Archives de catégorie : Alimentation

Tu aimes les bonbons ?

Bonjour, j’espère que tu vas bien.

Ca fait des décennies que l’industrie agro-alimentaire met tout en oeuvre pour nous rendre addicts au sucre. Pour ça, en plus de tout le sucre ajouté dans tout ce que tu peux acheter en supermarché, ils ont inventé les bonbons. Ces fameux bonbons de toutes les couleurs que tous les enfants adorent.

Lorsque j’étais petite (eh oui, ça ne me rajeuni pas ça), il n’y avait pas des bonbons dans toutes les armoires, on en mangeait de temps en temps lors d’une fête mais certainement pas tous les jours comme c’est le cas actuellement.

Je me souviens d’un matin où ma grand-mère préparait de la tête pressée. Je trouvais ça immonde cette gelatine lorsque l’eau de cuisson de la viande de porc avait refroidi. Ma grand-mère m’avait expliqué que, dans ce cas, je ne devrais pas aimer les bonbons qui étaient fabriqués avec la gelatine de la cuisson des carcasses d’animaux. C’était plus que je pouvais supporter, je n’ai plus jamais mangé de bonbons en gélatine.

Peut être une image de 1 personne, aliment et texte qui dit ’AH OUI AU FAIT! LA GELATINE DANS LES BONBONS... C'EST CA! "HARIBO C'EST BON LA VIE! POUR LES GRANDS ET LES PETITS!"’

Et, j’avoue que j’aimerais que tous les enfants de la terre soient autant dégoûtés que moi et arrêtent de consommer ce genre de produit. Cela d’autant plus que depuis lors, il y a bien d’autres saloperies dans les bonbons, en plus du poison qu’est le sucre.

Les cancers des enfants s’explique par la pollution de l’air, de l’eau, le fait que les gènes des parents n’étaient déjà pas en pleine forme, mais aussi par cette consommation inutile de sucre qui est l’aliment des cellules cancéreuses. Les parents qui ont compris ça comprennent également que donner des bonbons à leurs enfants équivaut purement et simplement à les tuer lentement mais sûrement.

Peut être une image de 3 personnes, personnes debout et plein air
Une plage dans les années 70, pas un seul corps gras !

Par ailleurs, et bien que je sache que cela va encore me valoir des critiques, je me permets de vous poser une question : que pensez-vous qu’ils font avec les os de la traite des êtres humains ? Ils prélèvent le sang comme élixir de jeunesse, les organes pour leurs immondes trafics, la viande se retrouve dans les hamburgers des fast food (ca, ça a été prouvé) et sans doute dans les supermarchés (je n’ai jusque là pas trouvé de preuve formelle), mais les os, il faut bien en faire quelque chose, non ?

Je n’ai pas les chiffres européens, je sais seulement qu’un enfant disparaît toutes les dix minutes en France (51.000 par an) mais je me souviens que David Steele disait que 800.000 enfants disparaissent chaque année en Amérique, ça fait beaucoup d’os ! Les foetus dans les vaccins, et dans de nombreux produits alimentaires, n’est-ce pas plus qu e suffisant ? https://www.facebook.com/hougardy.hougardy/posts/2156238441195935

Est-il bien nécessaire de manger ces bonbons fabriqués avec on ne sait quoi ? A vous de voir !

Mabelle

Les vertus du brocoli

Bonjour,

Comment allez-vous ?

Je vous partage ce matin un article de Marion Kaplan sur ce légume de la famille des crucifères, excellent pour la santé de par ses propriétés antioxydantes, anticancer, antibiotiques, antibactériennes, antifongiques, antimutagéniques, dépolluantes…

Merci Marion.

Portez vous bien.

Mabelle

Brocoli : bienfaits et vertus pour la santé

En préambule…

Le brocoli possède, d’une manière générale, un profil nutritionnel exceptionnel. Outre les nombreuses vitamines et minéraux qu’il renferme(1), sa teneur en fibres alimentaires et le fait qu’il favorise le transit, le brocoli a un fort pouvoir antioxydant.

Il est riche en kaempférol (un flavonoïde que l’on retrouve aussi dans le thé) qui se révèle protecteur contre certains cancers et maladies cardiovasculaires. Il est aussi riche en lutéine et zéaxanthine : ces deux antioxydants de la famille des caroténoïdes sont garants d’une bonne santé oculaire en diminuant, notamment, le risque de dégénérescence maculaire et de cataracte.

Il est bon pour le cerveau, la mémoire en particulier. La consommation de crucifères d’une manière générale et de brocoli en particulier permet de ralentir le déclin cognitif, comme l’a conclu une étude menée chez des femmes âgées.

Enfin, il est bon pour le cœur aussi – tout comme ses parents crucifères -, diminuant les risques de maladies cardiovasculaires. Leur consommation quotidienne est en effet associée à une faible concentration d’homocystéine, un acide aminé. L’homocystéine est considérée depuis plus de 30 ans comme une cause d’athérosclérose et il est désormais démontré qu’il existe une relation indiscutable entre hyperhomocystéinémie (c’est-à-dire des taux élevés d’homocystéine dans le sang) et infarctus du myocarde, AVC, démence ou maladie thromboembolique veineuse (2).

