Archives de catégorie : Ca doit se savoir

L’histoire de Monsanto

Cet article a une dizaine d’années mais, visiblement, beaucoup croient toujours au père Noël. Il serait temps de se réveiller

https://www.sante-nutrition.org/lhistoire-complete-de-monsanto-la-societe-la-plus-malefique-au-monde/?fbclid=IwY2xjawOgPL9leHRuA2FlbQIxMABzcnRjBmFwcF9pZBAyMjIwMzkxNzg4MjAwODkyAAEe6hn9bNLcDC_Kakr2MnM7PTjlyJYUP23uEaEB3nWDXyHyF08MMCRRhI_qsSo_aem_VZeVjo9mIyyPqEEHGq-YLg

La science n’est pas une religion. Mais elle en est devenue une.

‼️Une revue retire un article historique sur le glyphosate après 25 ans

La revue a retiré une étude que Monsanto utilisait pour défendre la sécurité de son herbicide Roundup. Elle affirme désormais que les conclusions de cette étude ne sont plus crédibles.

Ce retrait confirme que la « science » utilisée pour défendre l’herbicide le plus utilisé au monde reposait sur des manipulations de l’industrie, notamment des écritures fantômes, des paiements non divulgués et le recours à une sélection restreinte d’études non publiées de Monsanto.

La vérité sur tout est en train d’éclater au grand jour !

J’ai défendu la vaccination, je me suis fait vacciner, et après ?

Partage du témoignage de quelqu’un qui réalise qu’il s’est trompé :

J’avoue, au début, j’ai défendu la vaccination contre le Covid-19. Parce que j’avais peur et je croyais que c’était la seule solution. Je ne comprenais pas ceux qu’on appelait les antivax. Parce que je croyais que le gouvernement, les médias, les médecins… voulaient notre bien. Alors quand j’entendais des discours de dépopulation, je me disais : ces gens sont fous ! Cela ne peut être vrai !

Puis certains événements m’ont semblé bizarres : le recours au paracétamol comme étant le seul traitement préconisé en attendant le « vaccin » qui allait nous sauver, les pénuries de masques, de gel hydroalcoolique, de médicaments… J’étais sous le choc. Quoi au 21ème siècle, comment est-ce possible ?

Puis, j’ai fait le vax Pfizer. 1ère dose : OK, tout va bien. 2ème dose : ah, ça ne va pas si bien que ça : arthralgies, faiblesse musculaire, tendinite, fatigue, brouillard mental, pieds rouges comme des écrevisses et très douloureux, douleurs cardiaques fulgurantes puis ça passe… Mais je ne pouvais plus tenir debout plus de 5 minutes, devais me cramponner à la rampe pour monter les escaliers qui menaient à ma chambre, pouvais à peine parcourir une distance de 300 mètres à pied sans être épuisée… Qu’est-ce qui se passe ? Tout ça, ce n’est pas normal.

La propagande antivax s’accentue, puis les sanctions tombent : les soignants non vaccinés sont interdits d’exercer, ne touchent plus rien. Et là, gros déclic : et si tout ce que les antivax avaient dit était vrai ? Si nos dirigeants nous voulaient vraiment du mal ? Si les médecins étaient complices ?

Après mes douleurs cardiaques, j’ai vu le médecin traitant de maman. Je m’inquiétais. Est-ce le début d’une myocardite ? Elle m’a rassurée tout de suite. Si c’était le cas, j’aurais beaucoup plus mal. Puis, elle m’a avoué que son frère a eu une myocardite après la deuxième injection.

J’étais troublée. Comment pouvait-elle continuer de défendre la vaccination alors que son frère avait fait une myocardite ?

J’avais entendu des consignes données à sa secrétaire : ne surtout pas répondre aux questions, en dire le moins possible.

Cela m’avait choquée.

La prise de conscience était de plus en plus forte, la révolte aussi. Je pensais à ce que les médecins avaient été contraints de faire sous l’Allemagne nazie. Plus de 70 % avaient obéi. Consultation suivante : une affiche de campagne de vaccination était collée dans l’entrée. C’en était trop. Dans le cabinet du docteur F., j’ai exprimé mon indignation. J’ai osé dire : « Savez-vous que sous l’Allemagne nazie, plus de 70 % des médecins ont obéi aux ordres criminels de leur hiérarchie, de l’administration, du pouvoir ? »

À ces paroles, le docteur F. est devenue hystérique : « Vous êtes en train de me traiter de nazie ? Je vais porter plainte ! »

À cet instant, face à la violence de sa réaction, j’ai compris que j’avais mis le doigt sur quelque chose de sensible, quelque chose qui ne devait pas être très loin de la vérité, une vérité que nous ne devions surtout pas connaître.

