Éliminer vos toxines avant ou pendant un régime est fondamental.
Les cellules graisseuses composant le tissu adipeux sont de véritables sacs-poubelles à toxines.
Le corps est bien fait, pour ne pas laisser ces toxines dans la circulation sanguine, dans un premier temps il les dilue dans le milieu extracellulaire, donc on assiste au phénomène de rétention hydrique.
Ensuite il les stocke dans les cellules graisseuses pour éviter un taux de toxicité sanguin trop élevé.
Dans la gestion du surpoids, nettoyer et détoxifier les cellules est donc important, pour éviter de recréer du tissu graisseux destiné à stocker les toxines.
Les cellules graisseuses sont de véritables sacs-poubelles à toxines.
Le meilleur moyen de nettoyer profondément vos cellules est de supplémenter celles-ci en molécules de signalisation redox.
Avec la boisson, un nettoyage cellulaire complet, une véritable détox qui élimine les toxines en profondeur.
Nos cellules fonctionnent à des niveaux optimaux, les nutriments mieux absorbés et les déchets éliminés de manière optimale.
On ne se nettoie jamais à la base et c’est ce qu’ASEA (http://vd55.com/75k)nous propose. Un simple geste quotidien permet de découvrir les vertus d’une santé et d’un bien-être véritable.
La minéralisation de nos os ne se résume pas à la quantité de calcium que nous consommons.
Notre capacité à déplacer ce calcium du sang vers les cellules et à le fixer sur la trame osseuse dépend de nombreux facteurs, dont l’équilibre acido-basique, témoin de la régulation par notre organisme du pH sanguin.
Ce pH reste rigoureusement compris entre 7,38 et 7,42. Cette étonnante stabilité contraste avec les multiples phénomènes vitaux qui tendent à acidifier le sang, tels que l’activité musculaire, la respiration, les désordres digestifs, les déséquilibres alimentaires, le stress, l’âge, l’altération du fonctionnement des reins …
Et cette homéostasie du pH est pilotée par les molécules de signalisation Redox ! http://vd55.com/75k
Lorsque les molécules de signalisation Redox sont insuffisantes dans les cellules de notre organisme, elles n’arrivent plus à maintenir ce pH sanguin à l’état d’équilibre et se mettent à puiser dans les cellules osseuses les minéraux alcalinisants, tels que le calcium, le magnésium et le potassium.
Le rôle de l’os dans le maintien du pH plasmatique est complexe. Il agit comme un réservoir de substances alcalines susceptibles d’être libérées en cas de déséquilibre de la balance acido-basique.
Bien souvent les personnes confrontées à l’ostéoporose imaginent qu’en agissant de manière extérieure sans soigner la cause, elles auront des améliorations.
Autrement dit en se supplémentant simplement en calcium elles espèrent pallier à l’ostéoporose…
En vérité il n’en est rien et cela est mis en évidence en médecine de ville et diététique thérapeutique, la supplémentation en calcium à elle seule ne peut pas atténuer le phénomène d’ostéoporose. Il faut penser à la carence en vitamine D et au déséquilibre Redox.
La multiplicité et la durée des circonstances acidifiantes au cours de la vie, dont les habitudes alimentaires modernes, peut conduire à un phénomène de spoliation du squelette au profit du plasma pour réguler la balance acido-basique : les personnes ostéoporotiques ont généralement un bilan calcique sanguin normal voir peut diminué ainsi qu’une carence en vitamine D !
Et surtout elles ont un déséquilibre Redox.
Les personnes remontant leur potentiel redox assistent à une recalcification osseuse assez surprenante car les cellules ne puisent plus dans les réserves calciques, due à la régulation du pH.
Les témoignages des patients eux-mêmes affluent en ce sens !
Ce qui est remarquable et étonnant, c’est que les personnes consommant les molécules de signalisation redox et ayant un pH acide ressentent généralement le goût du chlore.
À mesure qu’elles remontent leur potentiel Redox, le pH se régule et ce goût tend à devenir très neutre et agréable, voire légèrement salé !
L ‘ arthrite rhumatoïde se produit lorsque le système IMMUNITAIRE attaque par erreur les articulations. Le corps crée des INFLAMMATION pour lutter contre les bactéries et les virus mais envoie par erreur l’inflammation aux articulations, causant la douleur et le gonflement. L ‘ inflammation sur une longue période peut entraîner des dommages articulaires
Cela fait maintenant un peu plus de 6 ans que je prends quotidiennement des molécules de signalisation Redox Asea et ma vie a tellement changé depuis lors.
Régulièrement je reçois des commentaires disant que c’est cher pour de l’eau salée. Qu’est-ce que cela signifie ? Que ces personnes n’ont rien compris. Mais pour comprendre, encore faut-il en avoir envie et la plupart aiment dénigrer les choses sans même vouloir comprendre de quoi il s’agit.
Après avoir vu ce petit dessin animé explicatif, j’ai droit à des commentaires sur le fait qu’il s’agit d’eau salée et ceux veulent continuer à le croire le peuvent sans aucun souci pour moi. Personnellement je sais que c’est faux.