Plus encore…

En plus des antioxydants précédemment cités, le brocoli est le crucifère qui contient le plus de sulforaphane (suivi de près par le chou-fleur). Le sulforaphane a attiré l’attention des chercheurs pour ses propriétés antioxydantes qui peuvent persister pendant des heures après l’ingestion. En effet, contrairement aux antioxydants directs qui sont détruits après avoir réagi avec les radicaux libres, le sulforaphane continue d’exercer son activité et d’induire l’expression d’enzymes de « phase II » du métabolisme des xénobiotiques (3). Ce métabolisme est absolument essentiel, c’est lui qui se charge d’éliminer de notre organisme les différents contaminants alimentaires, composés synthétiques, polluants environnementaux et médicaments, en convertissant ces composés lipophiles en composés hydrophiles, qui peuvent être excrétés dans les fluides biologiques. Les enzymes de phase II, en particulier, détoxifient les métabolites électrophiles susceptibles d’altérer la structure de l’ADN (4).

Le sulforaphane n’existe pas « réellement » dans le brocoli. C’est une molécule de la famille des isothiocyanates qui attirent particulièrement l’attention des chercheurs en tant que puissants agents dans la lutte contre les cancers, et les maladies cardiovasculaires et neurodégénératives.

Les isothiocyanates sont initiés par la rencontre entre un glucosinolate et une enzyme. On trouve des glucosinolates dans toute la famille des crucifères. Ce sont eux qui sont responsables de ce petit goût piquant que l’on retrouve dans les choux certes, mais aussi la moutarde, la roquette, les radis, ou encore le raifort. Les glucosinolates que renferme la plante restent inactifs tant qu’ils n’ont pas rencontré la dite enzyme : la myrosinase, qui existe au sein de la même plante, mais dans un autre compartiment cellulaire. C’est leur mise en contact, déclenchée par une agression extérieure (bactérie, champignon, insecte fan de légumes), qui crée la magie. Si un insecte vient à grignoter la plante, la guerre est déclarée et le processus s’enclenche, la défense se met en place et lance la « bombe à moutarde » pour repousser l’assaillant, l’empoisonner.

Dans le cas du brocoli, le sulforaphane se forme à partir de la mise en contact de la myrosinase avec la glucoraphanine (5). Sous l’action de l’enzyme, ce glucosinolate (la glucoraphanine) se transforme en un isothiocyanate actif : le sulforaphane.

La magie de l’histoire, c’est quand nous coupons le brocoli cru en tout petits morceaux, quand nous le hachons, quand nous le mastiquons ou qu’il entre en contact avec notre flore intestinale bactérienne, nous déclenchons ce même mécanisme de défense de la plante et la production de ces mêmes molécules qui nous sont, contrairement à l’insecte qui en fait les frais, prodigieusement bénéfiques, comme nous allons le voir.

Elles nous protègent de différents types de cancers, dont les cancers hormonodépendants qui font intervenir une autre molécule en plus du sulforaphane. Le brocoli, comme presque tous les crucifères, renferme un autre glucosinolate : la glucobrassicine. Sa dégradation par la myrosinase produit un composé actif appelé indole-3-carbinol (I3C) (6).

Le sulforaphane et l’I3C contribuent tous deux à évacuer les substances cancérigènes avant qu’elles n’aient le temps de causer des dommages (7).

Des études ont mis en évidence que l’indole-3-carbinol se montrait particulièrement efficace contre le cancer du sein, en abaissant le taux d’œstrogène nuisible susceptible de stimuler la croissance tumorale dans les cellules hormonodépendantes, comme les cellules mammaires. Il est également protecteur contre le cancer de la prostate, qui est également un cancer hormonodépendant.

Le brocoli est efficace contre le cancer du sein quand il est consommé cru. Consommé cuit (mais pas trop, comme nous allons le voir ensuite), il s’avère protecteur contre le cancer du côlon, dont il va aller nourrir les bonnes bactéries qui œuvrent à notre bien-être. Différentes recherches ont pu montrer que nos bactéries intestinales pouvaient agir tel un « organe » et sécréter leur propre myrosinase, leur permettant de transformer les glucosinolates en isothiocyanates actifs, anticancérogènes (8). Une nouvelle fois, notre microbiote se révèle incontestablement le médiateur de notre bonne et pleine santé.

Outre ses propriétés anticancer, le sulforaphane est aussi connu pour son action protectrice contre le stress oxydatif, les maladies inflammatoires, ainsi que les infections bactériennes, parasitaires et virales. Il agit sur la douleur, il est garant du bon fonctionnement des mitochondries, nos petites usines énergétiques (Lien vers Voyage en mitochondries) et il est même capable de nous « dépolluer » ! Nous allons voir ces différents points un peu plus en détails.

Helicobacter pylori ne lui résiste pas… Le brocoli peut aider à combattre cette bactérie comme l’a montré une équipe de chercheurs japonais (9). Ils ont constitué deux groupes de personnes, ajoutant à leurs aliments 100 g de pousses de brocoli dans l’un, et 100 g pousses de luzerne dans l’autre. Ce, quotidiennement durant deux mois. Si le brocoli produit abondamment du sulforaphane, ce n’est pas le cas de la luzerne.

Résultat : à l’issue de ces deux mois, les personnes ayant consommé des pousses de brocoli étaient nettement moins infectées par H. pylori que les autres. Dans ce même groupe, les taux de pepsinogènes avaient aussi considérablement diminué.

Une autre étude a montré que le sulforaphane était capable d’inhiber les souches antibiorésistantes d’Helicobacter pylori et de prévenir la formation de cancer de l’estomac (10).

Le staphylocoque doré ne lui résiste pas non plus… Le sulforaphane activerait un mécanisme moléculaire empêchant l’infection par le staphylocoque doré, selon une équipe de chercheurs de l’Inserm.

Pour les initiés, les auteurs ont pu mettre en évidence que le sulforaphane empêchait l’activation des voies de signalisation p38 et JNK par Staphylococcus aureus, deux enzymes majeures impliquées dans la production de cytokines inflammatoires (11).

