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Oublier le passé ?

Bonjour, j’espère que vous allez bien ce matin

Le passé est derrière nous, mais il est si présent et si précieux, quoi qu’on en dise. On nous demande souvent d’oublier, mais comment oublier.

Comment oublier toutes ces personnes, toutes ces choses qui font de nous ce que nous sommes.

Le passé, c’est les gens que l’on a côtoyés, aimés, chéris et qui ont fait partie de notre vie et qui sont partis. C’est aussi des souvenirs, des erreurs, des moments de bonheur et de douleur, qui nous forgent et nous rappellent que chaque étape, chaque rencontre, a son importance.

Le passé ne disparaît jamais vraiment, il reste dans notre mémoire, guidant nos pensées, nos choix et notre manière d’aimer.

Prenez soin de vous

Mabelle

Tu as fait ce que tu pouvais

Bonjour,

Je te partage ce matin un texte de Charlotte Cellier qui résonne profondément en moi. Ma grand-mère me disait « si tu as fais tout ce que tu pouvais, tu as fait tout ce que tu devais »

Il y a un moment où tu commences à comprendre…

Que tu n’aurais pas pu faire mieux que ce que tu as donné.

Que tu n’aurais pas pu sauver, réparer, changer ce qui devait suivre son propre chemin.

Tu réalises que ton amour, ta patience, tes efforts n’étaient pas insuffisants,

Ils étaient tout ce que tu pouvais offrir, avec ton cœur sincère, avec tes forces du moment.

Ce n’est pas toi qui a échoué.

Ce n’est pas parce que tu n’étais pas assez.

Il y a des histoires qu’on ne peut pas retenir,

Des âmes qu’on ne peut pas détourner de leur propre destin.

Tout ce que tu avais à faire, tu l’as fait.

Tout ce que tu avais à donner, tu l’as donné.

Aujourd’hui, tu as le droit de poser ce fardeau.

De te libérer de la culpabilité.

Et d’avancer, en paix avec toi-même.

Prends soin de toi et ne t’oublie jamais pour personne – Mabelle

Pense à toi

Bonjour, je t’espère en forme.

Je te partage un texte de Charlotte Cellier

Aujourd’hui…

Reviens en ton centre.

Ferme les yeux, respire, et écoute ce qui vit en toi.

Pas le bruit des peurs, pas le poids des attentes des autres… juste toi.

Demande-toi : qu’est-ce qui est juste pour moi ?

Qu’est-ce qui me fait du bien, vraiment ?

Ce n’est pas égoïste de penser à toi,

c’est essentiel, c’est vital.

Aujourd’hui, choisis la douceur.

Choisis ce qui nourrit ton âme, ce qui t’apaise,

ce qui t’élève et t’allège.

Ne cours plus après ce qui t’épuise, ne retiens plus ce qui t’abîme.

Tu as en toi un espace de paix,

même si tout semble chaos autour.

Reviens-y, encore et encore.

Car c’est là que tu trouveras la clarté,

c’est là que tu te trouveras toi.

Aujourd’hui, commence simplement :

écoute-toi. Honore-toi. Aime-toi.

Prends soin de toi – Mabelle

Rappelez vous

« Rappelez-vous :

Que chaque fois,
Que vous pleurez,
Et que vous écrivez ce que vous ressentez,
Votre énergie est purifiée,
Et vous élevez votre vibration.

Que chaque fois que vous riez,
Que vous chantez,
Et que vous dansez en profitant de la vie,
Votre énergie se purifie,
Et vous élevez votre vibration !

Que chaque fois que vous faites,
Ce que vous aimez,
Que vous faites du sport,
Et que vous bougez votre corps,
Votre énergie est purifiée,
Et vous élevez votre vibration !

Que chaque fois que vous demandez pardon,
Pardonnez et remerciez avec votre cœur,
Votre énergie se purifie,
Et vous élevez votre vibration !

Et qu’à chaque fois que vous vous respectez,
Et que vous vous aimez vous-même,
Et les autres pour de vrai,
En plus de purifier votre énergie,
Et d’élever votre vibration,
Vous aidez aussi notre belle terre à vibrer,
À la plus haute fréquence,
Qui est celle de l’AMOUR !

C’est pourquoi, ne tardez plus,
Armez-vous de courage,
Et travaillez sur vous-même !

Le travail le plus important de votre vie,
C’est vous !

Si vous vibrez haut,
Nous vibrons tous haut,
Parce que nous sommes tous un !

Vous pouvez,
Osez et faites en sorte que ça arrive ! « 

Prenez soin de vous – Mabelle

Tout pardonner ?

Bonjour, j’espère que vous allez bien.