D’autres personnes que moi ont ce retour de contestataires qui ne sont pas capables de comprendre que des molécules séparées et réassemblées ne forment plus de l’eau et du sel mais des molécules Redox. Une américaine a eu l’idée de faire une vidéo dans laquelle elle teste de l’eau, de l’eau salée et la boisson Asea avec un réactif pour faire apparaître les molécules de signalisation. Les choses sont claires, seul Asea contient du Redox.
Mais bien sûr les détracteurs peuvent continuer à dire l’inverse si ça leur plaît. Et certains peuvent continuer aussi à m’envoyer des messages négatifs, ça n’a pas la moindre importance à mes yeux. J’informe pour qui veut prendre l’info, s’y intéresse qui a compris l’importance de la communication cellulaire, l’achète celui qui veut plus de bien-être, un corps en meilleure forme, l’ignore celui à qui cela convient mieux.
Personnellement je sais ce que cela m’apporte au quotidien, je sais que je me sens bien mieux aujourd’hui qu’il y a 20 ou 30 ans. Et pour ceux qui me demandent pourquoi je continue si je vais bien, la réponse est très simple : je suis parfaitement consciente de ce qui se passe, des plans pour diminuer la population mondiale, je sais à quel point tout est intoxiqué et aussi que je peux difficilement éviter certaines choses (même le bio n’est plus bio, même les légumes de mon jardin sont arrosés par des pluies toxiques, même l’air que je respire est chargé d’aluminium et autres produits tout aussi mauvais pour mon corps). Aussi je préfère me détoxiquer au quotidien que d’attendre d’être aussi mal que je l’étais en 2016. https://www.youtube.com/watch?v=uB9SQF-1h34
C’est à chacun d’entre nous de se responsabiliser et de prendre soin de sa santé car personne d’autre ne le fera pour nous, et certainement pas les médecins et pharmaciens lobotomisés lors de leurs études dans des universités subsidiées par les laboratoires pharma.
Boire une bonne eau ce n’est pas si simple mais c’est très important car nous sommes composés en grande partie d’eau.
Qu’est-ce qu’une bonne eau ?
Est-ce-qu’on boit une bonne eau quand on boit de l’eau du robinet ?
Réglementaire ne veut pas dire sanitaire. L’eau est réglementaire selon des normes officielles, elle est réglementairement potable mais malgré cela l’eau de ville n’est pas « bonne à boire »
En effet, les normes de l’eau de ville ont changé énormément au fil des décennies car les collectivités n’arrivaient plus à les atteindre
Depuis pas mal d’années les doses de chlore sont triplées (voire plus !) dans le cadre de la prévention anti-terroriste. Le problème du chlore c’est qu’on l’absorbe très bien par la peau quand on prend son bain, sa douche. C’est un biocide et un oxydant. Cela attaque le système immunitaire. (on pense aux bébés qui ont la peau très poreuse et sont baignés quotidiennement dans cette eau chlorée)
Il y a le problème des résidus médicamenteux, dont énormément de perturbateurs endocriniens. (Enjeux écologiques et sanitaires).
Ainsi que le problème des nitrates dont les normes maximales changent en permanence, à la hausse. C’est un bon indicateur de la présence de résidus de pesticides dans l’eau.
Problème d’ozone aussi en grande quantité.
Au final, le problème de l’effet cocktail de tout ça. Même si les produits chimiques sont en quantité réglementaire, quid de l’effet croisé ?
Le mythe des minéraux dans l’eau.
Que ce soit dans l’eau du robinet ou dans l’eau minérale en bouteille les minéraux sont sous leur forme inorganique donc inassimilables ce qui fait surfonctionner les reins. On encrasse notre organisme et on le fatigue.
Comparaison eau du robinet / eau de pluie à peine filtrée pour enlever les limons :
💧 l’eau de pluie brute : 2 à 7 mg de nitrate, 2 substances pesticides détectables (pollution atmosphérique) elle a une petite charge minérale. Il n’est pas recommandé de boire l’eau de pluie sans la filtrer avant stockage et une deuxième fois avant consommation.
💧 l’eau du robinet : jusqu’ à 50 mg de nitrates et jusqu’à 45 substances pesticides.
❓Alors quelle eau boire ?
👉Boire de l’eau très faiblement minéralisée
👉 L’eau est intéressante pour ce qu’elle EMporte, pas pour ce qu’elle Apporte
⚠️ Ne pas boire de l’eau déminéralisée pour autant, il faut conserver un peu de minéraux dans l’eau de boisson
🚰 Eau du robinet filtrée
👉 Au minimum : filtrer son eau du robinet avec cartouches à charbon actif et déchlorer son eau sanitaire (pour la douche surtout)
🌧️ Eau de pluie : attention au stockage !
⚠️ L’eau de pluie doit être conservée dans de bonnes conditions (cuve enterrée), et filtrée un minimum (sédiments) pour le stockage. Puis elle sera filtrée de nouveau pour la consommation.
🧴Eaux en bouteille peu minéralisées (voir les résidus à sec indiqués sur les bouteilles), changer régulièrement de marques. Penser cependant au largage de plastic dans l’eau plus ou moins important selon la manière dont l’eau a été transportée et stockée.
