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Tomber dans le trou ou passer le portail ?

Bonjour j’espère que vous allez bien.

Je vous partage ce matin un très beau texte emprunté à Aigle Blanc, indigène Hopi.

Personnellement j’utilise dans ma routine quotidienne les outils à ma disposition pour rester, ou revenir dans de hautes vibrations si je sens que je m’en écarte : sophrologie, méditation, envoi de vibrations avec mon petit bijou de technologie qui m’envoie les fréquences dont mon corps et mon esprit ont besoin, EFT, Point Zéro, … A chacun sa ou ses techniques

Merveilleuse journée

Mabelle

Un trou noir serait à l'origine de la plus grande explosion observée dans l' univers

«Ce moment que traverse l’humanité peut maintenant être vu comme un portail et comme un trou.

La décision de tomber dans le trou ou de passer par le portail vous appartient.

Si vous vous repentez du problème et consommez les nouvelles 24 heures sur 24, avec peu d’énergie, nerveuse tout le temps, avec pessimisme, vous tomberez dans le trou. 

Mais si vous saisissez cette occasion pour vous regarder, repenser la vie et la mort, prendre soin de vous et des autres, vous traverserez le portail.

Prenez soin de votre maison, prenez soin de votre corps. Connectez-vous avec votre maison spirituelle.

Lorsque vous prenez soin de vous, vous vous occupez de tout le reste. Ne perdez pas la dimension spirituelle de cette crise, ayez l’aspect d’aigle, celui d’en haut, et voyez l’ensemble; voir plus largement.

Il y a une demande sociale dans cette crise, mais il y a aussi une demande spirituelle. Les deux vont de pair. 

Sans la dimension sociale, nous tombons dans le fanatisme. Mais sans la dimension spirituelle, nous tombons dans le pessimisme et le manque de sens.

Vous étiez prêt à traverser cette crise. Prenez votre boîte à outils et utilisez tous les outils à votre disposition.

Renseignez-vous sur la résistance des peuples autochtones et africains: nous avons toujours été et continuons d’être exterminés. 

Mais nous n’avons toujours pas arrêté de chanter, de danser, d’allumer un feu et de nous amuser. Ne vous sentez pas coupable d’être heureux pendant cette période difficile.

Vous n’aidez pas du tout à être triste et sans énergie. Vous aidez si de bonnes choses émanent de l’Univers maintenant. 

C’est par la joie que l’on résiste. 

Aussi, lorsque la tempête passera, chacun de vous sera très important dans la reconstruction de ce nouveau monde.

Vous devez être bien et fort. Et, pour cela, il n’y a pas d’autre moyen que de maintenir une belle vibration joyeuse et lumineuse. Cela n’a rien à voir avec l’aliénation.

C’est une stratégie de résistance. 

Dans le chamanisme, il existe un rite de passage appelé la quête de la vision. Vous passez quelques jours seul dans la forêt, sans eau, sans nourriture, sans protection. Lorsque vous traversez ce portail, vous obtenez une nouvelle vision du monde, car vous avez affronté vos peurs, vos difficultés…

Voici ce qui vous est demandé:

Permettez-vous de profiter de ce temps pour effectuer vos rituels de recherche de vision. Quel monde voulez-vous construire pour vous? 

Pour l’instant, voici ce que vous pouvez faire: la sérénité dans la tempête. Calmez-vous, priez tous les jours. Établissez une routine pour rencontrer le sacré tous les jours.

De bonnes choses émanent; ce que vous émanez maintenant est la chose la plus importante. Et chanter, danser, résister à travers l’art, la joie, la foi et l’amour. 

Résistez – renaissez ! »

Changer d’habitudes

Changer d’habitude c’est s’adapter, rester flexible, en mouvement. Et le mouvement c’et la vie. Rester flexible, que cela soit physiquement ou mentalement c’est se permettre une plus grande vision des choses, de la vie. C’est s’autoriser à prendre connaissance de plusieurs points de vue et ainsi pouvoir faire des choix de vie éclairés.

Ne sommes-nous pas venus sur cette terre pour y expérimenter la vie ? Comment le faire si nous avons peur de l’expérience et nous limitons en répétant inlassablement toujours le même schéma sans le moindre petit pas de côté ?

