Ce n’est pas parce qu’on le dit avant les autres qu’on a forcément tort

Le 16 octobre 1992, au Madison Square Garden, 20 000 personnes la huèrent.

Une marée de cris, de haine, de mépris.

Et pendant que le vacarme grondait, un homme s’approcha d’elle et lui murmura à l’oreille :

« Don’t let the bastards get you down. »

(Ne laisse pas les salauds te briser.)

Sinéad O’Connor avait 25 ans.

Sa voix avait bouleversé le monde avec Nothing Compares 2 U.

Mais ce soir-là, elle ne montait pas sur scène pour chanter devant des fans.

Elle entrait dans une arène.

Deux semaines plus tôt, en direct à la télévision, elle avait fait l’impensable.

Sur le plateau de Saturday Night Live, elle avait interprété War de Bob Marley, a cappella, en changeant les paroles pour dénoncer les abus d’enfants.

Puis, face caméra, elle avait déchiré une photo du pape Jean-Paul II.

Deux mots : « Fight the real enemy. »

(Combattez le véritable ennemi.)

Le monde s’est effondré sur elle.

Menaces de mort. Boycott. Condamnation du Vatican.

Les radios bannirent sa musique. Les journaux la crucifièrent.

Frank Sinatra déclara qu’il voulait « lui botter les fesses ».

Joe Pesci plaisanta qu’il l’aurait giflée en direct.

Mais Sinéad ne s’excusa pas.

Elle tenta d’expliquer : elle dénonçait le silence de l’Église face à la pédophilie de ses prêtres.

Mais en 1992, personne ne voulait l’entendre.

Ce qu’elle disait était jugé blasphématoire, délirant, impossible.

Ce soir-là, au concert des 30 ans de Bob Dylan, elle savait.

Elle savait que les huées allaient venir.

Qu’on ne lui pardonnerait pas.

Kris Kristofferson, légende vivante, la présenta simplement :

« Voici Sinéad O’Connor. »

Et l’enfer se déchaîna.

Les huées montèrent comme une tempête.

Un vacarme massif, brutal, inhumain.

Elle monta sur scène, minuscule silhouette à la tête rasée, engloutie dans des vêtements trop grands, face à 20 000 voix qui voulaient la détruire.

Elle devait chanter I Believe in You, un hymne à la foi et au courage.

Mais elle ne put.

Alors, elle fit quelque chose d’extraordinaire.

Elle hurla.

Elle hurla War — le même chant, les mêmes paroles qui avaient tout déclenché.

Sa voix n’était plus une chanson. C’était une arme.

Elle se battait seule contre une foule entière.

Et elle tenait.

Les insultes redoublèrent.

Des objets volèrent vers la scène.

Mais Sinéad ne recula pas.

Jusqu’à ce que le mur de haine devienne trop lourd.

Elle quitta la scène en larmes.

Dans les coulisses, Kris Kristofferson l’attendait.

Elle tremblait. Les yeux pleins de rage, de douleur, d’humiliation.

Il la prit dans ses bras et lui murmura ces mots :

« Don’t let the bastards get you down. »

Cinq mots.

Cinq mots qui l’ont tenue en vie.

Dix ans plus tard, le monde découvrit la vérité.

Le Boston Globe révéla les abus systématiques, les enfants violés, les prêtres protégés.

Exactement ce que Sinéad dénonçait.

Elle avait eu raison.

Mais à quel prix ?

Sa carrière était brisée, son nom sali, sa voix marginalisée.

Quand la vérité éclata enfin, il était trop tard.

Le monde s’excusa… à demi-mot.

Les mêmes qui l’avaient détruite l’appelèrent soudain « prophète ».

Mais elle n’était plus là pour les entendre.

En 2023, Sinéad O’Connor s’est éteinte à 56 ans.

Et les hommages ont afflué.

Trop tard.

Kris Kristofferson avait compris, bien avant tout le monde, que l’Histoire est pleine de gens punis pour avoir eu raison trop tôt.