Article sur les nitrates dans l’eau du robinet : https://www.lanutrition.fr/bien-dans-son-assiette/aliments/boissons/eau/les-nitrates-dans-leau-du-robinet
Personnellement, j’ai fait installer un système de filtration (Amilo, système français) directement après mon compteur parce que je souhaitais filtrer à la fois l’eau de la cuisine et de la salle de bains (vu que notre peau est le plus grand organe du corps, et que tout ce avec quoi elle est en contact pénètre dans l’organisme), en sachant que lessiveuse et chasse de WC sont déjà branchés sur la citerne d’eau de pluie.
J’avais fait pas mal de recherche sur les différents systèmes existants (et ils sont très nombreux), sur leurs bénéfices et (parfois gros) défauts de certains et m’étais finalement décidée pour ce système qui répondait parfaitement à ce que je cherchais et dont je suis satisfaite.
Lorsque je m’absente de la maison, j’avais pour habitude d’emporter de l’eau dans une bouteille vide de Redox parce qu’elles sont faites d’un plastic médical HDPE2 qui ne relargue pas de particules de plastic dans mon eau.
Cependant, il arrive parfois des imprévus qui font que je reste plus longtemps hors de la maison et vu que je suis assez méfiante sur l’eau en dehors de chez moi. Il faut bien dire que la seule fois depuis des années où je n’avais ni bouteille ni gourde et que j’ai bu de l’eau chez des amis, j’ai été intoxiquée parce que l’eau n’était pas potable à cause d’un gros orage la veille et comme nous étions occupé à un déménagement, nous n’avions pas relevé le courrier déposé par l’administration communale pour prévenir du problème.
Vu que je ne pense pas forcément à avoir des réserves d’eau dans la voiture qui chauffent au soleil (oui, même en Belgique et avec 15° dehors, à l’intérieur de l’habitacle d’une voiture, l’eau chauffe rapidement, or j’aime l’eau tempérée mais pas chaude) et que je n’ai pas envie de porter 3 litres d’eau dans mon sac (bien oui, je bois 2,5 à 3 litres par jour), j’avais acheté une gourde Oko qui filtre tout et permet même de boire l’eau d’une flaque. La gourde vide n’est pas bien lourde dans un sac et bien pratique.
Ok, j’avoue que je n’ai jamais essayé de boire de la boue mais, sait on jamais ce qui peut arriver dans ce monde de folie. La gourde filtre bien et chaque filtre permet de filtrer 400 litres. Au vu de la situation économique, de la demande et du fret international, mieux vaut en avoir de réserve dans son tiroir.
Le site permet en passant par un lien d’ami d’avoir des prix réduits. Je vous donne le mien. Après vous passez par là ou non, c’est vous qui voyez. Le lien pour l’achat est https://okoeurope.com/okoanita et le code de réduction de 10% sur vos achats : MABELLEOKO
Concernant le système Amilo installé après mon compteur il est aussi possible de bénéficier d’une réduction, mais seulement jusque la fin du mois, il vous faut réagir avant le 30 septembre pour obtenir des années d’eau filtrée et vitalisée supplémentaires soit 6 ans de tranquillité totale.
Je vous espère en forme et habitant dans une région qui n’est pas soumises aux inondations épouvantables dont certains sont victimes.
Voici la différence entre le beurre et la margarine, lisez jusqu’au bout. C’est vraiment intéressant.
La margarine était manufacturée à l’origine pour engraisser les animaux. Mais quand le produit en question a commencé à nuire aux éleveurs en tuant les animaux prématurément, les investisseurs qui avaient mis leur argent dans la recherche ont voulu un retour d’argent. Alors, ils ont cherché un moyen de faire de l’argent avec ce produit. C’était un produit gras, de couleur blanche sans attrait nutritif alors ils ont ajouté un colorant jaune et l’ont vendu aux consommateurs pour remplacer le beurre. Cet agent chimique engraissant est maintenant offert dans une variété de saveur.
Mais connaissez-vous vraiment la différence entre la margarine et le beurre?
Les deux ont la même quantité de calories. Le beurre est un peu plus haut en gras saturé à 8 grammes comparé à 5 grammes pour la margarine.
Manger de la margarine peut augmenter la maladie du coeur chez la femme de 53% comparé à manger la même quantité de beurre, selon une étude récente du département médical de Harvard.
Manger du beurre augmente l’absorption des autres nutriments contenus dans la nourriture. Le beurre a beaucoup de bénéfices nutritionnels comparés à ceux de la margarine qui ne sont que des additifs.
Le beurre goûte bien meilleur que la margarine, et il peut améliorer la saveur de la nourriture lorsque ajouté dans une recette. Le beurre est utilisé depuis des siècles alors que la margarine est sur le marché depuis à peine une centaine d’années.
Que peut on reprocher à la margarine ?
Très haute en acides gras.
Triple le risque de maladie coronarienne.
Augmentation total du cholestérol et LDL (le mauvais cholestérol) et baisse le niveau du HDL (le bon cholestérol).
Augmente le risque de cancer par 5 facteurs.
Baisse la qualité du lait maternel.
Baisse la réponse immunitaire.
Baisse le niveau d’insuline.