Généralement, ce qui nous empêche de changer une habitude, c’est notre peur de perdre un certain sentiment de sécurité car nous aimons notre zone de confort, même si elle est pourtant bien souvent un confort assez inconfortable. Inconfortable mais connu et c’est là que se trouve notre peur : faire face à l’inconnu.

Nous voyons le fait de changer d’alimentation, se mettre au sport ou arrêter la cigarette comme une énorme montagne infranchissable, mais cela fait juste partie de nos croyances que cela relève de l’impossible, qu’il faut avoir une volonté de fer, que nous allons souffrir sans finalement réussir.

Ce n’est donc pas l’alimentation, la sédentarité ou la cigarette qu’il est difficile de changer mais nos croyances bien ancrées, nos conditionnements sur le sujet. Nous souffrons parce que nous croyons que nous allons souffrir, rien de plus. Et si nous faisions d’autres choix ? Il semblerait qu’il ne faut que 21 jours pour intégrer pleinement une nouvelle habitude. Que représentent 21 jours sur l’espace d’une vie ? Et si nous changions une habitude à la fois, en nous donnant ce temps, si nous ne nous jugions pas, si nous ne culpabilisions pas si parfois on « craque » ? J’aime cette phrase de Lao Tseu qui dit : « La nature fait les choses sans se presser et pourtant tout est accompli ».

Il est très important d’identifier précisément vos objectifs et vos buts. En effet, si vous souhaitez arrêter la cigarette parce que ça dérange votre mari/épouse, je doute vraiment que vous y arriviez un jour. Par contre si votre but est de vous rapprocher des autres parce que vous vous sentez exclue des conversations familiales qui ont lieu autour de la table pendant que vous êtes seul(e) sur la terrasse à griller votre cigarette, si vous voulez vous dormir des nuits paisibles sans être réveillé par une quinte de toux du fumeur, si vous voulez une meilleure santé pour être capable de courir avec votre petit-fils, que vous savez précisément ce que vous voulez, il sera bien plus facile de matérialiser vos idées, de vous dire que si d’autres le peuvent, vous le pouvez également. La deuxième étape consistera à établir des actions pour vous rapprocher de vos objectifs, d’agir et de savourer vos petites victoires. Vous êtes en droit de vous féliciter si vous n’avez pas jeté votre paquet, mais n’avez pas allumé votre première cigarette au saut du lit ou celle après le repas, si vous n’avez pas fait une heure de sport intensif mais avez pris l’escalier au lieu de l’ascenseur ou êtes allé à pied chez le boulanger, si vous avez tout de même craqué pour un carré de chocolat mais n’en avez pas mangé deux tablettes. Tout petit changement d’habitude est une victoire.

Chaque année de notre vie nous donne la possibilité de changer 17 habitudes différentes en 21 jours, woaw, imaginez le nombre d’habitudes que vous pourriez changer si vous en preniez vraiment la décision, là, maintenant. Pas demain, pas l’été, pas en résolution du 1er janvier, pas l’an prochain, pas quand les enfants auront grandi, pas lors de votre retraite, maintenant, tout de suite !

Changer une habitude ce n’est pas se priver, c’est s’améliorer, apporter une nouveauté dans notre vie, remplacer par quelque chose de plus positif pour nous, en étant flexible, en découvrant, en s’adaptant en vivant autrement. Pour changer une habitude, quelle qu’elle soit, commencez par une journée en vous sentant libre de ne pas le faire le lendemain. Prenez une autre route que votre chemin habituel pour vous rendre chez l’épicier, mangez un miam-ô-fruit le matin plutôt qu’un croissant au beurre.

Sans doute que, même ces petites choses vous perturberont, déstabiliseront votre égo. Mais observez, acceptez, et vivez pleinement ce que vous vivez, sentez-vous libre, savourez chaque moment de bonheur, et comme un enfant amusez-vous.

Ce sentiment de sécurité que vous procure le fait de rester toujours dans les mêmes habitudes est un leurre. Le sentiment de sécurité est en nous, il est bien plus profond qu’une cigarette ou notre alimentation, il suffit juste de le retrouver. Plusieurs techniques existent pour nous aider à retrouver le vrai sentiment de sécurité, la confiance en soi et en la vie : comme le Qi-qong, la méditation, la sophrologie ou encore une pratique spirituelle. J’ai mes techniques, celles qui me conviennent le mieux. A vous de choisir celle qui vous sont le plus appropriées. N’hésitez pas à partager vos techniques préférées.

