
Les libertés auxquelles vous renoncez


C’est bien évidemment les injections de « vaccins » …
… sauf que les malades sont justement ceux qui sont déjà vaccinés

Ca n’a rien de sanitaire, juste une question de fric pour enrichir les labos et, pour les décideurs recevoir leur commission sur ces produits

Tu as peut-être déjà entendu dire que le miam-ô-fruit est un petit-déjeuner “parfait”.
Naturel, vitaminé, coloré … Oui.
Mais métabolique ? Pas vraiment.
Voici pourquoi ⬇️
🍌 1. Beaucoup trop de sucre
Entre la banane écrasée + les fruits + le mélange sucré :
➡️ c’est un énorme pic de glucose.
Même naturel = ça reste du sucre.
⏰ 2. Le matin : pire moment pour ça
Ton cortisol est plus haut.
Résultat : ta glycémie monte encore plus vite → fatigue, fringales, stockage.
🥑 3. Sucre + gras = combo stockage
Fruits très sucrés + huile + graines =
Insuline qui grimpe
+ matières grasses qui se stockent facilement.
🔥 4. Pour le métabolisme, c’est trop lourd
On pense que c’est “léger”…
⚠️ 5. Si tu veux réduire tes fringales, ton ventre gonflé ou ta fatigue…
Ce n’est pas le meilleur choix.
L’insuline se fatigue. Le stockage augmente. Le métabolisme ralentit.
✨ Le miam-ô-fruit n’est pas mauvais… mais il n’est pas adapté à une santé métabolique.
Si tu veux stabiliser ton insuline :
➡️ commence par un repas riche en protéines, fibres et bonnes graisses sans excès de sucre.
Ton énergie te remerciera.
Pour ma part, depuis que j’ai intégré le jeûne intermittent à ma routine, ma concentration, mon énergie et surtout mon sommeil se sont améliorés d’au moins 30 %. Comme quoi, parfois, un petit ajustement peut tout changer ✨
💬 Tu as déjà ressenti des fringales ou un “coup de barre” après un petit-déj très sucré ?
Raconte-moi en commentaire
Prends soin de toi
Mabelle

