Vous avez sans doute vu des rubans roses fleurir un peu partout ces derniers jours pour rappeler l’importance du dépistage du cancer du sein.
Mais je ne me laisse pas berner par cette douce couleur rose. Derrière les rubans, les affiches et slogans, il y a la réalité de l’arnaque dont peu osent parler : le gigantesque business des laboratoires et de l’industrie médicale.
Je précise que mon intention n’est certainement pas de nier la souffrance des femmes atteintes d’un cancer du sein. J’en ai eu dans ma famille et mes amies et je leur adresse tout mon respect et mon soutien. Cependant soutenir ces femmes ne passe pas par le soutien d’une campagne qui repose sur des méthodes nocives.
Le “dépistage” du cancer du sein (mammographie de dépistage chez des femmes ne présentant aucun symptôme) n’est pas un moyen de protéger les femmes de cette maladie, mais un moyen pour l’industrie du cancer de trouver de nouvelles clientes, en les soignant de façon supposément “préventive” de quelque chose qui la plupart du temps, n’aurait jamais posé de problème.
La manipulation va jusqu’au point où de nombreuses femmes “dépistées” qui ont survécu aux traitements sont convaincues d’avoir été sauvées d’une maladie mortelle (syndrome de Stockholm).
Une revue Cochrane (2013, Gotzsche & Jorgensen) estime qu’« il n’y a pas de preuve claire que la mammographie de masse diminue la mortalité globale », mais qu’elle augmente fortement les risques de faux positifs et de traitements lourds (chirurgie, radiothérapie, chimiothérapie) pour des cancers qui n’auraient parfois jamais évolué.
En 2014, le Swiss Medical Board (commission indépendante en Suisse) a conclu, après analyse des grandes études, que « les bénéfices du dépistage systématique sont faibles et surestimés, tandis que les effets négatifs sont fréquents et sous-estimés ».
Le British Medical Journal a publié plusieurs éditoriaux questionnant l’utilité d’un dépistage généralisé, rappelant que certains cancers agressifs se développent si rapidement qu’ils échappent à tout dépistage, alors que d’autres restent indolents et ne nécessiteraient pas de traitement.
En clair : un cancer fulgurant peut apparaître en quelques semaines seulement, ce qui rend la mammographie annuelle ou bisannuelle totalement inefficace pour le détecter à temps. Jusqu’à 30 % des cancers détectés par dépistage seraient des tumeurs qui n’auraient jamais menacé la vie de la patiente, mais qui entraînent pourtant une cascade de traitements extrêmement lourds qui ne sont pas sans graves conséquences. La chimiothérapie est l’un des traitements les plus rentables, mais également l’un des traitements des plus invasifs tout de même.
Chaque mammographie expose à des radiations, dont l’accumulation est loin d’être anodine pour le tissu mammaire.
L’écrasement des seins entre deux plaques, surtout pour les fortes poitrines, est violent, douloureux et humiliant. Si on proposait la même chose pour les testicules des hommes, je suis curieuse de savoir combien accepteraient. Or la douleur doit très certainement être assez semblable.
Le stress du dépistage, des faux positifs, des examens complémentaires et des semaines d’attente pèse lourd sur la santé psychologique. Or, ce stress est justement ce qui amène la plupart des maladies, et notamment les cancers.
Plutôt que d’imposer une mammographie systématique, il serait plus logique (mais bien moins lucratif pour le monde médical) d’apprendre aux femmes à bien connaître leurs seins et comment pratiquer une auto-palpation régulière pour détecter rapidement tout changement anormal (grosseur, rétraction d’un mamelon, écoulement anormal, grosse asymétrie subite. Et, en première intention demander une échographie. Mais, ça, la plupart des cliniques la refusent en prétendant que ça ne sert à rien. La mammographie ne sert à rien et ils en pratiquent tous les jours, ne se gênant pour traiter de douillette une femme qui est à la limite de l’évanouissement tant elle a mal.
Alors, soutenir une femme atteinte, je dis oui, mais soutenir une campagne qui n’a d’autre but que de générer de scandaleux profits, d’entretenir la peur et de maltraiter les femmes, c’est non.
Le corps d’une femme, comme tout corps d’ailleurs, n’est pas un numéro à entrer dans des statistiques et des protocoles obligatoires sans qu’elle puisse avoir son mot à dire
Il serait temps également que les gynécologues préviennent les femmes que la pilule contraceptive est un agent endocrinien qui n’est pas sans conséquences, mais une fois de plus rapporte beaucoup https://www.facebook.com/watch/?v=365867373135546
Croire que l’industrie pharmaceutique lutte contre les maladies, c’est comme croire que les fabricants d’armes luttent pour la paix
Je vous partage ce matin quelques liens vers des infos à connaître (selon moi, après vous en faites ce que vous voulez).
Quelqu’un m’a demandé hier qui est Klaus Schwab. En fait je me suis déjà posé la question également car on trouve très peu d’infos concernant le bonhomme sur le net. Sur VK, cette photo circule à son sujet. Est-ce lui, un montage ? Je n’en ai pas la moindre idée.
Par contre, il suffit de l’écouter en interview ou de lire son bouquin pour comprendre que ce type est vraiment un malade.