Que le courage, au début, ressemble toujours à de la folie.

Et que ceux qu’on appelle fous sont souvent les seuls à dire la vérité.

Cette nuit-là, dans les coulisses du Madison Square Garden, il ne pouvait pas la sauver.

Mais il pouvait la voir.

Vraiment la voir.

Pas comme une rebelle, pas comme une provocatrice.

Mais comme une femme seule, debout, face à un monde qui refusait d’écouter.

« Don’t let the bastards get you down. »

Ne les laisse pas te briser.

Tu avais raison. Tu étais en avance.

Et l’Histoire finit toujours par le reconnaître.

Le manque de respect

Ce n’est jamais un accident

Bonjour, je t’espère en grande forme

Le manque de respect ne sort pas de nulle part,ce n’est pas une “Erreur” ou un simple “Dérapage”.

Le manque de respect est toujours une décision.

Une décision consciente ou inconsciente, mais une décision quand même.

Quand quelqu’un te coupe la parole,c’est qu’il pense que ce qu’il a à dire est plus important que ce que tu dis.

Quand quelqu’un te parle mal,c’est qu’il s’autorise à le faire.

Quand quelqu’un joue avec tes limites, c’est qu’il n’a jamais eu peur de les franchir.

Quand quelqu’un piétine ce que tu ressens, c’est qu’il considère que tes émotions valent moins que son propre confort.

Le respect, ce n’est pas juste une question de politesse, c’est une question de valeur.

Ça dit tout sur la façon dont quelqu’un te perçoit parce qu’on respecte toujours ce qu’on craint de perdre.

Alors pose-toi la question :

Pourquoi certaines personnes ne ressentent aucune peur à l’idée de te perdre ?

Pourquoi elles pensent qu’elles peuvent te traiter comme si tu n’avais aucun poids ?

Comme si ton silence était garanti,

Comme si ton pardon était automatique ?

La vérité, c’est que le manque de respect ne s’arrête jamais tout seul.

Il s’installe, il s’amplifie, il teste jusqu’où il peut aller.

Jusqu’au jour où TU dis stop.

Parce que la première fois, c’était un test.

La deuxième, c’était une validation.

Et la Troisième… c’était devenu normal.

Le respect, ça ne se demande pas, ça s’impose.

Pas en criant, pas en pleurant, pas en suppliant.

Mais en montrant, par tes actes, que tu n’es pas une option.

Que s’ils ne savent pas te respecter, ils apprendront à se souvenir de Toi en Ton Absence…

Prends soin de toi

Mabelle

En pleine forme sans médicaments

Bonjour, je vous t’espère en pleine forme.

Etre en pleine forme sans prendre aucun médicament, aucun produit chimique, c’était le voeu de Jay Dhaliwal. D’abord pour sa maman et puis pour le monde entier.

Le parcours de Jay Dhaliwal et la découverte d’une neurotechnologie unique

En 1983, la vie de Jay Dhaliwal qui était un homme d’affaires millionnaire travaillant dans le milieu de l’informatique, prend un tournant décisif pour soulager sa maman diagnostiquée avec la sclérose en plaques. Déterminé à obtenir les meilleurs soins pour sa mère, il a rencontré les meilleurs spécialistes, fait le tour de la planète. Il a consacré 35 ans de sa vie à la recherche et aux innovations dans ce domaine.

C’est à Lausanne, en 2008, que Jay étudie les signaux d’imagerie cérébrale, découvre les différentes fréquences cérébrales et apprend à les recoder en messages pouvant être transmis au cerveau. Il réalise combien l’homéostasie joue un rôle crucial pour améliorer les fonctions cérébrales globales.

Il fait une découverte majeure qui change tout : une méthode non chimique et non électrique pour générer une réponse neuronale, inspirée par des orthèses. Initialement développée pour traiter les troubles de l’articulation temporo-mandibulaire, cette découverte ouvre la voie à de futures innovations.