Ce n’est donc pas la banque qui crée de la valeur : c’est l’acte d’engagement de l’emprunteur. C’est sa signature, sa capacité d’endettement, sa promesse de remboursement, son travail futur, ses efforts, sa confiance dans le système, qui permettent à la banque d’inscrire une somme sur son compte et de dire : « Voici ce que nous vous avons prêté. » En vérité, c’est l’emprunteur qui a permis cette création. Sans lui, aucun crédit ne peut exister, aucune monnaie ne peut être injectée, aucun intérêt ne peut être perçu. La banque agit comme un simple agent comptable qui crédite un compte à partir d’une promesse contractuelle. Elle ne donne rien de réel. Ce que l’on appelle “le capital prêté” est en réalité le fruit d’une dette adossée à un acte de foi. Et c’est ce paradoxe que le système bancaire tente d’occulter.
Mais cette opération initiale n’est que le début d’une chaîne de profits. Car une fois le crédit accordé, la banque peut, sans attendre, titriser cette créance. Cela signifie qu’elle transforme le droit qu’elle détient sur l’emprunteur en un produit financier, qu’elle revend à d’autres investisseurs. Cette cession lui permet de récupérer immédiatement le capital — parfois augmenté d’une prime — tout en continuant, souvent, à encaisser les mensualités ou à déléguer la gestion du prêt à une filiale. L’emprunteur, lui, n’en est pas informé, alors même que l’article 1324 du Code civil impose que toute cession de créance soit notifiée pour être opposable au débiteur. Le Code est clair : « La cession n’est opposable au débiteur, s’il n’y a déjà consenti, que si elle lui a été notifiée ou s’il en a pris acte. » Ce silence organisé sur les circuits de la titrisation est une fraude à la transparence contractuelle. L’emprunteur continue de rembourser une entité qui, dans bien des cas, n’est plus créancière. Il verse capital et intérêts à un acteur qui a déjà récupéré sa mise. Il paie sans savoir à qui il paie.
Et pourtant, selon l’article 1321 du même Code civil, la cession de créance est un transfert de propriété : le créancier d’origine n’est plus titulaire du droit à paiement. Or, s’il n’a pas notifié la cession, il ne peut légitimement percevoir les sommes dues. L’article 1326 complète cette logique : celui qui cède une créance à titre onéreux garantit seulement son existence, et non la solvabilité du débiteur, sauf engagement exprès. Autrement dit, une fois la créance vendue, la banque n’assume plus aucun risque, ne détient plus aucun droit, mais continue de percevoir les paiements au mépris des règles les plus élémentaires du droit des obligations. Le débiteur, lui, est maintenu dans l’ignorance, prisonnier d’un contrat dont les bénéficiaires réels ont changé sans qu’il soit informé, ce qui rend les paiements versés juridiquement discutables, voire sujets à restitution pour cause de paiement de l’indu.
Dans ce contexte, une question fondamentale se pose : si le crédit a été intégralement remboursé, si le capital a été reconstitué par l’effort exclusif de l’emprunteur, si la créance a été vendue, monétisée, titrisée, exploitée, et si l’intégralité des échéances a été honorée, à qui appartient, au final, le capital ? La réponse est limpide : à celui qui l’a permis. Le capital n’a existé que parce qu’un citoyen a signé un contrat. Il n’a circulé que parce que sa promesse de remboursement a été exploitée par une institution financière. Il a généré de la monnaie, de la dette, des intérêts, des produits dérivés, des titres, parfois même des instruments spéculatifs. Et tout cela sans que l’emprunteur ne reçoive jamais un centime de retour, ni même une reconnaissance de sa contribution à la richesse monétaire créée.
On voudrait nous faire croire que la banque est une bienfaitrice qui “aide à financer” les projets. En réalité, c’est l’emprunteur qui finance la banque. C’est sa dette qui devient un actif. C’est son crédit qui devient une valeur. C’est sa maison, son salaire, ses efforts, qui garantissent le système. Et pourtant, à la fin de l’histoire, il est celui qui perd tout si un défaut survient, tandis que la banque a déjà sécurisé ses bénéfices en revendant la créance ou en la couvrant par des mécanismes de titrisation. Cette asymétrie est plus qu’un déséquilibre : c’est un détournement du sens même de la propriété.
Le capital créé par un contrat de crédit appartient, par essence, à celui qui le fait exister. Il ne vient pas d’une “épargne préalable” de la banque. Il n’est pas le fruit d’un sacrifice bancaire, ni d’un risque réel supporté par elle. Il est une conséquence directe de l’engagement du citoyen. Ce capital, une fois remboursé, devrait lui revenir. À tout le moins, il ne peut légitimement rester captif d’un système qui a déjà retiré tous ses profits. Dans une démocratie monétaire authentique, on reconnaîtrait à chaque emprunteur un droit de restitution, de crédit fiscal, de participation à la valeur générée. On admettrait que la richesse créée par la dette contractée n’est pas une dette envers la banque, mais un apport à l’économie. On ne pourrait plus justifier que les citoyens créent la monnaie, remboursent le capital, paient les intérêts, assument les risques, sans jamais avoir accès à la propriété réelle du mécanisme qu’ils ont mis en œuvre.
Ce débat n’a rien d’abstrait. Il est vital, car il touche à la souveraineté monétaire, à la justice économique et à la vérité sur la fabrique de l’argent. Il dévoile un système où les citoyens, sans le savoir, deviennent les rouages essentiels d’un mécanisme bancaire qui les dépouille. À chaque crédit signé, c’est leur engagement personnel qui crée la monnaie, leur travail futur qui garantit la dette, leur effort qui alimente les intérêts, leur confiance qui soutient tout l’édifice. Et pourtant, ils ne reçoivent rien en retour, si ce n’est la charge de rembourser ce qu’ils ont eux-mêmes généré.
Ce travail invisible, non reconnu, non indemnisé, fait du citoyen un esclave moderne du système financier. Ce n’est pas la banque qui prête : c’est le citoyen qui s’endette pour créer, puis paie pour restituer, puis perd s’il faillit. Et lorsque la dette est remboursée, le capital reste captif. La banque s’en est enrichie, l’État s’en est nourri, les marchés en ont profité — mais le citoyen, lui, ne récupère rien. Il est temps de briser ce cycle, de dénoncer le mensonge de l’argent prêté, et de revendiquer la restitution légitime de ce qui appartient à ceux qui l’ont fait naître : les emprunteurs.
Ne serait il pas temps que les Français reprennent ce qui leur appartient. Le capital qu’ils ont créé, remboursé, reconstitué par leur seule signature, leur travail, leur confiance, ne peut rester captif d’un système qui les asservit. Ce n’est pas à eux de payer sans fin pour enrichir ceux qui ne prennent aucun risque ? C’est au peuple désormais d’exiger la restitution de son dû — non pas comme une faveur, mais comme un droit.
Bonjour,
Je vous partage ce matin un texte trouvé sur Facebook, dont je ne connais malheureusement pas l’auteur. Dommage, il mériterait d’être reconnu pour sa lucidité.