Merveilleux dimanche après-midi

Mabelle

Se relier à la nature

La fin de l’année approche et la semaine dernière, nous avons eu les premières gelées. Le matin, ceux qui ont encore la liberté de travailler en dehors de chez eux quittent la maison dans l’obscurité et le soir, rentrent dans le noir. L’obscurité fait-elle baisser votre niveau d’énergie ? Faites le plein d’énergie le weekend en partant explorer la nature et profitez pleinement de votre jardin.

Une dame m’a récemment fait part d’un fait très intéressant, que moi-même je vis au quotidien, surtout ces derniers temps. Elle m’a dit qu’elle avait besoin de purifier son champ énergétique, des peurs et anxiétés des autres et de veiller – plus que jamais – à maintenir sa fréquence à un haut niveau.

En effet, beaucoup de personnes ressentent de l’anxiété, à juste titre. Il est vraiment important de gérer notre état d’être, de maintenir une haute fréquence.

Pour retrouver un peu de sérénité, nous avons tous nos propres petites recettes que nous utilisons depuis longtemps, ou découvertes depuis peu mais qui peuvent nous faire le plus grand bien pendant cette période. Je pourrais ajouter à cela de faire du bien à votre corps pour que votre esprit en profite, mais vu qu’il n’est pas possible de se faire prodiguer un massage, et même pas de se rendre chez la coiffeuse pour se sentir mieux dans sa peau, il va falloir trouver un autre moyen.

Il peut s’agir de pratiquer votre activité détente préférée : peinture, couture, lecture, cuisine, bricolage, chant, danse, yoga, …

Mais aussi d’éviter tout ce qui est anxiogène : médias écrits et télévisés, conversations sur les sujets du moment, la frustration ou la colère des uns, les croyances et la désinformation des autres.

Cependant si consacrer du temps à une chose qui nous plaît peut en effet distraire l’esprit le temps de l’activité et ramener un peu de calme, ça n’est sans doute pas suffisant pour beaucoup. Dans ce cas des techniques comme celles dont il est question sur ce blog devraient grandement vous aider. Je ne vais pas développer ici les sujets qui l’ont déjà été précédemment, et vous invite à regarder les anciennes publications selon ce qui vous intéresse le plus.

L’EFT que vous pouvez pratiquer seul(e) si vous ne vous attaquez pas à un gros trauma,

La méditation que vous pratiquerez seul(e) ou avec l’aide d’un soutien audio, ce n’est pas ce qui manque sur youtube ou ailleurs si celui-ci disparaît comme devrait sans doute être le cas vu les censures et l’ingérence dans les élections américaines. Pour ceux qui ont la chance d’avoir un Psio, c’est encore plus pratique pour se déconnecter complètement de l’instant avec lunettes et casque.

Ceux qui ne possèdent pas le Psio et souhaite s’offrir ce cadeau pour Noël, profitez du code promo :

Parlons aujourd’hui de sylvothérapie :

Du latin  » silva  » qui signifie  » arbre « , la sylvothérapie souhaite rétablir les liens primitifs qu’il peut exister entre l’être humain et la nature, par l’action que peut exercer un arbre sur lui. La sylvathérapie qui est donc  » Faire un câlin à un arbre », part du principe que les arbres, comme tout être vivant possèdent leur vibration. Connectés à la terre par leurs racines, et au ciel par leurs branches, possèdent une énergie particulièrement forte dont nous pouvons nous ressourcer. Des études scientifiques démontrent que la simple vue d’arbres a un effet anti-dépresseur, et que l’énergie des arbres réduit l’anxiété, aide les enfants souffrant de troubles de l’attention et permet même de diminuer les douleurs. En anglais, on dit « Tree Hugging ».

Et si vous vous mettiez à la sylvothérapie

En 1982, la pratique a été introduite au Japon où elle est reconnue comme une technique de relaxation à part entière et jouit aujourd’hui d’un statut médical officiel et se nomme  » Shinrin-yoku « ,  » bains de forêts « . Il ne s’agit toutefois pas d’un effet de mode.  » Il y a toujours eu des personnes qui allaient en forêt embrasser des arbres. De tout temps, les hommes ont voulu se rapprocher de la nature « , explique Jean-Marie Defossez, auteur du livre Sylvothérapie, le pouvoir bienfaisant des arbres.