On doit arrêter de répéter : « Pardonne, c’est la famille. »

Ça sonne comme un conseil qui peut sembler plein de sagesse, mais trop souvent, ça fait plus de mal que de bien.

La vérité, c’est que la famille avait une responsabilité :

➡️ Me protéger, pas me briser.

➡️ Être mon refuge, pas la source de mes blessures.

➡️ Me tendre la main, pas me tourner le dos.

Avoir le même sang ne donne pas le droit d’envahir ma paix, d’abîmer mon cœur ou de troubler la vie que j’ai mis tant de temps à reconstruire.

Le pardon n’est pas une obligation, et ne se fait pas sur commande non plus.

Le pardon est un long chemin et il n’a aucun sens quand les excuses n’ont jamais été faites, quand les mêmes comportements toxiques continuent, quand la douleur reste vive, comme une plaie qu’on refuse de soigner.

Oui, j’ai le droit de protéger ma paix intérieure.

Même si cela signifie poser des limites claires, même si cela déplaît à ceux qui portent le même nom que moi.

Et si ces limites dérangent… peut-être que cela révèle leur part du problème.

Cette mentalité qui normalise la souffrance parce qu’elle vient « de la maison ».

Non. La famille, ce n’est pas seulement le sang.

C’est ceux qui savent aimer sans condition.

Ceux qui respectent, qui soutiennent, qui réparent au lieu de blesser.

Prenez soin de vous.

Mabelle

Tu seras toujours critiqué

Bonjour, Je t’espère en pleine forme

Celui qui travaille 12 heures par jour n’a pas de vie

Celui qui travaille 6 heures n’aura rien dans la vie.

Celui qui ne travaille pas est un fainéant.

Celui qui vit avec ses parents est entretenu.

Celui qui cumule 2 boulots, on lui demande de quoi il a besoin

Celui qui est entrepreneur est un profiteur qui veut t’exploiter

Celui qui paie un loyer jette son argent aux poubelles

Celui qui achète sa maison n’arrêtera jamais de payer

Celui qui a une nouvelle voiture est ridicule, il aurait du acheter une maison

Celui qui n’a pas de voiture est ridicule, il devrait en acheter une

Celui qui voyage n’a rien d’autre à faire de se promener

Celui qui ne voyage pas ne profite pas de la vie

Celui qui reste à la maison est déprimé, ennuyeux

Celui qui sort tous les week-ends a une vie est vide, que des apparences

Celui qui poste une photo aime attirer l’attention

Celui qui ne publie rien n’a pas de vie ou fait quelque chose de mal

Celui qui est célibataire c’est parce que personne ne veut de lui

Celui qui est dans une relation, voyons combien de temps ça dure !

Celui qui est marié a fait une grosse erreur, qui l’ a poussé à faire ça ?

Celui qui n’est pas marié on lui demande pourquoi il ne le fait pas

Celui qui a des enfants, on lui demande combien il veut en faire

Celui qui n’a pas d’enfants, on lui demande quand il va se décider

Celui qui est gras a des problèmes de santé ou tôt ou tard il les aura.

Celui qui est maigre a des problèmes de santé ou tôt ou tard il les aura.

Celui qui a des tatouages est un voyou

Celui qui n’a pas de tatouage n’a pas vécu.

Dans cette société, quoi que tu fasses, les gens autour de toi auront toujours quelque chose à redire. C’est pourquoi, tant que tu es bien avec toi même, laisse parler, tout le reste passe au second plan. Tout au long de ta vie, si tu prêtes attention à ce que les autres disent et pensent de toi, tu perdras ton temps et beaucoup d’énergie.

On dira de toi quelques vérités, car il existe des personnes qui te connaissent et qui sont bien intentionnées. On dira de toi beaucoup de mensonges, car nombreuses sont les personnes qui parlent sans savoir, sans connaître ton histoire.

Alors, s’il y a bien une chose qui te fera gagner du temps, c’est d’avancer la tête haute sans te préoccuper des qu’en dira-t-on. Donne à ces personnes pour seul point de vue ton dos et avance. Vis pleinement pendant qu’elles perdent le leur à dénigrer. Épanouis-toi pendant qu’elles restent emprisonnées de leur colère, leur rancœur personnelle et leur propre mal-être, car tu n’es pas responsable de leur comportement.

Fais le bien autour de toi et pour toi, le reste ne t’en préoccupe pas. Le temps que tu passes sur Terre est compté, il n’est qu’une parenthèse éphémère, alors vis pleinement, intensément, pour ne rien avoir à regretter.

Prends soin de toi

Mabelle

Le manque de respect abîme l’âme

Bonjour, je vous espère en grande forme ce matin

Je vous partage un texte trouvé sur le net, signé Ctto

Le pire sentiment pour une femme, c’est quand elle essaie d’avoir une conversation avec un homme au sujet de son comportement qui la blesse chaque jour, mais qu’au lieu d’écouter, il se met en colère et retourne la situation contre elle.

