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La notion de non attachement

Dans le bouddhisme existe ce principe de non attachement

Bonjour, je vous espère en pleine forme.

Dans le bouddhisme, le non-attachement (ou vairāgya en sanskrit, alobha en pāli) ne signifie pas qu’il faut renoncer à tout ou vivre sans rien aimer. C’est une idée souvent mal comprise.

Le non-attachement signifie plutôt :

Ne pas s’accrocher de manière possessive aux choses, aux personnes ou aux idées.

Comprendre que tout est impermanent : les relations, les objets, la santé, les émotions, la vie elle-même. Rien ne dure éternellement.

Accepter cette réalité permet de réduire la souffrance qui naît quand nous voulons que les choses restent figées ou qu’elles soient différentes de ce qu’elles sont.

Exemple concret

Avec les objets : aimer une belle maison ou un vêtement n’est pas un problème. Mais croire que notre bonheur dépend absolument d’eux, ou souffrir excessivement quand on les perd, c’est de l’attachement.

Avec les personnes : aimer profondément quelqu’un est naturel. Mais vouloir le contrôler, l’enfermer, ou craindre sans cesse de le perdre crée de la souffrance. Le non-attachement invite à aimer sans posséder.

Avec les pensées et les idées : si nous nous accrochons à nos opinions comme si elles étaient la vérité absolue, nous devenons rigides et intolérants. Le non-attachement développe une ouverture d’esprit.

Pourquoi c’est important ?

Cela libère des illusions et de la peur de perdre.

Cela permet de goûter pleinement au moment présent, sans être prisonnier de l’angoisse du futur ni des regrets du passé.

Cela ouvre à une forme d’amour plus pur : aimer quelqu’un ou quelque chose, mais sans exigence de possession ni de permanence.

Prenez soin de vous – Mabelle

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Un enfant naît avec sept dons naturels.

Bonjour, comment vas tu ?

Je te partage un petit texte du Capitaine Paul Watson

Le premier est l’innocence, le second est l’ouverture d’esprit, le troisième est l’imagination, le quatrième est la confiance, le cinquième est une passion pour la vie, le sixième est la compassion pour la vie, le septième est le courage.

Voilà les dons que le monde tente de dérober à chaque enfant, en les remplaçant par sept traits inférieurs comme la culpabilité, l’étroitesse d’esprit, le conformisme, le doute, l’apathie, l’insensibilité et la peur.

J’ai découvert la face sombre de l’humanité quand j’étais encore enfant, lorsque j’ai vu assommer un bébé phoque pour la première fois. Mais j’ai aussi eu la joie de voir les baleines et de nager au milieu des castors, des dauphins, des phoques et des poissons.

Mon enfance m’a donné pour toute ma vie l’amour des autres créatures et de la nature, et pour toute ma vie aussi la passion de défendre et protéger. Elle m’a aussi fait entrevoir les choses auxquelles je ne voulais pas prendre part. Lorsque j’étais enfant, je me disais que je ferais cesser le massacre des phoques et que je protégerais les animaux sauvages.

Mes expériences enfantines ont modelé mon évolution en tant qu’adulte, et je n’ai jamais perdu cette innocence, j’ai gardé un esprit ouvert, nourri mon imagination et conservé ma confiance, ma passion et ma compassion, et renforcé mon courage.

Les livres que j’ai lus, les oiseaux dont le chant m’a émerveillé, les animaux que j’ai vus, les grands professeurs que j’ai écoutés et l’amour qui emplissait constamment mon cœur m’ont gardé sur la voie de la compassion.

Chaque enfant a le potentiel pour la grandeur, et cette grandeur peut être nourrie simplement en ne renonçant pas aux sept vertus positives pour les remplacer par les sept traits négatifs.

Les rêves d’un enfant peuvent se réaliser s’il ne perd pas les sept dons naturels qu’il reçoit à la naissance. Le secret est simple. Suivez votre cœur, et souvenez-vous que votre cœur n’a jamais tort.

Prenez soin de vous – Mabelle