Après s’être fait accompagner de scientifiques spécialisés dans le domaine et beaucoup d’expérimentations, Jay lance la société Voxxlife en 2016 avec des chaussettes intégrant la technologie vibrotactile, contribuant à l’homéostasie du tronc cérébral et améliorant la santé et le bien-être de plusieurs millions de personnes.

Mais les chaussettes limitant cette technologie, pas pratiques l’été ou la nuit, Jay ne s’arrête pas là et crée d’abord des semelles (avec quasiment les mêmes inconvénients que les chaussettes), puis des patchs en 2022. Chaussettes et semelles étaient vendues en supermarchés au Canada (Jay est d’origine indienne mais vit au Canada). Bien que ça ne soit pas le meilleur moyen de distribution (qui achète des chaussettes en lisant sur l’emballage qu’elles aident à l’équilibre du corps ?), il en a pourtant vendu des millions. Il a décodé tous les codes neuronaux, il a donc poursuivi sa mission avec des solutions pour les problèmes les plus fréquents actuellement : douleurs, sommeil, stress, mobilité, … Au printemps 2023 les Superpatchs sont arrivés en Europe, en commençant par l’Allemagne, puis fin d’année en France et en Belgique. Début 2024 une grosse partie de l’Europe était ouverte. Ont suivi la Turquie, la Suisse et, depuis peu, le Mexique.

En octobre 2023, Jay a été invité au congrès de la douleur en Turquie pour présenter le patch Freedom, dédié à la douleur. Les essais cliniques montrent une diminution de la douleur de 72% en seulement une heure, ce qui a impressionné les professionnels de la santé pourtant très attachés aux produits de big pharma qui a subventionné leurs études. S’ils espéraient prouver un quelconque effet placebo, cela n’était pas possible, les études sont là pour prouver les effets réels.

J’ai fait le choix de travailler avec une entreprise qui vous donne son énergie pure! Les personnes avec qui on s’associe nous impactent, quelle chance d’être impactée par un tel homme.

Evidemment lorsque quelque chose fonctionne et n’est pas vendu par les labos, les détracteurs s’en donnent à coeur joie et publient des mensonges sur le net. Peu m’importe que vous fassiez partie de ceux là. J’ai vu suffisamment de changements autour de moi, sur moi, sur des connaissances pour quoi que vous puissiez dire, ça ne m’intéresse pas.

Cet homme porte la mission d’étendre l’amour qu’il a eu pour sa mère à l’humanité toute entière. Il ne parle pas business, il est déjà multimillionnaire et a dépensé des millions pour mettre cette technologie au point, il parle le langage d’amour, le langage d’un être hors du commun, quelqu’un qui regarde pour de vrai, parle pour de vrai, un homme qui vibre haut.

https://mabelle.superpatch.com/fr

« Si Big Pharma m’écoute, tant pis pour eux. J’ai déclaré la guerre à Big Pharma. » — Jay Dhaliwal, fondateur de SuperPatch

Ces mots résonnent fort… et ils reflètent exactement pourquoi je me tiens aux côtés de cette entreprise, avec fierté et conviction

💊 Pas le moindre médicament à la maison.

📜 Pas d’ordonnances, d’effets secondaires, de solutions temporaires

🥄 Pas de gélules, poudres, comprimés, potions et pilules qui masquent les vrais problèmes au lieu de les résoudre.

Aujourd’hui, une nouvelle voie est possible. Une technologie simple, naturelle, non invasive…

Un outil puissant qui agit directement sur le système nerveux, sans rien ajouter au corps.

Oui! Sans rien à avaler, à mesurer, à gérer avant, pendant, après ou en dehors des repas et y penser plusieurs fois par jour !!! On colle les patchs, et le système nerveux s’occupe de remettre l’équilibre de santé PARTOUT !

Je suis fière de faire partie de ce mouvement qui place l’humain, la santé et l’autonomie au centre.

La santé est un choix, fais le bon et prends soin de toi.

Mabelle

Quand la conscience défie la matière

Le mystère d’Alex Simpson

Bonjour, je vous espère en pleine forme.