Le sulforaphane, l’autisme et les mitochondries

La consommation de germes de brocoli par de jeunes hommes atteints de trouble du spectre autistique (TSA) a permis des améliorations significatives du comportement (moins d’irritabilité, moins de léthargie, moins de stéréotypie et d’hyperactivité), de l’interaction sociale et de la communication verbale. Ces effets bénéfiques ont disparu dès l’arrêt du traitement, c’est-à-dire de la consommation de brocoli. Selon les chercheurs ayant mené cette étude, le sulforaphane issu du brocoli jouerait ses effets bénéfiques en bloquant quatre voies fonctionnelles chez les personnes autistes : l’excès de stress oxydant, la capacité antioxydante réduite et moindre synthèse de glutathion, le dysfonctionnement mitochondrial et l’inflammation cérébrale (phosphorylation oxydative réduite et peroxydation lipidique accrue).

Le sulforaphane s’avère donc capable de protéger contre l’oxydation, le dysfonctionnement mitochondrial et l’inflammation (12).

Le sulforaphane du brocoli s’est révélé également avoir un effet anti-inflammatoire, ainsi qu’antidouleur (anti-nociceptif) dans l’endométriose touchant le nerf sciatique. Une étude (13) notamment a montré qu’il soulageait les sciatalgies causées par les lésions endométriosiques, et qu’il inhibait qui plus est la croissance du tissu endométrial ectopique.

Les effets anti-inflammatoires et anti-nociceptifs du sulforaphane de brocoli ont aussi été mis en évidence dans les neuropathies (14).

En résumé, on n’en finit plus de découvrir les nombreux bienfaits du sulforaphane du brocoli sur notre organisme. Il aurait même un intérêt dans l’élimination des polluants atmosphériques ! Dans une étude réalisée chez l’homme, la prise orale d’une préparation obtenue à partir de 200 g de brocoli a déclanché une forte augmentation des enzymes de détoxication au niveau des voies respiratoires. Une autre étude a confirmé ces résultats où une l’ingestion d’une préparation à base de sulforaphane a permis d’améliorer l’élimination de polluants comme le benzène et l’acroléine. De plus, de par ses propriétés anti-inflammatoires, le sulforaphane diminue la production de cytokines pro-inflammatoires dans les voies respiratoires et protège les cellules épithéliales pulmonaires de l’inflammation générée par les particules diesel.

Côté cuisine

La myrosinase, sans laquelle le sulforaphane ne peut se former, est sensible à chaleur et soluble dans l’eau. Elle se trouve donc inactivée en cas de cuisson trop forte (au-delà de 60 degrés dans l’eau) et elle se « noie » dans une grande casserole d’eau.

Pour profiter au maximum des bienfaits du brocoli, il faudrait le consommer cru, après l’avoir découpé en tout petits morceaux, le laisser à l’air libre au moins 15 mn et bien le mastiquer, pour déclencher le processus de défense de la plante (la mise en contact de la myrosinase avec le glucosinolate), et permettre une maximisation de l’absorption du sulforaphane et de sa biodisponibilité.

Vous avez certainement un peu de mal à imaginer manger cru votre brocoli… Il est possible de le cuire al dente, le mieux étant à la vapeur douce, ce durant au maximum cinq minutes.

Si vous voulez le faire cuire autrement qu’à la vapeur, il est recommandé par les chercheurs de le couper en tout petits morceaux et de laisser reposer le mélange pendant une heure à une heure et demie environ avant cuisson. Avec cette méthode, même une cuisson au wok permettrait de conserver de bons niveaux de sulforaphane.

Enfin, une autre solution consiste à rajouter l’enzyme après cuisson, par exemple avec des graines de moutarde broyées ou un morceau de légume cru.

Le dernier chapitre que je souhaite aborder pour conclure cet exposé mettant en lumière les puissants bienfaits du brocoli concerne certaines précautions : le brocoli est excellent pour la santé oui, mais il doit être bio et consommé avec juste mesure, comme pour tout ! Il peut en outre exacerber certains troubles ou interagir avec certains traitements médicamenteux.

Acheter bio. Le brocoli fait partie de la famille des choux. Les choux ont cette particularité d’être des « bio-accumulateurs », c’est-à-dire qu’ils sont capables d’accumuler, sans dommage pour leur organisme, différents polluants atmosphériques. On note parmi eux : les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP, les composés organiques volatils (COV), les dioxines et furannes ou encore les PCB15. Il va de soi que le brocoli que vous allez déguster sera bio.

Consommer dans la juste mesure. S’ils regorgent de vertus santé comme nous venons de le voir, à forte dose dans l’alimentation, les glucosinolates sont toxiques et antinutritifs. Mais il faut vraiment consommer de très grandes quantités de crucifères pour atteindre ce seuil de toxicité. Qui plus est, les formes de choux actuels ont progressivement été sélectionnées pour être moins riches en glucosinolates et sont aptes à être consommées crues (15).

Crucifères et thyroïde. Les légumes crucifères font partie de la famille des aliments dits « goitrogènes » qui auraient la capacité d’entraver l’utilisation de l’iode par la glande thyroïde. Les crucifères étant bons pour la santé, il n’est pas recommandé de les retirer totalement de son alimentation, mais seulement de les faire légèrement cuire afin de réduire l’activité des molécules goitrogènes.