Le père de Schwab, Eugen, directeur d’une entreprise suisse-allemande, Escher-Wyss, dans la ville natale de Schwab, Ravensburg. Les allégations sont révélatrices.
Dans les années d’avant-guerre des années 1930 qui ont précédé l’annexion de la Pologne par l’Allemagne, l’usine Escher-Wyss de Ravensburg, désormais gérée directement par le père de Klaus Schwab, Eugen Schwab , a continué d’être le plus gros employeur de Ravensburg. Non seulement l’usine était un employeur important dans la ville, mais le propre parti nazi d’ Hitler a décerné à la succursale Escher-Wyss de Ravensburg le titre de « Société modèle national-socialiste » alors que Schwab était à la barre. Les nazis courtisaient potentiellement la société suisse pour la coopération dans la guerre à venir, et leurs avances ont finalement été réciproques.
Ravensburg était une anomalie dans l’Allemagne de guerre, car elle n’a jamais été la cible de frappes aériennes alliées. La présence de la Croix-Rouge et la rumeur d’un accord avec diverses sociétés dont Escher-Wyss ont vu les forces alliées accepter publiquement de ne pas cibler la ville du sud de l’Allemagne. Elle n’a pas été classée comme cible militaire importante tout au long de la guerre et, pour cette raison, la ville conserve encore bon nombre de ses caractéristiques d’origine. Cependant, des choses beaucoup plus sombres se préparaient à Ravensburg une fois la guerre commencée.
Eugen Schwab a continué à gérer la « Société modèle national-socialiste » pour Escher-Wyss, et la société suisse aiderait la Wermacht nazie à produire des armes de guerre importantes ainsi que des armements plus basiques.
La société Escher-Wyss était un leader dans la technologie des grandes turbines pour les barrages hydroélectriques et les centrales électriques, mais elle fabriquait également des pièces pour les avions de chasse allemands. Ils étaient également intimement impliqués dans des projets beaucoup plus sinistres se déroulant dans les coulisses qui, s’ils étaient achevés, auraient pu changer l’issue de la Seconde Guerre mondiale.
Une partie de la technologie des turbines hydrauliques d’Escher-Wyss a été intégrée au projet de bombe atomique nazi via l’usine de production d’eau lourde de Norsk en Norvège.
Le père de Schwab aurait également été impliqué dans une autre pratique nazie infâme : Eugen Schwab faisait travailler des travailleurs forcés dans son entreprise nazie modèle. Pendant les années de la Seconde Guerre mondiale, près de 3 600 travailleurs forcés ont travaillé à Ravensburg, y compris à Escher Wyss. Selon l’archiviste de la ville de Ravensburg, Andrea Schmuder, l’usine de machines Escher-Wyss à Ravensburg employait entre 198 et 203 travailleurs civils et prisonniers de guerre pendant la guerre. Karl Schweizer, un historien local de Lindau, déclare qu’Escher-Wyss a maintenu un petit camp spécial pour les travailleurs forcés dans les locaux de l’usine.
L’utilisation de masses de travailleurs forcés à Ravensburg a rendu nécessaire l’installation de l’un des plus grands camps de travaux forcés nazis enregistrés dans l’atelier d’une ancienne menuiserie de la Ziegelstrasse 16 .
À une certaine époque, le camp en question abritait 125 prisonniers de guerre français qui ont ensuite été redistribués dans d’autres camps en 1942. Les travailleurs français ont été remplacés par 150 prisonniers de guerre russes qui, selon la rumeur, ont été traités le plus mal de tous les prisonniers de guerre. L’une de ces prisonnières était Zina Jakuschewa, dont la carte de travail et le cahier de travail sont conservés par le United States Holocaust Memorial Museum. Ces documents l’identifient comme une travailleuse forcée non juive affectée à Ravensburg, en Allemagne, en 1943 et 1944.
Bien sûr, cela n’implique pas Klaus Schwab lui-même dans aucune de ces pratiques ni ne l’implique en aucune façon avec de la sympathie pour la pratique ou l’idéologie qui la sous-tend. Cependant, cela lève un drapeau jaune de prudence et devrait peut-être fournir un contexte dans lequel examiner ses propres déclarations selon lesquelles « vous ne posséderez pas de propriété et vous serez heureux ! »
Ceci, ajouté au fait que Schwab semble avoir poursuivi des études universitaires d’ingénierie mécanique en relation avec la macroéconomie du crédit et de l’exportation, pourrait indiquer au moins un certain intérêt filial pour les expériences de guerre de son père, car après ses études et un passage aux États-Unis à Harvard John F. Kennedy School of Government, il est allé travailler pour l’ancienne entreprise de son père.
La connexion à la bombe atomique se poursuivra à Escher-Wyss (aujourd’hui Sulzer-Escher-Wyss) après la guerre, car elle s’est impliquée dans les efforts de l’Afrique du Sud pour acquérir la bombe.
Escher-Wyss avait été impliqué dans la fabrication et l’installation de la technologie nucléaire au moins dès 1962, ayant d’ailleurs obtenu des brevets pour un « dispositif d’échange de chaleur pour une centrale nucléaire » et en 1966 pour une « centrale à turbine à gaz à réacteur nucléaire avec refroidissement d’urgence ». Après que Schwab ai quitté Sulzer Escher-Wyss, Sulzer aiderait également à développer des turbocompresseurs spéciaux pour l’enrichissement de l’uranium afin de produire des combustibles pour réacteurs.