Aux États-Unis, une jeune femme prénommée Alex Simpson vient de fêter ses 20 ans comme des tas d’autres adolescents, sauf que … Alex démontre à elle seule que les scientifiques ne savent finalement pas grand chose sur le fonctionnement de l’être humain.

Alex est née avec une malformation rarissime appelée hydranencéphalie. Ce qui signifie que ses hémisphères cérébraux n’existent pas, à la place dès la naissance, se trouvent des poches remplies de liquide céphalo-rachidien.

Les médecins prétendant régulièrement tout savoir et évidemment bien mieux que le commun des mortels, avaient prédit qu’elle ne survivrait pas plus de six mois. Mais elle les fait mentir, elle est toujours bien là, comme un miracle médical. Elle vit, communique, ressent.

Peut on parler de miracle ou est-elle la preuve que la compréhension du corps et de la conscience souffre de grosses lacunes ?

Selon les scientifiques, la conscience est produite par le cerveau, nos perceptions, pensées ou émotions résultent de l’activité neuronale.

Selon cette logique, Alex ne devrait rien percevoir, n’aurait aucune interaction avec son entourage. Or, ce n’est pas le cas.

Il est donc tout à fait légitime de se demander si le cerveau ne serait pas seulement l’antenne de la conscience et non sa source.

De plus en plus d’études en neurophysique quantique et en expériences de mort imminente, vont dans ce sens : le cerveau ne “crée” pas la conscience, il la capte, la traduit, la localise temporairement dans un corps. Il agit comme un modulateur de fréquence, à la manière d’un poste de radio. Si l’appareil est cassé, la musique ne s’arrête pas — elle cesse seulement d’être entendue ici. La conscience, elle, reste intacte dans le champ universel.

Si Alex vit sans cerveau, expressive et sensible, elle est la preuve comme le disait Max Planck que la matière dérive de la conscience, utilise les circuits neuronaux quand ils sont disponibles, mais peut tout aussi bien s’exprimer autrement, notamment à travers le champ énergétique du corps.

L’être humain n’est pas seulement un énorme tas de cellules, celles ci contiennent leur propre conscience moléculaire, faisant que le corps est connecté au champ d’information quantique et vibre avec le Tout. l’Être.

Alex est la preuve incarnée que la vie ne dépend pas de la mécanique, est bien plus vaste que la biologie, que la conscience précède le corps. Elle vit dans la conscience unifiée où le mental n’a pas d’utilité. Elle nous rappelle que la matière n’est pas nécessaire à la conscience, que l’âme n’a pas besoin de neurones, que la véritable intelligence est celle du coeur et de la vibration. ⸻

Prenez soin de vous

Mabelle

Une neurotechnologie innovante

Bonjour, je vous espère en pleine forme après cette nuit très froide (en tous cas chez moi) et ce matin qui le sera tout autant.

Aujourd’hui je vous présente la neurotechnologie Superpatch.

Ceux qui me connaissent savent que je suis assez méfiante vis à vis des nouveautés, mais aussi que si je suis aujourd’hui en bonne santé, c’est justement grâce à une technologie américaine envers laquelle je serai toujours reconnaissante de m’avoir donné la chance de pouvoir enfin vivre sans souffrance. Je suis donc toujours curieuse de découvrir de nouveaux concepts même si, généralement, mon intérêt s’arrête assez rapidement parce qu’il y a toujours certains points qui me déplaisent comme des produits plus ou moins exotiques récoltés on ne sait où et qui ont peut-être un risque d’effets secondaires encore méconnus, l’obligation de devoir utiliser l’électricité ou pire encore une application pour les utiliser, … Tous ces gadgets nommés progrès, ce n’est pas pour moi. Je ne vois pas l’intérêt de tenter de se faire du bien en utilisant un appareil qui m’envoie des ondes. Comme d’avaler des plantes (même si ceux qui les distribuent parlent de « naturel » dont je n’ai pas la moindre idée de comment elles ont été cultivées, récoltées et comment mon corps déciderait de les utiliser. Plante ne veut pas forcément dire accepté et bien géré par le corps puisque certains fruits ou légumes qui sont eux aussi naturels et font peuvent provoquer de grosses réactions allergiques et toutes sortes de maladies. Tout ce que le corps n’utilise pas, il le considère comme toxique, et je préfère toujours rester prudente à ce niveau. C’est donc assez régulièrement qu’on me propose « la découverte du siècle » et j’y regarde toujours avec un œil très méfiant. Cette fois, je n’ai clairement pas été déçue !

