande auditive c’est-à-dire 20 Kilo Hertz (20 000Hz) maxi ce qui n’a  rien à voir avec la bande de 2,4 Giga Hertz (milliards de Hertz). Par ailleurs le Blue Tooth émet un signal très faible qui porte à 1 mètre maximum face au signal initial qui porte à des dizaines de km. Donc le Blue Tooth « dangereux » est aussi FAUX.

Faites seulement des appels courts ou essentiels sur le cellulaire. Évitez de transporter votre téléphone contre le corps, comme dans une poche, une chaussette ou un soutien-gorge. Sinon, les fabricants de cellulaires ne peuvent pas garantir que la quantité de rayonnement que vous absorberiez ainsi sera sécuritaire.

Si vous envisagez de regarder un film sur votre appareil, téléchargez-le d’abord, puis passez en mode avion [le seul qui élimine toute émission de RF] pendant que vous le visionnez, afin d’éviter l’exposition inutile aux radiations.

Gardez un œil sur l’intensité du signal (le nombre de barres affichées). Plus le signal est faible, plus votre téléphone émet de rayonnement et plus votre exposition augmente. Mieux vaut attendre que le signal soit plus fort avant d’utiliser votre appareil.

Évitez de faire des appels dans les voitures, les ascenseurs, les trains et les bus. Le téléphone cellulaire travaille aussi plus fort pour communiquer à travers le métal, alors son niveau de puissance augmente.

Les gliomes en hausse

Pour minimiser les risques de l’utilisation du téléphone cellulaire, les critiques – qui sont souvent en conflit d’intérêts car ils sont financés par l’industrie – affirment souvent que l’incidence globale des tumeurs cérébrales est stable. C’est faux ! Le Dr Adlkofer souligne « L’incidence du cancer augmente de 1 à 2 % par année chez les enfants depuis 30 ans et celle des glioblastomes hautement mortels, augmente sans cesse dans la population générale depuis la fin des années 1980 (de 3,1 % par année aux Pays-Bas entre 1990 et 2010 et similairement aux États-Unis, et pour des cancers localisés principalement dans le lobe frontal, le plus exposé aux ondes des cellulaires) ».

De plus, selon l’oncologue et épidémiologiste suédois Lennart Hardell, en Suède, les tumeurs cérébrales de type inconnu ont augmenté de 157 % de 2008 à 2013, prouvant que les registres de tumeurs s’avèrent incomplets et peu fiables. Ce médecin est l’auteur des études les plus connues sur le sujet qui ont contribué au classement 2B des radiofréquences. Il a notamment découvert que les gens qui utilisent le cellulaire de manière intensive avant l’âge de 20 ans vont jusqu’à multiplier par 5 leur risque de cancer du cerveau.

Aujourd’hui, le Dr Hardell affirme, tout comme plusieurs autres experts dont l’ancien patron du NTP, Chris Portier, qu’il faut reclasser les RF comme cancérogènes 2A. L’opinion de Hardell n’est pas à prendre à la légère : depuis la fin des années 1970, les fabricants de l’agent orange, des BPC (biphényles polychlorés) puis du glyphosate (Roundup) avaient aussi critiqué ses études sur la toxicité de ces produits, mais l’histoire lui a donné raison. Son avis sur le 2A est aussi partagé par le Dr Anthony B. Miller, directeur de l’unité d’épidémiologie à l’Institut national du cancer, à Toronto, de 1971 à 1986.

Si ces avis ne vous suffisent pas encore, vous pouvez vous fier à la législation française sur l’exposition aux CEM et aux consignes de sécurité des fabricants de cellulaires qui recommandent de NE JAMAIS LE TENIR CONTRE VOTRE CORPS.

Sources : Microwavenews

microwavenews.com/news-center/ntp-cancer-results

Nota : aucune assurance ne couvre ce risque – concluez vous-même.

A bon entendeur…!

Notre corps nous appartient

Bonsoir,

Je reviens vers vous ce soir pour vous partager le message du Professeur Peronne pour ne pas accepter tout et n’importe quoi parce que notre corps nous appartient, n’appartient pas à la science ou au gouvernement. Ceci vous permettra de prendre une décision en ce qui concerne le vaccin (qui n’en est pas un, abus de langage)

Prenez soin de vous

Mabelle

MON CORPS M'APPARTIENT - Delphine Jory - Ladyblogue

Chers amis,

La France, qui vit un cauchemar depuis des mois, se réveille.

Dans beaucoup de villes de notre beau pays, le peuple est en marche pour retrouver sa liberté, pour exiger le retour de la démocratie.

En tant que médecin, spécialiste des maladies infectieuses et ayant été président de nombreuses instances ou conseils de santé publique, y compris sur les vaccins, je mesure chaque jour les incertitudes générant la peur et le désarroi croissant de nos concitoyens. Je prends le risque d’être à nouveau qualifié de « complotiste » ou mieux de « rassuriste >>, termes désignant ceux qui critiquent ou challengent la pensée unique.