Lorsque Klaus Schwab a rejoint Sulzer Escher-Wyss en 1967 et a commencé la réorganisation de l’entreprise en une société technologique, l’implication de Sulzer Escher-Wyss dans les aspects les plus sombres de la course mondiale aux armements nucléaires est devenue immédiatement plus prononcée. Avant que Klaus ne s’implique, Escher-Wyss s’était souvent concentré sur l’aide à la conception et à la construction de pièces pour les utilisations civiles de la technologie nucléaire, par exemple la production d’énergie nucléaire.
Pourtant, avec l’arrivée de l’ardent M. Schwab, l’entreprise a également participé à la prolifération illégale de la technologie des armes nucléaires. En 1969, l’incorporation d’Escher Wyss dans Sulzer était entièrement achevée et ils seraient renommés en Sulzer AG, supprimant le nom historique Escher-Wyss de leur nom.
Il a finalement été révélé, grâce à un examen et à un rapport réalisé par les autorités suisses et un homme du nom de Peter Hug, que Sulzer Escher-Wyss avait commencé secrètement à se procurer et à fabriquer des pièces clés pour les armes nucléaires au cours des années 1960.
La société, alors que Schwab était membre du conseil d’administration, a également commencé à jouer un rôle clé dans le développement du programme d’armes nucléaires illégales de l’Afrique du Sud pendant les années les plus sombres du régime d’apartheid. Klaus Schwab était une figure de proue dans la fondation d’une culture d’entreprise qui a aidé Pretoria à construire six armes nucléaires et à en assembler partiellement une septième.
Cela augmente considérablement le nombre de soupçons, lorsqu’il est placé dans le contexte de ce que l’on sait d’autre sur le projet sud-africain. En 1973, la division livre du New York Times a publié un livre de Barbara Rogers et Zdenek Cervenka intitulé The Nuclear Axis : The Secret Collaboration between West Germany and South Africa , un titre qui dit tout… presque.
Les auteurs détaillent comment un général de la Luftwaffe de la Bundeswehr , lui-même un vestige de la Seconde Guerre mondiale, et plusieurs entreprises allemandes, dont Degussa (qui a également participé à l’effort de bombe atomique nazi pendant la guerre), ont aidé l’Afrique du Sud à acquérir la bombe atomique.
L’arrangement était « soigné » : en échange de l’uranium sud-africain, l’Allemagne fournirait la technologie pour l’enrichir et l’ingénierie pour en faire une bombe. L’Afrique du Sud est devenue le front derrière lequel l’Allemagne d’après-guerre a acquis la technologie des armes nucléaires.
Quant à Klaus Schwab lui-même, il apparaît qu’il a contribué à blanchir des reliques de l’ère nazie , c’est-à-dire ses ambitions nucléaires et ses ambitions de contrôle de la population, afin d’assurer la continuité d’un agenda plus profond. Tout en occupant un poste de direction chez Sulzer Escher Wyss, la société a cherché à soutenir les ambitions nucléaires du régime sud-africain, alors le gouvernement adjacent le plus nazi au monde, en préservant l’héritage de l’ère nazie d’Escher Wyss.
Ensuite, à travers le Forum économique mondial, Schwab a contribué à réhabiliter les politiques de contrôle de la population influencées par l’eugénisme pendant l’ère post-Seconde Guerre mondiale, une époque où les révélations des atrocités nazies ont rapidement jeté le discrédit sur la pseudo-science.
Y a-t-il une raison de croire que Klaus Schwab, tel qu’il existe aujourd’hui, a changé d’une façon ou d’une autre ? Ou est-il toujours le visage public d’un effort de plusieurs décennies pour assurer la survie d’un très vieux programme ?
La dernière question qui devrait être posée sur les motivations réelles derrière les actions de Herr Schwab, est peut-être la plus importante pour l’avenir de l’humanité : Klaus Schwab essaie-t-il de créer la quatrième révolution industrielle, ou essaie-t-il de créer le quatrième Reich ?
Il existe une « Internationale nazie » d’après-guerre, un « État extra territorial » qui se cache derrière une tapisserie complexe d’entreprises, de fonds, de fondations, des groupes de réflexion et un labyrinthe déroutant d’interconnexions, le tout toujours fermement sous l’emprise d’une idéologie hideuse.
Ils tentent de persuader le monde entier que seul le « vaccin » peut stopper la pandémie (qui, soit dit en passant, est terminée depuis bien longtemps. D’ailleurs a t elle déjà existé si on retire les morts de la grippe disparue depuis l’arrivée du Covid, les gens qu’on a refusé de soigner, les malades à qui on a stoppé les traitements ?) et font du lavage de cerveau dès le plus jeune âge.
Alors qu’il existe des traitements, mais ils ont été interdits pour des raisons financières comme toujours : https://rumble.com/vmjgjh-les-preuves-de-lefficacit-de-livermectine-pour-le-covid-19.html Il existe aussi différentes manières de se protéger en effectuant de la prévention. J’ai cotoyé des malades et n’ai jamais porté de masque. Or je ne suis pas malade, il serait erroné de croire que j’ai simplement eu de la chance, je prends soin de mon corps.