Il n’y a pas lieu non plus, à la lumière des connaissances actuelles, de modérer sa consommation de crucifères en cas d’hypothyroïdie, à moins que des dosages sanguins n’indiquent une carence en iode. L’abondance de l’iode en temps normal permet d’apporter suffisamment à la thyroïde, même en présence d’isothiocyanates. Les produits de la mer, par exemple, permettent un bon apport en iode. Cela peut être problématique pour les personnes qui n’en consomment que peu ou pas. Ainsi, si vous êtes végétarien ou végétalien, il est recommandé de vous supplémenter.

Vitamine K et anti-coagulants. Le brocoli contenant une quantité élevée de vitamine K, les personnes prenant des médicaments anti-coagulants doivent modérer leur consommation d’aliments qui en contiennent : le brocoli bien sûr, mais aussi l’asperge, la bette à carde, le chou de Bruxelles, le cresson ou encore les épinards.

Brocoli et syndrome de l’intestin irritable. Les crucifères comme le brocoli peuvent être difficilement tolérés par certaines personnes atteintes de SII. Le fait de limiter ou d’éviter les aliments fermentescibles comme ceux de la famille des crucifères peut atténuer les symptômes ressentis comme les douleurs abdominales, les ballonnements ou encore la diarrhée. On peut, dans certains cas, réintégrer graduellement ces aliments, en cas de symptômes légers ou pendant les périodes de « rémission ».

Interactions médicamenteuses. Les crucifères contiennent naturellement des composés appelés indoles, qui peuvent notamment diminuer l’action de certains analgésiques, comme les produits contenant de l’acétaminoprène, par exemple.

Portez vous bien !

1- Le brocoli est riche en vitamine C et s’avère une bonne source également de vitamines de K, B2 (riboflavine), B9 (folate), B5 (acide pantothénique), B6 (pyridoxine). Côté minéraux : c’est une source de cuivre, de fer, de magnésium, de manganèse, de phosphore et de potassium.

2 – C. de jaeger et al. Rôle de l’homocystéine en pathologie, Médecine & Longévité, Volume 2, Issue 2, June 2010, 73-86

3 – Comme les glutathion-S-transférases (GST), la NAD(P)H quinone réductase, l’époxyde hydrolase, l’hème oxygénase ou encore l’UDP-glucuronosyltransférase. Dadras F., Khoshjou F, « NF-E2-related factor 2 and its role in diabetic nephropathy », Iran J Kidney Dis, vol. 7, N°5, septembre 2013

4 – Les études en cancérologie animale soutiennent clairement l’hypothèse que la consommation de crucifères joue un rôle protecteur à l’encontre des substances cancérigènes. Elles montrent qu’à forte dose, les isothiocyanates et les indoles induisent des enzymes de « phase II » qui détoxifient les métabolites électrophiles susceptibles d’altérer la structure de l’ADN. Bruneton J. Pharmacognosie – Phytochimie, plantes médicinales, 4e éd., revue etaugmentée, Paris, Tec & Doc – Éditions médicales internationales, 2009

5 – Chaque glucosinolate, différent selon les légumes considérés, produit en cas d’attaque une autre molécule de la famille des isothiocyanates. Le sulforaphane est donc l’isothiocyanate retrouvé dans le brocoli, mais on retrouve d’autres isothiocyanates dans les autres crucifères. Par exemple, en cas de dommages faits au cresson, on va retrouver du phénethyl-isothiocynatae qui est fabriqué à partir du gluconastrutiine (un glucosinolate). Tous les isothiocyanates sont suspectés de posséder des effets anticancer. Source : Comment optimiser les effets anticancer du brocoli, Julien Venesson

6 – L’indole-3-carbinol peut se transformer à son tour dans l’organisme en 3,3-diindolylméthane

7 – Le brocoli, la protection contre le cancer par excellence, ma santé naturelle.com

8 – Les glucosinolates sont hydrolysés au niveau du côlon en isothiocyanates par la flore intestinale, comme le montrent ces trois études : Humblot C, Philippe C, Elfoul L, Rabot S. Conversion des glucosinolates en isothiocyanates anticancérogènes par la flore colique de l’homme : influence du sujet et du régime alimentaire. INRA, Unité d’écologie et de physiologie du système digestif (UEPSD)

Tian S et al. Microbiota : a mediator to transform glucosinolate precursors in cruciferous vegetables to the active isothiocyanates. J Sci Food Agric. 2017 Getahun SM, Chung FL. Conversion of glucosinolates to isothiocyantes in humans after ingestion of cooked watercress. Cancer Epidemiol Biomarkers Prev. 1999 May 28, 2002

9 – Yanaka et al., 2009. Dietary sulforaphane-rich brocoli sprouts reduce colonization and attenuate gastritis in Helicobacter pylori-infected mice and humans. Cancer Prev Res (Phila). 2009 Apr.

10 – Fahey JW et al. Sulforaphane inhibits extracellular, intracellular, and antibiotic-resistant strains of Helicobacter pylori and prevents benzo(a)pyrene-induced stomach tumors. Proc. Natl. Acad. Sci. USA, Vol. 99, Issue 11,

11 – Le sulforaphane, une nouvelle piste pour traiter les infections par le staphylocoque doré ? Inserm, 15 mais 2020

12 – Kanwaljit Singh et al., Sulforaphane treatment of autism spectrum disorder (ASD), Proc Natl Acad Sci U S A, 2014

Du brocoli pour soutenir les personnes autistes, Sandra Cascio, Medicatrix, 12 avril 2021

13 – Liu Y et al. Anti-nociceptive and anti-infammatory effects of sulforaphane on sciatic endometriosis in a rat model. Neurosci Lett. 2020 Feb 22

Le sulforaphane de brocoli comme anti-inflammatoire et antidouleur dans les sciatalgies causées par l’endométriose, Fabien Piasco, Medicatrix, 20 mars 2020

14 – Wang C, Wang C. Anti-nociceptive and anti-inflammatory actions of sulforaphane in chronic constriction injury-induced neuropathic mice. Inflammopharmacology. 2017 Feb 25.