Je finis par être fier de ces appellations, mes propos exprimant la vérité n’ayant jamais changé depuis le début de l’épidémie. Je considère donc qu’il est de ma responsabilité de m’exprimer à nouveau ce jour sur l’ensemble du volet médical de la Covid-19 et en particulier sur le sujet vaccinal, désormais l’élément central et quasiment unique de la politique de santé de l’Etat.

Beaucoup de Français ont été hypnotisés par la politique de la peur. Depuis septembre 2020, on nous avait annoncé une deuxième vague terrible de l’épidémie, pire que la première.

Le Ministre de la Santé, le Dr Olivier Véran, le Président du Conseil scientifique de l’Elysée, le Pr Jean François Delfraissy, le Directeur

Général de la Santé, le Pr Jérôme Salomon, l’Institut Pasteur nous ont annoncé des chiffres catastrophiques avec une augmentation exponentielle du nombre de morts. Les hôpitaux devaient être saturés et débordés.

Même le Président de la République, lors d’une allocution télévisée récente annonçant le reconfinement, nous a prédit pas moins de 400.000 morts, renchérissant sur les 200.000

morts estimés peu de temps auparavant par le Pr Arnaud Fontanet de Pasteur.

Ces chiffres irréalistes n’avaient qu’un but, entretenir la peur pour nous faire rester confinés, sagement masqués. Pourtant l’usage généralisé des masques en population générale n’a aucun intérêt démontré scientifiquement pour enrayer l’épidémie de SARS-COV-2.

L’utilisation des masques devrait être ciblée pour les malades, leur entourage (surtout les personnes à risque) et les soignants au contact.

Or l’épidémie régresse et n’a entraîné aucune apocalypse. La dynamique de la courbe montrait depuis des semaines le profil d’un rebond épidémique saisonnier qui s’observe avec certains virus, une fois la vague épidémique terminée.

Cela témoigne de l’adaptation du virus à l’homme et est aussi le reflet de l’immunité collective qui progresse dans la population et qui nous protège naturellement.

Les souches de virus qui circulent actuellement ont perdu de leur virulence. Les autorités ne pourront pas dire que c’est grâce au confinement car la tendance à la baisse avait commencé avant même sa mise en place.

La régression de l’épidémie avait même commencé, dans certaines agglomérations, avant l’instauration du couvre-feu.

Malheureusement, il y a encore des décès qui surviennent chez des personnes très âgées, des grands obèses ou des personnes souffrant d’un diabète sévère, d’hypertension artérielle grave,de maladies cardiorespiratoires ou rénales déjà invalidantes.

Ces personnes à risque sont parfaitement identifiées. Les mesures sanitaires devraient donc être ciblées pour les protéger, les dépister et les traiter le plus tôt possible dès le début des symptômes par l’hydroxychloroquine et l’azithromycine dont l’efficacité et l’innocuité sont largement confirmées, si on donne le traitement précocément.

Beaucoup de décès auraient pu être évités. Or on a dissuadé les médecins généralistes et les gériatres de traiter.

Dans ce contexte, continuer à persécuter nos enfants derrière des masques inutiles reste incompréhensible.

Toutes ces mesures sont faites pour que les Français réclament un vaccin. Or quel est l’intérêt d’un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05% ? Aucun. Cette vaccination de masse est inutile. De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices.

Le plus inquiétant est que de nombreux pays, dont la France, se disent prêts à vacciner dans les semaines qui viennent, alors que la mise au point et l’évaluation de ces produits se sont faites à la va-vite et qu’aucun résultat de l’efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n’a été publié à ce jour.

Nous n’avons eu le droit qu’à des communiqués de presse des industriels fabricants, permettant de faire flamber leurs actions en bourse.

Le pire est que les premiers « vaccins >> qu’on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique.

On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d’éléments du virus par nos propres cellules.

On ne connait absolument pas les conséquences de cette injection, car c’est une première chez l’homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop d’éléments viraux, entrainant des réactions incontrôlables dans notre corps ?

Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l’ADN. Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l’ADN vers l’ARN, mais l’inverse est possible dans certaines circonstances, d’autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits « endogènes >> intégrés dans l’ADN de nos chromosomes.

Ces rétrovirus « domestiqués » qui nous habitent sont habituellement inoffensifs

(contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l’envers, de l’ARN vers l’ADN.

Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos chromosomes.

Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants.

Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins » sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus

généralement les citoyens du monde, pour des cobayes.

Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le mais transgéniques des OGM (organismes génétiquement modifiés). Un responsable médical d’un des laboratoires pharmaceutiques fabricants a déclaré il y a quelques jours qu’il espérait un effet de protection individuelle, mais qu’il ne fallait pas trop espérer un impact sur la transmission du virus, donc sur la dynamique de l’épidémie.

C’est bien là un aveu déguisé qu’il ne s’agit pas d’un vaccin. Un comble.

Je suis d’autant plus horrifié que j’ai toujours été en faveur des vaccins et que j’ai présidé pendant des années des instances élaborant la politique vaccinale.