Aujourd’hui, ce soir, j’ai lu le titre d’un article défendant encore les vaccins contre le Covid, dont les conclusions se basaient sur les résultats d’une étude EPI-PHARE. J’ai pensé : ça continue… Au moment où la propagande russophobe bat son plein, où on nous parle de plus en plus d’entrée en guerre contre la Russie. Cela confirme ce que j’ai compris depuis longtemps : la plandémie est un programme de préparation psychologique à un conflit mondial. Et un programme de dépopulation en même temps. Car si nous entrons dans un conflit mondial, le 3ème qui prend naissance sur notre continent européen, la dépopulation se comptera en centaines de millions.

Prions pour que tous les peuples européens comprennent et se soulèvent massivement !

Les médecins sont des gens biens

Un docteur est quelqu’un à qui on fait confiance, quelqu’un qui a la science, qui protège, qui est bienveillant envers les gens, c’est quelqu’un dont on ne se méfie pas du tout.

C’est ce que pensait cette maman avant de vivre l’horreur.

Est-il le seul ? J’en doute. Je me souviens toujours avec dégoût d’une conversation entre deux médecins lorsque je travaillais en clinique, où l’un deux disait qu’ils avaient le plus beau métier du monde, payés pour voir des femmes à poils. Ah, elle est belle la médecine. Mais, au final, ces deux là étaient des enfants de choeur à côté de certains autres.

Et que dire du conseil de l’ordre qui soutient et protège les violeurs tout en détruisant les victimes ?

Pourquoi de l’aluminium dans l’alimentation ?

Alors qu’il est interdit d’en administrer dans les vaccins pour animaux, cela est autorisé dans la vaccination humaine et dans les aliments.

Bonjour, je vous souhaite en forme quoi que vous mangiez.

Voici de la poudre d’alumine utilisée dans l’agroalimentaire.

L’apparition de l’aluminium dans l’alimentation (solide et liquide) est à l’origine de toutes les nouvelles maladies apparues aprés guerre. (fibromyalgie, sclérose en plaques, Alzheimer, maladie de Crohn, cancers …)

L’aluminium ayant de nombreuses propriétés, les industriels de l’agroalimentaire l’utilisent comme additifs alimentaires, sous différentes formules chimiques : métal (E173), sulfates (E520 à E523), phosphates (E541) ou silicates (E554-555-556-559).

Sous ces formes, l’aluminium sert de conservateur dans les charcuteries, de levant dans les gâteaux, d’agent de blanchiment dans les pains et les farines, d’antiagglomérant dans le sel ou les poudres de lait pour bébé, de colorant dans les confiseries, etc…

Lors du traitement des eaux, des agents floculants à base de sels d’aluminium sont ajoutés, notamment pour éliminer les microorganismes dans l’eau et pour rendre l’eau plus claire et limpide. L’aluminium se lie alors aux particules organiques en suspension et forme de flocons qui s’agglomèrent et se déposent sous l’effet de la gravité.

Le sulfate d’aluminium Al2(SO4)3 et le chlorure d’aluminium AlCl3 sont les floculants les plus répandus parce qu’ils sont efficaces, relativement peu coûteux et que l’on peut se les procurer facilement.

https://www.asef-asso.fr/production/laluminium-ce-metal-qui-nous-empoisonne-la-synthese-de-lasef/?fbclid=IwY2xjawNbNnpleHRuA2FlbQIxMAABHowCs5959S5rKQAX3U0mnPZIovKVG-lzvZCS3OjOwPYoWA4Jd-4XIK_wzzTr_aem_rF7IKQvYLYWCs-7_kQv61A

https://www.senat.fr/questions/base/2010/qSEQ10101056S.html

Dormez tranquilles, tout va bien !

Mabelle

Etre prix Nobel n’autorise pas à dire la vérité

Interdire à un prix Nobel de Physique de faire le discours prévu au FMI parce qu’il n’acquiesce pas à la doxa mondialiste ? Ils osent. Même pas peur, ni du ridicule ni de se discréditer.

Un prix Nobel de physique ostracisé pour avoir dénoncé la «corruption» de la climatologie

« Le physicien américain John Clauser a remporté le prix Nobel de physique 2022 pour une expérience majeure ayant prouvé la réalité d’un mécanisme clé de la mécanique quantique – une théorie qui gouverne le monde subatomique et est aujourd’hui à la base d’une nouvelle classe d’ordinateurs ultra-puissants ». (Science et Avenir)

John Clauser avait critiqué la doxa de l’urgence climatique et dénoncé la «corruption» de la climatologie.