ET VOICI LE FAIT LE PLUS DÉRANGEANT : Les composants moléculaires de la Margarine sont à 95% comme le plastique. Juste ce fait tout seul devrait être assez pour vous convaincre d’éviter la margarine pour la vie, et tout ce qui est hydrogène (ce qui signifie que de l’hydrogène est ajouté pour changer la structure moléculaire du produit).
Vous pouvez faire un test par vous-même : Achetez un pot de margarine et laissez le dans votre garage ou dans une zone d’ombre. Après quelques jours vous remarquerez quelques détails : Pas de mouches, même pas les petites mouches à fruits, elles ne vont pas sur la margarine. (déjà là ça devrait vous dire quelque chose). Elle ne moisit pas, rien ne poussera sur ce produit tellement il est chimique. Même le plus petit des micro-organismes, ne voudra en faire sa maison. Pourquoi? Parce que c’est presque du plastique. Feriez-vous fondre un bol de Tupperware au micro-onde pour l’étendre sur votre toast ?
Ma grand-mère m’a toujours dit que je ne devais pas manger quelque chose qui ne pourrissait pas en le laissant une semaine sur le meuble de la cuisine en été. Et elle n’a jamais acheté le moindre paquet de margarine.
Dr Bredesen : «On prévient et on inverse la maladie d’Alzheimer en agissant sur le mode de vie»
Le neurologue, le Dr Dale Bredesen a consacré plus de 30 années à la recherche sur les maladies dégénératives. Avec son équipe il a mis au point le premier protocole de traitement qui permet d’inverser les symptômes de la maladie d’Alzheimer, qu’il détaille dans son livre La fin d’Alzheimer.
Alzheimer est une maladie, parmi les 10 premières causes de mortalité, contre laquelle il n’existe aucun traitement efficace. Cela parce que la façon actuelle d’aborder la maladie d’Alzheimer n’est pas la bonne. Tout d’abord, les médicaments contre Alzheimer ne se concentrent que sur un seul aspect de la maladie, or il s’agit d’une maladie bien plus complexe : 36 facteurs contribuent à Alzheimer. Imaginez donc que vous ayez un toit percé de 36 trous et que votre médicament est capable de réparer l’un d’eux. Si même il arrive à boucher un trou, il en reste encore 35 qui laissent passer la pluie et à l’intérieur de votre maison, la situation n’a pratiquement pas changé.
Par ailleurs, des expériences, menées sur des rats de laboratoires, suggèrent que la maladie d’Alzheimer est causée par l’accumulation dans le cerveau de plaques d’une substance gluante constituée de protéine bêta-amyloïde qui détruisent les synapses. Depuis les années 1980, ce que l’on appelle l’hypothèse amyloïde est considérée par la plupart des neurobiologistes comme un dogme intangible alors que toutes les substances conçues pour détruire cette fameuse protéine ne donnent que des résultats plus que frustrants.
Pourquoi ? La maladie est en réalité un mécanisme de défense, qui inclut la production de bêta-amyloïde. Cette protéine dont tout le monde essaie de se débarrasser, est partie intégrante d’une réponse protectrice. Il n’est donc pas étonnant que les tentatives de la supprimer ne soient pas très efficaces pour traiter la maladie.
Le cerveau produit la protéine bêta-amyloïde pour tenter de se protéger contre deux menaces :
1) l’inflammation (et oui, toujours cette inflammation qui peut être due à l’alimentation, la pollution, les métaux lourds et autres toxiques dans les médicaments, vaccins …),
2) les carences en nutriments et hormones indispensables au fonctionnement du cerveau,
L’accumulation de protéine bêta-amyloïde forme des plaques dans le cerveau, entre les neurones et bloque les espaces permettant leur communication : les synapses.
Une fois que l’on admet que la maladie d’Alzheimer est la conséquence d’une lutte du cerveau pour se défendre contre l’inflammation ou contre un afflux de toxiques, la méthode optimale de traitement de la maladie devient évidente : identifier et supprimer les menaces – il y en 36 au total – qui amènent le cerveau à produire la bêta-amyloïde, originellement protectrice et supprimer la bêta-amyloïde déjà produite. Enfin, reconstruire les synapses détruites par la maladie.
Des modifications du mode de vie sont indispensables, il est nécessaire d’agir sur l’alimentation, le stress, l’activité physique… afin que le cerveau n’ait pas à se protéger.
La maladie d’Alzheimer n’est pas une fatalité. On en parle ? N’hésitez pas à me contacter
Bonjour, je vous espère en pleine forme. Un petit article, qui ne va pas plaire à tout le monde, sur le rôle de l’alimentation dans de nombreuses maladies. Pourquoi je présume qu’il ne va pas plaire ? Parce que je sais que l’être humain veut que les choses changent mais ne veut lui même rien changer à sa façon de vivre.
La scientifique Jacqueline Lagacé démontre dans son livre que des changements alimentaires permettent de réduire au silence une centaine de maladies.
De quelles maladies s’agit-il ?