15 – La bio-surveillance : les choux, Atm Franche-Comté.

Faut il aller vivre au Japon ou en Chine ?

Bonjour, Je vous partage quelques infos santé recommandées par les scientifiques japonais qui semblent bien plus sérieux (ou moins corrompus peut-être ?) que les nôtres.

NIPPONIA

Le gouvernement japonais a décidé de jeter tous les fours à micro-ondes du pays avant la fin de 2021.
Raison de cette interdiction : les scientifiques de l’université d’Hiroshima ont étudié et ont découvert que les fours à micro-ondes « ondes radio » ont causé plus de nuisances à la santé au cours des 20 dernières années que les bombes atomiques américaines sur Hiroshima et Nagasaki en 1945.
Les experts ont découvert que les aliments chauffés dans des fours à micro-ondes présentent des vibrations et des rayonnements très malsains.
Toutes les usines de « fours à micro-ondes » au Japon ferment.
La Corée du Sud avait également annoncé son intention de fermer toutes les usines de fours à micro-ondes fin 2021.

Encore la semaine dernière je parlais avec un personne qui ne comprenait pas pourquoi je « perdais » mon temps à réchauffer de la soupe dans une casserole, sans compter la vaisselle inutile selon elle. Je lui ai dit que je préférais manger des aliments le plus sains possible, sans irradiation. Alors que cet appareil fait partie du quotidien de la plupart des ménages depuis plus de quarante ans, ceux qui l’utilisent ne voient que son aspect pratique et sa rapidité, mais ne savent absolument pas comment il fonctionne. Ils ne savent pas que le four à micro-ondes utilise des ondes radio de haute fréquence. Ces ondes, réfléchies par les parois en métal, sont absorbées par les molécules d’eau qui composent les aliments. Réagissant à ce champ électrique qui change de direction un milliard de fois par seconde, celles-ci se mettent à pivoter sur elles-mêmes et entrent en collision avec leurs voisines, c’est cette agitation qui chauffe l’aliment. Personnellement je ne peux pas croire que d’agiter les molécules ne dénature pas la nourriture. Comment des fréquences comparables à celles de la wi-fi ou des gsm pourrait-elle être totalement inoffensive ?

Selon moi, ce n’est pas seulement le fait que le micro ondes détruit 2/3 des vitamines, des acides gras essentiels comme les omégas 3, décompose les minéraux et détruit les enzymes qui me pose question, mais surtout le fait qu’il y a une méconnaissance (ou une dissimulation volontaire) de ce que pourrait provoquer le rayonnement électromagnétique comme changements non naturels dans la structure moléculaire des aliments et qui pourraient être dangereux pour notre santé.

Cette question des éventuels dangers et de l’impact sur la santé de l’utilisation, plus ou moins intensive, d’un tel appareil reste en suspens. Certains parlent d’insomnies, migraines ou dépressions, de cancers et d’affaiblissement du système immunitaire qui est à l’origine de tous les problèmes de santé. Donc je fais le choix de rester prudente et suis convaincue que nous finirons par apprendre que ces micro-ondes ont été à l’origine de bien des maux (aurions nous, une fois de plus servi de cobayes ?)

Micro-ondes : 15 objets à ne pas mettre à l'intérieur

De son côté, la Chine, dans une
Conférence sur la prévention du cancer tenue au Kashira Cancer Center, recommande ceci :

  1. Alimentation sans huile raffinée
  2. Sans lait d’origine animale (lait de soja recommandé)
  3. Pas de cubes de nourriture (épices pour bouillon de poulet comme Maggie, Knorr, … )
  4. Pas de soda (32 morceaux de sucre par litre)
  5. Sans sucre raffiné
  6. Pas de fours à micro-ondes
  7. Pas de mammographie prénatale, sauf échocardiographie
  8. Lingerie et soutien-gorge pas très serrés
  9. Ne congelez pas les aliments recongelés.
  10. Ne buvez pas d’eau froide stockée dans des bouteilles en plastique stockées au réfrigérateur.
  11. Évitez les déodorants utilisés après le rasage ou le bain car ils causent le cancer.
  12. La nourriture devrait être chaude, mais pas trop chaude
  13. Ne rien boire ou manger de chaud dans un récipient en plastic, papier, carton ou nylon

Ils conseillent d’ajouter ceci à l’alimentation :

  1. Légumes
  2. Miel utilisé modérément à la place du sucre
  3. Protéines végétales (haricots au lieu de viande)
  4. Verre d’eau à température corporelle, le ventre vide, avant de se brosser les dents
  5. Jus d’aloe vera + gingembre + persil + céleri + bromaline (Mélanger et boire à jeûn)
  6. Jus de carotte tous les jours
  7. Tomate, ail ou oignon ajoutés à tous les plats

A vous de voir si vous préférez continuer de conserver ou non ces habitudes de préparation et consommation d’aliments ou tenter de les modifier au mieux pour votre santé.

Belle journée

Mabelle

Le sirop d’érable, un cadeau de la nature

Bonjour,

J’espère que tout va le mieux possible pour vous.

Un petit partage intéressant sur le sirop d’érable.

Ça aura pris mille ans, mais on a enfin fait une grande découverte !

Le sirop d’érable est un produit unique qui pourrait devenir aussi incontournable dans le garde-manger que l’aspirine ou le Tylénol.