À ses yeux, cette «dangereuse corruption de la science menace l’économie mondiale et le bien-être de milliards d’êtres humains».

La sanction ne s’est pas fait attendre. Il devait donner devant le FMI une conférence sur les modèles climatiques – elle a immédiatement été annulée et la page annonçant l’événement a disparu du site du FMI.

Cette conférence était intitulée «Quelle confiance peut-on accorder aux prédictions climatiques du GIEC ? Parlons-en».

Une réponse dubitative n’était, apparemment, pas politiquement correcte.

Il y a longtemps que John Clauser critique les modèles climatiques ; il a notamment regretté que le prix Nobel 2021 ait récompensé un travail à ce sujet.

Il n’est pas le seul – de nombreux scientifiques estiment que les modèles climatiques reposent essentiellement sur les mathématiques et le nombre de leurs prévisions erronées permet de penser qu’ils ne méritent pas la reconnaissance de la science pure au plus haut niveau.

Opinion que ne partage pas le magazine National Geographic, comme en témoigne un article intitulé «Comment les modèles climatiques sont devenus si exacts qu’ils ont remporté le prix Nobel».

John Clauser a fait remarquer qu’une climatologie dévoyée «s’était métastasée en un mastodonte de pseudo-science – du journalisme à sensation». Cette pseudo-science, poursuivait-il, est désormais emblématique d’une foule de divers maux connexes.

Elle a été promue et développée par des spécialistes du marketing, des hommes politiques, des journalistes, des agences gouvernementales et des spécialistes de l’environnement qui se fourvoient également. «À mon avis, a-t-il ajouté, il n’y a pas réellement de crise climatique».

John Clauser est le dernier lauréat du prix Nobel de physique à récuser la notion de crise climatique.

Le professeur Ivar Glaever, également lauréat du prix Nobel, et principal signataire de la Déclaration sur le climat mondial y affirmait qu’il n’y a pas d’urgence climatique, précisant que les modèles climatiques «n’ont pas la moindre crédibilité en tant qu’outils de politique mondiale».

Quant au professeur Robert Laughlin, prix Nobel 1998, il a déclaré que «Nous n’avons pas le pouvoir de maîtriser le climat ; l’humanité ne peut et ne doit rien faire pour réagir au changement climatique».

Jo Nova, journaliste australienne spécialisée sur les questions climatiques, était en grande forme lorsqu’elle a évoqué les déclarations de John Clauser. « Le truc, concernant les lauréats climato-sceptiques du prix Nobel, c’est qu’ils font paraître leur programme aussi stupide que possible», a-t-elle fait remarquer. Et de noter l’absence totale d’intérêt manifesté par les médias grand public pour les remarques récentes de John Clauser, ce qui l’amenait à poser la question suivante : «Quel tort cela porterait-il à la cause si le public découvrait que l’un des plus grands scientifiques du monde n’est pas d’accord avec la doxa ?»

La réponse est évidente : un grand tort.

La même équipe qui nous exhorte à «écouter les experts» refuse d’écouter ceux qui n’ont pas l’heur de lui plaire.

Ils adorent les «experts de l’ONU» qui occultent le déclin, mais feraient n’importe quoi pour éviter les géants de la science. Ils préfèrent interviewer à la télévision, aux heures de grande écoute, les lycéens les plus cancres sur le thème du changement climatique que des lauréats du prix Nobel.

C’est un mensonge par omission, une tromperie délibérée. Et tout le mouvement de lutte contre le changement climatique repose là-dessus.

Le FMI est très impliqué dans les flux monétaires internationaux et l’on peut espérer qu’il est plus disposé à «évaluer» ce sujet que celui des prévisions émanant des modèles climatiques.

Le prix Nobel de John Clauser récompense sa recherche novatrice dans le domaine de la physique quantique – l’étude de la matière et de la lumière à l’échelle atomique et subatomique. En 2010, il a reçu le Prix Wolf de physique, considéré comme la récompense la plus prestigieuse en la matière après le prix Nobel. Outre ce travail, il a également suggéré des améliorations à apporter aux modèles climatiques.

Les tentatives de modélisation d’une atmosphère chaotique et non linéaire se heurtent à de nombreux obstacles. Incapables de prédire les températures futures, leurs prévisions sont d’une inexactitude risible, ne faisant guère plus que de deviner les effets de forces naturelles comme les volcans et les nuages. John Clauser pense, lui, que les modèles climatiques sous-estiment énormément l’effet des nuages qui couvrent la moitié de la planète et fournissent un contrôle thermostatique puissant – et dominant – de ses températures.