Les maladies auto-immunes (de grosses molécules d’origine alimentaire ou bactérienne pénètrent indûment dans l’organisme via l’intestin grêle et déclenchent la fabrication d’anticorps et des réactions immunitaires en cascade. Certains de ces anticorps se retournent contre l’organisme. Ce boomerang immunitaire donne une maladie auto-immune) : maladie de Basedow, maladie coeliaque, maladie de Gougerot-Sjörgen, syndrome de Guillain-Barré, maladie de Horton, narcolepsie, neuropathie périphérique idiopathique, rhumatisme psoriasique, sclérose en plaques, spondylarthrite ankylosante, thyroïdite d’Hashimoto …
Les maladies d’encrassage (des molécules d’origine alimentaire ou bactérienne de plus petite taille pénètrent indûment dans l’organisme via l’intestin grêle. Trop petites pour déclencher la fabrication d’anticorps, elles s’infiltrent dans les tissus et perturbent la communication entre les cellules, c’est pourquoi on les qualifie de polluants cellulaires. Pendant cette période de pollution, elles vont donner les maladies d’encrassage : Alzheimer, arthrose, cancer, cataracte, céphalée de tension, fibromyalgie, glaucome, goutte, infections à répétition, obésité, Parkinson, schizophrénie, stéatose hépatique non alcoolique, vieillissement prématuré, …
Les maladies d’élimination (les polluants cellulaires vont être pris en charge par des globules blancs « nettoyeurs» qui vont leur livrer un combat impitoyable au cours duquel certains vont mourir. Ces cellules mortes seront évacuées vers les émonctoires comme la peau, l’estomac, le côlon, les voies aériennes supérieures (nez, sinus, poumons). Cette évacuation donne lieu aux maladies d’élimination) : acné, asthme, bronchite chronique, cals, cors et durillons plantaires, colite, conjonctivite, œdème de Quincke, psoriasis, rhinite chronique, rhume des foins, urticaire, …
Quand un microbe s’introduit dans l’organisme on voit apparaître des rougeurs. de l’enflure, de la douleur et parfois même de la fièvre. Tout ça disparaît généralement après un certain temps parce que les leucocytes ont réussi à combattre l’infection. Mais lorsqu’on est confrontés à une maladie inflammatoire chronique –la fibromyalgie, l’arthrite, le diabète de type 2, l’asthme, la maladie de Crohn, … – c’est que notre système immunitaire n’arrive pas à éliminer l’agent irritant. Il continue à lutter contre lui pendant des années. Au départ, il y a une inflammation silencieuse, qui se transforme petit à petit en inflammation chronique. Dans certains cas, comme celui de l’arthrose, ça peut prendre de 10 à 30 ans avant d’avoir conscience de la douleur.
Jacqueline Lagacé souffrait d’arthrose du dos depuis l’âge de 30 ans, puis a commencé à souffrir d’arthrose des genoux, d’arthrite des mains à 62 ans. Au début, elle tentait de contrôler les douleurs avec paracétamol et aspirine, mais ses douleurs se sont amplifiées au fil des mois. Au bout de deux ans, en 2006, ses doigts ne pouvaient quasiment plus plier et son pouce gauche était complètement devenu immobile. Les élancements étaient tellement insupportables qu’ils l’empêchaient de dormir. Lorsqu’elle a eu recours à la médecine traditionnelle, il lui a été prescrit un anti-inflammatoire non stéroïdien qui aurait été à l’origine de dizaines de milliers de crises cardiaques.
Même si elle pensait s’alimenter correctement, elle avait l’intuition que l’origine de ses problèmes articulaires était liée au contenu de son assiette. Ayant compris que la médecine traditionnelle ne pouvait pas l’aider, elle a fait des recherches sur le Net et découvert la méthode du Dr Jean Seignalet, un médecin et chercheur français spécialisé en immunologie, en nutrithérapie et en rhumatologie.
Si ce médecin est décédé en 2003, son site est constamment mis à jour par les membres de sa famille. Elle a commencé à suivre son régime « hypotoxique » le 10 juin 2007 et, en 10 jours à peine, ses élancements avaient complètement disparu. Trois mois plus tard, elle pouvait bouger un peu son pouce gauche et, après 16 mois de régime, les articulations de ses doigts avaient repris progressivement leur fonctionnement normal.
Cette découverte était trop fantastique pour ne pas être partagée, elle a décidé d’écrire un livre sur le sujet. Grâce à son doctorat en virologie et ses études postdoctorales en immunologie et en bactériologie, elle avait la formation requise pour vérifier dans la documentation scientifique récente le bien-fondé des théories du Dr Seignalet.
Le fait de démontrer que les produits laitiers et la plupart des céréales sont impliqués dans le développement de nombreuses maladies inflammatoires chroniques demande du courage, parce que ça va à l’encontre des diktats alimentaires occidentaux.
Quelles sont les bases de ce régime ?
Elles reposent principalement nos enzymes digestives et sur leur capacité de digérer correctement les aliments. Nos ancêtres se nourrissaient des produits de leur chasse et de leur pêche ainsi que de la cueillette de végétaux non cultivés et, lorsque c’était possible, de miel. Nos enzymes digestives ont donc évolué en fonction de ce type d’aliments. La nourriture qui provient de l’agriculture et de l’élevage – une « innovation » qui date seulement de 10 000 ans – ne représente ainsi qu’environ 1% de l’histoire de l’être humain. Nos enzymes seraient mal adaptées à l’alimentation moderne. Conséquence? Chez certaines personnes, l’intestin grêle devient « hyperméable »(c’est-à-dire qu’il permet le passage dans le sang et les tissus de molécules trop grosses, donc nocives, d’origine alimentaire et bactérienne); ce qui, en cas de fragilité génétique, entraîne le développement de maladies inflammatoires chroniques.