Il y a trois semaines à peine, le Dr Yves Desjardins révélait que le sirop d’érable contenait une concentration appréciable d’acide abscissique,
reconnu pour stimuler le relâchement de l’insuline dans l’organisme, et
qu’il possédait donc des propriétés thérapeutiques pour le diabète.

On apprend maintenant que le sirop d’érable renferme 13 nouveaux composants antioxydants reconnus pour leurs propriétés anticancer, antibactériennes et antidiabétiques.

Le mérite de ce décryptage revient au chercheur américain Navindra Seeram, de l’Université du Rhode Island.
Il a dévoilé ses résultats devant l’American Chemical Society, à San Francisco, le 21 mars dernier.

Par ailleurs, des travaux publiés dans la récente édition du Journal of Medicinal Food révèlent que le sirop d’érable limiterait la prolifération de cellules cancéreuses de la prostate et des poumons
et, dans une moindre mesure, du sein, du colon et du cerveau.

À cet égard, le sirop d’érable serait plus performant que le bleuet, le brocoli, la tomate et la carotte.

Pas étonnant que la diététiste Marie Breton affirme que « les produits de l’érable sont bien plus que de simples agents sucrants.

Grâce à leur teneur en vitamines, minéraux, antioxydants et autres composés bienfaisants, ils peuvent contribuer à une meilleure alimentation, surtout lorsqu’ils remplacent le sucre, la cassonade, le miel et le sirop de maïs.
Donc, ne nous gênons pas pour garnir nos crêpes , notre pain doré et autres.

Si ça vous tente d’essayer : https://www.cuisineaz.com/recettes/pancakes-au-sirop-d-erable-35666.aspx

Juste une petite info concernant Noël. J’ai toujours détesté ce jour, sans vraiment savoir précisément pourquoi, même si j’avais vécu un trauma dans l’enfance en ce jour horrible. Cependant, je me souviens que je détestais déjà Noël avant. Peut-être savais je déjà certaines choses sans vraiment savoir y mettre de mots.

Je ne veux cependant pas vous gâcher la journée si vous y voyez toujours une fête de bienveillance, d’amour, de partage, … Je vous partagerai une info sur le sujet dimanche.

Prenez soin de vous.

Mabelle

Comment soutenir son système immunitaire

Bonjour,

J’espère que vous allez bien et que vous profiterez du week-end pour vous ressourcer au maximum.

Depuis maintenant plus d’un an et demi nous vivons dans un monde de folie et, je l’ai déjà répété plusieurs fois, aucun média ou médecin ne parle de parle de notre système immunitaire, comme s’il avait subitement disparu et que le seul moyen d’éviter une maladie serait devenu la « vaccination » et l’éloignement de nos proches.

Immunité : l'inné ou l'acquis ?

C’est pourtant tout le contraire qui est vrai puisque notre immunité est fortement influencée par nos émotions (nous connaissons tous quelqu’un qui fait une gastro après chaque dispute, un rhume après un chagrin ou une crise cardiaque suite à une rupture sentimentale). Depuis le début de cette crise les médias ont tout fait pour abaisser nos défenses immunitaires en nous enfermant à l’intérieur (plutôt que de profiter des rayons du soleil qui permet au corps de synthétiser la précieuse vitamine D), en imposant le port d’un morceau de papier sur notre visage (qui ne protège nullement d’aucun virus s’il y en avait eu un et nous empêche de nous oxygéner correctement, sans parler des composants de ces masques qui rien qu’à eux seuls sont une preuve de la malveillance à notre égard), en nous coupant de nos proches, de nos relations importantes pour notre moral et par conséquent pour notre immunité.

Je ne suis pas la seule à comprendre que tout est mis en place, non pas pour que nous soyons en santé, mais au contraire pour nous rendre malades. J’aime beaucoup Mika Denissot, sa vision de la vie et du monde. Je vous partage ici une petite vidéo dans laquelle il nous parle justement d’immunité : https://www.youtube.com/watch?v=sDtE8boSfuA

Et puis aussi une deuxième vidéo où il nous explique sa vision de la mort : https://www.youtube.com/watch?v=b34epGZbqpw

Prenez soin de vous

Mabelle

Jeûne et détox

Bonjour, j’espère que vous allez bien

Je vous partage une petite info qui pourrait intéresser tous ceux et celles qui s’intéressent au jeûne mais qui ont des doutes sur son utilité, qui ne savent pas comment commencer, qui se posent beaucoup de questions, ont des peurs sur le sujet.

Inscrivez-vous gratuitement au 1er Sommet Digital du Jeûne et de la Détox afin de découvrir les clés, les inspirations et toutes les connaissances pour mieux comprendre et/ou oser entreprendre un jeûne.

Pour qui le jeûne est-il fait ? Quels sont les bénéfices ? Comment cela fonctionne-t-il ? Que se passe-t-il dans le corps quand on jeûne ? Quels sont les différentes types de jeûne ?

27 experts, médecins, oncologues et naturopathes internationaux vous parleront du jeûne et de la détox, et de nouvelles pistes pour se réapproprier son énergie vitale, son bien-être et sa santé.

Du 27 Septembre au 3 Octobre 2021, inscription gratuite sur www.lesommetdujeune.com

Au plaisir de vous retrouver le 27 septembre pour vivre ensemble cette grande semaine autour du jeûne !

Mabelle

Le houmous

Bonjour,

Comment allez-vous ?

Je vous partage ce matin une recette délicieuse, simple et facile à base de graines germées.