Etrange pour des merdias qui, d’habitude sautent sur tout ce qui pourrait effrayer les citoyens, non ? Là, silence total pour pouvoir continuer à piquer le plus de monde possible. Mais, contrairement à ce qu’ils racontent, les manifestations ne diminuent pas, ni en France, ni ailleurs. Les citoyens sortent dans la rue au Japon, Koweit, Canada, Chili, en Australie, Amérique, Lettonie, Ukraine, Espagne, Roumanie, Italie, Angleterre, Argentine, … La révolution mondiale des peuples est en cours. Oui, les peuples ont compris la mascarade de la fausse pandémie pour mettre en place le plan machiavélique de ces gouverne-ments menteurs criminels : https://www.youtube.com/watch?v=V7A_fCxu-x4
Et pendant qu’ils tuent la population, les « grands » de ce monde investissent des milliards dans des zones protégées où ils se construisent des bunkers, preuve qu’ils connaissent les plans
Et les labos s’enrichissent. Dans les nouvelles du week-end, Pfizer a gagné 19 milliards de dollars au deuxième trimestre de cette année, soit 211 millions de dollars par jour. Certains risques connus de leur vaccin Covid sont les caillots sanguins et la cardiomyopathie. Heureusement pour eux, ils fabriquent Eliquis pour le traitement des caillots sanguins – les ventes ont augmenté de 13%. Ils fabriquent également le Vyndaqel pour traiter la cardiomyopathie – les ventes ont augmenté de 77 % ! : https://t.me/stewpeters/7443
Bon, une fois encore je pensais vous partager quelques liens rapidement et je vous écris un article très, trop long. Regardez une partie et revenez y plus tard pour le reste, tout est important et permet de comprendre où ils veulent nous emmener.
Je vous partage un manifeste, de Kokopelli, qui est un site français où j’achète mes graines bio.
N’hésitez pas à partager cet excellent article.
Bel après-midi
Mabelle
Manifeste de Kokopelli
Nous ne sommes pas une organisation politique ; nous ne sommes adhérents d’aucun parti, d’aucun dogme scientifique, d’aucune théorie farfelue. Nous sommes simplement une association œuvrant depuis plus de 20 ans à la protection de la biodiversité, dans un contexte de criminalisation de nos activités, de harcèlement judiciaire, mais aussi d’instrumentalisation des institutions et de la législation par une industrie agrochimique toute puissante.
L’Association Kokopelli est forte, à ce titre, d’une longue expérience de défense de l’intérêt général et de lutte contre la tyrannie des intérêts commerciaux prenant les habits de la République. De ces longs et multiples combats nous avons tiré un enseignement fondamental : le gouvernement et les règles qu’il édicte sont rarement le reflet du bien commun. Au contraire, l’intervention du pouvoir exécutif n’est généralement dictée que par des intérêts mercantiles, eux-mêmes représentés par telle ou telle industrie, et ce risque est d’autant plus important que les intérêts financiers en jeu sont grands, comme c’est le cas, hélas, en matière de santé et de maladie.
Aujourd’hui, comme tous les Français, nous tentons de survivre à la crise actuelle sous une férule administrative et policière qui ne cesse de se durcir et qui prend chaque jour davantage le visage du terrifiant roman d’anticipation de George Orwell, 1984.
Aussi nous prenons la plume pour donner l’alerte et appeler à une insurrection fertile, avant qu’il ne soit trop tard et que la tyrannie sanitaire, qui se matérialise sous nos yeux chaque jour un peu plus, ne devienne une réalité irréversible.
Pourquoi sommes-nous aussi inquiets alors que certains croient qu’il s’agit seulement d’un mauvais moment à passer et que les choses reviendront à la normale « lorsque nous en aurons fini » avec ce vilain virus ?