Aujourd’hui, il faut dire stop à ce plan extrêmement inquiétant. Louis Pasteur doit se retourner dans sa tombe.

La science, l’éthique médicale et par-dessus tout le bon sens doivent reprendre le dessus.

Christian PERRONNE

Méditer comme une grenouille

Bonjour,

Comment allez-vous ?

Je vous partage aujourd’hui une petite méditation pour les enfants, qui sont eux aussi stressés par la situation que nous vivons depuis plusieurs mois.

Si, pour certains, le fait de faire l’école à la maison durant le confinement en mars a pu être amusant, ils se sont vite aperçus que leurs petits copains de classe leur manquaient. La rentrée scolaire avec un masque et des règles contraignantes pour tous ne restera pas le meilleur souvenir de leur vie, c’est certain.

Mais pour d’autres cela fait des mois qu’ils vivent dans le stress permanent parce que leurs parents, hypnotisés par les médias, sont dans la panique totale, ne parlent plus que de maladie mortelle et de mort. Il faut faire silence durant les informations pour que papa ou maman puisse regarder les chiffres des morts et malades du jour. Comme si la vie ne se résumait plus qu’à ça : regarder les morts et pouvoir se dire « ouf, ça n’est pas nous ».

Puis de nombreuses directions d’école ont fait le choix d’imposer des règles « sanitaires » strictes, interdisant les jeux entre amis, voire même les récrés à certns endroits. Des sanctions plus ou moins importantes rien que pour avoir eu envie de respirer un peu en abaissant le masque sous le nez, parfois suivie d’une punition de plus une fois rentré à la maison avec la culpabilité de mettre en danger la vie de papy et mamy. Parce que oui, si les personnes âgées meurent à l’autre côté de la ville c’est parce que des enfants ont voulu respirer, tout le monde le répète sans cesse. Ces pratiques sont pour moi totalement inadmissibles … et pourtant tant de parents y ont adhéré en pensant bien faire. Je suis si triste pour tous ces enfants à qui on vole l’innocence de l’enfance et qui garderont des séquelles de cette année 2020 probablement jusqu’à un âge bien avancé, et peut-être même toute leur vie durant.

J’ai acheté il y a déjà plusieurs années un livre avec CD que j’aime beaucoup et qui peut-être pourrait être un cadeau de Noël pour les enfants stressés pour mieux affronter leurs émotions, doutes, ruminations. https://amzn.to/3mzV0Bh

La méditation ci-dessous est reprise sur le CD accompagnant le livre. Elle met les enfants en lien avec leur monde intérieur pour mieux affronter le monde extérieur

Prenez soin de vous

Mabelle

Sauver les abeilles, les papillons, sauver la vie

Bonjour,

Je vous espère en pleine forme.

Je vous partage ce matin le mail reçu de l’association pollinis.org. Quand je lis ce genre de chose, monte en moi de nombreuses émotions, mais surtout je suis dans l’incompréhension totale. Je ne comprends pas comment il est possible quand on est déjà riche au point de ne plus savoir que faire de son argent d’en vouloir encore, encore et toujours plus. Je ne comprends pas comment quelqu’un peut être ultra riche et voir tant de misère autour du monde sans lever le petit doigt pour changer les choses. Je ne comprends pas que des personnes qui ont déjà tout et bien plus que ce dont ils ont besoin ne puissent pas s’en satisfaire et veulent toujours plus au point de s’approprier la nature elle même, la vie.

Je ne sais pas si cela a une quelconque utilité de signer des pétitions étant donné que ceux qui se sont auto-proclamés élite mondiale sont aussi ceux qui détiennent les sociétés qui reçoivent les pétitions et qu’ils se moquent de savoir ce que nous pensons de leurs mégalomanie, envies de puissance et d’argent. Mais, je veux croire que la fin de toute cette folie est proche et que tous ces malades iront tout droit en prison pour tous leurs crimes. Je veux croire que les humains vont comprendre ce à quoi ils vont échapper et seront unis et solidaires pour un monde meilleur respectueux de toute vie, dans lequel la nature retrouve tous ses droits.

Je vous souhaite une belle journée, restons positifs

Mabelle

Un petit coloriage pour vos enfants
Si vous voulez m’envoyer les coloriages, je serai ravie de les publier sur mon blog

Dans les mois qui viennent, à moins que les citoyens ne s’insurgent massivement pour se mettre en travers de leur chemin, les plus grandes multinationales industrielles pourraient arriver au bout d’un plan tissé dans l’ombre depuis des années…

… pour confisquer les abeilles, les papillons et l’ensemble des insectes sauvages, et les remplacer par des espèces brevetées, préparées en laboratoire, dispersées et commercialisées de force dans la nature

… rendant ainsi impossible l’utilisation des services écosystémiques comme la pollinisation ou la lutte naturelle contre les ravageurs, sans passer par leur tiroir-caisse !