J’aime énormément les graines germées et en mange pratiquement tous les jours mais on me dit souvent que ça donne l’impression de manger tous les jours la même chose. Rien ne vous oblige à manger les graines telles quelles, il y a des tas de préparations possibles. Moi, je déteste cuisiner donc je fais souvent au plus simple. Mais je vous partage tout de même une petite recette qui change des graines simplement trempées et germée.

La seule préoccupation est d’anticiper un minimum en mettant à germer les pois chiches 3 à 4 jours avant de réaliser la recette.

Il est absolument nécessaire de faire tremper les pois chiches ou toutes autres légumineuses et céréales. Ceux-ci contiennent des anti-nutriments, comme les phytases,  qui empêchent l’absorption des minéraux et provoquent des troubles digestifs.

Le trempage et la germination activent les enzymes et diminuent considérablement les niveaux d’acide phytique et de tanins. Donc, grâce au simple processus de trempage, vous augmentez les vitamines (en particulier A, B et C) et rendez les vitamines, les minéraux et les acides aminés plus facilement disponibles.

Lors de la germination, les germes utilisent les amidons pour grandir, ce qui diminue la charge glycémique des pois chiches ou de toute autre légumineuse ou grain. Le processus de germination est donc bénéfique pour toute personne aux prises avec une prolifération de Candida ou des fluctuations de la glycémie.

La germination des graines

Pour faire germer des pois chiches, il est donc nécessaire de d’abord les faire tremper une nuit.

Ensuite il suffit de les laisser germer en les rinçant deux fois par jour (3 fois par temps chaud).

Cette recette est une recette de Irène GrosJean, une dame qui aide à manger sainement et vivant et partage ses connaissances avec beaucoup de cœur.

2 tasses de pois chiche germés

1/4 de tasse d’amandes

3 cuillères à soupe de Tahin (le Tahin est de la purée de sésame cru qui se trouve facilement dans tous les magasins bio, et même dans la plupart des grandes surfaces)

1 grosse tomate

1 petit oignon

4 à 6 gousses d’ail (chacun utilisera la quantité d’ail selon ses goûts, personnellement j’en utilise seulement 3 gousses)

Le jus d’un citron

1/4 de tasse d’huile d’olive

Sel

Un peu de menthe (personnellement je la supprime de la recette car je n’aime pas la menthe, qui par ailleurs est déconseillée avec un traitement homéopathique. Or je prends du Ledum Palustre contre les piqûres d’insectes tout l’été parce que ces petites bêtes m’adorent)

Un peu de cumin (j’en utilise une cuillère à soupe, peut-être vaut il mieux en mettre un peu moins et en rajouter si nécessaire, c’est plus simple que de devoir rajouter d’autres ingrédients si le goût de cumin est trop prononcé)

Il suffit simplement de mettre tous les ingrédients dans un blender et de mettre en marche pour obtenir une préparation lisse et épaisse. Eventuellement, ajouter un peu d’eau si la préparation est trop épaisse

Après, à vous d’ajouter, supprimer certains ingrédients selon ce que préfèrent vos papilles. En cuisine, il est important de laisser jouer l’imagination !

Bon appétit.

Mabelle

Ce monde est il devenu fou ?

À quelle heure a-t-on expliqué à la population que chacun a la capacité de renforcer naturellement son système immunitaire en quelques jours (les plus petits) ou en quelques semaines (les adultes) ?

Pourquoi ne pas s’impliquer dans les canaux d’information avec des plateformes et des professionnels de santé qui parlent de prévention, comme les nutritionnistes, les naturopathes, les phytothérapeutes, qui pourraient réaliser un immense travail d’information et de prévention au public tout en allégeant le travail des médecins et sanitaires qui sont sur le front ?

Pourquoi ne pas dire aux gens que manger des ordures, comme des produits industriels, travaillés et raffinés, est la première chose qui détruit nos défenses ?

Que l’efficacité de notre système immunitaire dépend étroitement de la qualité de notre flore intestinale et donc de la qualité de ce que nous mangeons.

Les fruits et légumes crus, locaux et de saison sont donc le meilleur moyen d’accumuler rapidement nos réserves minérales nécessaires à l’immunité

Pourquoi ne pas expliquer qu’un jeûne intermittent contrôlé renforce le système immunitaire en seulement 3 jours ?

Qu’ une respiration correcte a la capacité de réduire les niveaux élevés de production de cortisol, d’hormone régulatrice de vos niveaux de stress. (Si vous voulez tester le bol d’air Jacquier, contactez moi). Au lieu de ça on impose des masques qui provoquent de l’hypoxie.

Pourquoi ne pas parler des bienfaits d’une douche froide ou d’un bain en mer, qui en quelques jours augmente le niveau de certains lymphocytes T ?

Pourquoi ne pas expliquer que des plantes comme l’équinace, l’astragale, le sureau, la rose canine, l’artémisia … sous leurs formes concentrées et correctes, augmentent les défenses immunitaires en quelques semaines ?

Pourquoi ne pas parler de l’efficacité des huiles essentielles antivirales ?

Du Redox qui augmente l’activité du glutathion, principal anti oxydant du corps, de 500 à 800% ?

Outre la vitamine C à haute dose, l’importance de la vitamine D et des minéraux comme le zinc, le sélénium, le magnésium ? Tout cela est facile et bon marché à obtenir. Parfois, comme dans le cas du soleil, gratuit !

Pourquoi ne pas parler de comment une activité sportive saine active les hormones de la joie et du bien-être ? Au lieu de ça tous les lieux de sports ont été fermés.

Pourquoi ne pas parler de l’importance de la qualité de nos pensées et de la connexion entre l’esprit et le corps ?