1
Tout d’abord parce que les mesures restrictives mises en place lors des périodes de crises ne sont jamais retirées complètement par la suite (1). D’ailleurs, le gouvernement a déjà tenté de faire entrer dans le droit commun un grand nombre de ces mesures (2) et de les muer ainsi en instruments banals de contrôle et de répression que le pouvoir exécutif pourra actionner à sa discrétion ;
2
Parce que, dans un contexte d’évolution constante du virus (3) et de la très faible mortalité qui lui est attachée (4) (0,15 % en moyenne (5)— y compris les très nombreux décès « avec COVID ») — bien loin des 3,4 % estimés initialement par l’OMS (6), nous croyons qu’il est extravagant de prétendre vouloir « éradiquer » un organisme désormais dans notre écosystème, aux côtés de centaines de milliers d’autres, sous le seul prétexte qu’il est nouveau. Cela nous conduira immanquablement à d’autres scenarios excessifs comme celui que nous vivons actuellement. L’OMS (7)et l’industrie pharmaceutique (8) ont d’ailleurs annoncé il y a des mois que ce coronavirus allait devenir endémique sur toute la planète et que nous allions devoir vivre avec lui « pour toujours » ;
3
Ensuite, parce que le lot demesures incroyablement liberticides qui accompagne les annonces contradictoires et singulièrement arbitraires de l’exécutif (9) nous est imposé sans le moindre respect du processus démocratique (10), dans un contexte de destitution du Parlement (11) et d’abus (12) sans précédent des habilitations à légiférer par ordonnances(12) ;
4
Parce que la stratégie gouvernementale de lutte contre la “pandémie” s’appuie sur lesopinions technico-médicales(13)exprimées par une poignées de personnalités scientifiques, non dépourvues de conflits d’intérêts (14) , dont les décisions impactent dramatiquement tous les domaines de la vie sociale et économique du pays (15). Ainsi, les médecins sont loin d’être les seuls concernés et ne devraient donc pas être les seuls consultés(14) ;
5
Parce que les fondements statistiques et scientifiques des décisions qui sont prises, s’ils étaient maigres et incertains au début de la crise, sontaujourd’hui très largement contestés par la communauté scientifique (16)elle-même, lorsqu’ils ne sont pas tout simplement inexistants (17) ;
6
Parce que malgré cela les mesures les plus infantilisantes(18), dégradantes, voire délétères sont maintenues et même durcies : le port du masque toute la journée et dans tous les lieux de vie, y compris pour nos enfants de plus de 12 ans puis de seulement 6 ans, les « bulles » de fréquentations privées, les couvre-feux, les interdictions de visites de nos aînés, les attestations auto-remplies pour nos déplacements essentiels ou encore les rayons de déplacement tolérés, à des distances parfaitement arbitraires de 20 km, 2 km, 1 km… ;
7
Parce qu’il est aujourd’hui évident que lapléthore de mesures autoritaires prises par l’exécutif n’a eu aucun effet sur l’augmentation ou la diminution des contaminations,voire aurait provoqué l’inverse des effets attendus (19) (ce qu’à encore confirmé une étude publiée par l’université de Stanford, sous la direction du très renommé Prof. d’épidémiologie John Ioannidis (18)) ; et ce alors qu’elle a effectivement eu des conséquences dramatiques (20) sur les moyens de subsistance et les conditions de vie de millions de personnes dans notre pays ;
8
Parce que la mauvaise foi du gouvernement est évidente lorsqu’il est question d’éviter l’implosion des hôpitaux, alors que dans le même temps le nombre de lits et les ressources disponibles sont encore et toujours diminués (21) ;
9
Parce que toute la communication gouvernementale(22)et médiatique (23)vise manifestement àalimenter la peur et à conditionner la population en vue de lui faire accepter les vexations qui lui sont imposées, de même que le vaccin, comme seule solution à la crise ;
10
Parce qu’au contraire, des traitements existent (24) et que nous en avons été tenus soigneusement éloignés, y compris par le biais d’articles scientifiques scandaleusement frauduleux (25) ou d’interdiction pure et simple de prescrire(26) ;
11
Parce que nous avons été très choqués par la cabale organiséecontre les promoteurs de ces traitements, allant des menaces de mort (27) aux procédures disciplinaires en Conseil national de l’Ordre des médecins (28), en passant par le lynchage médiatique, les procédures judiciaires et la privation des médicaments utiliséspar le blocage des livraisons attendues (29) ;
12
Parce que nous sommes atterrés par la censure qui sévitdans la Presse (30)et sur les réseaux sociaux (31) à l’encontre de toute pensée dissidente, de tout esprit critique et de toute tentative de démêler le vrai du faux et de comprendre ou donner à comprendre, en dehors des sentiers balisés par le gouvernement et les médias mainstream, les tenants et les aboutissants de la crise ;
13
Parce que, fondamentalement, nous craignons que les gigantesques intérêts commerciaux liés à cette « pandémie » (32)aient fortement influencé les décisions prises par le gouvernement, comme c’est manifestement le cas concernant le Remdesivir (33), pourtant non recommandé par l’OMS (34), et comme il est probable que ce soit le cas concernant les vaccins et les contrats de vente aux montants colossaux passés avec leurs fabricants (35). Tout cela au plus grand détriment de notre santé, de notre système de santé et de son budget ainsi que de la dette colossale que nous devrons payer pendant les prochaines décennies (36);
14
Parce que ces vaccins fabriqués en 10 mois et testés en 3 mois et demi seulement — en lieu et place des 7 à 10 années minimum — sont déjà à l’origine d’un nombre très inquiétant de morts soudaines(37) (24h post-vaccination) ou suspectes (délai plus long), qui touchent l’ensemble des classes d’âge et sont entre 60 (Pfizer, AstraZeneca) et 400 fois (Moderna) supérieures à celles qui suivent le vaccin contre la grippe, sans parler des effets indésirables graves qui ont également explosé dans des proportions jamais atteintes par ce même vaccin contre la grippe ;