Ces grandes firmes de l’industrie agrochimique ou pharmaceutique mènent un lobbying acharné pour convaincre les autorités de tous les pays du monde de les laisser utiliser les nouvelles technologies d’édition du génome pour privatiser n’importe quelle espèce sauvage d’abeille, de papillon ou d’insecte – directement dans la nature, et de façon potentiellement irréversible. (1)

En dépit des risques pour l’ensemble des écosystèmes soulevés par des dizaines d’études scientifiques… (2)

… malgré les protestations des organisations agricoles et environnementales qui s’opposent à cet accaparement inacceptable du vivant par les multinationales

… et à l’insu de la grande majorité des citoyens maintenus dans l’ignorance de l’existence même de ces technologies…

… ces firmes et leurs puissants lobbys pourraient obtenir le feu vert des autorités européennes dans les mois qui viennent.

Depuis le 3 septembre 2020, des représentants des États membres de l’Union européenne débattent à huis clos de ce sujet au sein d’une instance préparatoire du Conseil environnemental de l’Union européenne appelée Working Party on International Environmental Issues (WPIEI). 

Vous n’en avez certainement pas entendu parler, et pourtant : à l’issue de ces discussions, les pays européens décideront de la position officielle de toute l’Union européenne sur ces nouvelles techniques de modification génétique invasives

… avec à la clef, peut-être un bouleversement radical du rapport de l’humanité à son environnement, et l’autorisation éventuelle de techniques qui permettront à ceux qui les possèdent de façonner irrémédiablement l’intégralité du vivant

… et tout cela, sans même prendre le temps d’en informer les médias ou les citoyens, ni de laisser s’installer un débat public sur les implications éthiques, philosophiques, sociales ou environnementales de l’utilisation grandeur nature de ces technologies. (3)

Avec une dizaine d’autres organisations de la société civile, nous avons décidé d’unir nos forces (4) pour informer massivement et le plus rapidement possible l’ensemble des citoyens, et nous avons besoin de votre aide pour créer une onde de choc à travers l’Europe tout entière : s’il vous plaît, diffusez le plus largement possible autour de vous ce mail d’information.

Nos dirigeants sont face à un choix historique, il n’y a que deux options possibles :

> soit ils laissent les laboratoires réaliser leurs tests en conditions réelles, ce qui n’a encore jamais été fait, et relâcher dans la nature des organismes issus du forçage génétique dont le patrimoine génétique prendra le pas sur celui des espèces sauvages – et peut-être ainsi ouvrir la boîte de Pandore et générer des effets en cascade sur les écosystèmes qui bouleverseront à tout jamais notre environnement ;

> soit ils choisissent de laisser cette boîte fermée pour le moment, et d’attendre d’avoir bien évalué l’intégralité des conséquences non seulement biologiques, mais aussi éthiques, sociales, économiques ou environnementales, avant de prendre une décision aussi cruciale pour l’avenir de tous les organismes vivants.

Les grandes industries, qui ont gros à jouer avec ces technologies qui leur ont déjà coûté des milliards d’investissement, pressent les responsables politiques pour obtenir carte blanche pour de premiers lâchers grandeur nature d’insectes OGM modifiés par forçage génétique.

Nous, citoyens, chercheurs, agriculteurs indépendants, défenseurs de l’environnement et de la biodiversité sauvage, nous devons absolument pousser dans l’autre sens, et exiger de nos dirigeants qu’ils prennent le temps nécessaire pour une réflexion approfondie et un réel débat public.

Mais nous devons faire vite : les discussions ont lieu en ce moment même, et les dirigeants internationaux se réuniront dès le mois de mai pour décider ensemble de l’avenir de ces technologies qui impliquent tous les êtres vivants.

Pour peser dans les discussions sur la position qui sera défendue par l’Europe auprès des instances internationales, nous devons exercer une pression citoyenne sans précédent sur les institutions européennes. Plus de 180 000 personnes ont déjà rejoint la mobilisation : ajoutez votre voix en cliquant ici !

 ► Je rejoins la mobilisation 

Ce que nous demandons est simple : l’application immédiate du principe de précaution, et la consultation des citoyens avant toute prise de décision sur la dissémination de ces technologies dans la nature.

Il n’est pas acceptable que les citoyens soient tenus à l’écart de discussions aussi fondamentales sur l’avenir du vivant, et qu’elles soient réservées à une petite poignée d’« experts », dont la plupart sont triés sur le volet par les représentants mêmes de l’industrie !

Ce point crucial sera détaillé quelques lignes plus bas, mais avant cela, rappelez-vous bien qu’il ne reste que peu de temps pour court-circuiter les lobbys de l’industrie. Nous avons besoin du soutien massif du plus grand nombre de personnes possible pour mettre une pression déterminante sur les institutions européennes et exiger un moratoire mondial sur ces techniques invasives et dangereuses :

S’il vous plaît, signez notre pétition et partagez-la autour de vous :

 je signe la pétition 

Il ne s’agit pas ici de statuer sur une petite modification technique aux conséquences limitées et corrigibles : les nouvelles techniques de forçage génétique auxquelles il est fait référence sont une véritable révolution dans le rapport de l’Être humain à son environnement.