Plus récemment, John Clauser a également déclaré à la Korea Quantum Conference qu’il ne croyait pas à la crise climatique, précisant que «des processus clés sont mal compris et exagérés, par un facteur de l’ordre de 200».

On pourrait cyniquement ajouter qu’un tel degré d’inexactitude et d’exagération ne serait peut-être pas gênant dans le monde de l’économie, mais que des exigences plus rigoureuses s’imposent dans le monde de la science.

https://www.climato-realistes.fr/un-prix-nobel-de-physique-ostracise-pour-avoir-denonce-la-corruption-de-la-climatologie/?fbclid=IwY2xjawOQTuZleHRuA2FlbQIxMABzcnRjBmFwcF9pZBAyMjIwMzkxNzg4MjAwODkyAAEeMAvO3IMTfO6Y9lzj7YzcQV4I-IWtGqqBSbJar18ncetYhQh46Ign51hLrpc_aem_-Goywh11VomhpVVEjmLxCQ

Que savons nous du système solaire ?

Bonjour, je vous espère en forme.

Qu’il s’agisse du système solaire, de l’histoire, de la science, … nous ne savons que ce qu’on a bien voulu nous dire.

Est-ce la vérité ? Personnellement, j’en doute. Le mensonge est partout sur cette terre, alors pourquoi pas là aussi ?

Je vous laisse libre d’en décider par vous même.

https://www.facebook.com/reel/852512833919346

Prenez soin de vous car s’il y a bien une chose dont nous pouvons être sûrs c’est celle-ci : si nous ne prenons pas soin de nous, personne ne le fera pour nous.

Mabelle

La sécurité sociale, avancée sociale ?

 » La Sécurité Sociale est une grande avancée sociale. Sauf que c’est devenu une arnaque.

Les gens prennent trop de médicaments, ils ne font plus confiance à leur corps qui est l’hôpital le plus sophistiqué du monde. Les laboratoires pharmaceutiques ont besoin que les gens soient malades, qu’ils consomment des médicaments, ils ont aussi besoin que l’industrie agricole produise de quoi rendre les gens malades. Ensuite, les gens consomment leurs médicaments en pensant qu’ils sont gratuits, alors qu’ils les paient avec l’argent de leur propre travail. Et plus les gens sont malades, plus les labos s’enrichissent. C’est un système pervers. L’industrie pharmaceutique est aux mêmes mains que l’industrie agroalimentaire qui pollue et tue les sols. C’est une guerre à la population, à la terre ».

Extrait de l’interview de Coline Serreau dans Rebelle Santé n°222.

L’acide citrique ne provient pas du citron

Autrefois, l’acide citrique provenait des agrumes.

Bonjour, je vous espère en forme. Sans nous le dire, l’industrie modifie la plupart des produits que nous utilisons. Autrefois on en tirait le goût acidulé directement du citron et de la lime, avec un lien évident entre l’ingrédient et sa source.

Puis, au début du 20e siècle, l’industrie a basculé vers une autre réalité avec la fermentation d’une moisissure noire, Aspergillus niger, souvent modifiée OGM pour produire ce que les étiquettes continuent d’appeler « acide citrique ».

Aujourd’hui, environ 99 % de l’acide citrique mondial ne sort plus d’un fruit mais d’une cuve. On a remplacé un extrait naturel par le sous-produit d’un organisme fongique cultivé industriellement.

Pfizer s’en vante noir sur blanc dans son son site web d’avoir été pionnier de la production de masse par fermentation pour s’affranchir des producteurs d’agrumes européens.

Cette nouvelle façon de faire n’a pas seulement changé la provenance, il a aussi changé la nature de l’ingrédient, fabriqué loin des vergers, dans des bioréacteurs où règnent les souches d’Aspergillus niger les plus productives mais à quel prix pour le consommateur, la transparence et la santé publique.

La moisissure est nourrie au sirop de maïs OGM. On gave la moisissure de sucres, elle en digère une partie et sécrète un acide chimiquement similaire à celui des citrons. Similaire, mais d’origine radicalement différente. On ne parle plus d’extraction d’un jus, mais d’un procédé de fermentation fongique massif, optimisé par la biologie industrielle et la chimie de purification. Derrière l’image rassurante du mot « citrique », c’est plutôt une usine à microbes.

On le retrouve dans les sodas et boissons aromatisées, dans les conserves de tomates et de fruits, dans les aliments pour bébés, dans certains compléments alimentaires, dans les cosmétiques et produits d’hygiène, jusque dans des formulations pharmaceutiques.