15
Parce qu’il résulte de ces constatations précoces qu’il est autant probable, pour les 18-44 ans, de décéder du vaccin Covid-19 que du virus lui-même, lorsqu’il s’agit des vaccins Pfizer et AstraZeneca, et 7 fois plus probable de mourir du vaccin Moderna que du Covid-19 (37), et que malgré cela les autorités sanitaires semblent vouloir, à tout prix, vacciner tout le monde ;
16
Parce que ces signaux alarmants ont conduit 57 scientifiques et médecins de premier plan à demander l’arrêt immédiat de tous les programmes de vaccination Covid-19 (38) ;
17
Parce qu’au contraire des déclarations du gouvernement et de nos agences de santé, qui prétendent à l’envi que les vaccins seraient efficaces et sûrs, les contrats signés avec les fabricants de vaccins prévoient expressément que ni l’efficacité ni la sécurité des vaccins ne sont garanties(39) et qu’il ne pourra en découler pour ces fabricants aucune responsabilité ;
18
Parce que nous ne sommes pas amnésiques et que nous nous rappelons des dégâts causés par le vaccin contre la grippe H1N1(40) largement promu par les autorités, mais terriblement délétère pour un grand nombre d’Européens, désormais condamnés à vivre avec les symptômes invalidants de la narcolepsie ;
19
Parce que, comme l’ont déjà dit certains : « bien pire qu’un méchant virus, ce serait un mauvais vaccin », injecté à des millions, voire des milliards de personnes en parfaite santé, et qui pourrait causer des dommages majeurs et irréversibles dans la population, à une échelle jamais atteinte jusqu’à présent ;
20
Parce que nous refusons fermement ce passeport sanitaire, imposé par le gouvernement, qui nous conduira vers une société d’apartheid où les personnes non vaccinées n’auront plus aucun droit et feront l’objet, partout, d’une ségrégation inadmissible ;
21
Parce que c’est bien la liberté qui est au cœur de notre mission, qu’il s’agisse de liberté de semer ou de liberté de circuler, de liberté d’entreprendre ou de travailler, de liberté de manifester ou de se réunir, de liberté d’expression ou de conscience, etc. ; en somme, de toutes les libertés qui sont inscrites dans nos constitutions depuis la Révolution française et même avant, et qui sont actuellement réduites à néant ;
22
Parce que nous sommes bien décidés à faire fonctionner notre outil de travail, malgré les mesures insensées qui nous sont imposées, afin de poursuivre la distribution, le plus largement possible, de nos semences d’émancipation et de dissidence, et ainsi défendre nos valeurs et nos idéaux.
Pour toutes ces raisons, nous appelons à l’insoumission, dans les esprits et dans les cœurs, par le refus collectif de se soumettre aux folles injonctions de ceux qui croient être nos maîtres, et par la proclamation de notre droit à l’autodétermination.
Les alternatives aux dérives de cette société malade sont déjà là. Elles naissent, chaque jour, sous forme de collectifs, d’éco-lieux, de projets agroécologiques, d’écoles alternatives, d’économies locales et circulaires, etc. D’excellents scientifiques et médecins proposent une nouvelle vision de la médecine (41) avec comme réels objectifs le soin et la prévention. Initions, participons et soutenons ces étincelles d’espoir et de renouveau afin d’accueillir nos enfants, et ceux qui viendront après eux, dans un monde de liberté, de solidarité vraie, de respect mutuel et de partage.
Certaines sources peuvent avoir fait l’objet de censure entre la rédaction de ce manifeste et sa publication.
À quelle heure a-t-on expliqué à la population que chacun a la capacité de renforcer naturellement son système immunitaire en quelques jours (les plus petits) ou en quelques semaines (les adultes) ?
Pourquoi ne pas s’impliquer dans les canaux d’information avec des plateformes et des professionnels de santé qui parlent de prévention, comme les nutritionnistes, les naturopathes, les phytothérapeutes, qui pourraient réaliser un immense travail d’information et de prévention au public tout en allégeant le travail des médecins et sanitaires qui sont sur le front ?
Pourquoi ne pas dire aux gens que manger des ordures, comme des produits industriels, travaillés et raffinés, est la première chose qui détruit nos défenses ?
Que l’efficacité de notre système immunitaire dépend étroitement de la qualité de notre flore intestinale et donc de la qualité de ce que nous mangeons.
Les fruits et légumes crus, locaux et de saison sont donc le meilleur moyen d’accumuler rapidement nos réserves minérales nécessaires à l’immunité
Pourquoi ne pas expliquer qu’un jeûne intermittent contrôlé renforce le système immunitaire en seulement 3 jours ?
Qu’ une respiration correcte a la capacité de réduire les niveaux élevés de production de cortisol, d’hormone régulatrice de vos niveaux de stress. (Si vous voulez tester le bol d’air Jacquier, contactez moi). Au lieu de ça on impose des masques qui provoquent de l’hypoxie.
Pourquoi ne pas parler des bienfaits d’une douche froide ou d’un bain en mer, qui en quelques jours augmente le niveau de certains lymphocytes T ?
Pourquoi ne pas expliquer que des plantes comme l’équinace, l’astragale, le sureau, la rose canine, l’artémisia … sous leurs formes concentrées et correctes, augmentent les défenses immunitaires en quelques semaines ?
Pourquoi ne pas parler de l’efficacité des huiles essentielles antivirales ?
Du Redox qui augmente l’activité du glutathion, principal anti oxydant du corps, de 500 à 800% ?
Outre la vitamine C à haute dose, l’importance de la vitamine D et des minéraux comme le zinc, le sélénium, le magnésium ? Tout cela est facile et bon marché à obtenir. Parfois, comme dans le cas du soleil, gratuit !
Pourquoi ne pas parler de comment une activité sportive saine active les hormones de la joie et du bien-être ? Au lieu de ça tous les lieux de sports ont été fermés.
Pourquoi ne pas parler de l’importance de la qualité de nos pensées et de la connexion entre l’esprit et le corps ?