Elles donnent un pouvoir quasi-illimité à ceux qui les détiendraient pour intervenir directement sur le génome d’un grand nombre d’insectes, de mollusques ou de mammifères, pour les façonner dans le but de servir un intérêt spécifique : on peut tout aussi bien les utiliser pour l’éradication d’espèces vectrices de maladies comme les moustiques porteurs de la malaria sans que l’on sache en prédire les autres conséquences (5) – que pour servir des intérêts commerciaux particuliers…

Pour les grandes firmes de l’agrochimie, comme Bayer-Monsanto (6), Dupont (7) ou Corteva Agrosciences (8), qui ont amassé des fortunes colossales ces dernières décennies grâce à la vente massive de pesticides de synthèse et de semences enrobées, destructeurs pour les pollinisateurs et la biodiversité, ces nouvelles techniques sont un excellent moyen de perpétuer le système agricole industriel qu’elles propagent partout dans le monde, et qui est 100 % dépendant de leurs produits.

Elles ont déjà investi des millions dans le développement de ces technologies pour l’agriculture : elles font travailler dans leurs laboratoires des armées de scientifiques parmi les meilleurs au monde pour mettre au point des espèces génétiquement modifiées qui leur permettraient de garder la mainmise sur l’agriculture conventionnelle mondiale. (9)

Les nouvelles découvertes en matière de modification génétique, notamment la technique des « ciseaux génétiques » CRISPR-Cas9 qui permet d’intervenir facilement et à coût réduit, sur le génome de n’importe quel organisme sexué…

… ainsi que le forçage génétique, qui consiste à insérer certains types de gènes ciblés de manière homozygote, pour s’assurer que les modifications réalisées en laboratoire seront transmises à l’ensemble des descendants du premier sujet, et à l’ensemble de leurs descendants après eux, pour remplacer en quelques générations l’ensemble de la population naturelle… (10)

… leur offrent un éventail de possibilités commerciales presque infini :

les firmes peuvent ainsi modifier le génome d’une espèce considérée comme nuisible pour les cultures 

> pour la rendre plus vulnérable aux pesticides de synthèse, (11)

> ou pour limiter ses capacités de reproduction et contenir l’expansion des populations, (12)

> ou même, pour que l’espèce s’éteigne en quelques générations. (13)

Elles proposent également d’intervenir sur les insectes considérés comme bénéfiques, comme les abeilles, pour les rendre résistants aux pesticides (14), et ainsi façonner l’ensemble du vivant pour continuer à commercialiser leurs produits chimiques, encourager les agriculteurs à les répandre massivement dans la nature et assurer leur mainmise intégrale sur la production alimentaire mondiale.

Plus inquiétant encore : certaines firmes commencent à déposer des brevets pour confisquer les services écosystémiques comme la pollinisation, les monétiser et tirer profit de ce travail indispensable rendu gratuitement depuis des millénaires par la nature… Il s’agit par exemple de modifier le gène optique des abeilles pour qu’elles ne soient attirées que par certaines cultures, sur lesquelles on aurait mis une lumière spécifique commercialisée par la firme. (15) Dans cette perspective, les agriculteurs qui n’auraient pas acheté la fameuse lumière seraient privés de pollinisation

C’est une manne gigantesque qui se profile pour les industriels, et des centaines de brevets ont déjà été déposés, qui couvrent toutes sortes d’espèces de mouches, de papillons, de vers, de mollusques, de bactéries ou de rongeurs. (16)

Ils n’ont désormais besoin que d’une seule chose : le feu vert des autorités internationales, pour disséminer dans la nature leurs organismes génétiquement modifiés par forçage génétique.

Pour accélérer les choses, et éviter toute tentative de blocage par la société civile, leurs lobbys s’organisent pour tenir les citoyens et les médias bien à l’écart de leurs affaires.

Jusqu’ici, ils ont réussi ce tour de force en prétextant que le sujet était très technique, et que les discussions devaient être réservées aux seuls scientifiques… qui travaillent, majoritairement, pour les laboratoires industriels ! (17)

>>> En 2018, la Commission européenne a demandé à l’EFSA, l’Autorité européenne de sécurité des aliments, de vérifier si ses protocoles d’évaluation des risques, notamment environnementaux, concernant les animaux génétiquement modifiés, pouvaient être appliqués aux « insectes ravageurs agricoles modifiés par forçage génétique […] dans la perspective d’une dispersion délibérée dans l’environnement. » (18). 

L’EFSA met sur pied un groupe de travail spécialement chargé de répondre à cette demande : sur les six scientifiques qui composent le groupe, quatre ont des liens financiers avec des entreprises ou des organisations qui œuvrent pour le développement du forçage génétique ! (19)

Après avoir corrigé le tir, et fait participer des ONG dont POLLINIS à sa prise de décision, l’agence a sorti il y a quelques semaines son “opinion scientifique” qui reconnaît du bout des lèvres que ses protocoles actuels d’évaluation des risques environnementaux, de la caractérisation moléculaire et de la surveillance environnementale après commercialisation sont insuffisants en ce qui concerne les insectes OGM par forçage génétique (20). 