Que devrait-on alors bannir de notre alimentation ?
Pour commencer il faut éliminer tous les produits laitiers, de quelque origine animale que ce soit, Le Dr Seignalet assure que le lait de vache est inadapté aux humains, car les quantités astronomiques de protéines et de calcium qu’il contient servent à faire prendre aux veaux100 kg en un an… Notre organisme n’est pas capable de l’assimiler.
On doit aussi bannir un grand nombre de produits céréaliers (à l’exception du riz, du quinoa, du sarrasin, du sésame et du tapioca), que nous ne pouvons digérer correctement et qui causent dans l’intestin grêle un encombrement de grosses molécules, et, peu à peu, une partie des «bonnes» bactéries sont remplacées par des bactéries pathogènes. Ainsi soumise à un phénomène inflammatoire, la très mince paroi de l’intestin grêle finit par se détériorer, laissant ces molécules la traverser et se déposer dans différents tissus.
Il est donc complètement faux de dire que l’usure de nos cartilages est la cause première de l’arthrose, que cette maladie n’est pas de nature inflammatoire et que c’est normal, avec l’âge, d’en souffrir. Le contraire a été démontré par des travaux de recherche récents et sérieux. Il semble désormais évident que c’est l’inflammation de la capsule articulaire (capsule synoviale) – causée, entre autres, par l’accumulation de glycotoxines – qui entraîne peu à peu une dégradation de la qualité du cartilage, qui devient alors sujet à l’usure. En raison d’une alimentation mal adaptée, l’encombrement provoqué dans les intestins occasionne un encrassage des tissus susceptible d’engendrer des réactions inflammatoires de l’enveloppe de l’articulation.
Comment le régime Seignalet agit-il sur les douleurs chroniques ?
En cessant de manger des aliments qui altèrent l’intestin grêle, on donne la chance à ses parois de se reconstituer et de redevenir imperméables aux grosses molécules. Notre système immunitaire pourra ensuite éliminer les toxines accumulées dans nos tissus. Cela dit, il faut souligner que le régime «hypotoxique» ne guérit pas la maladie, il en permet plutôt la rémission tant qu’il est respecté.
La santé est donc un choix qui exige quelques sacrifices. Adieu céréales et produits laitiers, mais bonjour à une capacité normale à se mouvoir. Attention, le régime Seignalet n’est pas le remède miracle à toutes les maladies. Retrouvez la liste des pathologies qui peuvent être améliorées voire réduites au silence par le régime, ainsi que les maladies pour lesquelles le régime ne fonctionne pas dans le livre de Jacqueline Lagacé https://amzn.to/3rYjTy8
Pour éliminer plus rapidement les toxines, retrouver une bonne communication cellulaire, soutenir dans ce processus de retour à une meilleure santé, les molécules de signalisation Redox : http://vd55.com/75k
La calcédoine verte est considérée comme une pierre nourricière qui aide à promouvoir la bonne volonté et la fraternité.
Elle aide à améliorer la stabilité du groupe, renforce la connexion entre les membres de la confrérie qui incluent le groupe familial, ce qui par la suite entraîne une meilleure communication et interaction afin qu’ils puissent rester solides en éliminant les tensions.
Elle absorbe l’énergie négative et canalise l’énergie positive dans l’environnement. Une harmonie dans l’environnement sera alors créée. La calcédoine verte, nous permet de ressentir la bienveillance et la générosité en nous.
La calcédoine atténue l’irritabilité et les crises de colère et procure de la sérénité. Elle est la pierre de l’éloquence, de la diplomatie. Elle est très efficace contre le bégaiement.
Elle aide à rédiger des travaux de manière précise et compréhensible. Elle est excellente pour l’apprentissage et la compréhension. Pour les difficultés scolaires, ajoutez l’azurite.
Lorsque tu achètes du sel regardes tu la liste des ingrédients sur l’emballage ? Savais tu que le sel contient ces ingrédients ?
Ce type de sel contient par exemple :
➡️ E535 :
Un ferrocyanure, stabilisant pour l’enrobage des baguettes de soudage, l’élimination des composés chimiques sulfurés, traitement photographique, etc. Tout récemment une dose journalière a carrément été fixée pour éviter de rentrer dans un seuil de toxicité.
Le carbonate de Magnésium est utilisé dans certains médicaments comme les laxatifs, ici ils servent de régulateur synthétique d’acidité…
En Europe ou aux Etats-Unis, il est même autorisé dans l’alimentation BIO.
Toutefois, il est interdit dans les préparations pour nourrissons et enfants en bas âge.
➡️ FLUOR :
Il serait source de pathologies graves comme favoriser la croissance des tumeurs, diminuer le quotient intellectuel ou développer la fluorose. Le fluor prend la place de l’Iode indispensable au bon fonctionnement de l’organisme. Je ferai prochainement un article sur cet oligoélément primordial qu’est l’Iode et les dangers de sa carence.
➡️ Choisir son sel : l’un d’entre eux est à éviter et pourtant, nous le consommons beaucoup !