Pourquoi ne pas parler de la forteresse de l’amour et de la compagnie, qui guérissent bien plus que le confinement, l’isolement et la méfiance ?
Pourquoi ne pas parler du bien-être immédiat que nous donne la marche ou être dans la nature ?
Pourquoi ne pas expliquer que la peur est immunosuppresseur ? Et ça génère plus que tout : maladie, faiblesse, anxiété, souffrance. Et pourquoi accorder des subsides supplémentaires aux médias pour qu’ils propagent la peur en n’hésitant à mentir sur les chiffres, ou des images sorties d’un tout autre contexte ?
POURQUOI NE PAS COMMENCER À INFORMER.
ET POURQUOI NE PAS LE FAIRE VRAIMENT ?
Ils nous ont juste appris, à mettre un masque, à être enfermés et à avoir peur soit tout ce qui est anti productif.
Je vous partage ce matin un texte qui m’a été envoyé en m’excusant auprès de son auteur(e) dont je n’ai pas connaissance du nom.
J’ajouterai simplement qu’il existe des molécules qui permettent une bonne communication cellulaire, favorisant la détection, réparation, et le remplacement des cellules endommagées. Des cellules en bonne santé sont un corps en bonne santé.
Belle journée
Mabelle
À quelle heure a-t-on expliqué à la population. que chacun a la capacité de renforcer naturellement son système immunitaire en quelques jours (les plus petits) ou en quelques semaines les adultes ?
Pourquoi ne pas s’impliquer dans les canaux d’information avec des plateformes et des professionnels de santé qui parlent de prévention, comme les nutritionnistes, les naturopathes, les phytothérapeutes, qui pourraient réaliser un immense travail d’information et de prévention au public tout en allégeant le travail des médecins et sanitaires qui sont sur le front ?
Pourquoi ne pas dire aux gens que manger des ordures, comme des produits industriels, travaillés et raffinés, est la première chose qui détruit nos défenses ?
Que l’efficacité de notre système immunitaire dépend étroitement de la qualité de notre flore intestinale et donc de la qualité de ce que nous mangeons.
Les fruits et légumes crus, locaux et de saison sont donc le meilleur moyen d’accumuler rapidement nos réserves minérales nécessaires à l’immunité…
Pourquoi ne pas expliquer qu’un jeûne intermittent contrôlé renforce le système immunitaire en seulement 3 jours ?
Qu’une respiration correcte a la capacité de réduire les niveaux élevés de production de cortisol, d’hormone régulatrice de vos niveaux de stress.
Pourquoi ne pas parler des bienfaits d’une douche froide ou d’un bain en mer, qui en quelques jours augmente le niveau de certains lymphocytes T ?
Pourquoi ne pas expliquer que des plantes comme l’échinacea, l’astragale, le sureau, la rosa canina, l’artémisia annua … sous leurs formes concentrées et correctes, augmentent les défenses immunitaires en quelques semaines ?
Pourquoi ne pas parler de l’efficacité des huiles essentielles antivirales ?
Outre la vitamine C à haute dose, l’importance de la vitamine D et des minéraux comme le zinc, le sélénium, le magnésium ? Tout cela est facile et bon marché à obtenir. Parfois, comme dans le cas du soleil, gratuit !
Pourquoi ne pas parler de comment une activité sportive saine active les hormones de la joie et du bien-être ?
Pourquoi ne pas parler de l’importance de la qualité de nos pensées et de la connexion entre l’esprit et le corps ?
Pourquoi ne pas parler de la forteresse de l’amour et de la compagnie, qui guérissent bien plus que l’isolement et la méfiance ?
Pourquoi ne pas parler du bien-être immédiat que nous donne la marche ou être dans la nature ?
Pourquoi ne pas expliquer que la peur est immunosuppresseur ? Et ça génère plus que tout : maladie, faiblesse, anxiété, souffrance.
POURQUOI NE PAS COMMENCER À INFORMER. ET POURQUOI NE PAS LE FAIRE VRAIMENT…
Ils nous ont juste appris, à mettre un masque, à être enfermés et à avoir peur.
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Je vous partage un article du Dr Mohamed Boutbaoucht
Il n’est plus possible aujourd’hui d’ignorer l’omniprésence des métaux lourds dans notre environnement. Aluminium, mercure, plomb, cadmium, nickel… autant de substances que notre organisme accumule silencieusement, jusqu’à provoquer des désordres biologiques parfois graves.
Dentisterie, vaccins, alimentation industrielle, cosmétiques, ustensiles de cuisine, pollution atmosphérique, tabac — les sources d’exposition sont multiples et continues. Cette pollution chronique est l’un des grands défis de la santé moderne.
Des métaux qui s’accumulent et détruisent lentement :
Les recherches accumulées ces dernières années confirment un lien étroit entre l’exposition chronique aux métaux lourds et un grand nombre de maladies dégénératives et auto-immunes.
Même à des doses considérées comme « faibles », ces toxiques modifient profondément la physiologie cellulaire :
• Le plomb, même en dessous du seuil de toxicité reconnu, augmente le risque de maladies cardiovasculaires, de cancers et de mortalité globale. Une concentration sanguine de 20 à 29 µg/dl est déjà associée à une élévation de 39 % de la mortalité toutes causes confondues.