Ici le sexe est gratuit et l’amour est devenu une poche pleine de billets.
Où perdre son téléphone est pire que perdre ses valeurs.
Là où la tendance est de fumer et de boire et si tu ne fais pas ça, tu es bizarre.
Où les toilettes sont devenues un studio photo et l’église, l’endroit idéal pour s’inscrire.
21e siècle, où les hommes et les femmes craignent beaucoup plus la grossesse que le VIH.
Là où la livraison de pizza arrive plus vite que l’ambulance.
Où les gens meurent de peur des terroristes et des criminels bien plus que Dieu.
Là où les vêtements décident de la valeur d’une personne et avoir de l’argent est plus important que d’avoir des amis ou même une famille
21e siècle, où les enfants sont capables de renier leurs parents pour leur amour virtuel.
Où les parents oublient de réunir leur famille à table pour un dîner harmonieux, en parlant de la vie quotidienne tout en s’amusant au travail ou au téléphone.
Là où les hommes et les femmes veulent souvent juste des relations sans engagement et leur seul « engagement » est de poser pour des photos et de poster sur les réseaux sociaux en jurant un amour éternel.
Où l’amour est devenu public ou une pièce de théâtre.
Là où les photos les plus populaires ou les plus suivies avec le plus de likes sont celles qui semblent répandre le bonheur ; celles qui publient des photos dans des endroits fantastiques et paradisiaques, entourées d' »amitié vides », avec des « amours incertitudes » et des « familles brisées ».
Là où les gens ont oublié de prendre soin de l’esprit, de l’âme vide et ont décidé de prendre soin et de tatouer leur corps.
Où une liposuccion coûte plus cher d’avoir le corps désiré du « monde artistique » qu’un diplôme universitaire.
Où une photo de gym obtient beaucoup plus de likes qu’une photo en train d’étudier ou de faire de bonnes actions.
21e siècle, ici, vous ne survivrez que si vous jouez avec la « raison » et qu’ils vous détruisent si vous agissez avec votre cœur.!
.. quel dommage ![]()
Prenez soin de vous dans ce monde de fous
Mabelle

La suite sur la publication du Dr Résimont : https://www.facebook.com/photo/?fbid=1390705202424513&set=a.315562973272080
Une aide au quotidien