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Avez-vous déjà fait un câlin à un arbre ?

J’imagine l’air dubitatif de certains, mais se ressourcer à l’énergie des arbres a fait l’objet de plusieurs livres et études scientifiques. Bon, je suis la première à dire qu’on ne peut plus se fier aux études scientifiques quand on voit à quel point elles sont manipulées selon qui les a financées. Il s’agit donc de toujours se poser l’éternelle question « A qui profite le crime ? ». Or, ici, à personne, que vous fassiez un câlin à un arbre ne rapporte d’argent à aucun laboratoire, que du contraire donc, je choisis de croire à ces études. Mais vous êtes libre de croire ce que bon vous semble. Je ne fais que partager ce que j’estime juste et profitable pour tous et chacun se fera sa propre idée, cherchera ailleurs des infos sur le sujet, pratiquera ou non.

Détrompez-vous, cela n’a rien de ridicule. Au contraire, cela a un réel effet apaisant, régénérant, tout à fait surprenant.

Prenons un moment pour nous enraciner dans le présent. Ce bel après-midi ensoleillé est un merveilleux moment pour profiter de Dame Nature est de ses multiples vertus pour le corps et l’esprit.

Choisissez votre arbre, dirigez-vous instinctivement vers celui qui vous appelle, ça sera forcément l’arbre parfait. Peu importe qu’il soit lisse ou rugueux, droit ou tordu. Vous pouvez pratiquer dans un parc, au risque d’être regardé bizarrement. Personnellement je me moque des personnes qui ne sont pas capables de comprendre ce que je fais et se permettent de me juger. Je suis convaincue qu’un jour tout le monde pratiquera la sylvothérapie, cela fera partie de nos habitudes quotidiennes.

Depuis que j’ai déménagé il y a 4 ans, je n’ai plus les grands arbres de mon ancien jardin et c’est seulement l’an dernier que j’ai aménagé l’extétieur et planté le figuier reçu en cadeau de fête des mères. Autant vous dire que deux doigts suffisent à faire le tour de son minuscule tronc. Or, plus l’arbre est grand, et plus il aura d’énergie à vous donner.

Si vous choisissez un arbre paraissant malade, il ne pourra pas vous donner d’énergie. Si vous le faites, ça sera au contraire pour lui donner de l’énergie et non pour lui prendre le peu qu’il lui reste.

Si le regard des autres vous gêne, et que vous avez un arbre dans votre jardin, rien ne vous empêche de pratiquer chez vous. Et, à partir du moment où vous en aurez ressenti les bienfaits, vous oserez le faire ailleurs, au vu des bienfaits par rapport à la moquerie des gens qui ne comprennent pas.

Lorsque vous avez trouvé votre arbre (à moins que ça ne soit lui qui vous a trouvé ?), prenez un moment pour l’observer. Demandez-lui intérieurement la permission de l’approcher.

Collez-vous contre lu, le front ou la joue contre l’écorce. Fermez les yeux. Restez dans l’instant et respirez calmement.

Lorsque vous serez installé dans ce câlin, sentez que vous ne faites qu’un avec l’arbre, vous êtes l’arbre et l’arbre est vous.

Inspirez profondément en ancrant un peu plus vos pieds dans le sol comme pour vous connecter aux racines. Faites remonter le souffle dans tout votre corps jusqu’au sommet de votre tête comme la sève qui monte vers la cime.

Et expirez vers le ciel.

Puis faites le chemin inverse. Inspirez du ciel et faites descendre le souffle jusque dans le sol, jusqu’à vos pieds, jusqu’aux racines de l’arbre.

Restez aussi longtemps que vous souhaitez dans ce câlin avec la nature en portant votre attention sur les battements de la vie qui circule dans ce duo entre vous et l’arbre.

Avant de repartir, n’oubliez pas de remercier l’arbre qui vous a insufflé de l’énergie, autant qu’une séance de sophrologie. Alors même s’il ne parle pas, remerciez-le !

Et emportez avec vous tous les bienfaits de ce moment de douceur.