• Le mercure bloque les systèmes antioxydants naturels, accélérant le vieillissement cellulaire et affaiblissant les défenses immunitaires. Sa neurotoxicité est aujourd’hui bien documentée : il est impliqué dans la fibromyalgie, le syndrome de fatigue chronique, la sclérose en plaques, Alzheimer et Parkinson.
• L’aluminium, quant à lui, s’accumule lentement dans le cerveau, où il favorise les agrégations protéiques caractéristiques des maladies neurodégénératives. Il interfère aussi avec le métabolisme du calcium, des phosphates et de la myéline, et contribue à l’athérosclérose et au vieillissement accéléré.
Des effets synergiques et cumulatifs :
Les métaux lourds n’agissent pas seuls. Ils s’associent, se potentialisent et remplacent nos oligoéléments vitaux (zinc, sélénium, cuivre, magnésium). Cette substitution toxique perturbe le fonctionnement enzymatique, les voies métaboliques et la communication cellulaire.
C’est ainsi que des pathologies fonctionnelles — intolérances au gluten, troubles digestifs, colopathies, allergies, maladies auto-immunes — trouvent parfois leur origine dans une intoxication chronique méconnue.
Les métaux lourds altèrent aussi profondément le microbiote intestinal, détruisant les bactéries protectrices et favorisant la prolifération de germes pathogènes et de parasites. Cet effet sur l’écosystème intestinal explique le lien observé entre intoxication métallique, inflammation chronique et troubles neurodéveloppementaux tels que l’autisme et les troubles du comportement chez l’enfant.
Comment savoir si l’on est intoxiqué ?
Face à des symptômes persistants, polymorphes, et souvent inexpliqués (fatigue, douleurs diffuses, troubles digestifs, insomnie, anxiété, brouillard mental…), la question se pose légitimement : et si c’était les métaux lourds ?
Plusieurs analyses permettent d’en avoir le cœur net :
1. Analyse sanguine : Utile pour détecter une exposition récente au plomb, mercure, aluminium ou cadmium (chez les fumeurs notamment). Elle ne reflète cependant que les métaux circulants, et non ceux déjà stockés dans les tissus, ce qui limite sa fiabilité.
2. Analyse capillaire (cheveux) : Simple, non invasive et globalement représentative du terrain biologique. Les cheveux concentrent de nombreux métaux et minéraux, offrant un aperçu des expositions chroniques.
3. Analyse des porphyrines urinaires : Test de référence pour objectiver une exposition chronique. Les porphyrines, intermédiaires du métabolisme héminique, se modifient spécifiquement au contact des métaux lourds.
Si vous avez des difficultés financières, renseignez vous toujours sur la prise en charge par la sécurité sociale car vous risquez une bien mauvaise surprise. La médecine conventionnelle reste prudente ,voire réticente ,face à ces tests, qu’elle classe encore parmi les « analyses de confort ».
Pourtant, de nombreux praticiens de médecine fonctionnelle et intégrative observent des améliorations cliniques majeures après détoxication associée à la restauration du microbiote et du statut minéral.
Le corps humain, par son intelligence biologique, tente sans cesse d’éliminer ces métaux ; mais lorsque la charge dépasse ses capacités de détoxification (foie, reins, intestin, peau), l’organisme bascule dans l’inflammation, la dérégulation immunitaire et la dégénérescence.
La solution ne réside pas uniquement dans la détection ou la chélation, mais dans une réhabilitation globale du terrain biologique :
• Réparer la barrière intestinale,
• Restaurer la flore protectrice
• Rééquilibrer le statut minéral,
• Soutenir les voies de détoxification naturelle (foie, reins, peau).
• Réduire les sources d’exposition au quotidien (cosmétiques, ustensiles, amalgames dentaires, alimentation industrielle).
En conclusion
Les métaux lourds ne sont pas de simples polluants : ce sont des perturbateurs silencieux du vivant.
Leur dépistage et leur élimination doivent être intégrés dans toute approche médicale systémique, notamment dans la prévention des maladies neurodégénératives, auto-immunes et métaboliques.
Identifier et neutraliser ces toxiques, c’est redonner au corps sa capacité à guérir, à se régénérer, et à retrouver son équilibre originel.
Personnellement, je l’ai déjà dit, j’utilise les molécules de signalisation Redox pour une bonne communication cellulaire et une détoxication en douceur au quotidien (je m’intoxique chaque jour, je me détoxique chaque jour, je n’attends pas d’être malade pour agir). https://www.aseaglobal.com/fr-FR/asea?webSiteName=mabelle
Je prends soin de mon microbiote avec https://feelgreatmission.video/products?uid=mabelle et un probiotique (qui est offert ce mois-ci lors d’un premier achat de Unimate et Balance). Il est exact qu’il y a en magasin des probiotiques moins cher, mais avez-vous eu des résultats ? Combien de souches contiennent ils ? A quel dosage ? Sont elles actives ? Personnellement je préfère payer un peu plus cher pour un produit de qualité que des produits douteux en magasin bio ou sur le net. J’ai besoin d’être en confiance avec la société qui distribue le produit et donne des garanties. Je ne partagerai jamais que des produits dont je suis convaincue à 1000%. Mais vous restez libre d’acheter autre chose si vous le sentez ainsi.
Prenez soin de vous
Mabelle
Etre acteur de sa vie, être soi en pleine conscience