>>> Du côté des instances internationales, le ver est aussi dans le fruit : en 2017, suite à un appel de 170 organisations de la société civile, la Convention des Nations unies sur la diversité biologique met en place un groupe d’experts pour décider ou non d’un moratoire mondial sur le forçage génétique. Des documents montrent qu’un cabinet d’influence spécialisé, nommé Emerging Ag, a été payé 1,6 million de dollars pour influencer les discussions. Au total, plus de 65 « experts » qui ont participé aux discussions étaient en fait actionnés par l’industrie… (21)

>>> Malgré le tollé provoqué par ces révélations, douze de ces experts ont réussi à participer deux ans plus tard au rapport de l’UICN, l’Union internationale de conservation de la nature, sur la biologie de synthèse…(22)

Il devient urgent d’alerter l’ensemble des citoyens en France, en Europe, à travers le monde entier, et de se soulever massivement pour empêcher les firmes de décider seules et uniquement dans leur propre intérêt, de l’avenir de tous les organismes vivants.

SVP, signez dès maintenant la pétition européenne lancée par POLLINIS et ses partenaires en Europe, et transmettez ce message autour de vous.

 je signe la pétition 

Alors qu’une extinction massive de la biodiversité est déjà en cours, principalement à cause de l’utilisation productiviste de l’environnement dont seules quelques grandes multinationales tirent vraiment profit, devrait-on laisser ces mêmes organisations décider quels insectes ont le droit de survivre, et ceux qui doivent être éradiqués dans leur course effrénée à la production alimentaire industrielle ?

Le patrimoine génétique de chaque Être vivant est le résultat de millénaires d’évolution, d’apprentissage et d’adaptation à l’environnement et aux changements…

Il est la mémoire de chaque espèce, et non seulement il ne nous appartient pas de le modifier pour satisfaire à des besoins à court terme qui ne servent pas l’intérêt général mais quelques intérêts particuliers…

… mais surtout, personne n’a la moindre idée, même pas les firmes, des implications et des conséquences potentielles de ces modifications grandeur nature !

Déjà, un grand nombre d’études scientifiques, parfois menées par les créateurs et les promoteurs mêmes de cette technologie, mettent en garde (23) sur les risques qui existent quant à la dissémination dans la nature de ces nouvelles espèces génétiquement modifiées : 

ils ont identifié des transferts de gènes horizontaux entre des espèces totalement différentes (24), des mutations imprévues d’autres gènes (25), une altération de l’expression des gènes lors du contact avec l’environnement (26)…

… sans parler des biologistes qui pointent du doigt l’effondrement des chaînes alimentaires (27), privées de certains maillons essentiels qui seraient éradiqués pour les besoins de l’industrie, qui mettrait en péril notre capacité même à produire de la nourriture en quantité et qualité suffisantes pour l’ensemble de la population…

… autant de signaux d’alarme qui justifieraient, à eux seuls, l’application immédiate du principe de précaution!

Depuis le 3 septembre dernier, des discussions ont lieu entre les représentants des États membres de l’Union européenne pour décider si nos pays doivent autoriser ou interdire la dissémination grandeur nature d’organismes issus du forçage génétique.(28)

Ces discussions confidentielles se tiennent au sein du Working Party on International Environmental Issues (WPIEI), un organe préparatoire du Conseil environnemental de l’Union européenne. 

L’issue de ces discussions scellera le sort de milliards d’organismes vivants, et pourtant…

… ni les médias, ni les citoyens, n’en sont informés. Pas de grande campagne de communication ministérielle, pas de discours à l’Élysée ou Matignon. Il n’est même pas prévu que les parlementaires, nationaux ou européens, aient leur mot à dire…

Aidez-nous à imposer les citoyens dans le débat !

Nous avons besoin de la mobilisation urgente de l’ensemble des citoyens, pour taper du poing sur la table et pour reprendre le pouvoir des mains des industries.

Il n’est pas acceptable qu’une poignée de technocrates puisse décider, sans rendre de comptes à personne, de donner à quelques multinationales un droit de vie ou de mort sur l’ensemble des espèces présentes sur Terre :

Ensemble, mettons une pression déterminante sur nos responsables politiques pour mettre un coup d’arrêt au plan de l’industrie pour privatiser les abeilles, les papillons et l’ensemble des organismes vivants !