Une autre technique, que j’aime moins personnellement, mais qui conviendra sans doute mieux à ceux qui s’inquiètent du passage de quelqu’un qui pourrait les surprendre en plein câlin, consiste à se mettre dos à l’arbre. Une main sur le sacrum, paume contre l’écorce de l’arbre. L’autre main paume sur le plexus solaire. Reposez l’arrière de la tête contre l’écorce de l’arbre et si possible les pieds entre les racines. Respirez profondément et restez dans cette position 5 min. Ensuite alternez les mains et recommencez (afin de respecter la polarité du corps).

Bonne recharge énergétique

Mabelle

Les devoirs, prise de tête

Pour bon nombre d’enfants et de parents, les devoirs sont parfois source de tensions, de cris, de pleurs, de déceptions, de colères … Les devoirs sont souvent une contrainte, parfois longs à faire et peu compatibles avec une vie de famille joyeuse (départ en fin de semaine, résidences alternées…)

devoirs

Derrière cela se cachent souvent des peurs conscientes ou inconscientes.

La peur du parent de se sentir en difficulté devant ce qui est demandé à son enfant, la peur qu’il n’y arrive pas, peur du jugement « que vont penser les autres s’il a de mauvaises notes », peur de ne pas être capable d’expliquer…

L’enfant lui aussi a des peurs, de ne pas être à la hauteur, de subir le regard des autres, d’être grondé s’il ne répond pas aux attentes de son parent exaspéré par son échec, …

Ce sont ces peurs et doutes qui alimentent le stress et engagent dans un cercle vicieux. Le stress du parent engendrant celui de l’enfant, qui se répercute sur celui du parent, … augmente le stress de l’enfant …

 La première chose à faire est de cesser de se prendre la tête. Toute personne a des talents, l’enfant en a aussi, mais peut-être pas forcément les mêmes que ses parents. Ce n’est pas parce que papa est un crack en math que son fiston a les mêmes capacités. Par contre il peut être un littéraire ou un artiste dans l’âme.

Par ailleurs, il n’est pas obligatoire d’être premier de classe pour être heureux, voire même pour avoir un emploi formidable dans lequel on excelle par ses compétences. Il existe plusieurs formes d’intelligence et, l’intelligence artistique ou émotionnelle est souvent plus importante pour réussir dans la vie que l’intelligence intellectuelle.

Il s’agit de comprendre que se tromper fait partie intégrante de l’apprentissage, d’avoir confiance dans les capacités de l’enfant, de le rassurer, l’encourager et le soutenir en manifestant de l’intérêt pour ce qu’il expérimente et en l’encourageant à exprimer ses sentiments, et ses envies. Se donner le temps de l’écouter.

Reconnaître également qu’un adulte n’a pas toutes les réponses, cela n’a rien de honteux « Tu ne sais pas ce que veut dire ce mot ? On va regarder ensemble dans le dictionnaire ; on va se renseigner »

La sophrologie aide l’enfant à grandir avec confiance et estime de lui. Pourquoi ne pas faire une petite séance parent/enfant, comme un jeu juste avant de débuter les devoirs, pour être en meilleures conditions, plus disponible.

Ancrage au sol : Exercice de la noisette

Pour vous aider, imaginez que vous voulez enfoncer une noisette dans le sol avec votre talon, puis avec les doigts de pied, et enfin avec tout le pied (avec un pied, puis l’autre)

 Elimination des tensions : exercice du pantin

Imaginez que vous êtes un pantin. Sautillez sur place, tout en laisser aller les bras ballants, comme un pantin désarticulé. Une fois revenu à l’immobilité, pieds bien au sol, observez ce qui se passe dans votre corps

Stimulation de l’activité cérébrale : respiration abdominale

Placez une sur le ventre, et l’autre dans le bas du dos. En étant bien présent à votre respiration, inspirez profondément en sentant le ventre se gonfler comme un ballon. A l’expiration, sentez les mains se rapprocher. Faites quelques respirations profondes pour éliminer tout le stress

Si vous ne souhaitez pas consulter un sophrologue, et recherchez un bon livre pour aider vos enfants, je vous conseille celui-ci , qui est vendu avec son CD d’exercices :

Et maintenant au travail, en douceur dans la joie et la bonne humeur! Mabelle

Le massage en pratique

Sur rendez-vous, la personne est accueillie dans une pièce chauffée où une petite anamnèse sur son état de santé lui est demandée.