Bonjour, comment allez-vous ce matin ?
Peut-être pouvez-vous choisir un vêtement pour vous sentir mieux. Choisissez selon vos besoins du jour.
💙Portez du BLEU FONCÉ si vous avez BESOIN d’INTUITION. Il aide à clarifier les pensées et à dynamiser la vision intérieure.
Si vous vous SENTEZ PERDU et DÉPHASÉ, cette couleur est bénéfique pour guérir des blessures émotionnelles profondes et retrouver sa voie.
❤️ Portez du rouge si vous avez BESOIN d’ÉNERGIE et de CHALEUR. En cas de fatigue physique ou émotionnelle. Elle est aussi utile pour rétablir la circulation et stimuler le métabolisme.
Si vous vous SENTEZ PEUREUX, le rouge aide à surmonter les angoisses, en apportant courage et dynamisme. Elle stimule la motivation et la confiance en soi.
🤎Portez du MARRON si vous avez BESOIN de SÉCURITÉ, de confort et de stabilité. Cette couleur est rassurante et aide à se sentir ancré et protégé dans la réalité physique.
Si vous vous sentez DÉCENTRÉ après une période de chaos ou de confusion. Le marron aide à restaurer la confiance en soi et à redonner de la force intérieure.
🧡 Portez de l’ORANGE si vous avez BESOIN d’être CRÉATIF et d’être STIMULÉ. Il apporte une sensation de joie, de convivialité et de bien-être. L’orange favorise l’ouverture aux autres et améliore la créativité.
Si vous vous SENTEZ DÉSÉQUILIBRÉ dans vos émotions et avez besoin de réduire les sentiments de tristesse ainsi qu’augmenter la motivation. Cette couleur aide aussi à traiter les troubles digestifs et la fatigue.
💛 Portez du JAUNE si vous avez BESOIN de POSITIF et de JOIE. Il privilégie la clarté mentale et l’intellect. Le jaune est stimulant pour la pensée logique et la concentration.
Si vous vous SENTEZ DÉPRIMÉ, en MANQUE d’appétit, cette couleur est efficace pour dissiper la dépression légère et apporter de l’optimisme.
💚 Portez du VERT si vous avez BESOIN de CALME, de paix intérieure et de réconfort. Le vert est apaisant et réduit les sentiments de stress et de frustration.
Si vous vous SENTEZ ANXIEUX ou LOURD, cette couleur est particulièrement bénéfique pour guérir les blessures émotionnelles. Elle favorise la régénération physique, cellulaire et à la détoxification.
🩵 Portez du BLEU si vous avez BESOIN de FRAICHEUR et de favoriser la communication honnête et l’expression des sentiments.
Si vous vous SENTEZ STRESSÉ, cette couleur est utilisée pour traiter les troubles liés à l’angoisse et à l’insomnie. Elle favorise également la relaxation et la respiration profonde.
💜 Portez du VIOLET si vous avez BESOIN de DISCERNEMENT, de spiritualité, de sagesse et de transformation. Le violet est une couleur de guérison profonde et d’élévation spirituelle.
Si vous RESSENTEZ de la SOUFFRANCE et en manque d’évolution, cette couleur est apaisante pour le système nerveux et régénère l’esprit.
🩷 Portez du ROSE si vous avez BESOIN de DOUCEUR, d’affection et de tendresse. Il favorise la guérison des blessures émotionnelles liées à l’amour et aux relations.
Si vous vous SENTEZ TRISTE et VIDE, cette couleur est efficace pour les traumatismes émotionnels, en particulier ceux liés aux relations amoureuses, et pour renforcer l’amour de soi.
🤍 Portez du BLANC si vous avez BESOIN de PAIX et de clarté mentale ainsi que de protection spirituelle. Il aide à dissiper le chaos mental et à apporter de la fraîcheur et de la clarté dans la vie.
Si vous vous sentez SALE et ALOURDI, cette couleur nettoie l’énergie négative et est excellente pour la méditation et la guérison. Elle est également associée à la protection et à la régénération.
🖤 Portez du NOIR si vous avez BESOIN de PROTECTION et de réconfort. Il offre un espace de retrait et de ressourcement. Il est aussi utilisé pour la transformation intérieure et la libération des émotions refoulées.
Si vous vous SENTEZ BLOQUÉ, le noir permet de plonger dans des processus d’introspection. Il est utilisé pour les guérisons profondes, notamment pour libérer des blocages émotionnels et se protéger des énergies négatives.
🩶 Portez du GRIS si vous avez BESOIN de NEUTRALITÉ, il est la couleur du retrait et de la réflexion. Cette couleur incite à la neutralité et à la non-participation.
Si vous vous sentez PERTURBÉ et que vous manquez de recul.
Le gris aide à la prise de décisions rationnelles et au recueillement intérieur, en permettant de voir les choses sous un autre angle. Il peut également être bénéfique pour les personnes en période de deuil ou de transformation personnelle, en leur offrant un espace calme pour guérir
Prenez soin de vous – Mabelle

Si c’est le cas c’est que vous n’avez vraiment rien compris, c’est que vous continuez de croire les médias qui vous mentent à longueur de journées et d’années.
Les russes ne m’ont rien fait, ne me veulent pas de mal et si je suis en vie, c’est grâce à eux parce que, oui, contrairement à ce que les médias et même les livres d’histoire racontent, ce ne sont pas les américains mais les russes qui nous ont sauvé du nazisme en 45. Ils sont morts par milliers pour mettre fin à cette guerre. Et s’ils se battent en Ukraine c’est aussi pour mettre fin au nazisme qui terrifie, torture, tue encore dans ce pays.
Pensez en ce que bon vous semble. Ma grand-mère s’est battue en tant que résistante durant la guerre et mon grand-père était prisonnier en Allemagne, sans les russes je ne serais pas sur cette terre.
Bonjour, j’espère que tu es en forme.
Je serai très brève ce matin

UNE RELATION SAINE c’est garder un équilibre entre ses propres besoins et ceux des autres en étant conscient de ses limites.
Une relation saine permet à chacun de se sentir respecté, libre et entendu ; elle repose sur la confiance, la communication authentique et la reconnaissance des limites de chacun, sur le respect mutuel, la communication ouverte et l’équilibre entre donner et recevoir. Chacun peut y être lui-même, exprimer ses besoins et poser ses limites sans crainte.
La confiance, l’écoute et la bienveillance permettent à la relation de grandir.
UNE RELATION TOXIQUE crée un déséquilibre psychologique : l’un prend le pouvoir sur l’autre par la manipulation, la peur ou la culpabilité.
L’un des deux partenaires cherche à contrôler l’autre à travers manipulation, dépendance, domination ou culpabilisation entraînant perte d’estime de soi et dépendance affective.
Cette relation enferme car elle se nourrit de dépendance et d’insécurité plutôt que de respect et d’épanouissement mutuel.
Prends soin de toi
Mabelle