C’est quoi ? Encore un patch de plus ? On en trouve des milliers sur le net !  

Absolument pas ! Les patchs Superpatch sont uniques. Ils interagissent avec le système nerveux pour optimiser les fonctions corporelles.

Tout est fréquence, en ce y compris notre cerveau qui vibre à différentes fréquences.

Ces différentes fréquences peuvent être recodées en message pour les transmettre au cerveau. Dans le cas de Superpatch les messages sont vibrotactiles. Le code de fonctionnement optimal du corps (motif intégré au patch) est, au contact de la peau, directement transmis au cerveau pour y rétablir l’équilibre. C’est ce que l’on appelle la neurotechnologie vibrotactile.

Il ne s’agit donc pas de patchs comme tant d’autres puisqu’ils ne contiennent aucun produit, il ne peut donc y avoir aucun effet secondaire possible. Et, ça, ça m’intéresse vraiment.

Je manque un peu de temps ce matin, je vous en parle plus longuement lundi.

https://mabelle.superpatch.com/fr Attention, n’achetez rien sans me contacter. Tout d’abord parce que je suis là pour vous conseiller et aussi parce que les prix indiqués sont pour les américains. J’ai un code de réduction (et il ne s’agit pas d’une petite réduction de 5%).

Prenez soin de vous

Mabelle

Utilisations de l’eau de riz

L’eau de riz : un trésor caché pour la maison, la peau et les cheveux

Bonjour, je te souhaite en grande forme

A chaque fois que tu prépares du riz, tu jettes sans le savoir une véritable potion de bien-être : l’eau de rinçage et l’eau de cuisson. Pourtant, l’eau de riz est riche en amidon, acides aminés, vitamines du groupe B, minéraux et antioxydants. Résultat : elle nettoie, nourrit, embellit et soigne !

La prochaine fois que tu cuisines du riz, garde son eau : tu auras entre les mains un allié puissant pour la beauté, la santé et même l’entretien de ta maison.

Pourquoi ça marche ?

Amidon : il absorbe graisses et impuretés, d’où son pouvoir nettoyant et dégraissant.

Acides aminés & minéraux (potassium, magnésium, phosphore) : ils nourrissent la peau, le cuir chevelu et même tes plantes.

Vitamine E et antioxydants : ils ralentissent le vieillissement cellulaire et stimulent la régénération.

Fermentation : elle booste les probiotiques, bénéfiques pour ton microbiote cutané et capillaire.

Les différentes préparations

1️⃣ Eau de riz cru

Rince une poignée de riz (jette la 1ère eau).

Recouvre-le d’eau claire, laisse reposer 30 min puis filtre.

Tu as maintenant une eau légère, idéale pour la peau et en tonique.

2️⃣ Eau de riz cuit

Fais cuire le riz dans de l’eau non salée, récupère l’eau à l’égouttage.

Plus épaisse et riche en amidon, elle est parfaite diluée comme après-shampoing ou lotion apaisante.

3️⃣ Eau de riz fermentée

Rince 2 c.à.s. de riz, jette la 1ère eau.

Ajoute 0,5 L d’eau, couvre et laisse 24 h à température ambiante.

Quand ça sent légèrement acide et qu’il y a des bulles, c’est prêt !

Tu as entre les mains un véritable probiotique pour les cheveux qui stimule la pousse, renforce, lutte contre les pellicules. Il se conserve jusqu’à 1 semaine au frigo, dans un bocal en verre (pas de métal).