La personne se débarrasse de ses vêtements tout en conservant ses sous-vêtements (attention, l’huile risque de tacher certaines matières, autant le savoir pour éviter tout risque d’abîmer vos belles tenues!).

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Elle s’installe sur la table de massage où elle est invitée à se détendre et à se mettre à l’écoute de son corps.

Accompagné par une musique douce et les senteurs d’huiles essentielles choisies, le massage harmonisant peut commencer en toute quiétude.

D’une durée d’environ une heure, il apporte la détente physique et mentale et permet de relâcher les tensions et d’installer le calme en soi

 Les bienfaits

 v  Prendre un moment pour soi

v  Meilleure acceptation de son corps

v  Favoriser l’expression des émotions

v  Prendre soin de la peau grâce à l’utilisation des huiles

v  Redynamiser la circulation de l’énergie

v  Stimuler la circulation lymphatique et donc, drainer les toxines

v  Meilleure acceptation de son corps

vApaiser, calmer. Le massage, par les techniques manuelles soulage du stress, oxygène les tissus et ont un effet relaxant

 Les contre-indications

 La maladie grave ou en phase d’évolution est une des contre-indications au massage, avec l’inflammation aigue, la fièvre, les plaies et affections de la peau, les traumatismes divers (contusions, entorse, déchirures musculaires), et varices importantes.

 Massage et sophrologie

 Le massage peut s’inscrire en complément de la sophrologie, car un des buts de ces deux techniques est, entre autre, la globalité de l’être. Le massage tout comme la sophrologie permet une prise de conscience du schéma corporel, améliorant notre propre relation, notre relation à l’autre et à l’environnement, ainsi qu’une plus grande connaissance de nos limites corporelles (particulièrement intéressant chez les enfants débordant d’énergie, ou chez un adulte souhaitant débuter un travail de transformation corporelle).

Maladies chroniques, aide de la sophrologie

Le recours à la sophrologie peut notamment être utile en cas de fibromyalgie, de polyarthrite, d’acouphènes, ou de dépression.

Il n’y a aucune maladie qui empêche la pratique de la sophrologie, les mouvements étant tous adaptables en fonction de la position debout, assis ou allongé.

douleurs

Mais, attention : si la sophrologie est une aide, dans tous les cas lorsqu’il y a une pathologie, la prise en charge médicale est indispensable.

La sophrologie ne soigne pas. Pratiquée en accompagnement d’un traitement médical, elle apprend à mieux vivre au quotidien avec certaines pathologies lourdes et douleurs chroniques, aide à gérer une douleur passagère. Elle vous permet d’être acteur, actrice de votre prise en charge thérapeutique.

Soyez doux avec vous-même – Mabelle

La sophrologie contre le stress

ADN

Que peut la sophrologie contre le stress ?

L’impact de la méditation et du yoga (dont est tirée la sophrologie) sur la réduction du stress et la réduction des phénomènes inflammatoires est connu depuis longtemps. Mais, quels sont les mécanismes biologiques qui produisent ces résultats ?

Des études

Une étude de L’UCLA (Los Angeles) menée par Helen Lavretsky et publiée sur Psychoneuroendocrinology a mis en lumière les 68 gènes dont l’expression est modifiée par la pratique du yoga et de la méditation.

L’étude a été faite sur 45 accompagnants de personnes atteintes de démence, confrontés à des niveaux de stress importants. Ces personnes ont été aléatoirement séparés en deux groupes.

Un groupe a pratiqué une méditation et l’autre groupe a écouté une musique relaxante pendant 12 minutes par jour pendant 8 semaines.

Un groupe témoin de 39 accompagnants n’ayant ni pratiqué la méditation, ni écouté une musique relaxante complétait cette étude.

Des échantillons de sang permettant de tester les différences d’expressions des gènes ont été prélevés avant et après les 8 semaines d’expérimentation.

Les résultats ont montré que 19 gènes ont été stimulés, notamment ceux qui concernent l’immunoglobuline (première barrière immunitaire de l’organisme). Or celle-ci est normalement inhibée par le stress.