Officiellement, il apporte une note acidulée, régule le pH, agit comme conservateur, chélateur et exhausteur de saveur. En pratique, il sert de clé passe-partout à l’industrie pour stabiliser, soutenir le goût et prolonger la durée de vie des produits transformés.

Aspergillus niger, c’est un producteur connu de mycotoxines, la même famille de toxines fongiques que les moisissures noires dans les maisons humides. À l’état brut, ces moisissures sont associées à des troubles respiratoires, des allergies sévères et des infections.

L’argument industriel affirme que l’acide est purifié, que la biomasse fongique est filtrée et que les procédés garantissent l’innocuité. Pourtant, pour un nombre non négligeable de personnes sensibles, la consommation d’acide citrique industriel est liée à des réactions inflammatoires, des exacerbations d’asthme, des problèmes cutanés persistants, des atteintes hépatiques rapportées et même un déclin cognitif décrit par certains consommateurs, autant de signaux qui devraient au minimum susciter la prudence et la transparence.

On a fini par entretenir une confusion volontaire entre « acide citrique » et « citron ». Le consommateur croit ajouter un produit naturel à son assiette alors qu’il avale le produit d’une fermentation fongique nourrie au maïs OGM. Il peut apparaître sous le code E330, mais aussi derrière des appellations plus techniques comme citrate de potassium ou citrate de calcium, selon l’usage recherché. Pire, il peut se cacher sous la mention « arôme naturel » lorsque sa fonction est d’ajuster le profil gustatif, brouillant encore davantage la lecture. Dans tous les cas, c’est le même univers industriel qui s’invite dans l’assiette, avec des formulations différentes et des étiquettes qui ne disent pas tout.

L’acide citrique d’aujourd’hui n’a plus rien à voir avec l’image qu’on s’en fait. Il ne vient pas d’un fruit, mais d’une moisissure noire élevée au sucre industriel, l’illustration parfaite d’une chimie de substitution qui s’est imposée silencieusement au cœur de notre alimentation quotidienne.

Maintenant, vous savez, faites vos choix !

Mabelle

Mort sur prescription

Dans son dossier consacré aux « délits » des firmes pharmaceutiques, Laurent Mucchielli, chercheur au CNRS, détaille différents scandales de produits pharmaceutiques mis sur le marché, qui impactent directement la santé, et la vie ou la mort d’êtres humains. Comme par exemple cet anti-douleur devenu tristement célèbre, l’OxyContin.

Retrouvez cette interview dans le hors-série santé intégrative, en librairies belges et françaises. Ou abonnez-vous sur : www.zebre-magazine.com/boutique/abo

C’est l’un des plus grands scandales sanitaires de toute l’histoire américaine, l’épidémie d’opioïdes a causé environ 300 000 morts aux Etats-Unis, de 1999 à 2022, soit près de la moitié du total des décès par overdose d’opiacés durant la même période, le tout sur prescription médicale en bonne et due forme.

En octobre 2020, le fabricant de l’OxyContin, Purdue Pharma, a été condamné à payer une amende record de 8,34 milliards de dollars, reconnu coupable de fraude envers le gouvernement des USA, de violation de la loi sur les aliments, les médicaments et les cosmétiques, ainsi que de violation de la loi fédérale anti-pots-de-vin (corruption). Dans l’affaire de l’OxyContin, la justice américaine a aussi lourdement sanctionné le cabinet de conseil McKinsey (encore et toujours les mêmes, mais qui restent conseillers du gouvernement) et le groupe français Publicis.

Faites vous vacciner contre la grippe

C’est ce que nous disent tous les panneaux publicitaires, et les dirigeants français veulent rendre cette vaccination obligatoire.

Qu’en penser ?

https://www.aimsib.org/2025/09/14/quelques-arguments-frappants-contre-lobligation-vaccinale-antigrippale/?fbclid=IwY2xjawNuvd9leHRuA2FlbQIxMAABHnMiITBkYBvu8LUIsyITFbGF3JL7eouDjA2fspZMyLK-w1CU9DfshflQe4-0_aem_guE3jijMD-lCTRhivPNGtg

Pour moi, ça sera non merci. Mais libre à vous de faire un autre choix

https://www.facebook.com/reel/1509971376921439

Quel que soit votre choix, gardez à l’esprit que désormais TOUS les vaccins contiennent de l’ARN. A vous de voir ce que vous souhaitez pour votre avenir

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Prenez soin de vous – Mabelle