C’est une douleur profonde — un mélange de frustration, de tristesse et d’abandon émotionnel.

Elle rassemble son courage pour parler, non pas pour se disputer, non pas pour attaquer, mais parce qu’elle l’aime et veut améliorer les choses. Elle parle avec sa douleur et son espoir, en espérant que, peut-être cette fois, il l’écoutera vraiment, qu’il comprendra le poids qu’elle porte en silence depuis si longtemps.

Mais au lieu de tendre l’oreille, il se braque.

Au lieu d’accueillir ses sentiments, il esquive.

Il devient bruyant, froid ou sarcastique.

Il retourne la faute contre elle, transformant ses inquiétudes en accusations sur son caractère, son ton, son moment.

Soudain, la discussion ne porte plus sur ce qu’elle dit, mais sur la manière dont elle le dit.

Et en un instant, sa douleur est enterrée sous sa colère.

Et ce n’est pas seulement la dispute qui fait mal — c’est le message sous-jacent :

Tes sentiments ne comptent pas. Ta douleur dérange. Ta voix est de trop.

Cet instant devient une blessure muette, une cicatrice de plus ajoutée au fardeau émotionnel qu’elle essaie si fort de cacher pour préserver la paix.

Mais une paix sans compréhension n’est pas une paix.

C’est du silence. C’est du mensonge.

C’est marcher sur des œufs en perdant peu à peu des morceaux de soi pour éviter que tout ne s’écroule.

Le pire, c’est qu’après trop de moments comme ceux-là, elle commence à se remettre en question :

« Peut-être que je suis trop sensible. »

« Peut-être que je devrais juste laisser passer. »

« Peut-être que ce n’est pas si grave. »

Mais au fond d’elle, elle sait que si.

Elle sait ce que le respect, l’empathie et l’amour devraient être — et que ceci n’en est pas.

Quand une femme tend la main pour parler de ce qui la blesse, c’est un cadeau.

C’est sa manière de dire : Je tiens encore assez à nous pour vouloir réparer.

C’est une chance de connexion, de guérison et de croissance.

Mais quand ce moment est accueilli avec colère ou reproches, cela l’éloigne. Pas seulement sur le plan émotionnel… mais spirituel.

Parce que rien n’abîme plus l’âme d’une femme que d’être sans cesse amenée à se sentir coupable de vouloir simplement être traitée avec respect.

Un enfant naît avec sept dons naturels.

Bonjour, comment vas tu ?

Je te partage un petit texte du Capitaine Paul Watson

Le premier est l’innocence, le second est l’ouverture d’esprit, le troisième est l’imagination, le quatrième est la confiance, le cinquième est une passion pour la vie, le sixième est la compassion pour la vie, le septième est le courage.

Voilà les dons que le monde tente de dérober à chaque enfant, en les remplaçant par sept traits inférieurs comme la culpabilité, l’étroitesse d’esprit, le conformisme, le doute, l’apathie, l’insensibilité et la peur.

J’ai découvert la face sombre de l’humanité quand j’étais encore enfant, lorsque j’ai vu assommer un bébé phoque pour la première fois. Mais j’ai aussi eu la joie de voir les baleines et de nager au milieu des castors, des dauphins, des phoques et des poissons.

Mon enfance m’a donné pour toute ma vie l’amour des autres créatures et de la nature, et pour toute ma vie aussi la passion de défendre et protéger. Elle m’a aussi fait entrevoir les choses auxquelles je ne voulais pas prendre part. Lorsque j’étais enfant, je me disais que je ferais cesser le massacre des phoques et que je protégerais les animaux sauvages.

Mes expériences enfantines ont modelé mon évolution en tant qu’adulte, et je n’ai jamais perdu cette innocence, j’ai gardé un esprit ouvert, nourri mon imagination et conservé ma confiance, ma passion et ma compassion, et renforcé mon courage.

Les livres que j’ai lus, les oiseaux dont le chant m’a émerveillé, les animaux que j’ai vus, les grands professeurs que j’ai écoutés et l’amour qui emplissait constamment mon cœur m’ont gardé sur la voie de la compassion.

Chaque enfant a le potentiel pour la grandeur, et cette grandeur peut être nourrie simplement en ne renonçant pas aux sept vertus positives pour les remplacer par les sept traits négatifs.

Les rêves d’un enfant peuvent se réaliser s’il ne perd pas les sept dons naturels qu’il reçoit à la naissance. Le secret est simple. Suivez votre cœur, et souvenez-vous que votre cœur n’a jamais tort.

Prenez soin de vous – Mabelle