Et 49 gènes ont été inhibés, notamment ceux qui produisent la réponse inflammatoire des cytokines. (Ils sont normalement stimulés par le stress).

Une pratique courte mais régulière

En conclusion, cette étude démontre preuves à l’appui qu’une pratique, courte (12 minutes) mais régulière chaque jour suffit à modifier radicalement l’expression des gènes responsables des problèmes physiologiques induits par le stress. C’est donc directement au niveau de l’ADN que les changements interviennent.

Comment se déroule une séance de sophrologie ?

yuri arcurs -fotolia

On se voit une première fois ; vous m’exposez le motif de votre démarche, ce qui ne va pas, ce qui vous pose problème. Il peut simplement s’agir de curiosité, d’envie de découvrir une technique méconnue.

Grâce à une écoute active et une approche globale, nous trouverons ensemble les différents moyens à mettre en oeuvre afin de répondre à votre demande, l’objectif à atteindre.

 Une fois l’objectif défini, par la combinaison d’exercices musculaires et respiratoires – exercices simples ; accessibles à tous, et faciles à reproduire à la maison – vous arrivez à l’état de détente musculaire.

Une fois le corps bien détendu, nous détendons le mental, par des exercices de visualisation.

Le dialogue dit « post-sophronique » c’est-à-dire après la séance, est très important. C’est un échange qui fait partie intégrante du processus thérapeutique. Il est fort important que le ressenti soit verbalisé. Parfois des solutions émergent d’elles-mêmes.

 En général, on table sur une série de 10 séances à raison d’une séance par semaine environ. Mais vous pouvez déjà ressentir les effets positifs au bout de quelques séances, et décider d’arrêter à tout moment.

Mais attention, la sophrologie n’est pas un comprimé antidouleur à effet immédiat !

Il s’agit de se retrouver, cela ne se fait pas en une heure. C’est par la régularité seulement que vous ressentirez les effets de la technique. Vous vous sentirez mieux de jour en jour.

Prenez soin de vous.

Demain, je suis en formation, je vous retrouve donc dimanche !

Mabelle

Sophrologie : séances individuelles ou collectives pour retrouver l’harmonie au quotidien

sophro exercices

Séances collectives (1heure-1 heure30)

La sophrologie est tout particulièrement adaptée à la pratique en groupe. Généralement, les séances en groupe sont proposées aux personnes n’ayant pas de pathologies ou d’attentes particulières, mais qui souhaitent vivre mieux et en harmonie avec elles-mêmes

Nombre de participants : 5 minimum, 10 maximum.

Les séances se déroulent le  plus souvent à un rythme hebdomadaire et vise à l’apprentissage d’une méthode utilisable de manière autonome, puisque le but est que la personne en tire un réel bénéfice pour son quotidien et cela requiert une certaine régularité dans l’entrainement, aussi bien en groupe que seul, à la maison.

Un cycle complet se compose généralement de 10 séances en groupe en plus d’entraînements personnels réguliers (idéalement, une séance quotidienne de 10 à 15 min).

Déroulement d’une séance :

1 –La séance commence toujours par un temps de parole, d’échange des besoins de chacun, suivi d’une courte information. L’état d’esprit avant de commencer permet au praticien d’adapter le cours. Cette phase (dialogue pré-sophronique) dure de 5 à 10 minutes.

2 – Relaxation dynamique (debout et/ou assise) durant 30 à 40 minutes  :  mouvements très simples, plus ou moins énergiques. Ce sont des contractions musculaires synchronisées à la respiration, des exercices de concentration facilitant la prise de conscience des sensations. Le but étant d’atteindre un relâchement musculaire associé à une baisse du rythme cardiaque; Le sujet est  appelé à mieux écouter son corps, à en prendre pleinement conscience.

3 – La séance se prolonge avec relaxation guidée par la voie du sophrologue. On y cherche, par exemple, à identifier tous les points d’appui du corps sur le sol pour pouvoir le détendre. Mais on peut aussi visualiser des images agréables. Tout dépend du but recherché lors de la séance.

  4 – La séance se termine par un nouveau temps d’échange sur le vécu de la séance ,nommé dialogue post-sophronique.

La séance collective permet le partage du vécu (appelé « vivance ») entre les participants, sans jugement, dans le respect des différences.