Je te laisse te faire ton propre avis mais plus la liste des ingrédients est longue et plus tu dois la fuir. Du sel, ça doit être du sel, et rien d’autre
Si vous me suivez, vous devez avoir compris depuis longtemps que je n’aime pas les cosmétiques qui contiennent tous des produits chimiques, c’est pourquoi je n’utilise sur ma peau que le gel Redox Renu28, qui contient 4 ingrédients simple, un gel qui délivre les molécules de redox qui vont travailler au niveau de l’Hypoderme, (3eme couche). La majorité des produits travaillent au niveau de l’Epiderme qui est la couche superficielle de la peau dont la surface est formée de cellules mortes! https://mabelle.myasealive.com/fb/products/Renu28.aspx
Le marché des cosmétiques occupe une place très importante dans le marché français estimé à 972 M€ en 2020. Auparavant, majoritairement féminin, l’usage des cosmétiques attire aussi les hommes et de plus en plus. Bien les choisir c’est être responsable de son éthique mais aussi un moyen de ne pas faire n’importe quoi. Comment bien les choisir : 95% d’ingrédients naturels minimum et pas d’origine naturelle.
Alors que les produits cosmétiques, d’hygiène et de beauté, sont supposés prendre soin de notre peau, ils regorgent d’ingrédients aux effets indésirables pour la santé. Un produit de beauté sur quatre contient des substances néfastes, pourtant déjà interdits dans l’Union européenne, selon un dernier rapport de l’Agence européenne des produits chimiques (ECHA) publié en février dernier.
Certains d’entre eux se retrouvent régulièrement épinglés par l’association UFC-Que Choisir. A l’automne 2021, 140 références non conformes de produits cosmétiques ont même été retirées du marché à la suite de contrôles menés par la DGCCRF (Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes).
Pour une peau heureuse et serine, voici liste des ingrédients dangereux et à éviter :
Les sulfates : substances irritantes à éviter
Tensioactifs qui possèdent un très bon pouvoir détergent que l’on retrouve dans de nombreux cosmétiques moussants pour la douche et le bain. On leur reproche leur caractère agressif et irritant pour la peau. Bien-sûr, tout dépend de la fréquence d’utilisation des produits qui les contiennent et de la quantité utilisée. Par ailleurs, les sulfates présentent une très mauvaise biodégradabilité.
Les benzophénones, Filtres solaires synthétiques interdits en cosmétique bio, ces ingrédients sont suspectés d’être des perturbateurs endocriniens et allergènes.
Les BHA et BHT : ingrédients néfastes à fuir. Antioxydants synthétiques utilisés pour éviter l’oxydation et le rancissement des huiles végétales (et des parfums), les BHA et BHT sont des perturbateurs endocriniens qui peuvent également produire des réactions allergiques dans la peau.
Les parabènes sont des conservateurs utilisés dans tous types de cosmétiques accusés d’être pour certains des perturbateurs endocriniens. Ils sont interdits en cosmétique bio.
Les silicones : substances polluantes et sans intérêt. Certaines silicones de type cyclopentasiloxane et cyclotetrasiloxane qui sont très volatiles et utilisées dans beaucoup de soins pour l’effet soyeux qu’elles procurent ou pour protéger la peau de la déshydratation, sont considérées comme des perturbateurs endocriniens et potentiellement cancérogènes. Elles sont interdites en cosmétique bio.
L’Ethylhexyl methoxycinnamate : ce filtre solaire synthétique interdit en cosmétique bio est considéré comme un perturbateur endocrinien.
Les Thiazolinones : MIT et MCIT, ces ingrédients utilisés en tant que conservateurs notamment dans les produits rincés sont fortement allergisants et irritants pour la peau.
Les p-Phenylenediamine et ses dérivés : ingrédients allergisants à éviter, ils sont présents dans les colorations capillaires permanentes et les tatouages éphémères, il s’agit d’ingrédients dits sensibilisants, susceptibles de provoquer des allergies.
Le Phénoxyéthanol est un éther de glycol suspecté d’être un perturbateur endocrinien. C’est un conservateur synthétique interdit en cosmétique bio.
Le Triclosan : ingrédient perturbateur endocrinien à fuir. Antibactérien, le triclosan est suspecté être un perturbateur endocrinien qui agirait non seulement sur les hormones œstrogènes, mais aussi sur la fonction thyroïdienne.
La cocamide DEA et autres dérivés : on les retrouve dans les moussants tels que gels douche, shampoings, démaquillants, savons. Ce sont des composés synthétiques qui ont tendance à réagir avec les nitrites pour former des nitrosamines, catégories de molécules que le Centre international de Recherche sur le Cancer décrit comme des substances potentiellement cancérigènes. Par ailleurs, ces ingrédients synthétiques peuvent causer des démangeaisons de la peau et des yeux.
Les huiles minérales : polluantes et comédogènes, ce sont des ingrédients purement synthétiques, issus d’un processus de distillation et de raffinage de combustibles fossiles, les huiles minérales sont occlusives, sans qualité nutritionnelle pour la peau. On les retrouve partout, crème visage et corps, crème de nuit, maquillage, fond de teint, produit solaire. Ce sont des huiles dites comédogènes, elles sont irritantes pour la peau et très polluantes (non biodégradables). Elles présentent également une problématique de toxicité en cas d’ingestion par voie orale : elles ont tendance à s’accumuler dans l’estomac et dans nos organes.