Usages beauté de l’eau de riz

Peau

Tonique : clarifie le teint, traite acné et taches brunes.

Masque anti-âge : imbibe des cotons et laisse poser 20 min.

Glaçons éclat : resserre les pores et booste la luminosité.

Soin apaisant : calme eczéma, rougeurs, piqûres et coups de soleil (mélange le à de l’aloe vera pour plus d’efficacité).

Cheveux

Eau fermentée : masque capillaire hebdomadaire (20 min sous bonnet).

Eau non fermentée : dernier rinçage pour brillance et douceur.

Usages pratiques des 1er, 2e, 3e rinçages

1er rinçage (riche en amidon) → nettoyant dégraissant cuisine.

2e rinçage (minéraux) → engrais naturel pour les plantes.

3e rinçage (antioxydants + vitamines) → lotion peau et cheveux.

Ce n’est pas un hasard si les Japonaises et Coréennes, réputées pour leur peau parfaite, utilisent l’eau de riz depuis des siècles. Certaines marques de cosmétiques en font même un ingrédient phare.

Alors, ne jette plus l’eau de riz ! Transforme-la en soin 100 % naturel, économique et zéro déchet.

Prends soin de toi

Mabelle

Oublier le passé ?

Bonjour, j’espère que vous allez bien ce matin

Le passé est derrière nous, mais il est si présent et si précieux, quoi qu’on en dise. On nous demande souvent d’oublier, mais comment oublier.

Comment oublier toutes ces personnes, toutes ces choses qui font de nous ce que nous sommes.

Le passé, c’est les gens que l’on a côtoyés, aimés, chéris et qui ont fait partie de notre vie et qui sont partis. C’est aussi des souvenirs, des erreurs, des moments de bonheur et de douleur, qui nous forgent et nous rappellent que chaque étape, chaque rencontre, a son importance.

Le passé ne disparaît jamais vraiment, il reste dans notre mémoire, guidant nos pensées, nos choix et notre manière d’aimer.

Prenez soin de vous

Mabelle

La notion de non attachement

Dans le bouddhisme existe ce principe de non attachement

Bonjour, je vous espère en pleine forme.

Dans le bouddhisme, le non-attachement (ou vairāgya en sanskrit, alobha en pāli) ne signifie pas qu’il faut renoncer à tout ou vivre sans rien aimer. C’est une idée souvent mal comprise.

Le non-attachement signifie plutôt :

Ne pas s’accrocher de manière possessive aux choses, aux personnes ou aux idées.

Comprendre que tout est impermanent : les relations, les objets, la santé, les émotions, la vie elle-même. Rien ne dure éternellement.

Accepter cette réalité permet de réduire la souffrance qui naît quand nous voulons que les choses restent figées ou qu’elles soient différentes de ce qu’elles sont.

Exemple concret

Avec les objets : aimer une belle maison ou un vêtement n’est pas un problème. Mais croire que notre bonheur dépend absolument d’eux, ou souffrir excessivement quand on les perd, c’est de l’attachement.

Avec les personnes : aimer profondément quelqu’un est naturel. Mais vouloir le contrôler, l’enfermer, ou craindre sans cesse de le perdre crée de la souffrance. Le non-attachement invite à aimer sans posséder.

Avec les pensées et les idées : si nous nous accrochons à nos opinions comme si elles étaient la vérité absolue, nous devenons rigides et intolérants. Le non-attachement développe une ouverture d’esprit.

Pourquoi c’est important ?

Cela libère des illusions et de la peur de perdre.

Cela permet de goûter pleinement au moment présent, sans être prisonnier de l’angoisse du futur ni des regrets du passé.

Cela ouvre à une forme d’amour plus pur : aimer quelqu’un ou quelque chose, mais sans exigence de possession ni de permanence.

Prenez soin de vous – Mabelle

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#resilence#foi#cheminspirituel#acceuil#acceptationdesoi#conscienceeteveil

Etre acteur de sa vie, être soi en pleine conscience