Chacun peut exprimer ses ressentis physiques. Il ne s’agit en aucun cas de faire une analyse. Ici on travaille sur le physique. Il s’agit d’un dialogue libre, et sans obligation, au cours duquel le  praticien donne si nécessaire, à la personne en demande, des informations supplémentaires ou recommandations pour une pratique de plus en plus autonome. Une personne timide n’a pas obligée de prendre la parole , elle peut simplement dire un mot ou deux, mais dans tous les cas il est important de s’exprimer pour que le sophrologue sache que tout va bien.

La sophrologie s’inscrit dans le cadre d’une psychologie humaniste, considérant que chacun possède les ressources pour se dynamiser, et les capacités à se grandir.

Séances individuelles (1heure)

Elles sont recommandées lorsqu’une personne n’est pas à l’aise en groupe mais aussi pour :

– aborder une problématique de façon personnelle.

– adapter les techniques aux besoins de la personne

Ces séances sont donc plus ciblées sur une demande, un symptôme. La demande peut concerner un accompagnement ponctuel, pour un événement bien particulier (comme la préparation pour une épreuve importante ).

Au cours des séances individuelles vous avez la possibilité de suivre un programme personnalisé répondant à vos attentes spécifiques :

  • Développer la confiance en soi,
  • S’ouvrir à soi même et aux autres,
  • Vivre au présent plus sereinement,
  • Apprendre à lâcher-prise,
  • Retrouver un sommeil réparateur,
  • Optimiser sa concentration,
  • Se préparer à un examen, un entretien,
  • Diminuer stress, anxiété, …

Les séances visent à libérer le trop-plein de tensions, aussi bien psychiques que physiquesavec le but d’acquérir une certaine autonomie.

Séances à Domicile (1heure)

Si vous ne pouvez pas vous déplacer, ou si vous voulez tout simplement découvrir la sophrologie chez vous, et que vous pouvez vous aménager un moment de tranquillité.

Séances avec les enfants

La séance est plus courte pour les enfants, 30 à 45 minutes, selon l’âge.

Merveilleuse journée.

Mabelle

 

Les trois principes fondamentaux de la sophrologie

La sophrologie est basée sur 3 grands principes fondamentaux

que tout Sophrologue, mais aussi toute personne qui pratique la Sophrologie doit intégrer dans son entrainement sophrologique

1. Le principe d’intégration du « schéma corporel »

Le schéma corporel est « l’image du corps  » que nous avons au niveau mental.
La pratique régulière de la sophrologie permet de prendre conscience de sa réalité corporelle :

porter attention à son corps,

mieux le connaître,

le respecter et l’intégrer au niveau mental.

2. Le principe d’action positive

Le but de la sophrologie est d’amener celui qui la pratique à vivre dans un état de conscience qui est un état d’harmonie et de sérénité. Il ne s’agit pas de nier le négatif et de le refouler mais plutôt de dynamiser le positif jusqu’à ce qu’il ne reste plus de place pour le négatif.

En dynamisant le positif dans le corps, vous le ressentez dans votre esprit, vos émotions. Lorsque vous activez des pensées positives, en mot ou en images, vous le ressentez dans votre corps et vos émotions. Lorsque vous vivez une émotion agréable, vous en ressentez les bienfaits sur votre corps et votre mental. Rien de plus logique puisque la sophrologie considère qu’il y a unité, que le corps et l’esprit ne sont pas séparés.

«Toute action positive dirigée vers la conscience se répercute positivement sur tous les éléments psychiques de l’être».

Mais cela va plus loin. En effet, ce principe fonctionne aussi sur les 3 paramètres de votre existence : passé – présent – futur

Ainsi, en activant le positif vécu dans votre passé, vous vivez mieux au présent et vous projetez plus positivement dans le futur. Lorsque vous activez du positif dans une partie de vous-même, cela a une répercussion positive sur votre être tout entier.

utiliser nos potentiels (accepter le passé, agir au présent et préparer l’avenir).

se repositionner dans l’existence : « avoir un autre regard sur le monde »

3. Le principe de réalité objective

Ce principe permet au sophrologue d’accompagner les autres sur leur propre cheminement sophrologique sans projeter sur eux ses propres limites et conditionnements. Il permet d’entrer en relation avec les autres d’une manière plus consciente.

accueillir ce qui est, sans interpréter les faits.