Le dibutyl phthalate (ou DBP) est un solvant qui a été très longtemps utilisé dans les vernis à ongles pour ses propriétés plastifiantes. Considéré comme une substance CMR, cancérigène, mutagène ou toxique pour la reproduction. Il est désormais interdit dans les cosmétiques dans les plastiques en contact avec des aliments gras ainsi que dans tous les jouets et les articles de puériculture. Il est également nocif pour l’environnement, les poissons et la faune mais de nombreux fabricants passent outre les lois en vigueur et d’autres utilisent le fait que leurs produits sont fabriqués à l’étranger avec d’autres réglementations pour continuer à utiliser des produits interdits.
Les libérateurs de formaldéhyde : ingrédients à éviter en cosmétique. On parle également de libérateurs de formol. Ces différents ingrédients que l’on retrouve dans toutes les catégories de produits cosmétiques sont utilisés comme conservateurs. Leur particularité est leur fâcheuse tendance à se décomposer pour libérer de façon lente et continue de petites quantités de formaldéhyde, une substance jugée cancérigène et un puissant allergène pour couronner le tout !
Les PEGLes PEG sont des dérivés du pétrole très couramment utilisés dans différentes familles de produits cosmétiques. Suivant le chiffre associé, on s’en sert pour leurs propriétés épaississantes, émulsifiantes ou tensioactives. Ce sont également de bons solvants, adoucissants et humectants. En fonction de leur processus de fabrication, les PEG peuvent contenir du 1,4-dioxane potentiellement cancérigène. Certains PEG sont irritants dès lors qu’ils sont utilisés en grandes quantités. Les PEG sont également très peu biodégradables, ils se dégradent mal et s’accumulent dans l’environnement.
Les ammoniums quaternaires (appelés aussi des quats) sont souvent retrouvés dans les produits capillaires, les shampoings, les conditionneurs capillaires (après-shampoings) et toutes les lotions « néfastes » destinées aux cheveux (colorations capillaires, permanentes, démêlants, défrisants). On reproche aux ammoniums (poly)quaternaires d’être légèrement irritants pour la peau et partiellement ou non biodégradables.
Les sels d’aluminium sont présents dans les anti-transpirants (ou antiperspirants). L’aluminium est considéré comme un perturbateur endocrinien, responsable de l’apparition de la maladie d’Alzheimer et du cancer du sein.
L’alcool benzylique peut être d’origine naturelle / végétale (il est naturellement présent dans plusieurs plantes et donc dans les huiles essentielles, par ex de cannelle, de jasmin, d’ylang-ylang…) ou synthétique. C’est un des rares conservateurs d’origine synthétique accepté par certains cahiers des charges du bio dont celui d’Ecocert. L’alcool benzylique n’est pas dangereux ni toxique pour la peau. Il fait cepentant partie de la liste des 26 allergènes, il est potentiellement irritant et allergisant. Sa présence doit obligatoirement être mentionnée sur la liste de votre produit s’il dépasse un certain seuil. Il est clair que les fabricants introduisent généralement une quantité juste sous celle qui doit être renseignée, ce qui n’empêche pas certains de faire des allergies à des quantités moindres.
Les parfums de synthèseDésignés par les appelations «perfume» ou «fragrance», de nombreuses substances synthétiques se cachent derrière ses belles odeurs dont on ignore la composition gardée secrète par les laboratoires de parfum.
Et si vous optiez pour le « Fait maison » ? Et, n’oubliez pas que votre peau est en lien avec vos reins. Chouchoutez vos reins pour une belle peau. Inutile d’investir dans une placard complet de produits, personnellement je n’ai que le gel Renu et un gommage très simple à réaliser avec seulement 3 ingrédients : du café, du sel de mer et de l’huile de noix de coco.
Vous avez seulement besoin de :
1 tasse de café bio en poudre. 6 cuillères à café d’huile de noix de coco bio. 3 cuillères à café de sel de mer.
Préparation :
Dans une tasse de café, versez l’huile de noix de coco préalablement fondue si la température n’est pas suffisamment élevée pour que l’huile soit liquide. Ajouter le sel. Mélangez bien tous les ingrédients.
Avant de prendre une douche, sur une peau humide, frottez la zone à gommer avec avec votre préparation, directement avec les mains, en mouvements circulaires.
La caféine va stimuler la circulation sanguine et raffermir la peau. Les grains de sel agiront comme un exfoliant et l’huile de noix de coco va nourrir et adoucir la peau.
Ensuite une douche pour éliminer tout ça et vous voilà avec une peau superbement douce.
Ne vous inquiétez pas pour vos canalisations. Ca fait des années que j’utilise ce gommage et tout va bien pour mes tuyauteries. D’ailleurs ma grand-mère versait toujours son marc de café dans l’évier pour nettoyer les canalisations. Elle a fait ça durant des dizaines d’années et aucun problème de débouchage à réaliser.
Prenez soin de vous
Mabelle
Etre acteur de sa vie, être soi en pleine conscience