 ► Je rejoins la mobilisation 

Notre génération est devant un choix historique : 

> vous pouvez faire le choix de ne rien faire et laisser les multinationales faire main basse sur l’intégralité des organismes présents à l’état sauvage depuis des millénaires dans la nature, les façonner à leur avantage et commercialiser leur usage ; il est évident que le monde dans lequel vivront les générations suivantes n’accordera plus aucune liberté à ceux qui veulent s’affranchir de la tutelle des grandes industries, qui seront désormais propriétaires de tout ce qui nous entoure, du petit papillon azuré à l’abeille à miel, en ayant éradiqué au passage les mouches, pyrales et autres insectes sauvages considérés comme parasites, ou qui n’étaient simplement pas assez productifs…

> ou vous pouvez faire le choix de vous dresser, maintenant, contre ces stratégies dévastatrices menées par les multinationales, et mettre un coup d’arrêt à l’autorisation prématurée et non encadrée de ces techniques. Et pour exiger d’avoir vous aussi votre mot à dire dans ces changements radicaux qui façonneront irrémédiablement l’intégralité du vivant.

C’est l’ensemble de la société qui devra assumer les conséquences d’une dissémination dans la nature d’organismes modifiés par forçage génétique : la moindre des choses serait que la décision ait été prise collectivement, démocratiquement, et suite à un débat éclairé. Pas à huis-clos au sein d’obscurs groupes de travail phagocytés par les laboratoires !

Le principe de précaution tel que défini par la Déclaration de Rio (Principe 15) (29) dispose que « Pour protéger l’environnement, des mesures de précaution doivent être largement appliquées par les États selon leurs capacités. En cas de risque de dommages graves ou irréversibles, l’absence de certitude scientifique absolue ne doit pas servir de prétexte pour remettre à plus tard l’adoption de mesures effectives visant à prévenir la dégradation de l’environnement. »

Il est évident que ce principe international doit être appliqué d’urgence au forçage génétique ! 

C’est pour cela qu’il est si important que nous puissions interpeller les institutions européennes avec 500 000, voire un million de signatures au moins, pour exiger une interdiction de ces techniques en Europe, et l’adoption d’un moratoire international sur le forçage génétique : c’est possible, si chaque personne qui reçoit ce message prend le temps de signer la pétition, et transfère à son tour ce mail à au moins 10 personnes.

Ne laissez pas l’industrie seule à la manœuvre : mobilisez-vous, et mobilisez vos proches !