Pourquoi ne pas parler de la forteresse de l’amour et de la compagnie, qui guérissent bien plus que le confinement, l’isolement et la méfiance ?

Pourquoi ne pas parler du bien-être immédiat que nous donne la marche ou être dans la nature ?

Pourquoi ne pas expliquer que la peur est immunosuppresseur ? Et ça génère plus que tout : maladie, faiblesse, anxiété, souffrance. Et pourquoi accorder des subsides supplémentaires aux médias pour qu’ils propagent la peur en n’hésitant à mentir sur les chiffres, ou des images sorties d’un tout autre contexte ?

POURQUOI NE PAS COMMENCER À INFORMER.

ET POURQUOI NE PAS LE FAIRE VRAIMENT ?

Ils nous ont juste appris, à mettre un masque, à être enfermés et à avoir peur soit tout ce qui est anti productif.

Réfléchissez, respirez, riez, vivez et partagez

Enquête sur le gluten

Bonjour,

J’espère que vous êtes en forme.

Je vous partage ce matin un documentaire intéressant, d’1h19.

De plus en plus de produits sans gluten fleurissent dans les rayons des magasins d’alimentation.

S’agit-il d’une mode comme tant d’autres ? Y a-t-il vraiment tant d’intolérants et de coeliaques ?

Les problèmes dus au gluten sont ils un argument marketing ou le nouveau blé est-il vraiment un poison ?

Cette enquête nous révèle quelques vérités sur le blé, cet aliment qui était pourtant la base de notre alimentation sans le moindre problème.

Une histoire de nitrates et phosphates en surplus après la guerre et dont il fallait se débarrasser, de glyphosate, de productivité et surtout de profits financiers énormes et de mainmise de multinationales, une fois encore sans aucun respect du vivant.

Bon, je sais il fait beau, vous avez sans doute plus envie de profiter de votre jardin que de rester devant un documentaire. Cependant, comme tous les documentaires de Arte, le visionnage est limité dans le temps. Celui-ci est disponible uniquement jusqu’au 13/05/2021

Merveilleuse journée

Mabelle

Pourquoi ne dit on rien à la population ?

Bonjour, comment allez-vous ?

Je vous partage ce matin un texte qui m’a été envoyé en m’excusant auprès de son auteur(e) dont je n’ai pas connaissance du nom.

J’ajouterai simplement qu’il existe des molécules qui permettent une bonne communication cellulaire, favorisant la détection, réparation, et le remplacement des cellules endommagées. Des cellules en bonne santé sont un corps en bonne santé.

Belle journée

Mabelle

À quelle heure a-t-on expliqué à la population. que chacun a la capacité de renforcer naturellement son système immunitaire en quelques jours (les plus petits) ou en quelques semaines les adultes ?

Pourquoi ne pas s’impliquer dans les canaux d’information avec des plateformes et des professionnels de santé qui parlent de prévention, comme les nutritionnistes, les naturopathes, les phytothérapeutes, qui pourraient réaliser un immense travail d’information et de prévention au public tout en allégeant le travail des médecins et sanitaires qui sont sur le front ?

Pourquoi ne pas dire aux gens que manger des ordures, comme des produits industriels, travaillés et raffinés, est la première chose qui détruit nos défenses ?

Que l’efficacité de notre système immunitaire dépend étroitement de la qualité de notre flore intestinale et donc de la qualité de ce que nous mangeons.

Les fruits et légumes crus, locaux et de saison sont donc le meilleur moyen d’accumuler rapidement nos réserves minérales nécessaires à l’immunité…

Pourquoi ne pas expliquer qu’un jeûne intermittent contrôlé renforce le système immunitaire en seulement 3 jours ?

Qu’une respiration correcte a la capacité de réduire les niveaux élevés de production de cortisol, d’hormone régulatrice de vos niveaux de stress.

Pourquoi ne pas parler des bienfaits d’une douche froide ou d’un bain en mer, qui en quelques jours augmente le niveau de certains lymphocytes T ?

Pourquoi ne pas expliquer que des plantes comme l’échinacea, l’astragale, le sureau, la rosa canina, l’artémisia annua … sous leurs formes concentrées et correctes, augmentent les défenses immunitaires en quelques semaines ?

Pourquoi ne pas parler de l’efficacité des huiles essentielles antivirales ?

Outre la vitamine C à haute dose, l’importance de la vitamine D et des minéraux comme le zinc, le sélénium, le magnésium ? Tout cela est facile et bon marché à obtenir. Parfois, comme dans le cas du soleil, gratuit !

Pourquoi ne pas parler de comment une activité sportive saine active les hormones de la joie et du bien-être ?

Pourquoi ne pas parler de l’importance de la qualité de nos pensées et de la connexion entre l’esprit et le corps ?

Pourquoi ne pas parler de la forteresse de l’amour et de la compagnie, qui guérissent bien plus que l’isolement et la méfiance ?

Pourquoi ne pas parler du bien-être immédiat que nous donne la marche ou être dans la nature ?

Pourquoi ne pas expliquer que la peur est immunosuppresseur ? Et ça génère plus que tout : maladie, faiblesse, anxiété, souffrance.

POURQUOI NE PAS COMMENCER À INFORMER. ET POURQUOI NE PAS LE FAIRE VRAIMENT…

Ils nous ont juste appris, à mettre un masque, à être enfermés et à avoir peur.

Si vous pensez que cette information est bonne…Copiez et collez pour atteindre plus de gens et agir

Nourris-toi bien et assieds-toi.

(Crédits à l’auteur)

Respire ! 🤍