 ► Je rejoins la mobilisation 

Merci par avance pour votre action

POUR ACCÉDER À LA PÉTITION, CLIQUEZ ICI

  1. Frieß J.L., Giese B., von Gleich A. (2020) Technology Characterisation. In: von Gleich A., Schröder W. (eds) Gene Drives at Tipping Points. Springer, Cham.
  2.  Panel on Genetically Modified Organisms (GMO), Naegeli, H., Bresson, J. L., Dalmay, T., Dewhurst, I. C., Epstein, M. M., Guerche, P., Hejatko, J., Moreno, F. J., Mullins, E., Nogué, F., Rostoks, N., Sánchez Serrano, J. J., Savoini, G., Veromann, E., Veronesi, F., Bonsall, M. B., Mumford, J., Wimmer, E. A., Devos, Y., … Firbank, L. G. (2020). Adequacy and sufficiency evaluation of existing EFSA guidelines for the molecular characterisation, environmental risk assessment and post-market environmental monitoring of genetically modified insects containing engineered gene drives. EFSA journal. European Food Safety Authority, 18(11), e06297. Voir en particulier Table 5 
    Increased persistence and invasiveness potential
    – A competitive advantage of GDMIs as compared to the wild type, causing increased persistence and invasiveness and leading to the displacement of other insect pest species
    Increased potential for resistance to evolve in the target organism
    – Management responses to reduced efficacy of the GDMI
    Increased potential for vertical and horizontal gene transfer
    – Spread of the genetic modification of interest to non‐target organisms through vertical and horizontal gene transfer
    Increased toxicity
    – Transmission of substances (related to the components of an engineered gene drive) that are toxic to non‐target organisms that consume the GDMI
  3. GENE DRIVES – A report on their science, applications, social aspects, ethics and regulations, Critical Scientists Switzerland (CSS), European Network of Scientists for Social and Environmental Responsibility (ENSSER), Vereinigung Deutscher Wissenschaftler (VDW) 2019
  4. LETTRE COLLECTIVE À EMMANUEL MACRON POUR UNE INTERDICTION DU FORÇAGE GÉNÉTIQUE – 21/09/2020
    LETTRE COLLECTIVE AU GOUVERNEMENT FRANÇAIS POUR UNE INTERDICTION DU FORÇAGE GÉNÉTIQUE – 23/07/2020
    78 ASSOCIATIONS DEMANDENT À LA COMMISSION UN MORATOIRE SUR LE FORÇAGE GÉNÉTIQUE – 30/06/2020
  5. James, S., J. Marshall, G. Christophides, F. Okumu and T. Nolan (2020). Toward the definition of efficacy and safety criteria for advancing gene drive-modified mosquitoes to field testing. Vector-Borne Zoonotic Diseases 20: 237–251.
  6. Begley, S. (2016). Monsanto licenses CRISPR technology to modify crops — with key restrictions. STAT.
  7. Cameron, D. (2017). DuPont Pioneer and Broad Institute Join Forces to Enable Democratic CRISPR Licensing in Agriculture. Broad Institute.
  8. Michalopoulos, S. (2019). Corteva signs first major gene editing deal with European company, EURACTIV.
  9. ETC Group and Heinrich Böll Stiftung (2018). Forcing the farm: how gene drive organisms could entrench industrial agriculture and threaten food sovereignty.
  10. von Gleich, A. and L. Schaeffer, Eds. (2020). Gene Drives at Tipping Points. Precautionary Technology Assessment and Governance of New Approaches to Genetically Modify Animal and Plant Populations. Germany, Springer Open
  11. Patent US 20200002719 A1 Lepidopteran-active Cry1Da1 amino acid sequence variant proteins – Monsanto Technology LLC
  12. Patent US 20180155739 A1 Compositions and methods to control insect pests – PIONEER HI-BRED INTERNATIONAL, INC., E. I. DU PONT DE NEMOURS AND COMPANY
  13. Forcer l’Agriculture, ETC Group & Heinrich Böll Stiftung 2019
  14. Patent US20190022151A1 : Method and System for Protecting Honey Bees, Bats and Butterflies From Neonicotinoid Pesticides – Joseph E. Kovarik
  15. Patent US20160310754A1 : Systems and methods for controlling animal behavior via optogenetics – Elwha LLC
  16. Voir notes (11) (12) (13) (14) et (15)
  17. Nearly half the experts from the European Food Safety Authority have financial conflicts of interest, Corporate Europe Observatory 14/06/2017
  18. « As a proactive measure and due to the potential for gene drives to spread through populations, persist in the environment, and potentially cause irreversible effects on organisms and ecosystems, the European Food Safety Authority (EFSA) has been requested by the European Commission to review whether its previously published guidelines for the risk assessment of genetically modified animals (EFSA, 2012 and 2013) are adequate for the molecular characterisation (MC) and environmental risk assessment (ERA) of gene drive modified disease-spreading mosquitoes and agricultural insect pests for deliberate release into the environment. » Evaluation of existing EFSA guidelines for their adequacy for the molecular characterisation and environmental risk assessment of genetically modified insects with synthetically engineered gene drives, European Food Safety Authority 2020
  19. EFSA gene drive working group fails independence test – Corporate Europe Observatory 28.06.2019
    Conflicts of interest at the European Food Safety Authority erode public confidence, Journal of epidemiology and community health · March 2013
    Independence of EFSA’s GMO risk assessment challenged. Complaint file with EU ombudsman
  20. « In this Scientific Opinion, the Panel on Genetically Modified Organisms (GMO) concludes that EFSA’s guidelines are adequate, but insufficient for the molecular characterisation (MC), environmental risk assessment (ERA) and post‐market environmental monitoring (PMEM) of GDMIs. » Adequacy and sufficiency evaluation of existing EFSA guidelines for the molecular characterisation, environmental risk assessment and post‐market environmental monitoring of genetically modified insects containing engineered gene drives, EFSA 2020
  21. GeneDriveFiles
  22. Le forçage génétique sous influence – ETC Group 2019
  23. Esvelt KM, Gemmell NJ (2017) Conservation demands safe gene drive. PLOS Biology 15(11): e2003850.
    Noble, C., B. Adlam, G. Church, K. Esvelt and M. Nowak (2018). Current CRISPR gene drive systems are likely to be highly invasive in wild populations. Elife 7(e33423);
    Esvelt, K., A. Smidler, F. Catteruccia and G. Church (2014). Concerning RNA-guided gene drives for the alteration of wild populations. Elife 17(3).
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  27. EFSA 2020, ibid. Table 5 :
    Adverse effects associated with the suppression of the target organism
    – Suppression of the target organism that serves as food source (e.g. prey) for non‐target organisms (e.g. predator)
    – Suppression of the target organism may harm non‐target organisms that rely on the species for the delivery of ecosystem services (such as pollination, biological control, decomposition)
    – Invasion of the ecological niche vacated by suppression of the target organism of another insect pest (e.g. other mosquito species in aquatic habitats during larval stages) (niche replacement)
    Hochkirch, A., J. Beninde, M. Fischer, A. Krahner, C. Lindemann, D. Matenaar, K. Rohde, N. Wagner, C. Wesch, S. Wirtz, A. Zink, S. Lotters, T. Schmitt, A. Proelss, and M. Veith. 2018. License to Kill?-Disease Eradication Programs May Not be in Line with the Convention on Biological Diversity. Conservation Letters 11 (1):6. doi: 10.1111/conl.12370.
    Gene Drive Film, Save our Seeds 2020
  28. Le Working Party on International Environmental Issues (WPIEI), organe préparatoire du Conseil Environnemental de l’UE, décide des lignes d’orientation de la SBSTTA 24 (Subsidiary Body on Scientific, Technical and Technological Advice to the CBD) (l’OSASTT 24 en Français), afin de préparer la position européenne en vue de la prochaine COP-15 sur la Biodiversité du CBD (Conseil des Nations Unies sur la Diversité Biologique)
  29. Déclaration de Rio sur l’Environnement et le Développement, 12 août 1992, Principe 15